01 octobre 2012

Maisons de l’Emploi - quel avenir?

http://alternatives-economiques.fr/blogs/abherve/files/abherve.jpgSur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques.Obtenant un maintien en 2013 du montant de la ligne budgétaire accordée en 2012, les Maisons de l’Emploi sont mieux traités par l’actuel gouvernement que par le précédent qui, deux années de suite, avait inscrit une importante baisse de crédits dans le projet de loi de finances, avant de devoir accepter une légère remontée, sous la pression des parlementaires, comme nous nous en sommes fait écho ici (voir entre autres Maisons de l’emploi: le projet de budget 2012 en baisse de 34%, L’Assemblée vote (provisoirement?) 15 Millions d’Euros supplémentaires pour les Maisons de l’Emploi).
Cela devrait offrir à ces Maisons de l’Emploi le temps nécessaire pour se repositionner dans le paysage des acteurs de l’emploi, et de préciser leur rôle, en acceptant enfin de renoncer à la nostalgie du contexte de leur création où elles avaient vocation à informer et même à accompagner des publics et, pour certaines, le public (voir Maisons de l’emploi: nostalgie quand tu nous tiens!)
La première interrogation qu’elles doivent affronter repose dans le degré d’implication du politique dans leur fonctionnement. Si la conception dominante est celle qu’exprimait le Sénateur-Maire de Laon, Président multicarte, assumant de jouer un rôle fort limité, (voir Présider une Maison de l’Emploi, c’est juste présider le CA et l’AG), il est peu probable que ces structures ont de l’avenir, car elles ont besoin de porter, au plan politique, un projet sur leur territoire, à même de mobiliser l’ensemble des acteurs sociaux et économiques, ce que des techniciens, même très compétents, même très motivés, ne peuvent faire seuls.
Une deuxième interrogation qu’elle devront résoudre est dans la place des partenaires sociaux dans leur gouvernance (voir Les syndicats ont-ils leur place dans les Maisons de l’Emploi?). Soigneusement exclus dans la conception initiale, n’auraient-ils pas vocation à en devenir aujourd’hui pleinement partie prenante? Cela pourrait être l’occasion d’un rapprochement avec ce qui reste de Comités de Bassins d’Emploi, dans lesquels les partenaires sociaux sont structurellement présents. Ce rapprochement aurait aussi comme avantage de contribuer à améliorer une couverture territoriale incomplète qui est, à l’évidence, un des points faibles du réseau des Maisons de l’Emploi.
Mais il faudra aussi qu’elles se positionnent clairement sur  la perspective ouverte par la Maison de l’Emploi et de la Formation d’Orthez, dont le directeur, Philippe Baudin, déclare à la République des Pyrénées ce sera à notre charge de chercher d’autres moyens de financement, y compris auprès des privés”, et poursuivant “Nous travaillons avec un réseau d’entreprises. Nombreuses sont les actions que nous pourrions leur proposer et qui viendraient générer des financements“. Fort de son expérience dans un contexte économique très différent, celui de Roissy où nombre d’entreprises sont à la recherche de main d’oeuvre, ce directeur envisage de positionner la Maison de l’Emploi qu’il dirige dans un champ concurrentiel. Il n’est pas certain que ce positionnement soit compatible avec le maintien d’une mission financée sur fonds publics, et un rôle de développement territorial. En tous cas cela mérite débat.
Il sera aussi nécessaire de réfléchir au devenir des Plans Locaux pour l’Insertion et l’Emploi, les PLIE, souvent associés aux Maisons de l’Emploi, dont la génération actuelle vient à échéance fin 2013 avec la programmation des fonds structurels européens. Alors que se précise une responsabilité accrue des Conseils régionaux dans la gestion des fonds européens, quel est le devenir de ces PLIE ? Seront-ils maintenus dans toutes les régions?
Pour préparer cet avenir les Maisons de l’Emploi sont handicapées par des fermetures (voir Une nouvelle Maison de l’Emploi disparait. A qui le tour?,  Une nouvelle fermeture de Maison de l’Emploi: qui va organiser la bataille de l’emploi sur les territoires?), par des décisions de retrait de certaines collectivités, comme celle du Conseil général des Hautes-Alpes (voir Trois millions d’euros, zéro emploi créé: tel est le bilan de la Maison de l’Emploi des Hautes-Alpes selon le Conseil Général et Maison de l’Emploi des Hautes-Alpes: le Conseil général officialise son retrait), par des dérives dans leur fonctionnement comme à Aulnay sous Bois (voir Maison de l’Emploi d’Aulnay sous Bois: le contre exemple),  par une certaine mégalomanie de leur configuration initiale (voir Que vont devenir les Maisons de l’Emploi de la Réunion? et Maison de l’Emploi : un “fiasco” à 5 millions d’euros), par des manipulations politiciennes qui ont dressé certaines Maisons contre leurs collègues (voir Un nouveau critère pour le financement des Maisons de l’Emploi : avoir le soutien d’un candidat UMP aux législatives et Les Maisons de l’Emploi touchent des aides exceptionnelles ou licencient), par une utilisation dangereuse par l’Etat pour leur financement de fonds européens hors des principes qui régissent ceux-ci, (voir Une Maison de l’Emploi financée par le FSE, au mépris du principe d’additionnalité), par des fusions avec des Missions locales mal maitrisées (voir L’échec du modèle picard de fusion Mission locale Maison de l’Emploi).
Malgré ces faiblesses, pour une large part liées aux conditions de leur création qui les mettait au centre, alors qu’elles sont aujourd’hui davantage dans une fonction d’appui, les Maisons de l’Emploi auront un avenir si elles ne se trompent pas de stratégie, ni au plan local où leur vocation est bien d’apporter une compétence au service du développement de l’emploi, ni au plan régional où il faudra se doter d’une organisation collective capable de dépasser les rivalités pour conduire le dialogue avec chaque conseil régional, ni au plan national où il faudra construire une réelle unité sur les objectifs reconstruits en fonction de l’évolution du contexte, et adopter une stratégie prenant enfin acte de la configuration institutionnelle que le quinquennat de Nicolas Sarkozy a mise en place, quoiqu’on puisse penser de ses limites.
Car notre situation de l’emploi a besoin de cette ingénierie territoriale de l’emploi que seules les Maisons de l’Emploi sont à même d’assurer dans la durée

