Le tutorat - quels enjeux, quels outils, quelles perspectives

La journée a débuté par une conférence introductive de Marie-Hélène MICHAL (Centre Inffo) sur "Le tutorat, un outil des dispositifs en alternance: définition, actualité juridique, modalités de mise en œuvre, contexte et évolution…". Elle s’est poursuivie par 4 ateliers:
1. Quels enjeux et reconnaissance pour la fonction tutorale? ou comment construire une politique de communication sur le tutorat en identifiant les finalités poursuivies par les différentes parties prenantes du tutorat (entreprises, tutoré(e)s, organismes de formation ou d’insertion…)
2. Quels outils régionaux, pour quels usages? Il s’agit de repérer les supports créés, utilisés, appréciés et de définir les besoins en fonction des contextes de tutorat ainsi que les dispositifs de prise en charge mobilisables
3. Quelle place pour le tutorat dans la boîte à outils de Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences? Le tutorat au service de la gestion de carrière
4. Quelle démarche adopter pour développer la fonction tutorale dans les TPE? ou comment faire entrer le tutorat dans la pratique quotidienne d’acquisition et de développement des compétences des TPE.
Télécharger la synthèse de cette journée.

Lancement du projet «Ton premier emploi EURES»

Il servira aussi d’expérimentation en vue de la transformation du réseau des services de l’emploi dans les États membres, EURES, en un service de l’emploi paneuropéen.
Ce projet est une première étape vers un service de l’emploi plus personnalisé qui aidera les travailleurs à trouver un emploi dans d’autres pays européens.
Pour initier le projet, quatre services de l’emploi choisis en Allemagne, en Espagne, au Danemark et en Italie vont aider de jeunes Européens à chercher un emploi ailleurs que dans leur État membre de résidence. Ces jeunes, âgés de 18 à 30 ans, bénéficieront d’informations et de conseils en matière de recrutement ainsi que, éventuellement, d’une aide financière pour introduire leur candidature ou recevoir une formation.
En savoir plus sur «Ton premier emploi EURES».

Michel Sapin, ministre du Travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social


Circulaire N°2012-11 DU 14 Mai 2012 relative au contrat de sécurisation professionnelle (CSP)

