The Money of Study Abroad

Most agree that studying abroad brings qualitative benefits for the students who go, the universities that receive them and the nations on both ends of the exchange. But it’s hard to monetize the value of increased mutual understanding, and considerably easier to calculate tuition and housing expenses. Delegations from 15 nations and the European Union -- which included every G8 country and representatives from every inhabited continent except Africa -- found common ground on the big-picture issues during the two-day conference convened by the Institute of International Education.
Everyone stands to benefit from a multilingual, globally aware, well-educated citizenry, delegates generally agreed. But variations, both ideological and logistical, emerged when discussing each nation’s goals with international education and the ways they finance those goals.
“The issue of mobility is becoming more of a challenge for universities and countries because funds are short and at the same students are becoming more and more demanding,” said Xavier Prats Monné, a delegate from the European Union.
The United States, for example, is a significant sender of students abroad and an even more significant recipient of foreign students. A few Americans who go abroad receive government assistance in the form of Fulbright or Gilman Scholarships, but most do so on their own dime with perhaps some help from a university. And while the U.S. government also gives Fulbrights to exceptional students coming into the country, many colleges count on foreigners to pay full sticker price and reinforce the institutions' coffers. Inside Higher Ed's 2011 survey of admissions officers revealed that international students are increasingly a target for colleges trying to balance their budgets.
Money is widely cited as the biggest barrier to students of all nationalities studying overseas, and also as a reason some countries and universities are eager to expand their international footprint. For a developing nation such as Malaysia, partnering with foreign colleges provides a means to improve the work force and strengthen the economy. Wealthier nations receive some of those same benefits when their students enroll abroad, but are also positioned to profit monetarily.
“Economic impact is different when you come from an emerging economy,” said Malaysia’s Siti Hamisah Tapsir, deputy director general of her nation’s ministry of higher education. Hamisah’s country is home to five branch campuses of universities in Britain and Australia, while some Malaysian universities have set up their own branch campuses in Africa or elsewhere in Asia. “International education helps us improve our education system,” she said.
But some bristle at the notion of international education being a moneymaker, while others just can’t afford a semester in London or Los Angeles. Speaking about both the high cost of college in other countries and the proliferation of English as the primary language of international learning, a member of the French delegation was critical.
“It’s one vision of the world and we are against this vision of the world,” said Béatrice Khaiat, deputy director of CampusFrance, an organization that promotes foreign study in France.
International students studying in France receive government-subsidized tuition along with housing benefits and social security. Public higher education in Brazil is free for anyone regardless of nationality. Germany doesn’t charge fees to its overseas students.
“The goal we have is to win friends for Germany,” said Sebastian Fohrbeck, director of the New York arm of the German Academic Exchange Service.
All three countries remain committed to attracting international students, saying there’s more to be gained from inviting foreigners than just a tuition check. That’s made those destinations more attractive to foreign students, one member of the Indonesian delegation said.
S'inscrire dans l'enseignement supérieur en France - les différentes procédures
Comment rejoindre un établissement français? Cela dépend de votre nationalité, de votre pays de résidence et de la nature des études envisagées.
Table des matières: Les différentes procédures. Pays d'Europe. Pays à procédure CEF: créez votre dossier, consultez votre dossier. Autres pays.
Les différentes procédures
Une procédure d'inscription en ligne obligatoire dans 31 pays
Dans une trentaine de pays, une procédure dématérialisée de candidature en ligne a été mise en place. Elle doit être obligatoirement suivie pour l'obtention du visa "étudiant". Dans les autres pays, vous entrerez directement en contact avec les établissements de votre choix.
Les pays concernés par la procédure CEF sont les suivants: Algérie, Argentine, Bénin, Brésil, Burkina Faso, Cameroun, Chili, Chine, Colombie, Congo Brazzaville, Corée du Sud, Côte d'Ivoire, Etats-Unis, Gabon, Guinée, Inde, Japon, Liban, Madagascar, Mali, Maroc, Maurice, Mexique, Pérou, Sénégal, Russie, Syrie, Taiwan, Tunisie, Turquie, Vietnam.
Rejoindre une université française en première année: la demande d'admission préalable (DAP)
Les étudiants titulaires d’un diplôme étranger de fin d’études secondaires qui souhaitent s’inscrire en première ou en deuxième année à l'université doivent impérativement faire une demande d’admission préalable (DAP) auprès du service culturel de l'Ambassade de France de leur pays de résidence. Dans la trentaine de pays cités ci-dessus, la procédure s'effectue à travers le dispositif obligatoire d'inscription en ligne. Dans tous les cas, cette procédure particulière débute en janvier de chaque année et obéit à un calendrier très strict.
Admission Post-bac
Ce dispositif obligatoire de pré-inscription en première année d’enseignement supérieur en ligne a été mis en place par le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR) pour simplifier les démarches des étudiants, en regroupant sur un seul site web la quasi-totalité des formations de l'enseignement supérieur (licence, DUT, BTS-BTSA, CPGE, écoles…).
