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Formation Continue du Supérieur
28 juillet 2012

Une erreur réparée, la baisse de la cotisation au CNFPT annulée

http://alternatives-economiques.fr/blogs/abherve/files/abherve.jpgSur le blog de Michel Abhervé pour Alternatives économiques.Nous avions relevé ici l’absurdité de la décision du Parlement de baisser la cotisation formation professionelle pour les agents des collectivités territoriales, et la mesquinerie des raisons d’une telle décision (voir Puisque le CNFPT a acheté son siège, les fonctionnaires territoriaux auront moins de formation).
Lors de la discussion de la loi de finances rectificative, les députés ont adopté l’amendement n°329 déposé par le Gouvernement rétablissant le taux plafond de la cotisation au CNFPT à 1% dès le 1er janvier 2013. La loi de finances rectificative pour 2011 (n° 2011-900 du 29 juillet 2011) avait prévu l’abaissement du taux de la cotisation versée par les collectivités territoriales et leurs établissements publics au CNFPT de 1 à 0,9% pour les exercices 2012 et 2013. Cette mesure avait soulevé l’opposition des associations d’élus et de l’ensemble des organisations syndicales représentatives de la fonction publique territoriale. Lors de table ronde de la Grande Conférence Sociale consacrée à la fonction publique du 10 juillet 2012, les associations d’élus ont marqué leur accord pour que le taux plafond soit ramené à 1% dès 2013. Reste maintenant à attendre le vote du Sénat sur cet rétablissement.
Nous écrivions au moment de la baisse de cette cotisation: “Alors que la contribution à la formation professionnelle des collectivités était déjà nettement moins élévée que pour les entreprises, cette baisse s’inscrit totalement à contre courant de l’élévation régulière des besoins de formation, et donc du besoin de financement. Comme si le service public avait moins besoin de formation que le privé!”
Ce rétablissement, décidé rapidement, en concrétisation du dialogue ouvert à la Conférence sociale,  ne dispensera pas dans les anénes à venir d’une réflexion sur le statut assez particulier du CNFPT, sujet qui demeure pleinement d’actualité (voir CNFPT, collecteur et formateur. Pour combien de temps encore?).
Voir aussi Le taux de la cotisation au CNFPT ramené à 1% dès 2013.
http://alternatives-economiques.fr/blogs/abherve/files/abherve.jpg Στο blog του Μιχαήλ Abhervé για εναλλακτικές οικονομικές λύσεις. Σημειώσαμε εδώ τον παραλογισμό της αποφάσεως του Κοινοβουλίου να μειώσει το ασφάλιστρο επαγγελματικής κατάρτισης για το προσωπικό των τοπικών αρχών, και τη μιζέρια του λόγους για την απόφαση αυτή (βλ. Από CNFPT αγόρασε την έδρα του, την εδαφική υπάλληλοι θα έχουν λιγότερο εκπαίδευση). Κατά τη διάρκεια της συζήτησης ο συμπληρωματικός προϋπολογισμός, οι ευρωβουλευτές ενέκριναν την τροπολογία 329 που κατέθεσε η κυβέρνηση την αποκατάσταση της οροφής του συμβολή στην CNFPT 1% από την 1η Ιανουαρίου 2013. Ο συμπληρωματικός προϋπολογισμός για το 2011 (Αρ. 2011 με 900, της 29ης Ιουλίου 2011) προέβλεψε τη μείωση της συμβολής των τοπικών αρχών και των δημόσιων CNFPT τους μέσα σε 1 έως 0,9% για τη χρήση 2012 και το 2013. Περισσότερα...
28 juillet 2012

Les élèves européens doivent travailler plus les langues étrangères

graphiqueLa Commission européenne a publié le 21 juillet la première étude sur les compétences linguistiques en Europe. L'enquête menée dans 14 pays européens relève des écarts encore très importants entre les pays: alors que les élèves suédois et maltais maîtrisent bien au moins une langue étrangère, les Anglais et les Français sont les derniers de la classe.
Une classe européenne très hétérogène

Près de 54 000 lycéens ont participé à l'étude de la Commission européenne sur les compétences linguistiques. Dans chacun des 14 pays participants, ces élèves ayant accompli le premier degré de l’enseignement secondaire (niveau brevet des collèges) ont passé des tests dans les deux langues étrangères les plus fréquemment étudiées. En total, les cinq langues les plus étudiées en Europe sont l'anglais, l'allemand, le français, l'espagnol et l'italien.
En général, les jeunes Européens ont encore du travail à faire dans les langues étrangères. Selon la Commission, moins de la moitié d'entre eux maitrise bien leur première langue étrangère et seuls 25% sont compétents dans une autre langue. En outre, 14% des élèves européens ne savent pas s'exprimer dans leur première langue étrangère (et 20% dans la deuxième langue enseignée).
Le pourcentage des bons élèves varie énormément d'un pays à l'autre. A Malte et en Suède, plus de 80% des jeunes étudiants sont compétents dans leur première langue étrangère (en l'occurrence: l'anglais). En revanche, en France, les élèves anglophones ne sont que 14%, et en Angleterre, où la première langue étrangère étudiée est le français, seuls 9% des étudiants le maitrisent bien.
Les langues les plus étudiées

