L’apprentissage par projet
Dossier d'actualité Veille et Analyses n° 82, février 2013: Des projets pour mieux apprendre?
Auteur: Catherine Reverdy
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Résumé:
L’apprentissage par projet, né dans les années 1920 en même temps que les autres méthodes actives, a été remis en lumière il y a une trentaine d’années en écho à la tendance de la société à « penser en projet » et dans le but d’engager davantage les élèves dans leur apprentissage. Coexistent alors plusieurs types de projets à l’école, comme les projets éducatifs (qui dépassent le cadre scolaire), pédagogiques (inclus dans la relation entre enseignants et élèves), d’établissement (pour rassembler tous les acteurs locaux et dont sont censés découler les projets pédagogiques) et de formation (concernant l’avenir professionnel des élèves).
Ce dossier s’intéresse surtout aux projets pédagogiques, qui sont très utilisés dans les enseignements proches du monde du travail (enseignements professionnel, technologique ou supérieur), mais qui sont abordés de manière diverse dans toutes les disciplines. L’apprentissage par projet place les élèves ou les étudiants en position d’acteurs responsables de leur projet, ce qui les amène à chercher collectivement des solutions aux problèmes posés par la réalisation concrète du projet et à construire ainsi petit à petit leur apprentissage et leur propre projet personnel et professionnel.
Quels sont les effets réellement constatés sur les acquis des élèves et des étudiants? Comment faire face aux difficultés de mise en œuvre de cette méthode dans la classe, au niveau de l’établissement ou par rapport aux contenus disciplinaires? Ces questions sont abordées dans ce dossier, à travers des exemples d’application de l’apprentissage par projet et des résultats de recherche soulignant notamment le rôle clé de l’enseignant dans la structuration du projet et dans l’accompagnement et le soutien aux élèves pendant la réalisation du projet. Télécharger la version intégrale du dossier.
Issues Brief Intelligence and Analysis No. 82, February 2013: Projects to learn better?
Author: Catherine Reverdy. Download the full file. Summary: Learning by project born in the 1920s along with other active methods has been brought to light there thirty years echoing the tendency of society to "think project" and in order further engage students in their learning. More...
Sécurisation de l’emploi
Le ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social a présenté un projet de loi relatif à la sécurisation de l’emploi au Conseil des ministres du 6 mars 2013.
La Grande conférence sociale de juillet 2012 avait inscrit, dans sa feuille de route, une négociation interprofessionnelle sur la sécurisation de l’emploi, pour apporter des solutions nouvelles à quatre grands défis du marché du travail : la lutte contre la précarité du travail, l’anticipation des mutations économiques, la recherche de solutions collectives pour sauvegarder l’emploi, la refonte des procédures de licenciement collectif. L’accord national interprofessionnel conclu le 11 janvier 2013, à l’issue de cette négociation, répond à ces défis de façon globale, ambitieuse et équilibrée. Comme il l’avait annoncé, le Gouvernement a, sur les bases des stipulations de l’accord, construit le projet de loi présenté aujourd’hui.
Ce projet est donc à la fois le fruit d’une méthode, la réforme par le dialogue social, et la marque d’une ambition, la mobilisation de tous pour développer l’emploi et lutter contre le chômage. Il s’inscrit dans le cap fixé par le Président de la République: «mobiliser les forces vives de notre pays vers des solutions nouvelles pour l’emploi».
Toutes les organisations syndicales et patronales représentatives, signataires ou non, ont été associées à la préparation du projet de loi, dans un double esprit: loyauté envers l’accord et les signataires; transparence et écoute vis-à-vis de tous. Le projet de loi traduit fidèlement l’équilibre de l’accord du 11 janvier et les engagements des signataires, en apportant les précisions ou compléments nécessaires sur les points qui étaient restés imprécis ou incomplets. Il est porteur d’évolutions positives autour des grands objectifs suivants:
- créer de nouveaux droits, individuels et collectifs, pour les salariés: accès à la complémentaire santé, création du compte personnel de formation, droit à la mobilité sécurisée dans une autre entreprise, information des représentants des salariés sur la stratégie de l’entreprise et présence au sein des conseils d’administration;
- lutter contre la précarité dans l’emploi et dans l’accès à l’emploi: droits rechargeables à l’assurance chômage, hausse des cotisations à la charge des employeurs pour les contrats courts, encadrement du temps partiel;
- favoriser l’anticipation négociée des mutations économiques, pour développer les compétences et maintenir l’emploi: gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, refonte du dispositif de chômage partiel, création des accords de maintien de l’emploi;
- encadrer les licenciements économiques, avec une modification profonde des procédures applicables aux plans de sauvegarde de l’emploi (voie nouvelle de l’accord collectif; homologation, ou validation quand il s’agit d’un accord collectif, par l’administration) et la création de l’obligation de recherche d’un repreneur en cas de projet de fermeture de site.
Ce projet de loi est l’affirmation d’un nouvel équilibre où tous les acteurs gagnent en sécurité sans perdre en capacité d’adaptation et de mobilité. C’est ainsi que la compétitivité de la France se renforce dans le fil du combat historique pour l’amélioration des droits des salariés. Le projet de loi crée de nouveaux outils pour sauver immédiatement des emplois et un cadre plus favorable aux créations d’emplois de qualité dans les prochains mois et années. Au vu de l’urgence de la bataille pour l’emploi, il sera examiné au Parlement en avril, afin de permettre son entrée en vigueur dès le mois de mai.
Sécurisation de l'emploi: le Premier ministre répond aux questions des journalistes
A l'issue du Conseil des ministres du 6 mars, le Premier ministre a répondu aux questions des journalistes sur le projet de loi portant sur la sécurisation de l'emploi. "C'est un projet de loi qui va permettre de renforcer la sécurité des parcours professionnels des salariés, a-t-il rappelé, c'est un accord gagnant-gagnant pour les entreprises qui connaissent des difficultés, qui doivent se réorganiser en anticipant la situation, sans faire qu'à chaque fois, la seule solution soit le licenciement." Et d'ajouter "C'est un projet de loi qui préserve l'emploi, qui participe à l'emploi. C'est un vrai acte fondateur et c'est pour ça que nous lui donnons une certaine solennité."
An tAire Saothair, i láthair bhfostaíocht, i ngairmoiliúint agus comhphlé sóisialta dréacht-dlí ar fostaíocht i gComhairle na nAirí de 6 Márta, 2013.
Cláraíodh comhdháil sóisialta Breataine i mí Iúil 2012 i slí, ar idirbheartaíocht idirghairme ar fhostaíocht a dhaingniú do réitigh nua le ceithre príomhdhúshláin sa mhargadh saothair: an troid i gcoinne obair neamhbhuan, oirchill athrú eacnamaíoch, an cuardach do réitigh comhchoiteanna a chosaint fostaíochta, athchóiriú ar nósanna imeachta iomarcaíochta comhchoiteann. Níos mó...
La UDIMA lanza sus cursos MOOC