Il faut espérer que le deux avertissements reçus ces dernières semaines par les Maisons de l’Emploi de la part des régions (voir L’ARF ne revendique pas le transfert des Maisons de l’Emploi) et de la part du Sénat, où aucun sénateur n’a déposé le moindre amendement pour tenter de les réintroduire dans le dispositif des emplois d’avenir, auront été compris, et qu’ils conduiront à adopter une stratégie de repositionnement et non de réaffirmation du bien-fondé d’une position initiale, qui n’a plus qu’un intérêt historique.
http://alternatives-economiques.fr/blogs/abherve/files/abherve.jpg The blog of Michael Abhervé for Economic Alternatives. Getting a hold in 2013 the amount of the budget line granted in 2012, the Houses of Employment are best treated by the present government that the previous two consecutive years, recorded a significant decline in the credit project Finance Act, before having to accept a slight increase under the pressure of parliamentarians, as we are echoes here (see, among other Houses employment: the draft budget for 2012 down 34%, The Assembly vote (temporarily?) 15 million Euros for additional houses of Employment). More...

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L'entreprise apprenante

http://www.efe.fr/themes/all/img/footer-acces.png« L’entreprise sera 2.0 ou ne sera plus…pour longtemps. L’entreprise du 21ème siècle sera une entreprise 2.0 »
La prophétie d’Yves Caseau[1], semble se vérifier puisque, selon une étude, 90,4% des entreprises[2] ont ou vont lancer un projet 2.0.
À l’heure des tablettes, des smartphones et de la connectivité permanente, le 2.0 s’invite en entreprise et modifie tant les comportements que les modes d’apprentissage: circulation de l’information, partage et capitalisation des connaissances, social learning… L’entreprise ne doit-elle compter que sur les outils 2.0 pour apprendre?
[1]
Yves Caseau, Directeur général adjoint de Bouygues Telecom, est l’auteur de Processus et Entreprise 2.0 (Dunod).
[2]
Enquête menée par l’Institut de l’Entreprise 2.0 – Grenoble Management School en partenariat avec Danone et Nextmodernity auprès d’un échantillon de 109 entreprises françaises.
Votre avis nous intéresse!
Participez à notre enquête nationale sur les universités d'entreprises
.
Mardi 20 novembre 2012 - Université d’entreprise : lieu privilégié de l'entreprise apprenant
Quel rôle pour l’Université d’entreprise dans une organisation apprenante à l’ère du 2.0?

• Les résultats de l’enquête nationale sur les Universités d’entreprise
• Université d’entreprise : un lieu d’innovation ouvert sur son écosystème
• Reliez culture d’entreprise et culture d’apprentissage
• Les évolutions et les défis des Universités d’entreprise
• Les précautions et les erreurs à éviter pour servir l’entreprise apprenante
• Assurez la flexibilité pour faire face à la fluctuation de la demande
Peut-on encore innover au sein des Universités d’entreprise?

• Comment se renouveler grâce à son écosystème et aux partenariats extérieurs?
• Les missions et les originalités pour servir la stratégie de l’entreprise
• Préparer l’avenir: quels publics? quels projets?
• Comment mettre en oeuvre de nouvelles formes d’apprentissage: learning expeditions, action learning, expérimentation…?
Les talents au service de l’entreprise apprenante
Favorisez une organisation fondée sur les talents

• Comment sortir de la logique de compétences?
• Créez une entreprise agile et évolutive
• Misez sur les talents de chacun: améliorez le niveau de motivation et d’engagement
• Quels bénéfices pour les collaborateurs? Pour l’entreprise?
• Optimisez la gestion des parcours professionnels
• Favorisez une mobilité choisie
• Créez un vivier de compétences
Mesurez les bénéfices d’un nouveau genre de bilan socioprofessionnel: le Map’Up

• Un référentiel de 18 logiques personnelles pour activer ses talents et son potentiel
• La mise en place d’une démarche fondée sur les talents et les potentiels
Mesurer le return on learning (ROL): comment est-ce possible?
La mesure du ROL: identifiez les outils et les méthodes

• Déclinez le modèle Kirkpatrick
• Quels outils et solutions pour mesurer son ROL?
• Comment définir une démarche préalable à la mesure du ROL?
• Quels atouts pour les services RH et Formation des entreprises?
• Quel rôle pour les organismes de formation?
Mercredi 21 novembre 2012 - Informal & social learning: comment se faire accompagner?
Misez sur toutes les formes d’apprentissage pour innover

• Apprentissage informel et social learning: les nouveaux visages de l’entreprise apprenante
• Les apprentissages au cœur de la capacité d’innovation des entreprises
• Comment convaincre les cadres de l’intérêt de l’apprentissage?
Faites de l’apprentissage informel une dimension stratégique du développement de votre entreprise

• Quelles limites d’un informal learning non structuré ?
• Définissez un élan stratégique pour booster vos actifs immatériels
• Organisez l’entreprise conversationnelle et collaborative
• Comment structurer l’informal learning dans votre entreprise: communautés, clubs, co-développement…?
Tables apprenantes