L'Europe est riche en langues étrangères. Cependant, il y a des différences si l'on parle des langues maternelles, des langues étrangères ou encore des langues étudiées à l'école. Par exemple, les langues maternelles les plus parlées en Europe sont l'allemand (16%), l'italien et l'anglais (13%) et le français (12%). En revanche, parmi les langues étrangères, l'anglais est de loin la langue la plus parlée (38%), suivie par le français (12%), l'allemand (11%) et l'espagnol (7%).
A l'école, la situation est encore différente. Selon l'étude menée par la Commission, dans 13 pays sur 14, l'anglais est la première langue étrangère étudiée, suivie par l'allemand, le français, l'espagnol et l'italien. L'anglais est aussi la langue où les élèves qui ont participé au test ont eu le moins de problèmes. L'allemand (l'écrit en particulier) est la langue la plus difficile. L'italien, enfin, est la seule langue plus facile à écrire qu'à parler.
En savoir plus

First European Survey on Language Competences – Commission européenne.
L'élève français, ce cancre en langues étrangères - (22/07/2012) Le Monde.
graphique The European Commission published on July 21 the first study on language skills in Europe. The survey conducted in 14 European countries is still very large differences between countries: while the Swedish and Maltese students have mastered at least one foreign language, English and French are the last class.
A very heterogeneous class European
In general, young Europeans have more work to do in foreign languages. According to the Commission, less than half of them mastering their first foreign language well, and only 25% are proficient in another language. In addition, 14% of European students do not know to speak in their first foreign language (and 20% in the second language taught). The percentage of good students varies widely from country to country. In Malta and Sweden, over 80% of young students are proficient in their first foreign language (in this case: English). In contrast, in France, English-speaking students are only 14%, and England, where the first foreign language is French, only 9% of the students have mastered. More...
28 juillet 2012

German School Sues Student for Early Graduation, Lost Income

By Julia Lawrence. A student completed coursework and passed exams for a BA and MA degree in only 3 semesters — instead of the 11 semesters the program usually takes.
Being an overachiever may now bring financial burdens all their own after the Essen, Germany-based School of Economics and Management sued a student who managed to fulfill the requirements for his bachelor’s and master’s degrees in three semesters. Typically, the entire program would take 11 semesters and over 60 exams. The school is saying that it has suffered $3,772 in income loss due to the fact that Marcel Pohl shot through the program so quickly. Pohl was able to complete the degree with the help of friends who took notes for him in courses he couldn’t personally attend due to scheduling conflicts. At the time he was racking up credits at the SEM, he was also completing an apprenticeship at a local bank. Pohl, who now works for a bank in Frankfurt, says that he made the school aware of his plans and faced no objections. Now, the 22-year-old graduate may face his alma mater in a courtroom.
“When I got the lawsuit, I thought it couldn’t be true,” Pohl recently told the German tabloid, Bild. “Performance is supposed to be worth something.”
It’s unclear how the school arrived at its estimate of financial harm, since it is only a fraction of what a full 5.5-year program would cost. The school’s representatives declined to comment until the lawsuit makes it in front of a judge.
When reporting on this story, U.S. News & World Report asked its readers if they thought it likely that a U.S. school could take similar steps to discourage students from graduating early. With college tuition costs going up, and with the cost of every semester adding a hefty chunk to the students’ bills, it is reasonable to predict that more people will be taking steps to complete their degrees in less time that the customary four years.
This is especially true now that the cost of student loans is expected to go up, even with a recent bipartisan agreement to keep interest rates on federal student loans at 3.4% for at least another year. Last month the government eliminated the 6-month grace period offered to students who have completed their graduate degrees before the interest on their loans begins to accrue.
The elimination of the grace period will mean that students will be on the hook for an additional $20 billion of loan repayments. But the change is already having an impact on the choices made by some students, like Clarise McCants who says that she will not have to delay enrolling in the graduate degree program, as she had previously planned.

28 juillet 2012

L'Igas préconise de fusionner les trois formes de cumul emploi-retraite

L'Igas préconise de fusionner les trois formes de cumul emploi-retraiteDans un rapport rendu public le 9 juillet dernier, l’Igas (Inspection générale des affaires sociales) évalue le dispositif de cumul emploi-retraite. La coexistence de différentes modalités d’accès à ce dispositif étant source d’inégalités, l’Igas préconise de les fusionner.
La possibilité offerte aux retraités de percevoir une pension en même temps qu’un revenu d’activité connaît un fort développement depuis la définition de nouvelles modalités de cumul en 2004. Dans un rapport daté de juin, l’Igas (Inspection générale des affaires sociales) estime, pour 2010, le total de retraités actifs à 500 000. Près de 400 000 ont ainsi repris une activité au sein de leur régime d’origine, dont 300 000 affiliés au régime général. Ce cumul emploi­retraite sans changement de régime concerne entre 7 et 8% des nouveaux retraités du régime général et 11,3% de ceux du Régime social des indépendants (RSI) en 2009. Les auteurs dénombrent aussi 80 000 retraités du régime général exerçant une activité indépendante. Après avoir évalué les différents modes d’accès au cumul emploi-retraite, les auteurs du rapport proposent de modifier en profondeur le fonctionnement du dispositif.
Fusionner les formes de cumul pour éviter les inégalités

