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Formation Continue du Supérieur
6 janvier 2012

Les employeurs boudent l'apprentissage

http://static.lentreprise.com/images/titles/lentreprise.com.pngPar Anne Bariet. Les PME ont l'intention de recruter moins d'apprentis en 2012 selon le quatrième baromètre annuel Apprentis d'Auteuil/Ipsos, rendu public, le 5 janvier. En cause: la crise, l'inadéquation des profils des candidats mais aussi l'opacité de son financement.
Mauvaise nouvelle pour Nadine Morano, ministre chargée de l'Apprentissage et de la Formation professionnelle. Alors que la réforme de la taxe d'apprentissage, qui porte le relèvement du quota d'alternants à 4% de l'effectif (contre 3% en 2011), est entrée en vigueur le 1er janvier 2012, le baromètre annuel Apprentis d'Auteuil/Ipsos (1) met à mal les intentions de l'exécutif. 40% des chefs d'entreprises interrogés prévoient d'avoir moins recours à l'apprentissage cette année. Cette décrue touche plus particulièrement les formations techniques de niveau 5 (CAP et BEP).
Difficile, dans ce contexte, d'espérer passer de 600 000 à 800 000 apprentis d'ici à 2015.
La crise est passée par là et avec elle les besoins de recrutements s'estompent. Mais la conjoncture économique n'explique pas tout. 54% des employeurs pointent également "l'inadéquation des profils des candidats "qui recouvre "l'insuffisante adaptation des apprentis au monde de l'entreprise" (29%) mais aussi le manque de candidats (25%). Ils dénoncent également la lourdeur de la charge salariale (22%) et la complexité administrative (15%).
Opacité.
Par ailleurs, le manque de transparence sur l'utilisation de la taxe d'apprentissage (0,5% de la masse salariale) est vivement critiqué. 71% des dirigeants ne connaissent pas très bien le fonctionnement de cet impôt qui peut pourtant être dispensé librement. Et plus d'un tiers ne sait pas à quel organisme collecteur est versée leur taxe. Pour Xavier Delattre, directeur des ressources à Apprentis d'Auteuil, "il sera sans doute nécessaire de réformer le montage de cette taxe, aujourd'hui extrêmement compliqué, pour concrétiser le lien des chefs d'entreprise avec l'apprentissage".
(1) Baromètre réalisé par téléphone entre le 28 novembre et le 7 décembre 2011 par l'Ipsos auprès de 301 dirigeants de PME de 1 à 499 salariés.
http://static.lentreprise.com/images/titles/lentreprise.com.png Af Anne Bariet. SMV'erne har til hensigt at ansætte færre lærlinge i 2012 i henhold til den fjerde årlige undersøgelse Lærlinge af Auteuil / Ipsos, udgivet den 5. januar. Årsagen til krisen, utilstrækkeligheden af profilerne af kandidaterne, men også opaciteten for dens finansiering. Dårlige nyheder for Nadine Morano, minister med ansvar for læring og uddannelse. Mens reformen af læretid skat, hvilket bringer stigningen i kvoten alternativ til 4% af arbejdsstyrken (mod 3% i 2011) trådte i kraft den 1. januar 2012, den årlige barometer Lærlinge af Auteuil/Ipsos undergraver intentionerne i den udøvende magt. Mere...
5 janvier 2012

STRATOM - stratégie territoriale pour les Outre-mer

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Stratom/51/2/logo_stratom_201512.79.jpgLa stratégie territoriale pour les Outre-mer (STRATOM) est une des premières séquences de mise en œuvre de la stratégie nationale de recherche et d'innovation (S.N.R.I.) à l'échelle territoriale. Elle aboutira à l'élaboration d'un référentiel partagé pour la stratégie territoriale ultramarine et facilitera la mise en cohérence des politiques publiques sur ces territoires. Télécharger la Brochure STRATOM.
Une vision de l'évolution des territoires

Dans le prolongement de la stratégie nationale de recherche et d'innovation (S.N.R.I), le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (M.E.S.R.) a engagé une réflexion à l'échelle territoriale. Objectif : projeter, à l'horizon 2020, une vision de l'évolution des territoires en matière d'enseignement supérieur et de recherche.
Cette projection vise notamment à fournir la référence nécessaire à la contractualisation des établissements d'enseignement supérieur et des organismes de recherche soutenus par l'Etat.
Vers un référentiel partagé pour la stratégie territoriale ultramarine

