Référentiel des critères d’évaluation des entités de recherche - Note sur la production et la qualité en Sciences humaines
L’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES) publie ce jour le document intitulé « Critères d’évaluation des entités de recherche: le référentiel de l’AERES ». Ce document clarifie les principes et la méthode d’évaluation des entités de recherche. Il est mis à disposition à compter de la campagne d’évaluation 2012-2013 (Vague D).
À l’issue d’un premier cycle d’évaluations portant sur près de 3 000 entités de recherche (unités de recherche, structures fédératives, centres d’investigation clinique, etc.), l’AERES a engagé une réflexion sur ses pratiques évaluatives dont elle livre aujourd’hui une nouvelle version dans le document « Critères d’évaluation des entités de recherche: le référentiel de l’AERES ».
Instrument commun à tous les domaines scientifiques pour l’évaluation des entités de recherche, le référentiel des critères d’évaluation de l’AERES:
- explicite la méthodologie d’évaluation définie par l’AERES;
- étend les critères d'évaluation de quatre à six;
- indique pour chaque critère: le champ de l’évaluation couvert par le critère, les faits observables et les indices de qualité qui lui sont associés;
- développe la méthodologie spécifique appliquée en matière d’évaluation de la pluridisciplinarité, de l’interdisciplinarité et de la transdisciplinarité;
- spécifie le critère de la "production et qualité scientifiques" dans son application au domaine des Sciences humaines et sociales;
- définit les termes fréquemment employés dans l'évaluation des entités de recherche.
Fruit du travail de plusieurs groupes de réflexion méthodologique associant notamment des délégués scientifiques de l’AERES et des membres de son Conseil, ce référentiel a fait l'objet d’une large consultation des parties prenantes: Conférence des présidents d’universités, organismes de recherche, groupe EREFIN [Groupe de travail inter-établissements sur l'Évaluation de la REcherche FINalisée]. Il s’appuie également sur les recommandations du dernier rapport de l’OPECST et sur les réflexions méthodologiques conduites par d’autres agences européennes: l’innovation à l’épreuve des peurs et des risques, Rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, 2012. Recommandation IV: élargir les critères d’évaluation de la recherche.
Les informations contenues dans le référentiel ont été conçues pour aider les entités de recherche dans leur démarche d’autoévaluation. Dans le cadre d'un processus continu d'amélioration, l’AERES complètera ce document au vu des retours d’expérience collectés auprès des entités de recherche évaluées lors de la prochaine campagne d'évaluation.
Le référentiel des critères d’évaluation de l’AERES a été approuvé par le Conseil de l’AERES lors de sa séance du 12 avril 2012.
IV – Note sur la production et la qualité scientifiques en Sciences humaines et sociales
Le champ des Sciences humaines et sociales englobe des disciplines dont les pratiques diffèrent notablement et appellent des usages d’évaluation adaptés à ces différences. Telles disciplines, par exemple, mettent l’ouvrage de recherche — le « livre » — en tête des publications, tandis que d’autres privilégient les articles publiés dans des revues à comité de lecture, voire les communications prononcées dans des congrès internationaux. Moyens d’échange scientifique réputés universels, les congrès, les colloques et les conférences prennent en réalité des formes, une importance et des suites, en termes de publication et d’appréciation de ces publications, qui font apparaître de grands écarts d’une discipline à l’autre. Un précis, oeuvre de vulgarisation pour les uns, a valeur d’ouvrage de premier rang dans certaines branches du droit. Ici l’anglais sert de moyen de communication et, dans une mesure non négligeable, de langue d’évaluation; là d’autres langues sont le véhicule reconnu de la recherche. L’usage très contrasté, d’une discipline à l’autre, de la bibliométrie et des différents classements de revues, voire de simples périmètres bibliographiques, donne une idée de ces différences. Les évaluations diligentées par l’AERES n’ont pas manqué de les rencontrer, sans chercher à les niveler.
Si la méthodologie retenue par l’AERES porte une attention soutenue à ces spécificités, elle ne crée pas cependant autant de cas particuliers qu’il y a de singularités disciplinaires ou de groupes disciplinaires ayant une identité propre, comme par exemple les humanités ou les aires culturelles. Elle ne définit pas a fortiori un domaine qui serait tout entier sans commune mesure avec les autres, ce qui conférerait aux Sciences humaines et sociales un statut d’exception dans le champ de l’évaluation. En effet, les singularités sont loin de se limiter à ce seul domaine. Les recherches en mathématiques prennent des formes et obéissent à des usages singuliers pour peu qu’on les compare à celles que l’on conduit en Sciences pour l’ingénieur. Le partage comme les complémentarités entre recherche finalisée et recherche fondamentale concernent aussi bien la biologie moléculaire et la recherche clinique que l’économie et la gestion. La problématique des spécificités passe les frontières des grands domaines disciplinaires : si la liste des différences est plus longue, celle des similitudes s’élargit tout autant et pose à nouveaux frais la question de la commensurabilité des disciplines. Bien des traits qui semblent propres aux pratiques des uns sont aussi présents chez les autres, sous l’angle de l’évaluation.