Les auteurs constatent que la coexistence des trois formes de cumul emploi-retraite (interrégimes, intrarégime intégral et intrarégime plafonné) crée un système complexe qui entraîne une perte de droits pour les personnes les moins informées. Elle engendre aussi des inégalités d’accès au dispositif, selon la situation des personnes pouvant liquider leur retraite, notamment en termes de durée d’assurance. Des inégalités découlent aussi du fait que, dans le cadre du cumul interrégimes, la nouvelle activité est productrice de droits, alors que les cotisations ne produisent pas de droits avec le cumul intrarégime.
Ces constats amènent l’Igas à préconiser la fusion de toutes les formes de cumul en vue de favoriser l’emploi des travailleurs âgés, d’établir une égalité juridique d’accès au dispositif et de rendre l’information plus transparente sur les choix qui s’offrent aux futurs retraités. Ceci simplifierait, en outre, le droit ainsi que le suivi statistique du cumul emploi-retraite, et allégerait son coût de gestion.
Cette fusion devrait respecter les principes fondateurs du cumul emploi­retraite, à savoir: la liquidation préalable de toutes les retraites de l’intéressé et la généralisation d’une cotisation non productrice de droits. Les auteurs souhaitent, en outre, que le cumul ne soit pas plafonné et qu’un débat puisse avoir lieu au sein du COR (Conseil d’orientation des retraites) sur l’âge auquel est ouvert le dispositif, notamment afin d’associer les partenaires sociaux. Par ailleurs, la mise en place du nouveau dispositif s’accompagnerait de la suppression de la préretraite progressive qui s’avère moins adaptée que le cumul emploi-retraite aux besoins des salariés et des employeurs.
Un mécanisme d’intéressement pour le minimum vieillesse
L’Igas met également en avant la situation des bénéficiaires du minimum vieillesse qui ne peuvent de fait cumuler leur prestation et un revenu d’activité, puisque cette situation aboutit mécaniquement à baisser le montant de leur prestation et donc à annuler le bénéfice financier de la reprise d’activité. Dans un souci d’équité et d’incitation à l’activité professionnelle, la mission propose donc de mettre en place un mécanisme d’intéressement spécifique pour le minimum vieillesse. www.wk-rh.fr/actualites/upload/igas-cumul-emploi-retraite-2012.pdf.
LE CUMUL EMPLOI-RETRAITE S’EXERCE SOUS TROIS FORMES

Le rapport de l’Igas distingue trois formes d’exercice du cumul emploi-retraite:
– le cumul interrégimes, qui n’est pas réglementé et concerne les retraités percevant une pension d’un régime et exerçant une activité relevant d’un autre régime;
– le cumul intrarégime intégral, qui permet aux personnes ayant atteint l’âge de la retraite, pouvant bénéficier du taux plein et ayant liquidé leurs pensions, de cumuler celle-ci avec une activité reprise dans le même régime après rupture du contrat de travail et conclusion d’un nouveau contrat;
– le cumul intrarégime plafonné, qui s’adresse aux personnes ne remplissant pas les conditions pour un cumul intégral et qui implique un plafonnement des revenus d’activité. Ce régime implique en plus un délai de carence de six mois avant de pouvoir reprendre une activité chez le même employeur.

L'Igas préconise de fusionner les trois formes de cumul emploi-retraite Σε μια έκθεση που δημοσιεύθηκε στις 9 Ιουλίου, η Igas (Γενική Επιθεώρηση Κοινωνικών Υποθέσεων) αξιολογεί τη συσκευή να συνδυάσουν την εργασία και τη συνταξιοδότηση. Η συνύπαρξη διαφορετικών τρόπων πρόσβασης σε αυτή τη συσκευή είναι μια πηγή ανισότητας, Igas καλεί να συγχωνευθούν.
Η ευκαιρία για τους συνταξιούχους να λάβουν ένα συνταξιοδοτικό εισόδημα καθώς και τις επιχειρήσεις παρουσιάζει σημαντική ανάπτυξη από τον ορισμό των νέων μεθόδων της σώρευσης το 2004.
Σε έκθεση με ημερομηνία Ιουνίου, η Igas (Γενική Επιθεώρηση Κοινωνικών Υποθέσεων) εκτιμά ότι για το 2010, το σύνολο του ενεργητικού των 500.000 συνταξιούχους. Περισσότερα...

28 juillet 2012

Les Romains et les diplômés du SUP

Blog Educpros de Pierre Dubois. http://blog.educpros.fr/pierredubois/files/2012/01/duboismanifnovembre-copie.jpgPromenades de l’été. Le Musée Archéologique de Strasbourg et son exposition temporaire jusqu’au 31 août 2012: "Un art de l’Illusion. Peintures murales romaines en Alsace". Album de 45 photos prises le 23 juillet 2012.
Merci aux Romains, à la légion Augusta d’avoir fondé, à la fin du 1er siècle après Jésus-Christ, Argentorate, la future Strasbourg. Merci aux Romains d’avoir colonisé l’Alsace car ils procurent aujourd’hui des emplois aux diplômés de l’enseignement supérieur.
Emplois liés à la fouille de la place du Château. C’est l’Institut National de Recherche d’Archéologie Préventive (INRAP) qui s’en charge.
Emplois liés à la restauration des peintures murales. C’est un laboratoire du CNRS et de l’ENS Ulm qui s’en charge, l’APPA-CEPMR.
Emplois liés à la formation des futurs archéologues. C’est l’université de Strasbourg qui s’en charge. Master d’archéologie.
Emplois liés à la fréquentation du Musée d’archéologie. Jobs d’été pour l’accueil du public et la surveillance des salles du Musée… En fait, lors de ma visite du musée, je n’ai pas vu de jeunes de l’université dans ces fonctions. Mais il y a des visites guidées et des conférences: je gage qu’elles sont assurées par des diplômés de l’université.
Évidemment, ces emplois liés à l’archéologie de l’Alsace ne sont pas nombreux. Ils font pourtant rêver les jeunes. Organiser un service civique pour les fouilles archéologiques. Donner de l’espoir à des jeunes: tous au Musée de l’Archéologie pour visiter l’exposition sur les peintures murales romaines. Et grand merci, encore une fois, aux Romains!