Avenant n° 1 du 3 février 2012 portant modification de l’article 13 de la Convention du 19 juillet 2011 relative au contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Objet
Mise en oeuvre de l’avenant n° 1 du 3 février 2012 portant modification de l’article 13 de la Convention du 19 juillet 2011 relative au contrat de sécurisation professionnelle. "Document émis pour action après validation par signature de la Direction de l'Unédic".
Résumé
L’avenant n° 1 du 3 février 2012 modifie l’article 13 de la Convention du 19 juillet 2011 relative au CSP (agréé par arrêté du 24 avril 2012, J.O. du 8 mai 2012). Cet avenant aménage les conditions dans lesquelles le bénéficiaire du CSP peut reprendre une activité professionnelle en entreprise en cours de dispositif. Ces nouvelles modalités s’appliquent aux bénéficiaires du CSP à compter du 3 février 2012. Suite à la signature le 23 janvier 2012 de l’avenant à l’accord national interprofessionnel du 31 mai 2011 relatif au contrat de sécurisation professionnelle (CSP), les Partenaires sociaux ont adopté, le 3 février 2012, l’avenant n° 1 à la Convention du 19 juillet 2011 relative au contrat de sécurisation professionnelle (CSP).
Cet avenant signé par l’ensemble des organisations d’employeurs et de salariés représentatives au plan national et interprofessionnel, a été agréé par arrêté du 24 avril 2012 et publié au journal officiel du 8 mai. Il modifie les conditions dans lesquelles le bénéficiaire du CSP peut reprendre une activité professionnelle en entreprise en cours de dispositif. En effet, chaque fois que cela est nécessaire, une période d’activité professionnelle en entreprise est mise en place pour faciliter le retour rapide de l’intéressé à un emploi durable.
Il s’ensuit une modification de la rédaction de l’article 13 de la Convention du 19 juillet 2011 dont les nouveaux termes s’appliquent aux bénéficiaires du CSP à compter du 3 février 2012. La note technique ci-jointe présente les conditions dans lesquelles le bénéficiaire du dispositif peut exercer une activité professionnelle en entreprise dans le cadre du CSP. Les développements concernés de la circulaire n° 2011-36 du 9 décembre 2011 (Titre II, 1.4. p. 17-18/38 ; Titre II, 1.9.2., p.25/38) sont remplacés par ceux de la présente circulaire.
Pièce jointe n° 1 - Fiche technique
Dans le cadre du déroulement de son contrat de sécurisation professionnelle, le bénéficiaire peut réaliser plusieurs périodes d’activités professionnelles en entreprise dans les conditions et selon les modalités prévues par l’article 13 de la convention relative au CSP (Avnt n° 1 du 03/02/2012).
Pendant cette ou ces période(s), le bénéficiaire est salarié de l’entreprise dans laquelle il exerce son emploi ou de l’agence d’emploi, et le versement de son allocation de sécurisation professionnelle (ASP) est suspendu. Cette ou ces reprise(s) d’emploi ne peuvent avoir pour effet de modifier le terme initial du CSP (C. trav. art. L. 1233-67 al. 5 ; Conv. CSP du 19/07/11, art. 7). A l’issue de cette ou ces activité(s), le bénéficiaire peut réintégrer le dispositif dans certaines conditions pour la durée des droits restants (Conv. CSP du 19/07/2011, art. 7 et 16 al.1).
1. REALISATION D’ACTIVITE PROFESSIONNELLE AU COURS DU CSP
1.1. ACTIVITES PROFESSIONNELLES VISEES PAR L’ARTICLE 13 DE LA CONVENTION CSP
Au cours de son CSP, le bénéficiaire peut réaliser plusieurs périodes d’activités professionnelles en entreprise, sous forme de contrat de travail à durée déterminée (C. trav., art. L. 1241-1 et sv.) ou de contrat de travail temporaire (C. trav., art. L. 1251-1 et sv.).
Chaque contrat est renouvelable une fois avec le même employeur ou la même entreprise utilisatrice. Chaque reprise doit avoir une durée minimale de quatorze jours ou de deux semaines (dix jours travaillés). Le cumul total de l’ensemble de cette ou ces période(s) d’activité ne peut excéder six mois, renouvellement inclus. Pendant ces périodes, le bénéficiaire est salarié de l’entreprise dans laquelle il exerce son activité ou de l’agence d’emploi et son contrat de sécurisation professionnelle est suspendu. En conséquence, son allocation de sécurisation professionnelle cesse de lui être versée dans la période d’emploi (Circ. Unédic n°2011-36, Titre II, point 2.3.3.).
1.2. ACTIVITES PROFESSIONNELLES NON VISEES PAR L’ARTICLE 13 DE LA CONVENTION CSP
Il s’agit de reprises d’emploi au cours du CSP sous forme, notamment:
• de contrat de travail à durée indéterminée;
• de contrat de travail à durée déterminée ou de contrat de travail temporaire dont la durée est inférieure à quatorze jours ou deux semaines (dix jours travaillés);
• de contrat de travail à durée déterminée ou de contrat de travail temporaire dont la durée
excède six mois ;
• de création ou reprise d’entreprise;
• d’exercice d’une activité professionnelle non salariée.
Lorsque le bénéficiaire reprend une de ces activités professionnelles, le bénéfice du CSP est interrompu (Circ. Unédic n°2011-36, Titre I, point 1.9.2.).
