02 août 2012

Le Programme Régional d'Apprentissage

http://www.regionpaca.fr/uploads/pics/logo_paca.pngIl propose des formations par apprentissage effectuées sous contrat d'apprentissage avec les entreprises et mises en œuvre avec les divers types de CFA répartis sur l'ensemble du territoire régional. Ces formations visent l'obtention de nombreux diplômes ou titres homologués, de niveau V à I, dans la plupart des métiers et des secteurs professionnels, tout en permettant une expérience professionnelle. Guide des procédures.
Elles ont une durée moyenne de deux ans, ou plus, en fonction des règlements d'examens. L'apprentissage est accessible à tous les jeunes de 16 à 26 ans non révolus, quel que soit leur cursus antérieur (scolaires, demandeurs d'emploi, stagiaires de la formation professionnelle, détenteurs d'une première expérience professionnelle…) ayant obtenu un contrat avec un maître d'apprentissage et donne droit à un salaire, versé par l'entreprise, selon des barèmes déterminés.
* Pour rechercher un CFA dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, cliquez ici.
* Pour connaître les aides pour les apprentis cliquez ici.
* Pour la nouvelle carte régionale de l'apprentissage, cliquez ici.
Collecte de taxe d'apprentissage
La Loi de Modernisation sociale du 17 janvier 2002 et son décret d’application imposent aux Centres de Formation d’Apprentis (CFA) et aux Sections d’Apprentissage (SA) de déterminer des coûts annuels de formation par apprenti et par section d’apprentis qui doivent être publiés par le Préfet de Région. Le projet de Loi de programmation pour la cohésion sociale présenté au Sénat le 15 septembre 2004 prévoyait en lieu et place du forfait de 381 € par apprenti reversé par l’entreprise au CFA d’accueil le versement d’un montant minimum, au moins égal au coût réel par apprenti et par section d’apprentis. Toutefois, la loi n°2005-841 du 26 juillet 2005 relative au développement des services et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale prévoit, dans son article 31, que « jusqu’au 1er janvier 2008 et par dérogation aux dispositions de l’article L. 118-2 du code du travail, le montant du concours financier prévu au deuxième alinéa de cet article est au moins égal, dans la limite de la fraction de la taxe réservée à l’apprentissage, à un montant fixé par arrêté des ministres chargés de l’emploi et du budget. »
Objectif : première qualification
Se former quand on a entre 16 et 25 ans, que l’on se retrouve hors du cursus scolaire et sans diplôme? Une étape pas toujours facile.
Un véritable service public
Une priorité: donner aux jeunes de 16 à 25 ans la possibilité d’obtenir une première qualification. Aménager un territoire, c’est non seulement construire des routes ou ouvrir des gares, mais également permettre aux habitants et aux jeunes de se former, se qualifier, et leur offrir une chance de trouver un emploi sur leur lieu de vie. Pour y parvenir, l’ensemble des dispositifs de formation professionnelle ont été optimisés. Un véritable service public qui englobe la formation, l’apprentissage mais aussi l’accueil, l’information et l’orientation des jeunes a été créé. Avec une exigence forte: continuité des parcours, égalité des chances, lutte contre les discriminations et adaptabilité au monde du travail.
Les 16-25 ans : une priorité

Un cursus chaotique au collège, une ou deux années de flottement et on se retrouve vite sur le marché du travail… Pas facile de trouver un emploi sans qualification ni diplôme ! Heureusement les missions locales sont là. Leur rôle: accompagner les 16-25 ans pour une insertion sociale et professionnelle durable. Plusieurs possibilités s’offrent alors en fonction du profil de chacun: choisir l’apprentissage dans l’un des 70 Centres de formation d’apprentis de la région ou suivre une formation professionnelle grâce au Contrat d’accès à la qualification. Ces deux voies permettent ensuite au jeune de se présenter, mieux armé, sur le marché du travail ou de continuer ses études supérieures grâce à un partenariat Région-Universités.
L’apprentissage : une forte percée

Chaque année, de plus en plus de jeunes âgés de 16 à 25 ans choisissent cette voie qui offre une grande diversité de filières et des formations de plus en plus spécialisées dont les entreprises ont besoin. Depuis 2002, le nombre des apprentis a progressé de 15%.
Aujourd’hui, ils sont près de 35 270 à poursuivre leur cursus dans les 194 lieux de formation par apprentissage répartis sur le territoire régional.
Une première qualification
Le Service Public Régional de Formation Permanente et d’Apprentissage propose plusieurs types de formations. Les formations préqualifiantes visent, dans un domaine de spécialité, l’acquisition des aptitudes et savoirs et préparent l’accès à une qualification professionnelle ciblée. Les formations qualifiantes sont destinées à obtenir une certification professionnelle (diplôme, titre ou certificat).
Les formations professionnalisantes permettent, elles, d’acquérir des connaissances et compétences ciblées dans un secteur professionnel ou des domaines de connaissances transversales – langues étrangères, informatique-bureautique… – complémentaires à une qualification déjà acquise. Consulter la liste des missions locales.
http://www.regionpaca.fr/uploads/pics/logo_paca.png~~VOffre tirocini condotte nell'ambito di un contratto di apprendistato con le imprese e attuata con vari tipi di CFA distribuiti su tutta la regione. Questi corsi mirano a conseguire gradi più o qualifiche approvate, V livello I, nella maggior parte dei settori commerciali e professionali, consentendo nel contempo l'esperienza professionale. Manuale delle Procedure. Più...

