Objectif master, un guide unique pour s’orienter

Accessible après une licence, le master est un diplôme de niveau bac+5 qui a pour objectif de préparer à la recherche (master recherche) ou de proposer un parcours menant à une insertion professionnelle de haut niveau (master professionnel). Il permet également de se présenter aux concours de la fonction publique. 7 700 masters sont délivrés en France par les universités, dont 146 en Auvergne.
L’offre de formation est donc très diversifiée, et la présence de nombreuses spécialités rend parfois difficile le choix de l’orientation post-licence. En réalisant le guide « Objectif master » en collaboration avec les services de l’Etudiant de l’université d’Auvergne et de l’université Blaise-Pascal, l’Onisep Auvergne recense en un seul document les 146 masters proposés en Auvergne, avec leurs objectifs, les emplois accessibles et les lieux de formation.
Outre des informations pratiques, « Objectif master » dessine aussi quelques pistes pour l’avenir avec une page dédiée aux poursuites d’études après un master, et comporte un carnet d’adresses avec tous les contacts utiles.
Le guide est consultable et téléchargeable gratuitement sur le site www.onisep.fr/clermont (à la rubrique Guides régionaux). Feuilleter le guide en version flipbook. Télécharger le guide Objectif master 2013.

Mercredi 13 février, l’Onisep Auvergne a présenté son nouveau guide Objectif master à Madame le recteur Marie-Danièle Campion, au Président de l’université Blaise-Pascal Mathias Bernard et à Martine Barry, chef de division de l’enseignement supérieur et de la recherche au rectorat.
Cette publication, unique en France, répertorie les 146 masters de l’académie avec leurs objectifs, les emplois accessibles et les lieux de formation.
Ce guide répertorie les masters proposés en Auvergne. Chaque diplôme est présenté avec trois rubriques: Objectifs, Exemples d’emplois accessibles, Lieux de formation.
Consulter et télécharger gratuitement le guide objectif master.
Edito
Ce guide répertorie les masters proposés dans les établissements d’enseignement supérieur de l’académie de Clermont-Ferrand: universités, IUFM (Institut universitaire de formation des maîtres), écoles d’ingénieurs, école d’architecture.
● Les formations sont présentées par ordre alphabétique à l’intérieur d’un domaine. Les lieux de formation sont indiqués sous chaque master.
● L’intitulé se compose des éléments suivants: domaine, mention, spécialité. Certains masters comportent en outre des parcours.
● Les cohabilitations concernant les établissements supérieurs de l’académie de Clermont-Ferrand sont mentionnées.
Les informations mentionnées sont celles qui sont connues lors de la date d’édition (janvier 2013). Pour plus de précisions, consultez les sites des universités et des différents établissements.
Nous remercions les universités clermontoises et tout particulièrement leurs Services de l’étudiant pour leur collaboration à l’élaboration de ce guide.
Le Master - Définition et objectifs
L’offre de formation au niveau master répond, selon le diplôme préparé, aux objectifs suivants:
- préparer à la recherche,
- proposer un parcours menant à une insertion professionnelle de haut niveau.
Il existe 3 types de master:
- le master professionnel a pour objectif l’insertion dans un secteur d’activité précis,
- le master recherche prépare à la poursuite d’études en doctorat (niveau bac+8),
- le master indifférencié à la fois professionnel et recherche.
Le master permet également de se présenter aux concours de la fonction publique, notamment ceux de l’enseignement.
La formation
Le master se prépare en 2 ans (4 semestres), après une licence. Le cursus permet de valider 120 crédits ECTS*. ECTS (European credit transfer system): ce sont des crédits capitalisables et transférables. Chaque semestre d’études est affecté de 30 crédits ou ECTS communs à de nombreux pays européens: en licence, 6 semestres validés soit au total 180 crédits; en master 4 semestres validés soit 120 crédits. L’ensemble du cursus menant au master représente donc au total 300 crédits.
C’est un diplôme de niveau I (bac+5). il est généralement organisé en année M1 (master 1ère année) et M2 (master 2e année).
La formation comprend des enseignements théoriques, méthodologiques et appliqués et, le plus souvent, un ou plusieurs stages. Elle comporte également une initiation à la recherche et, notamment, la rédaction d’un mémoire ou d’autres travaux d’études personnels.
Accès
En principe, l’accès en M1 est de droit avec une licence compatible. L’admission en M2 est sélective. Elle se fait en général sur dossier et entretien.
Lieux de formation
La préparation des masters est en général assurée dans les universités. Certains diplômes peuvent se préparer dans d’autres établissements : écoles de commerce, écoles d’ingénieurs… Cependant seules les universités sont habilitées à délivrer le master. Les formations sont dans ce cas cohabilitées.
Après le Master
Les étudiants titulaires d’un master peuvent s’orienter vers la recherche en préparant un doctorat.
Les écoles doctorales organisent la formation des docteurs et les préparent à leur insertion professionnelle. Elles apportent aux doctorants une culture pluridisciplinaire dans le cadre d’un projet scientifique cohérent.
Il est possible également avec un master de se présenter au concours de l’agrégation pour devenir professeur. Télécharger le guide Objectif master 2013.

