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Formation Continue du Supérieur
2 janvier 2012

Las cifras de las letras. La inserción de los egresados de letras y humanidades

http://www.cereq.fr/extension/cereq/design/cereq/images/global/logo_cereq.gifStéphane Jugnot, Dominique Epiphane, Julien Calmand. Calificaciones y empleo, n° 77, 2011. Dentro de las ciencias humanas y sociales, los trayectos y las salidas laborales marcan una clara diferencia entre aquellos que han cursado estudios literarios y aquellos que han optado por el derecho, la economía y la administración. Aunque casi la mitad de los egresados de letras y humanidades (LCH) se dedican a la enseñanza, una parte no desdeñable de ellos trabaja sin embargo en el sector privado. Para estos últimos, las condiciones de trabajo son a menudo difíciles, ya que a las empresas les cuesta identificar y reconocer sus competencias. Download Las cifras de las letras. La inserción de los egresados de letras y humanidades.
El 2 de septiembre de 2009 se le encomendó al Consejo para el desarrollo de las humanidades y las ciencias sociales (CDHSS) «clarificar los objetivos de formación y de inserción de los egresados de las disciplinas de humanidades y ciencias sociales». El primer informe del consejo, publicado a principios de 2010, invita a «deshacerse de la idea de que las carreras de ciencias humanas y sociales conducirían, a diferencia de las otras ciencias, al desempleo». Subraya además que aunque la enseñanza representa una «significativa» salida laboral para los egresados de las ciencias humanas y sociales, existen otras fuentes de empleo no sólo en el sector público sino también en el privado. Sin embargo, la voluntad de los poderes públicos de valorizar las ciencias humanas y sociales dentro de la empresa no es nueva. Ya a partir de 1991, esta voluntad se había concretado con la creación de la Asociación nacional de valorización interdisciplinaria de las humanidades y sociales dentro de las empresas (ANVIE). En un momento en el cual las perspectivas de evolución del empleo público tienden a la reducción de efectivos, la cuestión de la salida laboral de los egresados de las humanidades y sociales en el sector privado adquiere más actualidad que nunca.
En 2004, de 306 000 jóvenes egresados de la formación inicial con un diploma de educación superior, 42 000 se habían graduado en letras y humanidades, 46 000 en derecho, ciencias económicas o administración y 25 000 en ciencias duras.
El estudio de los primeros años de vida activa de los jóvenes egresados de la formación inicial en 2004 muestra que el informe general del CDHSS debe ser matizado según las disciplinas. Tanto las condiciones de acceso al mercado de trabajo como los trayectos anteriores difieren mucho entre los graduados en derecho-economía-administración y los graduados en letras y humanidades (LCH). Download Las cifras de las letras. La inserción de los egresados de letras y humanidades.
1 janvier 2012

Les dernières universités passent à l'autonomie

Les EchosPar Isabelle Ficek. Au 1er janvier, près de 100% des universités se seront emparé de la LRU. Avec à la clé, nombre d'initiatives et de transformations, mais aussi d'inquiétudes sur les moyens, malgré une hausse inédite du budget en début de quinquennat.

Autonomie, acte IV. Au 1er janvier, avec huit nouvelles universités, près de 100% d'entre elles auront appliqué, un peu plus de quatre ans après son vote, la loi relative aux responsabilités et aux libertés des universités (LRU). Une réforme régulièrement mise en avant par l'exécutif comme une des transformations majeures du quinquennat. De fait, elle permet aux universités autonomes de gérer désormais leur masse salariale, leurs ressources humaines, leur budget global, voire, pour une poignée d'entre elles, leur patrimoine. Avec cette dernière vague, l'Etat aura transféré plus de 130500 emplois et une masse salariale de près de 8,3 milliards d'euros.
« L'autonomie a redonné de la souplesse, de la créativité et de la réactivité aux universités, politiquement, c'est un signe fort de confiance. Dans un contexte où elles sont un aspect majeur de notre compétitivité, on ne pouvait pas en rester au modèle du XIXe siècle », défend le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Laurent Wauquiez. Il souligne parmi les changements, le développement des partenariats à l'international, une meilleure coopération avec le monde économique, l'accent sur l'insertion professionnelle des étudiants ou encore une « approche plus imaginative de la formation » avec la multiplication de cursus croisés etc.
« L'autonomie a un coût »

