Accreditation in higher education why and how
Despite rapid reforms in higher education, matching reforms in funding pattern, accountability, quality and excellence could not be achieved because of capacity constraints in government higher education institutions (HEIs). This resulted in private HEIs (60-80 per cent) gaining prominence; substandard infrastructure and inadequate faculty (average deficit of 51.36 per cent in universities and 41per cent in colleges, UGC 2009); and loss of ethics and values in administration of both government and private HEIs. Read more...
Indian universities crying for better leadership, say 90% academics
The Times of India. By Manash Pratim Gohain. A global survey of the academic community on the leadership challenges faced by the Indian higher education system has revealed that the sector is facing shortage of capable leaders with 92% of the respondents saying that this trend is expected to continue until 2020. Just 5% of the respondents said that there was no paucity of leaders.
The results of the survey were unveiled at the Education Promotion Society for India (EPSI), a national body of over 500 higher education institutions, summit on developing transformational leaders for Indian higher education on Thursday.
Nearly 81% of the respondents pointed to a serious gap between the existing pool and the requirement of academic leaders to meet 12th Five Year Plan and India Vision 2020 for Higher Education sector. Only 18% respondents said that there is moderate gap between the expected demand and the available pool. Read more...
International degree providers, an asset to national education sector - SB

The minister said he believed international education was important and vital in providing the sufficiently qualified manpower requirements that the government and private sector require to achieve the country's goals in national development.
The minister was speaking at the opening of Horizon City Campus, an international degree providing institution at Kirimandala Mawatha, Narahenpita.
Dissanayake addressing a gathering after opening the new institution said it was his firm belief that students, who are exposed to expectations and rigours of an international programme, would also have the opportunities of utilisng such experiences, within a Sri Lankan context. Read more...
New report calls for increases in state appropriations for higher education

While enrollment in public universities has increased by 23 percent since 2000, state appropriations have remained constant, prompting universities across the nation to look to belt-tightening strategies, according to the report.
“Budget cuts have had a big effect on our education, specifically class offerings, making it hard to get the classes we want and graduate on time,” said UC Berkeley student Johnny Garcia Vasquez.
Among the 17 states suffering the largest cuts, per student funding has fallen by almost 20 percent in the past five years, according to the report. Read more...
Surge in students studying for UK degrees abroad

The number of students studying for UK degrees in overseas countries increased 13% last year, as universities focused their energies on international recruitment.
International offshoots of UK universities, partnerships with foreign institutions and online study mean there are now more students on UK university courses abroad than there are international and EU students coming to the UK to study.
Some 571,000 students studied abroad in 2011-12, a third more than in 2009-10, with universities enrolling most students in Malaysia, Singapore and Pakistan.
Oxford Brookes, which offers students training with the Association of Chartered Certified Accountants (Acca) the option to also study for a degree in applied accounting, recruited by far the most students overseas (251,990 or 44% of those studying UK degrees abroad). It was followed by the University of London (45,680), the Open University (42,685) and the University of Wales (16,250). Read more...
PACA - Investir dans l'éducation, les compétences et la formation tout au long de la vie (Objectif UE 2020 n°10)

Voici la fiche 10- Investir dans l'éducation, les compétences et la formation tout au long de la vie du Diagnostic territorial stratégique PACA: DTS PACA.
Partie 1 : Etat des lieux, enjeux, orientations
1. Etat des lieux
ATOUTS
· Une carte des formations initiales riche, élaborée en lien étroit entre les autorités académiques et le Conseil Régional et conformément aux orientations du CPRDFP 2011-2015.
· Une offre de recherche/formation diversifiée et rationalisée avec la création de la plus grande université française, Aix-Marseille Université (70 000 étudiants).
· Un réseau dense de partenariats permettant d’accompagner l’ouverture des établissements d’enseignement et de formation au monde professionnel, aux mobilités internationales et à la culture.
· Une organisation opérationnelle de lutte contre le décrochage scolaire et universitaire grâce à un partenariat solide entre académies, universités, Conseil Régional et association régionale des Missions locales.