• Découvrez les Happy Hours du Management® et initiez-vous à l’animation d’un cercle de co-développement
• Le co-développement: un outil de résolution de problèmes et d’apprentissage par ses pairs
De l’entreprise 1.0 À l’entreprise 2.0
Table ronde : quand le web 2.0 s’invite dans l’entreprise et transforme les apprentissages

• Transformez votre entreprise en « Entreprise apprenante 2.0 »: quels bénéfices? Quels points de vigilance?
• Réseau social d’entreprise: simple « Facebook d’entreprise » ou outil stratégiques?
• Définissez votre stratégie social learning autour de quatre axes: Réalité – Technologie – Collectif – Individuel
• Favorisez le continuum des apprentissages grâce au social learning
• Évitez le piège du simple « e-learning 2.0 »
• L’apprentissage: une démarche individuelle et sociale portée par le « connectivisme »
Transformez votre démarche de Knowledge management en Knowledge management 2.0

• Surmontez les freins pour conduire une démarche d'intelligence collective en entreprise
• Développez une plate-forme de veille collaborative pour rendre l'innovation plus proactive et capitalisez le savoir-faire
• Comment professionnaliser la veille et induire une nouvelle organisation moins hiérarchique apte à produire collectivement de la connaissance?
• Faites sauter les verrous: informations = pouvoir , culture du secret… et démontrez qu'il y a moins de risques à partager qu'à ne pas le faire
• Animez la démarche pour une réelle appropriation des outils 2.0 et une construction pérenne du savoir
Favorisez une démarche collaborative grâce au social learning et au 2.0

• Le réseau social d’entreprise : une brique essentielle mais insuffisante de la démarche collaborative
• Favorisez l’entreprise en réseau et une nouvelle distribution du travail
• Créez une culture du partage et dépassez l’organisation en silos
L’innovation : ADN de l’entreprise 2.0 ?

• Quand le réseau social est orienté innovation
• Misez sur l’intelligence collective pour innover
• Faites émerger et partagez les nouvelles idées
• Créez un marché interne de l’innovation
• Comment faire collaborer différents publics autour de nouveaux projets?

http://www.efe.fr/themes/all/img/footer-acces.png «Η εταιρεία δεν θα είναι 2,0 ή περισσότερο ... για μεγάλο χρονικό διάστημα. Η εταιρεία θα είναι Enterprise του 21ου iècle s 2,0 "
Η προφητεία του Yves Caseau, φαίνεται να επαληθεύει, δεδομένου ότι, σύμφωνα με μια μελέτη, το 90,4% των επιχειρήσεων έχουν ή θα ξεκινήσει ένα έργο 2,0
. Περισσότερα...

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Humanities in the Digital Age

HomeBy Alan Liu and William G. Thomas III. Since the 2008 Great Recession, American higher education has experienced a new round of uncertainties and reductions -- especially, but not only, in public institutions. British academics refer to the current season of top-down austerity as "the cuts," but in the U.S., we might speak of lingchi, "death by a thousand cuts." Faculty lines slashed, programs eliminated, course seats lowered, graduate student aid reduced, the decentralized U.S. higher education system has struggled to maintain quality across the disciplines. Humanities programs, in particular, have appeared threatened.
Yet, in this same time we are in the first phase of a digital revolution in higher education. Much of the teaching and learning apparatus has moved online. Computational technologies and methodologies have transformed research practices in every discipline, leading to exciting discoveries and tools. New interdisciplinary initiatives, exploiting the digital, such as bioinformatics, human cognition, and digital humanities, are bringing faculty members together in ways never before attempted.
For the humanities, the threat of diminished resources has appeared hand-in-glove with the digital turn. The recent events at the University of Virginia demonstrate just how influential the digital paradigm has become, but also how unevenly applied its pressures can be. The university's board members seemed to be swayed by the model of massive open online courses (MOOCs) under development at the Massachusetts Institute of Technology and Stanford University, among other institutions, most of the key instances of which have been in the STEM fields. Meanwhile, some board members proposed to eliminate classics and German to save money in the face of the university's massive structural budget deficit. They apparently did not realize how many students actually take these subjects (a lot) or that the subjects have been required in state codes chartering the university.

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N° Spécial Assises de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche

Assises de l'enseignement supérieur et de la rechercheLettre d'information Panorama - numéro spécial Assises
Phase 1 des Assises:
inventaire des constats, des attentes et des principales questions soulevées lors des auditions nationales. Les interrogations et sujets de préoccupation portent, entre autres, sur l'accueil des étudiants, la valorisation du doctorat, les études à l'étranger, la valorisation, la précarité des jeunes chercheurs, l'égalité femme-homme, l'évaluation...  C'est ce que révèle le bilan réalisé par le comité de pilotage à l'issue des 85 auditions menées, entre le 28 août et le 18 septembre, auprès d'organisations représentatives et institutionnelles. Ce panorama des principales questions soulevées a vocation à stimuler la réflexion et les débats des Assises territoriales.
Trois thématiques:
1 - Agir pour la réussite de tous les étudiants;
2 - Donner une nouvelle ambition pour la recherche;
3 - Contribuer à la définition du nouveau paysage de l'enseignement supérieur et de la recherche.
>
En savoir +: La note de synthèse présentant les résultats des auditions
.
> En savoir +: Le site des Assise de l'enseignement supérieur et de la recherche.
> En savoir +: Les Assises sur le site du ministère.
CONTRIBUEZ
Les Assises de l’enseignement supérieur et de la recherche reposent sur la participation la plus large possible. Toutes les suggestions et propositions d’évolutions sont les bienvenues. Pour transmettre sa contribution.
A SAVOIR