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Les "Mercredis de la VAE" du FONGECIF PACA

http://www.fongecif-paca.com/sites/paca/pages/upload/images/logo_fong_midiG.gifA partir du 1er juillet 2012, le FONGECIF PACA, avec le soutien de la Région, inaugure les "Mercredis de la VAE", dans ses locaux à Marseille!
Conditions d'accès au CIF CDD

Si vous avez - de 26 ans :

- 12 mois d’activité salariée dans les 5 ans (prise en compte possible des contrats d’apprentissage et de professionnalisation)
 et
                - activité salariée de 120 jours de CDD (prise en compte possible des contrats d’apprentissage et de professionnalisation) consécutifs ou non dans les 12 derniers mois
                                                             ou
                - activité salariée de 6 mois de CDD (prise en compte possible des contrats d’apprentissage et de professionnalisation)  dans les 22 derniers mois
Si vous avez + de 26 ans :

- 24 mois d'activité salariée, consécutifs ou non, dans les 5 ans
et
                - activité salariée de 120 jours minimum en CDD* consécutifs ou non dans les 12 derniers mois
                                                            ou   
                - activité salariée de 6 mois de CDD* dans les 22 derniers mois
*Sont exclus les contrats suivants: de professionnalisation, d'apprentissage, d'avenir, d'accompagnement dans l'emploi, CUI-CAE. Les contrats conclus avec des jeunes en cursus scolaire ou universitaire. Les CDD qui se prolongent par un CDI, dans la même entreprise.
Mobilisation des heures de DIF dans le cadre d'une demande de CIF ou de Formation Hors Temps de Travail

Pensez à nous l'indiquer lors de votre demande et de le faire apparaître dans la partie réservée à l'organisme de formation!
http://www.fongecif-paca.com/sites/paca/pages/upload/images/logo_fong_midiG.gif Dal 1 ° luglio 2012, il FONGECIF PACA, con il sostegno della Regione, inaugura "I mercoledì della VAE" nei suoi locali a Marsiglia!
Condizioni di accesso CIF CSD
Se si dispone di - 26 anni:

- 12 mesi di lavoro subordinato entro 5 anni (tenendo conto di eventuali tirocini e professionali)

e

- Lavoro dipendente di 120 giorni di CSD (tenendo conto apprendistato possibili e professionalizzazione) o non consecutivi negli ultimi 12 mesi

           o
- Pagamento di occupazione di 6 mesi di CSD (tenendo conto apprendistato possibili e professionali) negli ultimi 22 mesi. Più...

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Le CIF - CDD

http://fongecif.pressvox.com/accueil.gif

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L’économie sociale et solidaire se dote d’un code juridique

http://www.uniformation.fr/design/uniformation/images/logo.pngAprès avoir conduit des travaux pour faire connaître et reconnaître l’Econome Sociale et Solidaire (ESS) sur les plans statistique et économique, le CNCRES et les CRES(S) ont soutenu la création du premier Code réunissant les principaux textes juridiques et fiscaux des différentes structures qui composent l’ESS.
En France, les entreprises de l’ESS sont présentes dans tous les secteurs d’activité: banque, assurances, action sociale, enseignement, sport, culture, environnement…Rappelons qu’elles sont au nombre de 117 000 et emploient 2,35 millions de salariés.
Cet ouvrage paraît au moment où le gouvernement s’est doté d’un ministère délégué à l’ESS. Il devrait faire référence pour tous les travaux qui seront conduits au sein de ce ministère, en particulier sur l'aspect de la législation.
Cela doit permettre le développement d’un secteur qui apporte des réponses aux enjeux actuels de la société: relocalisation de l’économie, sauvegarde des milieux ruraux et quartiers urbains défavorisés, maintien de l’activité industrielle par la reprise d’entreprises par les salariés, création d’emplois; et qui porte les germes des réponses aux enjeux à venir : développement de nouvelles filières respectueuses de l’environnement dans le domaine de la construction ou des énergies ou encore réponses au vieillissement de la population.
Il est l’outil indispensable de tous les acteurs publics et privés œuvrant au développement de l’ESS.
Communiqué de presse du 16 juillet 2012 du CNCRES. Contact: Sandrine MORARD – 01 44 70 74 55 – 07 86 59 17 44. www.CNCRES.org.
http://www.uniformation.fr/design/uniformation/images/logo.png After driving to work to promote and recognize the Bursar Social and Solidarity (SSE) on statistically and economically, the CNCRES and CRES (S) supported the creation of the first code comprising the main texts of the various legal and tax structures that make up the ESS.
In France, companies in the ESS are present in all sectors: banking, insurance, advocacy, education, sports, culture, environment... remember they are in number 117 000 and employ 2.35 million of employees
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Devenir un Organisme Prestataire de Bilan de Compètences agréé par Uniformation

http://www.uniformation.fr/design/uniformation/images/logo.pngUne fois par an, Uniformation agrée des prestataires de bilans de compétences afin d’aider ses adhérents dans leur recherche. Vous pouvez adresser un dossier de candidature, afin que celui-ci soit étudié. Merci de prendre connaissance des dates limites de candidature. Au-delà du 30 septembre 2012, il sera trop tard.
Nouveauté pour 2013, l'appel à candidature est ouvert directement en ligne. Voici ci-dessous, comment procéder.
Comment constituer votre demande d'agrément au titre de l'année 2013?

