L'université toujours plus professionnalisée


MBA, masters, mastères: les recruteurs en redemandent


Utiliser les médias sociaux pour ouvrir le débat

Et en tant que communicant, nous sommes souvent amenés à faire passer des informations qui nous le savons à l’avance ne seront pas forcément bien accueillies…
Avec la présence quasi-systématique des universités sur les médias sociaux et notamment sur Facebook, nous disposons maintenant d’espaces sur lesquels chacun peut s’exprimer. Et à mon avis, mieux vaut se servir de ces espaces plutôt que les subir… Suite de l'article...

Publications statistiques en retard

J’ai beaucoup critiqué le gouvernement de droite parce que les publications de la DEPP étaient devenues peu nombreuses, tardaient à être publiées ou même mises dans les tiroirs. Lire la chronique du 26 novembre 2011: « La statistique publique en péril ».
La gauche, après de beaux efforts initiaux, va-t-elle emprunter les cheminements erratiques et inadmissibles de la droite? J’observe en effet que l’Atlas régional des effectifs étudiants 2011-2012 et que le 6ème Etat de l’enseignement supérieur et de la recherche ne sont pas encore publiés. Je constate également que seulement 17 Notes d’information ont été publiées depuis la nomination de la nouvelle Ministre (32 pour l’ensemble des deux ministères en 2012). Suite de l'article...

Universités: non à une contre-réforme réactionnaire


Grognes dans les IUT

Pour comprendre ce mécontentement, il faut le situer dans le contexte du projet de loi Fioraso, réformant l’enseignement supérieur et la recherche. Les personnels des IUT, l’Association de leurs directeurs (Portail des IUT) et celle de leurs présidents (INPIUT) ont vécu un grave malaise ces dernières années à cause de la mise en œuvre des responsabilités et compétences élargies: ils ont participé aux efforts pour faire face aux difficultés financières que les RCE ont créées dans les universités; dans de nombreux cas, ils ont dû en faire plus que les autres, parce que les IUT étaient considérés comme « riches » de par leurs ressources tirées du développement de l’alternance. Pour en savoir plus: 106 chroniques du blog consacrées aux IUT.
Les IUT ont joué le jeu des Assises en faisant 39 propositions: elles n’ont pas été reprises dans le projet de loi Fioraso, la Ministre n’ayant même pas eu la courtoisie d’en accuser réception. Les directeurs et les présidents des IUT en sont fort amers et appellent à des réunions d’information en mars. Suite de l'article...

L’enseignement supérieur de demain se fera-t-il à distance ?

Aux États-Unis ils s’appellent Coursera, Udacity ou edX, au Royaume-Uni FutureLearn s’apprête à se lancer, tous mettent en ligne des centaines de cours gratuits pouvant ensuite déboucher sur l'obtention de certificats. En France les MOOC n’existent aujourd’hui quasiment pas mais tout le monde en parle. En annonçant, qu’elle allait mettre gratuitement en ligne quelques cours à la rentrée 2013 sur une partie qui lui sera dédiée du site Coursera (lire plus bas), l’École Polytechnique rejoint un mouvement qui a débuté aux États-Unis en 2011 quand l’université de Stanford a ouvert son premier cours en ligne sur l’intelligence artificielle.
Auparavant, la Khan Academy mettait bien des cours en ligne mais ne se prenait pas pour une grande université pour autant. A la suite de Stanford, ce sont toutes les grandes universités américaines qui ont rejoint un mouvement qui a littéralement frappé le monde de l’enseignement de stupeur. Mais comment les universités américaines peuvent-elles mettre – gratuitement - en ligne des contenus qu’elles font normalement payer cher, très cher, à des étudiants triés sur le volet? « La création de MOOC est réservée à de grands établissements qui inventent ainsi de nouveaux business models: l’enseignement est gratuit à l’entrée mais payant à la sortie, lorsqu’il faut délivrer un diplôme ou un certificat à ceux qui ont suivi gratuitement les cours en ligne », répond Jean-François Fiorina, le directeur adjoint du groupe Grenoble École de management. Suite de l'article...

Paris Sciences et Lettres - vrai projet commun et fédérateur

Après avoir dirigé l’École normale supérieure (ENS), Monique Canto-Sperber est devenue en 2012 présidente de l’université de recherche Paris Sciences et Lettres (PSL) qui réunit aussi bien l’ENS que le Collège de France, l’université Paris Dauphine ou encore les Beaux-Arts de Paris.
Un ensemble d’excellence de niveau mondial qui provoque parfois bien des jalousies mais n’en trouve pas moins peu à peu sa place dans un enseignement supérieur en mutation perpétuelle. Entretien. Suite de l'article...

Les prépas s’interrogent sur leur avenir
Par Olivier Rollot.La nouvelle loi à venir sur l’enseignement supérieur et la recherche a au moins cela de positif qu’elle fait se poser plein de questions. Si les proviseurs réunis au sein de l’Association des proviseurs ayant des classes préparatoires aux grandes écoles (APLCPGE) se disent ainsi « favorables » à la réforme, ils ne veulent pas qu’elle prenne la forme d’une « annexion des filières CPGE grandes écoles par les universités ».
Un rapprochement, pas une absorption!
« Nous sommes favorables à des rapprochements avec l’université mais dans le cadre d’une loi incitative. Imposer c’est prendre le risque d’opposer », réagit Patrice Corre, proviseur du lycée Henri IV et vice-président de l’APLCPGE (lire son entretien complet bientôt), qui souhaite également « pouvoir signer des conventions avec toutes sortes d’établissements et pas seulement les universités » tout en soulignant que « 100% de ses étudiants intégrant ensuite une grande école l’inscription à l’université ne leur est guère nécessaire ». Lire la suite...
De réir Olivier Rollot. An dlí nua atá ag teacht ar ardoideachas agus ar thaighde ar a laghad, tá sé dearfach a bheidh sé a iarraidh go leor de na ceisteanna. Má príomhoidí bailíodh ag Cumann Phríomhoidí le ranganna ullmhúcháin do Grandes écoles (APLCPGE) arna shloinneadh mar "fabhrach" chun athchóiriú, nach bhfuil siad ag iarraidh é i bhfoirm CPGE "annexation slabhraí scoileanna ard ag ollscoileanna." Níos mó...