· Des résultats encourageants pour la politique en faveur de l’égalité des chances (dispositifs des internats d’excellence – ex : 63 places labellisées en 2011, 84 en 2012 à Barcelonnette - cordées de la réussite...).
FAIBLESSES
· Un flux annuel de sorties sans qualification supérieur à la moyenne nationale : 5,8% Aix-Marseille, 4,2% Nice contre 3,5% en France.
· Des formations post-baccalauréat peu accessibles aux bacheliers professionnels (un taux de poursuite d'études pour ce public en 2011: 15,3% à Nice, 15,1% à Aix contre 18,8% en France) et à certains bacheliers technologiques (32,9% à Nice, 45,1% à Aix contre 41,8% en France).
· Une offre de places en internat inférieure à la demande pour l’académie d’Aix-Marseille (particulièrement à Marseille) et une répartition territoriale inégale des internats pour l’académie de Nice.
· Un faible niveau de formation de la population.
· Un faible accès des actifs (peu ou pas diplômés) aux dispositifs de formation tout au long de la vie.
OPPORTUNITES
· Un territoire offrant des débouchés professionnels dans des domaines de compétences variés: tourisme-hôtellerie, mer (haute plaisance...), santé, bien-être, culture et économie verte.
· De grands projets d’aménagement du territoire et de développement économique: ITER, OIN Plaine du Var, Euroméditerranée, lesquels sont toujours accompagnés d’infrastructures de formation.
· Une économie faisant structurellement appel aux premiers niveaux de qualification (les certifications de niveaux V permettent une insertion dans des métiers qui représentent 39% de l’emploi régional)
· Un réseau performant d'infrastructures numériques, qui pourra permettre le développement de contenus éducatifs innovants et performants.
· Une région d’accueil de population jeune issue de l’immigration, dont la maitrise de la langue maternelle contribue au développement d’une coopération méditerranéenne.
· Un projet phare avec l’Italie, "SMART", pour la création d’un livret de compétences de mobilité transfrontalière.
MENACES
· Une situation sociale localement critique voire explosive, donc potentiellement peu propice à l’amélioration des niveaux d’éducation/formation tout au long de la vie (très fortes inégalités, pauvreté des familles, violence, taux de chômage supérieur à la moyenne nationale).
· L’importance de l’économie parallèle dans certains quartiers, nuisant à la poursuite d’études.
· Un réseau d’infrastructures de transports mal adapté sur l’agglomération marseillaise pouvant favoriser le décrochage scolaire en lycée professionnel.
· Un renforcement du déséquilibre entre les universités, qui sont de taille très contrastée.
· L’espace d’accueil sur le marché du travail des non-diplômés se rétrécit et le diplôme (dans le sens générique de certification) reste un critère déterminant (la part des métiers dans lesquels les jeunes sans diplômes sont majoritaires ne représente plus que 15% de l’emploi régional).
Synthèse de l'état des lieux
· Une carte régionale des formations initiales globalement cohérente, mais une tendance au décrochage qui se
retrouve à tous les niveaux de formation, imputable notamment à une concentration des handicaps sur certains
territoires (niveaux de pauvreté élevés, lacunes en termes de transport, importance de l'économie parallèle).
· Un faible niveau de formation de la population et un flux annuel de sorties sans qualification supérieur à la moyenne
nationale.
· Des opportunités de développement économique soutenues par une formation supérieure diversifiée, mais
nécessitant davantage de complémentarités entre établissements.
· Un chômage de masse qui met sous pression tous les dispositifs de formation tout au long de la vie.
· Une ouverture internationale s’appuyant sur des projets favorisant la mobilité, l’acquisition de compétences et le
sentiment d’identité euro-méditerranéenne mais qui demande à être encore amplifiée.
2. Enjeux
L’éducation et la formation contribuent à l’exercice d’un droit réel de l’individu, fondateur de sa citoyenneté, de son insertion sociale et professionnelle, et plus largement de son épanouissement. Ces enjeux sont au centre du développement social, humain et économique de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, caractérisée par de fortes disparités.