La LRU a aussi poussé à innover dans la politique de ressources humaines et à accueillir plus facilement des professeurs étrangers. « Cela fait partie des réformes majeures et fondatrices sur lesquelles plus personne ne reviendra, veut croire Laurent Wauquiez. Les socialistes ont là-dessus clairement été archaïques. Aujourd'hui, les présidents d'université discutent du budget, du modèle, pas de l'autonomie. »
Mais c'est justement au sujet des moyens que la mise en oeuvre de la réforme a connu en novembre, un de ses accrocs majeurs, avec l'annonce par le ministère de la mise sous surveillance par les recteurs du budget de plusieurs établissements, après deux exercices successifs en déficit, en vertu d'un décret de 2008. Ceci, alors que le gouvernement met régulièrement en avant « une hausse sans précédent » du budget pour le secteur, (+23% en moyenne pour le fonctionnement des universités depuis 2007, selon le ministère). Ces déficits sont essentiellement liés au changement des règles comptables entraîné par l'autonomie, mais aussi à la gestion de la masse salariale, et notamment au GVT (glissement vieillesse technicité).
« Aujourd'hui, le problème de l'autonomie, qui est une très bonne chose et a permis de dynamiser les universités, est qu'elle a un coût, qui n'avait pas été prévu », relève Louis Vogel, président de la Conférence des présidents d'université (CPU).  « L'autonomie pourrait être victime de l'absence de moyens et de prévisions », avance-t-il. Il plaide pour la définition avec le ministère d'indicateurs clairs , notamment sur la masse salariale ou la formation des personnels, définissant qui finance quoi pour une meilleure visibilité. Pour Laurent Wauquiez, ces déficits ne doivent « pas être l'arbre qui cache la forêt, les présidents se sont révélés globalement de bons gestionnaires. On ne peut rattraper en un claquement de doigts trente ans de sous-investissement dans l'enseignement supérieur. Dans un contexte de rigueur, ce secteur reste notre priorité ».
Le ministre prévoit d'assouplir le décret de 2008 « trop rigide ». Il travaille aussi sur le système baptisé « Sympa », de répartition des dotations aux universités, pour plus de visibilité, avec un engagement pluriannuel. Si la CPU se dit ouverte au dialogue sur Sympa, en revanche, prévient Louis Vogel, face à un budget 2012 contraint - les dotations seront connues en janvier -, « nos universités restent moins bien dotées que la moyenne des pays développés. La CPU ne peut participer à un groupe de travail qui visera à répartir la pénurie. »
Quatre vagues successives

Après le vote de la LRU en août 2007, 18 universités pionnières sont passées à l'autonomie au 1er janvier 2009, suivies de 33 autres au 1er janvier 2010 puis 22 en 2011. Dernière vague au 1er janvier 2012 avec huit universités: Grenoble-3, Lille-3, Lyon-2, Montpellier-3, Paris-8, Paris-10, Perpignan, Université de Toulon et du Var. Celles de La Réunion et d'Antilles-Guyane le feront courant 2012 et celle de Polynésie, en 2013. Voir aussi Les universités françaises presque toutes autonomes au 1er janvier 2012.
Les EchosBy Isabelle Ficek. As of January 1, nearly 100% of universities will be taken over the LRU. With the key, number of initiatives and changes, but also concerns about how, despite an unprecedented increase in the budget at the beginning of the quinquennium. More...
1 janvier 2012