La réflexion stratégique concernant l'Outre-mer (STRATOM) figure au rang des premières séquences de mise en œuvre de la S.N.R.I. à l'échelle territoriale. Il s'agit d'élaborer un référentiel partagé pour la stratégie territoriale ultramarine et de faciliter la mise en cohérence des politiques publiques sur ces territoires.
La STRATOM s'appuie sur les travaux déjà effectués dans le cadre des Etats généraux de l'Outre-mer et des Stratégies régionales d'innovation. Elle s'inscrit dans le prolongement du Grenelle de la mer qui recommande de mobiliser la formation, la recherche et l'innovation pour tourner résolument l'Outre-mer vers son espace marin. Elle prend également en compte la demande territoriale en appui au développement exprimée par les schémas de développement économique.
Quelques points-clés

- Les attentes des acteurs ultra-marins sont fortes et la France, comme l’Union européenne, se doivent d’y répondre.
- Face à la complexité institutionnelle, la coordination entre les acteurs et l’exigence de qualité dans les choix pédagogiques, scientifiques et technologiques apparaissent comme les principaux leviers d’action pour développer les territoires d’Outre-mer.
- L’identification de nombreux enjeux communs aux différents territoires montre tout l’intérêt de la mise en place d’actions de recherche conjointes, capables d’améliorer la visibilité et par conséquence l’attractivité des territoires pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation.
- La mise en œuvre des propositions de la STRATOM doit être accompagnée, dans la durée, par les services de l’Etat et les opérateurs publics. Elle devra en outre s’appuyer sur des indicateurs de suivi qui seront validés en concertation avec les acteurs locaux.
Extraits
Les enjeux-clés pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation

Trouver l’équilibre entre offre de formation, accès à la formation et développement d’une recherche propre est rendu particulièrement difficile par la dispersion et l‘isolement géographique de ces territoires. Cela constitue un défi important pour les universités d’Outre-mer qui doivent offrir une formation en phase avec les aspirations des personnes et les besoins de l’économie locale, et s’appuyant sur des compétences en recherche. L’ouverture vers les pays voisins est une piste prometteuse pour répondre à cet enjeu.
Une évolution positive mais des efforts de structuration à poursuivre

Etat et collectivités affichent la même volonté de développer et de structurer le potentiel ultramarin. Cela s’est traduit, par exemple, par une augmentation de 33%, contre 22% en moyenne nationale, du budget de l’Université Antilles-Guyane qui réunit trois régions ou encore par un engagement des collectivités dans les infrastructures et les coopérations internationales.
Améliorer la coordination à tous les niveaux

L’université a vocation à animer une instance de coordination par territoire afin de définir des objectifs communs et plans d’action coordonnés ou mutualisés entre tous les acteurs, dont les alliances de recherche. Un référent outre-mer par organisme de recherche est souhaité sur chaque territoire. Les organismes membres d’une même alliance pourront choisir un référent commun pour faciliter la coordination.
Inscrire la recherche et l’enseignement supérieur dans la stratégie ultra-marine de l’Union européenne

La recherche et la formation doivent faire partie des priorités de la stratégie ultra-marine de l’Union Européenne. Une reconnaissance spécifique européenne du type « Pôle d’excellence ultra-marin » ou « Centre de connaissance RUP/PTOM » permettrait de relever leur attractivité, et de promouvoir les atouts uniques et la valeur ajoutée de ces territoires à l’échelle européenne.
Développer les coopérations internationales

