By Ian Wilhelm. Among the states, California has the largest number of international students, while Massachusetts has the largest percentage of such students as part of its total enrollment. In all, 764,495 international students studied in the United States in 2011-12, making up 3.7 percent of the total student population. They and their dependents are estimated to have contributed more than $21.8-billion to the U.S. economy in that year in the form of tuition and living expenses. View Where the International Students Are, State by State in a larger map.

By Beth McMurtrie. The number of Americans who study abroad grew an anemic 1.3 percent in 2010-11, according to the latest "Open Doors" report by the Institute of International Education.
While the numbers, which are on a two-year lag, were no doubt influenced by the country's economic woes, the poor showing highlights the challenges colleges face in making study abroad an integral part of the college experience.
"Those numbers are not growing fast enough," says Peggy Blumenthal, senior counsel at the institute. "We're going to have to find other ways to internationalize the thinking of Americans if we're not going to get them all abroad."
According to the report, 273,996 students went abroad in the 2010 academic year. Europe remains the preferred region of study, drawing 55 percent of all students. But China has steadily inched up over the years and is now the fifth most popular destination, reflecting a growing interest in Asia's leading economy. According to a separate survey by the institute, if those students traveling to China for service-learning projects, research, and other non-credit-bearing work were added in, the total number of students who traveled to China in 2011 climbed to 26,000.
Mexico and Japan saw their figures plummet—by 42 and 33 percent, respectively. No doubt the declining interest was due to the continuing drug-related violence in Mexico and the tsunami in the spring of 2011 in Japan. More...

By Jeff Selingo. In many industries, competition lowers prices, promotes innovation, and often leads to product differentiation. But even with 4,500 colleges and universities, American higher education seems to defy those rules. Prices rise faster than inflation, colleges are seen as resistant to change, and there is a sameness to many institutions, despite all the rhetoric about the diversity of our higher-education system.
Few colleges want to be seen as “stepping away from the herd in meaningful ways” because they are so obsessed with moving to the next level, maintains the late J. Douglas Toma in a recent book, The Organization of Higher Education. More...

By Jeff Selingo. The Association of American Universities operates its club in such secret that most presidents who yearn to get into it have no idea when another exclusive invite might be extended. So a dozen or so university presidents who aspire to be members were probably disappointed on Monday when the AAU announced it was welcoming another expensive private institution to its ranks, Boston University.
Membership in the AAU has become the benchmark for research universities to show the world that they have made the big time. As a result, university leaders who want to be part of the group seem willing to do almost anything to prove they are worthy, including spending their own tuition dollars to gain an advantage in the federal research rankings that matter so much to the AAU. More...

Following is a guest post by Mark Salisbury,  director of institutional research and assessment at Augustana College, in Illinois. For the folks who have been fervently trying over the past decade to persuade more—if not most—undergraduates to study abroad, the almost flat change in participation from 2009-10 to 2010-11, as found in the latest “Open Doors” report, probably didn’t inspire much of a celebration. After several years of more-substantial growth, “Open Doors” reported a measly increase of about 3,000 students, just over 1 percent. Commenting on the lack of growth, Peggy Blumenthal, senior counsel at the Institute of International Education, which produced the report, said: “We’re going to have to find other ways to internationalize the thinking of Americans if we’re not going to get them all abroad.”
When I read Blumenthal’s reaction in The Chronicle, I wanted to crack open a bottle of bubbly. Because in one sentence, she captured the fundamental shift in thinking that can make study abroad realize its educational potential. If international educators can mobilize behind her charge, this seemingly grim report may mark the moment that study abroad got its groove back. View more...

L'Association pour faciliter l'insertion professionnelle des jeunes diplômés (Afij) vient de publier son enquête "Un an après", qui interroge le parcours de jeunes diplômés en 2011 jusqu'à septembre 2012. Celle-ci montre un recul de l'accès à un emploi durable.
Cette enquête annuelle ne reflète pas la situation de l'ensemble des jeunes, prévient l'AFIJ. Néanmoins, elle donne une indication de la conjoncture de l'emploi. En l'occurrence, elle fait ressortir, par rapport à l'an dernier, une dégradation de l'entrée sur le marché du travail pour les jeunes diplômés. En septembre 2012, ceux de l'année passée sont ainsi 50% à occuper un emploi, contre 58% dans l'enquête précédente.

