Money Is Not Enough

It is not news that financial barriers don’t explain all of the differences in educational attainment across socioeconomic groups. There is extensive evidence that inadequate academic preparation, combined with low expectations and a discouraging history of past schooling experiences, often plays a large role. Nonetheless, we remain highly focused on dollars. One reason is because we know how to cure a lack of money. Give someone more and deliver it more simply. We don’t know how to cure the deeper social and educational problems–not for young children starting out and certainly not for older individuals who have already suffered from limited opportunities.
But another reason we focus so much on dollars is because we hesitate to be overly intrusive in people’s lives. Isn’t it paternalistic to force choices different from those people would make on their own? Isn’t it discriminatory to demand that low-income students follow pre-set paths not required of more privileged students whose parents pay for luxury along with education? But the number of students following unsuccessful educational paths is too high. Many make the mistake of not going to college at all because they don’t think they can afford it or find the idea of immediate earnings more enticing. But others enter inappropriate postsecondary programs in which they have little chance of succeeding. Many of these students borrow too much money and/or take loans with harsh terms they don’t understand.
Psychologists and behavioral economists have shown that people often fare better when their choices are limited, in contexts as different as shopping for groceries and selecting a retirement plan. The hands-off, you-are-an-independent-adult approach to college may not work so well even for students with college-experienced parents at home waiting to advise, but it surely is not working well enough for many first-generation and disadvantaged students. We can’t hope to give a student from a $25,000-a-year family enough money to put her on an equal footing with students from $150,000-a-year families who enter college with such strong educational backgrounds and such strong support (financial and other) from home that she is unlikely to catch up even if she manages to get through college. But we can do a better job of providing direction, academic and social support, and strong incentives for timely completion of quality credentials. We don’t know the perfect way to do this, but we know some promising strategies. These strategies cost money. The money to support these efforts may be more important to student success than a few extra dollars of no-strings-attached financial aid.
This is not an argument for less funding for financial aid. It is an argument for better-designed programs that provide at-risk students with more than just a little extra cash.
Le stage alterné: Une formule avantageuse

Une solution avantageuse
Toute société ou association peut devenir signataire d’une convention de stage en alternance, et ce quel que soit son effectif. La définition d’un stage pratique ne nécessite en effet aucune habilitation particulière. Toutefois, elles sont tenues de prendre en charge les frais de formation, la rémunération libre du stagiaire et/ou ses frais professionnels.
Elles bénéficient ainsi du crédit d’impôt formation dans le cadre de ses dépenses relatives à l’accueil d’un étudiant, soit une déduction des frais et indemnités de stage sur la taxe professionnelle. Cette convention permet également de pallier ponctuellement un manque d’effectif, voire de construire un réel plan de recrutement post-stage.
La signature de la convention de stage est tripartite: l’étudiant, l’entreprise et l’école s’accordent sur les conditions de formation du stagiaire, sa mission et sa rémunération éventuelle durant quatre mois minimum. Un tuteur est alors désigné et se doit pleinement à son rôle d’encadrement et de communication. Toutefois, qu’il soit en entreprise ou à l’école, le stagiaire dépend directement et exclusivement du chef d’établissement.
Moins cher qu'un apprenti
Depuis le début de l'année 2010, les stages en entreprises doivent obligatoirement être rémunérés si leur durée dépasse les 2 mois. L'indemnité minimale qu'un employeur doit verser est alors de 12% du plafond horaire fixé par la Sécurité Sociale, soit 30% du SMIC.
En cas d’accident de travail, le stagiaire, cotisant à la Sécurité sociale, est automatiquement pris en charge et couvert quels que soient les risques encourus en entreprise ou sur son trajet pour s’y rendre. En outre, il est libre, à tout moment, de changer d’entreprise sans être pour autant exclu des cours. Enfin, il bénéficie d’une grande partie de ses vacances scolaires…
Taxe d’apprentissage: essence essentielle des écoles

