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Formation Continue du Supérieur
31 août 2013

Que faire après des études de langue

http://www.universitemag.fr/wp-content/themes/gojo/styles/green/bg-tile.jpgDès qu’un étudiant choisit une formation dans une filière qui semble moins cartésienne que l’univers scientifique, juridique ou mathématique, l’imaginaire collectif le classe comme un futur enseignant. Ainsi en est-il pour ceux qui choisissent les langues.
Un a priori dommageable
Au moment des choix d’orientation, les lycéens et les étudiants raisonnent parfois en terme de métiers sur lesquels pouvoir immédiatement se projeter à partir d’une filière : devenir avocat après une faculté de droit, médecin après une faculté de médecine…L’exercice est plus difficile dans le cas d’une formation comme les langues car il faut pouvoir imaginer des métiers très spécifiques ou alors être capable de comprendre que certaines filières ne pourront trouver une concrétisation professionnelle sans la maîtrise d’une langue. Dans les métiers spécifiques il y a le métier d’enseignant mais également celui de traducteur. Quant à illustrer l’hypothèse des filières, peut-on imaginer un journaliste sportif ne maîtrisant pas l’anglais, un cadre en commerce international ne parlant pas couramment plusieurs langues, une société d’audit pour des pays en voie de développement dépourvue de salariés capables sur site d’être autonomes pour parler la langue la plus usitée par les professionnels et les acteurs économiques qu’ils vont rencontrer ?
Se projeter sur son futur métier
Les études de langue peuvent être le principal de la formation choisie par l’étudiant ou son accessoire dans un double cursus. Il existe de multiples offres de formation au sein des universités mais également au sein d’instituts spécialisés. C’est pourquoi l’étudiant à intérêt à réfléchir son futur projet professionnel avant de s’engager dans une filière en langue : est-ce utile pour lui d’aborder la littérature étrangère et ses civilisations ou d’étudier la langue dans son contexte professionnel ; doit-il opter pour un double cursus notamment à l’occasion d’échanges universitaires européens qui vont lui permettre une immersion dans un pays à l’occasion d’un apprentissage technique d’un secteur d’ingénierie ; où sont ses perspectives de travail dans la filière qu’il s’est choisie : doit-il apprendre une langue plutôt européenne ou aller vers les langues orientales ?

31 août 2013

Demandeur d’emploi – partir avec le formulaire U2

http://www.universitemag.fr/wp-content/themes/gojo/styles/green/bg-tile.jpgTravailler à l’étranger est une excellente façon d’acquérir des compétences complémentaires. En ces temps où le chômage sévit dans tous les pays européens, il peut être prudent d’accomplir une démarche permettant de percevoir ses droits au chômage, le temps de trouver un emploi, grâce au formulaire U2.
Comment bénéficier d’allocation chômage à l’étranger ?
Il n’est pas toujours facile de trouver un emploi à l’étranger, lorsqu’on ne connaît personne et que l’on ne parle pas très bien la langue du pays, c’est pourquoi le fait de pouvoir bénéficier d’une allocation chômage peut permettre de réussir son intégration. La première démarche consiste donc à se procurer le formulaire U2, ancien E303, valable dans tous les pays européens, qui indique les périodes permettant de donner droit à une allocation chômage, ainsi que la durée d’indemnisation à laquelle le travailleur étranger a droit, et il faut donc avoir exercé une activité professionnelle pour en bénéficier et il ne faut pas être en fin de droits. Le formulaire U2 s’obtient auprès du Pôle emploi dont dépend le demandeur, il est à remettre à l’institution du pays de destination dans les six jours après l’arrivée. Celle-ci s’occupera ensuite des démarches auprès du Pôle emploi pour mettre en route cette procédure. La France permet de percevoir ces allocations pendant trois mois, certains autres pays permettent de les renouveler trois autres mois, et c’est le pays d’origine qui paie les indemnités.
Chercher un emploi à l’étranger
Afin de limiter cette période de chômage lorsqu’on part travailler à l’étranger, l’idéal est de commencer sa recherche depuis la France, ce qui, grâce à Internet, est parfaitement possible. Consulter des offres d’emplois et y répondre ne pose aucun problème, toutefois, à moins d’avoir une spécialité ou une qualité qui rend le candidat indispensable, il faudra tout de même se présenter à un entretien pour obtenir un poste et pour cela, il faudra bien être présent physiquement dans le pays. Précisons toutefois que si le candidat à l’emploi à l’étranger n’a pas encore ouvert ses droits au chômage en France, c’est l’imprimé U1, ancien E301, qu’il devra se procurer pour entamer ses démarches et faire valoir ses droits au chômage.