Nous vous informons que les organismes prestataires de bilans de compétences, désireux d’être agréés par Uniformation, au titre de l’année 2013, doivent remplir le questionnaire d’agrément en ligne et remplir les conditions énoncées dans la charte qualité.
A noter:
    * Tout dossier de candidature devra être saisi en ligne impérativement complet avant le 30/09/2012.
    *  Les demandes incomplètes, ou saisies après le 30/09/2012, seront rejetées, sans possibilité de recours.
      La décision d’Uniformation, positive ou négative, fera l’objet d’une notification écrite, à l’adresse du siège de l’organisme demandeur.
    *  Uniformation se réserve le droit d'effectuer des contrôles auprès des organises agrées pour l'assurer du respect des conditions d'agrément et des engagements de la charte qualité qu'ils ont approuvée et signés.
Pièces à produire en cas de contrôle
Pour être complet le dossier devra être composé:
    * de la charte qualité 2013, tamponnée, datée et signée (voir saisie en ligne),
    * une copie du compte-rendu statistique et financier 2011, adressé annuellement à la DRTEFP, et prévu à l’article R.6322-60 du Code du Travail,
    * une copie des statuts, ou de l’extrait de K-bis, ou de l’annonce de création d’association parue au Journal Officiel,
    * les curriculum vitae et les copies de diplômes des intervenants.
http://www.uniformation.fr/design/uniformation/images/logo.png~~VΜία φορά το χρόνο, Uniformation διαπιστεύει παρόχους αξιολόγηση των δεξιοτήτων για να βοηθήσει τα μέλη της στον τομέα της έρευνας τους. Μπορείτε να στείλετε μια εφαρμογή έτσι ώστε να μελετηθεί. Merci de prendre connaissance des dates limites de candidature. Σας ευχαριστώ για να μάθετε για τις προθεσμίες εφαρμογής. Πέρα 30 Σεπτεμβρίου του 2012, θα είναι πολύ αργά.
Νέο για το 2013, η πρόσκληση υποβολής υποψηφιοτήτων είναι ανοιχτή γραμμή.
Παρακάτω, το πώς θα προχωρήσουμε. Περισσότερα...

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Pour une vision prospective de la fonction formation en entreprise

http://www.garf.asso.fr/wpFichiers/1/1/Ressources/image/logoPetit.jpgTélécharger le document "Pour une vision prospective de la formation en entreprise".
Extraits
Point de vue d’acteurs de la formation continue en entreprise

Notre propos est de donner le point de vue d’acteurs de la formation à travers le regard du GARF. L’association représente une part majeure de ceux qui ont la responsabilité de la formation dans les entreprises en France, notre mission étant le développement des compétences au service des entreprises et des salariés, dans une perspective de responsabilité sociétale. Nous ne traitons pas de l’ensemble du système formation ; nos observations portent sur la fonction formation et le rôle des acteurs vus par l’entreprise:
- par un diagnostic sur la situation actuelle, à partir des travaux du GARF,
- et des éléments d’une vision prospective de la formation, de leurs impacts en évoquant des scénarios de rupture par rapport à ce que l’on observe aujourd’hui.
1. Contribution à un diagnostic – les acteurs aux prises avec l’actualité
A partir d’éléments formant une « photographie » des acteurs et leur « métier », telle que nous pouvons l’observer du GARF, nous mettons en évidence ce qui caractérise leur rôle aujourd’hui, en se focalisant sur certains thèmes de leur action. A partir d’un enquête récente réalisée au sein de l’association, et en se référant à des observations plus anciennes, il est possible de mettre en perspective des traits caractéristiques et des évolutions sur une vingtaine d’années. Notons que les PME sont plus nombreuses que les grands groupes dans notre échantillonnage (40%, contre 26%) Si l’on regarde le profil du responsable de formation, il est aujourd’hui majoritairement féminin (69%) et plutôt ancien dans la fonction (de 8 à 10 ans). Il s’agit d’une personne expérimentée venant d’une autre fonction, et le plus souvent diplômée (au moins bac +3). Si, pour la plupart (à 60%), leur fonction est consacrée principalement à la formation, elle implique de plus en plus des activités connexes: GPEC, développement RH, relations écoles et stages, alternance, etc.
Télécharger le document "Pour une vision prospective de la formation en entreprise".

http://www.garf.asso.fr/wpFichiers/1/1/Ressources/image/logoPetit.jpg Download the document "For a prospective view of corporate training" .
Extracts
Perspective of the actors in-company training
The association represents a major proportion of those who are responsible for training in companies in France, our mission is the development of skills to help companies and employees, from the perspective of social responsibility. We are not dealing with the whole system training, our observations relate to the training function and role of actors seen by the company. More...