Send us feedback Blog of Pierre Dubois. http://blog.educpros.fr/pierredubois/files/2012/01/duboismanifnovembre-copie.jpg Walks in the summer. The Archaeological Museum of Strasbourg and its temporary exhibition until 31 August 2012: "An Art of Illusion. Roman Murals in Alsace." Album of 45 photographs taken on 23 July 2012.
Thank you to the Romans, to the legion Augusta to have founded in the late first century AD, Argentorate, Strasbourg future.
Thank you to the Romans had colonized Alsace today because they provide jobs to graduates of higher education. Jobs related to the training of future archaeologists. This is the University of Strasbourg who supported. Master of Archaeology. More...

28 juillet 2012

Plan Campus et Athéna

Blog Educpros de Pierre Dubois. http://blog.educpros.fr/pierredubois/files/2012/01/duboismanifnovembre-copie.jpgPromenades de l’été. La première phase du Plan Campus de l’université de Strasbourg est achevée. Première opération du Campus vert et ouvert sur la ville: la création du grand parc du Campus de l’Esplanade. La Place d’Athènes: 245 photos de février 2009 à juillet 2012, archives potentielles pour la photothèque de l’université.
“Redéfinissant les circulations et qualifiant les entrées du campus ["les Portes"], le parc permettra non seulement une meilleure lisibilité du site, mais il appellera aussi de nouveaux usages: on y travaillera, s’y déplacera, on y flânera et on s’y rencontrera, à l’image d’un campus de centre ville accueillant et attractif” (plan d’urbanisme et principaux projets de l’opération Campus). Pour se situer : plan général du Campus de l’Esplanade ; plan détaillé: le parc entourera les bâtiments 61 (Le Patio), 60 (Platane), 59 (Pangloss), 58 (Athéna).
Juillet 2012. Album de 45 photos. La transformation de la place d’Athènes est réussie. Voitures sorties de la perspective, mais des places de parking sauvegardées pour le personnel. Pelouses bien tondues. Arbustes et arbres nouvellement plantés. Parterres de fleurs qui donnent une touche coloriée. Athéna se reflétant dans le plan d’eau. L’arrière du bâtiment de la Faculté de Droit (1962) mieux mis en valeur.
Février 2009, janvier 2010, juillet 2010. “La Place d’Athènes mène de l’arrière de la Faculté de droit à l’avenue du Général de Gaulle (station de tramway: Esplanade). Elle est arborée et dotée d’un bassin avec jets d’eau: au centre, trône fièrement la statue d’Athéna. La restructuration devra mettre fin à la circulation et au stationnement des voitures. Celles-ci gâchent la vue sur Athéna et le bassin”. Album de 20 photos.
Juillet 2010. Faculté de Droit: 35 photos des façades, 55 photos de l’intérieur du bâtiiment, 20 photos de la Faculté sous la neige. In Ballades strasbourgeoises. “La Faculté de Droit date de 1962. Ses architectes, R. Hummel, A. Weinstein, M. Burstin, A. Kronenberger”. “Jalon sur l’axe Est-Ouest du campus, la façade principale et son parvis forment un ensemble très théâtral, face à la cathédrale visible à l’horizon. Coursive en attique. Auvent très élégant”.
Avril 2011. Travaux en cours. Album de 30 photos. Vers la faculté de droit et la place d’Athènes, allées Diderot et Capitant.
Juillet 2011.
Réaménagement de la Place d’Athènes. Album de 40 photos. “La statue d’Athéna trône sur les travaux, sur les engins, les pavés et les barrières métalliques. La voiture sera-t-elle totalement exclue de la Place ? Portes d’un Campus vert… sans voitures. L’arrêt de tramway est à vingt mètres”.
Voir aussi L'alliance ATHENA (SHS) dans le rapport Birraux sur les alliances, une nouvelle dynamique pour la recherche, Pour des SHS au coeur de l'enseignement supérieur, ATHENA, l'Alliance des sciences humaines et sociales.

Στείλτε μας τα σχόλιά Blog του Pierre Dubois. http://blog.educpros.fr/pierredubois/files/2012/01/duboismanifnovembre-copie.jpg Περίπατοι στο καλοκαίρι. Η πρώτη φάση του Σχεδίου Πανεπιστημιούπολη του Πανεπιστημίου του Στρασβούργου ολοκληρώθηκε. Πρώτη λειτουργία του πράσινου Πανεπιστημιούπολη και ανοιχτό προς την πόλη: η δημιουργία της Campus του πάρκου της Σπιανάδας. Τόπος της Αθήνας: 245 εικόνες από Φεβρουάριος 2009 - Ιούλιος 2012, δυναμικό αρχεία για τη βιβλιοθήκη του πανεπιστημίου.
"Επαναπροσδιορίζοντας τις κυκλοφορίες και καταχωρίσεις που περιγράφουν πανεπιστημιούπολη [" πύλες "], το πάρκο δεν θα βελτιώσει μόνο την αναγνωσιμότητα της ιστοσελίδας, αλλά επίσης θα καλέσει για νέες χρήσεις: θα εργάζονται εκεί, κινούνται εκεί, και υπάρχει flânera συναντηθούμε εκεί, σαν μια πανεπιστημιούπολη στο κέντρο της πόλης φιλόξενη και ελκυστική "(πολεοδομίας και των μεγάλων έργων της επιχείρησης Πανεπιστημιούπολη).
Για να βρίσκονται: γενικό σχέδιο του Campus του Esplanade? λεπτομερές σχέδιο: το πάρκο γύρω από τα κτίρια 61 (Το Μπαλκόνι), 60 (Sycamore), 59 (Pangloss), 58 (Αθηνά). Περισσότερα...
28 juillet 2012