Il convient d’élargir le périmètre d’influence des universités, en partenariat avec les organismes, vers le bassin régional ou les pays émergents ou les grandes nations scientifiques du voisinage Cette démarche d’ouverture est une clé pour la constitution de la masse critique.
L’Université de la Polynésie française a bien intégré cette prise en compte de la demande sociétale par la consultation des services territoriaux compétents. Les organismes de recherche effectuent des enquêtes auprès des professionnels et le gouvernement de la Polynésie française a mis en place des accords-cadres avec chacun des organismes de recherche présents sur le territoire.
Concernant l’Université de Nouvelle-Calédonie, le dialogue avec le gouvernement calédonien et les Provinces s’effectue au sein du Conseil d’administration et du Conseil scientifique de l’établissement. Le prochain plan quadriennal sera ainsi l’objet d’une concertation formalisée avec les collectivités territoriales.
Les îles Wallis et Futuna sont constituées de trois monarchies traditionnelles. Ce territoire n’héberge pas d’équipes universitaires ou de recherche, mais représente un terrain d’étude original en matière de biodiversité terrestre et marine et des perspectives de développement des ressources de la zone économique exclusive.
Dans le domaine des sciences humaines et sociales, une Fédération de recherche des sociétés de l’Océan Indien a été constituée au sein de l’Université de La Réunion.
La configuration spécifique de l’UAG, seule université française implantée dans trois régions (Martinique, Guadeloupe et Guyane), rend plus difficile la conciliation et le développement de ses missions ainsi que la prise en compte des besoins des trois régions où elle est implantée. L’existence nouvelle de Saint-Martin en tant qu’entité autonome ajoute un nouveau partenaire. Cette situation unique en France augmente le besoin de concertation et d’échanges entre l’université, les territoires et les établissements de recherche présents sur ces territoires (INRA, CIRAD, CEMAGREF, BRGM, IFREMER, MNHN, CNRS, IRD, Institut Pasteur, INSERM).
Ainsi, pour tenir compte des forces et des atouts propres à chacun des trois territoires et développer une stratégie d’ensemble qui renforce leur cohérence et leur complémentarité, l’UAG développe un projet original d’université pluri-territoriale. Le plan stratégique de l’UAG comporte 3 axes: biodiversité; territoires et société; santé et sport en environnement tropical. Le contrat quadriennal pose le principe d’un fonctionnement en 3 pôles, un par territoire. Le pôle Martinique de l'UAG possède une spécialisation de recherche en SHS et en médecine. La région Guadeloupe aspire quant à elle à une plus forte présence des sciences économiques et juridiques qui devrait se concrétiser avec le projet du camp Jacob à Basse-Terre.
La Guyane développe un partenariat fort avec le Brésil, comme le montre l’évolution du campus international de Montabo avec l’IRD et l’université fédérale de l’Etat brésilien de l’Amapa. La Guyane est appelée à devenir un pôle avancé pour la coopération de la France avec le Brésil.
D’une manière générale, l’UAG développe des masters conjoints avec plusieurs universités de la région Caraïbes et contribue à la diffusion de la langue française au coeur des Amériques. Elle s’est notamment mobilisée pour aider l’Université haïtienne et accueillir les étudiants de l’Institut Aimé-Césaire après le séisme de 2010.
Le développement des universités d’Outre-mer est une composante incontournable du développement économique des territoires. Il doit permettre la mise en place de parcours diversifiés et l’atteinte d’un équilibre entre une population d’enseignants chercheurs « sédentarisés » et l’accueil de chercheurs intervenant pour des missions de courte ou de moyenne durée apportant leur capacité d’action et des compétences scientifiques spécialisées. Les universités ont également un rôle fédérateur pour les forces de recherche en présence.
Sciences humaines et sociales

Les sciences humaines et sociales (SHS) sont présentes dans les Outre-mer comme secteur scientifique, et dans leur association aux autres disciplines. L’existence d’une dynamique propre aux SHS sur ces territoires est d’autant plus importante qu’elle participe à la compréhension des mondes îliens de l’intérieur même de ces sociétés, avec et auprès de ceux qui en orientent la destinée. Développer des recherches en SHS exige, là comme ailleurs, une réflexion de portée générale qui s’attache à des thématiques sans s’y enfermer. Les universités, points d’appui de l’implantation des SHS dans les Outre-mer, sont donc placées devant ce double enjeu, s’imposer comme référents dans quelques grands domaines scientifiques, et répondre aux besoins de leur environnement. Il importe donc de soutenir les pôles de référence en recherche fondamentale, en relation étroite avec l’évolution des disciplines, en permettant aux établissements d’acquérir ou de préserver leur visibilité scientifique, tant au plan national que dans leur zone d’influence régionale.
Les plateformes technologiques favorisent également la prise en compte des priorités de recherche du gouvernement de Polynésie française en développant, au quotidien, les interactions entre les personnels des services locaux qui y travaillent et les équipes scientifiques des organismes de recherche. Il en est ainsi de la plate-forme dédiée à l’aquaculture du Centre océanologique du Pacifique de l’IFREMER (COP) et de la plate-forme dédiée à la biodiversité intégrée au Centre polynésien de recherche et de valorisation de la biodiversité insulaire (CPRBI), associant étroitement l’Université de la Polynésie française, l’Institut Louis Malardé (ILM) et l’IRD.
Effectifs présents dans les Universités ultra-marines

