
Les objectifs premiers du gouvernement (voir le dossier de presse précisant les 20 mesures phares) sont "d'améliorer la réussite étudiante et relancer l'ascenseur social". C'est bien mais il aurait fallu à mon avis ajouter "motiver les jeunes en amont et mieux anticiper leurs aspirations et leurs potentiels pour les choix d'orientation, mieux imbriquer l'enseignement supérieur dans la vie économique et sociale, dans la vie active".
Le débat se polarise autour de l'introduction de cours en anglais, de la simplification de la cartographie des formations, les quotas pour les BTS et les IUT au bénéfice des bacheliers professionnels et technologiques, ou encore du regroupement en pôle spécialisés (concentration risquant de régionaliser les diplômes), ainsi que de la précarité des universités et des enseignants non traitée par la loi. Suite de l'article...
