L’innovation sociale au service du développement territorial
Deuxième rencontre ARF-Anact: l’innovation sociale au service du développement territorial
L’Association des Régions de France (ARF) et le réseau Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact) organisent leur 2ème Rencontre, le 26 mars au Conseil Régional du Centre à Orléans. Objectifs: valoriser les expérimentations lancées dans le cadre de ce partenariat, et identifier les possibilités de coopérations nouvelles ouvertes par le nouvel acte de décentralisation.
La première édition de la rencontre ARF-réseau Anact en février 2011 avait déjà permis de mettre en lumière des exemples de réalisations communes. Depuis, Régions et Associations régionales pour l’amélioration des conditions de travail (Aract) ont mené de nouveaux projets impliquant les partenaires sociaux régionaux, l’Etat et d’autres institutions. Ces projets exemplaires concernent, par exemple:
- l’accompagnement de l’introduction de nouvelles technologies,
- l’organisation du travail et la qualité de vie au travail,
- la prévention des risques au sein d’une filière ou d’un territoire…
Le renforcement de la compétitivité économique nécessite de s’appuyer sur les territoires comme acteurs majeurs de soutien au développement des entreprises. Dans ce cadre, les Régions constituent l’échelon de référence pour soutenir les petites et moyennes entreprises et les entreprises de taille intermédiaire,qui jouent un rôle déterminant dans la croissance économique. Elles ont tout particulièrement vocation à accompagner la croissance de ces entreprises, à renforcer leur capacité à innover et à exporter.
Le réseau Anact, un partenaire privilégié des Régions
Dans cette recherche d’innovation, de compétitivité et de soutien aux entreprises, le réseau Anact constitue un acteur de choix pour la mise en œuvre des politiques régionales. Son implantation territoriale, l’engagement des partenaires sociaux qui l’administrent, son savoir-faire d’expérimentation, en font un partenaire privilégié pour les Régions.
La rencontre d’Orléans rassemblera 150 participants: techniciens et élus en charge des services Économie, Emploi, Formation des 27 Régions de France, Présidents et Vice-présidents des Conseils d’Administration des Associations régionales pour l’amélioration des conditions de travail (Aract) et techniciens des Aract.
A quoi sert l’Anact?
L’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact), fondée en 1973, est un établissement public administratif dont l’objectif est d’aider les entreprises à mettre en œuvre des démarches pour améliorer à la fois l’efficacité des organisations et la situation des salariés. L’Anact développe des projets innovants touchant au travail. Avec les 26 Associations régionales pour l’amélioration des conditions de travail (Aract), elle constitue un réseau présent dans toute la France.
En savoir plus sur l’Anact.
The Association of Regions of France (ARF) and the National Agency for Network improvement of working conditions (NAALC) organize their 2nd meeting, on 26 March the Council of the Regional Centre in Orleans. Objectives: develop experiments undertaken in the framework of this partnership, and identify opportunities for new cooperation started by the new act of decentralization. More...
Vingt mesures pour la réussite des étudiants et pour donner un nouvel élan à la recherche

Une loi qui répond à une priorité, celle de la réussite étudiante, avec l'objectif de parvenir à 50% de diplômés du supérieur dans chaque classe d'âge. Et qui repose sur un principe: le décloisonnement entre les disciplines, entre les cursus, entre les établissements, entre les sites. Il s'accompagne d'une simplification du paysage de l'enseignement supérieur et de la recherche et s'appuie sur l'impulsion d'une nouvelle dynamique de regroupement et de mutualisation entre universités, écoles et organismes de recherche, dans les territoires.
En remettant l’étudiant au coeur de la mission de service public réaffirmée de l’enseignement supérieur, cette loi marque une vraie rupture avec la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU). Et si pour Geneviève Fioraso l’enseignement supérieur est "une arme anti-crise", la recherche, elle, doit être un levier du redressement et de la compétitivité de la France. Ce projet de loi rétablit donc un Etat stratège qui se donne les moyens de définir les grandes priorités nationales d’ici à 2020, en s’appuyant sur un nouveau Conseil stratégique de la Recherche - qui se substitue aux deux conseils existants - et la mise en place d'un Agenda stratégique de la recherche.