Chômage de longue durée et formation

Par Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. Les derniers chiffres du chômage confirment l’augmentation du nombre de demandeurs d’emploi de longue (inscrits depuis un an ou plus à Pôle Emploi) qui avoisine le 1,7 million dont 460 000 dépassant les 3 années d’inscription dans les files d’attente de Pôle Emploi (autant que de jeunes au chômage!). http://travail-emploi.gouv.fr/.

Le chômage de longue durée en France n’est pas un phénomène nouveau, il est apparu dès les années 80 et a donné lieu en novembre 1991 à un colloque de la délégation à l’emploi et de Mission interministérielle Recherche et Expérimentation (MIRE) dont les actes (750 pages!) furent publiés aux éditions SYROS/Alternatives (1992). Le diagnostic des causes du chômage de longue durée est donc posé depuis longtemps et pourtant celui-ci a doublé depuis.
Parmi les nombreux constats des années 80 et 90 sur les caractéristiques des chômeurs de longue durée, l’âge et le faible niveau de qualification étaient des marqueurs forts. La formation s’imposa comme une des modalités de lutte contre le chômage de longue durée (notamment les programmes DELD et les actions modulaires mises en place au milieu des années 80). Cette dimension curative s’adressant aux chômeurs de longue durée était cependant porteuse de nombreuses ambigüités pointées lors du colloque de 1991 où les représentants de l’appareil de formation des adultes étaient paradoxalement absents (pas un seul sur 80 contributeurs).
Dans les actes du colloque les difficultés posées par l’usage de la formation étaient de plusieurs ordres: si le chômage de longue durée résulte d’une inadaptation des qualifications de certains actifs pourquoi attendre qu’ils soient chômeurs de longue durée pour les former? Pour certains contributeurs cette inadaptation interpellait l’appareil de formation dans sa capacité à anticiper les transformations des qualifications… Des auteurs soulignaient l’absence des entreprises dans la mise en œuvre des formations pour les chômeurs de longue durée et soulevaient même l’hypothèse que la formation ne doit pas être le point de départ des actions d’insertion. Pour ceux-là mieux valait travailler avec des réseaux de PME sur les pratiques d’embauches afin d’éviter les logiques de surqualification. D’autres insistaient sur la nécessité d’identifier les compétences acquises par les chômeurs ayant exercé des activités peu qualifiées plutôt que d’entretenir des hypothèses sur une supposée inemployabilité de ceux-ci.
Des points de convergence furent ainsi soulignés dans la synthèse des contributions réalisée par Jean François GERME du CNAM: « La formation devrait tout particulièrement d’éloigner des modèles scolaires de formation que les chômeurs de longue durée refusent souvent, mais elle n’y parvient pas pour des raisons qui sont moins de moyens que d’organisation générale de la formation professionnelle. La formation devrait en quelque sorte partir du travail, de l’exercice de l’activité, non seulement pour qu’elle soit motivante mais aussi pour être en mesure de construire des connaissances ou des compétences effectivement opérationnelles. (…) Il ne s’agit pas seulement, comme le souligne Bertrand SCHWARTZ, d’une mise en contact des formateurs et des entreprises mais, plus profondément, d’un travail conjoint de définition simultanée de l’organisation du travail, des compétences et des qualifications les mieux à même de répondre aux exigences actuelles de la production.»  Des constats toujours valides aujourd’hui qui militent pour une approche préventive et anticipatrice de la formation continue…
By Paul Santelmann, Head of Forecasting at the AFPA. The latest unemployment figures confirm the growing number of job seekers long (enrolled for a year or more to job center) that closely approximates the 1.7 million which 460 000 over 3 years of enrollment in the queues of job center (as well as unemployed youth!). http://travail-emploi.gouv.fr/. The long-term unemployment in France is not a new phenomenon, it appeared from the 80s and resulted in a November 1991 conference of the delegation to employment and Interministerial Mission Research and Experimentation (MIRE) which acts (750 pages!) were published by Editions Syros/Alternative (1992). Diagnosing the causes of long-term unemployment is posed long and yet it has doubled since. More...
28 juillet 2012