Les Assises mobilisent les énergies au niveau national et territorial jusqu'en décembre 2012. Cette vaste concertation va permettre de faire émerger des propositions pour améliorer le fonctionnement du système d’enseignement supérieur et de recherche français.
LA PHRASE
"Ces Assises sont nécessaires car la rénovation que nous proposons est ambitieuse et elle doit être élaborée avec la contribution de tous ceux qui en seront les acteurs et les bénéficiaires : les communautés universitaires et scientifiques, les étudiants et les forces vives du pays en particulier les entreprises. Ainsi pourra-t-elle être mise en œuvre dans un climat d'apaisement et de réconciliation autour d'un projet partagé." Geneviève Fioraso, Conseil des ministres du 11 juillet 2012.
CHIFFRES
24

Nombre de rapporteurs territoriaux. Leur mission: favoriser les débats préparatoires en région, centraliser les contributions individuelles et réaliser un rapport qui sera transmis au comité de pilotage à l'issue des Assises territoriales.
85

Nombre d'auditions nationales menées par le comité de pilotage en deux vagues: du 28 au 31 aout, puis les 17 et 18 septembre 2012.
L'ACTU EN BREF
Zoom sur les 85 organisations auditionnées

Les Assises ont débuté par une phase de consultation nationale. Au total, 85 auditions ont été réalisées par le comité de pilotage auprès de syndicats, d'organisations professionnelles, d'organismes de recherche, de ministères, de responsables socio-économiques... Chacune de ces auditions s'est déroulée en deux temps: une présentation suivie d'un débat avec le comité de pilotage. Objectif: identifier les principales questions à aborder pour nourrir les débats des Assises territoriales. > En savoir +
Les Assises territoriales s'organisent

Elles se tiendront au niveau des territoires courant octobre : par exemple, le 24 octobre à Clermont-Ferrand (Auvergne), les 11, 12 et 15 octobre à Lyon, Saint-Etienne et Grenoble (Rhône-Alpes), les 8, 15 et 16 octobre à Montpellier et Perpignan (Languedoc-Roussillon), ou encore les 13 et 25 octobre à Marseille et Sophia Antipolis (PACA)... > Les dates des Assises dans chaque territoire.
Premières contributions en ligne sur le site des Assises

Elles émanent du C.E.A., du C.N.R.S., de l'A.E.R.E.S., de la Confédération des jeunes chercheurs, de l'IFP Energies Nouvelles ou encore des syndicats... Les premières contributions en ligne sur le site des Assises de l'enseignement supérieur et de la recherche proposent de nombreuses pistes d'évolutions dans différents domaines: réussite des étudiants, réforme du doctorat, mobilité internationale, insertion professionnelle, place des femmes dans la recherche, financements des laboratoires, culture de l'innovation chez les chercheurs... > Consulter les premières contributions.
Des Assises ouvertes à tous

Citoyens, chercheurs, enseignants-chercheurs, étudiants, associations, entreprises...Les Assises sont ouvertes à tous, sous forme de contributions individuelles ou collectives. Une page dédiée à chaque territoire est ouverte depuis le 3 septembre. Dépôt des contributions avant la mi-octobre. > En savoir +. > Pour participer aux débats.
Le comité de pilotage garantit l'indépendance des Assises
Ces Assises reposent sur un comité de pilotage présidé par Françoise Barré-Sinoussi, prix Nobel de médecine 2008. Vincent Berger est le rapporteur général des Assises. Les membres composant le comité sont issus du monde universitaire, scientifique et de l'entreprise. > En savoir +
CALENDRIER
Juillet-septembre 2012
Consultation nationale :
cette consultation est menée auprès des organisations représentatives et des institutions nationales parties prenantes de l'enseignement supérieur et de la recherche. Elle prend la forme d'auditions ou de contributions écrites.
Mi-octobre 2012
Assises territoriales :
chaque territoire organise ses Assises territoriales selon ses propres modalités. Un rapporteur en assure la synthèse. Durée de ces Assises: entre 1 et 3 jours.
26 et 27 novembre 2012
Assises nationales :
elles réalisent la synthèse des Assises territoriales et des consultations nationales et donnent lieu à un rapport.
Décembre 2012
Remise du rapport :
le comité de pilotage remet à la ministre un rapport synthétisant les avis et propositions des divers contributeurs.
Début 2013
Projet de loi :
suite aux propositions des Assises, et après décision de la ministre, les nouvelles dispositions législatives sont soumises au Parlement. D'autres propositions retenues par le gouvernement font l'objet de mesures complémentaires, de nature réglementaire ou contractuelle.
QUESTIONS - REPONSES
Pourquoi des Assises de l'enseignement supérieur et de la recherche?
- L’organisation et la tenue des Assises de l’enseignement supérieur et de la recherche étaient inscrites dans le programme du président de la République.
- Elles répondent à une volonté d'ouverture d'un débat national pour remettre l'enseignement supérieur et de la recherche au coeur des enjeux de société.
- Elles visent à replacer l’enseignement supérieur et la recherche au cœur de l’ambition nationale et européenne d’une société de progrès durable, respectueux de l’homme et de son environnement, mais aussi au cœur de la stratégie de redressement portée par le gouvernement.
Quel grand principe sous-tend ces Assises?

L'idée est de réformer, mais en prenant le temps de l'écoute, du dialogue, et dans un souci d'apaisement et de réconciliation.
La consultation est la plus large possible; la réflexion est conduite au niveau des territoires et au niveau national; le champ des propositions est ouvert sur l'ensemble des préoccupations des participants.
Quels sont les objectifs des Assises?

- Rétablir le dialogue et la confiance avec les enseignants, les chercheurs et les étudiants.
- Faire émerger des propositions innovantes et efficaces.
- Dresser un bilan de l'organisation issue des décisions passées (loi LRU, loi d'orientation de la recherche...)
- Concevoir un nouveau paysage au service de la réussite de tous les étudiants et d'une recherche ambitieuse.
- Construire un cadre apaisé et cohérent de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Qui peut participer aux Assises?