"Ces dernières années, on a surtout pensé gouvernance et structures alors que ce qui compte ce sont les jeunes", explique Geneviève Fioraso . Ainsi la réussite des étudiants est la colonne vertébrale de cette loi. Dix des vingt mesures du texte lui sont directement consacrées, dont:
- la simplification de l’offre de formation et des intitulés de diplômes: l’offre de formation est devenue trop complexe, on dénombre 1 400 intitulés de licences générales, 2 200 de licences professionnelles, 1 800 mentions de masters et 5 900 spécialités à l’université sans compter les masters des autres établissements qui amènent l’offre à 10 000 masters! Ce manque de lisibilité pénalise d'abord les étudiants issus de milieux modestes. Sans renoncer à la richesse des formations la mise en place d’une nomenclature nationale simplifiera l’offre de formation, par grands domaines. Les spécialités seront supprimées;
- l’orientation prioritaire des bacheliers professionnels et technologiques en STS et IUT: l'instauration de quotas dans les IUT et les STS favorisera l'entrée des bacheliers professionnels et technologiques dans ces établissements. Cette mesure illustre la priorité donnée à la réussite de tous les étudiants. Alors que le taux de réussite des bacheliers professionnels en STS est de 54,5%, il n’est que de 4,6% en licence. Idem pour le taux de réussite des bacheliers technologiques (68% en IUT et 13,5% en licence). Ce qui prouve que de trop nombreux bacheliers professionnels et technologiques s’orientent par défaut vers l’université, faute d’être accueillis dans les filières STS et IUT pourtant initialement conçues pour eux;
- le continuum entre lycée et université en matière d’orientation: il s'agit de créer un dispositif commun avec le ministère de l'Education nationale dit "- 3 + 3" pour assurer un continuum entre le lycée et le post-bac, en présentant les métiers et la formation supérieure dès le lycée, en complétant le dispositif Admission Post Bac et en l’ouvrant à la réorientation au cours du premier cycle du supérieur. Ce travail qui est en cours avec Vincent Peillon est en soi une innovation. Les lycées disposant d’une classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE) et de STS sont encouragés à signer une convention avec un établissement universitaire de leur choix;
- le doublement du nombre d’étudiants en alternance à l’horizon 2020: la loi permet d'organiser tout enseignement en alternance et la reconnaît comme une modalité de formation à part entière. Aujourd'hui, l’alternance concerne 110 000 étudiants en contrat d’apprentissage et 50 000 en contrat de professionnalisation, soit 7% des étudiants mais 5% seulement à l’université. L’alternance est une voie privilégiée pour permettre aux jeunes de tous milieux sociaux de se former et de trouver un emploi durable. C’est un outil au service du Pacte de compétitivité, une réponse aux mutations économiques et à l’évolution des métiers;
- l’entrée de l’université dans l’ère du numérique: parce que la France est en retard pour sa capacité à utiliser les nouveaux supports numériques et à développer de nouvelles méthodes pédagogiques, la loi donne un cadre juridique au développement du numérique et prévoit un grand plan d'action national "France Université Numérique";
- la valorisation du doctorat : le doctorat sera désormais reconnu et permettra d'intégrer la haute fonction publique;
- l’élargissement du programme "Erasmus pour tous" aux étudiants des filières professionnelles et technologiques: la loi modifie le code de l’éducation pour attribuer une nouvelle mission au service public de l’enseignement supérieur, celle du "développement de parcours comprenant des périodes d’études et d’activités à l’étranger".
En marge de la loi, des décisions fortes ont été prises pour améliorer les conditions de vie étudiante: un plan de création de 40 000 logements, l'augmentation de 7,4% du budget consacré à la vie étudiante pour stabiliser le financement du 10e mois de bourse, un accès facilité aux soins... Et malgré le contexte budgétaire, la dotation de 1 000 emplois par an sur le quinquennat a été intégrée dans la loi de finances pluriannuelle de décembre 2012.