31 août 2013

Des aides pour financer la formation des jeunes

http://www.universitemag.fr/wp-content/uploads/2012/02/de-langue-45x45.jpgCréée en 1982, la mission locale a pour but de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes de 16 à 25 ans. Grâce à un suivi personnalisé, des conseils d’orientation et à une aide financière à la formation, ces organismes soutiennent les jeunes dans le monde de l’emploi.
Un suivi personnalisé
La mission locale permet de bénéficier d’un suivi personnalisé. Le parcours scolaire et professionnel des jeunes est étudié, analysé et une solution de formation adaptée aux besoins de chacun sera alors proposée. Tout en gardant l’accession à l’emploi en ligne de mire, les jeunes pourront dès lors faire le choix entre un retour en formation initiale, si leur parcours n’est pas complet, en formation continue ou en formation en alternance, une des solutions les plus vivement conseillées. Pour être efficace et trouver une voie adaptée à chacun, la mission locale a avant tout besoin d’un large réseau de professionnels actifs et influents dans le domaine de l’insertion professionnelle. Des fonds doivent également être débloqués afin de rendre possible le financement (total ou partiel) des formations proposées aux jeunes. Pour rendre ce système possible, la mission locale profite de financement provenant des collectivités territoriales. L’État et le Fonds Social européen apportent également leur aide financière car l’emploi des jeunes est, plus que jamais, l’une des priorités.
Une alternative : le chèque formation
Selon les critères d’admission des différentes régions françaises, il est également possible de profiter du chèque formation. En effet, le chèque formation est une aide individuelle qui est accordée aux demandeurs d’emploi. Si ce chèque formation concerne aussi les adultes de plus de 26 ans, il représente également une chance pour les jeunes de 18 à 26 ans qui remplissent certaines conditions. En effet, ils doivent être sans qualification professionnelle de niveau V, autrement dit : ils ne doivent pas être titulaires d’un BEP ou d’un CAP. Plus largement, le chèque formation vient soutenir les jeunes dont la formation initiale ne correspond pas aux besoins du marché. Il leur donne l’opportunité d’affiner leur choix en se spécialisant ou, au contraire, de partir dans une autre branche professionnelle ayant plus de débouchés.
Image: Robert Kneschke

31 août 2013

Devenez intervenant pour le CNFPT

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.pngVous êtes expert et praticien dans votre domaine professionnel et vous souhaitez partager votre expertise en animant des formations pour les agents des collectivités, proposez vos services et devenez intervenant au CNFPT !
Le CNFPT ne dispose pas de formateurs permanents pour organiser les 950 000 journées de formation mises en œuvre chaque année. Pour mener à bien ses missions et répondre à la diversité des besoins, il fait appel à deux types d’intervenants :
- Des intervenants en régie : il s’agit de formateurs occasionnels qui interviennent ponctuellement et sont recrutés comme vacataires sous contrat à durée déterminée. Ces intervenants peuvent être fonctionnaires (ou agents non titulaires) en activité, contractuels ou avoir un tout autre statut (retraité de la fonction publique, salarié ou retraité du privé, profession libérale).
Vous souhaitez devenir intervenant en régie ? Adressez votre lettre de motivation accompagnée de votre curriculum vitae aux des délégations régionales et aux instituts du CNFPT.              
- Des sociétés prestataires de services (dont les auto-entrepreneurs) titulaires de marché.
Vous souhaitez répondre aux appels d’offre du CNFPT ? Inscrivez-vous sur notre plate-forme dématérialisée des procédures de marchés publics  : Accéder à la plateforme.

31 août 2013

Test d'auto-évaluation

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.pngEvaluez-vous ...
Concours & examens professionnels
Ces tests vous permettent d’évaluer votre projet de concours ou d’examen professionnel, par catégorie A, B ou C ( les catégories A+ ne sont pas concernés) et d’estimer votre niveau en français, mathématiques, physique, hygiène et sécurité, et culture territoriale.

Test de catégorie A
Concours ou examen
Test de catégorie B
Concours ou examen
Test de catégorie C
Concours ou examen
Evaluez votre projet Evaluez votre projet Evaluez votre projet
Français Français Français
Mathématiques (ingénieur - concours interne)   Mathématiques
Physique (ingénieur - concours interne)  
 

Hygiène et sécurité

Culture territoriale Culture territoriale Culture territoriale


ATTENTION : Ces résultats ne sont qu’indicatifs !
Ces tests sont à réaliser en autonomie. Les résultats peuvent vous aider à mieux cerner votre projet.
Ils vous appartiennent et ils ne vous seront pas demandés lors de votre inscription en formation.