L'investissement dans l'éducation, les compétences et la formation doit pouvoir répondre aux enjeux prioritaires suivants:
· La diminution du taux de sortie sans qualification du système scolaire et universitaire et la baisse en deçà de 10% du taux de décrochage scolaire
· la diminution des inégalités entre des territoires très contrastés et l'amélioration des conditions de vie de tous les apprenants (hébergement, restauration, transports, accès à la santé, au droit et à la culture)
· l'augmentation du nombre des actifs accédant aux formations tout au long de la vie
3. Orientations
· Faciliter l’accès à une première qualification et élever le niveau de qualification globale:
Dans un double contexte de raréfaction de l’emploi d’une part et d’accroissement généralisé de la valeur de signalement des certifications sur les marchés du travail d’autre part, la détention d’une qualification reconnue est le principal facteur d’insertion professionnelle durable. Cette orientation se décline à la fois dans une logique appréhendant les modalités de constitution d’une offre de formation qui puisse mettre en relation une demande sociale d’éducation et de formation et une demande économique de qualifications, mais également en considérant la personne et tout ce qui, pour elle, constitue un frein, un obstacle ou une limite à l’accès ou à la réussite d’un parcours d’insertion professionnelle. Dans ces perspectives, la triple entrée, par secteur, par public et par territoire, est constitutive de la notion de cohérence que s’attachent à partager les acteurs et financeurs de la formation professionnelle, initiale et continue, notamment les signataires du Contrat de plan régional de développement des formations professionnelles.
· Promouvoir l’égalité des chances sur le territoire et lutter contre le décrochage scolaire et universitaire:
Les constats opérés sur le fonctionnement de l’appareil de production des qualifications indiquent tous les inégalités produites par les très grandes disparités socio-spatiales du territoire régional. La mise en oeuvre de cette orientation repose sur une importante mobilisation des acteurs concernés, à la fois sur la compréhension, la prévention et l’observation des phénomènes de décrochage que sur l’accompagnement vers la qualification. L’ensemble des dispositifs de repérage, de prise en charge, de remédiation scolaire ou sociale, ainsi que d’accès à la qualification doivent parvenir à assurer une continuité de prise en charge, et à concrétiser une nouvelle chance pour les jeunes susceptibles de sortir sans aucune qualification du système éducatif. Les conditions de vie des apprenants (élèves, apprentis, étudiants, stagiaires) pour la réussite et l’insertion de tous doivent également être améliorées, par le développement des capacités d’hébergement et de restauration pour les populations apprenantes (résidences, foyers, restaurants universitaires…), une optimisation des transports, le renforcement des aides individuelles et de l’accès à la santé, au droit, à la culture.
· Garantir la continuité professionnelle pour tous:
L’économie de la région PACA, fortement marquée par la double saisonnalité, tout autant que par la prégnance d’une forte activité résidentielle et présentielle, n’a pas été épargnée par la crise. Anticiper la transition de cette économie nécessite de mobiliser toutes les ressources de gestion territoriale de l’emploi, des compétences, des qualifications, tout en dynamisant le dialogue entre les acteurs et financeurs de la formation et les représentants des secteurs professionnels. Le renforcement de l’accompagnement des salariés et demandeurs d’emploi, le déploiement d’une offre de reconversion et de (re)qualification, la sécurisation de leurs mobilités doivent permettre d’accroître la capacité du territoire à formuler une réponse aux enjeux économiques de demain.
· Développer des partenariats transfrontaliers et internationaux pour:
Amplifier les possibilités de mobilités internationales des apprenants (lycéens, apprentis, étudiants et stagiaires).
Renforcer la coopération décentralisée sur l’échange de compétences, en valorisant notamment les acquis en matière de coopération euro-méditerranéenne, afin de favoriser l’acquisition de compétences pouvant être réinvesties dans le cadre professionnel.
Améliorer la lisibilité et l’accessibilité de l’offre de formation en région PACA pour les résidents de l’Union Européenne.