Schwedens Studiengebühren schrecken Ausländer ab

http://www.epapercatalog.com/images/zeit-online-epaper.jpgSchweden hat hohe Gebühren für Studenten aus Nicht-EU-Ländern eingeführt. Zwei Drittel der Bewerber traten ihren Studienplatz nicht an.
Keiner muss Studiengebühren zahlen: Das gehörte seit jeher in allen Ländern Skandinaviens zum politischen Konsens. Schweden brach in diesem Jahr erstmals mit diesem Grundsatz, auch unter dem Eindruck der Finanzkrise. Nur Studierende aus der EU sowie der Schweiz, Island, Norwegen und Liechtenstein dürfen dort noch gebührenfrei studieren. Alle anderen müssen nun Geld fürs Studium zahlen. Die Folgen sind beträchtlich. Nur ein Drittel der nicht europäischen Studierenden, die in diesem Jahr einen Platz an einer schwedischen Uni bekamen, nahmen diesen auch tatsächlich an. Der Rest sagte ab, ein viel größerer Anteil als in den vergangenen Jahren. Stammte 2010 noch einer von drei Studenten an schwedischen Hochschulen aus dem nicht-europäischen Ausland, war es 2011 nur noch einer von zehn. Das geht aus einer Studie der nationalen schwedischen Agentur für Hochschulbildung hervor, über die das Internetjournal University World News berichtet.
Unis fordern höhere Stipendien
Tatsächlich müssen nicht europäische Studierende für ein Bachelor- und ein Masterstudium in Schweden nun viel Geld zahlen. Pro Jahr betragen die Gebühren je nach Hochschule und Fach zwischen 80.000 und 140.000 Kronen, also etwa 9.000 bis 15.600 Euro. Für Medizin können die Gebühren sogar noch einmal deutlich höher liegen. Insgesamt hätten nur 1.350 Studierende von außerhalb Europas in diesem Jahr überhaupt einen Platz angenommen, heißt es in dem Bericht. 40 Prozent davon bekommen ein Stipendium für die Gebühren. Die begehrteste Uni war dabei die in Lund.
Allerdings hätten auch unter den Bewerbern, die ein Stipendium sicher gehabt hätten, ein Drittel den Studienplatz letzten Endes abgelehnt. Schweden müsse nun großzügigere Stipendien auflegen, mit denen auch die Lebenshaltungskosten gezahlt werden könnten, wird vonseiten der Hochschulen gefordert. Bei einer so hohen Absagequote sei der Rekrutierungsaufwand ansonsten "unverhältnismäßig hoch", heißt es.
Wie berichtet, haben im Zuge der Finanzkrise viele europäische Länder Studiengebühren eingeführt oder erhöht, um im Gegenzug bei den Staatsausgaben für die Wissenschaft zu kürzen. Beispiele sind etwa Großbritannien, das die Gebühren auf bis zu 9.000 Pfund (10.800 Euro) verdreifachte, oder Spanien.
1 janvier 2012

CSP - Circulaire 2011-36 du 9 Décembre 2011

http://www.unedic.org/images/site/mini/CSP.jpgDans le prolongement de l’accord national interprofessionnel du 31 mai 2011 et de la loi n°2011-893 du 28 juillet 2011 pour le développement de l’alternance et la sécurisation des parcours professionnels, les partenaires sociaux ont adopté la convention du 19 juillet 2011 relative au contrat de sécurisation professionnelle (CSP). La Direction des Affaires Juridiques (INST0033-TPE) vient de sortir la Circulaire 2011-36 du 9 Décembre 2011. Titre: Convention du 19 juillet 2011 relative au contrat de sécurisation professionnelle (CSP). Objet: Mise en oeuvre de la Convention du 19 juillet 2011 relative au contrat de sécurisation professionnelle. Télécharger la Circulaire 2011-36 du 9 Décembre 2011.
Extraits: La convention de reclassement personnalisée (CRP) et le contrat de sécurisation transition professionnelle (CTP) ont été remplacé, à compter du 1er septembre 2011, par le contrat de sécurisation professionnelle (CSP).
Ce dispositif institue un accompagnement personnalisé et renforcé dans les entreprises non soumises au congé de reclassement ainsi qu’une allocation spécifique. "Document émis pour action après validation par signature de la Direction de l'Unédic".
TITRE III: SITUATION DES BENEFICIAIRES AU TERME DU CSP