C’est pourquoi l’AERES a pris le parti d’élaborer un référentiel multidisciplinaire assez souple et assez adaptable pour être à la fois commun et spécifique, parce qu’il conjoint la plus grande généralité à des caractéristiques faisant sens discipline par discipline. Ainsi, ce référentiel tient-il compte du caractère propre des Sciences humaines et sociales dans le champ de l’évaluation. Cette attention à leurs spécificités s’exprime de deux façons complémentaires. D’une part, conformément aux principes de l’évaluation qualitative, les déclinaisons disciplinaires sont laissées à l’appréciation des comités d’experts, les « pairs » qui, par définition, appartiennent aux mêmes communautés scientifiques que les entités évaluées. D’autre part, des spécifications convenant aux Sciences humaines et sociales ont été introduites dans le référentiel des critères d’évaluation, sur la base d’une réflexion collective des délégués scientifiques de l’Agence et d’experts extérieurs, qui s’est développée dans le cadre d’un séminaire hebdomadaire, de septembre 2011 à janvier 2012. La conséquence pratique de cette approche est qu’il n’en résulte pas un autre référentiel, mais un référentiel commun qui intègre les perspectives des Sciences humaines et sociales, au même titre que les autres, et peut, le cas échéant, s’y adapter.
On ne proposera donc pas ici une nouvelle déclinaison des six critères d’évaluation destinée aux seules Sciences humaines et sociales : cette démarche, contraire à l’esprit dans lequel a été conçu le référentiel des critères d’évaluation de l’AERES, serait sans objet. Il ne s’agit certes pas de gommer certaines difficultés: les interactions de la recherche avec l’environnement non-académique, sur lesquelles porte le critère 3, sont, par exemple, un sujet qui intéresse de manière variable les Sciences humaines et sociales. En réalité, les travaux de toutes les disciplines du domaine, quand on y regarde de près, intéressent des praticiens, des groupes sociaux et des acteurs du monde économique ou culturel. La difficulté ne consiste bien souvent, sans gauchir la nature et l’orientation des recherches propres à ces disciplines, qu’à mettre en évidence la réalité, souvent ignorée ou minorée, de leur incidence sur l’économie, la société, la vie culturelle. C’est pourquoi le référentiel du critère 3 (cf. p. 12) – comporte des spécifications permettant de mettre les faits observables et les indices de qualité en adéquation avec les usages des Sciences humaines et sociales.
Rappelons une fois encore ce point essentiel : les entités de recherche, du fait de leur diversité, ne sauraient se retrouver complètement et uniformément dans tous les items sélectionnés: ceux-ci doivent être modulés en fonction de l’identité de ces entités, de leurs missions et de leurs objets de recherche. C’est précisément ce qui donne sens à l’évaluation par les pairs, qui, appartenant eux-mêmes au(x) champ(s) disciplinaire(s) des entités de recherche qu’ils évaluent, savent adapter ce langage commun et lui donner l’inflexion qui convient à leur domaine, afin qu’il soit reconnu et compris par leur communauté.
Un autre sujet réputé difficile s’agissant des Sciences humaines et sociales — même si son extension est en réalité bien plus large — est le poids relatif des types de publications et des autres productions scientifiques selon les disciplines, dont découle la difficulté d’apprécier uniformément ces objets dans le critère de la production et de la qualité scientifiques (critère 1). L’exemple le plus souvent cité à l’appui de ce constat est le caractère inadéquat des outils scientométriques pour une part importante des disciplines du domaine.
L’AERES, pour intégrer au mieux la variété des formes de publication et des autres productions scientifiques en Sciences humaines et sociales, mais aussi la diversité relative des langues qui sont utilisées pour la recherche dans ce domaine, a donc jugé utile d’apporter quelques précisions aux faits observables et aux indices de qualité relatifs à ce critère. Ce sont ces spécifications supplémentaires qui figurent dans les pages qui suivent.
1. La production et la qualité scientifiques en Sciences humaines et sociales: faits observables
La production scientifique, dans de nombreux secteurs disciplinaires des Sciences humaines et sociales, notamment les Humanités, accorde une place prépondérante aux ouvrages. Ces mêmes secteurs disciplinaires sont confrontés en outre à la faible présence des revues où ils publient dans des bases de données bibliométriques pertinentes.
C’est pourquoi l’évaluation de la production et de la qualité scientifiques en Sciences humaines et sociales requiert que l’on accorde une attention particulière à la caractérisation préalable des revues et des ouvrages scientifiques. On trouvera ci-après les propositions de l’AERES.
