edX Makes Key Code Open Source

Massive On-Line Open Course (MOOC)-Based Higher Education Is A Class-Warfare Scam
Neuro Polar Bear has a post up today mildly criticizing Tom “Suck This” Friedman’s pollyanna column about how MOOC-based higher education is going to “revolutionize” the higher education system.
Here is everything you need to know about MOOC-based education:
The goal of the MOOC (should be “mook”, cause it is designed by the plutocrats for the mooks) frenzy is twofold. First, it is to commoditize higher education, and allow big for-profit corporations to sink their blood funnels into the massive tuition/fees artery. Second, it is to provide cheaper, more uniform higher education to the proles, preparing them for life as corporate drones. Read more...
Licence Pro, VAE, puis Master 2


Mesurer la qualité de l’emploi
Par Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. Le n° 454 de la revue « Economie & statistique » de l’INSEE nous propose une comparaison européenne des critères de mesure de la qualité de l’emploi. Les auteurs, Mathilde Guergoat-Larivière et Olivier Marchand,plaident pour une approche multidimensionnelle de cette notion difficile à cerner si l’on s’en tient à des représentations unilatérales ou parcellaires. Or l’étude sous-tend une conception où le travail n’a de valeur qu’associé à un échafaudage de compensations. Ainsi la qualité de l’emploi serait d’abord mesurable à travers les droits associés au détriment des contenus d’activité et de l’intérêt porté par le salarié à son travail. L’autre limite de l’étude tient aux conséquences quant à l’usage de tels critères dans l’évaluation des politiques de l’emploi et de formation. Or celles-ci ont un effet non négligeable dans la façon dont se recomposent les logiques de recrutement et de gestion des ressources humaines des entreprises. L’accord sur la flexicurité de l’emploi n’échappera d’ailleurs pas à ce questionnement. Voir: http://www.insee.fr/. Suite de l'article...

4 Ways International Students Can Budget For Grad School

In the Developing World, MOOCs Start to Get Real

Students in countries like India and Brazil have been signing up in droves for these massive open online courses, or MOOCs, offered for free from top-tier universities, such as Stanford, MIT, and Harvard. Yet in the world’s poorest regions, where even reliable high-speed Internet access capable of streaming course lecture videos is hard to come by, delivering a useful education to the masses is clearly not a straightforward operation, and experiments in doing so in an organized way are only just beginning (see “Online Courses Put Pressure on Universities in Poorer Nations”). Read more...
Massive Open Online Courses, aka MOOCs, Transform Higher Education and Science

Uriagereka, associate provost for faculty affairs at the University of Maryland in College Park, knew exactly what his boss meant. Campus administrators around the world had been buzzing for months about massive open online courses, or MOOCs: Internet-based teaching programs designed to handle thousands of students simultaneously, in part using the tactics of social-networking websites. To supplement video lectures, much of the learning comes from online comments, questions and discussions. Participants even mark one another's tests. Read more...
A Debt-Free Approach to Graduate Education for African-Americans

The pursuit of graduate education increases the likelihood of even greater earning potential; however, more student loan debt can be a barrier to African-American students’ pursuit of graduate enrollment and completion and adversely impact their financial futures.
In a recent presentation to attendees of the American Association of Blacks in Higher Education’s (AABHE) Annual Conference, husband and wife finance gurus Bradley and Bonita Vinson exhorted that financial empowerment is the key to financial success. Read more...
Loi sur l'enseignement supérieur et la recherche: de réelles avancées et des points en suspens

