La Basse-Normandie bonne élève dans le financement de la formation professionnelle
A la veille de l’Acte III de la décentralisation, le CNFPTLV propose, dans une étude inédite recouvrant les 22 régions, une approche globale des politiques publiques de formation professionnelle. En Basse-Normandie, 696 millions d’euros ont été dépensés en 2010 pour former les jeunes et les adultes dans le cadre de la formation professionnelle initiale et continue sur un total cumulé de 27,6 milliards d’euros en métropole.
Au-delà d’une approche globale des politiques publiques, le rapport distingue les financements selon qu’ils vont à la formation initiale, à la formation continue, à l’orientation et à la certification. Il précise ce que représentent les dépenses directes, les plus importantes et les plus visibles, destinées à l’offre de formation, mais aussi les dépenses « induites » constituées notamment de la rémunération des stagiaires ou des exonérations de charges ou encore les frais de transport, restauration, hébergement. Les différentes données constituent ainsi des repères financiers structurants pour les décideurs régionaux de la formation dans un contexte de contrainte budgétaire et au moment où ils sont engagés dans la mise en œuvre des CPRDFP et la négociation de nombreux accords de partenariats. Suite de l'article...
Ar an oíche roimh an Acht III díláraithe, cuireann CNFPTLV, i staidéar neamhfhoilsithe a chlúdaíonn 22 réigiúin, ar oiliúint chuimsitheach beartas poiblí. Níos mó...
“Fat” furor is revealing about attitudes in academe

Inquiries Into Doctorate That Doesn't Exist

Accreditation Fast Track?

Plagiarizing Across Europe

L'AFPA en crise ouverte
Lâché par Dexia, le premier organisme de formation du pays est à court de trésorerie. Son président a claqué la porte mercredi. Le ministère du Travail promet un plan de sauvetage.
Crise ouverte à l'Association pour la formation professionnelle des adultes (Afpa). En proie à d'importantes difficultés de trésorerie, l'association, premier organisme de formation en France, est désormais suivie par le Comité interministériel chargé d'aider les entreprises en difficulté (Ciri), a indiqué hier son directeur général, Philippe Caïla. Une obligation qui fait suite à la décision de la banque Dexia de quitter le pool bancaire qui soutient l'Afpa, ce qui place cette dernière face à un risque de cessation de paiements dès le mois de juillet.
Depuis 2009, l'Afpa n'est plus subventionnée par l'Etat et doit répondre à des appels d'offres comme tous les opérateurs de la formation. Son activité d'orientation des demandeurs d'emploi a été transférée à Pôle emploi, celle de formation des personnes handicapées a été transférée à l'Agefiph. Les syndicats dénoncent depuis trois ans le « démantèlement » de cette association née en 1949, gérée par le patronat, les syndicats et l'Etat, et qui emploie 9.150 salariés. Le chiffre d'affaires a chuté de 1,04 milliard en 2008 à 865 millions d'euros en 2011.
« C'est un échec »
Mercredi, son président, Jean-Luc Vergne, a démissionné, claquant la porte afin de « provoquer un choc » dans l'espoir de « décisions rapides » pour sauver l'institution. « C'est un échec pour l'Etat, qui n'a pas su accompagner son désengagement trop rapide. C'est un échec pour la direction générale, qui n'a pas su gérer le changement. Et c'est un échec dans la gouvernance, et donc de moi-même, dont je tire les conséquences », explique-t-il aux « Echos ». Sa démission est aussi l'issue d'un long bras de fer, perdu avec son directeur général, les deux hommes s'opposant sur l'évolution du fonctionnement de l'Afpa. Les syndicats ont demandé hier à l'Etat, qui a « plus que jamais besoin de son savoir-faire » (CGT) en matière de formation des chômeurs, de « sauver l'Afpa » (CFDT). Le gouvernement se veut rassurant. « L'Etat et les régions sont résolus à travailler ensemble » pour que l'Afpa joue « un rôle essentiel pour la qualification des demandeurs d'emploi », ont réagi, hier, le ministre du Travail, Michel Sapin, et le président de l'Association des régions de France (ARF), Jean-Paul Denanot, dans un communiqué commun. Ils s'engagent de façon urgente à « sécuriser l'accès aux financements » de l'association. Et assurent qu'un « nouveau cadre stratégique » sera défini pour l'Afpa afin « d'assurer la pérennité de son modèle économique », écrivent-ils en étrillant « les choix désastreux effectués par les gouvernements successifs depuis 2004 ».
Znížil o Dexia, prvý organizácie pre výcvik v krajine je nedostatok hotovosti. Jeho prezident zabuchla dvere stredu.Ministerstvo práce sľubuje záchranný plán.
Otvoriť krízy v Asociácii pre dospelých odborného vzdelávania Stredisko AFPA). Sužovaný značným ťažkostiam, peňažných tokov, je združenie, prvé organizácie pre výcvik vo Francúzsku, teraz nasleduje Medzirezortná Výbor na pomoc spoločnostiam v problémoch Ciri), včera povedal jej generálny riaditeľ, Philippe Caila. Záväzok, ktorý nasleduje po rozhodnutí banky ponechať bankové konzorcium Dexia, ktorá podporuje Stredisko AFPA, ktorý umiestni ju lícom riziko platobnej neschopnosti už v júli. Viac...
Third annual ECVET Forum: The credit system comes of age

The forum is co-organised by the European Commission and Cedefop with the support of the ECVET network and involves 220 policy makers, training providers, and social partners. As the foremost gathering of all parties interested in the credit system, it will provide an opportunity to develop the ECVET community as a vivid space for exchange and innovation.
The forum will discuss the challenges related to ECVET implementation and reflect upon the the roles and resources of the system's stakeholders. The forum is expected to lead to a shared vision of how to consolidate and implement ECVET throughout Europe.
Links
Booklet: Necessary conditions for ECVET implementation .
Third annual ECVET Forum: background papers and agenda .