Partie 2 : Déclinaison territoriale des enjeux et orientations
Déclinaison / territoires ruraux
· Développer des réseaux de lutte contre le décrochage scolaire dans les territoires ruraux (Hautes-Alpes et Alpes de Haute-Provence).
· Développer les dispositifs relais dans le nord des deux départements alpins.
· Encourager les stages à l’étranger des lycéens professionnels.
· Favoriser l’accueil en internat.
· Améliorer la formation des saisonniers.
· Développer les projets PASS.
· Développer le dispositif TANDEM.
· Optimiser la carte des formations post-bac et développer des formations dans les domaines des nouveaux secteurs d’activité.
Déclinaison / territoires périurbains
· Favoriser l’accueil en internat.
· Encourager les stages à l’étranger des lycéens professionnels.
Déclinaison / territoires urbains
· Encourager les stages à l’étranger des lycéens professionnels.
· Favoriser l’accueil en internat- un projet d’envergure sur Marseille (caserne du Muy) s’impose.
· Création d’un dispositif « Nouvelle Chance « sur Marseille.
· Développer les projets PASS, permettant la sensibilisation à la culture scientifique et technique par immersion d’élèves de milieux défavorisés dans le monde de la recherche.
· Développer le dispositif TANDEM.
· Optimiser la carte des formations post-bac et développer des formations dans les domaines des nouveaux secteurs d’activité.
· Développer des coopérations inter-établissements (parrainage, extension du dispositif des rencontres enseignants-chercheurs).
Déclinaison / mer - littoral
· Faciliter l’accès à la formation des salariés des activités saisonnières.
· Explorer avec le Comité Consultatif régional de la Mer les opportunités d'emplois et de formations induits par les activités du littoral (portuaire, industrielle, touristique, nautique, développement durable, services…).
Déclinaison / transfrontalier
· Développer le projet SMART (programme Alcotra)
Déclinaison / transnational
· Consolider le partenariat PACA – Tanger – Tétouan.
Partie 3: Déclinaison transversale des enjeux et orientations
Développement durable
· Adapter l’ensemble des formations aux enjeux du développement soutenable: climat, énergie, gestion des ressources naturelles;
· Favoriser, grâce à une formation ciblée, l’émergence des emplois dans le secteur du développement soutenable, lequel a un fort besoin de structuration (partenariat en cours entre l’Éducation Nationale et la DRAAF pour une formation de niveau 4 de gestion alternative de la forêt avec des stages de professionnalisation à l’étranger);
· Utiliser l’institut régional de formation à l’environnement et au développement durable (IRFEDD) créé en 2009, comme point d’appui pour la structuration et l’émergence d’une économie verdissante ainsi que dans la mise en oeuvre des actions en faveur du développement soutenable en lien avec les PRIDES « verts ».
Égalité H/F
· Passer au crible de « l’analyse de genre » tout dispositif de formation initiale et continue dès sa conception, afin de déterminer pour chacun les effets différenciés qu’il est susceptible d’avoir pour les femmes et les hommes, et d’en modifier éventuellement le contenu et les conditions;
· Etre attentif à un élargissement des choix professionnels des femmes, et à l'augmentation du nombre de femmes dans l’apprentissage;
· Créer les conditions permettant d’assurer aux femmes la continuité de leurs parcours professionnels, celles-ci étant plus souvent confrontées à des ruptures d’emploi de par les postes qu’elles occupent (davantage de CDD, de temps partiel…);
· Envisager la question des conditions de vie des stagiaires, facteur essentiel pour la réussite des parcours de formation, en prenant en compte le fait que certaines femmes sont particulièrement concernées, notamment par les difficultés d’hébergement et de garde d’enfants;
· Inciter les branches professionnelles, les centres de formations d’apprentis et les organismes de formation à intégrer cette exigence d’égalité hommes/femmes dans leurs stratégies et actions.
Égalité des chances
· Mettre en place des référents sociaux-éducatifs dans les quartiers prioritaires et accompagner les jeunes rencontrant le plus de difficultés familiales, sociales ou psychologiques vers des professionnels qualifiés, qui assureront leur prise en charge.