La participation est ouverte à toutes et tous: jeunes, familles, entreprises, maîtres de conférence, professeurs, enseignants-chercheurs, chercheurs, personnel technique et administratif.
Comment participer?

Chacun peut envoyer sa contribution écrite sur le site des Assises jusqu'à mi-octobre. Jeunesse, Europe, compétitivité, excellence pour tous, emploi, ouverture sur la société, sont autant de priorités gouvernementales qui peuvent être abordées.
Cette expression collective alimentera les Assises territoriales (mi-octobre 2012) et permettra de faire émerger des propositions qui se traduiront, début 2013, par un projet de loi sur l'enseignement supérieur et la recherche.
VIDEO

Geneviève Fioraso a lancé, le 11 juillet 2012, les Assises de l'enseignement supérieur et de la recherche qui aboutiront, début 2013, à des décisions concertées. La vidéo.
Assises de l'enseignement supérieur et de la recherche Πανόραμα Ενημερωτικό Δελτίο - Τεύχος Ειδικό Focus
Η Φάση 1 του Καθίσματα: ευρημάτων απογραφής, τις προσδοκίες και τα βασικά ζητήματα που τέθηκαν κατά τη διάρκεια των ακροάσεων σε εθνικό επίπεδο.
Οι ερωτήσεις και οι ανησυχίες περιλαμβάνουν, μεταξύ άλλων, για την υποδοχή των φοιτητών, η ανάπτυξη των διδακτορικών σπουδών στο εξωτερικό, την ανάκτηση, ανασφαλής νέους ερευνητές, ο άνθρωπος-γυναίκα της ισότητας, της αξιολόγησης. Αποκαλύπτεται ότι η εκτίμηση στην οποία προέβη η συντονιστική επιτροπή στο τέλος των 85 συνεντεύξεις μεταξύ 28 Αυγούστου και 18 Σεπτεμβρίου, με αντιπροσωπευτικές οργανώσεις και ιδρύματα. Αυτή η επισκόπηση των κύριων ζητημάτων έχει ως στόχο να διεγείρει τη σκέψη και συζήτηση του κακουργιοδικείου αρχές. Περισσότερα...

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How Can e-Portfolios Support 21st Century Learning?

http://www.netskills.ac.uk/site/img/logos/netskills_site_logo.png10:00 - 16:30 Thursday 25 October 2012. Sackville Building,University of Manchester. Book now - only a few places left!
E-Portfolios are not a new concept. In various guises, digital presentations of skills and competences, online records of achievement, and action plans with opportunities for reflection have been in use in education for nearly a decade. So what is new about e-portfolios?
This workshop will explore what we mean by e-portfolios and how e-portfolios can support 21st century learning. Drawing on the work of JISC-funded projects and other significant e-portfolio developments, it will provide a snapshot of learning enhanced by e-portfolios in higher, further and continuing education.
Topics:
  • Introducing, understanding and investigating e-portfolios
  • Putting e-Portfolios in context
  • How e-portfolios work, developing a model
  • The next steps in developing and embedding e-portfolios
  • e-Portfolio processes including collaboration, reflection and responding to feedback
  • Introduction to Effective Practice with e-Portfolios and e-Portfolios infoKit
  • Examples of current systems and completed projects

Who is it for?
This workshop is for those who use, or support others use of, e-portfolios: practitioners and managers in higher and further education; staff developers; those involved in initial teacher training; and in the management and implementation of PDP, CPD and lifelong learning.
Further details about this workshop
are available.
You can add this event to most electronic diaries and calendars by downloading this ICalendar file.

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CNAM, GRETA et AFPA dans le Jaune budgétaire Formation professionnelle

PLF 2013 - Jaune budgétaire annexé Formation professionnelle [PDF - 1.54 Mo].
2. Les grands prestataires
2.1. L’association nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa)

Les prestations de formation de l’Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA) pour les demandeurs d’emploi et les salariés (tous financeurs confondus: collectivités territoriales, État, Fonds social européen et entreprises).
En 2011, parmi les 159 809 personnes entrées en formation, 92 267 étaient des demandeurs d’emploi, soit 58% des entrées. Ces 159 809 stagiaires ont bénéficié d’une formation au titre des différents types de financement:
- 10 093 entrées en stage au titre du marché « Formation des publics spécifiques » et du Fonds social européen (FSE) soit une augmentation de 5,3% (7,9 millions d’heures de formation). La durée moyenne de ces actions est de 789 heures;
- 11 155 entrées en stage au titre des actions financées par les services déconcentrés de l’État (3,7 millions d’heures) soit une baisse de 12,7%, correspondant principalement à des actions d’aide à l’insertion. La durée moyenne de ces actions est de 335 heures;
- 64 876 entrées en stage au titre d’actions financées par les collectivités territoriales (39,8 millions d’heures) soit une baisse de 7%. La durée moyenne de ces actions est de 613 heures;
- 67 542 entrées en stage au titre d’actions financées par les entreprises (10,2 millions heures) soit une baisse de 2,5%. La durée moyenne de ces actions est de 151 heures.
Globalement, on constate en 2011 une baisse de 5% du nombre d’entrées en formation et une baisse de 6% du volume d’heures de formation dispensées.
L’AFPA a accueilli en formation 8 611 personnes handicapées (11 528 en 2010), 1 384 résidents d’outre-mer (1 180 en 2010), 940 militaires en reconversion, 442 détenus et 77 Français de l’étranger.
Les prestations de certification, à l’issue d’un parcours de formation ou de validation des acquis de l’expérience, pour les demandeurs d’emploi et les salariés (tous financeurs confondus: État, Fonds social européen, collectivités territoriales, entreprises)
A l’issue de parcours de formation réalisés à l’AFPA ou en dehors de l’AFPA, l’association a organisé en 2011:
- 17 785 présentations aux certificats de compétences professionnelles (CCP) (20 054 en 2010);
- 62 922 présentations au titre professionnel du ministère chargé de l’emploi (64 470 en 2010).
Pour le titre professionnel, sur les 62 922 stagiaires, 51 026 ont été admis aux épreuves, soit un taux de réussite de 81.1% (80.8% en 2010).
Enfin, dans le cadre de la VAE, l’AFPA a organisé en 2011:
- 6 587 instructions techniques des dossiers de validation (7 739 en 2010) soit une baisse de 14.9%;
- 4 041 services d’appui à la VAE (5 080 en 2010) soit une baisse de 20.5%;
- 5 973 présentations au titre professionnel (5 748 en 2010) soit une hausse de 3.9 %.
Les prestations d’anticipation et d’accompagnement des mutations économiques