La proportion (ratio = 2,95) de maîtres de conférence par rapport aux professeurs est nettement supérieure pour chacune des ces universités à la moyenne nationale qui est de 2,45. La proportion d’enseignants-chercheurs en Outre-mer partant en retraite dans les 10 prochaines années est relativement modeste par rapport à la moyenne nationale. Cela implique des opportunités de redéploiement relativement limitées.
La proportion d’heures complémentaires est supérieure à la moyenne nationale. Par exemple, l’Université de La Réunion requiert, en heures complémentaires, l’équivalent de 31 postes d’enseignants chercheurs, alors même que 44 postes lui sont déjà attribués en plus de la norme établie par les critères nationaux. Les caractéristiques des enseignements, centrés sur les formations courtes, nécessitent un encadrement renforcé. La pyramide de la population étudiante est déséquilibrée en faveur du niveau L (licence, DUT, BTS, CPGE, formations sociales et paramédicales), et les taux d’échec sont importants. L’insularité oblige à considérer un besoin d’adaptation rapide des formations aux besoins locaux, les débouchés de certaines filières pouvant devenir rapidement saturés. Cela accroît également la charge de travail des enseignants-chercheurs ultramarins.
Dans les universités, le nombre d’étudiants par personnel permanent financé par l’Etat est voisin de 15 soit environ 30% de plus que la moyenne nationale. Autre chiffre intéressant, le ratio population/personnel est voisin de 900 pour l’UAG et l’ULR, mais atteint 1300 pour l’UNC et dépasse 1500 pour l’UPF contre un peu plus de 500 au niveau national.
L’effectif total des personnels de recherche et d’enseignement supérieur, toutes catégories confondues, dépasse légèrement 3600 personnes, soit environ 1,6% du total des personnels employés par les universités et opérateurs publics en France (source OST, 2010). Pour mémoire, la population totale des territoires d’Outre-mer représente 4% de la population française.
Voir aussi Nouvelle nomenclature des Sciences de l'Homme et de la Société et STRATER PACA: Le projet STRATER a pour objectif de développer une vision territoriale du système d'enseignement supérieur, de recherche et d‘innovation à l'horizon 2020. Il vise donc à mieux articuler les stratégies des acteurs (Etat, collectivités), et des opérateurs (universités et organismes de recherche) au niveau d'un territoire (région, regroupement de régions, bassin économique).

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Stratom/51/2/logo_stratom_201512.79.jpg Územné stratégie pre zahraničné (STRATOM) je jedným z prvých sekvencií realizácie národnej stratégie pre výskum a inovácie (SNRI), na územnej úrovni. To povedie k rozvoju spoločného úložiska pre územné stratégie ultramarínové a uľahčiť súdržnosť verejných politík v týchto oblastiach. Stiahnite si katalóg STRATOM. Pozri tiež nové nomenklatúry humanitných a spoločnosť a strategicky PACA: strategický projekt si kladie za cieľ vytvoriť víziu územného systému vysokoškolského vzdelávania, výskumu a inovácií v roku 2020. Jeho cieľom je lepšie formulovať stratégie subjektov (štát, miestna) a operátorov (vysoké školy a výskumné organizácie) v území (región, zoskupenia regiónov, hospodárskeho priestoru). Viac...