· Consolider les plateformes académiques d’égalité des chances pour l’accès à l’enseignement supérieur, notamment pour favoriser l’accès aux filières sélectives post-bac.
· Renforcer les actions d’aide au parcours et à l’orientation: ouvertures de classes, parrainages des grandes écoles, projets PASS labellisés « cordées de la réussite », permettant la sensibilisation à la culture scientifique et technique par immersion d’élèves de milieux défavorisés dans le monde de la recherche.
· Développer des actions de découverte de l’entreprise et d’aide au projet scolaire et professionnel pour les populations apprenantes.
· Renforcer les actions de tutorat étudiant.
· Financer des places d'internat pour accueillir les boursiers en Sections de Technicien Supérieur et Classes Préparatoires aux Grandes Écoles.
· Développer le dispositif TANDEM labellisé « Égalité des chances » (accompagnement individualisé à la scolarité par la mise en place de binômes constitués d’un élève d’un collège ou lycée prioritaire et d’un étudiant de l’université).
Lutte contre les discriminations
Trop d’inégalités et de discriminations (du fait du lieu de résidence, de l’origine, et/ou du patronyme) freinent encore l’accès de nombreux résidents en Zones urbaines sensibles à la formation et à l’insertion professionnelle. Pour faire évoluer les comportements, il est indispensable:
· d’agir sur les mentalités, de soutenir des projets pédagogiques visant à dépasser les représentations négatives, d'apprendre à considérer les différences comme sources de richesse;
· d'apprendre à tout un chacun, et notamment en milieu scolaire, à reconnaître ce qu’est un comportement discriminatoire et une discrimination, afin d’une part, d’être en mesure de faire valoir ses droits de victime en faisant appel à la justice si besoin, et d’autre part, de prévenir ce type de comportements, et notamment:
- mieux identifier les phénomènes discriminatoires par un développement de l’observation;
- renforcer l’information et l’accompagnement des victimes ou victimes potentielles de discrimination.
· améliorer la professionnalisation des acteurs de l’Accueil Information Orientation, de la formation et de l’emploi dans la prise en compte de ces questions et de favoriser l’essaimage des bonnes pratiques;
· améliorer l’insertion des personnes en situation de handicap, que ce soit pour les parcours de formation ou pour l'insertion professionnelle; notamment en favorisant la scolarisation des enfants handicapés au sein des établissements ordinaires plutôt que dans des établissements spécialisés. Télécharger la fiche 10- Investir dans l'éducation, les compétences et la formation tout au long de la vie du Diagnostic territorial stratégique PACA: DTS PACA.

Qui Scheda 10 - Investire nell'istruzione, le competenze e la formazione per tutta la durata della diagnostica strategica territoriale PACA PACA DTS.
Parte 1: Stato attuale, le sfide, le indicazioni
1. Stato di avanzamento
PUNTI DI FORZA
· Una mappa della formazione iniziale ricca, sviluppata in stretta collaborazione tra le autorità accademiche e del Consiglio regionale e in conformità con le linee guida del CPRDFP 2011-2015.
· Una gamma di ricerca / formazione diversificata e razionalizzato con la creazione della più grande Università francese di Aix-Marseille University (70.000 studenti). Più...
Diagnostics territoriaux stratégiques des régions françaises

Circulaires sur le diagnostic territorial stratégique des programmes post 2013
Descriptif
Téléchargez les circulaires suivantes:
* Circulaire du 12 mars 2012 "Cadrage du diagnostic territorial stratégique des programmes post 2013".
* Circulaire du 16 juillet 2012 "Diagnostic territorial stratégique préparatoires aux programmes européens post 2013" et cadre de restitution.
