La Région dématérialise les demandes d'aide économique aux entreprises
A partir du 2 mai 2013, un dossier unique de demande d'aide économique aux entreprises sera mis en ligne sur le site de la Région (en lien dans chaque mesure concernée). La Région n'acceptera plus aucun dossier papier à compter de cette date. Un seul dossier ainsi que les pièces justificatives dématérialisés permettront de répondre sur un projet global d'entreprise recouvrant plusieurs volets d'investissement, de formation ou d'exportation.
Le dossier devra être déposé au nom de l'entreprise et prendra en compte l'ensemble des besoins de l'entreprise en lien avec les dispositifs CORDEE, CORDEFOP, CASI, les chèques Relocalisation et Formation des dirigeants d'entreprises (voir ces dispositifs dans notre guide des aides aux employeurs).
Ón 2 Bealtaine 2013, beidh iarratas amháin ar chúnamh eacnamaíoch do ghnólachtaí a chur sa phost ar an suíomh gréasáin Réigiún (nasctha i ngach beart lena mbaineann). An réigiún a thuilleadh glacadh le haon chomhad páipéir tar éis an dáta sin. Níos mó...
Avec le VIE, simplifiez-vous les ressources humaines à l'international
Depuis la création du V.I.E en 2000, plus de 35 000 jeunes ont été envoyés à l’étranger pour le compte de plus de 4 000 entreprises dont 68% de PME.
Vous souhaitez renforcer vos équipes localement avec de jeunes talents, dynamiser votre réseau à l’export ou consolider vos parts de marché?
Le V.I.E, Volontariat International en Entreprise, permet aux entreprises de droit français de confier à un jeune, homme ou femme, âgé de 18 à 28 ans, une mission professionnelle à l’étranger durant une période modulable de 6 à 24 mois, renouvelable une fois dans cette limite. La formule du V.I.E est gérée, pour le compte de l’État, par UBIFRANCE, l’Agence française pour le développement international des entreprises.
Vous pouvez confier tout type de mission aux Volontaires: commerciales ou techniques, les missions sont décidées par l’entreprise: études de marchés, prospection, renforcement d’équipes locales,…
Vous êtes exonérés des démarches liées à la gestion du personnel à l’international
La gestion administrative et juridique du V.I.E est déléguée à UBIFRANCE qui s’occupe pour vous des aspects contractuels, du versement des indemnités et de la protection sociale du volontaire. Vous pilotez bien sûr en direct son activité opérationnelle.
Vous pouvez choisir votre V.I.E dans le vivier du civiweb.com
UBIFRANCE met à votre disposition en permanence un vivier riche de très nombreux candidats aux profils et formations très variés, ayant souvent une première expérience de l’international. Identifier le bon profil à l’aide de la base de données des candidats.
UBIFRANCE peut vous aider à trouver un profil spécifique: des chargés de recrutement V.I.E, spécialisés par métiers, pourront vous accompagner dans votre recherche de candidats et sélectionner avec vous les profils adaptés à vos attentes.
Vous bénéficiez d’avantages financiers
Les dépenses liées au recours à un V.I.E sont éligibles au Prêt pour l’Export (PPE) d’OSEO, le budget V.I.E est intégrable dans une assurance prospection COFACE. Le recours à un V.I.E ouvre droit au crédit d’impôt export, mesure destinée aux PME qui engagent des dépenses de prospection commerciale afin d’exporter. Dans certains cas, les entreprises peuvent bénéficier d’aides régionales qui offrent la prise en charge partielle du coût du V.I.E. dans de nombreuses régions françaises.
Solutions PME-PMI
Pour que l’accès à la formule V.I.E soit le plus simple possible, UBIFRANCE met en place des solutions d’accompagnement adaptées aux problématiques des PME.
• UBIFRANCE vous propose des solutions d’hébergement professionnel: portage par des grands groupes, au sein du réseau consulaire, des bureaux UBIFRANCE ou parrainage par les Conseillers du Commerce Extérieur de la France.
• La formule du temps partagé vous permet de bénéficier d’un V.I.E tout en partageant ses services et son coût avec d’autres entreprises, de votre filière professionnelle ou de votre région.
• Des organismes fédérateurs par ailleurs proposent aux PME de se regrouper autour d’un V.I.E à temps partagé en favorisant le rapprochement d’entreprises ayant un projet sur la même destination.
Comment faire une demande de V.I.E?
Contactez nos conseillers au n° AZUR 0 810 659 659 (prix d’un appel local) ou par email à infoVIE@ubifrance.fr. Ils vous présenteront les modalités de mise en place d’une mission V.I.E et vous accompagneront dans la définition de votre projet et la recherche d’un candidat. [publiredactionnel].