5 janvier 2012

Accès des étudiants diplômés étrangers hautement qualifiés au marché du travail

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Etudiants/75/5/Etudiants-medecine_201755.54.jpgUne circulaire complémentaire doit préciser un certain nombre de critères en vue d'apprécier l'accès des ressortissants étrangers récemment diplômés au marché du travail français.
Claude Guéant, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, Laurent Wauquiez, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, et Xavier Bertrand, ministre du travail, de l'emploi et de la santé, ont tenu aujourd'hui une réunion avec les principaux responsables des universités et des grandes écoles françaises, pour faire le point sur la question de l'accès des ressortissants étrangers récemment diplômés au marché du travail français.
La circulaire du 31 mai 2011 est une instruction générale sur la politique d'immigration professionnelle, qui rappelle et commente le droit en vigueur sur ce sujet. Elle n'aborde que succinctement la situation des étrangers récemment diplômés.
Cependant, des élus et des présidents d'université et de grandes écoles ont signalé des cas d'étrangers récemment diplômés qui n'ont pas obtenu le titre de séjour leur permettant de travailler dans notre pays.
Afin de dissiper tout malentendu, les ministres ont donc décidé d'adresser aux préfets dès la semaine prochaine, une circulaire complémentaire, donnant les orientations applicables à la situation spécifique des diplômés étrangers hautement qualifiés, de niveau au moins égal au master 2, qui souhaitent acquérir en France une première expérience professionnelle, conformément à la loi en vigueur.
Cette circulaire complémentaire invitera les préfets à faire en sorte que la nécessaire maîtrise de l'immigration professionnelle ne se fasse pas au détriment de l'attractivité du système d'enseignement supérieur, ni des besoins de certaines de nos entreprises en compétences spécifiques de haut niveau.
Ainsi, cette instruction précisera explicitement que la connaissance approfondie d'un pays ou d'une culture étrangère peut constituer une compétence spécifique recherchée, par exemple pour la conquête d'un nouveau marché. Cela sera pris en compte dans l'appréciation des demandes de titres de séjour avec autorisation de travailler.
En effet, à l'occasion de cette réunion qui a donné lieu à des échanges fructueux, les ministres ont rappelé que la politique du Gouvernement poursuit deux objectifs:
- d'une part, permettre aux entreprises françaises, notamment celles qui sont exposées à la concurrence internationale, de recruter des cadres performants, quelle que soit leur nationalité, dès lors que ceux-ci disposent de compétences dont ces entreprises ne peuvent se passer;
- d'autre part, donner toutes ses chances à notre pays pour se développer malgré la crise. La situation de l'emploi dans notre pays justifie en effet la politique de limitation du flux de l'immigration professionnelle.
Les ministres ont également rappelé que le recours à l'immigration professionnelle ne doit pas couvrir des pratiques de "dumping social". Le recrutement d'un ressortissant étranger ne peut pas être un procédé visant à servir des salaires inférieurs au niveau du marché.
Ces instructions complémentaires réaffirmeront les principes de la politique d'accueil des étudiants étrangers dans notre pays. La France est un pays ouvert aux étudiants étrangers (58419 étudiants venant de pays non-européens ont été accueillis au cours des 11 premiers mois de l'année 2011, contre 50656 en 2009; le nombre de changements de statut a augmenté de 26% en 2011). Cet accueil s'inscrit dans une politique qui vise à privilégier les niveaux master et doctorat et à favoriser les "mobilités encadrées", c'est-à-dire les échanges entre établissements fondés sur une convention de partenariat.
Au total, la nouvelle circulaire qui sera envoyée aux préfets maintiendra un équilibre entre protection de l'emploi en France, d'une part, et attractivité et compétitivité, d'autre part.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Etudiants/75/5/Etudiants-medecine_201755.54.jpg A circular to further clarify a number of criteria in order to assess the access of foreign nationals recently graduated to the French labor market. Claude Gueant, Minister of the Interior, Overseas, local authorities and immigration, Laurent Wauquiez, Minister of Higher Education and Research, and Xavier Bertrand, Minister of Labour, the employment and health, today held a meeting with key universities and leading French schools, to review progress on the issue of access of foreign nationals recently graduated to the French labor market. The circular of May 31, 2011 is a policy statement on immigration policy work, reminiscent of and comments on the existing law on this subject. It addresses only briefly the situation of foreigners recently graduated.  However, elected officials and university presidents and high schools have reported cases of foreign graduates who have not obtained a residence permit allowing them to work in our country. More...
5 janvier 2012

Formation professionnelle des artistes auteurs

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Deux cotisations sont instituées pour le financement de la formation professionnelle des artistes auteurs: une contribution annuelle de 0,35% de leurs revenus et une contribution annuelle des diffuseurs de 0,1% assise sur les éléments mentionnés à l'article L382-4 du code de la sécurité sociale.
Pour gérer ces cotisations une section particulière sera créé à l'Afdas. Ces dispositions entreront en vigueur le 1er juillet 2012.
Loi de finances rectificative pour 2011 (art. 89).
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) To bidrag er etableret for at finansiere uddannelsen af kunstnere, forfattere : et årligt bidrag på 0,35% af deres indkomst og et årligt bidrag på 0,1% diffusorer sidder på de elementer, der er nævnt i artikel L382-4 i kodeks for social sikring.
For at håndtere disse bidrag vil være et særligt afsnit skabt Afdas.
Disse bestemmelser træder i kraft den 1. juli 2012. Mere...
4 janvier 2012

Peut-on cumuler DIF et CIF?

Même si la finalité de ces deux dispositifs est quelque peu différente, il est tout à fait possible de cumuler CIF et DIF. Dans les faits, il s’agira plus exactement d’utiliser ses droits au DIF (Droit individuel à la formation) pour co-financer son CIF (Congé individuel de formation).
- Petit rappel: via le DIF, il est possible de financer une action de formation de courte durée, soit 120 heures cumulable sur 6 ans maximum. L’accès au DIF se fait à l’initiative du salarié, avec accord de l’employeur. Il s’agit de formations opérationnelles, en lien avec le métier que l’on exerce.
Le CIF permet pour sa part la prise en charge d’une formation longue, diplômante, en vue d’une reconversion ou d’une évolution professionnelle. Sa prise en charge financière ne dépend pas de l’entreprise, même si celle-ci a l’obligation légale de contribuer indirectement à son financement via son Opca (Organisme paritaire collecteur agréé au titre de la formation professionnelle) ou Fongecif.
- Au final, qui décide? Ce sera à l’oganisme collecteur (Opca, Fongecif) de décider si oui ou non le salarié peut faire jouer un cumul DIF/CIF pour faire financer son CIF. Parmi les éléments qui entreront en compte dans la décision figurent les capacités de financement de l’organisme au moment de la demande, mais aussi la qualité du projet professionnel du salarié. Certains organismes fixent des règles concernant l’attribution prioritaire des financements au titre du CIF (salariés peu diplômés, salariés âgés de 45 ans et plus...).
Aj keď účel týchto zariadení je trochu odlišné, to je celkom možné zarobiť CIF a DIF. V skutočnosti to bude presnejšie, aby využila svoje právo DIF (individuálne právo na vzdelávanie), na spolufinancovanie svojich CIF (Individuálne študijné voľno). Viac...
3 janvier 2012

