BRIDGE - Best Recognition Instruments for the Dialogue between Global Experts
FINAL CONFERENCE MALTA 18th/19th OCTOBER 2012
Download the programme - List of participants
Thursday 18 October 2012
BRIDGE project: presentation of project activities - Luca Lantero (EM NS - Italy)
ENIC/NARIC networks: role and activities - Allan Bruun Pedersen (President of the ENIC network - ENIC-NARIC Denmark)
Erasmus Mundus National Structures (EM NSs): role and activities - Silvano Cristauro (EM NS - Malta)
Joint degrees and the Lisbon Recognition Convention - Carita Blomqvist (President of the Lisbon Recognition Convention Bureau - ENIC-NARIC Finland)
Quality assurance and joint programmes - Axel Aerden (JOQAR Project - NVAO: Accreditation Organisation of the Netherlands and Flanders)
Joint programmes require joint forces: the management aspect - Francesco Girotti (JOIMAN Project - University of Bologna)
European area of recognition manual (EAR): Practical guidelines for fair recognition of qualifications - Jenneke Lokhoff (EAR Manual - Nuffic - The Netherlands) BRIDGE project: presentation of project result
BRIDGE questionnaires (BRIDGE action 1, 2, 3)- Juan Carlos Parodi (EM NS - Spain)
Analysis of Erasmus Mundus case studies (BRIDGE action 4) - Leonor Santa Clara (EM NS - Portugal)
Study visits to ENIC and MERIC Centres (BRIDGE action 5) - Anastassia Knor (EM NS - Estonia)
Handbook on good practices in the recognition process (BRIDGE Action 6)- Luca Lantero (EM NS - Italy - NARIC Italia)
Friday 19 October 2012
Workshops and discussion on case studies (BRIDGE experiences): “Bridge Café”
1st Cafè: Creation phase - Anastassia Knor and Francesco Girotti
2nd Cafè: Selection phase - Giovanni Finocchietti and Allan Bruun Pedersen
3rd Cafè: Awarding phase - Luca Lantero and Carita Blomqvist
Beyond BRIDGE: ongoing cooperation among NS and other actors in Erasmus Mundus Action 3
Cluster on recognition of degrees and joint degrees- Dr. Edith Genser (EACEA - Head of Action 3 Erasmus Mundus)
INTERHED - The internationalisation of higher education. An on-line training course- Gerry O’Sullivan (EM NS - Ireland)
JDAZ - Joint degree from A to Z - Madalena Pereira (EM NS- The Netherlands)
INTERUV - Joint programmes - Facilitator for university internationalisation - Martina Friedrich (EM NS - Austria)
Who
- Erasmus Mundus National Structures
- ENIC and NARIC Centres
Aim
- Strengthen cooperation and facilitate the dialogue between the Network of Erasmus Mundus National Structures and the Network of NARIC and ENIC centres
- Increase awareness and knowledge about Joint courses and Join degrees, both in the framework of Erasmus Mundus and in the next generation of EU Programmes.
Bridge - Best Recognition Instruments for the Dialogue between Global Experts, is a project funded in the framework of Action 3 of the Erasmus Mundus Programme. Its main purpose is to strengthen cooperation among the Erasmus Mundus National Structures and the NARIC, ENIC and MERIC Centres.
Such an improvement emerges as a priority, considering the following two aspects: on the one hand, the need to establish Erasmus Mundus consortia to draft joint programmes and to provide for the award of the corresponding double, multiple or joint qualifications. On the other, the need to spread knowledge about the specific rules of the EM Programme among credential evaluation centres, in order to let them assess the qualifications issued by each consortium at best.
The goals of the Bridge Project are: - to enhance the dialogue between the Network of the Erasmus Mundus National Structures and the NARIC Centres;
- to establish a stable connection between the National Structures and the NARIC, ENIC and MERIC Centres;
- to assess and increase the ENIC and MERIC Centres’ level of knowledge about the Erasmus Mundus Programme;
- to provide practical tools and suggestions for the Erasmus Mundus consortia at the following stages: creation of joint programmes; assessment of the prospective candidates for Erasmus Mundus programmes; award of double, multiple and joint degrees by Erasmus Mundus consortia.