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Un déficit d'effort de recherche des entreprises françaises? Comparaison France - Allemagne

http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Note_d_info/71/3/Note-d_information-Enseignement-sup-Recherche_178713.79.jpgL’Allemagne réalise davantage de recherche et développement que ne le fait la France. Cet écart relève d’une différence d’échelle entre les deux pays. Il relève également d’un effort de recherche supérieur en Allemagne: les dépenses consacrées à la R&D s’élèvent à 2,82 % du P.I.B. en Allemagne, contre 2,26% en France. Cet écart est essentiellement attribuable à la structure économique des deux pays: c’est dans l’industrie que se fait l’essentiel de la R&D et l’industrie occupe en Allemagne une place plus importante dans l’économie qu’en France. De plus, l’industrie allemande est fortement spécialisée sur les activités les plus intensives en R&D. En revanche, l’intensité de recherche des entreprises qui mènent des travaux de R&D, bien que légèrement supérieure en Allemagne, n’explique qu’une faible partie de l’écart de dépenses de recherche. En France, les entreprises industrielles de haute technologie affectent notamment une part plus élevée de leur chiffre d’affaires à la recherche que leurs homologues d’Allemagne. Télécharger la Note d'information n°12.09 juillet.
La France a mené pour 42,7 milliards d’euros (Md€) de travaux de recherche et de développement (R&D) en 2009. L’Allemagne en a réalisé pour 67,0 Md€. Ce plus haut niveau de dépenses de R&D outre-Rhin relève en partie de la différence d’échelle entre les deux pays : le produit intérieur brut (PIB) allemand a atteint 2 375 Md€ en 2009, contre 1 889 Md€ pour le PIB français. Cet écart relève également d’une différence d’effort de recherche: les dépenses consacrées à la R&D ont atteint 2,26 % du PIB en France en 2009, tandis qu’elles se sont élevées à 2,82% du PIB en Allemagne. Les premières estimations disponibles pour l’année 2010 confirment cette tendance: l’effort de recherche se stabiliserait à 2,26% en France et 2,82% en Allemagne. Ce niveau élevé des investissements en R&D positionne l’Allemagne au quatrième rang des pays de l’Union européenne en termes d’effort de recherche.
En proportion de leur PIB, seuls la Finlande (3,92%), la Suède (3,61%) et le Danemark (3,06%) ont effectué davantage de recherche en 2009. La France arrive en sixième position, devancée par l’Autriche (2,72%).
Alors que la France et l’Allemagne partageaient des performances proches au cours de la première moitié des années 1990 avec un effort de recherche autour de 2,3%, il n’en est plus de même actuellement. L’effort de recherche allemand est désormais supérieur à celui de la France. Si le secteur public – qui recouvre l’État, l’enseignement supérieur et les associations – réalise un effort de recherche d’ampleur similaire dans les deux pays (environ 0,9% du PIB), la différence est notable pour le secteur privé. Les dépenses engagées par les entreprises pour réaliser des travaux de R&D ont atteint 1,39% du PIB en France en 2009, contre 1,91% en Allemagne. Les dépenses engagées par les entreprises françaises pour effectuer des travaux de recherche – qui rassemblent les frais de personnel, les dépenses de fonctionnement et les dépenses de capital – se sont ainsi élevées à 26,3 Md€ en 2009. En Allemagne, les entreprises ont réalisé pour 45,3 Md€ de travaux de R&D en 2009, soit 19 Md€ de plus que leurs homologues françaises.
Pourtant, plus sensible que la France aux fluctuations du commerce mondial, l’économie allemande a connu une nette contraction de son activité suite à la crise économique et financière. Son PIB a diminué de 5,1% en 2009, contre - 2,7% pour celui de la France. Cette plus forte réaction de l’économie allemande à la crise économique a également concerné les dépenses de R&D engagées par les entreprises. En Allemagne, ces dépenses ont diminué en 2009 (-2,9%), cependant qu’elles continuaient à progresser en France (+1,8%). Malgré le ralentissement de l’activité économique, les entreprises françaises n’ont pas ajusté à la baisse leurs investissements de recherche en 2009. Les entreprises allemandes, si.

Η Γερμανία πραγματοποιεί περισσότερη έρευνα και ανάπτυξη από ό, τι στη Γαλλία. Η διαφορά αυτή είναι μια διαφορά στην κλίμακα μεταξύ των δύο χωρών. Υπάρχει επίσης μια μεγαλύτερη ερευνητική προσπάθεια στη Γερμανία: οι δαπάνες για Ε & Α ανήλθαν στο 2,82% του ΑΕΠ στη Γερμανία, έναντι 2,26% στη Γαλλία. Η διαφορά αυτή οφείλεται κυρίως στην οικονομική δομή των δύο χωρών: αυτό είναι βιομηχανία που είναι η ουσία της Ε & Α και της βιομηχανίας στη Γερμανία καταλαμβάνει έναν πιο σημαντικό ρόλο στην οικονομία της Γαλλίας. Επιπλέον, η γερμανική βιομηχανία είναι ιδιαίτερα εξειδικευμένες δραστηριότητες στην πιο εντατική Ε & Α. Περισσότερα...