2. REPRISE DU VERSEMENT DE L’ASP A L’ISSUE DE L’ACTIVITE PROFESSIONNELLE
2.1. FIN D’UNE ACTIVITE VISEE A L’ARTICLE 13 DE LA CONVENTION CSP
A l’issue de l’une des périodes d’activité visées par l’article 13 de la convention CSP (point 1.1.), le versement de l’allocation de sécurisation professionnelle est normalement repris, dans la limite de la durée restant à courir (Conv. CSP du 19/07/11, art. 16).
2.2. PARTICULARITES
Des dispositions particulières sont applicables en cas de contrat de travail à durée déterminée ou de contrat de travail temporaire, conclus pour une durée de plus de trois mois. En cas de rupture durant la période d’essai des contrats de travail dont la durée est supérieure à trois mois, visés ou non à l’article 13, le versement de l’ASP et l’accompagnement du CSP peuvent être repris.
Dans ce cas, le versement de l’ASP et l’accompagnement spécifique au CSP sont alors repris dès le lendemain de la cessation du contrat de travail, sous réserve que la durée du dispositif et du versement de l’ASP ne soit pas expirée (Conv. CSP du 19/07/2011, art. 7 et 16 al.1). Dans toutes les situations, si les douze mois du versement de l’allocation de sécurisation professionnelle sont échus, il est procédé à la prise en charge de l’intéressé au titre de l’ARE, sous réserve que les conditions prévues soient remplies (Circ. Unédic n°2011-36, Titre III).
3. ENTREE EN VIGUEUR
Les modalités dans lesquelles les bénéficiaires du CSP peuvent reprendre une activité professionnelle en entreprise résultant de l’avenant n°1 portant modification de l’article 13 de la Convention du 19 juillet 2011 relative au contrat de sécurisation professionnelle, s’appliquent aux contrats de sécurisation professionnelle en cours et à venir à compter du 3 février 2012.
Pièce jointe n° 2 - Arrêté du 24 avril 2012 relatif à l’agrément de l’Avenant n°1 du 3 février 2012 portant modification de l’article 13 de la Convention relative au CSP du 19 juillet 2011
Le ministre du travail, de l’emploi et de la santé,
Vu le code du travail, notamment ses articles L. 5422-20 à L. 5422-24 et R. 5422-16 à R. 5422-17;
Vu la convention du 6 mai 2011 relative à l’indemnisation du chômage, son règlement général et accords d’application annexés;
Vu l’avenant du 23 janvier 2012 à l’accord national interprofessionnel du 31 mai 2011 relatif au contrat de sécurisation professionnelle;
Vu la convention du 19 juillet 2011 relative au contrat de sécurisation professionnel;
Vu la demande d’agrément signée le 3 février 2012 par le Mouvement des entreprises de France (MEDEF), la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME), l’Union professionnelle artisanale (UPA), la Confédération française démocratique du travail (CFDT), la Confédération française de l’encadrement-Confédération générale des cadres (CFE-CGC), la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC), la Confédération générale du travail-Force ouvrière (CGT-FO) et la Confédération générale du travail (CGT);
Vu l’avis paru au Journal officiel du 30 mars 2012;
Vu l’avis du Conseil national de l’emploi consulté le 15 mars 2012,
Arrête :
Art. 1er. − Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés mentionnés à l’article L. 5422-13 du code du travail, les dispositions de l’avenant no 1 du 3 février 2012 portant modificationde l’article 13 de la convention relative au contrat de sécurisation professionnelle du 19 juillet 2011.
Art. 2. − L’agrément des effets et sanctions de l’accord visé à l’article 1er est donné pour toute la durée de la convention du 19 juillet 2011 relative au contrat de sécurisation professionnelle.
Annexe - Conviennent de ce qui suit :
Article 1er
L’article 13 de la convention du 19 juillet 2011 relative au contrat de sécurisation professionnelle est modifié comme suit:
« Article 13
Au cours de son contrat de sécurisation professionnelle, le bénéficiaire peut réaliser des périodes d’activités professionnelles en entreprise, sous forme de contrat de travail à durée déterminée ou de contrat de travail temporaire d’une durée minimale de quatorze jours. Chaque contrat est renouvelable une fois avec le même employeur ou la même entreprise utilisatrice. Le cumul total de ces périodes d’activités professionnelles en entreprise peut être compris, au maximum, entre quatre et six mois. Pendant ces périodes, le bénéficiaire est salarié de l’entreprise ou de l’agence d’emploi et le versement de son allocation de sécurisation professionnelle est suspendu.
En cas de reprise d’emploi en contrat à durée indéterminée, en contrat à durée déterminée ou contrat de travail temporaire d’une durée de plus de trois mois, la rupture du contrat de travail pendant la période d’essai permet une reprise du contrat de sécurisation professionnelle et du versement de l’allocation de sécurisation professionnelle sans modification du terme fixé lors de l’adhésion au dispositif. »