La Universidad a Distancia de Madrid (UDIMA) oferta desde ayer miércoles 11 programas formativos en Tutellus, la plataforma de formación gratuita que ofrece vídeos académicos y MOOCs (Massive Online Open Course) de distintos centros educativos de España y Latinoamérica.
De este modo, la UDIMA se convierte en una de las primeras Universidades españolas en respaldar esta iniciativa. Para ello, ha adaptado una serie de programas en formato video/MOOCs que ya son accesibles gratuitamente desde la página web de Tutellus. Los programas que la UDIMA ofrece en esta nueva plataforma abarcan temáticas tan diversas como Contabilidad, Finanzas, Álgebra, o las últimas innovaciones en e-learning. Més...
Latest News Private educational institutions require new policies

There are over 2,300 colleges and universities around China, and nearly one-third of them are private educational institutions, Yang Wen, a member of the National Committee of the Chinese People's Political Consultative Conference and the chairwoman of Shandong Yingcai College board of directors, said in an interview with China Daily.
"Since the Law of the People's Republic of China on the Promotion of Privately-run Schools took effect in 2003, great changes have taken place in the sector and many articles in the law are no longer compatible with the current situation, some are even hindering the development of private educational institutions," Yang said. Read more...
Studying Abroad in Singapore

International students can choose an exchange experience with Singapore's public universities such as National University of Singapore (NUS), Nanyang Technological University (NTU) or Singapore Management University (SMU) on a tuition-waiver basis.
For more information on eligibility and application for exchange programmes, please visit the following institutions' websites:
Nanyang Technological University (NTU), a global university founded on science and technology. It nurtures creative and entrepreneurial leaders through a broad education in diverse disciplines.
National University of Singapore (NUS), a leading world university, committed to delivering quality education. It nurtures global citizens, and undertakes high impact research that adds to the body of knowledge worldwide. Read more...
Are India’s Higher Education Standards Lagging Its Asian Peers?
According to The (London) Times Higher Education World University Rankings for Asia in 2012-2013, only three Indian institutions appeared on the list of the top 57 Asian universities -- Indian Institute of Technology, in Kharagpur (No. 28); Indian Institute of Technology, in Mumbai (34), and Indian Institute of Technology, in Roorkee (53). In contrast, Japan scored 13 of the top 57, including the University of Tokyo, which took the top spot in Asia. Read more...
Senator proposes oil severance tax to fund higher education

“California doesn’t tax on oil, so it is a fairness issue because other states have oil taxes, and if people take something from the state through oil, this is a way for us to give something back to the state,” Shaff said. Read more...
University of Maryland cracks international list of top schools
By Matt Connolly. The University of Maryland has cracked an annual list of the world's top 100 universities by international standing. The Terps tied for 91st, sitting with Texas A&M, Australia's Monash University and the Netherlands' Wageningen University and Research Center, among others. The University of Virginia, often ranked higher nationally, does not appear on the list. Neither does Georgetown University.
"This is a major recognition of our growing efforts internationally," said Ross Lewin, the university's associate vice president for international affairs. "It reflects the high priority we have put on international education and research." Read more...
Study abroad agencies see drop in clients

The 15 local agencies with Ministry of Education approval attracted fewer clients last year as more resources to help students win admission to overseas universities have emerged and a greater number of unauthorized agencies have crowded into the market.
The agencies help students choose a suitable university to attend and then help guide them through the application process, said Cai Jun, a teacher from Shinyway Education, one of the government-approved agencies.
The agencies charge anywhere from 20,000 yuan ($3,216) to 100,000 yuan per client, according to a report in the Shanghai Evening Post. Read more...
Coursera credentials today, full Coursera-powered degrees tomorrow?
By Ki Mae Heussner. Barely a year into their existence, massive open online course (MOOC) providers, like Coursera EdX and Udacity, are starting to offer certificates that can be put toward university credit. But are full MOOC degrees on the horizon?
When asked that question by New York Times education reporter Laura Pappano on stage at the SXSWedu education technology conference in Austin Wednesday, Coursera co-founder Andrew Ng gave the diplomatic reply:
“Coursera isn’t a university. We don’t offer degrees of academic credit. We’re a humble hosting platform.”
To which Anant Agarwal, president of the nonprofit EdX, quipped: “a very politically correct answer” (drawing a round of laughter from the audience). Read more...