Un nouveau dispositif VAE d'accompagnement à la recevabilité en Basse-Normandie

En Basse-Normandie, les abandons se dénombrent principalement pendant la phase de recevabilité. En 2012, les statistiques réalisées à partir des chiffres transmis par les valideurs d'Etat indiquent que 46% des candidats n'ont pas retourné leur livret de recevabilité (livret 1) à leurs services.
Or, dans notre région, cette étape du parcours VAE est la seule qui ne fasse pas l'objet d'une prestation d'aide clairement identifiée. La Direccte, dans le cadre de sa mission de développement de la VAE, a donc mandaté le Gip FCIP de Basse-Normandie pour expérimenter un dispositif accessible à tous les Bas-normands.
Ce dispositif apporte une aide au renseignement du livret 1 et au recueil des preuves pour justifier des trois années d'expérience dans le champ de la certification visée. Il s'articule autour de réunions mensuelles organisées dans les trois départements et d'un suivi personnalisé à distance. Il est ouvert à tous les candidats en phase d'élaboration du livret 1, après inscription par téléphone ou par mail.
Plaquette "Prenez rendez-vous pour compléter votre dossier de recevabilité".
Pour toute précision, appeler le 02 31 45 96 84 ou écrire à vaepourtous-bn@ac-caen.fr.

Insertion professionnelle des étudiants bas-normands

Créé en septembre 2011 avec le soutien financier de la Région, l'Observatoire Unicaen a pris le relais de l'Observatoire régional des formations supérieures (ORFS).
Pour sa première enquête annuelle, l'Observatoire a voulu en savoir plus sur l'insertion professionnelle des titulaires d'un DUT, d'une licence professionnelle et d'un master (bac +5).
Concernant les DUT, 87,5% des 701 diplômés répondants poursuivent leurs études. Seuls 87 titulaires se sont insérés directement sur le marché du travail. Pour les licences pro, 252 des 499 diplômés ayant répondu ont été pris en compte. 245 anciens étudiants se trouvent sur le marché du travail. 91% travaillent et 74% occupent un emploi stable. Sur les 915 diplômés en master ayant répondu, 480 se trouvent sur le marché du travail au moment de l'enquête. Leur taux d'insertion atteint les 94%, pour un salaire moyen de 1 800 €. 60% d'entre eux travaillent en dehors de la région. Et 73% occupent un emploi stable.
Consulter les études sur le site de l'Observatoire Unicaen.