Lorsqu’au terme du CSP, le bénéficiaire n'a pas été reclassé, il peut bénéficier de l’ARE dès son inscription comme demandeur d’emploi (Conv. CSP du 19/07/11, art. 27).
1. PROCEDURE D’INSCRIPTION COMME DEMANDEUR D’EMPLOI

Si, au terme du CSP, l’intéressé n’a pas retrouvé un emploi, il doit s’inscrire comme demandeur d’emploi. S'il est immédiatement disponible comme demandeur d'emploi, il est inscrit dans la catégorie 1, 2 ou 3 de la liste des demandeurs d'emploi (C. trav., art. R. 5411-10). Le bénéficiaire qui n'a pas achevé sa formation inscrite dans le PSP, au terme du CSP, peut également s'inscrire comme demandeur d'emploi. Il est inscrit selon une formalité administrative simplifiée et reçoit une demande d'allocation simplifiée. Le délai de prescription prévu à l’article 38 § 1er du règlement général annexé à la Convention du 6 mai 2011 est applicable.
2. ELABORATION DU PPAE

Après le retour de la demande d'allocation simplifiée dûment complétée et signée, un projet personnalisé d’accès à l’emploi (PPAE) est élaboré conjointement par le demandeur d’emploi et Pôle emploi ou, le cas échéant, tout autre organisme participant au service public de l’emploi dans les conditions prévues aux articles L. 5411-6-1 et suivants du code du travail.
3. DROIT A L’ARE

Le paiement de l'ARE s'effectue à compter du jour où l'intéressé est inscrit comme demandeur d'emploi, sans différé d'indemnisation ni délai d’attente, et la durée d’indemnisation au titre de cette allocation est réduite du nombre de jours indemnisés au titre de l’ASP (Conv. CSP du 19/07/11, art. 27). Télécharger la Circulaire 2011-36 du 9 Décembre 2011.
Voir aussi Aides de Pôle emploi aux salariés en reconversion, Agrément de la convention du 19 juillet 2011 relative au CSP, Le contrat de sécurisation professionnelle, La réussite du CSP repose sur des partenariats locaux dynamiques et un pilotage national renforcé.
http://www.unedic.org/images/site/mini/CSP.jpg I kølvandet på den nationale tværfaglige aftale af 31. maj 2011 og lov nr. 2011-893 af 28. juli 2011 for udviklingen af ​​alternative og karriere sikkerhed, har arbejdsmarkedets parter har vedtaget konventionen af ​​19 juli 2011 på kontrakten sikkerhed professionelle (CSP). Direktoratet for Juridiske Anliggender (INST0033-TPE) har udgivet cirkulære 2011-36 af December 9, 2011 Title: konvention af 19. juli 2011 om kontrakten sikkerhed professionelle (CSP) Om: Gennemførelse af konventionen af 19. juli 2011 om fragtaftaler ved sikkerhedsarbejdet. Hent cirkulære 2011-36 af December 9, 2011. Se også Hjælpemidler beskæftigelse center for medarbejdere under efteruddannelse, godkendelse af konventionen af 19. juli 2011 på CSP, kontrakten sikkerhed virksomhed, er den succes CSP basert på lokale partnerskaber og en dynamisk national styring styrkes. Mere...
1 janvier 2012

Refonder l’alternance en formation

Par Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. Les différentes formes d’alternance (scolaire, sous contrat de travail ou sous statut de stagiaire) se sont surtout développées en France depuis les années 80. Elles connaissent aujourd’hui un palier qui ne sera pas dépassé par des procédures réglementaires ou budgétaires (par exemple la modification de l’usage de la taxe d’apprentissage). En se focalisant sur les formules organisées qui constituent la partie émergée de l’iceberg des processus informels d’apprentissage dans le travail on manque le cœur même de ce que l’alternance est supposée développer.

