Lors d'un sommet ministériel européen sur les Technologies Clés Génériques (KETs pour Key Enabling Technologies), organisé à Grenoble, les 6 et 7 février, Geneviève Fioraso a réaffirmé l'enjeu que représentent les KETs pour la croissance, la compétitivité de l'industrie et le redressement européen.
Geneviève Fioraso représentait la France lors d'un sommet ministériel européen sur les Technologies Clés Génériques (KETs pour Key Enabling Technologies), organisé à Grenoble, les 6 et 7 février, en présence de M. Antonio Tajani, Vice-président de la Commission européenne, de la ministre espagnole de la recherche et des représentants allemands, anglais et italiens.
A l'heure où les chefs d'état européens négocient le montant du budget pour la période 2014-2020, ce sommet a été l'occasion de réaffirmer l'enjeu que représentent les KETs. Dotées d'un budget prévisionnel de 6,6 milliards d'euros dans le futur programme de recherche et d'innovation HORIZON 2020, elles sont un levier essentiel de la croissance, de la compétitivité de l'industrie et du redressement européen.
La capacité de l'Union européenne à développer et à déployer des technologies clés à l'échelle industrielle s'inscrit pleinement dans les priorités réaffirmées par le Conseil européen, dans le cadre du "pacte pour la croissance et l'emploi", adopté les 28 et 29 juin 2012. Suite de l'article...

By Paul Fain. It was last December, and the University of Wisconsin at Green Bay’s holiday break had begun. But Alex Stenner, a sophomore and human biology major there, spent his two weeks off earning three credits from the university. And he did it without attending a single class -- at a total cost of $90.
Free online courses don’t lead to college credit, at least not directly. But students can use free course content from providers like the Saylor Foundation and Education Portal to study for “challenge exams,” which may be the fastest and most inexpensive way to earn credits.
The examinations, like those offered by Excelsior College and the College Board’s College Level Examination Program (CLEP), are designed to test whether students grasp the concepts that would be taught in a conventional classroom version of general education courses. In that sense, they combine elements of both competency-based education and prior-learning assessment. Read more...

I don’t usually like to title a post with negative connotations, but there is no way to put a positive spin on my experience with the MOOC I’m enrolled in through Coursera, Fundamentals of Online Education: Planning and Application. The course so far is a disaster, ‘a mess’ as numerous students have called it. Ironically, the learning outcome of the course is to create our own online course. To be fair, there are some good points to the course, but there are significant factors contributing to a frustrating course experience for students, myself included.
Group Chaos
There are three key factors contributing to this course calamity and all link to the group assignment. The first, a ‘technical glitch’ was big enough to cause one of Google’s servers to crash. Another, causing considerable distress to students is the lack of instructions for the assignments and the group activity—there was no clarity provided on the objective or purpose of the groups. I’ll review here what went wrong, highlight students’ reactions to the problems. Though it’s too late to fix the situation now, I’ve also provided a suggestion to the course instructor, what to do for the next course to prevent a repeat of this scenario. And to help instructors or educators be more effective with their own instruction, with group activities in particular, I’ve outlined strategies and tips for the creation and facilitation of group learning activities. Read more...

By Andrew Spinner. One of my many roles at @Understoodit includes conducting onging analysis and research of education technology tools and trends.  One of the most interesting and heavily discussed areas relates to what is known as Massive Open Online Courses, or MOOC for short.  MOOCs are like your typical university style class – a professor, students, homework, and exams.  However, these courses are open to anyone, anywhere in the world, and the majority of them are completely FREE.
Your immediate reaction might be that these courses might not be reputable or have the same quality instruction compared to a school you attended, but this couldn’t be further from the case.  Organizations offering MOOCs have agreements with extremely reputable schools and professors.  For example, you can attend a course on Artificial Intelligence for Robotics at Stanford University.  Self-driving cars anyone?  As you can see, this isn’t your typical Intro to Geography (although I’m sure that’s offered somewhere too).  Courses can range from basics to the most advance courses around…free. There are a growing number of MOOC platforms where you can sign up and attend the courses.  Some of the most reputable platforms include:  Udacity, Coursera, and EdX. Read more...

A world map of Open Educational Resources initiatives: Can the global OER community design and build it together? DRAFT Summary report of an international conversation: 12–30 November 2012.
Abstract   
Four topics for the creation of the OER mapping model are addressed:
1) A rationale for a collaborative OER world map
"How would a visual OER world map be useful in your own setting and from your own perspective?”
2)The essential information
a) Basic, Enhanced and Further Enhanced levels
3)The visual presentation
4)The organizational approach
Also addressed in this report are discussions related to ongoing concerns in the field of OER and the next steps needed to create the final version of the model.
Attachment: OER mapping discussion DRAFT Report.