Espace INFO

Espace INFO est une lettre régionale d'actualité sur la formation, l'emploi et des métiers. Elle relaie chaque semaine les nouvelles informations publiées sur le site "La Formation en continu".
Espace INFO est un outil produit et diffusé par l'Errefom.
L'abonnement à Espace INFO est gratuit, accessible à tous les acteurs et professionnels de la formation, de l'insertion et de l'orientation. Le service documentaire associé (prêt, consultation de documents) est restreint aux usagers bas-normands.
Accéder aux précédents numéros d'Espace INFO
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Spás INFO Is litir nuachta réigiúnacha ar fhostaíocht oiliúint, agus gnó. Rásanna sealaíochta sé gach faisnéis seachtain nua ar fáil ar an láithreán gréasáin "Oiliúint Leanúnach". Níos mó...
Création d'un collectif de présidents d'associations de formation professionnelle

Composé de représentants d’associations et organismes extrêmement variés par leur taille et leurs objectifs (formation à distance, services universitaires, centres de formation d’apprentis, coaching, formateurs indépendants, etc.) le collectif rassemble aussi les professionnels de l’information et de l’orientation comme les missions locales, maisons de l’information et de l’emploi, concernés par les mesures de décentralisation proposées.
Leur objectif: améliorer les dispositifs qu’ils pratiquent au quotidien et défendre l’adaptation de l’offre à la demande.

Guide du créateur
Mise à jour du Guide du créateur du créateur du bassin cannois. L'édition 2013 vient de paraître.
Vous avez un projet de création d'entreprise sur le territoire du bassin cannois, de nombreuses structures interviennent, proposant des informations, des accompagnements et/ou des aides financières.
Parce que créer son entreprise est une course d'ostacles qu'il faut franchir les uns après les autres, la Maison de l'emploi du bassin cannois a crée un outil regroupant l'ensemble des informations relatives à la création d'entreprise, en étroite collaboration avec tous les acteurs de ce domaine.
Partant des méthodes liées au management de projet, pour chaque étape nous proposons une démarche, des outils, et des contacts.
Pour tous renseignements: Maison de l'emploi du bassin cannois - 35 chemin des Fades au Cannet, Tél: 04 92 59 25 60, du lundi au vendredi, de 9h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h00, secretariat@maisondelemploi-bassincannois.org. Télécharger le Guide du créateur du bassin cannois.
LA CRÉATION D’ENTREPRISE: UN PROJET EN 6 PHASES
Créer son entreprise est une course d’obstacles qu’il faut franchir les uns après les autres; parfois en même temps. Sur le territoire du bassin cannois, de nombreuses structures interviennent, proposant aux porteurs de projets des informations, des accompagnements et/ou des aides financières. L’une des missions essentielles de la Maison de l’Emploi est de faciliter la transmission et la lisibilité de l’information: notre objectif au travers de ce guide est de vous faire connaître toute l’offre de services qui existe sur notre territoire sous forme synthétique et la plus concrète possible. La Maison de l’Emploi peut tout au long de votre projet être le lien entre vous, les structures accompagnantes, les financeurs ou vos futurs employés. Partant des méthodes liées au management de projet pour chaque étape nous vous proposons une démarche, des outils et des contacts. Télécharger le Guide du créateur du bassin cannois.
Aggiornamento Guida creatore del creatore di Cannes. L'edizione 2013 è stato appena pubblicato.
Hai un progetto per la creazione di impresa nel territorio di Cannes, molte strutture sono coinvolte, fornendo informazioni, accompagnamenti e/o aiuti finanziari.
Dato che la sua azienda è la creazione di una corsa per attraversare ostacles necessario uno dopo l'altro, la Casa di lavoro di Cannes ha creato uno strumento che contiene tutte le informazioni relative alla creazione di imprese in in stretta collaborazione con tutte le parti interessate in questo settore. Più...
Évolution récente de l’insertion des jeunes sur le marché du travail selon le niveau de diplôme

