29 avril 2013
Trois disciplines pour les relations entreprises
Par Olivier Rollot. S’il est trois méprises dans les relations entreprises, il faut pour les déjouer s’appuyer sur trois disciplines d’action dans un objectif simple et clair: bâtir ensemble à long terme.
La première discipline est de considérer l’entreprise comme un partenaire à long terme.
L’enjeu est de savoir construire dans l’intérêt mutuel des deux partenaires. La relation avec l’entreprise doit être bénéfique pour les deux parties et remplir au moins quatre objectifs ultimes:
- assurer à l’entreprise de pouvoir recruter les talents qui correspondent parfaitement à ses besoins;
- apporter à l’entreprise de nouveaux contenus et de nouvelles approches;
- apporter à l’Ecole ou l’Université des contributions pertinentes à l’évolution de son offre;
- contribuer à son développement en appuyant ses financements.
Atteindre ces objectifs ne se décrète pas. Le premier ingrédient de la réussite est la confiance réciproque, une confiance qui se construit patiemment et qui nécessite de passer par de nombreuses étapes. Elle repose sur une stratégie clairement définie ; il ne s’agit certainement pas de monter des opérations ponctuelles ou de gérer des opportunités. Pour les institutions d’enseignement supérieur cela revient à marcher sur une ligne de crête. Se limiter aux dimensions de recrutement et de financement se traduit par une équation simpliste : des financements contre des diplômés. C’est insuffisant et risqué. Suite de l'article...
La première discipline est de considérer l’entreprise comme un partenaire à long terme.
L’enjeu est de savoir construire dans l’intérêt mutuel des deux partenaires. La relation avec l’entreprise doit être bénéfique pour les deux parties et remplir au moins quatre objectifs ultimes:
- assurer à l’entreprise de pouvoir recruter les talents qui correspondent parfaitement à ses besoins;
- apporter à l’entreprise de nouveaux contenus et de nouvelles approches;
- apporter à l’Ecole ou l’Université des contributions pertinentes à l’évolution de son offre;
- contribuer à son développement en appuyant ses financements.
Atteindre ces objectifs ne se décrète pas. Le premier ingrédient de la réussite est la confiance réciproque, une confiance qui se construit patiemment et qui nécessite de passer par de nombreuses étapes. Elle repose sur une stratégie clairement définie ; il ne s’agit certainement pas de monter des opérations ponctuelles ou de gérer des opportunités. Pour les institutions d’enseignement supérieur cela revient à marcher sur une ligne de crête. Se limiter aux dimensions de recrutement et de financement se traduit par une équation simpliste : des financements contre des diplômés. C’est insuffisant et risqué. Suite de l'article...
De réir Olivier Rollot. Má thrí botúin i gcaidreamh gnó, ní mór dúinn a bheith ag brath gníomh ar thrí disciplíní i sprioc soiléir agus simplí a chur ina éadan: a thógáil le chéile go fadtéarmach. Níos mó...
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