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Formation Continue du Supérieur
14 avril 2013

Regards croisés sur la Validation des Acquis de l'Expérience

La Cellule Régionale Inter-Services de la Validation des Acquis de l’Expérience (CRIS-VAE), rattachée au Centre d’Animation et de Ressources de l’Information sur la Formation – Observatoire Régional Emploi Formation (CARIF-OREF) présente, dans le cadre de ses missions d’information, sa dernière publication « Regards croisés sur la Validation des Acquis de l’Expérience ».
Ce document illustre le vécu des candidats à différentes étapes du parcours VAE (le projet, l’obtention de la certification…) et permet de distinguer les bénéfices de la démarche pour l’individu, tant sur le plan professionnel que personnel.
Parmi les nombreux témoignages présents dans cette publication, il y a ceux qui ont un projet de validation des acquis comme Rose May, sans emploi: « J’ai travaillé durant douze ans dans le domaine de l’accueil en tant que responsable de caisse pendant lesquels j’ai développé une expérience professionnelle concernant l’accueil, le standard téléphonique[…] Etant très intéressée par cette nouvelle technique qui permet d’accéder à un diplôme, le formateur m’a orienté vers un Point relais conseil. Le fait d’entreprendre une démarche VAE est pour moi important, car ce serait pouvoir, avec une reconnaissance de mon expérience professionnelle, me positionner sur des emplois[…] »
Ou bien celui de Marie qui a obtenu le bac pro commerce  suite à sa démarche VAE:
« Je suis salariée en tant que vendeuse polyvalente. Ce qui m’a amené à faire la VAE, c’est pour pouvoir évoluer et valider mon expérience. Cela fait plus de vingt-trois ans que je travaille dans le commerce et 18 ans sur le poste actuel. L’accompagnement a été fait par Mme DUBOST. Cela s’est très bien passé. J’ai pu avancer grâce à elle. Au niveau du jury, il y avait quatre personnes. Ils m’ont posé des questions sur le commerce, sur ce que j’avais fait dans mon parcours professionnel, sur le langage commercial. J’ai su répondre. Le plus impressionnant c’est le jury, mais cela se passe bien. Je conseille aux gens, qui ont la possibilité, de faire une VAE ».
Pour voir d’autres témoignages, consulter le document dans l’espace téléchargement Regards croisés sur la Validation des Acquis de l'Expérience.

Tá Fostaíocht Oiliúna Réigiúnach Réadlann (CARIF-OREF), in - An Bailíochtú Aonad Réigiúnach Idir-Seirbhísí Taithí Faighte (VAE-Cris), ag gabháil leis an d'Beochan Ionaid agus Acmhainní Faisnéise ar Oiliúint Mar chuid dá aimsithe fíoras misean, a fhoilsiú is déanaí "Peirspictíochtaí ar Bhailíochtú Taithí Faighte."
Léiríonn an páipéar seo ar an taithí na n-iarrthóirí ag céimeanna éagsúla den turas (VAE tionscadal, a fháil deimhniúcháin...) agus is féidir idirdhealú a dhéanamh na buntáistí a bhaineann leis an gcur chuige don duine aonair, go gairmiúil agus go pearsanta. Níos mó...
14 avril 2013

Les Actes du séminaire "Les 10 ans de la VAE"

Le 31 octobre 2012 s’est déroulé, au Village Bienvenue de Sainte-Marie, le séminaire « Les 10 ans de la VAE 2002-2012 ». Suite à cette manifestation, la CRIS VAE (Cellule régionale inter-services de la validation des acquis de l’expérience) présente les actes du séminaire. Dans le cadre de la formation tout au long de la vie, la VAE, instituée par la Loi de modernisation sociale promulguée le 17 janvier 2002, est un droit individuel. La VAE permet à tout candidat d’acquérir une certification par la vérification et l’évaluation de son expérience professionnelle. Télécharger Les Actes du séminaire "Les 10 ans de la VAE".
TABLE RONDE 1 - De l’information conseil orientation à la Validation

Objectifs

La VAE permet d’obtenir tout ou partie d’une certification à finalité professionnelle sur la base d’une expérience professionnelle salariée, non-salariée (commerçant, conjoint/collaborateur, professions libérales, agriculteur ou artisan…) bénévole (syndicale, associative) et/ou élective, à condition que la certification visée soit en lien avec l’expérience. Depuis sa mise en oeuvre, 40 000 Réunionnais(es) sont venu(es) s’informer sur la VAE, 7 000 personnes ont obtenu une validation dont 4 000 validations totales et 3 000 validations partielles. S’engager dans une démarche de VAE représente pour la personne un investissement dans un parcours singulier organisé en plusieurs étapes et proposé par différents acteurs.
Fil conducteur Comme précisé dans le programme, « s’engager dans une démarche de VAE représente pour la personne un investissement dans un parcours singulier organisé en plusieurs étapes et proposé par différents acteurs, qui va de l’information conseil du futur candidat à la validation. » Par ailleurs, la VAE est un dispositif relativement récent mais également novateur dans le sens où il suppose l’articulation entre plusieurs rôles assez nouveaux tant en termes de fonction que de méthodologies d’intervention (information-conseil, accompagnement, jury de validation). Ce qui a supposé à la fois un effort de formalisation de tous les acteurs mais également le développement d’un professionnalisme permanent. Ces éléments constitueront le fil de questionnement de la table ronde (notamment pour permettre d’aller au-delà d’une simple présentation des activités de chacun):
• Au regard des expériences et rôles de chacun tels qu’ils ont été présentés, comment pourvous se construit, s’entretient et se développe le professionnalisme sur ces rôles très spécifiques?
• Quels enjeux et quelles modalités d’articulation des acteurs?
Tout cela dans une perspective de faciliter un engagement éclairé des personnes dans la démarche VAE.
Animateur Témoin Expert: André CHAUVET