- La caractérisation des revues
La caractérisation des revues, qui vient à l’appui des éléments du référentiel fournis pour le premier critère (v. supra, p. 10), est destinée à faciliter l’évaluation et l’auto-évaluation dans une perspective qui demeure celle de l’évaluation qualitative et collégiale par les comités d’experts. Ceux-ci sont souverains pour apprécier la production et la qualité scientifiques des entités de recherche.
Il s’agit donc de caractériser les revues, sans prétendre porter de jugement sur la qualité des articles prenant ces supports éditoriaux comme moyen de diffusion. Les éléments de caractérisation énumérés cidessous ne sont pas nécessairement tous pertinents, à un même degré, pour toutes les disciplines des Sciences humaines et sociales; ils doivent donc être appréciés à la lumière des spécificités inhérentes à chacune de ces disciplines. Voir tableau dans « Critères d’évaluation des entités de recherche: le référentiel de l’AERES ».
- La caractérisation des ouvrages scientifiques
En se fondant sur d’autres faits observables, il est possible de distinguer, sans prétention limitative et sous réserve des usages particuliers aux disciplines, diverses catégories d’ouvrages scientifiques en Sciences humaines et sociales:
Éléments de caractérisation des ouvrages scientifiques en Sciences humaines et sociales
On distinguera ainsi trois principaux éléments de caractérisation.
Le premier est le type de signature. Il permet de faire le départ entre:
— les ouvrages constituant un texte unique et homogène, signés en nom propre;
— les ouvrages constituant un texte unique et homogène signé par plusieurs auteurs;
— les ouvrages collectifs réunissant des notices, des études, des chapitres signés par des auteurs différents, sous la direction d’un ou plusieurs éditeur(s) scientifique(s).
— les ouvrages collectifs réunissant des notices, des études, des chapitres signés par des auteurs différents, sans éditeur scientifique identifiable.
Le second élément de caractérisation relève du type de démarche relativement à son objet.
Il permet d’établir une différence entre:
— les ouvrages présentant les résultats d’une recherche originale sur une question ou sur une thématique et destinés à un public restreint de spécialistes;
— les ouvrages fondés sur une recherche philologique: les éditions de textes (et, en particulier, les éditions critiques), ainsi que les traductions;
— les ouvrages faisant la synthèse d’autres travaux scientifiques pour présenter l’état d’une question ou d’une thématique de recherche. Ces ouvrages de synthèse, qui ont souvent une finalité didactique visant un public plus large que la communauté des chercheurs, se distinguent des ouvrages de vulgarisation, qui sont la valorisation d’une recherche antérieure (la sienne ou celle d’autres chercheurs), en ce que la synthèse qu’ils proposent suppose une plus-value scientifique et une recherche propre supplémentaire.
Le troisième élément concerne la présence, dans ces ouvrages, d’un appareil critique lisible, rationalisé (notes et références bibliographiques) et d’outils de consultation (index des noms, index des oeuvres, index thématique, glossaire).
2. La production et la qualité scientifiques en Sciences humaines et sociales: indices de qualité
Pour permettre à ses comités d’experts d’apprécier la production et la qualité scientifiques en Sciences humaines et sociales, l’AERES propose deux types d’instruments: des listes de revues et une définition des conditions d’accès à la catégorie d’ouvrage de recherche pour les actes de colloque et les ouvrages collectifs.
- Les listes de revues
La multiplication des périodiques à l’échelle internationale illustre non seulement la croissance de la communauté mondiale des chercheurs, mais aussi un profond changement dans la manière de publier les résultats de la recherche, comme par exemple le développement des approches pluridisciplinaires qui conduit de nombreux chercheurs en Sciences humaines et sociales à publier leurs travaux dans des revues relevant d’autres disciplines que les leurs.
Les experts qui évaluent collectivement les entités de recherche ne peuvent plus espérer connaître l’ensemble des périodiques auxquels celles-ci ont destiné un certain nombre de leurs publications. L’AERES, constatant les insuffisances des listes et des bases de données disponibles, a décidé de constituer ses propres listes de revues par discipline ou par domaine et, lorsque le permettaient les consultations conduites par les délégués scientifiques auprès des instances représentatives des chercheurs de ces disciplines ou de ces domaines (CoNRS, CNU, sociétés savantes, etc.), de parvenir à un classement destiné à fournir aux experts des indications sur la qualité éditoriale, le niveau d’exigence et la visibilité nationale ou internationale de ces supports.
Ainsi, dès 2008, ont été créées des commissions coordonnées par les délégués scientifiques de l’Agence et regroupant par disciplines ou domaines des représentants des sections du CoNRS et du CNU, des personnalités qualifiées, françaises et étrangères. Plusieurs de ces commissions ont établi des listes de revues en délimitant un périmètre scientifique, sans classement. D’autres, correspondant aux disciplines dans lesquelles les bases de données bibliométriques internationales sont majoritairement acceptées par la communauté scientifique, ont proposé une première hiérarchisation.