Ce changement se traduit par un manque à gagner pour les écoles, puisque seul le "quota" (destiné à financer les CFA et les contrats d’apprentissage proprement dits) pourra augmenter librement. "Dans un contexte de compétition mondiale où les universités américaines disposent de quinze fois plus de moyens que les écoles françaises, toute atteinte au financement des écoles les met en danger", alerte le délégué général de la Conférence des Grandes Ecoles (CGE), Pierre Aliphat.
Près de 15% du budget des écoles
La CGE, comme l’Assemblée des chambres françaises de commerce et d’industrie (ACFCI), estime que ces financements seront de plus en plus concentrés au niveau du CAP et BEP au détriment de l’enseignement supérieur, qui centralise aujourd’hui près de la moitié des formations en alternance…
Ce "barème" représente 10 à 15% du budget des écoles, voire 22% pour l’Essec. Un trésor de guerre, utilisé en (très grande) partie pour financer du matériel pédagogique et professionnel (y compris des photocopieurs, à l'exclusion de tout mobilier à usage administratif). Les établissements déploient donc tous les moyens possibles pour récolter le plus de taxe auprès des entreprises partenaires.
Des moyens somme toute limités, puisqu’ils se bornent à des prospections par téléphone et des plaquettes d’information envoyées aux employeurs ou téléchargeables sur le Net... En contrepartie, les "mécènes" peuvent organiser des séminaires au sein des établissements, participer à des colloques, et plus si affinités.
Une taxe incomprise
Mais une enquête menée par la CCI du Lot révèle une tendance à la perplexité des patrons. Les deux tiers des entreprises interrogées voient la taxe d’apprentissage comme un réel moyen d’apporter leur contribution au développement de la formation des jeunes. Cependant, 32% des entreprises pensent que ce dispositif est une taxe dont elles doivent s’acquitter mais dont elles ne voient pas l’intérêt, pour trois raisons : elles ne prennent pas d’apprentis dans leur structure, aucune section de formation n’existe dans leur domaine d’activité sur le département, le dispositif ne leur paraît pas assez transparent (pas de retour sur ce que deviennent concrètement les fonds une fois versés).
En attendant, c’est toujours aux dirigeants de prendre les devant, la plupart du temps. Sinon, il s’agit plutôt du cabinet comptable, du conjoint ou de l’assistant(e) administratif(ve). Depuis 2006, seuls les organismes collecteurs de la taxe d’apprentissage (OCTA) sont autorisés à collecter cette taxe d’apprentissage. Il est donc possible d’effectuer son versement par le biais d'un organisme collecteur de son choix (de type Chambre de Commerce et d’Industrie, fédération d’entreprise, syndicat professionnel,…) en précisant l’école bénéficiaire. Retrouvez la liste des organismes.
Modernisation de la directive européenne sur les qualifications professionnelles

Dans un communiqué, la Commission présente les principaux éléments de la proposition, parmi lesquels:
- L’introduction d’une carte professionnelle européenne offrira aux professionnels intéressés la possibilité de bénéficier d’une reconnaissance plus simple et plus rapide de leurs qualifications. Elle se présentera sous la forme d’un certificat électronique et permettra aux professionnels de fournir des services ou de s’établir dans un autre État membre.
- Un meilleur accès aux informations relatives à la reconnaissance des qualifications professionnelles grâce à la mise en place de guichets uniques, qui permettront à la fois d’obtenir des informations sur les documents requis pour la reconnaissance de leurs qualifications et d’effectuer toutes les procédures.
- La mise en place de cadres de formation communs et d’épreuves communes de formation.
Consulter la proposition de modernisation de la directive sur les qualifications professionnelles (directive 2005/36/CE).