Professionnel du conseil et de la formation, André CHAUVET intervient depuis plus de 20 ans dans la professionnalisation des acteurs de l’orientation et de l’insertion, du conseil et du bilan de compétences et l’aide aux organisations dans la gestion des changements (formation, management, stratégie de développement…).
Les participants
Fabiola LATCHIMY PECAULT- conseillère VAE en Point Relais Conseil à l’Etang Salé; Dany JUSTINE - conseiller à Proxima; Sabrina TRIVY - attachée technique à la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, référent et accompagnateur; Vanessa MARC - formatrice des accompagnateurs et des jurys pour les diplômes de l’animation, du sport, du social et paramédical; Sylviane ZIMMER - consultante à l’Afpar pilote d’une cellule technique de validation pour les diplômes techniques du ministère chargé de l’Emploi; Egine DIJOUX - régulièrement sollicitée comme jury VAE pour le titre de conseiller en insertion professionnelle; Jean-Claude BONNET - inspecteur d’académie et inspecteur pédagogique régional en charge des enseignants d’économie et gestion, responsable de la certification pour les bacs technologiques et les BTS tertiaires, souvent président de jury VAE.
Le débat
Dany JUSTINE :
Les candidats sont orientés vers nous par les SAO ou viennent de leur propre initiative. Notre rôle est de les aider à comprendre les différentes étapes du parcours qu’ils vont entreprendre et de leur donner les outils nécessaires puis de les orienter vers le service valideur. Nous menons avec eux une analyse approfondie de leur situation professionnelle qui les amènera à choisir une ou plusieurs certification(s) (maximum trois, à condition qu’elles ne soient pas dans le même registre de niveau auprès du même certificateur).
Cécile THOMAS : Cela ne doit pas être facile du tout pour l’usager de s’y retrouver dans toutes les certifications possibles!
Dany JUSTINE : Effectivement, d’autant qu’on a souvent des candidats qui ont des activités soit très spécifiques, soit très polyvalentes. Quelques-uns arrivent avec une idée préconçue et nous devons vérifier sa faisabilité.
Sabrina TRIVY : La Chambre de métiers est organisme valideur depuis 2006 pour les titres du niveau IV (BTM) au niveau III (bac +2). La Chambre de métiers est devenue Université Régionale des Métiers de l’Artisanat depuis l’année dernière. Notre public, ce sont essentiellement les artisans qui ont une pratique et une compétence mais la plupart n’ont pas de diplôme. Les salariés font plus rarement appel à nous. La phase d’information-conseil est très importante, il faut expliquer qu’il ne suffit pas de déposer un dossier, c’est tout un parcours… Nous mettons ensuite en place un contrat d’accompagnement pour les candidats qui restent toujours acteurs de leur dossier. Nous constatons qu’il y a beaucoup de difficultés pour eux à verbaliser leur expérience et le temps d’accompagnement est souvent dépassé. Pour la validation, nous formons nous-mêmes nos jurys, l’entretien avec le candidat est obligatoire, une mise en situation peut être demandée. Le coût de la démarche de VAE est assez élevé pour le candidat et il faudrait envisager une prise en charge, au moins partielle. Le chèque VAE annoncé par M. GRONDIN serait donc une bonne chose pour les salariés et les demandeurs d’emploi.
Cécile THOMAS : Vous insistez sur le fait que le candidat reste acteur de son dossier, est-ce que c’est bien perçu par lui?
Sabrina TRIVY :
C’est un point très important, il faut que le candidat comprenne que l’accompagnement est une aide méthodologique mais qu’en aucun cas nous n’allons faire le dossier à sa place. Vanessa MARC : Toujours sur l’accompagnement, je voudrais aborder la question de la méthodologie et celle de la posture de l’accompagnateur. La méthode d’accompagnement vise à faciliter la mise en mots du vécu du candidat. Il doit d’abord y avoir reconnaissance par le candidat lui-même de ses acquis. Or, nous n’avons pas une culture de la capitalisation des acquis tout au long de la vie d’où la difficulté du choix d’une méthode par l’accompagnateur. Sollicité par le candidat qui veut produire un « bon dossier », l’accompagnateur devient un médiateur entre l’expérience du candidat et le référentiel. Il va toujours se demander jusqu’où il peut intervenir dans la formalisation des acquis sans risquer d’induire sa propre expérience dans le dossier, voire de modifier celle du candidat pour qu’il se conforme à des critères de réussite….
Cécile THOMAS : C’est toute la difficulté de faire rentrer des parcours dans des cases!
Vanessa MARC : C’est d’autant plus difficile quand la réussite du candidat est un critère d’évaluation de la compétence de l’accompagnateur. Cela soulève la question de la professionnalisation de la fonction d’accompagnateur en VAE.
Sylviane ZIMMER : Pour la validation des titres professionnels du ministère chargé de l’Emploi, existent des spécificités. Outre la présentation d’un dossier d’analyse de la pratique professionnelle, le candidat VAE démontre ses compétences face au jury à l’occasion d’une mise en situation professionnelle nommée épreuve de synthèse. Ainsi pour l’accompagnement VAE pour ces certifications, le candidat rencontrera deux types d’accompagnateurs:
• les formateurs de la spécialité qui familiarisent le candidat VAE avec le plateau technique où se déroulera la mise en situation professionnelle,
• les psychologues du travail ou consultants qui apportent une aide méthodologique pour l’analyse de l’expérience pour renseigner le dossier et préparer l’entretien avec le jury.
Les compétences professionnelles sont de savoir agir et réagir dans des situations professionnelles complexes. Elles sont mobilisées dans le but de réaliser des activités et sont guidées par une intentionnalité. Les freins à la verbalisation d’un acte professionnel sont réels pour les candidats quelque soit leur niveau. Aussi, la professionnalisation des accompagnateurs a été d’apprendre à questionner quelqu’un sur ce qu’il a fait, juste pour comprendre la cohérence de l’action, et sans projeter sa propre subjectivité . Elle a porté sur les techniques d’entretien et d’explicitation qui nécessitent un réel apprentissage et de créer une alliance de travail. L’objectif est atteint lorsque le candidat VAE prend conscience et redécouvre ce qu’il a fait dans la situation et quand il va au-delà des évidences et redécouvre sa logique d’action et surtout son point de vue de professionnel. Les axes de progrès à développer pour améliorer ce dispositif VAE : développer les opportunités pour les candidats qui ne seront validés que partiellement pour lui permettre d’acquérir les compétences manquantes en facilitant des allers retours emploi formation dans l’esprit de la loi de la formation tout au long de la vie.
Egine DIJOUX : Le jury se compose de deux personnes. Il étudie le dossier du candidat en relation avec le référentiel, participe à une mise en situation professionnelle du candidat et s’entretient avec lui. L’attitude du membre du jury doit être neutre, bienveillante et faciliter l’expression des compétences du candidat. Il doit avoir du recul par rapport à sa propre pratique qui peut être différente de celle du candidat. La mise en situation se fait en général sur le lieu de travail du candidat. Dans le cas des conseillers en insertion professionnelle qui ont un entretien réel avec un tiers, le candidat peut ne pas être très à l’aise, tout comme le jury d’ailleurs. Il y a ensuite un débriefing. L’entretien final est un moment d’échange qui évoque le parcours professionnel du candidat avec ses points forts et ses axes de progrès. Vient ensuite la délibération.
Cécile THOMAS : Comment devient-on jury ? Egine DIJOUX : J’étais formatrice de conseiller en insertion professionnelle et, assez naturellement, on m’a sollicitée.
Jean-Claude BONNET : Le parcours des candidats est souvent très complexe et très long et les membres du jury doivent bien comprendre que les personnes qu’ils ont en face d’eux ne sont pas des étudiants ou des élèves. Chez nous, le jury est composé de trois enseignants spécialement formés et au moins un professionnel. Le référentiel n’est pas celui qu’on utilise pour les étudiants mais un référentiel beaucoup plus général adapté au contexte professionnel. L’audition des candidats n’est pas obligatoire mais à La Réunion, nous avons décidé d’auditer tous les candidats au BTS. En effet, le dossier fourni par le candidat est déclaratif et le candidat peut avoir été largement aidé par quelqu’un d’autre. Il s’avère que certains candidats ont un dossier peaufiné mais ne sont pas à même de répondre aux questions du jury tandis que d’autres, avec un dossier médiocre, se révèlent à l’entretien. Les motivations du candidat à la VAE sont très diverses et le jury n’a pas à les demander. Il ne doit pas non plus « faire du social », même face à des situations difficiles. Il s’agit uniquement de la reconnaissance de compétences professionnelles acquises. Le jury peut décider la validation totale, ne rien valider ou valider de façon partielle. Quand il n’y a pas validation c’est souvent que le candidat s’est fourvoyé, son dossier relevant plutôt du bac pro que du BTS et le jury doit le dire au candidat. En cas de validation d’une seule unité de valeur, il y a le plus souvent abandon. En revanche quand 3 ou 4 unités de valeur sur 6 sont obtenues, le candidat est encouragé. Il serait bon d’avoir un suivi de ces personnes qui ont eu une validation partielle et de leur proposer des formations complémentaires.
Dany JUSTINE : Après la délibération des jurys nous reprenons contact avec l’ensemble des candidats, y compris ceux qui ne sont pas passés devant le jury. Nous voyons avec eux ce qu’ils pourraient faire, en leur montrant que, de toute façon, ils ont acquis une nouvelle compétence, celle de pouvoir mieux expliquer leur activité.
André CHAUVET : Ces échanges montrent bien l’investissement exceptionnel des acteurs de la VAE. Ils rappellent aussi le problème bien connu de la lisibilité du dispositif et le risque de désengagement de l’usager. Mais je ne crois pas que la simplification soit possible. Il nous faut simplement trouver des amortisseurs de la complexité. L’autre problème est la non-automacité de la certification qui peut dérouter l’usager. Par ailleurs, apprécier une expérience individuelle à la lumière d’un référentiel reste une démarche difficile. Il y aura toujours de la subjectivité qui peut générer de l’opacité aux yeux de l’usager. Il nous faut, d’une manière générale, progresser collectivement dans la capitalisation des savoirs pour réduire l’épaisseur de la subjectivité. Actuellement, si vous demandez à un maçon comment il monte un mur votre question lui paraît totalement aberrante alors qu’il ne travaille pas au hasard, il obéit à des règles mais elles ne sont pas formalisées.
TABLE RONDE 2 - Le regard de l’entreprise sur la VAE