Toutes les listes de revues ainsi constituées ont été rendues publiques sur le site de l’AERES. Elles ont été actualisées chaque année en tenant compte du degré d’internationalisation, de l’organisation et des pratiques des milieux dans chaque discipline ou domaine. Les commissions ont pris en compte les arguments de certains périodiques qui n’avaient pas été sélectionnés dans un premier temps. Elles ont répondu aux sollicitations de certaines revues créées après la constitution de la liste de leur discipline ou de leur domaine. Elles se sont enfin employées à recenser et à intégrer les revues uniquement électroniques.
Cependant, à la suite de divers retours d’expérience qui ont souligné, entre autres, l’hétérogénéité des méthodes et des critères ayant permis de constituer les listes de revues en Sciences humaines et sociales, l’AERES s’est engagée dans une refonte méthodique de ces listes qui doit permettre d’en améliorer la cohérence et la représentativité. On trouvera ci-dessous les principes qui déterminent cette refonte. Il convient auparavant de rappeler ceci, qui est fondamental: les listes de revues établies par l’AERES et mises à jour chaque année, ne se substituent pas à l’appréciation de la qualité de la production scientifique par les experts.
Principes de révision des listes de revue en Sciences humaines et sociales
Les listes de revues en Sciences humaines et sociales sont révisées par l’AERES en fonction des principes suivants:
— l’appréciation de la qualité de ces supports s’effectue à partir des éléments de caractérisation indiqués dans ce document (v. supra, p. 26).
— les commissions d’actualisation révisent les listes déjà constituées en s’assurant de la pertinence de leur sélection et, le cas échéant, de leur classement, en référence à ces éléments de caractérisation;
— les revues qui ne figurent pas dans les listes de l’AERES et qui souhaitent y être intégrées accompagnent leur demande [communication@aeres-evaluation.fr] d’une présentation qui reprend le référentiel de caractérisation et elles joignent quelques exemplaires de leur publication.
— les commissions qui s’en tiennent à la définition d’un périmètre scientifique, ont la possibilité de structurer celui-ci en définissant une typologie des revues.
— dans les cas où une hiérarchisation des revues est décidée par la commission ad-hoc, celle-ci s’effectue selon la même échelle (à trois degrés indiqués par des lettres: A, B, C), quelle que soit la discipline (ou le domaine).
— cette hiérarchisation s’établit à la fois en fonction de la proportion et de la qualité des réponses des revues considérées aux items du référentiel de caractérisation.
- Les actes de colloques et les ouvrages collectifs
S’agissant des actes de colloques et, plus généralement, des ouvrages collectifs dans le domaine des Sciences humaines et sociales, l’AERES distingue ce qui relève d’un véritable travail d’édition scientifique, qu’il convient de prendre en compte dans l’évaluation des ouvrages de recherche, de la simple juxtaposition de communications.
L’édition scientifique des actes de colloques et des ouvrages collectifs
Parmi les ouvrages réunissant les textes issus de communications ou de conférences prononcées à l’occasion de colloques, de congrès, de séminaires ou de symposiums seront donc considérées comme des ouvrages de recherche les publications ayant donné lieu à un travail d’édition scientifique caractérisé par:
— un appareil critique lisible, rationalisé (notes et références bibliographiques) pour l’ensemble de l’ouvrage; la présence d’outils de consultation (index des noms, index des oeuvres, index thématique, glossaire);
— une élaboration disciplinaire ou interdisciplinaire approfondie, identifiable dans la présentation générale; la mise en cohérence de la structure de l’ouvrage avec cette problématique; la sélection des contributions en fonction de leur pertinence par rapport au sujet; le travail réalisé sur chacune d’elles pour veiller à la qualité scientifique.
Ce travail d’édition scientifique est aussi la condition minimale permettant de considérer les autres ouvrages réunissant des textes de différents auteurs comme des ouvrages de recherche.
The Agency for the Evaluation of Research and Higher Education (SSH) has today published the document "Criteria for evaluating research entities: the repository of the AERES." This document clarifies the principles and the evaluation method of research entities.
IV - Note on the production and quality in science Humanities and Social Sciences
The field of Social Sciences encompasses disciplines whose practices differ considerably and require appropriate assessment uses these differences. Such disciplines, for example, are the work of research - the "book" - the head of publications, while others focus on articles published in refereed journals, or spoken communications at international congresses. Means of exchanging scientific considered universal, conferences, symposia and conferences are actually forms, importance and consequences, in terms of publication and appreciation of these publications, which show large differences from one discipline to another. A specific extension work for some, a book value of the first rank in some areas of law. Here English is used as means of communication and, in no small measure, language assessment, there are other languages recognized by the vehicle research. Use high contrast from one discipline to another, of bibliometrics and various rankings of journals, bibliographic even simple perimeters, gives an idea of these differences. More...