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Les personnels enseignants de l'enseignement supérieur - 2010-2011

http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Note_d_info/71/3/Note-d_information-Enseignement-sup-Recherche_178713.79.jpgPar Marc Bideault et Pasquin Rossi, DGRH A1-1. Durant l’année universitaire 2010-2011, plus de 96 000 enseignants ont été en fonctions dans les établissements publics d’enseignement supérieur. Leur effectif global progresse constamment, avec 3 200 personnes de plus que l’année précédente, soit +3,4%, notamment du fait de la part des enseignants non permanents. Parmi ces enseignants, 56 000 appartiennent aux corps des enseignants-chercheurs – y compris les corps à statuts spécifiques – dont les effectifs ont progressé de 8,1% en dix ans. 13000 enseignants du second degré et 27 000 enseignants non permanents participent à cet encadrement universitaire. Télécharger la Note d'information n°12.08 juillet.
Les personnels qui enseignent dans l’enseignement supérieur se répartissent en trois grandes catégories: les enseignants-chercheurs titulaires et stagiaires (58,5%), les personnels du second degré en fonctions dans l’enseignement supérieur (13,4%) et les personnels enseignants non permanents (28,1%).
Parmi les enseignants-chercheurs et assimilés – enseignants-chercheurs et enseignants associésnonpermanents (61,7%)–on trouve les professeurs des universités (35,5%), les maîtres de conférences (64,4%) et les assistants titulaires (0,1%). Ces personnels enseignants non permanents regroupent les enseignants associés, les attachés temporaires d’enseignement et de recherche (ATER), les doctorants contractuels et moniteurs, les assistants des disciplines hospitalo-universitaires (AHU), les lecteurs et les maîtres de langues. 94,7% des enseignants de l’enseignement supérieur sont affectés dans les universités – dont 11,1% dans les instituts universitaires de technologie et 1,4% dans les instituts ou écoles rattachées – et 5,3% dans les autres types d’établissement.
1 660 des enseignants du supérieur ne sont pas en fonctions dans des établissements relevant du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche; ils sont soit en position de détachement (52%), soit en congés, en disponibilité ou hors-cadre (tableau 6, p. 6). Une répartition par académie des principales catégories d’enseignants en activité est présentée dans le tableau 8, p. 7.
Des effectifs d’enseignants-chercheurs dont la croissance ralentit depuis trois ans

On constate, de 2000 à 2011, une forte croissance des effectifs d’enseignantschercheurs titulaires (+6 471 personnes soit +13,3%). Cette croissance est particulièrement élevée pour le groupe interdisciplinaire (+50,5%) avec notamment les sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) dont l’effectif d’enseignants-chercheurs a augmenté de 75% sur cette période. Les sciences juridiques, économiques et de gestion (+29,8%), les sciences humaines (+23,3%), les mathématiques et l’informatique (+17,8%) et les sciences pour l’ingénieur (+16%) connaissent également les plus fortes progressions. Les sciences de la vie (+10,7%), les lettres et les langues (+7,9%) et les sciences de la Terre (+7,8%) enregistrent une croissance plus faible. La chimie et la physique voient une stabilisation de leurs effectifs depuis quatre années. La physique avait perdu 10% de ses enseignants entre 1998 et 2007. Cependant, cette croissance des effectifs observée sur douze années se poursuit plus lentement depuis trois ans dans un contexte marqué par la diminution des effectifs de la fonction publique.
Le graphique 1 permet de comparer les croissances relatives depuis 1992 des différentes catégories (hors assistants, dont le corps est mis en voie d’extinction depuis le milieu des années 80) et celle du total général d’enseignants. La progression des professeurs des universités est la plus faible. La catégorie des enseignants non permanents a plus que doublé sur les quinze dernières années et augmente à nouveau après quatre années de stagnation. L’évolution des effectifs du corps des maîtres de conférences est plus rapide que celle de l’ensemble des personnels et se situe aux alentours de 70% sur la même période.
Un âge moyen stable chez les professeurs et les maîtres de conférences

L’âge moyen reste très stable par rapport à 2009-2010: il est de 52 ans et 6 mois pour les professeurs des universités titulaires (hors enseignants en surnombre) et de 44 ans et 4 mois pour les maîtres de conférences titulaires ou stagiaires; cette différence d'âge entre les deux corps est liée au déroulement de carrière. On constate que les enseignants-chercheurs sont en moyenne globalement plus âgés en lettres et sciences humaines et dans les disciplines de santé. Le tableau 3 précise les structures détaillées par tranche d’âges. Ces structures varient selon les disciplines: ainsi la proportion de maîtres de conférences âgés de 45 ans et plus va de 34,8 % en sciences à 56 % dans les disciplines de santé. L’écart entre disciplines est moins fort au niveau des professeurs (19,9 points entre les lettres et le droit).
De nouveaux enseignants-chercheurs plus âgés dans les disciplines littéraires et de santé

Le tableau 7 permet de constater la variation des âges moyens de recrutement des enseignants-chercheurs selon les grandes disciplines. En effet, ces âges moyens sont globalement plus élevés en lettres et sciences humaines et dans les disciplines de santé (pharmacie, médecine et odontologie). Ceci est dû en partie à la durée de la formation initiale dans les études de santé et des études doctorales en lettres et sciences humaines. Pour les mêmes raisons, l’âge moyen de recrutement chez les professeurs des disciplines scientifiques reste inférieur à 43 ans. En droit, l’âge moyen de recrutement des professeurs, encore plus faible (39 ans et 3 mois), a pour origine le mode de recrutement principal (agrégation du supérieur) dans ce corps.
Les enseignants-chercheurs partent à la retraite plus tardivement qu’en 2010, notamment les hommes