Le projet de loi en préparation sur l'enseignement supérieur et la recherche porte en lui la double responsabilité de rectifier les effets les plus néfastes des réformes précédentes, et d'insuffler de nouvelles ambitions. Il présente des avancées réelles, notamment sur la parité, le transfert technologique, la formation tout au long de la vie, l'objectif d'attractivité du territoire national, la réforme de l'évaluation... Le pôle Enseignement supérieur et Recherche de Terra Nova appelle toutefois à une vigilance particulière sur la mise en œuvre d'autres dispositions, comme le remplacement de l'habilitation par l'accréditation des établissements, la création des communautés scientifiques, la future gouvernance des universités. Pour que ces mesures ne ratent pas leur objectif, le temps du débat parlementaire sera déterminant.
Synthèse
Le projet de loi sur l’Enseignement supérieur et la recherche (ESR), qui va très prochainement être adopté par le Conseil des ministres puis discuté au Parlement, n’a guère suscité de débats hors de la communauté des acteurs de l’ESR. Certes, la Loi ne peut ni ne doit tout régler, mais elle fixe les conditions dans lesquelles l’Etat doit assumer son rôle incitatif et régulateur, en donnant aux acteurs l’autonomie nécessaire pour atteindre les objectifs généraux qu’il détermine.
La tâche du gouvernement comme du législateur est rude: dans un système morcelé depuis toujours, et en présence d’une communauté déstabilisée par les dix années Chirac-Sarkozy, aux espoirs souvent contradictoires, comment proposer un nouvel horizon commun? Le projet de loi ESR y parvient, mais au prix d’un texte aux ambitions mesurées, et dont l’effet dynamisant dépendra beaucoup de l’esprit dans lequel il sera appliqué.
Dans cette note, nous applaudissons un certain nombre de points qui nous paraissent très positifs, comme les dispositions sur la parité, le transfert technologique, la formation tout au long de la vie, l’objectif d’attractivité du territoire national, la réforme de l’évaluation. Nous sommes plus nuancés sur d’autres aspects:
1. le bouleversement que représenterait le remplacement de l’habilitation par l’accréditation des établissements nous paraît très prometteur, pourvu qu’il ne soit pas détourné par des normes uniformisantes;
2. si la création des communautés scientifiques permet une clarification nécessaire de l’empilement de structures (PRES, IDEX…) créées depuis 2006, il n’est pas certain qu’elle permette l’émergence de véritables universités nouvelles, rassemblant efficacement les actuelles universités, écoles et centres de recherche des organismes;
3. la future gouvernance des universités, pour laquelle la loi propose un modèle unique, inadapté à la diversité des institutions, et dont on se demande s’il favorisera plus qu’auparavant l’accès aux fonctions exécutives de personnalités fortes et légitimes, ou le nécessaire équilibre entre logique managériale et collégialité académique.
Enfin, nous regrettons que le texte n’ait que peu d’effets directs sur les cursus universitaires, n’ouvrant la voie ni à la différenciation des parcours en licence, ni à la création de parcours de masters cohérents, structurés sur deux ans, avec sélection dès l’entrée en première année.
Espérons que le débat parlementaire permette une évolution positive du texte, et n’en limite pas au contraire les effets progressistes sous la pression des groupes corporatistes.
Télécharger la note intégrale.

Déanann Bille ullmhú an ardoideachais agus taighde an fhreagracht dé a chur ina gceart ar na héifeachtaí is measa de leasuithe roimhe sin agus uaillmhianta nua instealladh. Taispeánann sé dul chun cinn, lena n-áirítear inscne, aistriú teicneolaíochta, oiliúint ar feadh an tsaoil, tarraingteacht cuspóir na tíre, an t-athchóiriú ar an meastóireacht. Níos mó...
Les IUT sont tout sauf vides

Président de l’Association des directeurs d’IUT (Adiut) depuis 2008, directeur d’un IUT à Toulouse, Jean-François Mazoin entend rétablir quelques vérités sur des IUT très critiqués depuis un an. Alors que se profile la fin de la première partie de la procédure admission-postbac retour sur un modèle qui fonctionne encore très bien.
Olivier Rollot : Ces derniers mois on a surtout parlé des IUT pour dire qu’il y restait de la place et qu’il fallait donc les ouvrir plus largement aux bacheliers technologiques pour les remplir. Qu’en est-il vraiment?
Jean-François Mazoin : Les IUT sont tout sauf vides même si certaines filières industrielles (génie mécanique ou maintenance par exemple) manquent parfois d’effectifs. Cela à l’exception de certaines régions (Midi Pyrénées et Ile de France au premier chef) dans lesquelles les industries, l’aéronautique par exemple, sont encore très porteuses. Ces places vacantes sont navrantes car il y a des emplois nombreux et bien rémunérés pour les diplômés de ces IUT. Mais revaloriser l’industrie est un problème de société qui n’est pas à 100% du ressort des formateurs. Suite de l'article...

President of the Association of Directors of IUT (Adiut) since 2008, Director of IUT Toulouse, Jean-François Mazoin intends to restore some truths about the IUT widely criticized for a year. More...