The five partners participating in the Bridge Project work both as Erasmus Mundus National Structures and as NARIC Centres:
PNC – Italia (project coordinator)
Kunsill Malti ghall Kwalifiki – Malta (project partner)
Ministério da Educaçao e Ciência - Direcção-Geral do Ensino Superior – Portugal (project partner) Sihtasutus Archimedes – Estonia (project partner)
Dirección General de Política Universitaria - Ministerio de Educación, Cultura y Deporte – Spain (project partner)
Description
The idea for the Bridge Project came after acknowledging that very often credential evaluation centres, such as the NARIC, ENIC and MERIC Centres, are not familiar with the specific elements of Erasmus Mundus joint courses and qualifications.
It was also observed that, in some EU countries, there only seem to be limited contact between the NSs and the NARIC Centres, because the two institutions are often run by different bodies. In other words, NSs have an in-depth knowledge of the EM Programme, while the NARIC Centres specialise in the different H.Ed. systems and in the evaluation of foreign qualifications, but they only rarely have the chance to share their knowledge and skills.
Looking at the situation outside the border of Europe, in the countries where there isn’t any Erasmus Mundus National Structure, we found very proactive credential evaluation centres: as in the case of the ENIC Centres (UNESCO European Region) and the MERIC ones (UNESCO Mediterranean Region). In fact, they both are potential evaluators of Erasmus Mundus qualifications, since EM students might also come from ENIC and MERIC countries.
These are the reasons why, it was crucial to involve in the project counterparts working both as EM National Structures and NARIC Centres, as the five partners of the BRIDGE project (Estonia, Italy, Malta, Portugal, Spain) actually do.
Génération Erasmus - 25 ans de bonnes pratiques

Réalisée par l'agence Europe-Education-Formation France - Septembre 2012
Editée à l'occasion du 25ème anniversaire du programme, cette étude s'appuie sur la rencontre, au sein de 19 universités françaises, de tous ceux qui œuvrent en faveur de la mobilité européenne. A travers la visite de près d'un quart des universités françaises et de plus de 200 personnes rencontrées, il s'agissait d'analyser les stratégies universitaires en matière de mobilité sortante et d'appréhender leur déclinaison en termes organisationnel et opérationnel. Au moment où la Commission européenne prépare le futur programme « Erasmus pour tous » et où l'Union européenne a fixé un objectif de 20% de diplômés de l'enseignement supérieur bénéficiaires d'une mobilité transnationale, l'étude a mis l'accent sur les bonnes pratiques et les freins à lever pour un déploiement optimal de la mobilité. Téléchargez l'étude.
Introduction
Nous fêtons en 2012 le 25ème anniversaire d’Erasmus. Devenu emblématique au sein du programme européen Education et Formation Tout au Long de la Vie (EFTLV) qui comprend aussi Leonardo da Vinci, Grundtvig et Comenius, Erasmus est désormais la « marque » de la mobilité internationale avec près de 3 millions d’étudiants mobiles à ce jour.
La France occupe depuis plusieurs années les premières marches du podium. Ainsi en 2011, ce sont plus de 30 000 étudiants français qui ont profité de cette expérience académique unique. Et les universités ont joué et jouent de plus en plus un rôle clé pour les sensibiliser, les préparer, les accompagner vers ce parcours de formation européen dont plusieurs études1 démontrent la valeur incontestable, notamment en termes d’insertion professionnelle.
Pourquoi certaines universités sont-elles particulièrement dynamiques dans le cadre du programme Erasmus? Y a-t-il une stratégie particulière? Comment se décline-t-elle en termes organisationnel et opérationnel?
Voici quelques-unes des interrogations auxquelles l’Agence 2e2f a souhaité répondre à travers la réalisation de cette étude, conduite par la mission Prospective entre octobre 2010 et mars 2011. Elle visait à décrypter, par le prisme de la politique des relations internationales, la situation de près d’un quart des universités françaises. Dix-neuf universités ont donc été visitées dans onze régions françaises, permettant aux équipes de l’Agence 2e2f de rencontrer plus de deux cents acteurs des relations internationales.
L’objectif était d’analyser les bonnes pratiques mais aussi les freins éventuels à un déploiement optimal de la mobilité. Au fil de ses visites, l’Agence a donc rencontré tous les acteurs qui l’accompagnent tant du point de vue politique, qu’organisationnel.
Mais les bénéficiaires eux-mêmes ont aussi été interrogés afin de recueillir leur ressenti et leurs propositions.