31 août 2013

Liste d'aptitude

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.pngDepuis le 1er janvier 2010, conformément à la loi du 19 février 2007, le CNFPT n’a plus la charge que de l’organisation des concours des administrateurs, des conservateurs du patrimoine, des conservateurs de bibliothèques et des ingénieurs en chef. Il est également tenu d’établir et de gérer, pour ces concours les listes d’aptitudes.
La réussite à un concours ne vaut pas recrutement. Elle permet simplement d’être inscrit sur une liste d’aptitude. Cette inscription sur la liste d’aptitude est valable un an et peut être renouvelée deux fois à la demande de la personne.
Dès lors qu’il est inscrit sur la liste d’aptitude, il appartient au lauréat du concours de rechercher un poste dans une collectivité territoriale.
Parallèlement à cette recherche, les collectivités territoriales peuvent également consulter les listes d’aptitudes pour voir si elles ne trouvent pas des lauréats susceptibles de les intéresser.

31 août 2013

Jeunes et apprentissage dans la FPT - fonction publique territoriale

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.pngL’Observatoire de la fonction publique territoriale propose avec cette synthèse, un état des lieux sur la place des jeunes dans la fonction publique territoriale (agents de moins de 25 ans) et sur la situation de l’apprentissage en 2010.
Elle s’appuie sur deux sources statistiques venant de l’INSEE et de la DARES (Direction de l’animation, de la recherche et des études statistiques).
Pour décrire l’apprentissage, cette synthèse repose sur deux notions : le volume des apprentis présents au 31 décembre 2010, et les nouveaux contrats d’apprentissage signés au cours de l’année 2010.
Cette étude nous apprend notamment que 5 % des agents territoriaux ont moins de 25 ans, 4 sur 5 sont des agents de catégorie C et un agent sur deux travaille dans la filière animation ou technique.
Concernant l’apprentissage, la fonction publique territoriale comptait en 2010 quelque 8 000 apprentis, âgés en moyenne de 20 ans, dont 3 sur 4 d’entre eux travaillaient essentiellement dans les régions Ile-de-France, Rhône-Alpes et Nord – Pas-de-Calais.
Téléchargement
Etude jeunes et apprentissage 2010

31 août 2013

Les commissions d’équivalence de diplômes(CED)

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.pngLes commissions d’équivalence de diplôme (CED) placées auprès du CNFPT sont chargées d’instruire les demandes de personnes souhaitant s’inscrire à certains concours de la fonction publique territoriale sans posséder le diplôme requis. Les CED procèdent pour cela à une analyse comparative des diplômes et/ou de l’expérience des candidats par rapport au contenu du diplôme requis au concours. Elles ne raisonnent pas par métier.
Toute personne pouvant justifier de compétences en lien avec le diplôme requis à un concours peut saisir la commission (fonctionnaires, salariés, demandeurs d’emploi…), il suffit pour cela de remplir un dossier et de l’envoyer à la commission compétente par lettre recommandée avec avis de réception.
Les personnes reconnues travailleur handicapé souhaitant obtenir une possibilité d’intégration sans concours dans une collectivité et quel que soit le cadre d’emplois, peuvent aussi la saisir (voir le décret n°96-1087 et l’arrêté du 19 juin 2007 – article 1, alinéa 4).
La procédure est gratuite. Elle dure plusieurs semaines à partir du dépôt du dossier, aussi il ne faut pas attendre l’ouverture du concours pour la saisir. A l’issue de l’examen de la demande, le secrétariat de la CED envoie une décision par courrier au candidat, qui devra en transmettre une copie à l’organisateur du concours (ou à l’employeur pour les personnes reconnues travailleur handicapée).
Pour continuer ou voir la liste des concours concernés, cliquez ici.
Information importante : des évolutions réglementaires récentes ont modifié les diplômes requis pour l’accès à certains concours dans les filières animation, culturelle, sportive et enseignement artistique. Si vous avez obtenu une décision de la commission avant ces modifications, lisez attentivement le tableau de correspondance des décisions ci-dessous, avant toute démarche d’inscription au concours.
correspondance_decisions