Objectifs
Pour l’entreprise comme pour les salariés, la VAE représente un véritable enjeu, si elle s’inscrit dans un projet collectif d’entreprise et dans une dynamique territoriale. Une étude conduite au mois de juin dernier sur l’île de La Réunion auprès de dirigeants d’entreprises et de structures d’accompagnement des entreprises confirme ces hypothèses:
• la VAE répond à un besoin des salariés;
• la VAE constitue un axe stratégique de développement pour les dirigeants d’entreprise qui ont une sensibilité RH;
• la VAE accompagne l’émergence du dialogue social;
• la VAE, à l’initiative de l’entreprise, peut être couplée à une démarche de GPEC;
• la VAE s’inscrit dans la sécurisation des parcours professionnels.
Quels gains pour l’entreprise et quels leviers à utiliser pour s’inscrire dans une relation gagnant/gagnant entre salariés et entreprises? Suite...
TABLE RONDE 3 - La VAE comme outil de sécurisation des parcours
Objectifs
Avant la parution de la Loi de Modernisation sociale du 17 janvier 2002, 60% de la population active à La Réunion ne possédaient pas le premier niveau de certification (30% en métropole). Dix ans après, ce taux de non certifié a diminué de plus de 20 points à La Réunion comme en métropole.
Pour les publics de premier niveau de qualification, la non maîtrise de compétences clés représente encore aujourd’hui un obstacle à leur insertion ou à leur maintien dans l’emploi. Pour l’entreprise, le développement des compétences de ses salariés est également un enjeu de maintien dans l’emploi et de développement de sa compétitivité. Comment apporter aux entreprises et aux salariés des réponses innovantes et efficaces en termes de sécurisation des parcours?
Télécharger Les Actes du séminaire "Les 10 ans de la VAE".