Au moment où la Commission Européenne prépare son futur programme « Erasmus pour tous » et s’est donné pour objectif de doubler le nombre de personnes partant en mobilité à l’étranger pour la prochaine programmation 2014-2020, il était aussi important d’analyser les pratiques mises en place sur le terrain et de mettre en lumière les plus innovantes pour qu’elles puissent être démultipliées. En effet, l’Union européenne a fixé un objectif de 20% de diplômés de l’enseignement supérieur bénéficiaires d’une mobilité transnationale.
Plus généralement, cette étude de terrain illustre quelques-unes des stratégies d’établissements pour faire en sorte que la mobilité internationale devienne une réalité pour un nombre plus grand de jeunes. Antoine GODBERT
25 ans de mobilité (Chronologie: principales étapes du dispositif de mobilité étudiante en Europe)
1957 > Le Traité de Rome fait peu référence à l’éducation. Il énonce simplement dans son article 3 que les États membres doivent contribuer à promouvoir une éducation et une formation de qualité.
1976 > Résolution du Conseil des ministres de l’Éducation au sujet d’un programme d’action pour l’éducation.
1980 > Lancement d’Eurydice, le réseau d’informations sur l’éducation en Europe.
1983-84 > Les déclarations de Stuttgart et de Fontainebleau établissent le concept de citoyenneté européenne qui promeut plus de coopération entre les établissements d’enseignement supérieur.
1986 > L’Acte unique européen (AUE) réaffirme la nécessité de développer la dimension européenne de l’éducation.
1987 > Lancement d’ERASMUS (European Community Action Scheme for the Mobility of University Students) avec 11 pays signataires.
1988 > Une résolution du Conseil invite les États membres de la Communauté à intégrer la dimension européenne de l’éducation dans les programmes scolaires, les manuels et la formation des professeurs (et ce dans toutes les disciplines concernées: littérature, langues, histoire, géographie, sciences sociales, sciences économiques et arts plastiques).
1992 > Le Traité de Maastricht prévoit une contribution plus étendue de la Communauté européenne dans l’éducation et la formation professionnelle.
1993 > Livre vert de la Commission sur la dimension européenne de l’éducation.
1995 > Lancement de Socrates (programme d’action communautaire dans le domaine de l’éducation) et de Leonardo da Vinci (programme d’action communautaire pour la formation professionnelle).
1996 > Erasmus finance des cours spécialisés dans les langues les moins répandues et les moins enseignées aux étudiants partant à l’étranger
dans le cadre du programme. L’objectif de ces cours est de les préparer à leur période de mobilité à des fins d’études ou de stage grâce à une introduction linguistique et culturelle au pays hôte.
1997 > Le Programme Erasmus offre de nouvelles opportunités à travers les missions d’enseignement. La mobilité étudiante ne cesse de croître, 850 000 étudiants en ont déjà profité parmi les 24 pays participants.
1999 > La déclaration de Bologne, signée par 29 ministres de l’Éducation, instaure l’objectif d’établir un espace européen de l’enseignement supérieur d’ici 2010.
2000 > Le Conseil européen de Lisbonne invite les ministres de l’Éducation à se mettre d’accord sur un ensemble d’objectifs concrets futurs pour les systèmes d’éducation et de formation d’ici 2010.
2002 > Le Conseil européen de Barcelone invite les États membres à « promouvoir la dimension européenne dans l’enseignement et son intégration dans les compétences de base des élèves d’ici 2004 » et définit l’objectif de faire du système éducatif et de formation européen une référence de qualité au niveau mondial d’ici 2010. C’est le programme « Éducation et formation 2010 ». La Commission européenne célèbre le millionième étudiant Erasmus.
2003 > Lors du Conseil de Berlin, les ministres de l’Éducation de 40 États européens se mettent d’accord sur l’adoption de mesures visant à accélérer la mise en place d’un espace européen de l’enseignement supérieur,
et décident notamment de rendre possible la comparaison entre les différents diplômes nationaux à l’horizon 2005.
2004 > Lancement du programme Erasmus Mundus.
2005 > Lors du sommet de Bergen, les ministres ont déclaré que, d’ici au sommet de Londres en 2007, ils chercheront à avancer dans les domaines suivants: la mise en oeuvre de normes et lignes directrices visant à garantir la qualité, la mise en oeuvre de cadres nationaux pour les qualifications; la récompense et la reconnaissance des diplômes communs, notamment au niveau du doctorat; la création de possibilités visant à promouvoir des voies d’apprentissage flexibles dans l’éducation supérieure, notamment des procédures pour la validation des acquis de l’expérience.