Dodatok č 1-3 februára 2012, ktorým sa mení a dopĺňa článok 13 Dohovoru z 19. júla 2011 o zmluvnom zabezpečení odbornej (CSP)
Objekt
Realizácia pozmeňovacieho návrhu č 1 zo dňa 3. februára 2012, ktorým sa mení a dopĺňa článok 13 Dohovoru z 19. júla 2011 o zákazky na profesionálnej zabezpečenia. "Dokument vydaný pre činnosť po potvrdení podpisom vedúceho Riaditeľstvo Unédic". Viac...
L'insertion des jeunes sur le marché du travail
Note d'information - N° 12.09 - mai 2012 de la DEPP, Béatrice Le Rhun, DEPP A1, et Claude Minni, Dares. Avoir un diplôme, ne serait-ce que le diplôme national du brevet, permet une meilleure insertion professionnelle et continue de protéger du chômage. L'intégration des jeunes sur le marché du travail dépend également fortement de leur niveau de diplôme. Si ces disparités d'insertion professionnelle par diplôme existent quelle que soit la conjoncture, elles se sont accrues lors de la crise de 2008-2009. Télécharger la version imprimable "Insertion des jeunes sur le marché du travail: évolution récente du chômage selon le niveau de diplôme". Télécharger les données de la Note d’information "Insertion des jeunes sur le marché du travail: évolution récente du chômage selon le niveau de diplôme".
Sur dix jeunes terminant leur formation initiale à la fin des années 2000, deux ont au plus le brevet des collèges, quatre un diplôme du second cycle du secondaire et quatre un diplôme du supérieur.Entre 1978 et 2010, le taux d’activité des jeunes sortants diplômés du supérieur est assez stable, celui des diplômés du secondaire a baissé de trois points et celui des diplômés au plus du brevet des collèges de quinze points. Le taux d’activité des diplômés de l’enseignement supérieur est nettement plus élevé que celui des moins diplômés sur l’ensemble de la période et, conséquemment, leur taux de chômage plus faible.
Le diplôme protège ainsi du chômage, quel que soit le contexte conjoncturel. Cela se vérifie y compris en 2008-2009, années de mauvaise conjoncture économique. La hausse du taux de chômage entre le début 2008 et la fin 2009 des actifs récents diplômés du supérieur est de 5 points contre 10 points pour les diplômés du secondaire et 13 points pour les diplômés au plus du brevet des collèges.
Les actifs récents ont un taux de chômage plus élevé que les actifs plus anciens, en particulier lors de la conjoncture défavorable de 2008-2009
Les jeunes sont plus souvent au chômage que les actifs ayant plus d’ancienneté sur le marché du travail. Fin 2010, 19,5% des actifs récents qui ont terminé leur formation initiale entre 2006 et 2009, sont au chômage contre 11,4% entre cinq et dix ans après la fin de la formation initiale, et un niveau de 7,4% pour les actifs ayant plus de dix ans d’ancienneté. Ces écarts sont structurels: depuis 1975, le taux de chômage des actifs récents a toujours été nettement supérieur à celui des plus anciens.
Les variations conjoncturelles du taux de chômage entre début 2006 et fin 2010, en particulier avec la mauvaise conjoncture économique de 2008 et de début 2009 ont touché de façon synchrone tous les actifs quelle que soit leur ancienneté sur le marché du travail, mais ces mouvements conjoncturels ont été plus marqués pour les actifs récents que pour les plus anciens. Ainsi, du début 2008 à fin 2009 (respectivement de fin 2009 à fin 2010), le taux de chômage de un à quatre ans après la fin des études a augmenté de 7,4 points (respectivement diminué de 1,5 point), tandis qu’au-delà de dix ans d’ancienneté la hausse n’a été que de 1,9 point (respectivement est stable).
Voir aussi à l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE): Bilan Formation-emploi: données sur les relations entre le système de formation et l'emploi, regroupées en 3 thèmes: l'école et ses sortants, l'insertion des jeunes et la formation tout au long de la vie.
Information Note - No 12.09 - May 2012 of the DEPP, Beatrice Le Rhun, DEPP A1, and Claude Minni, Dares. Have a diploma, even if the national brevet diploma, allows for better employability and continuous protect unemployment. The integration of youth into the labor market also depends strongly on their level of education. If these disparities by graduate employability exist regardless of the situation, they have increased during the 2008-2009 crisis. Download printable version "Helping Young People on the labor market: recent evolution of unemployment by level degree". Download Data of Rating Information "Entry of young people on the labor market: recent developments of unemployment by level of education". More...
Un CIO propose des prestations adultes