Studenten-Ansturm kostet sieben Milliarden zusätzlich

http://s0.2mdn.net/2577031/dnbp_banner_wallpaper_leaderboard.gifDie Kultusminister haben offenbar zu knapp kalkuliert. Die Hochschulrektoren warnen: Bis 2015 fehlen 300.000 Studienplätze.
Der Studentenboom wird Bund und Länder nach Schätzung der Hochschulrektorenkonferenz (HRK) in den nächsten Jahren bis zu sieben Milliarden Euro zusätzlich kosten. "Da haben sich die Kultusminister klar verrechnet – der Zustrom an die Hochschulen ist fast doppelt so stark gestiegen, wie sie noch 2011 dachten", sagte der neue HRK-Präsident Horst Hippler dem Handelsblatt. "Wir hatten 420.000 Anfänger erst für das Jahr 2013 erwartet. Stattdessen waren es schon im vergangenen Jahr 520.000."
Bis 2015 fehlten nun 300.000 Studienplätze. Um diese zu schaffen und bis zum Ende zu finanzieren, seien bis 2017/2018 fünf bis sieben Milliarden Euro nötig, rechnete Hippler vor. Die Hochschulen bräuchten spätestens 2014 dauerhaft mehr Geld. Die Studierendenzahlen würden auch danach höher sein als gedacht. "Gerade junge Leute aus den Krisenländern werden bei uns studieren wollen, weil sie hier auf einen Job hoffen."
Die Opposition forderte rasche Konsequenzen. "Statt über Deutschlandstipendium und Exzellenzinitiative zu fantasieren, sollte die Bundesbildungsministerin schleunigst über die Nachbesserung und Aufstockung des Hochschulpaktes verhandeln", erklärte der Grünen-Experte Kai Gehring. Dass Schwarz-Gelb über Fachkräftemangel lamentiere und zugleich am unterfinanzierten Hochschulpakt halbherzig herumdoktere, sei ein Armutszeugnis.
Nach Ansicht der Linkspartei verschließt die Regierung einfach die Augen vor der Entwicklung. Anstatt den Universitäten mehr Geld zu geben, halte die Koalition an ihrem "stümperhaften und unterfinanzierten Hochschulpakt" fest, kritisierte die Bildungspolitikerin Nicole Gohlke.

28 juillet 2012

Im Paradies

http://s0.2mdn.net/2577031/dnbp_banner_wallpaper_leaderboard.gifStudenten der Theologie geht es besser als allen anderen Geisteswissenschaftlern: Die Kurse sind klein, die Fakultäten und Professoren zahlreich. Wie kann das sein?
Er ist erst 25, aber ein Student der alten Schule. Julian-Christopher Marx hat sich Zeit gelassen und in Leipzig studiert, in Basel und an der Humboldt-Universität in Berlin; gerade verbringt er seine Tage in der Bibliothek und feilt an seiner Masterarbeit über das Verhältnis von moderner Gesellschaft und Individuum bei Ernst Troeltsch und Charles Taylor. Ab und zu, wenn er eine Pause von den großen Denkern braucht, hockt er sich ins Foyer der Theologischen Fakultät in Berlin-Mitte, blickt auf die Touristenströme vor den Panoramafenstern und nimmt einen Schluck aus seiner Club-Mate-Flasche. »Theologie ist genau das richtige Fach für mich«, sagt er. Nein, nicht um Pfarrer zu werden. »Die Beschäftigung mit dem Menschsein im Werden und damit den Grundlagen von Gesellschaft und Wissenschaft an sich, das fasziniert mich, das findet man sonst in keinem Fach. Vielleicht noch am ehesten in der Philosophie.« Er hält kurz inne, schüttelt dann den Kopf. »Nein, auch da nicht. Die Theologie ist einzigartig.«
Einzigartig ist die Theologie auch, wenn es um die sogenannten Betreuungsrelationen geht. In keinem anderen Fach kommen so wenige Studenten auf so viele Professoren. Insgesamt studierten 2010 deutschlandweit knapp 17.000 junge Menschen evangelische oder katholische Theologie im Hauptfach. Betreut wurden sie von 666 Professoren. Zum Vergleich: Die Germanistik hat 640 Professoren. Und 80.377 Hauptfachstudenten. Wie kann das sein?
Die Antwort führt zum Teil weit zurück in die Kirchengeschichte. Ins Jahr 1924 etwa, als zwischen dem Freistaat Bayern und der Evangelisch-Lutherischen Landeskirche ein Staatskirchenvertrag geschlossen wurde. Oder ins Jahr 1933, als der Staat der katholischen Kirche im »Reichskonkordat« die Zukunft der Theologischen Fakultäten garantierte. Alle bis heute geltenden Kirchenverträge haben gemeinsam: Der Staat zahlt die Professoren, die Kirche darf mitentscheiden, wer die Lehrstühle besetzt, und wenn es ans Sparen geht, kann die Kirche sich querstellen.
Lange Zeit hat die Extrawurst, die der Staat den beiden christlichen Kirchen da seit Jahrzehnten serviert, nicht wirklich jemanden gestört. Ab und zu gab es ein bisschen Medienrummel, wenn wie bei dem vom Glauben abgefallenen Göttinger Theologieprofessor Gerd Lüdemann die Kirche seine Absetzung verlangte. Jetzt aber nimmt angesichts von übervollen Hörsälen in anderen Fächern der Zorn zu über die frommen Kollegen, die mancherorts die Schäfchen in ihren Seminaren an einer Hand abzählen können. Eine »Abschaffung aller Privilegien für die Theologie« fordert etwa der Studentenverband fzs.
70 Leute in einem Seminar seien bei den Theologen »exorbitant viele«