La phase post-taylorienne que nous connaissons depuis 30 ans a modifié profondément les univers de travail. Les organisations de travail sont devenues de plus en plus formatives, apprenantes et qualifiantes en résonance plus ou moins assumée avec l’effort éducatif entrepris dans les années 80. C’est en partant de ces processus que les organismes de formation devaient évoluer non pas comme éléments moteurs mais comme éléments accélérateurs, amplificateurs ou consolidateurs de ce qui se passait dans le travail en matière d’apprentissage et de développement des compétences! Or les concepteurs institutionnels des alternances sont partis de l’hypothèse inverse: le savoir professionnel se transmettrait au sein des organismes de formation dans un objectif d’application en situation de travail… Selon cette approche les processus de professionnalisation dépendraient d’abord de l’offre de formation!
Or en 30 ans les entreprises ont montré qu’elles avaient développé des processus d’apprentissage et de professionnalisation bien plus conséquents que l’apport classique des opérateurs de formation. En fait la stagnation des formules d’alternance découle d’une situation où les entreprises ont déjà résolu le problème d’intégration des nouveaux effectifs en combinant surqualification à l’embauche (effet de la massification scolaire et universitaire) et apprentissages informels!
Cette situation est-elle pour autant satisfaisante? Non du point de vue de celles et ceux qui ont échoué dans le système scolaire! La massification scolaire et universitaire (allongement des études pour les uns et stigmatisation/éviction pour les autres) a été conduite en dédouanant partiellement l’apport contributif du monde du travail à la formation professionnelle! On a donc procédé à une surestimation des apports de l’appareil de formation et une sous-estimation des apports de l’entreprise. Il n’y a guère à s’étonner des coûts induits d’une telle politique où on préfère additionner les processus en multipliant les redondances  que jouer sur leurs complémentarités!
L’heure n’est donc pas à l’augmentation des formules administratives d’alternance mais à l’appui et à  la régulation des processus d’apprentissage informels au sein des entreprises ce qui élargira de fait les espaces d’insertion et de professionnalisation des jeunes! Toutes les formules qui permettent d’associer des salariés en place à l’accueil, l’intégration et la professionnalisation des nouvelles générations doivent être privilégiées. L’entreprise et les lieux de travail doivent être réhabilités comme espaces (non pas uniques) d’apprentissage. La montée des réseaux sociaux liés à la diffusion de l’économie numérique est l’illustration flagrante du nouvel équilibre entre les lieux traditionnels de formation et les communautés professionnelles d’échange de savoirs. Aux organismes de formation de s’adapter à cette nouvelle donne en partant de ce qui se passe dans les entreprises afin de définir leurs apports spécifiques!
Cette mutation bouscule notamment la division fonctionnelle qui caractérisait les alternances où l’appareil de formation était le lieu de la pensée et de la théorie et l’entreprise le lieu des savoirs appliqués et pratiques. En réalité l’entreprise peut aussi contribuer à des consolidations théoriques et les organismes de formation peuvent initier ou consolider des compétences concrètes! Renforcer l’implication des entreprises dans l’effort de formation nécessite donc une rupture de fond avec les représentations réglementaires du monde…
Paul Santelmann, vedúci oddelenia prognóz v AFPA. Striedanie rôznych foriem (školy, na základe zmluvy alebo na základe skúšobnej stav) sa rozvíjalo predovšetkým vo Francúzsku od 80. rokov. Oni sú teraz zažíva úroveň, ktorá nebude ohromený fiškálne alebo právne postupy (napr. zmena využitia učebných dane). Svojim zameraním na formy, ktoré sa konajú špičkou ľadovca neformálnych učebných procesov v práci nám chýba srdci, čo sa má vyvíjať alternatívne. Po Taylorist poznáme 30 rokov výrazne zmenila svet práce. Organizácie práce, majú stále formovanie vzdelávania a kvalifikácie v rezonanciu s viac či menej predpokladá vzdelávacie úsilie vykonávané v 80. rokoch. Viac...
1 janvier 2012