Pour renforcer la mise en oeuvre de ces prestations, l’AFPA a créé, depuis le 1er avril 2010, une nouvelle entité « AFPA Transitions » déployée sur le territoire en agences régionales. Ainsi, AFPA Transitions a assuré, notamment pour le compte de l’État et plus particulièrement des DIRECCTE, des actions d’anticipation et d’accompagnement des mutations économiques, parmi lesquelles:
- 17 996 journées d’appui au Service Public de l’Emploi;
- 2 917 appuis individuels au projet de reconversion;
- 3 619 diagnostics collectifs d’employabilité et de transfert de compétences;
Par ailleurs, elle a poursuivi l’expérimentation de l’accompagnement des adhérents du contrat de transition professionnelle (CTP) et réalisé, à ce titre, 957 accompagnements CTP.
2.2. Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam)
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, régi par le décret n°88-413 du 22 avril 1988 modifié. Doté du statut de grand établissement, le Cnam est placé sous la tutelle du ministre chargé de l'Enseignement supérieur. Il est membre fondateur du pôle de recherche et d’enseignement supérieur (Pres) Hautes Études- Sorbonne-Arts et Métiers (Hésam). Situé à Paris, l'établissement public anime un réseau de 28 centres régionaux associés et de 150 centres d’enseignement. Cette implantation territoriale lui assure une présence en France métropolitaine et ultramarine, ainsi qu'en Europe et à l'étranger. Les trois missions du Cnam sont la formation professionnelle supérieure tout au long de la vie, la recherche technologique et l'innovation, et la diffusion de la culture scientifique et technique.
Organisé en deux écoles, Sciences industrielles & technologies de l’information et Management & société, et quatorze départements, le Cnam dispense des formations ouvertes à tous ceux (salariés, demandeurs d'emploi, travailleurs indépendants, étudiants à la recherche d'une formation complémentaire…) qui souhaitent actualiser leurs connaissances, perfectionner leurs compétences, ou acquérir un diplôme. Il propose une offre de formation à finalité professionnelle marquée, correspondant au standard européen LMD (licence, master, doctorat). Ces formations débouchent sur des diplômes d'enseignement supérieur reconnus, du niveau bac+2 aux diplômes d'ingénieur et de 3e cycle, ou à des certificats ciblés sur des compétences bien identifiées.
Le Cnam propose des modalités de formation compatibles avec une activité professionnelle (cours du soir et du samedi, cours groupés en journée, formation ouverte et à distance (Foad) avec tutorat, contrats d'apprentissage et de professionnalisation). Pour aider les adultes et les jeunes à réussir, il met aussi à leur disposition toute une gamme de services: accueil, information, conseil individuel à l'orientation, mise à niveau, centre de ressources et d'appui pédagogique, validation des acquis de l'expérience, bilan de compétence, techniques de recherche d'emploi, bibliothèques et centres de documentation spécialisés…
Fort de son expérience en matière d'ingénierie de formation, le Cnam s'adresse également aux entreprises, organisations et collectivités territoriales auxquelles il apporte des réponses adaptées sous forme de stages intra ou inter-entreprises ou de prestations de conseil-ingénierie et d'expertise.
En 2008-2009, on compte 79 618 élèves inscrits aux cours du Cnam sur tout le territoire dont la moitié sont inscrits en région; son réseau implanté à l'étranger accueille plus de 9 000 élèves; 1 élève sur 3 est inscrit à au moins un enseignement en formation à distance, grâce aux technologies de l'information et de la communication pour l'éducation (Tice).
Le Cnam est à l’écoute des grands enjeux sociétaux et économiques. À travers vingt laboratoires, propres au Cnam ou en partenariat avec d’autres établissements, il contribue à la compétitivité des entreprises, à la création d’emplois et au développement de l’innovation scientifique et technologique. Les recherches menées portent sur des domaines variés couvrant les sciences de l’ingénieur, les sciences économiques, sociales et de gestion. Le Cnam contribue à la diffusion de la culture scientifique et technique, en particulier à Paris, à travers le Musée des arts et métiers, la Bibliothèque centrale, et l’organisation d’expositions, de manifestations et de conférences destinées à tous les publics.
2.3. Les groupements du second degré public (GRETA)
Le réseau des Greta