Votez pour vos 25 métiers préférés du 17 octobre au 21 novembre 2012 et remplissez le formulaire pour tenter de remporter:
- Une carte cadeau FNAC d'une valeur de 100 € TTC valable pendant 1 an
- Un "Sonos bridge Accessoire audio sans fil" pour écouter votre musique qu'elle vienne d'Internet, d'un ordinateur ou d’un téléphone d’une valeur de 49.90 € TTC
- Des Palmarès des Métiers 2013
Un tirage au sort désignera les gagnants. Les résultats seront communiqués dès le 23 novembre 2012 sur notre page Facebook.
Dès janvier 2013, retrouvez le classement des 25 métiers préférés dans le Palmarès des Métiers: Infirmier, Chef cuisinier, Directeur artistique, Journaliste, Chef de projet événementiel, Styliste, Cinéaste d'animation, Vétérinaire, Acteur, Illustrateur, Architecte d'intérieur, Avocat, Chanteur, Chirurgien, Community manager, Ecrivain, Graphiste, Ingénieur de la police scientifique, Juge d'instruction, Médiaplanner, Organisateur d'événement, Photographe, Réalisateur, Webdesigner, Archéologue, Banquier, Chef de projet énergies renouvelables, Chef d'entreprise, Croupier, Designer éditorial, Détective privé, Dentiste, Développeur d'applications mobiles, Expert-comptable, Expert immobilier, Home-stager, Kinésithérapeuthe, Game designer, Manager de restaurant, Médecin, Notaire, Pharmacien, Pilote de ligne, Producteur, Professeur des écoles, Psychologue, Responsable de programme solidaire, Sage-femme, Sommelier, Wedding planner.

Les réseaux professionnels n’ont pas encore la grande cote auprès des cadres pour trouver un emploi, selon une enquête réalisée par l’Apec.
L’Association pour l'emploi des cadres (Apec) révèle cependant que la majorité des cadres sont inscrits sur un réseau social professionnel. En tête de leur choix: Viadeo puis LinkedIn.
Un outil considéré comme utile mais peu efficace
La différente, entre le nombre d'inscrits et celui des recrutés, s'explique, selon l'enquête de l'Apec, par la perception des réseaux sociaux. Les cadres considèrent en effet comme utile le fait de s'inscrire, mais ils jugent la recherche d’emploi par un réseau social inefficace.
Avant tout pour entretenir des contacts professionnels
Les réseaux sociaux sont ainsi principalement utilisés par les cadres pour "entretenir des contacts professionnels existants, nouer de nouveaux contacts et publier leur CV en ligne". Une façon  de favoriser d’éventuelles opportunités professionnelles sans forcément voir les réseaux sociaux comme de véritables outils de recherche d’emploi. Seuls 58% des cadres les jugent utiles lors d’une recherche d’emploi, loin derrière les CVthèques et les jobboards, plébiscités par 73% des cadres.
Les méthodes classiques sont sollicitées
Pour trouver un emploi, 84 % des cadres préfèrent encore les méthodes classiques de recherche. En revanche, ils ne sont plus que 36% à juger les réseaux sociaux efficaces pour trouver d’emploi.

Blog Educpros de Pierre Dubois. Suite de la chronique "Les RCE, enfin, contestées!". Geneviève Fioraso, dans une lettre du 15 novembre 2012, rejette la demande des 14 présidents. Refus de "reprendre la gestion de la masse salariale et des postes des personnels titulaires". Refus de remettre en question les Responsabilités et compétences élargies.
Deux pages et demie pour finir par dire: "je suis convaincue que l’autonomie des universités dans une perspective de coopération et d’émulation est la seule solution pour asseoir durablement la position internationale de l’ensemble de notre système d’enseignement supérieur et de recherche, et pas seulement de quelques sites et de quelques établissements prestigieux".
Bref, la Ministre ne veut pas voir que des universités, même d’excellence comme Strasbourg, ont des difficultés financières durables et insurmontables. Cela commence à ressembler à de l’autisme!
Que pense la CPU de la demande des 14 présidents et de la réponse de la Ministre? Rien! Les deux lettres ne figurent pas sur son site. La lettre de la CPU du 16 novembre invite à suivre en direct le colloque "Les Universités européennes à l’horizon 2020: la diversité des excellences". Dans sa contribution pour les Assises, la CPU ne remet pas en question les RCE.
Le prochain bureau de la CPU (président et 2 vice-présidents) sera élu dans un mois. Il est temps, pour les 14 présidents qui en ont “ras-le-bol” et pour les présidents qui les approuvent, de proposer une alternative à l’équipe présidentielle, conduite par le président Salzmann, favorable à la poursuite des Responsabilités et compétences élargies (RCE).

Quel rôle des organismes de formation?
Dans la période antérieure à la crise, la plupart des innovations nécessitait des ajustements en matière de compétences des salariés et il paraissait déjà important d’étudier la relation innovation/compétences. A l’époque 25% des PME industrielles de moins de 50 salariés indiquaient que les manques de compétences techniques de leurs salariés étaient un frein à l’innovation. Il faut souligner que les entreprises innovantes (56% d’entre ellescontre 21% des entreprises non innovantes) mobilisent fortement en interne ou en externe les compétences du numérique et de la communication (conception de sites WEB, développement de logiciels, arts graphiques). Les compétences liées aux TIC apparaissent comme un élément majeur de développement et leur faible pénétration dans certains secteurs et professions s’avèrent désormais comme un frein à l’innovation. Article entier...