31 October 2012 was held at the Village Welcome Sainte-Marie, the seminar on "10 years of VAE 2002-2012." Following this event, the CRIS VAE (cell inter-regional services to the validation of acquired experience) presents the proceedings of the seminar. As part of the training throughout life, VAE, established by the Social Modernization Law promulgated on 17 January 2002, is an individual right. VAE allows any candidate to acquire a certification audit and evaluation of professional experience. More...

14 avril 2013

Conseil régional de Bourgogne: Mise en place du Conseil en évolution professionnelle

C2R Bourgogne : Travail Emploi Formation en BourgogneConseil régional de Bourgogne: Mise en place du Conseil en évolution professionnelle
Ce nouveau service gratuit, accessible à tous les salariés bourguignons, a été mis en place pour favoriser leur mobilité, leur évolution professionnelle et pour sécuriser leurs parcours. Il permet aux salariés de bénéficier, en dehors du cadre de l'entreprise, d'entretiens confidentiels pour réfléchir à leurs parcours professionnels. Ce service s'inscrit dans le cadre du Plan pour les continuités professionnelles signé en mars 2012 par la Région, l'Etat et les partenaires sociaux.

Pour en savoir plus et connaître les lieux d'accueil: http://www.region-bourgogne.fr/.

C2R Burgúine Burgúine Oiliúna Fostaíochta Saothair Comhairle Réigiúnach na Burgúine: Cur i bhfeidhm na Comhairle forbairt ghairmiúil. Bunaíodh an tseirbhís nua seo saor in aisce, rochtain ag gach fostaí Burgúine, suas a chur chun cinn a soghluaisteacht d'fhorbairt gairme, agus chun a gcúrsa a dhaingniú. Níos mó...
14 avril 2013

Licences pro, sésame pour l’emploi

Par Scripto Sensu pour le GIP Alfa Centre. La région Centre offre une soixantaine de licences professionnelles adaptées au marché du travail, dans les filières traditionnelles ou émergentes.
L’entreprise au cœur de la formation
«Portée par les fédérations patronales, la licence professionnelle est née de tables rondes avec plus de 450 entreprises régionales, indique Jean-Noël Blanchard, directeur des études du département Génie thermique et énergie (GTE) à l’IUT d’Orléans. Ce diplôme de niveau bac + 3 répond aux attentes des professionnels et les fait aussi intervenir comme formateurs et donc acteurs de la formation. Elle permet ainsi d’être en phase avec les besoins industriels.». La réglementation impose en effet que 25% de la formation soit assurée par des professionnels.
Après un Bac + 2 ou en formation continue