De nouveaux OPACIF agréés à compter du 1er janvier 2012
pcassuto | 22 décembre, 2011 16:00
Dans le cadre de la la réforme des OPCA/OPACIF prévue par la loi Orientation Formation, l'ensemble des agréments en cours arrivent à échéance le 31 décembre prochain. Une première liste, complétée le 7 décembre, d'organismes agréés à partir de 2012 au titre du congé individuel de formation a été publiée.
Consulter la liste de tous les OPCACIF agréés par convention collective dont ceux qu'un nouvel arrêté vient d'ajouter:
- UNAGECIF (Union nationale des AGECIF, 19, place de la Lachambaudie, 75012 Paris) pour les entreprises à statut suivantes: Banque de France, Comptoir des entrepreneurs, Crédit foncier de France et organismes sociaux rattachés, la SNCF, la RATP, les entreprises des industries électriques et gazières adhérentes de l'association intersectorielle en employeur pour la mise en œuvre du CIF.
- FAFSEA (FAF des salariés des exploitations et entreprises agricoles) pour les professions agricoles (hors conchyliculture) et pour les entreprises de travaux forestiers et de prestations de services en forêt, les parcs et jardins zoologiques privés, les coopératives d'utilisation de matériels agricoles, les entreprises du rouissage teillage de lin, et les jardineries et graineteries.
- UNIFAF (FAF de la branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée à but non lucratif) pour les établissements relevant de la branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée à but non lucratif.
- UNIFORMATION (Organisme paritaire collecteur de l'économie sociale) pour les organismes d'aide à domicile ou de maintien à domicile, les organismes de travailleuses familiales, les associations d'aide à domicile en milieu rural, le secteur de l'animation, les organismes gestionnaires de FJT, les golfs, les secteurs du tourisme social et familial, de la mutualité et du sport, les ateliers et chantiers d'insertion, les missions locales et PAIO, les institutions de retraite complémentaire et de prévoyance, les salariés relevant d'employeurs indépendants (RSI), Pôle emploi, les acteurs du lien social et familial, centres sociaux et culturels, associations d'accueil de jeunes enfants, associations de développement, les sociétés coopératives d'HLM, les personnels PACT-ARIM, les conseils d'architecture d'urbanisme et de l'environnement, les organismes et particiens conseil de sécurité sociale et d'allocations familiales, les sociétés anonymes et fondations d'HLM, les régies de quartiers, et les organisations professionnelles de l'habitat social, personnels des offices publics de l'habitat.
Arrêté du 15 décembre 2011.
Osana reformist OPCA / OPACIF kohustuslikku Orientation Koolitus, kõik olemasolevad lepingud kaotavad kehtivuse 31. detsembril. Esimene nimekiri , lõpetatud 7. detsembril heakskiidetud organisatsioonid 2012 all eraldi koolituspäevad on avaldatud. Velle...
Les sites régionaux de la VAE
Le site vae.gouv.fr est complexe. Pour trouver les sites régionaux, sur la page d'accueil, il faut cliquer sur "Vous êtes un particulier", ensuite sur Comment se déroule une démarche de VAE, enfin, si l'usager public n'a pas encore décroché, il doit aller sur le lien L’information, le conseil et l’orientation, tout cela pour arriver à des données parfois inexactes. Voici ce qu'il est alors possible d'y trouver:
L’information, le conseil et l’orientation
Les Centres et les Points Information Conseil (PIC), placés sous la responsabilité des Conseils Régionaux, vous accueillent et vous informent sur la démarche de VAE.
Ils vous aident à:
- analyser la pertinence de votre projet VAE: ils vous réorientent, si besoin est, vers d'autres démarches (recherche d'emploi, bilan de compétences, etc.),
- vous repérer parmi l'offre de certification* (régionale et nationale),
- vous orienter auprès des certificateurs concernés,
- connaitre les possibilités de financement.
Les Centres et les Points Information Conseil, habilités par les Conseils régionaux, peuvent se trouver dans des structures déjà existantes comme les Agences locales pour l'Emploi, les Missions locales, les Centres d'Information et d'Orientation ou les Centres de Bilan de Compétences...
Si vous connaissez déjà la certification* que vous souhaitez obtenir par la VAE, vous pouvez vous adresser directement à l'organisme certificateur ou valideur concerné.
Recherchez le Point Information Conseil le plus proche de votre domicile. Liste des PIC par région (actualisée par nos soins-NDLR):

Au cours de sa vie, chacun peut avoir besoin d'obtenir un diplôme officiel.
1- pour faire évoluer sa carrière et préparer l'avenir
2- pour changer d'emploi ou de fonction
3- pour préparer une reconversion, sécuriser son avenir ou retrouver un emploi
4- pour négocier une évolution dans l'entreprise ou un meilleur salaire
5- pour faire reconnaître ses compétences, gagner en confiance
6- pour satisfaire un désir personnel
Le droit de faire valider les acquis de son expérience, notamment professionnelle, en vue de l'acquisition d'un diplôme, d'un titre à finalité professionnelle ou d'un certificat de qualification a été créé par la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002.
Ce droit concerne toute personne pouvant justifier de trois ans d'expérience professionnelle salariée, non salariée ou bénévole en rapport avec le contenu d’une certification accessible par la VAE.
La validation de l’expérience est ouverte à tous, quels que soient l’âge, la nationalité, le niveau de formation ou le statut : salariés, non-salariés, demandeurs d’emploi, bénévoles, agents de la fonction publique, personnes ayant exercé des responsabilités syndicales.

La Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) permet d'obtenir tout ou partie d'une certification professionnelle (un diplôme, un titre professionnel ou un certificat de qualification professionnelle) sur la base d'une expérience professionnelle salariée, non salariée (commerçant, conjoint collaborateur, profession libérale, agriculteur ou artisan...) et/ou bénévole (syndicale, associative).
Cette rubrique VAE s'adresse à toute personne à la recherche d'information sur la VAE : les principes, les conditions, les étapes à suivre, à qui s'adresser...

La VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) est un droit individuel, pour toute personne engagée dans la vie active. Plus qu’une possibilité, il s’agit d’un droit pour chacun-e de demander l’évaluation des acquis de son expérience afin d’obtenir un diplôme, titre ou certificat professionnel. La VAE constitue une voie d’acquisition d’une certification à visée professionnelle au même titre que la formation initiale, l’apprentissage et la formation professionnelle continue.

Cette rubrique a pour objectif:
- de fournir une première information sur le droit à la validation des acquis de l'expérience (VAE)
- de préciser les principales caractéristiques (personnes concernées, certifications accessibles,...),
- de fournir les coordonnées des Points Relais Conseils VAE de Bourgogne (structures chargées d'accueillir, de conseiller et de guider le public intéressé).

La Validation des Acquis de l'Expérience, c'est pouvoir obtenir un diplôme sans retourner à l'école. En Bretagne, plus de 15000 personnes ont transformé leur expérience en diplôme grâce à la VAE. Ce sont des demandeurs d'emploi, des salariés, des bénévoles,... Ils ont utilisé la VAE qui permet à toute personne pouvant attester d'une expérience d'au moins trois ans de faire reconnaître cette expérience. Parce que sur un CV, dans son parcours professionnel, ou pour sa propre fierté, un diplôme, ça compte. Quelque soit votre âge, quelque soit votre niveau scolaire, aujourd'hui l'expérience vaut diplôme!

Les expériences validables:
Vous avez au moins trois ans d'expérience professionnelle ou bénévole.
Votre activité doit être en rapport avec le diplôme ou titre à finalité professionnelle visé. Elle peut avoir ou non été continue, à temps plein ou temps partiel, dans une activité salariée, non salariée ou bénévole et doit être justifiée. Vous ne pouvez prendre en compte dans la durée d'expérience requise, les périodes de formation initiale ou continue, quel que soit votre statut ainsi que les stages ou périodes de formation en milieu professionnel effectué pour la préparation d'un diplôme ou d'un titre.

La charte d'accompagnement
Charte des services de l’Etat pour l’accompagnement des candidats à une certification professionnelle par la voie de la Validation des Acquis de l’Expérience
Vous êtes candidat à l’obtention d’un titre ou d’un diplôme professionnels par la voie de la VAE et votre demande a été déclarée recevable par le ministère certificateur concerné. Vous entrez maintenant dans une démarche de présentation de votre expérience qui sera soumise à un jury de validation. Pour vous aider dans cette démarche, vous pouvez bénéficier d’un accompagnement. Les ministères certificateurs vous proposent un dispositif d’accompagnement garantissant une même qualité des prestations sur l’ensemble du territoire...

Le parcours en validation des acquis de l'expérience est composé d’étapes clés indispensables à la réussite de votre projet. Ce schéma présente le cadre général que vous adapterez à vos besoins.
Nous vous proposons de découvrir en quelques clics ces étapes.