Dlí go gcomhlíonann tús áite, go n-éireoidh mac léinn, agus é mar aidhm a bhaint amach 50% de chéimithe i ngach aoisghrúpa. Agus bunaithe ar an bprionsabal go bhfuil na teorainneacha idir disciplíní, idir chúrsaí, idir institiúidí, idir láithreáin. Tá sé ag gabháil leis an simpliú ar an tírdhreach an ardoideachais agus taighde agus tá sé bunaithe ar an impulse de ghrúpa nua dinimiciúil agus a roinnt i measc ollscoileanna, coláistí agus eagraíochtaí taighde i gcríocha. Níos mó...
Partenariat Région-Pôle emploi sur les aides individuelles à la formation
Le protocole d'accord Région-Pôle emploi signé le 24 janvier 2013 prévoit l’organisation d’un guichet unique de traitement des demandes d’AIF (Aides Individuelles à la Formation). Un co-financement Région-Pôle emploi des AIF a aussi été décidé pour des projets de formation, en priorité certifiantes, sans réponse dans l’offre existante. La mise en œuvre de ce nouveau dispositif partenarial à compter du 20 mars 2013 est précisée dans une convention entre les deux financeurs; la Région supprimant son Aide Régionale Individuelle à la Formation (ARIF) à cette date.
Pôle emploi et la Région se sont accordés sur des critères permettant de mobiliser le co-financement d’une AIF et sur une liste de formations exclues (voir les critères et la liste). La Région peut intervenir en cas d’absence de financement alternatif ou de réponse dans l’offre de formation collective existante (PRF dont SPRF…), et dans d’autres situations particulières (délai d’attente important, problème de mobilité…). Sauf cas particuliers, sont exclues les formations de plus de 2 ans, les reprises d’études après une sortie depuis moins d’un an du système éducatif et les formations de plus de 15 000€. Ne sont pas éligibles les demandeurs d’emploi ayant déjà bénéficié du financement d’une formation depuis moins d’un an (2 ans s’il s’agissait d’une formation certifiante).
Les demandes d’AIF, transmises par les prescripteurs habilités, seront étudiées par une commission régionale d’instruction associant les deux financeurs. Réunie hebdomadairement, elle statuera, au regard de la situation professionnelle des demandeurs d’emploi, sur chaque demande éligible à un co-financement et sur la hauteur de la participation éventuelle de la Région. Une priorité sera donnée aux projets des personnes les moins qualifiées. Les actions retenues seront co-financées par la Région dans la limite de 50 % des coûts pédagogique, par Pôle emploi et le cas échéant un 3ème financeur (ex pour un CIF CDD ou un DIF portable) pour assurer une prise en charge totale de l’action (sauf exception).
La rémunération des stagiaires et leurs frais annexes seront pris en charge dans les conditions habituelles d’une AIF (AREF ou rémunération publique de Pôle emploi et AFAF) et/ou par tout autre financeur mobilisé en complément (OPCA/OPACIF…).
Les autres formations de perfectionnement ou d’actualisation des connaissances, nécessitant une AIF, ne bénéficieront généralement que du seul financement de Pôle emploi dans les conditions prévues pour cette aide.
The MoU signed Region-employment center 24 January 2013 provides for the organization of a one-stop processing requests for AIF (Aid to Individual Training). Co-financing employment center of Region-AIF was also decided for training projects, primarily certified qualifications, unanswered in the existing supply. More...
Projet de loi relatif à l’enseignement supérieur et à la recherche