Prestations Adultes
Validation des Acquis de l'Expérience (VAE).
Conseillers VAE : Claire Obeler (en charge du Point Relais Conseil), Corinne Bellet.
Validation des Acquis de l'Expérience (VAE)Transformez votre expérience en diplôme!
La VAE permet de faire valider les acquis de son expérience en vue d’obtenir autrement que par la formation, une certification (diplôme, titre professionnel, certificat de qualification). Elle s’adresse à tous sans condition d’âge, de niveau ou de statut que vous soyez avec ou sans qualification reconnue, désirant en acquérir une, la compléter ou l'adapter. Votre activité, qui doit être (ou avoir été) en rapport avec le diplôme ou titre à finalité professionnelle pour lequel la demande a été déposée, peut avoir ou non été continue, à temps plein ou temps partiel.
Bilan de compétences.
Conseillers Bilan : Sylvie Pruvot-Seguy, Romain Hannier, Michel Amiri
Espace bilan de SAINT-QUENTIN - CIO 38 bis, boulevard Gambetta 02100 SAINT-QUENTIN. Tel 03.23.64.27.77.
Espace Bilan CIO GRETALe bilan de compétences permet à un salarié de faire le point sur ses compétences, aptitudes et motivations et de définir un projet professionnel ou de formation.
Réalisé par un prestataire extérieur à l’entreprise, selon des étapes bien précises, le bilan de compétences peut être décidé par l’employeur ou mis en œuvre à l’initiative du salarié, dans le cadre d’un congé spécifique.
Le bilan sert à:
- analyser ses compétences professionnelles et personnelles,
- définir un projet professionnel,
- vérifier ses aptitudes et motivations par rapport à ce projet,
- prévoir les principales étapes de la mise en œuvre du projet,
- envisager la meilleure stratégie de réalisation. C’est une démarche volontaire et active, accompagnée en toute confidentialité par les conseillers des Espaces bilan.
Un cadre réglementaire précis définit le bilan de compétences ou le bilan professionnel. Pour les salariés du secteur privé, c’est la loi 91-1405 du 31 décembre 1991 et celle du 4 mai 2004. Pour les agents de l’Etat, c’est l’arrêté du 7 janvier 1997 et pour les personnels de la fonction publique hospitalière, c’est le décret du 1er août 2003. En général, le droit au bilan de compétences peut s’exercer dans le cadre du congé bilan, du plan de formation ou du droit individuel à la formation
Les conditions dans lesquelles les fonctionnaires de l’Etat peuvent bénéficier d’un bilan de compétences sont précisées par le décret n° 2007-1470 du 15 octobre 2007 (JO du 16).