Les étudiants étrangers (y compris les étudiants européens) sont également concernés par ce dispositif (qu'ils soient titulaires du bac français ou non) lorsqu'ils souhaitent rejoindre l'enseignement supérieur français en 1ère année au sein d'établissements non concernés par la DAP (demande d'admission préalable), comme les IUT, les STS, les CPGE, certaines écoles.
A noter: dans la trentaine de pays à procédure CEF cités ci-dessus, la demande d'admission au sein d'un IUT est effectuée directement via la procédure de candidature dématérialisée.
Le site APB est désormais ouvert aux pré-inscriptions dans les formations en apprentissage à tout élève qui en fait la demande, quelle que soit sa nationalité et son lieu de résidence. Il affiche désormais une information précise sur la liste des titres de séjour permettant aux candidats étrangers de conclure un contrat d'apprentissage afin de transformer cette pré-inscription en inscription définitive. Un guide spécifique pour le candidat étranger est disponible sur le site APB.
Pays à procédure CEF: créez votre dossier, consultez votre dossier.
S'inscrire dans l'enseignement supérieur en France à partir d'un pays à procédure CEF
La procédure CEF débute par la constitution d'un dossier électronique personnel. C'est une opération que vous pourrez mener à votre rythme et pour laquelle une participation financière vous sera demandée.
Le recours à la procédure CEF est obligatoire dans les pays suivants: Algérie, Argentine, Bénin, Brésil, Burkina Faso, Cameroun, Chili, Chine, Colombie, Congo Brazzaville, Corée du Sud, Côte d'Ivoire, Etats-Unis, Gabon, Guinée, Inde, Japon, Liban, Madagascar, Mali, Maroc, Maurice, Mexique, Pérou, Sénégal, Russie, Syrie, Taiwan, Tunisie, Turquie, Vietnam.
Il s’agit d’un dispositif qui permet au candidat à des études en France de bénéficier d’un appui et de conseils pour l’ensemble de ses démarches jusqu’à la demande de visa et de suivre l’évolution de son dossier électronique.
Le candidat ouvre un compte à partir du site internet CampusFrance de son pays de résidence et suit une procédure dématérialisée qui lui permet de formuler des demandes de formation et de dialoguer avec l’Espace CampusFrance de son pays et avec les établissements auprès desquels il sollicite une pré-inscription, dans le cadre d’une Demande d’Admission Préalable (DAP) ou non.
Dans les 31 pays à procédure CEF, l'Espace CampusFrance:
apporte en ligne au candidat de l’information, de l’aide à l’orientation et un dialogue grâce à une messagerie personnelle
facilite le passage des tests de langue
procède à un examen administratif du dossier du candidat et à l’authentification des diplômes
organise un entretien relatif au projet personnel de l’étudiant.
Le Service de coopération et d’action culturelle de l’Ambassade:
accède au dossier électronique de l’étudiant et au compte-rendu d’entretien
donne un avis en ligne sur le projet d’étude.
Les établissements d’enseignement supérieur adhérents à la convention CEF:
consultent le dossier de l’étudiant en ligne
accèdent au compte rendu d’entretien
demandent des informations complémentaires à l’Espace par le biais de la messagerie
sélectionnent le candidat
accordent une pré-inscription et communiquent en temps réel et en ligne la décision à l’étudiant et à l’Espace CampusFrance.
Le service consulaire:
consulte le dossier électronique du candidat
examine l’ensemble du dossier consulaire déposé par l’étudiant
décide de l’attribution du visa pour études
intègre sa décision dans le dossier électronique du candidat.
Le recours au second dispositif d'inscription en ligne, "Admission post bac" est obligatoire pour entrer en première année dans un établissement autre qu'une université ou un IUT, même en cas d'utilisation de la procédure CEF.
Autres pays
Vous résidez dans un pays où la procédure CEF n'a pas été mise en place, voici comment rejoindre l'enseignement supérieur français.
Comment s'inscrire dans un établissement français?
La quasi-totalité des établissements français disposent d'un site web (tous sont mentionnés dans notre catalogue), très utile pour nouer un premier contact.
Si vous souhaitez rejoindre l'enseignement supérieur français en 1ère et 2ème année de licence à l'université, en 1ère année commune aux études de santé (médecine, pharmacie, odontologie et sage-femme) ou en 1ère année dans une école nationale d'architecture, vous devez effectuer une demande d'admission préalable (DAP) auprès du service culturel de votre pays de résidence. Cette procédure particulière débute en janvier de chaque année et obéit à un calendrier très strict.
Le recours au dispositif d'inscription en ligne, "Admission post bac" est obligatoire dans tous les autres cas pour rejoindre l'enseignement supérieur français en 1ère année.