«Je ne voulais pas faire de longues études d'ingénieur et ne voulais pas non plus m'arrêter au niveau de technicien bac +2. La licence pro m’est apparue comme un bon compromis, me permettant notamment d’être cadre et de gérer une équipe.», se réjouit Anthony Violon, étudiant en licence professionnelle «Expertise énergétique, bâtiments et systèmes industriels» (EEBSI). Les licences pro dotées d’une vingtaine de places par an sont accessibles sur dossier après un DUT, un BTS, une licence 2, ou par une procédure de validation des acquis, dans le cadre de la formation initiale ou continue. «En une année de formation, j'aurai réussi ma reconversion dans un secteur en pleine croissance», explique Bruno Bugelli, 49 ans, lui aussi étudiant en licence professionnelle EEBSI.
En alternance ou en stage long

« L’expérience professionnelle en licence pro s’acquiert le plus souvent en alternance via un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation d’un an. Une minorité seulement d’élèves choisissent de faire un stage long (5 mois) en choisissant la voie de la formation initiale », ajoute Olivier Follain, responsable de la licence professionnelle EEBSI. La formation allie l’acquisition de connaissances techniques et réglementaires à la pratique sur des dispositifs et cas d’études issus du monde professionnel. «C’est un diplôme terminal qui ne prépare pas à la poursuite d’études, précise Jean-Noël Blanchard. En ce sens, la licence professionnelle EEBSI affiche un taux d’embauche de 93%».
L’Onisep Centre vient de publier le 1er guide des licences professionnelles en région. Consultable en ligne, ce document répertorie les licences habilitées pour la rentrée 2012 dans les universités d’Orléans et François Rabelais de Tours. Pour chaque licence une fiche descriptive indique les conditions d’accès, les débouchés et l’établissement de préparation.
Liens utiles:

Le guide des licences professionnelles en région Centre.
Le site du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche.
By Scripto Sensu for GIP Alfa Centre. Centre region offers a sixty professional licenses adapted to the labor market, in traditional and emerging sectors.
The company at the heart of training
"Driven by the federations, professional license is born of roundtables with more than 450 regional businesses, says Jean-Noël Blanchard, director of studies department Thermal Engineering and Energy (GTE) to the IUT d'Orléans. More...
14 avril 2013

L'apprentissage, c'est aussi pour les élèves du supérieur

 Sur les 23000 jeunes en apprentissage en région, 3500 suivent des études supérieures.L'apprentissage, ce n'est pas seulement pour les métiers manuels, cela concerne aussi l'enseignement supérieur. Ingénieurs, comptables, communicants, ils sont de plus en plus nombreux à réaliser leurs études supérieures en alternance, à l'école et en entreprise. En région, Formasup milite pour la promotion de cette voie royale pour intégrer le monde de l'entreprise. Voir la suite...
14 avril 2013

4e rencontres interrégionales Céreq Dares Intercariforef

diap2Mutations économiques et environnementales dans les territoires - Enjeux et opportunités pour l’emploi et la formation?
Le réseau des Carif-Oref, le Céreq, la Dares organisent leurs 4èmes rencontres le 6 juin 2013 à l'Université de Rennes - Faculté des Sciences économiques - Bâtiment 2 - 7 place Hoche - Rennes.
Au programme:

- une conférence sur les outils d'analyse, d'évaluation et d'accompagnement aux niveaux européen, national et sur les territoires,
- une table ronde portant sur les regards croisés sur l'emploi, les métiers et les compétences de demain,
- des ateliers sur différentes thématiques.
Le site des 4es rencontres.

diap2Programme
8h30     ACCUEIL

M. David ALIS, Vice-Président du Conseil d'administration de l'Université de Rennes I
8h45      OUVERTURE DES 4ES RENCONTRES

M. Michel CADOT, Préfet de région
M. Pierrick MASSIOT, Président du Conseil régional de Bretagne
9h15      CONFERENCE - Quels outils d'analyse, d'évaluation et d'accompagnement aux niveaux européen, national et sur les territoires?
Aline BINGEN, Université de Bruxelles
Dominique BONNANS, Datar
Gwenaëlle HAMON, Rennes métropole
11h15     TABLE RONDE: Regards croisés sur l'emploi, les métiers et les compétences de demain

Pierre RAMAIN, DGEFP
Alain ÉVEN, Céser de Bretagne
Stéphane HOCQUET, Commissariat général au développement durable (CGDD)
Georges ASSERAF, Commission nationale de la certification professionnelle (CNCP)
Claudine HÉBERT, Aract Bretagne
Conseil Régional de Bretagne
12H00      GRAND TEMOIN - Mme Emmanuelle WARGON, Déléguée générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP)

14h00     ATELIERS THEMATIQUES (en parallèle)
1.    Secteurs d'hier, filières de demain? Quel fonctionnement économique des territoires dans la recomposition organisationnelle?