Obtention des certificats de spécialisation des avocats et formation continue

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)La liste des mentions de spécialisation en usage dans la profession d'avocat est modifiée. Pour obtenir un certificat de spécialisation, les avocats doivent suivre un entretien de validation des compétences professionnelles dont les modalités viennent d'être définies par arrêté du 28 décembre 2011.
Cet entretien devant le jury réuni par le centre régional de formation professionnelle aux avocats, consiste à vérifier, à partir du dossier de candidature transmis au Conseil national des barreaux, que les compétences professionnelles sont acquises dans le ou les domaines de spécialisation revendiqués. Il comprend une mise en situation professionnelle. La durée de l'entretien, qui se déroule en séance publique, est fixée à une heure.
Sauf dans certains cas, les titulaires d'un certificat de spécialisation doivent consacrer la moitié de la durée de leur formation continue à ce ou ces domaines de spécialisation. S'ils sont titulaires de deux certificats de spécialisation, ils doivent accomplir 10 heures au moins de formation dans chacun de ces domaines de spécialisation, soit 20 heures au cours d'une année civile et 40 heures au cours de deux années consécutives. Décret n° 2011-1985 du 28 décembre 2011.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) The list of specialist terms used in the legal profession is changed. To obtain a certificate of specialization, the lawyers must complete an interview validation of professional skills whose terms are to be defined by decree of December 28, 2011.
This interview before the panel convened by the regional center of professional training for lawyers, is to check, from the application submitted to the National Bar Council, the skills are acquired or claimed areas of expertise.
It includes a formal status. The duration of the interview, which takes place in public, is scheduled for one hour. More...
3 janvier 2012

Gestion de la formation continue des professionnels de santé

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Le développement professionnel continu constitue une obligation pour les professionnels de santé. Il a pour objectifs l'évaluation des pratiques professionnelles, le perfectionnement des connaissances, l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins ainsi que la prise en compte des priorités de santé publique et de la maîtrise médicalisée des dépenses de santé.
La gestion des sommes affectées au développement professionnel continu est assurée, pour l'ensemble des professions de santé (médecins,chirurgiens-dentistes, pharmaciens, sages-femmes et professions paramédicales), par un GIP (l'OGDPC : organisme gestionnaire du développement professionnel continu des professions de santé) chargé de déterminer les conditions d'indemnisation des professionnels de santé libéraux et des centres de santé conventionnés participant aux actions.
Un décret n° 2011-2113 du 30 décembre 2011 précise la composition des organes de gouvernance de ce GIP ainsi que ses modalités de financement. A la demande du ministre chargé de la santé, l'OGDPC pourra passer des marchés de prestations, notamment pour répondre à des besoins spécifiques urgents de santé publique.
Outre la déclaration d'activité comme organisme de formation continue, les personnes qui souhaitent mettre en œuvre des programmes de développement professionnel continu devront déposer une demande d'enregistrement auprès de l'OGDPC accompagné d'un dossier d'évaluation. L'évaluation des organismes portera sur leur capacité pédagogique et méthodologique, les qualités et références des intervenants et sur leur indépendance financière, notamment à l'égard des entreprises fabriquant ou distribuant les produits de santé.
Cinq décrets fixent le contenu, l'organisation et le contrôle de l'obligation individuelle de développement professionnel continu des professionnels de santé paramédicaux , des chirurgiens-dentistes, des médecins, les sages-femmes  et des pharmaciens.
Les programmes de formation reconnus par l'OGDP devront être conformes à une orientation nationale ou à une orientation régionale de développement professionnel continu.
Les programmes suivis par les professionnels de santé libéraux conventionnés et les professionnels de santé exerçant dans les centres de santé conventionnés seront pris en charge dans la limite d'un forfait.
Les organismes collecteurs agréés intervenant en faveur de professionnels de santé (FAF des professions médicales, ANFH...) devront transmettre à l'OGDPC un rapport d'exécution annuel de l'effort de développement professionnel continu mis en œuvre par leurs adhérents.
Des dispositions transitoires ont été fixées pour permettre la mise en place de cette nouvelle organisation qui entrera en vigueur avant le 30 avril 2012.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Fortsat faglig udvikling er en forpligtelse for sundhedsprofessionelle. Dens mål er evaluering af professionel praksis, viden udvikling, forbedre kvaliteten og sikkerheden af omsorg og omtanke for folkesundheden prioriteter og medicinsk kontrol af sundhedsudgifter.
Forvaltningen af ​​midler afsat til den fortsatte faglige udvikling bliver givet til det sundhedspersonale (læger, tandlæger, apotekere, jordemødre og allierede sundhed erhverv), en GIP (den OGDPC: organisation, der administrerer den faglige udvikling kontinuerlig sundhedspersonale) ansvaret for at fastlægge betingelserne for erstatning af private sundhedspersonale og sundhedscentre, som deltager i den aftalte aktiviteter.
Mere...
3 janvier 2012