2007 > Lors de la conférence ministérielle de Londres en 2007, les ministres de l’Éducation adoptent une stratégie relative à la dimension extérieure du processus de Bologne pour améliorer l’information et promouvoir l’attrait et la compétitivité de l’espace européen de l’enseignement supérieur. Erasmus fête ses 20 ans: 1,7 million d’étudiants européens
ont déjà réalisé une mobilité dans ce cadre.
2007 > Désormais les étudiants ont la possibilité d’effectuer un stage en entreprise via « Erasmus stage »
2007 > Mise en place de la Mobilité de formation. Elle s’adresse à tout personnel d’un établissement d’enseignement supérieur (personnels enseignants, administratifs, techniques, etc.) et permet d’effectuer, sur une durée d’une à six semaines, une mobilité de formation dans un établissement d’enseignement supérieur partenaire, dans une entreprise ou dans un organisme de formation européen.
2008 > Le 2 millionième étudiant Erasmus, Marcel Musabimana, a effectué sa mobilité durant l’année 2008/09. La Commission européenne a marqué l’événement et sélectionné un étudiant Erasmus de chaque pays participant qui symbolisait le deux millionième étudiant. Les étudiants
sélectionnés ont été invités à la conférence internationale Erasmus de Lund en Suède les 5 et 6 octobre 2009.
2010 > L’agence 2E2F publie son 1er Palmarès Erasmus des universités. Ce Palmarès place les universités de Savoie, de Grenoble 3 et Lille 1 dans le groupe de tête http://www.2e2f.fr/
2011 > La Commission européenne publie le 23 novembre 2011 sa proposition du futur programme d’éducation, de formation et de jeunesse: ERASMUS POUR TOUS: un programme plus ambitieux, plus simple et plus ouvert sur le monde.
2012 > Erasmus fête ses 25 ans à Bruxelles le 30 et 31 janvier. Tous les Etats membres organisent dans leur pays de nombreux évènements. En France, l’agence 2E2F lance officiellement l’évènement le 23 mars à Bordeaux et créée le Cercle Erasmus. Elle célèbre l’année Erasmus tout au long de l’année à travers une série d’évènements festifs et scientifiques et des partenariats avec les médias régionaux, nationaux et internationaux. http://www.facebook.com/GenerationErasmus. Téléchargez l'étude.
Voir aussi Génération Erasmus - 25 ans, Génération Erasmus - 25 ans.

Conducted by the agency Europe-Education-Formation France - September 2012
Edited on the occasion of the 25th anniversary of the program, this study is based on the meeting in 19 French universities, of all those who work for European mobility. Through the visit of nearly a quarter of French universities and more than 200 people interviewed, it was to analyze the strategies academic mobility outgoing and understand their variation in terms of organizational and operational. When the European Commission is preparing the future "Erasmus for all" and that the European Union has set a target of 20% of graduates of higher education beneficiaries of transnational mobility, the study focused on good practices and obstacles to overcome for optimal deployment of mobility. Download the study.
Introduction
In 2012 we celebrate the 25th anniversary of Erasmus. Become iconic within the European Education and Training Program All Life Long Learning Programme (LLP), which also includes Leonardo da Vinci, Grundtvig and Comenius, Erasmus is now the "brand" of international mobility with nearly 3 million mobile students to this day. More...
Premières précisions sur les emplois d'avenir

La condition de recherche d’emploi pour l’éligibilité des jeunes diplômés s’apprécie au regard de la date du 1er contact avec la mission locale ou du Cap emploi, ou d’inscription à Pôle emploi, ou, à défaut, de sortie du système scolaire.
Les jeunes décrocheurs, en particulier les 16-18 ans sortis sans diplôme de formation initiale devront en priorité être orientés vers les dispositifs spécifiques pour favoriser leur retour en formation ou leur entrée en contrat d’alternance.
Les recrutements de jeunes titulaires d’un diplôme supérieur au CAP/BEP et résidant en zones prioritaires, devront être exceptionnels et validés par l’UT de la Direccte. Ils concerneront les jeunes ayant un projet professionnel dans le secteur non marchand qui ne parviennent pas à accéder à un 1er poste, ceux dont les diplômes ne permettent pas d’accéder à un emploi dans leur bassin d’emploi et ceux qui connaissent des discriminations sur le marché du travail en raison de leur lieu de résidence ou de leur handicap, ou qui rencontrent des difficultés de mobilité géographique. Dans tous les cas leur emploi d’avenir doit correspondre à leur niveau de qualification.