Attributions du ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche

Le Président de la République,
Sur le rapport du Premier ministre,
Vu le code de l'éducation, notamment ses articles L. 241-1 et R. 241-17;
Vu le décret n° 59-178 du 22 janvier 1959 relatif aux attributions des ministres;
Vu le décret n° 2005-1792 du 30 décembre 2005 modifié portant création d'une direction générale de la modernisation de l'Etat au ministère de l'économie, des finances et de l'industrie;
Vu le décret n° 2006-572 du 17 mai 2006 modifié fixant l'organisation de l'administration centrale des ministères de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur et de la recherche;
Vu le décret n° 2009-1393 du 11 novembre 2009 modifié relatif aux missions et à l'organisation de l'administration centrale du ministère de la culture et de la communication;
Vu le décret du 15 mai 2012 portant nomination du Premier ministre;
Vu le décret du 16 mai 2012 relatif à la composition du Gouvernement;
Le Conseil d'Etat (section de l'intérieur) entendu;
Le conseil des ministres entendu,
Décrète :
Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche prépare et met en œuvre de la politique du Gouvernement relative au développement de l'enseignement supérieur. Il propose et, en liaison avec les autres ministres intéressés, met en œuvre la politique du Gouvernement dans le domaine de la recherche et de la technologie. Il est compétent en matière de politique de l'espace.
Il prépare les décisions du Gouvernement relatives à l'attribution des ressources et des moyens alloués par l'Etat dans le cadre de la mission interministérielle « Recherche et enseignement supérieur ». A cet effet, les autres ministres lui présentent leurs propositions de crédits de recherche. Il est associé à la définition et à la mise en œuvre du programme des investissements d'avenir. Il participe à la promotion et à la diffusion des nouvelles technologies.
Il participe, conjointement avec les autres ministres intéressés, à l'élaboration et à la mise en œuvre de la politique du Gouvernement en faveur de l'utilisation et de la diffusion des nouvelles technologies de l'information et de la communication.
Pour l'exercice de ses attributions, le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche a autorité sur la direction générale pour l'enseignement supérieur et l'insertion professionnelle, sur la direction générale de la recherche et de l'innovation, sur l'inspection générale des bibliothèques et sur le bureau du cabinet.
Il a autorité, conjointement avec le ministre de l'éducation nationale, sur le secrétariat général mentionné à l'article 1er du décret du 17 mai 2006 susvisé, sur l'inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche ainsi que sur le médiateur de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur, sur le haut fonctionnaire de défense et de sécurité et sur la mission ministérielle d'audit interne.
Pour l'exercice de ses attributions, il dispose en tant que de besoin de la direction générale de l'enseignement scolaire. Il peut faire appel à l'inspection générale de l'éducation nationale, à la direction générale des médias et des industries culturelles et à la direction générale de la modernisation de l'Etat.
Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche assure, conformément à leurs dispositions statutaires, la tutelle des établissements publics relevant de ses attributions.

Brussels in Brief - updates on EU activities

Erasmus for All
The Council of the EU (EU member states) agreed on 11 May a partial general approach on the proposal for a regulation establishing the Erasmus for All programme for the period 2014-2020, for which the European Commission proposes a significant increase in funding compared to the current budget. Discussions however did not broach the proposed overall Erasmus for All budget, which will be debated during the ongoing negotiations on the EU multiannual financial framework.
The European Commissioner Androulla Vassiliou welcomed the fact that there had been a ‘broad consensus’ on the major programme points, that they had been able to focus on European added value and that the ministers had confirmed the key programme action areas. The Council nevertheless introduced some changes in the Commission’s proposal, including the introduction of a separate youth chapter with a separate budget for youth. The European Commissioner believes that the integrated approach of Erasmus for All should be preserved and that the distinction between the youth field and the other parts of the programme was in fact “artificial”. Read more here.
Benchmark on employability of graduates
The Council of the EU also adopted a series of conclusions on the employability of graduates from education and training which aim to establish a European benchmark for identifying those education and training policies which boost the employability of graduates from general education, vocational education and training and higher education, and help to ensure successful transitions from education to work.
The benchmark will measure the share of graduates entering employment within three years of graduating and – on a more qualitative note – will look at the match between educational attainment and the occupations pursued during the first years of employment. More specifically it states that: “By 2020, the share of employed graduates (20-34 year olds) having left education and training no more than three years before the reference year should be at least 82% (as compared to 76.5% in 2010).”
The Council of the EU notes that an assessment of the employability benchmark will be carried out in 2014. Read more here.
European Commission publishes latest Erasmus mobility statistics (2010-2011)
Meanwhile, the European Commission has published its latest figures on the number of students, teachers and other staff in higher education who take part in the Erasmus Programme. According to the figures for 2010-2011, 231 410 European students and 42 813 staff in higher education received Erasmus funding to go abroad for studies, job placements, teaching or training. The EC also noted that the “three most popular destinations for students in 2010-2011 were Spain, France and Germany. Spain also sent the largest number of students abroad, followed by France and Germany.” Read more here.
