Les mensonges sur votre CV risquent toujours de vous rattraper

A chacun de prendre ses responsabilités, mais sachez que prétendre être titulaire d’un diplôme que vous n’avez pas – même si vous estimez avoir les compétences correspondantes – est absolument rédhibitoire pour un recruteur. Ce n’est pas par hasard qu’on demande de plus en plus aux candidats de produire non plus des copies mais les originaux de leurs diplômes.
A mensonge, mensonge et demi !
On considère aujourd’hui que 25 à 35% des candidats « truquent » ou « gonflent » leur CV d’une manière ou d’une autre. Tous les recruteurs le savent. Aussi s’attachent-ils à vérifier les CV et à les recouper avec les assertions des candidats en entretien, notamment sur les points où ces derniers ont le plus tendance à transformer la vérité:
* Les compétences linguistiques – Rien de plus facile pour un recruteur que de vérifier si votre anglais est vraiment fluent ! Si ce n’est pas le cas, l’entretien en anglais tournera court.
* La rémunération – On vous demandera probablement de produire vos dernières fiches de paie… Donc inutile d’en rajouter, elles parleront pour vous. Ce qui ne vous empêche de négocier à la hausse pour le poste à pourvoir.
* Les maquillages de dates – Pour cacher un trou dans votre CV, vous avez changé les dates. A première vue, cela donnera de vous une « bonne image », qui volera en éclat si vous vous embrouillez dans vos explications. Les parcours professionnels ne sont plus aussi linéaires qu’il y a 15 ou 20 ans et les recruteurs ne renoncent pas à un candidat intéressant au motif qu’il a connu une période de chômage.
* Les intitulés de poste requalifiés – Vous étiez chef de vente et vous avez pensé que « Directeur commercial » sonnerait mieux… Vous managiez 10 personnes et vous avez multiplié l’effectif de votre équipe par 2… Un simple coup de fil à votre ancien employeur révèlera au recruteur que ce n’est pas vrai.
* Les stages transformés en CDD – C’est une tentation que peuvent avoir les jeunes diplômés, mais cela reste une contre-vérité. Mieux vaut développer ce que vous avez appris et réalisé lors de vos stages que de les faire passer pour ce qu’ils ne sont pas.
* Les hobbies inventés – Si vous avez jugé nécessaire de vous inventer une passion quelconque ou la pratique assidue d’un sport ou d’une discipline artistique, attendez-vous à ce que l’on vous interroge là-dessus. Même si votre interlocuteur n’est pas ferré dans la discipline en question, il aura tôt fait de détecter que vous ne l’êtes pas plus que lui…
Ce que vous risquez à mentir ?
Mentir sur le papier vous conduira inévitablement à mentir ou biaiser en entretien de recrutement. Pris en flagrant délit de mensonge, vous serez évidemment écarté du processus de recrutement. Mais surtout, vous serez discrédité et cela peut vous poursuivre plus longtemps que vous ne l’imaginez.
En outre, le web a de la mémoire. Le CV « bidonné » que vous avez posté l’an dernier, et que vous avez oublié, peut très bien remonter en tête de liste à la première recherche Google que, pour une raison ou une autre, fera votre employeur sur votre nom. Ce serait dommage d’avoir fait tout ça pour in fine perdre sa confiance et vous retrouver à la case départ…

La discrimination sur le marché de l’emploi entre les hommes et les femmes

L’élément fondamental de l’étude porte sur la chance économique que représente cette masse féminine si on lui permettait d’accéder plus facilement au marché de l’emploi. Les femmes sont sous-utilisées sur le marché du travail et reléguées dans un rôle encore souvent familial et maternel. Selon le Forum Economique mondial, cela apparaît incompréhensible, eu égard à la période de crise actuelle.
Le rapport présente quelques pistes de réflexion et notamment: un meilleur accès à l’accueil de l’enfance, une meilleure assistance aux personnes âgées, une allocation parentale égalitaire, une égalité de l’âge à la retraite…
Consulter la synthèse du rapport (rapport complet en anglais)

Abrogation du décret sur l'évaluation des enseignants

Les dispositions des statuts particuliers afférentes à la notation et à l'avancement d'échelon « multi cadencé » (au grand choix, au choix, à l'ancienneté) des personnels enseignants, d'éducation et d'orientation antérieurement applicables sont ainsi rétablies.
Par ailleurs, est reportée l'obligation pour les candidats reçus aux concours externes de recrutement dans les corps enseignants de justifier de la possession d'un certificat de compétences en langues de l'enseignement supérieur et d'un certificat de compétences en informatique et internet, à la date de leur titularisation, et non plus à la date de leur nomination en qualité de fonctionnaire stagiaire.
Décret n° 2012-999 du 27 août 2012.

Young Women Are More Likely Than Men to Aspire to College, and to Graduate
By Jennifer González. Female high-school students are more likely to aspire to attend college than are their male counterparts, and the young women enroll in college, persist, and graduate from it at higher rates as well, according to a report released on Tuesday by the National Center for Education Statistics.
The report, "Higher Education: Gaps in Access and Persistence Study," says that, in 2004, 96 percent of female high-school seniors wanted to go to college, compared with 90 percent of males. When female high-school graduates enrolled in college, they tended to do so immediately after high-school graduation; half chose a four-year institution.
Male high-school graduates made similar choices, but at lower rates. For example, while almost three-quarters of female students who enrolled in college did so immediately after high school, just over two-thirds of male students did. Slightly less than half of young men first enrolled in a four-year institution.
Young women also paid more attention to the college search while in high school, the report says. A greater share of female high-school students (80 percent) had "consulted college Web sites, publications, or search guides for information on college entrance requirements" than had males (68 percent). Among seniors in high school, women were more likely than men to reach out to college representatives for information.
Once in college, a higher percentage of women tended to stay enrolled and to graduate, according to the report. Roughly 60 percent of all first-time, full-time bachelor-degree-seeking students who started college in 2004 had earned that degree six years later from the same institution. A greater proportion of women had finished (61 percent) than men (56 percent). Female students across all racial and ethnic groups graduated at higher rates than did their male counterparts, with the biggest discrepancy among black students, the report says.
Women were also more likely than were men to receive financial aid—82 percent versus 77 percent—and to participate in a campus club during their first year, according to the report.