Ce projet de loi se donne pour objectif de parvenir à 50% de diplômés du supérieur dans chaque classe d’âge.
Pour cela, il réforme le cycle de la licence et affirme la continuité entre le secondaire et le supérieur et le rapprochement entre toutes les filières post-baccalauréat.
Par ailleurs, il accorde une attention particulière à l’orientation avec une spécialisation progressive dans le premier cycle de la licence, à l’innovation pédagogique avec le développement de l’enseignement numérique et la formation par alternance, et à l’incitation à la mobilité internationale des étudiants et des chercheurs ainsi qu’à l’accueil d’étudiants étrangers avec des cours adaptés.
Il repose sur un principe du décloisonnement: entre les disciplines, entre les cursus, entre les établissements, entre les sites.
Enfin, il vise à l’ouverture de l’université sur son environnement, sur la société, au monde socio-économique, et à l’international. Consulter le projet de loi.

International patterns and competitiveness for the new Latvian Higher Education System

Since Kilis started as Minister of Education and Science, he has set his task to make reforms such as revising the accreditation system to be accepted internationally and a new set of programs based in a more entrepreneurial basis. Now, new measures are coming up as a new model of financing to make the system sustainable economically.
But why is Latvian Higher Education facing such problems?
Studying for society’s necessities
From the point of view of the minister, the main problems start with the imbalance between students studying sciences and humanities, which don’t adapt to the current Latvian economic and social necessities. The fact is that there are too many students studying humanitarian sciences and too few studying engineering and natural sciences. According to official data from 2011, from 120,000 students, 80,000 were studying social sciences, which means more than half of the students. In this sense, the Latvian Higher Education System cannot supply a sufficient number of science specialists required by the national economy.
The state is trying to resolve this problem by reducing financing for the budget to social and law students, and channeling these funds to support exact and engineering sciences. In this way, for the Ministry, the priority aim is in the basis of the university: to increase the share of highly qualified professionals in the priority fields of the labor market (natural sciences, mathematics, engineering, health care, environmental sciences and creative industries), by evaluating the efficiency of master and doctoral studies on a regular basis and by developing new innovative study programs. Read more...
Rankings Boycott in Germany

It all started last September when 300 economics professors signed an open letter of protest against the separate ranking conducted by Handelsblatt, a sober business daily, which does an annual "best of" listing for academics in strict accordance with the number of publications candidates have to their credit.
Prolific publishers were deemed "high-flyers" in their fields and figured accordingly on the lists. The protesters included even academics who scored well in the ratings yet still felt the "Pop Idol" criteria of quantity, rather than quality, unworthy of serious academia.
But that was just the start. Emboldened by their economics colleagues, other university faculties began to protest. First, members of the German Sociological Association declared they would no longer be forwarding data for the CHE rankings. Then came the English faculties, followed by the Association of Historians and educationalists and, finally, the German Association of Chemists, comprising 30,000 members, who said they were tired of constant ratings and rankings and would also no longer participate. Read more...
Italian University System To Go International

With the agreement, it is now possible for foreign students wishing to enroll in Italy for courses in Medicine in the English language, to take up admissions.
The International Medical Admission Test (IMAT) for admission to the Faculty of Medicine and Surgery for the 2013-2014 academic year will be held in English on April 15, a statement signed by Mubarak Abdallah, Director of Information and Public Affairs Bureau of Ministry of Foreign Affairs and Regional Integration in Accra, yesterday and copied to the Ghana News Agency said.
The statement said information on the venue and timetable may be obtained from http:/attiministeriali.miur.it/anno-2013/febraio/dm-14022013.aspx.
It said the IMAT admissions for courses in English apply only to the University of Bari, University of Milan, Second University of Naples, University of Pavia, University of Rome, La Sapienza and the University of Rome Tor Vargata.
The statement said registration for the admissions test could be done exclusively online on the Ministry of Education’s portal on www.university.it/index.php/students/imatregration within the deadline published on the portal.
MOOCs: вторая жизнь высшего образования