Merci Monsieur MERIEU
Par Alcofribas NASIER. Mais qui est Philippe MERIEU? Les pédagogues le connaissent car c’est certainement l’un des meilleurs spécialistes des sciences de l’éducation, mondialement reconnu. Il est aussi vice-président de la région Rhône Alpes, président de la commission « formation tout au long de la vie ». C’est à ce titre qu’il a pris des décisions très courageuses qui méritent d’être soulignées tant elles apparaissent importantes pour l’avenir de la formation en France.
Ce sont les régions qui ont principalement en charge le financement et la gestion de la formation professionnelle dans notre pays, même si l’Etat conserve une part, en forte diminution, du domaine, notamment au travers des missions de Pôle emploi. Les régions ont assumé le transfert de s missions initiales de l’Etat et déploient sur les territoires une offre de formation sensée correspondre aux besoins de qualification des structures sociales et économiques. Il y a encore quelques années, c’était le Service Public de l’Emploi qui assurait ce service par voie de subvention.
Aujourd’hui, de par la loi, les régions organisent, structurent et proposent leur offre, sorte de catalogue très complet des formations et sont directement maîtresses d’œuvre. On est donc passé d’un service public de l’emploi national à un service public de l’emploi ou plutôt de la formation, régional. Les budgets vont aux régions, charge à elles de procéder aux achats de services selon les règles des marchés publics. Et, c’est là que le bât blesse, car les fournisseurs qui étaient auparavant dans le giron de l’Etat se trouvent désormais confrontés à une forte concurrence qui dans la plupart des cas est d’un très bon niveau qualitatif, voire...
Beaucoup de régions gèrent leur dispositif en évitant sagement une confrontation trop déstabilisante de l’offre existante et des besoins.
Philippe MERIEU et ses équipes, qui sont (au passage) de grands professionnels, ont, en 2012, lancé un appel d’offres (59 millions d’euros) composé de 430 lots (formations, ou petits groupes de formations). Jusque là, on ne voit que le strict respect de la loi sur les marchés publics qui prévoit que les marchés doivent être accessibles à tous, notamment aux petites structures. C’est dans la logique que les choses ont changé. Le Conseil régional Rhône Alpes a parfaitement joué son rôle de Service public en remettant à plat l’offre existante depuis parfois très longtemps et en la plaçant au regard des besoins réels des territoires. Certes, il y a eut des réactions notamment des personnels des prestataires qui géraient antérieurement ces services avec, c’est vrai, une grande sécurité qui ne les a pas forcément positionné en force de proposition. Mais, que peut la voix de la colère face à l’intérêt général, bien souvent des plus démunis, quand il s’agit: de proposer aux citoyens des outils performants, et réellement adaptés à leurs besoins de formation, pour les aider à retrouver un emploi et aux territoires de répondre à leurs attentes de qualification?
Oui, merci Monsieur MERIEU.
Do Alcofribas Nasier. Kto je Philippe MERIEU? Pedagógovia vedieť, pretože to je určite jeden z najlepších vedcov vzdelávanie, uznávaná po celom svete. On je tiež viceprezidentom Rhone Alpes, predseda výboru pre vzdelávanie "po celý život." Je to z toho dôvodu, že prijala veľmi odvážne rozhodnutie, ktorá by mala byť zdôraznená ako sa zdá dôležité pre budúcnosť vzdelávania vo Francúzsku. Viac...
Convention cadre FPSPP - Appels à projet & Outils

FICHE SYNTHETIQUE DE L’OPERATION A L’ISSUE DE L’INSTRUCTION
Opération
L’objectif de l’opération est d’accompagner les salariés de la branche de l’aide à domicile dans l’acquisition de diplômes qualifiants afin de sécuriser leurs parcours professionnels, notamment dans le contexte actuel de crise. En effet, les associations du secteur sont fragilisées en raison d’une rupture des finances publiques, notamment des Conseils généraux. D’importantes structures ont déjà dû procéder à des licenciements collectifs ou même cesser toute activité. Les fédérations d’employeurs enregistrent en début d’année 2010 une centaine de structures qui menacent de déposer le bilan, mettant en danger environ 10 000 salariés. Il se pourrait qu’en fin d’année ce chiffre soit multiplié par trois.
En outre, les salariés de cette branche sont à 98% des femmes dont les 2/3 ont plus de 40 ans. Ces salariés sont à 84% des intervenants à domicile; la moitié n’ayant aucune qualification professionnelle, l’autre moitié une qualification de niveau V. L’acquisition d’une qualification validera les compétences de ces salariés en situation précaire qui leur permettra une meilleure mobilité interne ou externe. En outre, la qualification de ces salariés induit une amélioration des conditions de travail et des niveaux de vie par une augmentation des heures de prestations qui les approchent d’un temps plein.
