29 mai 2013
Une nécessaire formation professionnelle complémentaire


Synchroniser formation et business

Formation et business s'accordaient bien, avant, au temps des frontières, du plein emploi et des taux de croissance réguliers. Un monde où il ne fallait pas improviser sans cesse, et où le plan de formation supportait le développement de compétences stables, prévisibles. L'idylle touche-t-elle à sa fin? Il semble que le business (les métiers) ait des velléités (non officiellement affichées) de "larguer" la formation, plus exactement: de faire sans le plan de formation. Un plan de formation qu'on a cessé de considérer comme une "vache sacrée". Ces jours seraient comptés, si l'on en croit les rumeurs bruissant autour de la nième réforme de la FPC en cours; avec lui le 0,9%… De quoi financer, par transfert, la formation des demandeurs d'emploi et autres parents pauvres de l'investissement dans le capital humain. Suite de l'article...

Formation professionnelle en France - état des lieux


À la découverte des Fongecif, du Faf-TT et du réseau national

Le document retrace l'histoire du CIF, issu de la loi Delors de juillet 1971, et des Opacif - organisme paritaire agréé gestionnaire du CIF- chargés dès 1983 de gérer les fonds qui sont dévolus au dispositif.
Le document brosse un éventail complet des missions, modes de financement de l'action des Opacif. Il est enrichi de statistiques sur les types de publics qui ont pu bénéficier des différents dispositifs.
Cet anniversaire devrait faire l'objet de plusieurs manifestations au cours de l'année 2013, dont une d'ampleur nationale au mois de novembre.
Lire le rapport (48 p.)

Contrat de génération - 75.000 emplois potentiels en Midi-Pyrénées

« Le Contrat de génération a été voulu par les partenaires sociaux, rappelle Catherine d’Hervé, la directrice régionale de la Direccte. Il a pour objet de permettre à un jeune d’entrer dans l’entreprise tout en maintenant dans l’effectif un senior. Il s’agit d’une mesure de solidarité intergénérationnelle, qui vise à organiser le transfert de compétences et cible deux publics particulièrement touchés par le chômage. » Ainsi, dans la région, les moins de 26 ans comptent pour 20% de l’effectif des demandeurs d’emploi, et leur nombre est en croissance de 10 points sur un an. « Il s’agit de la deuxième catégorie la plus touchée par le chômage après les seniors. Il faut également noter, que les jeunes sont ceux qui restent le plus longtemps sur le marché de l’emploi. » Au 1er janvier 2013, on comptait 36.000 demandeurs d’emploi de moins de 26 ans en Midi-Pyrénées. Suite de l'article...