Animateur : Patrick CROSNIER, Direccte Languedoc-Roussillon
- L'automobile: territoires et filières de demain en Bretagne,  Philippe BAUDRY et Gaël GUEGAN, Conseil régional de Bretagne
- Mutations de l'emploi dans la chimie, de l'agriculture à l'industrie,  Samuel BELLOT, Carmée Picardie
- Une nouvelle filière créatrice d'emplois : les Énergies marines renouvelables (EMR),  Gérard PODEVIN, Centre associé Céreq de Rennes
2.    Mutations économiques et sociétales: les services à la personne (SAP) Des modes de développement différenciés selon les territoires

Animateur : Saïd ADJERAD, Direccte Haute-Normandie
- Professionnalisation dans les services à la personne et emploi en Basse-Normandie, Catherine Clément, Direccte Basse-Normandie  et Hélène Rammant, Errefom-Carif Oref Basse-Normandie
- Le profil à géométrie variable des nouveaux services à la personne handicapée, Laure GAYRAUD, Centre associé Céreq de Bordeaux
- Professionnalisation et qualification de l’aide à domicile en Bretagne: Un dispositif original, Vincent BOURDIN, GREF Bretagne et Thérèse BOISDRON,  Convention de qualification de l'aide à domicile
3.    Anticipation territoriale emplois et compétences

Animateur : Christophe GIRARDEAU, ARFTLV Poitou-Charentes
- GPEC territoriale, une démarche expérimentale aux finalités multiples, Stéphane MICHUN, Centre associé Céreq de Montpellier
- Anticiper les mobilités professionnelles: le rôle du Carif Oref Bourgogne dans une démarche de l'Agefos PME, Guy SAPIN, C2R Bourgogne  et Pascal SAMSON, Agefos PME (Bourgogne Franche-Comté)
- Évaluation des EDEC en Limousin: bilan et perspectives, Axelle FRUCTUS et Myriam VACHEYROUX, Direccte Limousin
4.    Les publics face aux mutations  Quelles opportunités d'emplois pour les publics?

Animatrice : Céline VIVENT, Centre associé Céreq de Caen
- Les retombées professionnelles et personnelles de la VAE, Karim MOUHALI, Direccte Aquitaine
- L'économie verte, une opportunité pour l'emploi des femmes?, Isabelle BOISSEAU, ORM PACA
- Les jeunes diplômés du supérieur face aux difficultés d'accès à l'emploi, Nathalie BOSSE, Centre associé Céreq de Grenoble
16h00     CONCLUSION

Antoine MAGNIER, Directeur de la Dares, Alberto LOPEZ, Directeur du Céreq, Vincent MERLE, Président de l'association du réseau des Carif Oref.
Télécharger l'invitation et le programme.
Voir sur le blog Les journées du Réseau des Carif-Oref des 27 et 28 septembre - publication du corpus (Consulter le corpus), 3e rencontres interrégionales Céreq Dares Intercariforef, Rencontres inter-régionales des Carif-Oref - Forte mobilisation du réseau, Rencontres inter-régionales des Carif-Oref, Parcours en formation et en emploi - Quels enseignements pour l'action, 3èmes Rencontres Interrégionales Céreq - Dares - Inter Carif Oref, Rencontres nationales Intercarif-Oref 2010, Rencontres inter-Carif/Oref à Cassis, Rencontre annuelle du réseau des Carif-Oref 2009.

diap2 Athruithe eacnamaíocha agus comhshaoil ​​i gcríocha - Dúshláin agus deiseanna fostaíochta agus oiliúna?
An CARIF líonra - OREF, Céreq, dares a eagrú a gcruinniú 4th Meith 6, 2013 ag Université Rennes de - Dámh na hEacnamaíochta - Hoche Tógáil Áit 2-7 - Rennes. Níos mó...
14 avril 2013

5 fois plus de certifications inscrites au Rncp en dix ans

En 2002, la liste d'homologation à laquelle s'est substitué le Rncp, comportait environ 1 600 titres et diplômes. Aujourd'hui près de 8 000 certifications sont consultables en ligne. Ces données sont issues du rapport d'activité 2012 de la Cncp.
Le plus gros pourvoyeur de certifications reste en 2012 l’Enseignement supérieur (2 966), suivi de l’Éducation nationale (764), les titres du ministère de l’Emploi (396), les titres d’ingénieurs (337) et les titres du ministère de l'Agriculture (218). Les niveaux II, III et I sont en tête des demandes d’enregistrement. Sur 558 demandes d'enregistrement au Rncp, 446 ont reçu un avis favorable.
Voir le rapport.

