London Met visa ban lifted
By Simon Baker. London Metropolitan University will again be allowed to recruit international students after the Home Office ended the revocation of its visa licence. A statement says non-European Union students will be permitted to enter the UK to study at the university from today. The decision follows the removal of the university’s sponsor licence in August 2012. A Home Office spokesman said a “series of inspections” carried out in the last six months “have demonstrated that the university has made the necessary improvements to its systems and administration”. More...
Enquête Besoins en Main-d’Œuvre 2013
L'enquête Besoins en Main-d'Oeuvre (BMO) est une initiative de Pôle emploi, réalisée avec les directions régionales et le concours du Crédoc. Elle mesure les intentions de recrutement des employeurs pour l'année à venir...
Présentation de l’enquête
L'enquête annuelle "Besoins en Main-d'Œuvre" est, depuis plusieurs années, un élément essentiel de connaissance du marché du travail. Chaque année, Pôle emploi adresse un questionnaire à plus de 1,6 million d’établissements afin de connaître leurs besoins en recrutement par secteur d’activité et par bassin d’emploi. Elle permet entre autre: d’anticiper les difficultés de recrutement, d’améliorer l’orientation des demandeurs d’emploi vers des formations ou des métiers en adéquation avec les besoins du marché du travail et d’informer les demandeurs d’emploi sur l’évolution de leur marché du travail et les métiers porteurs. Vous pouvez accéder aux données via une recherche par zone géographique jusqu’au bassin d’emploi, par métier et par secteur d’activité.
Principaux résultats 2013
Croissance ralentie des projets de recrutement des employeurs pour 2013
Projets de recrutement:
Les prévisions d’embauche exprimées par les employeurs progressent seulement de 0,3% en 2013 pour s’établir à 1 613 100 projets, répartis dans les 388 bassins d’emplois français (métropole, DOM et Mayotte). Ainsi, 4 400 projets d’embauche supplémentaires sont comptabilisés cette année. La part des établissements qui envisagent de recruter passe de 17,7% à 18,0% en un an, ce qui se traduit par une légère baisse du nombre moyen d’intentions d’embauche par établissement recruteur (3,8 contre 3,9 en 2012).
Type de contrats et motifs de recrutement:
Un peu moins de la moitié des postes proposés sont des emplois durables (49,4% des recrutements sont envisagés en CDI, CDD de six mois ou plus et missions d’intérim de 6 mois ou plus). La majeure partie des projets annoncés (35,7%) font suite à l’anticipation d’un surcroît ponctuel d’activité de la part des établissements. Plus de huit établissements sur dix souhaitent recruter dans les 6 premiers mois de l’année. Les établissements ne recrutant pas cette année, estiment pour la plupart que la taille de leur structure est suffisante ou que la conjoncture économique est défavorable.
Pôle emploi comme intermédiaire et perspectives à moyen terme
Pôle emploi demeure un intermédiaire privilégié pour le recrutement puisque sept établissements sur dix pensent solliciter son aide, notamment pour les recrutements d’emplois durables ou jugés difficiles. La part des employeurs prévoyant une hausse de leur activité dans les trois à cinq années à venir s’est légèrement tassée (29,7% d’entre eux contre 31,4% en 2012, soit -1,7 point).
Les métiers les plus recherchés
Avec 14% des intentions d’embauche, l’hôtellerie-restauration constitue toujours le premier pôle de recrutement national, talonnée par les services aux entreprises (12%) et la santé-action sociale (12%)
* Le secteur des services concentre, à lui seul, 64% des projets de recrutement, en très légère hausse (1,1%)
* Le commerce voit également ses perspectives d’embauche progresser (+1,9%) par rapport à 2012, avec 11% des projets en 2013
* Le secteur de la construction représente quant à lui 6% des besoins en main-d’œuvre en 2013, en chute de 11% par rapport à 2012
Cette année encore, les métiers les plus recherchés - pour la plupart à faible niveau de qualification - concernent les services aux particuliers : apprentis de cuisine, serveurs, animateurs socioculturels, aides à domicile, aides-soignants… Ce résultat illustre le poids structurellement fort des activités touristiques et des services à la personne dans le tissu économique français. Ces métiers se caractérisent, dans la plupart des cas, par une importante saisonnalité et des difficultés de recrutement élevées. Plusieurs métiers du secteur agricole (viticulteurs, arboriculteurs salariés…) demeurent parmi les plus recherchés, avec cependant une très forte saisonnalité. Des volumes de projets importants sont générés par le secteur des services aux entreprises (agents d’entretien), l’industrie (ingénieurs, cadres d’études) et le commerce (vendeurs, employés de libre-service).