C’est le réseau de la « formation continue » des établissements du second degré du ministère de l’éducation nationale (MEN). Le réseau des Greta s’est mis en place progressivement à la suite des lois de 1971 qui font obligation aux employeurs de financer la formation continue de leurs salariés. Ce réseau permet de mettre le potentiel éducatif du MEN au service de la formation continue des adultes. Dans les années récentes, l’offre du réseau des Greta s’est élargie à de nouvelles prestations: orientation, bilan de compétences, validation des acquis de l’expérience, qui entrent dans le champ d’application des dispositions relatives à la formation professionnelle continue du code du travail (art. L 6313-1). Des relations partenariales avec de grands groupes privés et publics se sont également développées. Elles ont donné lieu à des conventions nationales au service de la formation continue de leurs salariés.
Depuis 2002, chaque académie s’est aussi progressivement dotée d’un groupement d’intérêt public formation continue et insertion professionnelle (GIPFCIP) pour développer des coopérations qui complètent l’offre de service des Greta. Les GIP académiques construisent des dispositifs sur mesure et ont notamment intégré les missions de conseil, d’ingénierie et de formation des acteurs des Cafoc (centres académiques de formation continue).
Stagiaires.
En 2010, plus de 2 000 établissements secondaires publics regroupés au sein de 216 groupements d’établissements (Greta) ont mis en commun leurs moyens en personnels, en locaux et en équipements pour répondre aux besoins de formation continue. Ils ont accueilli au total 542 200 stagiaires pour une durée moyenne de prestations d’un peu moins d’une centaine d’heures par individu.
Les effectifs de stagiaires sont repartis à la hausse depuis 2006 et celle-ci s’accélère un peu en 2010 (+7% entre 2009 et 2010, +5% entre 2008 et 2009) Dans le même temps, le nombre total des heures qui leur sont consacrées a diminué, entraînant une baisse de plus d’une trentaine d’heures de la durée moyenne de prestation par stagiaire (95 en 2010 contre 132 en 2006). Entre 2009 et 2010, le nombre des heures-stagiaires est resté stable.
Le volume financier généré par les Greta a atteint 483 millions d’euros en 2010, en progression de 7% par rapport à l’année précédente [2]. Cette progression concerne les trois quarts des académies: entre 2009 et 2010, le chiffre d’affaires diminue dans les académies de Corse et de Lille (-6%), de Bordeaux (-5%), de Nancy-Metz et de Strasbourg (-4%), de Paris et de La Réunion (-1%). Il augmente partout ailleurs, le plus fortement dans les académies
des Antilles, de Dijon et de Poitiers (+28% et plus).
On constate un renforcement des produits financiers d’origine publique: entre 2009 et 2010, les fonds publics
augmentent de 15% alors que les fonds d’origine privée diminuent (-1%). Cette tendance générale peut être
rapprochée de la montée du chômage engendrée par la crise économique, les demandeurs d’emploi constituant un
public cible pour les actions de formation continue des Greta. En 2010, 55% du financement global des actions des
Greta est d’origine publique contre 51% en 2009. Quatre académies seulement sont financées pour plus de 50% par des fonds privés contre une dizaine en 2009: les académies de Nice et de Lyon, mais surtout les académies de Bordeaux et de Paris dont le chiffre d’affaire dépend pour 70 % de fonds privés (entreprises, Opca ou individus). À l’opposé, en Guyane et en Guadeloupe, ainsi que dans les académies de Corse, de Limoges et d’Amiens, le financement des actions des Greta est assuré pour plus de 70% par des fonds d’origine publique.
PLF 2013 - Κίτρινο προϋπολογισμό που επισυνάπτεται Εκπαίδευση [PDF - 1.54 MB].
2.
Σημαντικές οι πάροχοι
2.1.
Η Εθνική Ένωση για τη Επαγγελματικής Κατάρτισης Ενηλίκων (AFPA)
Υπηρεσίες εκπαίδευσης του Εθνικού Συνδέσμου για τη Επαγγελματικής Κατάρτισης Ενηλίκων (AFPA) για άτομα που αναζητούν εργασία και των εργαζομένων (όλοι οι χρηματοδότες όσο: τοπικές αρχές, δημόσιες επιχειρήσεις και Ευρωπαϊκό Κοινωνικό Ταμείο)
. Περισσότερα...

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Le projet ISTEX, pour renforcer la recherche française

http://www.actualitte.com/style/gfx/logo.pngPar Ania Vercasson. Le projet ISTEX (Initiative d'excellence de l'Information Scientifique et Technique) lance son enquête auprès des chercheurs afin de bientôt concrétiser un nouvel outil en matière d'accès à la documentation scientifique numérique. Créé par et pour la communauté de l'enseignement supérieur et de la recherche, ce projet novateur associe le CNRS, l'Agence Bibliographique de l'Enseignement Supérieur (ABES), le consortium Couperin, et l'Université de Lorraine agissant pour le compte de la Conférence des Présidents d'Université (CPU).
Avec ISTEX, ce sont les professionnels de la recherche qui sont visés, le projet s'inscrivant dans le programme Investissements d'Avenir, initié par le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR). D'envergure nationale, ce projet « vise à renforcer la recherche et l'enseignement supérieur français sur la scène mondiale», confie Couperin. Et pour cela, deux actions essentielles sont en vues.
Tout d'abord, l'acquisition de ressources documentaires scientifiques par le biais de licences nationales, regroupant sous une conséquente bibliothèque numérique, des collections rétrospectives de revues numériques, des livres numériques de niveau recherche, de grands corpus patrimoniaux numérisés ou encore des archives de bases de données.
« Les ressources attendues constituent des ensembles clos faisant l'objet d'un achat définitif et pérenne »
, annonce Couperin, et ce, grâce au système des licences nationales.
Le système des licences nationales