VIRQUAL newsletter 6

http://virqual.up.pt/sites/default/files/fourseasons_logo.pngNetwork for integrating Virtual Mobility and European Qualification Framework in HE and CE Institutions
The project of this network proposes to help educational and training institutions to achieve Virtual Mobility and to guarantee EQF implementation through e-learning, aiming at finding specific obstacles in institutions and proposing concrete and innovative solutions. It will promote cooperation and joint work among partner organizations and will link with related initiatives. It will address other educational networks to help the dissemination of the results.
The project is organized in twelve workpackages that cover all activities of the project. The core group is composed by four subject interest groups (SIG) that address the main objectives of the network. Each SIG will research the selected themes, looking for what has been done and proposing answers for the research questions. Each SIG will also look for potential collaboration with other projects and initiatives that are working in similar areas.
Latest dissemination activities attended by the VIRQUAL consortium
VIRQUAL newsletter 6
The VIRQUAL partnership conducted a number of very successful dissemination activities at the recent S-ICT 2011 and 42th EUCEN Conferences, held respectively in Vienna and Genoa, in November. The main aspects concerning the VIRQUAL Model for virtual mobility were addressed both in the keynote and in specific workshops as well as in special panel discussions with stakeholders. Amongst others, it was addressed how the VIRQUAL model and guides contribute to help learners, institutions, companies and governments dealing with different scenarios of higher and continuous education organization and legislation implement student mobility at a large scale across Europe.
The debates concerning the ‘Institutional’, ´Teacher´ and ´Learner´ versions of the VIRQUAL guides were attended by several experts, teachers and learners who had the chance to have an in-depth look at the document and analyze the relevance of these tools in order to provide institutions with the capacity to improve transparency and facilitate virtual mobility. Participants concluded that this guide covers of the most significant aspects that arise when institutions deal with issues of student’s mobility. In this sense, they’ve all felt the VIRQUAL Model and Guide will indeed help institutions and teachers design new programmes and courses in a more friendly way to foster of virtual mobility across the old continent. Besides this, institutional representatives also remarked issues related with inter-institutional agreements (e.g., accreditation, validation and transparency) and are confirmed that those are some problems in implementing virtual mobility more widely. The same observations were made by participants in the Genoa Conference. It should be underpinned however, that participants at these roundtables all mentioned how decisive institutional commitment is for assuring the quality of the learning process, thus also assuring the credibility of the virtual mobility process. Tools supporting virtual mobility exist and it is just a question of applying the proper methods and procedures to facilitate mobility.
See also VIRQUAL newsletter 5, VIRQUAL newsletter 4.
3 janvier 2012