Par ailleurs, la signature de CDI devra être privilégiée (sauf dans le secteur public). La rémunération des jeunes, quelle que soit leur situation ou leur âge doit être au moins égale au Smic et correspondre au minimum conventionnel correspondant à l’emploi occupé.
Les jeunes éligibles à un emploi d’avenir peuvent toujours conclure un CUI, dans certains cas, par exemple pour des emplois d’adjoints de sécurité ou lorsqu’un contrat de moins d’un an est souhaitable. Les jeunes en CUI peuvent être recrutés en emploi d’avenir par le même employeur, à l’échéance de leur CUI, mais dans la limite d’une durée totale de 3 ans. A l’issue d’un emploi d’avenir, un CAE ne sera pas possible, mais un CIE est envisageable dans la limite d’une durée totale de 4 ans. A noter enfin, qu’un service civique peut déboucher sur un emploi d’avenir.
Les mesures habituelles de formation peuvent être mobilisées en amont d’un emploi d’avenir (POE, PRF, Compétences-clés…) et en cours d’emploi dans la cadre du plan de formation, d’une période de professionnalisation, voire du DIF. La Région peut aussi financer directement une offre collective dédiée en mettant en place des aides individuelles à la formation ou par convention avec les OPCA. Pendant leurs périodes de formation, les jeunes en emplois d’avenir restent salariés rémunérés par leur employeur. Des passerelles d’accès à la formation ou à des contrats en alternance pourront être organisées avec la Région et les OPCA pour les jeunes sans emploi à l’issue de leur contrat.
L’accompagnement de la Région Poitou-Charentes sera précisé prochainement.
La circulaire apporte en outre des précisions sur l’élaboration du schéma d’orientation régional pour le déploiement des emplois d’avenir en région et l’identification des secteurs éligibles pour les employeurs du secteur marchand. Elle organise la mobilisation des acteurs, en particulier pour l’animation et la promotion des emplois d’avenir, le financement et l’ingénierie des parcours et le tutorat.
Circulaire n°2012-20 du 2 novembre 2012 et notre fiche technique actualisée.

Lawmakers and foundations push prior-learning assessment

Lawmakers see prior learning as a “tool in completion,” and a practical one, said Iris Palmer, a senior associate for HCM Strategists. Palmer worked with the Council on Adult and Experiential Learning (CAEL) to create a guide for state policy makers on prior-learning assessment. The report also tracks how the process is being adopted around the country. Prior-learning assessment takes three primary forms: through portfolios students put together to demonstrate college-level learning, with examinations of that learning and knowledge, and though programmatic review, where a college or an outside group issues standardized credit recommendations based on assessments of military or on-the-job training. The process, which goes back decades, is related to its hipper cousins among possible “disruptions” to higher education: competency-based education and massive open online courses (MOOCs). More...
Uni-Dekan verweist Burschenkritiker des Saales

Das Bild auf Youtube ist verschwommen, doch die vier farbigen Mützen sind deutlich zu erkennen. Zur Sicherheit hat Jan Meyer-Dulheuer, der das Video ins Internet gestellt hat, vier Pfeile ins Bild gezeichnet, die auf die Mützen zeigen. Darüber prangt das Wort "rechtsaußen". Gemeint sind die Studenten, die am 26. Oktober in den Farben ihrer Verbindungen zu einer Abschlussfeier an die Freie Universität Berlin (FU) gekommen sind...
"Es geht mir nicht darum, dass er mich rausgeschmissen hat," sagt Jan Meyer-Dulheuer später. "Aber ich hätte von unserem Dekan mehr Aktivität und Kritik gegenüber den Uniformierten erwartet." Tatsächlich sollen sich die Mitglieder der 45 Berliner Studentenverbindungen nicht in ihren Uniformen auf dem FU-Campus zeigen, nicht zuletzt weil Burschenschaften im Nationalsozialismus eine aktive Rolle gespielt haben und sie häufig Frauen als Mitglieder ausschließen – Prinzipien, die sich mit den Werten der FU nicht vereinbaren lassen. Mehr...