En 2010, un peu moins de 2 jeunes sortants sur 10 ont au plus le brevet des collèges, tandis que la proportion de diplômés du second cycle du secondaire, comme celle des diplômés du supérieur est d’environ 4 sur 10.
En phase d’insertion professionnelle, et bien qu’ils soient en moyenne plus diplômés, les jeunes connaissent un taux de chômage plus élevé que les personnes ayant plus d’ancienneté sur le marché du travail. Fin 2010, un à quatre ans après la fin de leurs études initiales, 2 jeunes actifs sur 10 sont au chômage; c’est le cas de plus de 4 sur 10 pour ceux ayant au plus le brevet des collèges, contre seulement 1 sur 10 pour les diplômés du supérieur.
Les caractéristiques de leurs emplois (sous-emploi, part des contrats temporaires et salaires) sont également moins favorables, en partie en raison de leur faible ancienneté dans l’entreprise. Là aussi, les différences selon le niveau de diplôme sont particulièrement marquées.
Dans les premières années suivant la fin des études, la situation des jeunes est particulièrement sensible aux variations de la conjoncture économique. Ainsi, la hausse du taux de chômage en 2008 et 2009, puis la baisse en 2010, ont été plus soutenues pour les actifs sortis récemment de formation initiale que pour l’ensemble des actifs.
Télécharger la note DARES 2012-013 Évolution récente de l’insertion des jeunes sur le marché du travail selon le niveau de diplôme.
Sur le moyen terme, la protection offerte par le diplôme face au chômage apparaît assez stable
Depuis la deuxième moitié des années soixante-dix, l’écart entre le taux de chômage des actifs récents ayant au plus le brevet des collèges et celui des diplômés du supérieur a beaucoup varié selon la conjoncture générale du marché du travail et la nature des politiques d’aide à l’emploi en direction des jeunes. Ces politiques ont été plutôt favorables aux peu ou pas diplômés au milieu des années 80 (travaux d’utilité collective, stages d’insertion dans la vie professionnelle) et aux diplômés, y compris ceux du supérieur, à la fin des années 90 (emplois jeunes).
Cet écart a toujours été très important. Mesurée par le rapport des odds ratio, la probabilité d’un jeune actif d’être au chômage plutôt qu’en emploi en début de vie active est, depuis 1978, entre 4 et 10 fois plus élevée pour un peu ou pas diplômé que pour un diplômé du supérieur. Au-delà des fluctuations conjoncturelles, il n’apparaît pas de tendance de long terme, ce qui traduit une certaine constance de l’avantage relatif du diplôme sur la protection face au chômage au cours de ces trente dernières années.
Davantage de personnes dans le « halo du chômage » en début de vie active avec des écarts importants selon le niveau de diplôme
Dans les premières années suivant la fin de leurs études, les jeunes sont relativement nombreux à faire partie du « halo du chômage ». En 2010, 3,5% des jeunes ayant achevé leurs études depuis un à quatre ans sont sans emploi sans être classés comme chômeurs bien qu’ils souhaitent travailler, contre seulement 1,3% pour ceux qui ont terminé leurs études depuis plus de dix ans. Comme pour le taux de chômage, la part du « halo du chômage » est d’environ 2,5 fois plus forte de un à quatre ans après la fin des études qu’au-delà de dix années et les écarts selon le niveau de diplôme sont très importants en début de vie active (8% des peu ou pas diplômés font partie du « halo du chômage » en 2010, contre seulement 2% des diplômés du supérieur)...
En 2010, le sous-emploi concerne 1 emploi sur 10, un à quatre ans après la fin des études
La proportion d’actifs occupés qui travaillent à temps partiel dépend peu de leur ancienneté sur le marché du travail: en 2010, parmi ceux qui ont un emploi, 16% des actifs récents travaillent à temps partiel, contre 18% pour ceux qui ont terminé leurs études depuis plus de dix ans. Au sein des actifs récents, le travail à temps partiel est plus fréquent chez les peu ou pas diplômés, bien que ces derniers soient plus souvent des garçons: parmi ceux qui travaillent, près d’un quart est à temps partiel, contre environ 2 sur 10 pour les diplômés du secondaire et seulement 1 sur 10 pour les diplômés du supérieur...
Les différences de salaires entre les plus et les moins diplômés en début de vie active ont peu varié depuis le début des années 2000
Pour un groupe d’individus en emploi, le salaire médian est le salaire pour lequel 50% d’entre eux gagnent moins et 50% gagnent plus. Parmi les actifs travaillant à temps plein, le salaire net médian (en euros constants) de ceux ayant terminé leurs études initiales depuis plus de dix ans est nettement supérieur à celui des actifs récents (au moins 20% de plus entre 1990 et 2010).
Les diplômés du supérieur, et notamment ceux du supérieur long, ont un salaire médian nettement plus élevé en début de vie active que celui des diplômés du secondaire et des peu ou pas diplômés. Ainsi, en 2010, la moitié des actifs récents travaillant à temps plein diplômés de l’enseignement supérieur long perçoit un salaire mensuel net supérieur à 1820 euros contre 1480 euros pour ceux de l’enseignement supérieur court, 1 280 euros pour les titulaires d’un baccalauréat, 1200 euros pour les diplômés d’un CAP ou BEP et 1160 euros pour les peu ou pas diplômés...