Boîte à outils de la circulaire du 16/07/12:
- "Enjeux nationaux thématiques – métropole" (131,27 kB)
- "Enjeux nationaux thématiques – RUP" (145,84 kB)
- "Enjeux territoriaux et sectoriels nationaux" (93,37 kB)
- "Eléments de méthode indicatifs" (291,12 kB)
- "Documents et indicateurs de référence" (57,18 MB)
* Enjeux nationaux thématiques – métropole:
1. I H Annexe - Enjeux OT n°8 Emploi ( modifications substantielles des « enjeux généraux »)
2. I I Annexe - Enjeux OT n°9 Inclusion-Pauvreté ( modifications substantielles des « enjeux généraux »)
3. I J Annexe - Enjeux n10 Education-Formation ( modifications substantielles des « enjeux généraux »)
* Enjeux nationaux thématiques - RUP: I J bis Annexe - Enjeux OT n°10 Education-Formation-RUP (modifications substantielles des « enjeux généraux »)
* Enjeux territoriaux et sectoriels nationaux: I L Annexe - Enjeux territoires urbains ( modification mineure clarifiant rôle des centres de ressource régionaux politique de la ville)
* Documents et indicateurs de référence:
1. III A 1 - Annexe documents de référence ( ajout des fiches techniques régionales d’analyse sur le fonctionnement des territoires urbains (Rubrique n°1 « Volet urbain » du cadre de restitution de la circulaire) : voir site de la Mission Europe Urbain "Documents/Règlementation"
2. III A 3 - Indicateurs-Atlas des zones d'emploi ( actualisation des données à 2009 ( 2008 dans la version précédente) + l’indicateur sur l’évolution en moyenne annuelle des estimations d’emplois entre 1998 et 2009 a été recalculé).
Vous pouvez également télécharger tous les documents relatifs à la circulaire du 16/07/12. Téléchargement: circulaires 12 mars 16 juillet 2012.zip.
Diagnostic territorial stratégique: DTS PACA fiche 10- Investir dans l'éducation, les compétences et la formation tout au long de la vie (Objectif UE 2020 n°10).
Autres exemples de fiches: Alsace, Aquitaine, Auvergne, Bourgogne, Bretagne, Centre, Champagne-Ardenne, Corse, Franche-Comté, Guadeloupe, Guyane, Haute-Normandie, Ile de France, Languedoc Roussillon, Limousin, Lorraine, Martinique, Mayotte, Nord Pas De Calais, Pays de la Loire, Picardie, La Réunion, Rhône-Alpes.

Besoin d’un bilan de compétences? Les signes qui ne trompent pas
Propos recueillis par Yves Rivoal. Sans le savoir, vous avez peut-être besoin d’effectuer un bilan de compétences. Estelle Sauvat, directrice générale déléguée du cabinet Sodie, nous dévoile comment repérer les signes qui ne trompent pas.
Quels sont les signes qui peuvent laisser à penser que l’on a besoin d’un bilan de compétences?
- Il faut réagir lorsque l’on perçoit des signes qui laissent à penser que son emploi est menacé pour des raisons d’évolution de la politique interne ou de difficultés inhérentes au contexte économique ou à la filière métier. Ceci étant dit, il est toujours très utile de faire un point sur sa carrière après 10 à 15 ans d’exercice dans une fonction afin de réfléchir à son évolution en interne ou en externe, que les choses se passent bien ou mal. On peut par exemple se sentir très bien dans son travail, mais en même temps éprouver un réel besoin de changement parce qu’on a le sentiment d’avoir fait le tour de la question, ou parce que l’on s’aperçoit que l’orientation que l’on a choisie ne correspond finalement plus à ses aspirations.
Une fois que l’on a détecté ces signaux, quelle démarche adopter?
- Tout dépend du mode de prise en charge du bilan. Le salarié peut très bien initier une démarche individuelle sans en informer son employeur en contactant le Fongecif afin d’obtenir un financement, « hors temps de travail ». Lorsque les relations entre le salarié et l’entreprise sont bonnes, il est également possible d’effectuer son bilan de compétences sur le temps de travail, via le Fongecif ou le DIF. Dans certains cas aussi, l’employeur peut assurer une prise en charge du bilan sur le plan de formation de l’entreprise. Lors des entretiens préalables, on conseille toujours aux salariés de ne pas se mettre en danger par rapport à leur employeur. Certains préfèrent d’ailleurs financer eux-mêmes leur bilan de compétences. Il faut alors prévoir un budget qui oscille entre 1 800 et 3 000 € en fonction du mode de portage et du nombre d’heures. Suite de l'article...