In 2002, the list of which approval has been replaced by NCPR, included about 1,600 degrees and diplomas. Today, nearly 8,000 certifications are available online. These data come from the 2012 activity report of the CNCP. More...
14 avril 2013

Les compétences acquises dans le cadre non formel: questions pour l’entreprise, questions pour l’école ?

http://www.injep.fr/skel/graph/banniere_23.jpg"Les compétences acquises dans le cadre non formel: questions pour l’entreprise, questions pour l’école ?"
Entreprises et acteurs éducatifs réunis pour débattre sur la notion de compétences
Á l’occasion de la parution du Jeunesses: études et synthèses n°12 intitulé « La notion de compétences: clarifier le concept, en mesurer les enjeux », l’Injep organise une conférence-débat le mercredi 10 avril à 17h à Paris (9e).
L’approche par compétence s’est d’abord imposée dans le monde de l’entreprise. L’école s’y intéresse et a mis en place un socle commun de compétences que chaque enfant doit acquérir dans le cadre de son cursus scolaire. Dans le secteur de l’éducation non formelle, c’est-à-dire du développement d’activités à finalité éducatrice en dehors du cadre scolaire, il a d’abord été posé à travers la question de la validation des acquis de l’expérience (VAE) mais aussi du Youth Pass (passeport de compétence mis en place dans le cadre du programme européen « Jeunesse en action » administré en France par l’Injep). Cette approche a été aujourd’hui intégrée et suivie par l’Union européenne qui lançait l’Europass dès 2004.
Au-delà des convergences, tous ces acteurs n’ont pas forcément la même approche de la notion de compétence, et ne donnent pas le même sens et la même finalité à ce mot. L’entreprise n’est pas toujours reconnue comme acteur éducatif, l’éducation nationale reste très attachée aux approches par discipline et les acteurs de l’éducation non formelle et de l’éducation populaire entendent encore autrement la notion de compétence.
L’Injep a engagé un travail de clarification autour de toutes ces questions et plus particulièrement de l’acquisition de compétences dans le cadre non formel et associatif. Ce travail a été mené avec des acteurs de l’éducation populaire ainsi que des collectivités. Il a fait l’objet d’une première synthèse avec le numéro 12 du Jeunesses: études et synthèses. Au travers cette conférence, il s’agit de mettre cette notion en débat avec des acteurs de l’entreprise et de l’école.
Au programme

    Olivier Toche, directeur de l’Injep
    Delphine Lalu, directrice de la RSE et des Fondations, AG2R La Mondiale
    Elise Renaudin, directrice déléguée de l’AFEV
    Coline Vanneroy, directrice générale d’ANIMAFAC
INTERVENANTS

    Régis Cortesero, chargé d’études et de recherche à l’Injep
    François Humblot, Conseil en recrutement, Grant Alexander Executive Search et Président de Syntec Etudes & Conseil et administrateur de Syntec Conseil en Recrutement
    Jean-Michel Zakhartchouk, membre du comité de rédaction de la revue « Les Cahiers Pédagogiques » , professeur agrégé de lettres modernes, enseignant en ZEP, auteur de l’ouvrage « Travail par compétences et socle commun » au Sceren
DISCUTANTS

    Claire Nacher, chargée de l’insertion professionnelle des diplômés à l’Université Sorbonne Nouvelle Paris 3
    Taoufec N’Hiri, de Mozaïk RH, cabinet de recrutement et conseil en ressources humaines
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http://www.injep.fr/skel/graph/banniere_23.jpg "Na scileanna a fuarthas i gcúinsí neamhfhoirmeálta: ceisteanna gnó, saincheisteanna do scoil?"
Gairmithe gnó agus oideachais le chéile chun plé a dhéanamh ar choincheap na inniúlachta. Níos mó...
14 avril 2013

Conditions de travail, organisation du travail et usages des TIC selon les métiers - nomenclature des familles professionnelles

Centre d'analyse stratégique logoPar Tristan Klein et Kim Long. Conditions de travail, organisation du travail et usages des TIC selon les métiers - Une exploitation de l’enquête Conditions de travail
Résumé

