Enquête de l'Afpa sur la reconversion professionnelle

56% des actifs déclarent avoir déjà changé d’orientation professionnelle, c'est-à-dire de métier ou de secteur d’activité, au cours de leur carrière. Lorsqu’on les interroge sur leur motivation, c’est l’idée d’un choix professionnel volontaire qui est d’abord citée par 55% des répondants. Les autres raisons: un plan social, une perte d’emploi, une restructuration ou fermeture de site ou des raisons familiales et géographiques.
S’agissant des principales difficultés rencontrées lors de la démarche de reconversion, l’enquête mentionne le manque d’information et d’aide en matière d’orientation pour plus d’un tiers des sondés. Viennent ensuite le manque de soutien en matière de formation, la complexité des démarches, le financement du projet et le fait de concilier l’ancien emploi avec le projet de reconversion.
Une majorité d’actifs ayant déjà changé d’orientation professionnelle au cours de leur vie considèrent qu’un certain nombre d’éléments se sont améliorés après leur reconversion: meilleur épanouissement professionnel, amélioration des conditions de travail, évolution de carrière plus satisfaisante. 71% de ceux qui ont déjà changé d’orientation professionnelle au cours de leur vie jugent qu’il s’est agi d’un nouveau départ dans leur vie, au-delà des aspects professionnels.
Plus d’un actif sur trois n’ayant pas changé d’orientation professionnelle au cours de sa vie se dit prêt à envisager de changer de métier ou de secteur d’activité dans les douze prochains moins. Consulter les résultats de l'enquête de l'AFPA et Ipsos sur la reconversion professionnelle (octobre 2012, 15 p.)

56% του ενεργού έκθεση έχει αλλάξει σταδιοδρομία, δηλαδή, εμπορική ή επιχειρηματική δραστηριότητα κατά τη διάρκεια της σταδιοδρομίας τους. Όταν ρωτήθηκε για το κίνητρό τους είναι η ιδέα της εθελοντικής επαγγελματική επιλογή για πρώτη φορά αναφέρεται από το 55% των ερωτηθέντων. Περισσότερα...
Over 70 per cent overseas Chinese students return home
Nearly 72 per cent of overseas Chinese students have returned to China after finishing education abroad since the late 1970s, a government-backed agency said in a report.
From 1978 to 2011, about 8,18,400 Chinese students returned home after studying abroad, said the report by the Chinese Service Centre for Scholarly Exchange (CSCSE), which is administered by the Ministry of Education. More...
Aligning Kazakhstan's Higher Education Institutions to the West

Why online courses can never totally replace the campus experience
Moocs (massive open online courses) may have many merits, says Patrick McGhee, and some may soon even be accredited – but they can never replace real shared experiences.
I have never liked the idea that in the future we should think of students as "customers" with a relationship to universities defined by money. For me, students are primarily learners – a controversial position, I readily concede, but in my defence I see this in the context of new models, new institutions, new technologies and new relationships for learning.
There are some who argue that the future of learning and the student experience is online. Such projections are as old as the internet itself, but they have recently enjoyed renewed interest through the idea of moocs (massive open online courses) where universities provide open access to their learning content through online platforms. Some serious brands have tentatively engaged with the model such as MIT, Harvard, Princeton and Berkeley. These platforms include Udacity and the Khan Institute. One of these, EdX, has said it hopes to teach a billion students; another, Coursera, advertises with the strapline "Take the World's Best Courses, Online, For Free".
On the surface this might appear to be a serious threat to some campus institutions: what simpleton wouldn't want a degree from Harvard for free? Of course, that is not what is, was, or ever will be on offer, but such headlines are irresistible. So far, most mainstream institutions have breezily dismissed the idea of moocs as a genuine threat, specifically because there is no credit or certification offered with these courses (nor, for that matter, much academic or pastoral support either, though you might get a certificate of completion). More...
Poorer students hamstrung by rising living costs, according to NUS report