Wie gut es ihm geht, realisierte Julian-Christopher Marx, als er sich in Leipzig parallel bei den Politikwissenschaftlern einschrieb. Da saßen plötzlich 50 Leute im Seminar und 250 in einer Vorlesung. »Bei den Theologen war es exorbitant viel, wenn 100 zusammenkamen.«
Jens Schröter
sitzt ein paar Etagen über dem Foyer mit den Panoramafenstern, und sein Ausblick ist auch ganz schön. Die Spree mit den Ausflugsdampfern im Vordergrund, dahinter die Kulisse der Museumsinsel. Doch Schröter, Dekan der Theologischen Fakultät, ist in seinen Gedanken gerade ganz woanders. Er überlegt, wie er es am besten sagen soll. Dass die Kritiker der Theologen ja irgendwie auch recht haben. Er entscheidet sich für die diplomatische Variante. »Sich einfach nur zurücklehnen und auf dem Status quo zu beharren, das wird der Theologie nicht bekommen.«
Man muss dazu wissen, dass der 51-jährige Neutestament-Experte Schröter bis vergangenes Jahr auch Vorsitzender des Evangelisch-Theologischen Fakultätentages war, der Vereinigung der 19 (!) Fakultäten, die es deutschlandweit gibt. Darunter sind Standorte wie die Humboldt-Uni, die für Theologie-Verhältnisse fast aus allen Nähten platzen, und andere, wie Greifswald oder Rostock, die allein kaum noch lebensfähig sind. Doch die Kirchenoberen beharren auf ihrem Existenzrecht – und können es, weil der Staat keine Handhabe hat. Früher lautete die Formel: Jede Landeskirche bekommt ihre eigene theologische Fakultät. Inzwischen hat die frisch vereinigte evangelische Nordkirche, zu der Greifswald und Rostock gehören, sogar vier davon – während andere Fächer von der Schließung bedroht sind.
Die Erklärungen, die für diese Schieflage bemüht werden, sind bei Katholiken wie Protestanten dieselben. Erstens, sagt Schröter, habe man schon erheblich Stellen eingespart, während die Zahl der Studenten insgesamt nach einem zwischenzeitlichen Tief wieder zunehme; zweitens hätten sich die Fakultäten längst gewandelt und vor allem für all jene Studenten geöffnet, die das Fach spannend finden, deshalb aber noch lange nicht Pfarrer oder Priester werden wollten. Und drittens seien die Theologien unabhängig von der Zahl der Hauptfachstudenten unheimlich wertvoll für die Gesellschaft.
Gerhard Krieger
ist Vorsitzender des Katholisch-Theologischen Fakultätentages. Er sagt: »Das Fach, mit dem die Theologie am ehesten vergleichbar ist, ist die Philosophie.« Und die habe ja auch niedrige Studentenzahlen. Ihr großes Problem, das wissen auch Schröter, Krieger & Co., ist, dass diese Erklärungen nur teilweise tragen. So stimmt es zwar, dass es heute wieder so viele Theologiestudenten gibt wie 1980 (nach einem Durchhänger in den neunziger Jahren). Auch ist die Schar der Professoren an staatlichen katholischen Fakultäten seit 2006 tatsächlich um vier Prozent geschrumpft. Doch die Zahl der betreuungsintensiven Hauptfachstudenten war 1980 um die Hälfte höher, sodass die Betreuungsrelation immer noch ausgesprochen hoch ist. Auch taugt das Fach Philosophie nicht wirklich als Ausrede. Dessen Hauptfächlerzahl ist mit der in den Theologien fast identisch, doch müssen die Studenten mit der Hälfte an Professoren auskommen. Was zugegeben im Vergleich zu den Germanisten immer noch eine Traumquote ist.
»Die schwierige Situation in anderen Fächern darf und kann nicht der Maßstab sein«, sagt denn auch Joachim Ochel, der bei der Evangelischen Kirche in Deutschland für die Hochschulfragen zuständig ist. »Wir ordnen uns daher nicht dem staatlichen Sparwillen unter und liefern uns nicht fröhlich dem Kürzungswahnsinn aus.« So einen Satz muss man sich erst mal leisten können. Die Kirche kann es.
Richtig ist allerdings das mit dem besonderen Wert für die Gesellschaft. Der Wissenschaftsrat hat ihn den christlichen Theologien in einem ausführlichen Gutachten bestätigt und ihre Vorbildfunktion beim Aufbau von Islamisch-Theologischen Fakultäten gewürdigt. »Natürlich kann man das nicht eins zu eins auf andere Religionen übertragen, aber ein Erfolgsmodell ist das schon«, sagt Rainer Lange vom Wissenschaftsrat. Er sagt aber auch, dass weiter gespart werden müsse und dass sich viele Standorte neu ausrichten müssten, um weiterzubestehen. »Die Religion behält ihre gesellschaftliche Bedeutung, entsprechend sind auch die christlichen Theologien weiter wichtig – aber nicht mehr so sehr im Sinne von Priesterausbildung, sondern vielmehr für Nebenfachstudenten und die Ausbildung von Lehrern.«
Bei Einsparungen bleiben womöglich nur die Hardcore-Fächer übrig
Das sieht auch Karl Gabriel so, Professor für Christliche Sozialwissenschaft in Münster. Allerdings befürchtet der katholische Theologe, dass bei Einsparungen ausgerechnet jene theologischen Disziplinen dran glauben müssen, die die Nebenfächler versorgen und die den Kontakt in die Gesellschaft hinein halten. Die Sozialethik zum Beispiel. Übrig blieben dann die theologischen Hardcore-Fächer. Im Auftrag der Bischofskonferenz hat Gabriel schon vor Jahren eine Bestandsaufnahme aller katholischen Lehrstühle in Deutschland gemacht. »Es gibt eine neue Generation von Bischöfen, die ein gespanntes Verhältnis zu theologischen Fakultäten haben.« Wenn die Theologie jemals die staatlichen Unis verlassen müsste, hielte Gabriel das für eine Katastrophe. »Das würde zu Fundamentalisierung und Abkapselung führen.«
28 juillet 2012