Adult Services
Validation of Acquired Experience (VAE).
VAE advisors: Claire Obeler (in charge of the Council Relay Point), Corinne Bellet.
Validation of Acquired Experience (VAE) Turn your experience degree!
VAE can validate the achievements of his experience to obtain other than by training, a certification (diploma, professional title, certificate of qualification). More...
Did Federal Aid Break the Education Market?

George Leef, writing for The John William Pope Center For Higher Education Policy, contends that federal student aid has failed the US education sector and has resulted in students learning less than they used to while paying much more in costs.
The federal government’s major student aid programs began as part of President Johnson’s Great Society in 1955. The reasoning was that as graduation improved the economic worth of an individual to the nation as well as themselves so by subsidizing the cost of education and making it affordable to more people the nation would benefit.
- Opposition to federal student aid was negligible. The idea sounded so good.
Leef argues that the practical experience of and result from the federal aid program has been much different than expected with several unforeseen negative side effects.
- If President Johnson had said, “Let’s subsidize students to go to college so that colleges can charge much more and students can decrease their learning effort,” he would have gotten no support for the legislation. Nevertheless, it seems that we have achieved both of those undesirable outcomes.
Leef’s idea is not new. In 1987, quarter of a century ago, the Secretary of Education at the time, William Bennett, argued that a combination of the federal student aid program and greedy colleges exploiting the system were responsible for the rising cost of tuition.
Leef’s commentary comes after a recent paper by Andrew Gillen and published by the Center for College Affordability and Productivity, called ‘Introducing the Bennett Hypothesis 2.0’. Gillen argues that the original hypothesis that federal aid enables colleges to increase charges was correct. He also refines the hypothesis to state that not all aid is created equal. For example federal aid specifically targeted at low income student doesn’t lead to an overall increase in degree charges.
Gillen also explores the relationships between tuition caps and selectivity. Basically, if a school has a tuition limit set by the state government then the result of an increase in federal aid is simply that the school can be more selective of which students are admitted. However if no tuition cap exists and a school is also free to price discriminate amongst it students then there exists a recipe for revenue maximization.
Leef draws a comparison between the effect of federal interference in the housing market (where the results are now apparent) and federal interference in the education sector (where the results are becoming apparent).
- Prior to federal intervention in student aid, students in high school had strong incentives to excel so that they would have a chance at college if they wanted it. And because they paid most of the (much lower) cost, they took their studies more seriously if they eventually enrolled.
- The virtues of the old education system were undermined by easy federal money in exactly the same way easy federal money undermined the housing finance system.
An infographic Series on the current Crisis Facing Higher Education

In May 2011, Peter Thiel—PayPal co-founder, venture capitalist, and a member of Facebook's board of directors—predicted that higher education would be the next bubble to burst. According to Thiel, higher education in America bears the same markings as the technology and housing bubbles that preceded it: unbridled investment, wildly overvalued assets, and a lower rate of return than in years past. Like all economic bubbles, Thiel argues that higher education is destined for disaster. Thiel's remarks have generated a great deal of controversy: comparing universities and colleges to commercial markets seems simply preposterous to some. The idea, however, resonates with economists. Like real estate and technology, higher education is a major investment; the average education at a 4-year private college costs well over $100,000 in total.
Any major market requiring substantial investment can be analyzed in a similar framework: economic bubbles form when an investment becomes dramatically overvalued, and then burst when this unsustainable pattern reaches critical mass. At that point, investors realize they have paid too much for too little. According to Thiel, most
middle-class parents in America aspire to send their children to college. The media frenzy surrounding the jobs crisis for recent graduates implies that a college degree may not generate the same economic returns it once did. Investors, whether they are private banks or government-based lending groups, may be wondering how much they have overvalued higher education in America. When viewed through this lens, the higher education market has all the makings of an economic bubble on the verge of collapse.
This presentation by Education News gives you a more in-depth look at the economic state of America's higher education system. The data that economists have gathered—from skyrocketing tuition costs to the astonishing size of student loan debt—will tell you everything you need to know about this growing economic concern. Higher education may not be in a state of crisis yet, but it is an issue that deserves a closer look. Watch the video, read the infographics, and then decide for yourself: is higher education the next big bubble?
In part one of our infographic series, we break down exactly how an economic bubble forms, expands, and bursts. We compare the higher ed bubble to the housing bubble, and look at the first major contributor to college’s bubble behavior: the rising cost of tuition.
In part two, we analyze the second and third big factors in blowing up the higher ed bubble: the student loans crisis, and the unforgiving post-graduation job market. Finally, we give you advice on how to go to college and get a degree without getting burned.
Participez au chat sur l'emploi des seniors