Le Baromètre de la Formation Professionnelle©

Avec le Baromètre de la Formation Professionnelle©, Place de la Formation propose de mieux cerner l'évolution des pratiques. Ce baromètre annuel livre les tendances actuelles du marché de la formation et s'adresse à tous les acteurs de la formation professionnelle: directeurs des ressources humaines, responsables de la formation, organismes de formation, salariés, institutionnels, organismes paritaires de collecte agrées...
Publié au mois de janvier, le Baromètre de la Formation Professionnelle© est établi à partir des demandes émises à Place de la Formation par les entreprises privées et publiques, de toutes tailles, tous secteurs et localisations confondus, au cours de l’année de référence.
Les langues, en particulier l’anglais, occupent la première place des demandes de formation émises par les entreprises avec 31,45% de celles-ci.
L’informatique (11,27%) occupe la seconde place, suivie du Développement Personnel - Efficacité Professionnelle (11,05%), de la Sécurité - Qualité (8,33%), du Management des hommes - Management Opérationnel - Leadership (7,54%) puis de la Bureautique (5,76%).
Ces six domaines de formation représentent à eux seuls les trois quarts des demandes de formation des entreprises (75,04%).
Les dix premiers domaines de formation les plus demandés représentent quant à eux près de 90% des demandes des entreprises (88,15%). Suite...

Uniformation met en place un système d’évaluation en ligne sur son offre de formation

Ce système de questionnaires en ligne permet également des analyses comparatives au plan national puisque Formetris, le prestataire retenu, mutualise les évaluations de toutes les entreprises utilisatrices.
Pour les 600 à 700 sessions de formation 2013/2014 que proposera Uniformation en juin à ses adhérents, la mise à disposition de postes de saisie pour une évaluation à chaud sans délai et en toute accessibilité est intégrée dans l’appel d’offre auprès des organismes de formation. Une seconde évaluation à froid par les stagiaires et par leurs responsables hiérarchiques est proposée, permettant de voir si la formation répond bien à la complexité et à la technicité de leur travail.
L’évaluation des formations est aujourd’hui une obligation majeure dans l’achat de formations dans toutes les branches professionnelles couvertes par Uniformation (acteurs du lien social et familial, animation, aide à domicile, ateliers et chantiers d'insertion, missions locales, etc.). Ce processus s’inscrit dans l’engagement d’Uniformation de développer l’accessibilité à la formation pour toutes ses entreprises adhérentes, et en particulier les plus petites. Lire le communiqué d’Uniformation.

Des CAE plus longs pour les personnes en difficulté d'insertion

Il est demandé aux services de l’Etat et aux prescripteurs d’allonger la durée des nouveaux CAE pour atteindre une durée moyenne de 12 mois (pas de changement pour le renouvellement des contrats en cours). Les modalités d’allongement seront définies entre la Direccte et Pôle emploi, en lien avec les conseils généraux, dans le cadre fixé par la DGEFP. Circulaire n°2013-02 du 22 février 2013.