Quelque soit votre secteur d‘activités, l'âge ou le niveau de qualification de vos salariés, la VAE peut vous concerner. Pascale est DRH d‘une association d'aide à domicile, Jean-François accompagne ses collègues dans la VAE au sein de son entreprise... Tous ont trouvé un grand intérêt d'investir dans la VAE. Quelles sont leurs attentes? Qu‘est-ce qui a changé pour l'entreprise? Qui peut vous accompagner dans votre réflexion ? Pour celles et ceux qui se sont engagés dans une démarche de VAE, comment s‘est déroulé leur projet? Venez découvrir et partager leur avis et leur expérience de la VAE.

La VAE permet d’obtenir tout ou partie d’un diplôme ou titre à finalité professionnelle ou d’un certificat de qualification. Si la validation ne concerne qu’une partie de diplôme, titre ou certificat, le jury attribue des dispenses d’épreuves ou ne valide que la partie du diplôme correspondant aux compétences possédées. Elle permet également d’accéder à un cursus de formation, sans justifier du niveau d’études ou des diplômes et titres normalement requis.
Pour valider l'expérience, un jury indépendant évalue les savoirs et savoir-faire acquis (les compétences) dans la vie d'adulte. A la suite de cette évaluation, le jury attribue de tout ou partie du diplôme professionnel demandé, selon que les compétences acquises correspondent à la totalité ou à une partie des exigences demandées par le diplôme visé. Le jury évalue sur dossier ou par mise en situation, selon des modalités fixées par chaque valideur. Un entretien avec le jury est possible, à votre demande ou à celle du jury. Il est obligatoire pour les diplômes de l'enseignement supérieur. Un autre site est en construction: http://vaeguadeloupe.fr/.

Créé le 5 novembre 2003 à l'initiative conjointe de l'Etat et de la Région Guyane, le CRIEV est une structure filiale de l'ARIVADE (Agence Régionale d'Information sur la Validation des Acquis et pour le Développement de l'Emploi).
Il est en lien direct avec les structures de validation au niveau régional et dispose de toutes les informations utiles sur la mise en oeuvre de la VAE dans la région pour diffuser cette information régulièrement actualisée auprès des réseaux d'information des publics (ALE, CIO, Mission locale, ADI, OPCA, ANT, CRIJ, FONGECIF...) et informer, en tant que de besoin, l'ensemble des acteurs socio-économiques intéressés, afin de les aider à intégrer la VAE dans la gestion des ressources humaines et dans les politiques territoriales d'emploi et d'insertion.

Préparer son évaluation
Les modalités de validation de l’expérience peuvent être différentes selon l’organisme qui délivre la certification. Vous devez constituer un dossier écrit , il sera destiné au jury. Il comporte un ensemble de questions vous invitant à décrire au mieux vos activités en rapport avec la certification visée. Vos réponses permettront de mettre en relation vos compétences et celles qui sont exigées par le référentiel de la certification. Pour constituer ce dossier, vous pouvez bénéficier d'un accompagnement méthodologique. Renseignez-vous auprès des valideurs ou dans les Points Relais Conseil. Vous êtes évalués par une mise en situation, pour certains titres, notamment ceux délivrés par le Ministère Chargé de l'Emploi, les compétences sont évaluées en situation de travail (réelle ou reconstituée). Les conditions du contexte professionnel habituel sont respectées. Un temps de préparation (d'accompagnement ) est également proposé. Les deux formes d'évaluation peuvent être utilisées de façon concomitante, par certains certificateurs. L’accompagnement n’est pas obligatoire mais il est fortement conseillé. Il n’est pas évident de détailler, d’expliquer ce que l’on fait, ou de décrire les activités professionnelles que l’on a exercées.

La VAE produit des bénéfices partagés pour l’entreprise et ses salariés. Au-delà de la réponse obligatoire aux demandes individuelles de validation des acquis (congé VAE), l’entreprise peut utiliser cette disposition dans le cadre de sa politique de ressources humaines.
Elle peut ainsi favoriser les initiatives individuelles de ses salariés en organisant des réunions d’information collective sur la VAE, en soutenant ses salariés dans leur démarche en vue de la constitution des dossiers de recevabilité, voire de validation, en s’impliquant dans la dynamique d’accompagnement. Mais l’entreprise peut aussi utiliser cette disposition comme un outil de gestion de son capital « compétences » afin de trouver une réponse à ses besoins de qualification et proposer la mise en place d’une démarche collective de VAE visant des catégories ciblées de salariés.