Les contrats saisonniers
La part des projets de recrutement liés à une activité saisonnière reste stable en 2013 et s’établit à 35,8% des prévisions d’embauche, ce qui correspond à 577 360 embauches potentielles. La proportion d’emplois saisonniers atteint, comme en 2012, sa valeur maximale dans l’agriculture (91%).
Les difficultés de recrutement
Les difficultés de recrutement exprimées par les employeurs se réduisent cette année. Elles concernent 40,4% des projets d’embauche contre 42,6% en 2012. 55% des projets sont jugés difficiles dans la construction (58% en 2012) et 43% dans l’industrie (49% en 2012). Les métiers des services aux particuliers (aides à domicile & aides ménagères, cuisiniers, employés de maison…), mais également de l’industrie (ingénieurs et cadres d’études, R&D en informatique, chefs de projets informatiques), et de la santé (aides-soignants) rassemblent une majorité de projets considérés comme problématiques par les employeurs.
Voir aussi sur le blog: Résultats complémentaires de l’enquête BMO 2012, L’enquête BMO (Besoins en main-d’œuvre) 2012, Enquête Besoins en Main-d'Oeuvre (BMO 2012), Enquête complémentaire « Besoins en Main-d’OEuvre 2011 », Enquête Besoins en Main-d'Oeuvre (BMO 2011), Enquête Besoins en Main-d'Oeuvre (BMO 2010), Enquête Besoins en Main-d'Oeuvre (BMO 2009), Enquête Besoins en Main-d'Oeuvre (BMO 2008).
Tá an suirbhé le Riachtanais Daonchumhachta (BMO) tionscnamh de chuid an ionaid fostaíochta, a rinneadh le Crédoc réigiúnach agus cúnamh. Tomhaiseann sé fostóirí intinn a fhostú don bhliain seo chugainn ...
Cur i láthair an tsuirbhé
An "Riachtanais Daonchumhachta" bliantúil, ar feadh blianta fada, mar phríomhghné de eolas ar an margadh saothair. Níos mó...
Réponse de Geneviève Fioraso à la question du sénateur Bernard Fournier

Monsieur le Sénateur,
Le diplôme d'Etat de masseur-kinésithérapeute relève de la compétence de la ministre des affaires sociales et de la santé. En vue de son inscription dans le schéma licence-master-doctorat, cette formation a fait l'objet d'une réingénierie, dont les travaux ont été menés par le ministère en charge de la santé pour la définition des référentiels de compétence et le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche pour ceux de la formation.
Un arbitrage prononcé en interministériel a été diffusé par la voie d'un communiqué de presse le 25 février dernier. Il apporte des réponses précises aux questions que vous posez.
- Le diplôme d'exercice de Masseur kinésithérapeute sera reconnu au grade de licence mais obtenu à l'issue d'une formation permettant l'obtention de 240 E.C.T.S., puisqu'incluant une première année universitaire qui sera généralisée. Ceci permet l'inscription directe en 2e année de master 2 pour les étudiants qui le souhaitent.
Cette intégration de l'année de préparation aux études dans le parcours de formation initiale est une réelle avancée dans la reconnaissance universitaire et reposera sur une obligation de convention des instituts de formation avec l'université. Ceci implique d'en faire non seulement une année de sélection et d'orientation mais aussi une année de formation à part entière. - Le conventionnement des instituts de formation avec une université sera obligatoire. L'absence de convention entraînera le retrait de l'autorisation de délivrance de la formation.
- L'inscription dans la convention avec l'université devra faire apparaître une offre de masters 2 à laquelle les diplômés masseurs kinés pourront accéder directement. Un travail complémentaire déterminera les champs de pratiques avancées en lien avec l'obtention d'un master.