Collected by Yves Rivoal. Unknowingly, you may need to perform a skills assessment. Estelle Sauvat, deputy general manager of the firm Sodie, reveals how to identify the signs are unmistakable. More...
Se former grâce au plan de formation de son entreprise
Propos recueillis par Yves Rivoal. Votre entreprise a probablement mis en place un plan de formation, et vous aimeriez savoir comment bénéficier de ce dispositif? Les conseils de Loïc Cordon, directeur adjoint d’Opcalia Rhône-Alpes (organisme collecteur au titre de la formation professionnelle).
Comment fonctionne un plan de formation?
- La loi stipule que toute entreprise, quelle que soit sa taille et son activité, a l’obligation de formaliser un plan de formation au plus tard le 31 décembre de l’année N-1 pour l’année N.
Dans la réalité, il y a de grandes disparités entre les petites et les grandes entreprises. En général, celles qui disposent d’une structure RH conséquente respectent cette obligation, d’autant plus facilement qu’elles ont des comptes à rendre à leurs instances représentatives. Dans les entreprises de moins de 20, voire de moins de 50 salariés, cet exercice se révèle plus compliqué, faute de compétences en interne.
Quels types d’actions peuvent être financés par les plans de formation?
- Les plans de formation distinguent deux grandes catégories de formation. Dans la catégorie 1, on retrouve des actions dites d’adaptation au poste de travail et de maintien dans l’emploi.
La catégorie 2, comprend, elle, des actions de développement des compétences. Vous l’aurez compris, les actions d’acquisition de titres, de qualification professionnelle ou de diplômes se retrouvent dans cette deuxième catégorie, alors que dans la première, on est majoritairement sur des formations plus courtes. Suite de l'article...
Cruinniú ROPOS bailíodh Yves Rivoal. Tá do chuideachta forbartha is dócha go bhfuil plean oiliúna, agus ba mhaith leat a fhios conas leas a bhaint as an scéim seo? Níos mó...
Des propositions pour favoriser l'insertion des jeunes

Offrir à tous des opportunités de stage
* Créer une banque de stages avec pour objectif dans les deux ans d’instaurer une obligation de résultats pour les établissements à qui incombe la responsabilité de proposer un stage: tous les élèves et étudiants se verront proposer un stage lorsque celui-ci est obligatoire dans le cursus.
* Encourager les établissements à conclure des conventions avec les entreprises accueillant des stagiaires, afin d’éviter toute discrimination.
o Ce sont alors les établissements qui désignent les élèves ou étudiants devant être accueillis (« contrat confiance stage »);
o Il s’agit de sensibiliser et mobiliser les entreprises et les administrations à ce type de partenariat avec des établissements de formation.
Généraliser l’enseignement par alternance à tous les échelons de la formation initiale
* Les formations professionnelles de l’enseignement secondaires seraient entièrement dispensées dans le cadre de l’alternance sous la responsabilité des lycées professionnels ou des lycées techniques et polyvalents.
* Accroître de 100.000 le nombre d’étudiants en alternance au sein des universités (dernière année de licence L3, 2ème année de Master).
* Inciter les entreprises disposant de réseaux d’agences comme les banques, les compagnies d’assurance, les mutuelles, ou des succursales comme la grande distribution à mobiliser les TPE et PME. Ces agences, ces succursales réparties sur l’ensemble du territoire, entretiennent des relations étroites et suivies avec le tissu économique local et sont des relais irremplaçables pour l’accès à l’alternance des jeunes.
Pour aller plus loin
- Choisir les bons leviers pour insérer les jeunes non qualifiés (Note, juin 2012).
- 15 propositions pour l'emploi des jeunes et des seniors (Rapport, septembre 2010).
- Voir la vidéo "15 propositions pour l’emploi des jeunes et des seniors".