La Loi du 17 janvier 2002 institue un nouveau droit individuel: celui de la Validation des Acquis de l'Expérience, c'est-à-dire la reconnaissance officielle de ces acquis à travers l'octroi d'un diplôme, d'un titre ou d'un certificat de qualification.Ce droit est inscrit désormais au Code du travail et au Code de l'éducation. Les compétences acquises par le travail sont reconnues au même titre que celles acquises par la formation: un diplôme peut désormais être délivré par la voie de la formation ou par Validation des Acquis de l'Expérience, « à égalité de dignité ». Toute personne engagée dans la vie active est en droit de faire valider les acquis de son expérience en vue de l'obtention d'un diplôme, titre à finalité professionnelle ou certificat de qualification de branche, sous deux conditions:
- justifier de 3 ans minimum d'expérience professionnelle,
- que la certification soit enregistrée au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP), créé par la loi pour que les actes de validation soient imputables.

Votre projet?
Une reconnaissance personnelle: Faire reconnaître votre qualification en vue d'une évolution professionnelle, se valoriser et être reconnu par l'entourage
Reprendre des études: Chercher à obtenir le niveau requis pour entrer dans une formation, raccourcir un parcours de formation
Passer un concours de la Fonction publique: La VAE peut permettre d'obtenir le niveau requis
Valoriser l'expérience acquise: Pendant la période d'emploi et obtenir de meilleure chance de se réinsérer dans l'emploi ou dans une formation, valoriser votre expérience comme salarié (é) ou bénévole
Créer une entreprise dans un secteur qui exige un diplôme spécifique: Vous travaillez déjà dans le domaine et vous souhaitez vous installer à votre compte
Changer de métier: Transformer votre expérience dans une activité autre que salariée (bénévolat) en diplôme pour une réorientation.

Pour les particuliers, la VAE peut vous aider à:
faire connaître vos savoir-faire
faire évoluer votre carrière
trouver un emploi ou accéder à un concours
reprendre des études en réduisant le temps et le coût de celle-ci
Pour les entreprises, la VAE peut vous aider à:
valoriser les savoirs acquis par le travail, et reconnaître le rôle formateur de l'entreprise.
développer de nouvelles stratégies de qualifications et parcours de professionnalisation.
optimiser les parcours et les coûts de la formation en identifiant les besoins réels de formation.

Il est maintenant possible, par la Validation des acquis de l’expérience (VAE), d’obtenir un diplôme en faisant valider les compétences que l’on a acquises par l’expérience, tout au long de sa vie, sans nécessairement avoir à suivre une formation.
Plus de 1000 lorrains, de tous niveaux, obtiennent ainsi un diplôme tous les ans.
La VAE est un formidable moyen de valoriser et de faire reconnaître sa qualification, et d’évoluer professionnellement. Ce site grand public vous apporte toutes les informations nécessaires à la construction de votre projet. Faites-vous cependant conseiller par les professionnels de la VAE, indiqués dans le site.
Pour une première information sur la VAE, n’hésitez pas à joindre notre N° Vert 0 800 800 814.

L'expérience permet de construire des savoirs et des compétences au même titre que la formation scolaire, la formation continue des adultes ou l'apprentissage. C'est la reconnaissance du caractère formateur du travail.
La Validation des Acquis de l'Expérience est un droit individuel qui permet de faire reconnaître ses connaissances, ses aptitudes et ses compétences acquises lors d'expériences professionnelles, afin d'obtenir tout ou partie d'une certification (diplôme, titre ou certificat de qualification professionnelle).

Bienvenue sur le Portail VAE de l'Enseignement Supérieur de Midi-Pyrénées.
Vous êtes engagé(e) dans la vie active et vous souhaitez faire valider les acquis de votre expérience en vue de l'obtention d'un diplôme délivré par un établissement d'enseignement supérieur de Midi-Pyrénées.
Le Point-relais conseil VAE Enseignement Supérieur, dont ce portail constitue l'entrée principale, se propose de vous aider dans votre recherche en amont des démarches que vous serez amené(e) à effectuer auprès de l'université ou l'école d'ingénieurs qui délivre le diplôme visé.
Ce portail a naturellement vocation à s'ouvrir aux autres établissements relevant de la même réglementation spécifique. Les autres points relais conseil de Midi-Pyrénées: http://www.cariforef-mp.asso.fr/.