« La Tête de l’emploi » au carré de Christian Charpy

http://lemonde-emploi.blog.lemonde.fr/files/2011/12/Charpy-T%C3%AAte-de-lemploi.jpgChristian Charpy, directeur depuis 2005 de Pôle emploi, opérateur et ordonnateur de la fusion entre l'ANPE et les Assedic en 2008, a quitté ses fonctions en décembre et a été remplacé par Jean Bassères, directeur de l'Inspection générale des finances. Une succession en trois temps: validée par le conseil d'administration de Pôle emploi le 2 décembre puis par les députés et sénateurs des commissions des Affaires sociales le 7 décembre et enfin par le conseil des ministres le 14 décembre.
Christian Charpy laisse un livre-témoignage intéressant – et pour le moins bien informé même s’il prend l’allure parfois d’un plaidoyer pro-domo -, paru le 8 septembre, de son expérience à la tête de l’organisme - La Tête de l’emploi - qui raconte les premières années d’existence de Pôle emploi. Après un historique du service d’indemnisation du chômage (ASSEDIC) et du service de placement des demandeurs d’emploi (ANPE), l’auteur raconte leur fusion – qui a rassemblé près de 50000 salariés - parsemée d’obstacles, de rebondissements, de pressions politiques, syndicales ou médiatiques.
Le démarrage apocalyptique s’effectue avec une grève de protestation du personnel contre la fusion, avec un manque de moyens patent et des luttes internes qui trouvent leur règlement avec le départ d’Annie Thomas et d’Alain Lecanu, représentants de la CFDT et de la CGC au sein du CA de Pôle emploi.
GUERRE DES TRANCHEES