En utilisant les enquêtes Conditions de travail 1998 et 2005 réalisées par la Dares, cette étude élabore une cartographie des conditions de travail sur l’ensemble des métiers à l’aide de la nomenclature des familles professionnelles (87 FAP). Ces conditions de travail sont décomposées en quatre grandes dimensions: conditions physiques, nuisances et expositions aux risques professionnels, conditions horaires, rythmes de travail et marges de manoeuvre, et charge émotionnelle. En termes de méthode, les statistiques descriptives sont confrontées aux travaux existants – essentiellement qualitatifs – et mises en regard d’analyses, toutes choses égales par ailleurs, pour déterminer l’effet du métier sur ces conditions de travail, parmi d’autres caractéristiques de l’emploi occupé. Enfin, une tentative d’analyse des relations entre conditions de travail et attractivité des métiers est proposée au travers des indicateurs de tensions sur le marché du travail et des enquêtes Besoins de main-d’oeuvre (BMO). Ces travaux sont complétés par deux analyses plus succinctes du positionnement des métiers en termes de technologies de l’information et de la communication (TIC) et d’organisation du travail.
La nomenclature des familles professionnelles (FAP)
Les métiers sont analysés ici à travers la nomenclature des familles professionnelles (FAP), mise au point par la Dares. Les familles professionnelles permettent de rapprocher deux nomenclatures: les « Professions et Catégories Socioprofessionnelles » (PCS) utilisées pour coder les professions exercées dans les enquêtes de la statistique publique, et le « Répertoire opérationnel des métiers et des emplois » (ROME) élaboré par Pôle emploi pour coder les offres et les demandes d’emploi. En rapprochant ces deux nomenclatures, la nomenclature des FAP permet de répondre aux besoins d’analyse de l’emploi et du chômage par métier.
« La PCS repose sur la différenciation du statut et de la catégorie socioprofessionnelle, il s’agit d’apprécier la profession des personnes à des fins d’études économiques et sociales. Le ROME s’appuie sur le contenu du travail, les savoirs et le savoir-faire, dont la logique opérationnelle est de faciliter le placement des demandeurs d’emploi. Le rapprochement entre ces deux nomenclatures effectué par les FAP repose donc sur des compromis pragmatiques entre ces deux logiques » (Dares, 1999, p.8). La nomenclature des FAP permet ainsi une identification des métiers par les gestes professionnels et le contenu concret du travail. En l’utilisant, on s’écarte donc des analyses traditionnelles fondées sur le statut de l’actif occupé, une même FAP pouvant regrouper des indépendants et des salariés.
Les FAP 2009 comprennent 22 domaines professionnels qui eux-mêmes se désagrègent en 87 familles professionnelles et 225 familles professionnelles détaillées. Les FAP sont donc des regroupements de métiers et diffèrent des secteurs d’activité, fondés sur l’activité principale de l’entreprise.
La nomenclature des familles professionnelles 2009 sera utilisée pour rendre compte des conditions de travail en 2005 et de leur évolution depuis 1998. D’une part, un travail spécifique a été réalisé pour cerner au mieux le contour des FAP 2009 dans l’enquête Conditions de travail 1998. D’autre part, le choix a été fait de rester au niveau des familles professionnelles regroupées en 87 positions pour faire une étude à un niveau relativement détaillé et mener des analyses statistiques sur un nombre suffisant d’observations par métier, ce que n’aurait pas permis l’adoption de la nomenclature en 225 positions.
Toutefois, à ce niveau d’agrégation la nomenclature en 87 positions peut faire apparaître des problèmes d’hétérogénéité au sein même de certaines FAP et constituer un niveau d’analyse trop grossier pour l’analyse des conditions de travail. Par exemple, les opérateurs de centres d’appels, largement étudiés par la littérature (Buscatto, 2002; Béraud et al., 2009), ne peuvent être distingués à ce niveau d’agrégation: ils sont classés parmi les vendeurs (R1Z) comme téléconseiller et télévendeur (R1Z67). Parfois, c’est l’approche statistique globale elle-même qui ne permet pas de rendre visible les pénibilités auxquelles font face certaines professions, par exemple les éboueurs (Volkoff, 2006).
Par ailleurs, pour les familles professionnelles qualifiées de « transversales » comme les cadres commerciaux et technico-commerciaux ou les secrétaires (Lainé, 2011), l’analyse par FAP peut avoir des difficultés à saisir les différences liées, entre autres, à la diversité des secteurs d’activité et des tâches effectuées qui existent au sein de ces métiers.
Centre d'analyse stratégique logo By Tristan Klein and Kim Long. Working conditions, work organization and use of ICT by the business - An exploitation of the Working Conditions Survey
Summary
Using surveys Working Conditions 1998 and 2005 conducted by DARES, this study develops a mapping of working conditions on all businesses using the nomenclature of professional families (87 PF). More...
14 avril 2013

Atelier de travail « Présentation de 3 outils à la disposition des professionnels»

cariforefAtelier de travail « Présentation de 3 outils à la disposition des professionnels»
Dans le cadre de l`évolution de sa base de données formation, le CARIF-OREF Guadeloupe a souhaité organiser un atelier de travail en direction des professionnels de l'orientation, de la formation, de l'insertion et de l'emploi en Guadeloupe sur les outils mis à leur disposition.
Cet atelier animé par le CARIF en collaboration avec Guy FERLAY, chargé de mission ONISEP, vise à présenter 3 outils à la disposition des professionnels de l'orientation, de l'insertion, de la VAE et de l'emploi.
AU PROGRAMME

• Le site du réseau des Carif-Oref: www.intercarif.org,
Exemples de recherches d'action de formation continue par domaine, par niveau, par métier,
Exploitation des résultats, exports au format Excel pour la réponse aux mails,
• La base de données Certif Info www.certifinfo.org: le référentiel documentaire des certifications actives ou abrogées,
• L'Atlas de la formation initiale de l'Onisep.
Nous vous invitons à participer à l’atelier de travail: « Présentation de 3 outils à la disposition des professionnels»  qui se tiendra le 17 avril 2013 à partir de 9h00 à l’amphithéâtre de la Cité des métiers.
Veuillez confirmer votre participation en complétant le formulaire: https://docs.google.com/.
cariforef Ceardlann "Cur i láthair 3 huirlisí atá ar fáil do dhaoine gairmiúla"
Mar chuid de `a athrú oiliúna bunachar sonraí, ba mhian CARIF-OREF Guadalúip a eagrú ceardlann i dtreo treoir ghairmiúil, oiliúna, comhtháthú agus fostaíocht i Ghuadalúip na huirlisí atá ar fáil dóibh. Níos mó...
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