Si vous postulez en 2ème année ou plus, prenez directement contact avec le ou les établissements de votre choix en vue de votre inscription.
Faut-il contacter plusieurs établissements?
Il est conseillé de conduire simultanément au moins 3 demandes d'inscription auprès d'établissements différents quelle que soit la procédure suivie.
Vous devez savoir que certains établissements reçoivent beaucoup plus de demandes d'inscription qu'ils ne peuvent accueillir d'étudiants. Il existe toujours des solutions alternatives pour recevoir un enseignement de même qualité.
Quand répondent les établissements?
Les réponses des établissements peuvent s'étaler du 15 juin au 15 septembre pour un début des cours en octobre.
Il faut en tenir compte, car cela signifie que dans certains cas, vous n'aurez guère plus d'un mois pour préparer concrètement votre départ.
L'inscription définitive
A votre arrivée en France, vous effectuerez , comme tous les autres étudiants, la dernière démarche avant de rejoindre vos cours: l'inscription définitive, qui comporte à l'université un volet administratif et un volet pédagogique.
Votre établissement vous remettra alors un certificat de scolarité et une carte d'étudiant. Ces deux documents confirment votre statut juridique d'étudiant. La délivrance de ces documents se fait en main propre, généralement après paiement complet des droits d'inscription.
Pays d'Europe.
Pour les étudiants européens, pas besoin de visa ni de procédure complexe!
Ressortissants européens
Si vous êtes ressortissant d'un pays de l'Union européenne (UE ou de l'Espace économique européen (EEE), d'Andorre ou de Suisse, prenez directement contact avec le ou les établissements de votre choix en vue de votre inscription. Vous n'êtes soumis à aucune procédure particulière, pas même à l'obtention d'un visa pour rejoindre l'enseignement supérieur français au delà de la première année d'étude.
Si vous souhaitez rejoindre l'enseignement supérieur français en 1ère année, vous devez utiliser le dispositif obligatoire de pré-inscription en ligne "Admission post-bac" (APB), comme l'ensemble des étudiants français.
Autres étudiants résidant en Europe
Si vous résidez dans un pays de l'Union et que vous n'êtes pas ressortissant européen, c'est le consulat de France de votre pays de résidence vous accordera un visa "étudiant". Même si la procédure CEF est en vigueur dans votre pays d'origine, il n'est pas nécessaire d'y retourner pour rejoindre l'enseignement supérieur français.
How to join a French settlement, depends on your nationality, your country of residence and the nature of the proposed studies.
Contents: The different procedures. European countries. Countries CEF procedure: create your file, see your file. Other countries.
The various procedures
A procedure for mandatory online registration in 31 countries
In thirty countries, an electronic procedure online application was introduced. This procedure must be followed to obtain the "student" visa. In other countries, you will enter directly into contact with the institutions of your choice. More...
Promoting ethics in universities

Within a context of profound political and social transformations in the Arab region, the University Mohammed V - Souissi in Rabat (Morocco) recently initiated the design of a charter on ethics, “the most important values of which should permeate all university actors”. In support of this initiative, the Faculty of Educational Sciences decided to devote its Second Forum on Active Citizenship to "Ethics in Universities of Morocco", on 28–29 March 2012.
The event was inaugurated by Mr Radouane Mrabet, President of the University and Mr Abdesselam El Ouazzani, Dean of the Faculty of Educational Sciences. The debates focused mainly on the importance of ethical values in a context of political, social, and cultural change; on the position of the Moroccan university community concerning the issue; and on the role of universities in strengthening an ethical culture.
The President stressed the need to promote the role of Universities as "a place of consolidation and defence of values" in a context of economic, political, and social crisis. He described the early stages of development of an ethical charter, with the establishment of an ad-hoc committee on which key University stakeholders are represented.
Invited by the University, IIEP staff explained in detail the prerequisites for an effective application of ethical charts, founded on the key findings of its research on teacher codes of conduct. The Institute advocated for the involvement of both faculty and students at each stage of the charter’s development, and for the implementation of indispensable mechanisms to ensure its enforcement, such as creating an "ethical watch", dealing with complaints, training the actors, etc. Reference was made to ongoing initiatives in various universities, notably in Europe (Geneva) and North America (Ontario).
The discussions that followed the presentations were very lively, especially concerning the distinction between ethics and morals; the determination of the values with which the Moroccan academic community currently identifies; the definition of the legal status of ethical charters in light of existing regulations; the integration of ethical issues into certain university programmes; and the setting up of joint consultative mechanisms on these themes.
In conclusion, the Dean of the Faculty indicated his willingness to hold another Forum next year, in order to make a first assessment of the experience of the University in its elaboration of an ethical charter.
Contact:For more information, please contact Muriel Poisson. Links: See the Forum flyer (In French); IIEP website on Teacher codes of conduct.