31 août 2013

Tout savoir sur le statut

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.pngSur le plan statutaire, les agents des collectivités territoriales sont, comme leurs homologues de la fonction publique d’Etat ou hospitalière, régis par le titre Ier du statut général des fonctionnaires (loi du 13 juillet 1983). Ils sont également régis par des mesures plus spécifiques contenues dans le Titre III  du statut général des fonctionnaires (loi du 26 janvier 1984). Ces textes prévoient notamment que, tout au long de sa carrière, le fonctionnaire  peut être conduit à occuper différentes positions statutaires.
L’activité à temps plein ou à temps partiel
Dans cette position, l’agent est rémunéré par son employeur. Il bénéficie de l’ensemble des avantages liés à cette situation que sont les droits à l’avancement, la participation aux élections syndicales et les avantages sociaux.
Cette activité peut s’exercer dans différents postes successifs et auprès de différents employeurs publics.
L’agent reste également en position d’activité lors de congés pour cause de maladie, de congés annuels, de congés de formation professionnelle ou syndical ou s’il exerce un mandat syndical, dans le cadre d’une décharge de service.
Le détachement
Dans cette position, l’agent, à sa demande, est déplacé par son employeur hors de son cadre d’emploi d’origine. Il conserve ses droits à avancement et retraite dans son cadre d’emploi d’origine et il peut également avancer dans son cadre d’emploi de détachement.
La disponibilité
Dans cette  position, l’agent est placé hors de son administration ou service d’origine. Il cesse de bénéficier de ses droits au traitement, à l’avancement et à la retraite. Le fonctionnaire mis en disponibilité sur sa demande dispose en principe d’un droit à réintégration selon conditions. Il existe trois cas de disponibilité
- La disponibilité d’office qui est prononcée en cas d’inaptitude physique temporaire, à l’expiration d’un congé de maladie, de longue maladie ou de longue durée. Cette décision est prise pour 1 an maximum et renouvelable deux fois. À son expiration si l’agent n’a pu être reclassé, soit il est réintégré, soit mis à la retraite, soit s’il n’a pas droit à pension, licencié.
- La disponibilité sur demande et sous réserve de nécessité de service qui peut être accordée si la nécessité du service ne s’y oppose pas, et après avis des commissions paritaires. Cette disposition est étudiée en cas d’études et recherches d’intérêt général (3 ans maximum renouvelable une fois) ; pour convenances personnelles (3 ans maximum renouvelable mais limité à dix ans pour toute la carrière) ; pour la  création ou la reprise d’une entreprise ( 2 ans maximum).
- La disponibilité sur demande accordée de droit qui être accordée à l’agent pour donner des soins à son conjoint ou son partenaire (sous le régime du PACS), à un enfant ou un ascendant en situation de handicap (nécessitant la présence d’une tierce personne), en cas d’accident ou de maladie graves ; pour élever un enfant de moins de 8 ans ; pour suivre son conjoint ou le partenaire (sous le régime du PACS), astreint professionnellement à une résidence éloignée et au fonctionnaire qui exerce un mandat d’élu local.
La disponibilité est alors accordée pour une durée maximum de trois ans renouvelable ou pendant la durée du mandat de l’élu.
Le congé parental
Dans cette position, l’agent (mère ou père) est placé de droit hors de son administration d’origine pour élever son enfant de naissance ou d’adoption s’il n’a pas atteint l’âge de la fin de l’obligation scolaire.
Le congé de présence parentale (CPP)
Dans cette position, l’agent est placé de droit, et sur demande écrite, hors de son administration d’origine lorsque la maladie, l’accident ou le handicap graves d’un enfant à charge nécessite la présence de son père ou de sa mère.
Ce congé est d’une durée initiale de quatre mois au plus, prolongeable deux fois dans la limite d’un an.
Les activités dans la réserve opérationnelle
Dans cette position, l’agent est mis en congé. Il conserve son traitement lorsqu’il exerce une activité d’une durée inférieure ou égale à trente jours cumulés par année civile.

31 août 2013

Le droit individuel à la formation - CNFPT

http://www.cnfpt.fr/sites/default/files/logo.pngUn crédit-temps actionnable sur six ans
La loi du 19 février 2007 crée un droit individuel à la formation professionnelle (DIF). Le DIF concerne tous les agents territoriaux titulaires et non titulaires occupant un emploi permanent. Si l’agent est à temps partiel, le droit est calculé au prorata du temps de travail. Tout agent bénéficie chaque année d’un droit individuel de 20 heures de formation, cumulable sur 6 ans, dans la limite de 120 heures. Après avis du CTP, la collectivité employeur détermine si le DIF peut s’exercer en tout ou en partie pendant le temps de travail.
Modalités
La mise en œuvre du DIF relève de l’initiative de l’agent, en accord avec l’employeur. Dès que l’initiative est prise par l’agent, l’employeur a 2 mois pour lui notifier sa décision. Sans réponse de sa part dans ce délai, la demande de l’agent vaut acceptation. En cas d’accord de la part de la collectivité, une convention est signée entre l’agent et l’employeur. Une copie est adressée au CNFPT. Pour la réalisation de l’action de formation, la collectivité et l’agent peuvent choisir le CNFPT, d’autres organismes de formation ou en interne. En cas de désaccord pendant deux années successives, l’agent bénéficie d’une priorité d’accès aux actions de formation équivalentes organisées par le CNFPT.
A savoir
Tous les programmes de formation du CNFPT sont ouverts aux agents et aux collectivités au titre du DIF.
L’offre de formation du CNFPT est diffusée à toutes les collectivités sous forme d’un catalogue annuel. Il est consultable sur le site internet.
plaquette DIF

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