C. Charpy rend compte des réformes mises en place – reconfiguration du réseau, accompagnement personnalisé, etc. -, des débats internes, par exemple sur la collaboration avec les services de police ou les sanctions (radiations, suspensions d’allocations, etc.). Pour Christian Charpy, « comment refuser de collaborer avec des services que l’on sollicite régulièrement en cas d’agression ». Autre crédo : « Pôle emploi ne [peut] assumer l’ensemble de l’accompagnement et il [est] nécessaire de faire appel à la cotraitance ou encore à la sous-traitance auprès de partenaires extérieurs ». Avant de rendre hommage à Christine Lagarde (« le sourire de la conciliation »), François Fillon ( «un soutien précieux») et Nicolas Sarkozy (« son discours sonnait juste (…). Même de nombreux syndicalistes ont apprécié cette visite »)!… qui tranche avec le climat de…. « guerre des tranchées » qu’il décrit tout au long de l’ouvrage qui ferait presque passer au second plan l’intérêt des demandeurs d’emploi! On y revient page 143… Avant de retrouver un chapitre consacré à «l’exposition médiatique» de Pôle emploi, permettant à l’auteur de régler son compte au livre de Marion Bergeron, 183 jours dans la barbarie ordinaire de Pôle emploi (Plon) qui, explique-t-il, ne rend pas justice à tous ceux qui « n’ont pas apprécié d’être traînés dans la boue alors que beaucoup ont le sentiment légitime d’exercer un métier utile, et porteur de sens ». Les salariés de Pôle emploi et les demandeurs d’emploi n’ont sans doute pas une même vision des choses.
Christian Charpy conclut en s’interrogeant sur ce qui aurait pu être mieux fait mais que le temps imparti à la fusion n’a pas permis, Pôle emploi se retrouvant victime d’un «volontarisme nécessaire». L’avenir enfin passe par moins de centralisation, une redéfinition de « ses missions, notamment en direction des entreprises», par le renforcement de l’accompagnement… et donc par des recrutements. Une façon de montrer l’exemple! La Tête de l’emploi. Pôle emploi raconté par son patron, de Christian Charpy. Tallandier, 208 pages, 14,90 euros.
http://lemonde-emploi.blog.lemonde.fr/files/2011/12/Charpy-T% C3% Aate de lemploi.jpg Christian Charpy, since 2005 director of employment center, operator and authorizing the merger of the ANPE and Assedic in 2008, resigned in December and was replaced by Jean Basseri, director of the General Inspectorate of Finance. A succession of three phases: approved by the Board of Directors on December 2 employment center and by the deputies and senators of the Social Affairs committee on December 7 and finally by the Cabinet on December 14.
Christian Charpy leaves a book interesting testimony - and the less well informed even if it sometimes takes the form of a plea pro domo, -, published September 8, from his experience as head of the body - the for the job - which tells the early years of employment center.
After a service history of unemployment benefits (ASSEDIC) and placement service for job seekers (ANPE), the author recounts their merger - which was attended by nearly 50,000 employees - full of obstacles, twists, from political, trade union or media. The start is made with an apocalyptic strike in protest against the merger of staff with a lack of clear and infighting that have their settlement with the departure of Annie Thomas and Alain Lecanu, representatives of the CFDT and GSC in the CA of employment center. More...
1 janvier 2012

Green studies: an unsustainable bubble

http://www.cereq.fr/var/plain_site/storage/images/publications/training-and-employment/green-studies-an-unsustainable-bubble/34225-1-fre-FR/Green-studies-an-unsustainable-bubble_large.pngBy Etienne Campens (Centre d’études et de recherche du groupe ESC Clermont, centre associé régional du Céreq pour la région Auvergne), Olivier Aznar (CEMAGREF, UMR Metafort, Aubière), Thibaud Mazerm (Centre d’études et de recherche du groupe ESC Clermont). Training and Employment, n° 95, 2011, download Green studies an unsustainable bubble.
Students completing environment-related courses are encountering greater difficulties in finding employment than their peers in other disciplines. The reason is that the supply of new graduates exceeds firms’ requirements. However, this general observation conceals differences depending on the level and content of the courses.
The growth in environmental and green jobs has not been sufficient to absorb the ever-increasing numbers of graduates in this area. In 2008 the number of jobs in environment-related activities totalled 405,000, an increase of 2.9% over 2007 compared with an increase of 0.6% for the French labour market as a whole. Despite the economic crisis, the sector has remained very dynamic: the number of jobs rose very rapidly by an average of 3% per year between 2004 and 2008, compared with a little less than 1% for the economy as a whole. Nevertheless, having declined between 2005 and 2007, the number of people seeking employment in environment-related activities rose again in 2008 (+1.8%), outstripping the general rise in the number of people seeking work (+ 0.7 %). In 2009, the deteriorating economic situation led to a sharp increase in the number of people seeking work in environment-related activities (+ 27 %).
At the same time, there has been a veritable explosion in the number of environment-related courses, which in turn has led to a massive influx of young graduates in this area into the labour market. In 2004, 10,700 young people completed environment-related courses; by the beginning of the academic year 2007-2008, no fewer than 50,000 students in schools and universities had registered for the final year of courses in the area. On graduation, these students further swelled the increasing numbers of people seeking environmental and green jobs, thereby reducing the likelihood of them finding employment. A real discrepancy is emerging between the aspirations of students and course designers, on one hand, and the reality of the labour market, on the other. Download Green studies an unsustainable bubble.
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