Rising living costs and a lack of financial support are preventing disadvantaged students from succeeding at university, according to a report by the National Union of Students. More...
Le contrat d’autonomie: 4 jeunes sur 10 entrés en 2009 ont accédé à un emploi ou à une formation
Par Nadège Couvert (SGCIV), Laure Crusson, Wali Rostam (Dares). Note Dares Analyses-Dares Indicateurs 2012-084 - Le contrat d’autonomie: 4 jeunes sur 10 entrés en 2009 ont accédé à un emploi ou à une formation (nov.2012). Créé en 2008, le contrat d’autonomie vise à accompagner vers l’emploi durable, la formation qualifiante ou la création d’entreprises des jeunes des quartiers prioritaires de la politique de la ville. L’accompagnement du jeune et son suivi en emploi ou en formation sont réalisés par des opérateurs publics ou privés. Entre 2008 et mi-2011, 41 000 jeunes ont signé un contrat d’autonomie dans les trente-cinq départements où le dispositif a été déployé.
D’après une enquête réalisée auprès des jeunes entrés en contrat d’autonomie en 2009, les trois quarts d’entre eux avaient déjà travaillé auparavant et seuls 18% n’avaient jamais été suivis par le service public de l’emploi. 7 jeunes sur 10 avaient un niveau de formation inférieur ou équivalent au CAP-BEP.
Durant les premiers mois, les jeunes ont bénéficié d’un accompagnement intensif et individualisé. Si le niveau de formation initiale joue un rôle important dans l’accès à un emploi, la nature et l’intensité de l’accompagnement prodigué affectent également les chances d’accéder à l’emploi ou à la formation. À l’issue de l’accompagnement, 42% des jeunes signataires en 2009 ont accédé à un emploi ou une formation et cette proportion a eu tendance à croître au cours de l’année. Télécharger la Note Dares Analyses-Dares Indicateurs 2012-084 - Le contrat d’autonomie: 4 jeunes sur 10 entrés en 2009 ont accédé à un emploi ou à une formation.
Un accès à l’emploi plus fréquent pour les diplômés
54% des jeunes suivis par l’opérateur après avoir accédé à un emploi déclarent avoir trouvé leur emploi par eux-mêmes, en mobilisant vraisemblablement l’aide à la recherche d’emploi proposée par l’opérateur. 36% des jeunes déclarent en revanche explicitement avoir trouvé leur emploi par l’intermédiaire de l’opérateur. Les jeunes suivis par des ETT déclarent plus fréquemment avoir trouvé leur emploi par eux-mêmes.
Être diplômé de niveau CAP ou BEP est un atout dans l’accès à l’emploi pour les signataires d’un contrat d’autonomie: 30% des jeunes diplômés de niveau CAP ou BEP ont accédé à un emploi, contre 19% des jeunes du même niveau non diplômés. Les jeunes sortis de scolarité au collège ou en première année de CAP-BEP ont eu encore plus de difficultés à accéder à l’emploi, avec 17% de sorties vers l’emploi. Les jeunes de niveau baccalauréat, avec ou sans diplôme, ont obtenu un emploi dans les mêmes proportions que les jeunes diplômés d’un CAP ou BEP: environ 30% d’entre eux ont accédé à un emploi. L’accès à l’emploi est en revanche plus fréquent au-delà du baccalauréat (36% des jeunes signataires qui ont poursuivi des études supérieures ont trouvé un emploi).
Les femmes s’insèrent plus fréquemment que les hommes en emploi: 28% des jeunes femmes ayant signé un contrat d’autonomie sont sorties vers l’emploi, contre 21% des hommes. Elles représentent la moitié des sortants vers l’emploi alors qu’elles étaient minoritaires à l’entrée en contrat d’autonomie (44%). Par ailleurs, la part de sorties vers l’emploi augmente très clairement avec l’âge: 10% des moins de 18 ans ont accédé à un emploi, contre 28% des 22-25 ans.
Par rapport au projet professionnel défini dès l’entrée en contrat d’autonomie, 66% des jeunes en phase de suivi ont atteint leur objectif initial. Ainsi, 76% des jeunes en phase de suivi qui souhaitaient accéder à un emploi ou créer leur entreprise ont réalisé leur projet, les 24% restants ayant accédé à une formation. Les jeunes qui visaient initialement une formation ont moins souvent réalisé leur objectif (54 %). Ceux qui n’avaient pas de projet précis ont eu un peu plus de difficultés à accéder à un emploi ou à une formation: 31% ont connu une phase de suivi, contre 36% des jeunes qui avaient un projet d’emploi.
Covered by Nadège (SGCIV), Laure Crusson, Wali Rostam (DARES). Note Dares Dares-Analysis Indicators 2012-084 - The autonomy contract: 4 out of 10 youth entered in 2009 gained employment or training (nov.2012). Established in 2008, the agreement aims to support autonomy to sustainable employment, skills training and entrepreneurship of young people in priority neighborhoods of urban policy. Accompanying the young and monitoring employment or training are carried out by public or private operators. Between 2008 and mid-2011, 41,000 young people have signed an autonomy within thirty-five departments where the device was deployed. More...
Donnons toutes ses chances à l’excellence - Agence universitaire de la Francophonie (AUF)

Missions: la solidarité au service de l'excellence
L'Agence universitaire a pour missions de contribuer à la solidarité entre les établissements universitaires francophones et au développement d'un espace scientifique en français dans le respect de la diversité des cultures et des langues.
Pour les années 2010-2013, l'AUF articule son activité autour de 3 priorités:
- le développement de ses établissements membres;
- le renforcement de la présence de la communauté scientifique francophone sur la scène internationale;
- la formation d'enseignants, de chercheurs, d'experts et de professionnels acteurs du développement.
Implantation: une présence sur tous les continents
L'AUF est présente dans 40 pays avec 70 implantations régionales regroupant 427 personnels, dont 339 en région. Son siège est installé à Montréal, ses services centraux à Paris.
Cette présence régionale permet à l'Agence universitaire une meilleure adaptation aux contextes locaux. Dix bureaux régionaux pilotent ainsi les interventions de l'AUF en Afrique centrale et des Grands Lacs; en Afrique de l'Ouest; dans les Amériques; en Asie-Pacifique; dans la Caraïbe; en Europe centrale et orientale; en Europe de l'Ouest et Maghreb et dans l'Océan Indien.
Partenariats
En plus de relations soutenues avec les États et gouvernements membres de la Francophonie, l'AUF participe à de nombreux projets réalisés en collaboration avec l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et les autres opérateurs de la Francophonie (Association internationale des maires francophones, TV5Monde, Université Senghor). Dans une optique de complémentarité et de diversification de ses ressources, elle développe également des relations de partenariats avec plusieurs organisations internationales (Institut de la Banque mondiale, UNESCO,...), des associations nationales ou internationales et des entreprises du secteur privé qui ont un intérêt de coopération universitaire.

Αποστολές: αλληλεγγύη στην υπηρεσία της αριστείας
Η αποστολή του Οργανισμού του Πανεπιστημίου είναι να συμβάλει στην αλληλεγγύη μεταξύ των γαλλικών πανεπιστημίων και την ανάπτυξη ενός επιστημονικού χώρου στη γαλλική άποψη, η πολυμορφία των πολιτισμών και γλωσσών. Περισσότερα...