
"Ce n'est pas le financement de leur mobilité qui préoccupe nos étudiants - les bourses d'Etat y pourvoient largement - c'est la crainte que le temps passé à l'étranger ne les mette en retard dans leurs études."
Ce constat résulte d'une enquête menée conjointement par les agences suédoises, norvégiennes et finlandaises sur les motivations et les obstacles à la mobilité de leurs étudiants qui réclament plus de garanties avant de se risquer à un séjour Erasmus. En conséquence, les trois pays ont revu leurs méthodes de gouvernance et d'encadrement du programme Erasmus pour rassurer, encourager et faire augmenter les candidatures.
Ulf Hedbjörk, directeur de l'Unité Eurydice de l'Agence nationale suédoise était présent au séminaire inter-agences de Bordeaux organisé par l'agence, le 30 mai dernier. Il argumente sur les bienfaits de stratégies communes entre pays aux systèmes éducatifs proches.

"Tai nėra lėšų mobilumą mūsų studentai - stipendijas narė taip suteikti plačiai - tai baimė, kad laikas, praleistas užsienyje būtų juos už savo studijas." Daugiau...