Résultats attendus
L’opération vise 300 femmes sans qualification, dont 40% ont plus de 45 ans. 75% des salariés visés travaillent dans des TPE et PME (dont 60% en PME). La durée moyenne est de 80 heures par stagiaire pour un coût moyen de formation de 2 160€. Le coût horaire comprenant le coût pédagogique et la rémunération est de 27€.
FICHE SYNTHETIQUE DE L’OPERATION A L’ISSUE DE L’INSTRUCTION
Opération
Le contexte économique rend les salariés fragiles face à l'emploi. Et les plus démunis voient leur situation se tendre de façon dramatique face à la réalité du marché de l’emploi.
Il est aujourd’hui admis en Alsace que les mutations se sont accélérées. Et il est indispensable de former les salariés pour leur permettre de trouver des réponses encore plus réactives et d’anticiper les nécessaires reconversions en évitant le passage par la situation de demandeur d’emploi.
Les difficultés économiques auxquelles sont confrontées les entreprises sur la scène mondiale, touchent l'ensemble des secteurs de l'économie.
Les salariés alsaciens se retrouvent fortement fragilisés, et la sous qualification très marquée sur notre territoire régional, est un facteur défavorable que nous souhaitons
participer à contrecarrer par la mise en place d'actions volontaristes à destination des publics les plus touchés et les moins directement adaptables aux besoins du marché de l’emploi. Dans ce cadre, le Fongecif Alsace souhaite donner une priorité majeure aux publics salariés le plus fragiles face à l’emploi en concertant ses efforts sur les femmes et le public senior (salariés âgés de plus de 45 ans) afin de permettre le développement des compétences et des projets professionnels pour des salariés menacés et statistiquement plus démunis. Les projets visés par le présent dossier sont construits en vue d’accompagner des salariés dans le cadre d’une reconversion professionnelle, ils concernent exclusivement des femmes de bas niveau de qualification (V et infra V) et des salariés de plus de 45 ans.
Nous situons cette opération dans une démarche dynamique, pour mettre à disposition du citoyen l’ensemble des informations permettant l’accès indispensable à la qualification en vue de mettre en oeuvre leur propre reconversion.
Résultats attendus
L’opération, modifiée par l’avenant N°1 vise désormais 244 participants dont : 80% de femmes (parmi lesquelles 89% de niveau V ou infra) et 32% de seniors Engagements 2010 : - 1 014 heures de formation en moyenne par stagiaire pour les CIF – 308 heures pour les FHTT - un coût moyen de 24 680 € par stagiaire pour les CIF – 3 333 € pour les FHTT - un coût horaire moyen de 24,33 € par stagiaire pour les CIF – 10,80 € pour les FHTT Engagements 2011 : - 960 heures de formation en moyenne par stagiaire, un coût moyen de 26 000 € par stagiaire et un coût horaire moyen de 27,08 € par stagiaire.
Opération
Le FONGECIF Alsace souhaite cibler les publics salariés dans des entreprises ayant obtenu l’autorisation pour développer des opérations de chômage partiel afin de permettre le développement des compétences et des projets professionnels pour des salariés menacés.
Les difficultés économiques auxquelles sont confrontées les entreprises sur la scène mondiale, touchent l'ensemble des secteurs de l'économie.
Les salariés alsaciens se retrouvent fortement fragilisés, et la sous qualification très marquée sur le territoire régional, est un facteur défavorable que le FONGECIF souhaite participer à contrecarrer par la mise en place d'actions volontaristes.
L’opération est à destination :
- des salariés n'ayant validé aucun niveau de qualification,
- des salariés confrontés à court terme à une fin de contrat de travail,
- des personnes cherchant à élever leur niveau.
Cette opération est située dans une démarche dynamique, pour mettre à disposition du citoyen l’ensemble des informations permettant l’accès indispensable à la qualification.
Résultats attendus
La demande d’avenant fait état de 80 participants prévisionnels dont :
- 14 femmes
- 12 de plus de 45 ans
- 48 de niveau V et infra
- 54 de CSP ouvrier et employé.

SYNTHETIC FORM OF OPERATION AT THE END OF TRAINING
Operation
The aim of the operation is to assist employees in the sector of home help in the acquisition of diplomas qualifying to secure their careers, especially in the current crisis. Indeed, industry associations are weakened due to a breach of public finances, including the General Councils. Large structures have already had to make redundancies or even stop all activity. Employers' federations recorded in early 2010 one hundred structures that threaten to file for bankruptcy, threatening about 10,000 employees. It could be that end of the year this figure is multiplied by three. More...
Université d’Aix-Marseille - Instituts et écoles internes
Université d’Aix-Marseille. NOR : ESRS1200186A, arrêté du 26-4-2012, ESR - DGESIP B2.