Décryptage de la fonction développement durable
Quelques 10 ans après l’apparition des premiers directeurs du développement durable, 83% des entreprises du SBF 120 sont désormais dotées d’une direction du développement durable (parmi lesquelles l’ensemble des entreprises du CAC 40). Cette évolution atteste de la volonté des entreprises de véritablement institutionnaliser leur démarche de développement durable.
Reporting et support
Le cœur de l’activité des directions du développement durable est constitué par le reporting interne et externe (pour 81% des répondants) mais également par le support aux directions fonctionnelles et opérationnelles (70%). En matière de reporting, la direction du développement durable s’attache principalement à la définition de données sociales, sociétales et environnementales liées à l’activité de l’entreprise. A noter que le recrutement de personnes supplémentaires au sein d’une direction de développement durable a pour vocation de muscler le processus de reporting (amélioration de la fiabilité́ des données et de la qualité́ de la communication externe) et de renforcer le travail de sensibilisation en interne. Suite de l'article...
Projet de loi relatif à l’Enseignement supérieur et à la Recherche: des conséquences préoccupantes
Quels objectifs pour l’Enseignement supérieur et la Recherche?
La loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU) votée en 2007 constituait un réel progrès et créait une dynamique nouvelle en concrétisant le principe d’autonomie des établissements. Elle les dote en effet d’une gouvernance crédible qui leur permet de gérer leur masse salariale et de se regrouper si nécessaire au sein de pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES). Cinq ans après sa mise en œuvre, une évolution législative est certes nécessaire, tant pour amender la loi LRU que pour engager une deuxième phase dans la « longue marche vers l’autonomie » afin de permettre à nos établissements les plus performants d’aborder la compétition internationale à armes égales et non avec des boulets aux pieds.
Un projet de loi relatif à l’Enseignement supérieur et à la Recherche devrait se fixer comme principaux objectifs:
- de favoriser l’insertion professionnelle des étudiants tant diplômés que décrocheurs;
- d’améliorer la situation des laboratoires d’excellence et de leurs chercheurs;
- de favoriser les retombées de la recherche fondamentale sur l’économie;
- d’entraîner le retour dans nos établissements des membres les plus éminents de notre diaspora scientifique.
Or le projet soumis actuellement au Parlement semble loin de favoriser ces objectifs. Suite de l'article...
Et pourquoi pas une Habilitation à Diriger des Projets (HDP)?
L’HDR n’a cependant aucun rapport avec le cycle LMD. Elle est définie par l’arrêté du 5 avril 1988 (modifié en 1992, 1995 et 2002) en ces termes: « L’habilitation à diriger des recherches sanctionne la reconnaissance du haut niveau scientifique du candidat, du caractère original de sa démarche dans un domaine de la science, de son aptitude à maîtriser une stratégie de recherche dans un domaine scientifique ou technologique suffisamment large et de sa capacité à encadrer de jeunes chercheurs. Elle permet notamment d’être candidat à l’accès au corps des professeurs des universités. » Pour l’obtenir, le candidat doit non seulement montrer qu’il a un excellent niveau scientifique, ce qui est la moindre des choses, mais aussi faire apparaître son expérience dans l’animation d’une recherche, notamment par l’encadrement de thèses de doctorat. Concernant ce dernier point d’ailleurs, le paradoxe est qu’il faut une HDR pour encadrer un travail de thèse, mais que pour avoir une HDR, il faut montrer que l’on est capable d’encadrer un doctorant. On s’en sort par le système du co-encadrement avec un HDR qui prend la place du directeur de thèse officiel. C’est le principe de la conduite accompagnée! Suite de l'article...
Parité à l'université: "la loi ESR n'est qu'un trompe-l'œil"
Les femmes ne représentent que 6% des dirigeants d'établissements d'enseignement supérieur en France, selon un récent rapport de la Commission européenne. Pourquoi cette proportion est-elle si faible?
Les causes sont multiples. C'est d'abord le résultat de la faible part des femmes dans le corps enseignant à l'université: les présidentes actuelles, dont je fais partie, viennent presque toutes des filières lettres et sciences humaines. De la même façon, nous remarquons un nombre plus élevé de femmes que d'hommes en première année universitaire. Mais, au fil des années, la proportion s'inverse. Autre facteur: après avoir fait des études longues, les femmes veulent souvent des enfants or une vie de famille est difficilement conciliable avec un mandat de président d'université. D'autant plus que nos missions se sont alourdies avec la LRU.
A l'échelle de l'Union européenne, la proportion de présidentes d'universités est de 15,5%. La France est dernière du classement, loin derrière la Norvège (31,8%). Comment l'expliquez-vous?