Le travail à conduire par les deux ministères doit désormais être mené, donc être poursuivi comme vous le souhaité, avec l'objectif d'une mise en œuvre pour une rentrée en septembre 2014. Ce travail sera copiloté dans le respect des exigences liées aux domaines d'intervention de la profession et de préparation des étudiants à leur future condition d'exercice professionnel ainsi que celles liées à la reconnaissance universitaire. - Enfin pour information je vous confirme qu'une mission d'expertise et d'inspection conjointe IGAS/I.G.A.E.N.R. est engagée à la demande de nos 2 ministères avec pour objectif de produire des recommandations générales relatives au processus d'universitarisation des formations initiales des professions paramédicales.
J'espère par ces réponses complètes et un travail en progrès avoir répondu à vos interrogations monsieur le sénateur.

Senator,
State diploma physiotherapist within the jurisdiction of the Minister of Social Affairs and Health. More...
Why does social science have such a hard job explaining itself?
Contrary to US Senate rulings, we need more and better funded social science, not less, says Ziyad Marar – without discussing how it differs from natural science, it remains easy to relegate.
So it has finally happened. After years of failed attempts by senators Tom Coburn and Jeff Flake to defund political science from the US National Science Foundation (NSF) budget, March's breakthrough 'voice vote' gave them most of what they wanted. The amendment passed was designed "to prohibit the use of funds to carry out the functions of the Political Science Program in the Division of Social and Economic Sciences … of the National Science Foundation, except for research projects that the Director of the National Science Foundation certifies as promoting national security or the economic interests of the United States". Read more...
How easy is it to study part-time?

Missions de l’AERES en Amérique du Sud

Mission de l’AERES en Argentine
Les 18 et 19 mars 2013, Patricia Pol, responsable des affaires européennes et internationales de l’AERES et Philippe Tchamitchian, directeur de la section des établissements de l’AERES se sont rendus à Buenos Aires dans le cadre du séminaire bilatéral AERES-CONEAU.
Le séminaire a permis:
- d’échanger sur les pratiques d’évaluation intégrée de l’AERES;
- de réfléchir à des principes méthodologiques communs pour l’évaluation des formations binationales : un état des lieux des formations existantes, en lien avec l’Ambassade de France en Argentine, permettra de définir une approche partagée;
- de confirmer la réalisation d’une publication commune bilingue sur l’évaluation de l’enseignement supérieur et de la recherche en France et en Argentine, à partir des actes du séminaire;
- d’identifier des experts français et argentins pour participer à des évaluations organisées par chacun des partenaires.
Cette mission a également permis de signer l’accord de coopération entre l’AERES et la CONEAU préparé lors de la précédente mission réalisée en septembre 2012.
Mission de l’AERES en Colombie
Les 21 et 22 mars 2013, Patricia Pol et François Pernot, délégué scientifique de l’AERES, se sont rendus en Colombie pour participer à la conférence franco-colombienne sur « la qualité de l’enseignement supérieur et de la recherche », à Cali. Organisé conjointement par l’Ambassade de France et l’Association des universités colombiennes, l’événement a réuni 120 participants de cinquante établissements d’enseignement supérieur colombiens.
En partageant l’expertise et l’expérience de l’AERES, Patricia Pol et François Pernot ont participé aux débats des plénières et des tables rondes portant sur:
- l’internationalisation de l’enseignement supérieur, l’assurance qualité et la reconnaissance des diplômes;
- l’évaluation et l ‘accréditation des formations de pregrado (équivalent licence) et pos grado (master-doctorat);
- l’évaluation de la recherche et l’indexation des revues;
- l’évaluation des transferts de connaissance et de technologie.
Cette visite a également permis de préciser le programme de travail entre l’AERES et le Conseil national d’accréditation colombien pour 2013:
- Travail sur l’identification d’experts bilingues;
- Réalisation d’un état des lieux des 108 formations franco-colombiennes existantes et définition d’une méthodologie commune pour promouvoir des évaluations conjointes ou une reconnaissance mutuelle des évaluations/accréditations conduites dans chacun des pays.