Article 1 - Le décret n° 84-1004 du 12 novembre 1984 susvisé est ainsi modifié:
1° À l'annexe I, les mentions suivantes sont supprimées:
Académie |
Université |
Institut universitaire de technologie |
Aix-Marseille |
Aix-Marseille-I |
De l'université de Provence |
Aix-Marseille-II |
Aix |
|
Aix-Marseille-III |
Marseille |
2° L'annexe I est complétée comme suit :
Académie |
Université |
Institut universitaire de technologie |
Aix-Marseille |
Aix-Marseille |
Aix-en-Provence Marseille Provence |
Article 2 - Le décret n° 85-1243 du 26 novembre 1985 susvisé est ainsi modifié :
1° À l'article 1er, les mots : « école supérieure d'ingénieurs de Luminy, Aix-Marseille-II » et les mots : « école polytechnique universitaire de Marseille, Aix-Marseille-I ; » sont supprimés et sont ajoutés les mots : « école polytechnique universitaire de Marseille, Aix-Marseille ».
2° À l'article 3, les mots : « observatoire astronomique de Marseille-Provence, Aix-Marseille-I » et les mots : « observatoire des sciences de l'univers, Aix-Marseille-II » sont supprimés et sont ajoutés les mots : « observatoire des sciences de l'univers - Institut Pythéas, Aix-Marseille ».
3° À l'article 5, les mots « Aix-Marseille-III » sont remplacés par les mots : « Aix-Marseille ».
4° À l'article 8, les mots « Aix-Marseille-II » sont remplacés par les mots : « Aix-Marseille ».
5° À l'article 9-1, les mots « Aix-Marseille-I » sont remplacés par les mots : « Aix-Marseille ».
6° À l'article 9-2, les mots « Aix-Marseille-II » sont remplacés par les mots : « d'Aix-Marseille ».
Article 3 - Le décret n° 85-1244 du 26 novembre 1985 susvisé est ainsi modifié :
1° A l'article 1er les rubriques « Aix-Marseille-I » et « Aix-Marseille-II » sont remplacées par les dispositions suivantes :
« Aix-Marseille
Centre de formation des musiciens intervenants ».
2° À l'article 2, la rubrique : « Aix-Marseille-II » est remplacée par les dispositions suivantes :
« Aix-Marseille
École de journalisme et de communication de Marseille (EJCM) ».
Article 4 - Le recteur de l'académie d'Aix-Marseille et le président de l'université d'Aix-Marseille sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Fait le 26 avril 2012
Pour le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche et par délégation, Pour le directeur général pour l’enseignement supérieur et l’insertion professionnelle, Le chef du service de la stratégie de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle, Alain Coulon.
L’Amue rencontre son homologue italien Cineca

L’agence s’est engagée dans la mise en place de relations régulières avec les autres acteurs de la mutualisation universitaire en Europe, au Canada et aux Etats-Unis afin de se hisser au niveau des meilleures pratiques du moment et de bénéficier d’expériences innovantes.
Un dialogue est initié depuis plusieurs mois avec plusieurs des principales structures de mutualisation dans le secteur de l’ESR à travers le monde. Le 11 mai dernier à Bologne, Claude RONCERAY a visité et rencontré le consortium CINECA. Les deux agences, aux activités similaires, ont ainsi pu échangé sur leurs spécificités en vue d’une éventuelle collaboration ou d’échanges techniques et fonctionnels.
A l’origine spécialisé dans la mise à disposition à la communauté scientifique de temps de calcul, le consortium CINECA offre, depuis quelques années maintenant, à ses 52 membres (49 universités, 2 établissements de recherche et au Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche italien) un ensemble de logiciels de gestion fondés sur des produits open-source. Très en avance sur cette démarche, depuis quelques mois, CINECA propose aux établissements, le portefeuille d’applications U-GOV (www.u-gov.eu) sous forme d’applications services hébergées dans leur centre de calcul (CLOUD).
Cette journée d’échanges très dense entre la direction de l’Amue et le président et le directeur général de CINECA a mis en évidence des préoccupations similaires au sein de nos agences qui feront l’objet de collaborations dans un futur proche.

Post of Director of the Centre for Open Studies in Glasgow

Purpose: "To lead the activities of the University of Glasgow Centre for Open Studies by providing overall strategic direction and overseeing planning to develop the Centre, including its programmes, budgets, marketing, and staffing. To play a leading role in building relationships both internally and with relevant public and private sector organisations in Glasgow and elsewhere in Scotland/UK and beyond to realise the full potential of the Centre."
The Centre for Open Studies is described here: http://www.gla.ac.uk/services/centreforopenstudies/ You'll see we are "formerly DACE".
To see the full job description, etc., use reference number 002122 here: http://www22.i-grasp.com/.
Although the job is advertised in the "Management, Professional & Administrative" family we've been assured verbally that this should not deter academic staff from applying.
Please note the deadline of 31 May. I'm not involved in the appointment process. The name for informal enquiries is Dr Dorothy Welch, Court Office Deputy Secretary: dorothy.welch@glasgow.ac.uk.
We hope some of you will be interested in joining us here in Glasgow and helping us to move forward in our new situation. Best wishes, Alec MacKinnon.