En 2010-2011, les professeurs des universités sont partis à la retraite à 64 ans et 6 mois et les maîtres de conférences à 64 ans et 3 mois soit, en moyenne, quasiment au même âge que l’année précédente.
Parmi la population des maîtres de conférences, les femmes prennent leur retraite plus tôt que les hommes: 63 ans et 5 mois (tableau 7), soit un an et demi plus tôt en moyenne. Les perspectives pour les dix années à venir font apparaître un besoin de renouvellement de l’ordre de 43,8% du corps des professeurs des universités et de 19,5% de celui des maîtres de conférences (sans compter les besoins liés aux changements de corps, passage dans celui des professeurs en particulier). Ceci, bien entendu, est modulé selon les sections du Conseil national des universités. Depuis 2011 s’amorce une décroissance des départs à la retraite correspondant à la fin de la vague du « baby-boom ».
En vingt ans, la part des femmes a augmenté, en moyenne, de 9 points dans les deux corps d’enseignants-chercheurs

Le taux de féminité est en progression régulière chez les enseignants-chercheurs (titulaires, stagiaires ou associés) depuis une vingtaine d’années. Ainsi, 20,3% des professeurs et 41,9% des maîtres de conférences sont des femmes alors que ces taux étaient respectivement de 19,9% et 41,5% en 2009-2010, de 15% et 37,6% il y a dix ans et de 11,4% et 33,3% il y a vingt ans. Ce taux de féminité est, en conséquence, plus élevé dans les tranches d’âge les plus jeunes, avec des nuances selon les corps et les disciplines (tableau 3 et graphique 2).
Chez les maîtres de conférences, dans la tranche d’âge 30-39 ans, la proportion de femmes est passée de 39,2% à 41,4% entre 2001 et 2011, et particulièrement de 44,6% à 50,4% dans les disciplines juridiques, économiques et de gestion, de 51,4% à 57,5% en lettres et sciences humaines et de 47,4% à 53,7% dans les disciplines de santé. Le tableau 7 montre que chez les professeurs des universités, la proportion des femmes dans les nouveaux recrutements est supérieure à la proportion des femmes constatée dans les corps des enseignants-chercheurs en activité (titulaires et stagiaires), soit 26,9% contre 20,8%.
Femmes et sciences: un effort à entreprendre

Les disciplines scientifiques et techniques occupent à elles seules environ 43% de l’ensemble des disciplines. Les femmes y sont moins représentées: 15% chez les professeurs et 32,3% chez les maîtres de conférences contre respectivement 20,3% et 41,9% pour la totalité des enseignants-chercheurs. Depuis trente ans, la progression y est moins forte que dans les autres disciplines; ceci illustre la difficulté de mettre en oeuvre une politique efficiente incitant la population féminine à mener une carrière dans ces disciplines. Si l’on observe les recrutements de maîtres de conférences sur trois années: 2000, 2005 et 2010, on constate que la proportion de femmes recrutées dans toutes les disciplines reste constante à environ 41%. La même observation sur les disciplines scientifiques fait apparaître une baisse de ce taux, respectivement sur ces trois années, à 31,4%, 30,3% puis 28,4%.
Avec 12 891 enseignants, les personnels du second degré ou assimilés affectés dans l’enseignement supérieur représentent 13,4% de l’effectif global. Ces enseignants se répartissent entre les professeurs agrégés pour 54,4% (contre 55,7% en 2010 et 40% il y a vingt ans), les professeurs certifiés et assimilés pour 43,7% et les autres enseignants du second degré (adjoints d’enseignement, professeurs de lycée professionnel, professeurs d’enseignement général des collèges) ou les enseignants de statut particulier tels ceux de l’ENSAM (École nationale supérieure des arts et métiers) pour 1,9%.
Cette population est affectée dans les universités (près de 93%), dont un tiers dans les instituts universitaires de technologie (32%), les 9% restants étant principalement affectés dans les écoles d’ingénieurs. Si l’on exclut les enseignants de statut particulier tels ceux de l’ENSAM, au nombre de 234 et dont le corps est en voie d’extinction, les professeurs agrégés représentent 55,4% de ces effectifs.
On constate une forte représentation des personnels du second degré (auxquels s’ajoutent les lecteurs et maîtres de langues) parmi les enseignants des disciplines littéraires (26,2%). Au sein de cette représentation, les certifiés sont plus nombreux (53,5%). Près de 78% des enseignants du second degré, venant de réussir le concours de maîtres de conférences, enseignent dans les disciplines littéraires.
L’apport enrichissant des enseignants extérieurs