Trotz Stipendium am Existenzminimum

http://s0.2mdn.net/2577031/dnbp_banner_wallpaper_leaderboard.gifWer seine Promotion mit einem Stipendium finanziert, kratzt an der Lohnuntergrenze. Eine Initiative kämpft für Doktoranden-Ermäßigungen. Unterstützung gibt es aber kaum.
Als Andreas Hartmann die Zusage für sein Promotionsstipendium bekam, erwartete er nicht, dass der damit am Existenzminimum leben würde. "Ich habe mich bewusst für ein Promotionsstipendium entschieden und nicht für eine Stelle als wissenschaftlicher Mitarbeiter, damit ich mich voll auf mein Thema konzentrieren kann", sagt der 32-Jährige. Diese Entscheidung spürt er nun in seinem Geldbeutel. Wie jeder promovierende Stipendiat bekommt Hartmann 1.050 Euro pro Monat, zuzüglich einer Forschungspauschale in Höhe von 100 Euro. Davon zahlt er 180 Euro für die Krankenversicherung. Vergünstigungen für Doktoranden gibt es bei den Krankenkassen nicht. Denn laut eines Urteils des Bundessozialgerichts gehört die Promotion nicht mehr zur wissenschaftlichen Ausbildung.
Hartmann findet das ungerecht. Seit gut einem Jahr engagiert er sich deshalb in der Promovierenden-Initiative (PI), einem Zusammenschluss von Promotionsstipendiaten der zwölf Förderwerke wie zum Beispiel der Heinrich-Böll-Stiftung oder der Stiftung der Deutschen Wirtschaft. Aktuelles Ziel der Initiative: Ein einheitlicher gesetzlicher Status für Doktoranden wie ihn auch Studenten haben. Den gibt es bislang nämlich nicht. Solch ein Status würde Doktoranden stärkere Mitbestimmungsrechte einräumen – und so die Chancen steigern, Ermäßigungen bei Kranken- und Sozialversicherung durchzubringen.
Mit einem offenen Brief an die Landesregierungen versuchte die Initiative, auf die "prekäre berufliche Situation" von Promovierenden, die nicht an der Universität angestellt sind, aufmerksam zu machen. Im Internet starteten sie eine Petition, um ihre Forderungen zu untermauern. Doch nur gut 4.000 Personen unterstützten die Initiative – eine magere Ausbeute, schließlich gibt es bundesweit rund 200.000 Promovierende. Der Grund ist offensichtlich: Viele Doktoranden haben einen festen Arbeitsvertrag an einer Universität als wissenschaftlicher Mitarbeiter. Die Anliegen der Stipendiaten betreffen sie nicht, denn die Promovierenden bekommen ein höheres Gehalt als den Stipendiensatz und sind als Angestellte im sozialen Sicherungssystem integriert.
Promovieren ohne soziale Sicherheit

Das können die Promotionsstipendiaten nicht von sich behaupten: Promovieren wird hinsichtlich des Arbeitslosengeld-Anspruchs nicht als Berufszeit angesehen. Finden Doktoranden nach ihrem Abschluss keine Arbeit, erhalten sie also kein Arbeitslosengeld, sondern müssen direkt Hartz IV beantragen. Das gilt auch, wenn sie vor der Promotionsphase Beiträge in die Arbeitslosenversicherung eingezahlt haben. Die Gewerkschaft für Erziehung und Wissenschaft (GEW) forderte die Stipendiengeber deshalb auf, ihren Doktoranden eine Sozialversicherungszulage zu zahlen, mit der sie die Kranken-, Pflege- und die freiwillige Rentenversicherung finanzieren können. Auf lange Sicht empfiehlt die Gewerkschaft, dass Promovierende an ihrer Uni als wissenschafltiche Mitarbeiter angestellt werden sollten.
Der Trend geht jedoch in eine andere Richtung. Immer mehr Promotionsstellen werden gestrichen und durch externe Doktoranden mit Stipendien ersetzt. "Dieses mag den kurzfristigen Sparzielen der öffentlichen Haushalte entgegen kommen, kann aber den Wissenschaftsstandort auf lange Sicht gefährden", schreibt der Anwalt Cord Würmann in seinem Ratgeber für Promovierende. Bisher ist es ruhig geblieben um die Forderungen der Stipendiaten. Keine Landesregierung hat auf den offenen Brief der PI reagiert. Auf Anfrage teilt das Ministerium für Wissenschaft, Forschung und Kunst in Bayern mit, ein eigener Doktoranden-Status widerspreche dem Promotionsrecht der Universitäten: "Ein Eingriff in die Selbstbestimmung der Universitäten in diesem Bereich erscheint weder notwendig noch gut."
Ohne eine größere Zahl an Unterstützern werden die Stipendiaten mit ihren Forderungen weiter ins Leere laufen; solange Promovierende mit festem Arbeitsvertrag nicht für die Anliegen der PI zu begeistern sind, scheint das Vorhaben beinahe aussichtslos. Andreas Hartmann will trotzdem weiter kämpfen: "Es macht doch keinen Sinn, dass die Gesellschaft gute Leute fördern will, und diese mit solchen Unsicherheiten allein lässt."
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