France Télévisions, Pôle Emploi et la Cité des métiers vous invitent à participer au chat sur L'emploi des seniors le 25 mai de 14h30 à 16h30.
- comment trouver un emploi après la cinquantaine ?
- Existe-t-il des techniques de recherches d'emploi spécifiques aux seniors?
- Faut-il se reconvertir ou créer son entreprise?
Autant de questions auxquelles nos experts répondront!
- Philippe le Disert, Directeur des ressources humaines, CANNON
- Gilles Vitry, chargé de développement, FACE
- Brigitte USTAL-PIERIOU, consultante spécialiste de l’emploi des seniors, ANDRH
- Daniel BOUSSEYROUX, architecte
Exposez-nous dès maintenant votre situation et posez vos questions.
Suivez en direct par visioconférence la rencontre-débat et les réponses des experts.
Retrouvez dès maintenant, les conseils de la rédaction sur France 5 Emploi:
- Seniors: gérez votre employabilité http://emploi.france5.fr/.
- Femme et senior: la double discrimination? http://emploi.france5.fr/.
- Seniors, trouvez un emploi grâce au web http://emploi.france5.fr/. Participer au chat.

Frankrig Fjernsyn, jobcenter og de Cité des métiers inviterer dig til at deltage i chatten om Beskæftigelse af ældre 25 maj fra 14:30 til 16:30.
- Hvordan at finde et job efter 50?
- Er der nogen ledige søgeteknikker er specifikke for seniorer?
- Skal omskolet eller starte en virksomhed? Mere...
Geneviève Fioraso Fioraso au Cnrs - satisfactions et inquiétudes
La visite au Cnrs de la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Geneviève Fioraso, s'est terminée par un point de presse dont je reviens.
En résumé, la ministre a obtenu des membres du Conseil Scientifique du Cnrs interrogés un satisfecit très net sur sa méthode et le ton qu'elle emploie... mais des inquiétudes se font déjà jour sur la politique qu'elle pourra conduire...
Les deux mots principaux de son discours de la méthode furent "confiance" et "dialogue". La ministre veut ré-instaurer une relation de confiance entre le monde politique et celui des laboratoires, ainsi qu'entre ce dernier et les citoyens. Le premier couple signifie la fin des méthodes "brutales" de Nicolas Sarkozy, son discours "méprisant" du 22 janvier 2010, le refus de la mobilisation par la "provocation". Fioraso voit dans la visite d'hommage à Marie Curie de François Hollance la marque d'une confiance envers la recherche, les chercheurs, et leur capacité à aider la société à relever les défis d'un 21ème siècle qui verra la population mondiale «passer les 9 milliards d'habitants dans un monde où les ressources naturelles sont limitées et où les disparités entre pays sont trop fortes.»
Le second couple signifie pour elle la nécessité d'entretenir un dialogue continu sur les promesses comme sur les risques des technologies - elle a illustré ce point de vue dans son rapport à l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et techniques sur la biologie de synthèse (lire ici).
La ministre a donc commencé par verser du miel sur les cicatrices laissées par Nicolas Sarkozy. Le CNRS et les autres organismes de recherche verront leur rôle de «pilotage» dans la politique scientifique réaffirmé et les Unités mixtes de recherche (entre universités et organismes) seront remis dans leur place centrale. Elle annonce que les Assises de l'Enseignement supérieur et de la recherche, prévues pour fin octobre début novembre aboutiront à une «nouvelle loi cadre» qui remplacera la LRU. Elle annonce un «rééquilibrage des crédits» entre l'ANR et les crédits récurrents des laboratoires, comme une révision du rôle de l'AERES ainsi qu'une «simplification» des dispositifs visant à diminuer le temps perdu par les chercheurs à la «chasse aux crédits».
Ces propos, glisse Bruno Chaudret, le Président du Conseil scientifique du CNRS, lui ont bien sûr attiré un satisfecit général de ses interlocuteurs...
Autre source d'inquiétudes chez certains chercheurs et universitaires, la "coloration" de son cabinet. On y trouve Lionel Collet comme "dir-cab" - un poste qui, en général, n'est pourvu que sur autorisation, voire sur ordre, du Premier ministre - mais aussi Jacques Fontanille et Daniel Filâtre qui, à la Conférence des présidents d'universités, avaient plus joué la coopération avec Valérie Pécresse que la confrontation directe, ce qui leur avait été vivement reprochés par ceux qui manifestaient en 2009. La "réconciliation" voulue par Vincent Peillon (lire ici) tourne pour l'instant à la victoire d'une partie seulement. Article entier. Voir aussi l'article Geneviève Fioraso rend visite au CNRS.