France: New circular to clarify foreign student rules

http://www.universityworldnews.com/layout/UW/images/logoUWorld.gifBy Jane Marshall. Interior Minister Claude Guéant is to issue a new circular next week specifically to cover employment of highly qualified foreign students. The move follows criticism from academics, employers, students and politicians over tightened restrictions on professional immigration that led to many non-European Union graduates being refused permission to stay and work in France.
After a meeting on Wednesday with higher education leaders, ministers announced that the police authorities responsible for dealing with visa and work permit applications would next week receive the new circular giving directions applicable to the specific situation of foreign graduates with at least a masters degree who wanted to acquire their first professional experience in France.
But student, educational and anti-racism representatives rejected the ministers' latest proposals, and promised to continue their opposition until the restrictions were withdrawn.
A previous circular published jointly by the ministries of the interior and of employment on 31 May 2011 required administrative authorities to treat applications for work permits, especially those from students, more rigorously. Guéant, its principal proponent, insisted that the circular merely repeated existing laws on the rights of foreigners to work in France.
But the three bodies representing presidents of universities (CPU), grandes écoles (CGE) and engineering schools (CDEFI), as well as employers' organisations, expressed anxieties when thousands of foreigners who had studied in France - and who would previously have been hired by French companies keen to use their employees' 'double culture' and language skills for their international activities - were refused residence and work permits.
Students' and lecturers' unions demanded withdrawal of the circular, and employers called for flexibility in its application.
Laurent Wauquiez, minister for higher education and research, and his predecessor Valérie Pécresse, stressed the government's wish to attract talented foreign students to educate a future international elite.
Prime Minister François Fillon wrote to the CPU, CGE, CDEFI and the employers' Association Française des Entreprises Privées in November, assuring them that France was "extremely attached" to its tradition of educating foreign students and that he had ordered a reexamination of some cases where graduates had been refused residence permits.
But in spite of his intervention La Tribune reported just before Christmas that the police authorities responsible for authorising visa and work permit applications were still zealously applying the restrictive circular.
Opposition and criticism continued. Medef, the employers' federation, described as "suicidal, these contradictory injunctions", and said that "France must remain an open and attractive country", reported La Tribune.
Students stepped up their demands for cancellation of the circular, and a petition was set up by a group of academics and intellectuals, including Nobel prize-winning physician Albert Fert, who condemned it as "morally inadmissible, politically dangerous and economically absurd".
Wauquiez said: "I don't want the French university to close its doors to foreign students, I find that ridiculous. We got it wrong, and we must say so clearly, about a circular which has given this impression, this image to the outside world."
Minister of Culture Fréderic Mitterrand said that, having spent his time welcoming foreigners, "this circular presents me with a problem".
Charles Givadinovitch, national secretary of the ruling UMP party in charge of insecurity and poverty, called on Guéant to annul the circular and condemned the "ridiculous situation where students and active young people educated in the French system in our universities and grandes écoles find themselves refused a work visa".
He also expressed anxiety at the "tarnished image of our country throughout the world caused by the effects of this circular. Many qualified students are questioning whether to come to study in France...So much for the [attractiveness] of our education system".
Faced with mounting academic and public opposition and growing disquiet within the government, on 23 December Guéant announced that he would publish a new circular on employment of foreign students, which would "supplement" the previous one and clear up misunderstandings.
On Wednesday Guéant, Wauquiez and Employment

In a joint statement following the meeting, the ministers said that to clear up any misunderstanding the police authorities would next week receive the complementary circular giving the directions applicable to the specific situation of highly qualified foreign graduates with at least a masters, who wished to acquire first professional experience in France.
The new circular would ask the police authorities to ensure the necessary control of professional immigration would not be to the detriment of the attractiveness of the higher education system, nor the needs of some companies for specific high-level skills. It would spell out that deep knowledge of a foreign country or culture could constitute a sought-after skill, for example when competing in a new market, said the statement.
But in response the student association Conféderation étudiante, unions SGEN-CFDT and UNSA Education, and SOS Racisme rejected the ministers' proposals. In a joint statement they said the ministers were continuing in their "discriminatory logic" and that the revision only clarified the existing circular. Their opposition would continue.
"Only the withdrawal, pure and simple, of the two measures penalising higher education, innovation and the French economy could satisfy us," they said.
The order to the police authorities concerned only 'high potential' students, and this was unacceptable because it reinforced discrimination between students, said the unions' statement.
2 janvier 2012

Formation des futurs apprentis sans employeur

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Un décret précise les conditions de formation en CFA, sous statut de stagiaire de la formation professionnelle, des jeunes qui souhaitent suivre une formation en apprentissage alors qu'ils n'ont pas trouvé d'employeur.
Lors des périodes normalement réservées à la formation en entreprise, le CFA doit organiser des stages professionnalisants en entreprise. Pour chacun de ces stages, une convention doit être signée entre le jeune (ou son représentant légal), le CFA et le représentant de l'entreprise accueillante. Cette convention fixe les dates de début et de fin de stage, précise ses objectifs, son programme et ses modalités d'organisation.
Un tuteur appartenant à l'entreprise et possédant la qualification professionnelle requise doit être désigné par le représentant de l'entreprise.
Les stages sont mis en œuvre, selon les cas, dans les mêmes conditions que pour les périodes en milieu professionnel des formations technologique ou professionnel (art. D. 331-15 du code de l'éducation ou R. 715-1-5 du code rural et de la pêche maritime). Décret n° 2011-2075 du 30 décembre 2011.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Vyhláška stanovuje požiadavky na odbornú prípravu v CFA žiak štatút odborného vzdelávania mladých ľudí, ktorí chcú vykonávať učňovského pretože nenašiel zamestnávateľa. Počas obdobia zvyčajne vyhradený pre firemné školenia, by CFA organizovať školenia v oblasti profesionalizácie podnikania. Pre každú z týchto fáz, musí byť podpísaná dohoda medzi mladými (alebo jeho zákonného zástupcu), CFA a zástupca spoločnosti príjemné. Táto dohoda stanovuje začiatok a koniec samozrejme vysvetľuje svoje ciele, svoj program a organizačné opatrenia. Viac...
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