La recevabilité
La personne qui souhaite faire valider les acquis de son expérience, pour obtenir une certification, doit faire sa demande auprès d’un organisme certificateur, c’est la première étape contractuelle appelée « demande de recevabilité ». A cette fin, la personne présente un dossier de candidature parfois appelé « livret de recevabilité » ou « Livret 1 ».
La décision de recevabilité est prononcée, après instruction et au vu des informations et des pièces justifiant du réel de son expérience.
Si la demande est déclarée recevable, la personne pourra faire une demande de validation en déposant un dossier de VAE (appelé parfois « Livret 2 ») dans lequel il aura à décrire son expérience.

La réunion d'information collective rassemble une vingtaine de personnes souhaitant disposer d'une information générale sur:
- Les grands principes de la Validation des Acquis de l'Expérience
- L'évolution législative autour du dispositif
- Les conditions d'accès
- Les certifications accessibles
- Les modalités d'évaluation des acquis
- L'accompagnement
- Les modalités de financement
- Les autres dispositifs d'aide à la mobilité professionnelle
- L'organisation régionale et les adresses utiles.

Le jury de VAE...
La composition du jury est fixée par la réglementation de la certification mais comprend obligatoirement des professionnels.
Le rôle du jury est de vérifier que les acquis dont le candidat fait état dans son dossier, correspondent aux compétences, aptitudes et connaissances exigées par le référentiel de la certification.
A l’issue de cette vérification, le jury se prononce pour une validation totale ou partielle.
Dans ce dernier cas, le candidat peut enrichir ses compétences manquantes par une expérience professionnelle complémentaire ou par la formation. Il dispose alors d’un délai de cinq ans pour les faire valider.

Validation des Acquis et Certifications
L’ARFTLV vous propose une sélection de ses outils et dossiers en ligne pour y accéder plus rapidement et suivre les dernières actualités.
Ce menu permet de mieux connaître les acteurs, les aides et les procédures de validation des acquis de l’expérience (VAE) en Poitou-Charentes. Il rassemble également toutes les informations utiles sur les certifications professionnelles accessibles par la VAE ou par la formation initiale ou continue.

Depuis janvier 2002, la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) permet d'obtenir tout ou partie d’une certification (Diplôme, Titre ou Certificat de Qualification Professionnelle) par une reconnaissance officielle de l'expérience professionnelle et/ou bénévole.
Afin de vous aider à concrétiser votre projet de VAE, nous vous proposons un choix d'informations multiples organisées autour des principes généraux, des différentes étapes, du financement et des certificateurs.

De la philosophie...
Créée en 2002, la Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) vise essentiellement à permettre à un plus grand nombre de citoyens d'accéder à la certification qui constitue un indicateur de qualification souvent exigé en France, lors d'un recrutement, lors d'une démarche d'évolution professionnelle ou même lors d'une inscription en formation. La VAE ouvre donc de nouvelles perspectives, en particulier, pour ceux ou celles qui travaillent depuis de nombreuses années mais n'ont pas eu la chance d'accéder à la « reconnaissance du diplôme ».
A la pratique...
La mise en pratique effective de ce dispositif suppose une organisation adaptée du processus de validation et de la diffusion d'information actualisée. Les destinataires de cette information sont principalement les professionnels qui accueillent et orientent les publics ou qui souhaitent faire de la VAE une opportunité nouvelle d'amélioration de la gestion des ressources humaines.
Centres and Points Information Council (PIC), under the responsibility of Regional Councils, will welcome you and inform you about the process of VAE.
They help you:
- Analyze the relevance of your project VAE: they redirect you if necessary, to other processes (job search, skills assessment, etc.).
- You find one offering certification * (regional and national)
- Refer you to the relevant certification
- Know the funding opportunities
Centres and Points Information Council, authorized by the regional councils, can be found in existing structures such as Local Agencies for Employment, Local Missions, Centres of Information and Guidance Centres or Review skills... If you already know * the certification you want to get the VAE, you can go directly to the certification body concerned or validator . More...