By Clay Shirky. I wrote a thing last fall about massive open online courses (MOOCs, in the parlance), and the challenge that free or cheap online classes pose to business as usual in higher ed. In that piece, I compared the people running colleges today to music industry executives in the age of Napster. (This was not a flattering comparison.) Aaron Bady, a cultural critic and doctoral candidate at Berkeley, objected. I replied to Bady, one thing led to another, the slippery slope was slupped, and Maria Bustillos ended up refereeing the whole thing here on The Awl.
Bustillos sees institutions like San Jose State experimenting with credit for online courses from startups like Udacity, and asks: "are we willing to jeopardize the education of young people (at the cost of millions or billions in public funds) on a bet like that?” Read more...

Par Olivier Rollot. Grande école de « management et communication interculturels», l’ISIT a longtemps formé principalement des interprètes et des traducteurs avant de s'ouvrir à d’autres professions. Sa directrice générale, Nathalie Gormezano, analyse avec nous la place que doivent avoir aujourd’hui les langues dans l’enseignement et nous explique comment ses propres élèves sont formés.
Olivier Rollot : On dit tout le temps que les Français sont nuls en langue. Est-ce vrai ?
Nathalie Gormezano : Mais pas du tout. Les Français sont aussi bons en langues que les autres. Nous recevons des jeunes qui ont un bon niveau, sans être exceptionnel, et en cinq ans, nous les amenons à s’exprimer dans deux autres langues que le français aussi bien qu’une personne née avec cette langue. L’apprentissage des langues, c’est comme la musique, c’est une passion, tout le monde peut y arriver en travaillant.
O. R : Vous le dites, il n’y a donc pas d’impossibilité culturelle. Pour autant le niveau en langue des jeunes Français reste faible. Comment l’expliquer?
N. G : Tout simplement parce que la maîtrise des langues étrangères n’est pas encore considérée par tous comme un bagage obligatoire pour trouver un emploi. De ce fait, les langues ne sont pas encore assez valorisées. Suite de l'article...

Níos mó...

Par Olivier Rollot. Université généraliste, Versailles Saint Quentin en Yvelines (UVSQ) propose aussi bien des cursus en médecine qu’en histoire, en biologie ou en DUT à ses 19 000 étudiants. Elu à sa tête en 2012 Jean-Luc Vayssière est un président communicant, que ce soit sur son blog ou sur Twitter (@JL_Vayssiere), qui trace le portrait d’une université à laquelle on donne de plus en plus de missions sans toujours lui donner les moyens nécessaires.
Olivier Rollot : Comment définiriez-vous le rôle d’une université comme la vôtre, de création récente, pas parisienne mais proche de Paris, généraliste mais ne proposant pas toutes les spécialités?
Jean-Luc Vayssière: L’UVSQ a développé une offre de formation généraliste de proximité en licence qui répond bien aux besoins des lycéens, des formations professionnalisantes en lien avec le tissu économique (mécatronique, chimie, développement durable, éco-construction), et une offre en master spécialisée sur nos niches de compétences en recherche. Voir l'article en entier...

Par Olivier Rollot.Après la concertation l’heure est venue des décisions et, fatalement, ce sont les non-dits et les malentendus qui se font entendre et donnent quelque peu l’impression que le gouvernement navigue à vue. Les semaines à venir risquent en tout cas d’être fertiles en rebondissement et le jeune (45 ans) rapporteur du futur projet de loi relatif à l’Enseignement supérieur et la Recherche, Vincent Feltesse, député de la Gironde et Président de la Communauté urbaine de Bordeaux, aura à faire preuve de l’habileté qu’on lui reconnaît généralement – lorsqu’il était professeur à l’IEP de Bordeaux il y enseignait la communication publique et politique – pour faire adopter un texte qui ne mécontente pas (trop) tout le monde.
Calmer les présidents d’université
La liste des mécontents est en effet montée très rapidement ces deux dernières semaines. Il y avait déjà les profs de prépas, qui ont peur de se faire absorber par l’université, les grandes écoles, qui ont l’impression que la loi se fait sans eux (mais n’en sont pas toujours si fâchées), les professionnels, qui se sentent totalement exclus, il y a maintenant beaucoup d’enseignants chercheurs, qui voient renaître avec effroi l’Aeres de ses cendres, et surtout de présidents d’université. Suite de l'article...