Aux enseignants-chercheurs et aux enseignants du second degré – qui représentent les trois quarts des personnels enseignants – s’ajoute une population d’enseignants aux profils très variés recrutés à titre temporaire: les enseignants associés, professionnels ou universitaires étrangers, qui font bénéficier les étudiants de leurs compétences et de leur expérience (11,5%); les attachés temporaires d’enseignement et de recherche (22%) et les moniteurs et doctorants contractuels (46,9%), en hausse significative, qui assurent des enseignements tout en préparant une thèse ou en poursuivant d’autres travaux de recherche et dont les effectifs sont en augmentation; les assistants des disciplines médicales (15,7%); les lecteurs et maîtres de langue étrangère (3,9%).
Grâce au dispositif de l’invitation, le potentiel d’enseignement des établissements publics d’enseignement supérieur est également enrichi par quelque 3 600 enseignants étrangers. Leur présence est couramment observée dans les universités et les grands établissements pour une durée moyenne d’un mois et demi et une durée médiane d’un mois.
L’enseignement supérieur comprend également des corps à statuts spécifiques

Le statut de ces différents corps est lié aux missions des établissements qui les accueillent (recherche, enseignement, conservation et mise en valeur du patrimoine, etc.). Ces corps comprennent 1 098 personnels à statut particulier: 105 astronomes, 116 astronomes adjoints, 38 physiciens et 64 physiciens adjoints, d’une part, et les corps spécifiques à certains établissements, d’autre part, répartis de la manière suivante:
- Collège de France: 45 professeurs et 2 sous-directeurs;
- Écoles normales supérieures: 3 sous-directeurs;
- Conservatoire national des arts et métiers: 71 professeurs et 1 sous-directeur;
- École centrale des arts et manufactures: 16 professeurs de 1re classe et 14 professeurs de 2e classe;
- École des hautes études en sciences sociales: 117 directeurs d’études et 71 maîtres de conférences;
- École pratique des hautes études et École nationale des chartes: 135 directeurs d’études et 100 maîtres de conférences;
- Muséum national d’histoire naturelle: 65 professeurs et 135 maîtres de conférences.
Voir aussi Les 93000 personnels enseignants de l'enseignement supérieur, Enseignement supérieur: entre 37.000 et 50.000 précaires, Les personnels enseignants de l'enseignement supérieur, Les personnels enseignants de l'enseignement supérieur.

By Marc Pasquin Bideault and Rossi, A1 HRB-1. During the 2010-2011 academic year, more than 96,000 teachers have been in office in public institutions of higher education. Their total workforce grew steadily, with 3,200 people over the previous year, or 3.4%, mainly because the share of non-permanent teachers. Among these teachers, 56 000 belong to the body of faculty members - including the body to specific statutes - whose numbers rose 8.1% in ten years. 13,000 secondary school teachers and 27,000 non-permanent teachers participating in this academic coaching. Download Information Note No. 12.8 in July.
Staff who teach in higher education fall into three broad categories: teacher-researchers and trainees holders (58.5%), personnel functions in the second degree in higher education (13.4%) and non-permanent teaching staff (28.1%). More...

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Formation continue et alternance dans les IUT - Colloque FCA, Lille, mai 2012

http://www.iut-fr.net/files/fck/iutenjeu.pngEn mai 2011, le colloque Formation Continue et Alternance (FCA) a été consacré au thème « Les IUT acteurs majeurs de la FCA à l’échelle régionale ».
Les travaux de ce colloque ont permis à certaines régions et ARIUT de mettre en place une organisation pour leur activité FCA.
Au cours de cette année 2011/2012, la commission FCA de l’ADIUT a organisé deux réunions plénières et plusieurs rencontres des 5 groupes de travail.
Ces travaux ont permis de préparer le colloque FCA de Lille en mai 2012 sur le thème:
« 10 ans de Formation Tout au Long de la Vie (FTLV) dans les IUT: Bilan d’étape et nouvelles perspectives, depuis la loi de modernisation sociale de 2002 »
Les travaux de ce colloque ont été organisés autour de 4 ateliers:
    * Les programmes internationaux de FCA
    * Le développement de l’alternance en IUT (contrats de professionnalisation, apprentissage)
    * Les certifications et démarches qualité dans les services FCA
    * La validation des acquis de l’expérience
Des représentants de la DGESIP, du Conseil Régional Nord/Pas-de-Calais, du CFA Formasup, des OPCA (Organismes Paritaires Collecteurs Agréés) et de la CNCP (Commission Nationale de la Certification Professionnelle) ont été invités à prendre part aux débats.
Les résultats de l’enquête FCA 2012 dans les IUT montrent une progression de l’activité de l’alternance à hauteur de 14% par rapport à 2010/2011. Cette progression est beaucoup plus importante en licence professionnelle qu’en DUT. Aujourd’hui, si l’on considère l’ensemble de nos étudiants, 7% des inscrits en DUT et plus de 50% des inscrits en licence professionnelle, soit 16% des inscrits globalement à l’IUT, relèvent soit de la formation continue, soit de l’alternance.
Autres indicateurs: plus de 20% de l’activité universitaire en alternance et en formation continue est assurée par les IUT, qui ne représentent pourtant que 10% du nombre d’étudiants. De plus, plus de 30% des VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) universitaires concernent nos instituts.
Une participation de nombreux services FCA d’IUT, des interventions remarquables et très riches ainsi que des travaux en ateliers particulièrement productifs, ont fait de ce colloque un moment fort du réseau de la Formation Continue et de l’Alternance de l’ADIUT.
Pour le développement de l’activité FCA dans les IUT, il a été décidé de mettre en place en priorité les actions suivantes:
* Développer des modules qualifiants, moins lourds au niveau horaire, capitalisables en trois ou quatre ans jusqu’à l’obtention du DUT. De tels modules courts faciliteraient l’accès à des formations complémentaires en cas de VAE partielle. L’idée est d’attribuer des crédits ECTS (European CreditsTransfer System) à ces modules et de les inscrire au RNCP (Répertoire National de la Certification Professionnelle).
* Utiliser le campus numérique « IUT en ligne » pour proposer une partie des formations en e-learning.
* Se rapprocher des OPCA et de Pôle Emploi.
* Être plus visibles auprès des entreprises et des branches professionnelles, et mettre en place un groupe de travail formé par des membres des commissions FCA et Communication de l’ADIUT,  pour élaborer une plaquette de communication commune à tous les IUT, avec un volet national et un autre régional.
* Réaliser des catalogues de formations qualifiantes au niveau régional et national.
* Continuer à inciter les IUT à développer une offre concertée et cohérente au niveau des régions, car cela permet de travailler de manière plus constructive, d’une part avec les Conseils Régionaux, acteurs principaux pour l’alternance et la formation continue et, d’autre part, avec les branches professionnelles et les entreprises sur les territoires.
Ces chiffres, associés à la volonté de développer ce type de formations, placent les IUT à la pointe de l’alternance dans le milieu universitaire. Ils sont des acteurs essentiels  de la formation continue et de l’alternance et, en conséquence, un facteur important pour la dynamisation de l’économie et du lien université/entreprise.