Pour les mêmes raisons. Je ne crois pas qu'il y ait un désintérêt des femmes pour la fonction de présidente. Mais c'est un fait: le système universitaire français accuse un retard sur la parité. Les mentalités doivent encore évoluer, car pour élire une présidente d'université, encore faut-il que des femmes se présentent! Suite de l'article...
Les classements internationaux des universités jugés dangereux
Les universités, influençables? Ce sont les sévères conclusions du rapport de l'Association européenne des universités (EUA), qui s'est réunie à Gand, en Belgique, le 11 avril, lors de son colloque annuel. Selon elle, les politiques des universités se font de plus en plus en fonction de ces classements internationaux.
Classement de Shanghai, Times Higher Education, ou encore Quacquarelli Symonds: ces dernières années, les classements internationaux des universités n'ont cessé de fleurir. Bien plus que de simples classements d'observation, ils deviennent de plus en plus importants aux yeux des universités, qui réorganisent leurs politiques en fonction de ces classifications. Un phénomène que pointe du doigt l'Association européenne des universités…Voir l'article entier...
Le chinois fait de plus en plus d'adeptes parmi les étudiants français
Le chinois mandarin est la langue la plus parlée au monde, avec 900 millions de locuteurs. En France, l'apprentissage de cette langue est devenu considérable, avec plus de 33 000 élèves qui l'apprennent dans 593 collèges et lycées. Cela représente une hausse de l'ordre de 13% par rapport à l'an dernier, et une croissance de 400% sur 10 ans, révèle une note de Joël Bel Lassen, inspecteur général de chinois au ministère de l'Education nationale. Et les cours couvriront bientôt tout le territoire, puisqu'à la rentrée 2013, le chinois devrait être enseigné en Corse, dernière académie de métropole qui ne le proposait pas encore.
Aujourd'hui, 90% des jeunes qui apprennent le chinois ont le français comme langue maternelle. Ce sont près de 17 000 étudiants qui l'ont choisi, dont les trois-quarts ne sont pas des spécialistes. Cette langue est enseignée dans 150 universités, instituts et grandes écoles. Voir l'article entier...
Détachement de salariés en Europe: le PRISME dénonce une concurrence déloyale
Dans le cadre des dérives mises en lumière par le rapport d’information sénatorial sur les Dans Dans le cadre des dérives mises en lumière par le rapport d’information sénatorial sur les normes européennes en matière de détachement de travailleurs, le PRISME dénonce la création d’un contexte de concurrence déloyale et demande que des mesures soient prises pour mieux encadrer le détachement de ces salariés et faire en sorte que leurs droits soient respectés.
Dans un contexte de tensions économiques, où les charges pesant sur les entreprises sont de plus en plus élevées, certaines agences d’emploi européennes, basées hors de France, et parfois soumises à des charges sociales moindres dans leur pays, détachent des travailleurs sur le territoire français, faisant ainsi baisser considérablement le coût du travail.
« Le PRISME dénonce ces pratiques qui favorisent la création de situation de concurrence déloyale à l’encontre des agences d’emploi françaises » s’insurge François Roux, délégué général du PRISME. « Si la législation européenne autorise le détachement de ces salariés, elle fixe cependant des règles qui peuvent être contournées et donner lieu à des dérives, d’autant plus intolérables qu’elles se font au mépris des droits des salariés », poursuit-il.
Le détachement de salariés en France par des entreprises étrangères est en effet autorisé par l’art. L. 1261-1 et les suivants du code du travail, sous réserve qu’elles respectent les règles minimales du droit du travail français: le SMIC, mais également les minima conventionnels, les heures supplémentaires, le repos journalier et hebdomadaire... Dans cette lignée, les entreprises de travail temporaires étrangères doivent respecter l’intégralité des règles du travail temporaire en France (cas de recours, durée maximale, délai de carence…).
Le rapport d’information sénatorial met aujourd’hui en avant le contournement de la législation française, pays d’accueil, réalisé par certaines entreprises de travail temporaire pour échapper notamment à la hausse au coût du travail sur le territoire.
Pour éviter ces dérives, le PRISME souhaite que l’activité significative de l’agence d’emploi dans son pays d’implantation qui est fixée actuellement à 30% (permettant le détachement de salariés dans d’autres pays) soit portée à 50% au minimum.
À PROPOS DU PRISME
Le PRISME regroupe plus de 600 entreprises de toutes tailles qui représentent 90% du chiffre d’affaires des Professionnels de l’intérim, des services et métiers de l’emploi. 6 850 agences d’emploi et 20 000 salariés permanents sont présents sur l’ensemble du territoire.
Pour plus d’information: www.prisme.eu.