« La première étape du projet ISTEX consiste en une politique volontariste et massive d'achats centralisés d'archives scientifiques sous forme de licences nationales », nous dit Couperin. Mais qu'est-ce donc que ce système ? La licence nationale est un contrat que la France, ou son représentant, passe avec un éditeur pour négocier un accès à une ressource sur un territoire suivant un périmètre défini. Le prix payé est ainsi celui pour la France, ou le périmètre défini, et non pour un seul établissement isolé.
« Dans notre cas, nous établissons des accords pour les établissements publics ou privés ayant un lien avec la recherche. L'éditeur fait une proposition et nous analysons les ressources proposées »
, explique Grégory Colcanap, coordinateur du bureau professionnel chez Couperin.
« Nos chercheurs français ont besoin d'accéder à un certain nombre de ressources qui doivent être accessibles à tous les établissements. Nous nous sommes inspirés des systèmes allemands et britanniques qui utilisent déjà la licence nationale. C'est très efficace pour faire des économies de moyens et d'arriver enfin à nationaliser les ressources »
, déclare Sandrine Malotaux.
Et d'ajouter: « Couperin a toujours plaidé très fort pour le développement des licences nationales auprès du Ministère. Une enveloppe budgétaire a été dédiée à ce projet il y a deux ans. Ensuite, ISTEX est une amplification de cette pratique ».
Et, le 19 avril 2012, le CNRS et l'ANR ont signé avec le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESR) la convention d'attribution d'aide s'élevant aujourd'hui à 60 millions d'euros sur 3 ans (le temps de la mise en place du projet) dont 55 millions d'euros consacrés à l'acquisition d'archives scientifiques et 5 millions d'euros à la création de la plateforme qui hébergera les données acquises. Voir l'article entier...
http://www.actualitte.com/style/gfx/logo.png By Ania Vercasson. ISTEX project (Excellence Initiative of Scientific and Technical Information) launches survey researchers to soon implement a new tool for access to digital scientific documentation. Created by and for the community of higher education and research, this innovative project combines the CNRS, the Bibliographic Agency for Higher Education (ABES), the consortium Couperin, and the University of Lorraine on behalf Conference of University Presidents (CPU). More...

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Candidature à une CIFRE - Conventions Industrielles de Formation par la REcherche

La rubrique Offres de CIFRE se dote d'un nouvel outil de mise en relation des partenaires des CIFRE: les étudiants peuvent désormais déposer en ligne leur candidature permettant, ainsi, aux entreprises et laboratoires de mieux repérer les candidats désireux de "faire une Cifre". Découvrez les candidatures des étudiants.
Présentation

Depuis près de 30 ans, le dispositif CIFRE - Conventions Industrielles de Formation par la REcherche - subventionne toute entreprise de droit français qui embauche un doctorant pour le placer au cœur d'une collaboration de recherche avec un laboratoire public. Les travaux aboutiront à la soutenance d'une thèse en trois ans.
Les CIFRE sont intégralement financées par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche qui en a confié la mise en œuvre à l'ANRT.
Το τμήμα προσφέρει CIFRE υιοθετεί ένα νέο εργαλείο για τη σύνδεση των εταίρων CIFRE: οι μαθητές μπορούν να υποβάλουν τις αιτήσεις τους τώρα σε απευθείας σύνδεση, έτσι ώστε οι εταιρείες και εργαστήρια για τον εντοπισμό καλύτερους υποψήφιους που επιθυμούν να "κάνει μια CIFRE". Ανακαλύψτε αιτήσεων των φοιτητών. Περισσότερα...

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Quelle modernisation de l’action publique après la RGPP?

http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.pngLe Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a convoqué, le 1er octobre 2012, un séminaire gouvernemental sur la modernisation de l’action publique afin de définir la feuille de route du gouvernement en matière de réforme de l’Etat. Ce séminaire se tient après la remise, par les trois grandes inspections générales interministérielles, d’un rapport d’évaluation de la Révision générale des politiques publiques (RGPP).
La RGPP, engagée en 2007, visait une mise à plat de l’ensemble des missions de l’Etat afin d’identifier les réformes susceptibles de réduire les dépenses de l’Etat tout en améliorant l’efficacité des politiques publiques. La première vague de la RGPP a consisté en des réformes structurelles (réorganisation de l’administration centrale et des services extérieurs de l’Etat) et une simplification des procédures administratives. La deuxième vague, lancée en 2010, visait en priorité les fonctions supports de l’Etat ainsi que l’amélioration du service rendu à l’usager. De nombreux rapports ont évalué la mise en oeuvre de la RGPP: dès 2009, la Cour des comptes regrette une démarche trop quantitative, en 2010 et 2011, des rapports parlementaires s’inquiètent d’une procédure trop centralisée et s’interrogent sur la règle du "un sur deux", pour les remplacements des agents partant en retraite. Le rapport remis à Jean-Marc Ayrault confirme les critiques déjà formulées et propose de nouvelles orientations pour la réforme de l’Etat.
Vie-publique.fr vous propose un ensemble de ressources pour faire le point sur la réforme de l’Etat depuis 2007.
Mots clés:
Réforme de l’Etat.
Sur vie-publique.fr

RGPP: une méthode contestée.
Non remplacement d’un fonctionnaire sur deux: quel impact?
RGPP: quel impact sur les collectivités territoriales?
Révision générale des politiques publiques: des limites avérées.
Moderniser l’administration.
http://www.vie-publique.fr/images/logo_viepublic.png Prime Minister Jean-Marc Ayrault, convened on 1 October 2012, a government seminar on modernization of public action to define the roadmap of the Government's reform of the state. This seminar will be held after the presentation by the three general inspections interdepartmental an evaluation report of the General Review of Public Policies (RGPP).
RGPP, initiated in 2007, was a leveling of all the missions of the State to identify reforms that reduce government spending while improving the effectiveness of public policies.
The first wave of RGPP consisted of structural reforms (reorganization of the central and external services of the State) and simplification of administrative procedures. More...

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