http://www.iut-fr.net/files/fck/iutenjeu.png In May 2011, the conference mix and Continuing Education (FCA) has been dedicated to "The IUT major players in the FCA at the regional level."
The work of this conference led to certain regions and Ariut to set up an organization for their CFA activity.
During the years 2011/2012, the FCA Board of ADIUT held two plenary meetings and several meetings of five working groups. More...

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Point de conjoncture du COE

http://www.coe.gouv.fr/IMG/siteon0.png?1221723946Point de conjoncture: séance plénière du mardi 3 juillet du COE (Conseil d'Orientation pour l'Emploi).
Au cours de cette réunion consacrée à un point de conjoncture, le Conseil a entendu Antoine MAGNIER, Directeur de la Dares (Présentation A. Magnier, Dares), et Claire WAYSAND, Directrice générale adjointe du Trésor (Présentation C. Waysand, DG Trésor).
Présentation au Conseil d’Orientation pour l’Emploi, Claire Waysand, 3 juillet 2012

Les chiffres de croissance du 1er trimestre confirment les disparités dans le monde et au sein de la zone euro.
Les tensions financières se sont ravivées au printemps en zone euro
Le regain de tensions est particulièrement marqué dans les pays du Sud de la zone euro, alors que l’Allemagne et, dans une moindre mesure, la France bénéficient d’une fuite vers la qualité.
En Espagne, la courbe des taux se translate vers le haut et s’aplatit depuis mars, traduisant un financement par le marchéde plus en plus difficile.
Les indicateurs conjoncturels suggèrent une activité mondiale peu dynamique au 2e trimestre.
L’activité française a plutôt bien résisté à la crise desdettes souveraines européennes... mais devrait rester peu dynamique à court terme.
La production industrielle, globalement stable depuis un an, reste inférieure à son niveau d’avant crise.
Les ménages ont été un peu moins pessimistes ces derniers mois.
L’inflation reflète la hausse passée du prix des matières premières, mais l’inflation sous-jacente reste limitée.
Même si le déficit extérieur reste élevé, les échanges extérieurs pourraient contribuer positivement à la croissance.
Après un recul durant les deux derniers trimestres de 2011, l’emploi salarié a augmenté de nouveau au 1er trimestre 2012.
L’emploi intérimaire s’est retourné à partir de la mi-2011 et reste en-dessous de son niveau de 2007.
La productivité apparente du travail s’est éloignée de sa tendance d’avant avant-crise.
Après un léger reflux, le taux de chômage est reparti nettement à la hausse à la mi mi-2011.
Le taux d’activité a continué d’augmenter, le taux d’emploi s’est stabilisé.
Le taux d’emploi des jeunes n’a que peu diminué pendant la crise.
Le taux d’emploi des seniors continue sa forte progression.
Le chômage partiel est revenu à un niveau comparable à celui d’avant crise.
Dans certains pays, la crise a pu avoir un impact sur le fonctionnement du marché du travail.
La croissance des salaires devrait rester modérée.
La situation du marché du travail pourrait se dégrader d’ici fin 2012, en lien avec la faiblesse de l’activité.
Une consommation en biens des ménages résiliente au-delà des à-coups des achats d’automobiles et des dépenses d’énergie.
http://www.coe.gouv.fr/IMG/siteon0.png?1221723946Conjoncture: plenary session of Tuesday, July 3 COE (Council of Employment Policy).
During this meeting on a point of economy, the Council heard MAGNIER Antoine, Director of Dares (Presentation A. Magnier, Dares), and Claire Waysand, Deputy Director General of the Treasury (Presentation Waysand, DG Treasury). More...

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