В 2012 году к MOOCs присоединилось большинство университетов Лиги Плюща, включая Гарвард и Принстон, а так же множество других сильнейших учебных заведений планеты: Массачусетский технологический, университеты Дюка и Риса, Музыкальный колледж Беркли и десятки других. Все они включили в свои программы дистанционные курсы, бесплатный доступ к которым имеет любой человек с интернет-соединением. Заниматься на них может хоть небогатый русский студент, хоть американец в расцвете карьеры, которому попросту не хватает времени ходить в университет. По утверждениям создателей онлайновых курсов, новый подход к образованию сможет в разы повысить качество обучения и его эффективность, в том числе и для тех студентов, которые по старинке продолжают получать знания в невиртуальных аудиториях...
Time for leapfrogging reforms in higher education

First, the good news: Filipinos will be able to apply for jobs in any Asean country without the need for a working visa. Asean 2015 will open up to qualified applicants from member countries all kinds of employment within member countries, not just the domestic helper jobs that our Asian neighbors are currently dangling before Filipinos, be they college graduates or not. Now, the bad news: Filipinos will be competing with job-seekers from other countries in the region who may be better educated and prepared for what the times and the industries will need. Read more...
Déplacement de Geneviève Fioraso à l'Université de Bourgogne

En venant à Dijon, à l'université de Bourgogne, je voudrais aborder avec vous un sujet majeur: la réussite des étudiants.
Aujourd'hui, un étudiant sur 5 échoue dans l'enseignement supérieur. C'est beaucoup trop, d'autant qu'ils sont trop nombreux à obtenir leurs diplômes après un parcours chaotique. Ces chiffres masquent d'autres situations. Sur 100 jeunes qui entrent dans une des 5 filières post bac, combien sont-ils deux ans plus tard à ne pas avoir atteint la situation qu'ils visaient initialement?
La réponse est sans appel:
- 59% s'ils sont entrés en licence ;
- 32% s'ils sont entrés en I.U.T. ;
- 40% s'ils sont entrés en S.T.S. ;
- 50% s'ils sont entrés en C.P.G.E. ;
- 87% s'ils sont entrés en médecine.
Trop de jeunes connaissent des parcours d'études faits de redoublements, de réorientation ou de sortie sans diplôme:
- parce qu'ils n'ont pas de projet d'étude;
- parce qu'ils n'ont pas été acceptés dans la filière de leur choix;
- parce qu'ils n'ont pas de visibilité de l'avenir;
- parce que les cours en amphi les déconcertent;
- parce que l'écart entre ce qu'on leur propose et ce qu'ils attendaient est trop grand;
- parce qu'ils connaissent la précarité;
- parce qu'ils sont obligés, pour subvenir à leurs besoins, d'occuper un emploi qui pénalise leurs études.
Nous savons que ces histoires de vie étudiante diffèrent surtout en fonction du milieu social d'origine, du baccalauréat choisi et de l'âge. Et, derrière tous ces échecs, ces parcours multiples, ces réorientations, il y a des jeunes et des familles désemparés, des formateurs désorientés. C'est pourquoi je veux que nous fassions de la réussite étudiante notre priorité. Une priorité sociale, une exigence politique, une priorité économique aussi car le redressement industriel et la mise en place de nouvelles filières ne pourront pas se faire si nous ne disposons pas des qualifications correspondantes. Et je voudrais ce matin ici à l'université de Dijon devant vous universitaires, étudiants, responsables d'université et de composantes universitaires, vous dire simplement ceci: la réussite étudiante ne se décrète pas, elle se construit. La loi sur l'enseignement supérieur et la recherche propose tous les outils pour que l'Etat, dans ses missions républicaines d'Etat stratège et les acteurs des sites autonomes dans leurs choix et leurs initiatives sur le terrain, contribuent à cette réussite en dialogue.
La réussite étudiante repose sur les conditions auxquelles la loi répond: la première c'est l'orientation.
