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Formation Continue du Supérieur
26 octobre 2011

Comment réussir un entretien collectif?

Aller a la home de France 5Rédigé par La rédaction. Si un entretien d'embauche en face à face avec un recruteur est un exercice difficile pour tout candidat, l'entretien collectif, appelé également entretien de groupe, peut s'avérer plus délicat encore. Conseils pour réussir à sortir du lot.
Pour recruter leurs futurs collaborateurs, certaines entreprises font passer des entretiens collectifs aux candidats. Contrairement à l'entretien d'embauche classique, où le recruteur reçoit un candidat à la fois en face à face, l'entretien collectif se déroule dans une salle de réunion et confronte plusieurs postulants… pour un même poste. Ce type d'entretien est utilisé en particulier quand le poste à pourvoir requiert des qualités relationnelles, le sens de la négociation, le goût du travail d'équipe ou du leadership. Les entretiens collectifs sont utilisés par exemple  dans le secteur de la grande distribution pour des profils de commerciaux, de managers, dans le secteur bancaire, ou de l'assurance…
Le principe de l'entretien de groupe
Le jour J de votre entretien d'embauche, vous trouverez dans la salle d'attente de l'entreprise une dizaine de candidats.  L'ensemble des postulants au poste seront réunis autour d'une table ronde. Ce type d'entretien dure en moyenne une trentaine de minutes. Au programme : débat autour d'un sujet ou mise en situation de travail de groupe (prendre une décision ou effectuer une tâche).
Généralement, l'employeur  débute par une présentation de l'entreprise et du poste à pourvoir. Ensuite, chaque candidat se présente lors du tour de table. Pensez à préparer une courte présentation orale de votre parcours et de vos compétences afin d'être clair et concis. Soyez souriant, posé, afin de faire montre de votre maîtrise du stress.
L'ensemble des candidats peuvent également être amené à travailler ensemble sur une question. Certes, les autres candidats sont vos concurrents pour le poste mais lors de cette mise en situation professionnelle vous devrez savoir travailler avec eux. Et éviter les conflits !
Ce que le recruteur attend
L'entretien collectif est une occasion pour le recruteur d'étudier le comportement des candidats, leur curiosité, leur aisance à s'exprimer en public, leur aptitude à négocier ou construire un argumentaire, leur gestion du stress. Sachez-vous démarquer en posant des questions, en montrant que vous avez fait l'effort préalable de vous informer sur l'entreprise et son activité.
L'employeur se place dans une position d'observateur afin d'évaluer le comportement des candidats au sein du groupe, de cerner leur personnalité. De fait, ne soyez ni trop offensif en voulant jouer les leaders, ni trop effacé et timide. Sachez écouter, entendre, dialoguer et échanger avec les autres candidats et ne monopoliser pas la parole. Le but n'est pas d'écraser les autres pour s'imposer mais de sortir du lot sans trop en faire.
L'entretien collectif est toujours suivi, pour ceux qui ont réussi cette étape, d'un entretien en tête-à-tête avec le recruteur, voire des tests.
Idź do domu France 5Piśmie. Jeśli twarz rozmowy kwalifikacyjnej w twarz z osobą rekrutującą do pracy jest trudnym zadaniem dla każdego kandydata, wywiad grupowy, zwany także wywiadu grupowego, może być jeszcze bardziej delikatna. Conseils pour réussir à sortir du lot. Porady z powodzeniem wyróżniać. Do rekrutacji przyszłych pracowników, niektóre firmy wydają wywiady grupowe dla kandydatów. Więcej...
26 octobre 2011

Initiatives d'excellence en formations innovantes: investir pour l'avenir des étudiants

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Investissements_d_avenir/94/7/IDEFI_Web_197947.79.jpgLaurent Wauquiez, Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, et René Ricol, Commissaire général à l'investissement, ont présenté au cours d'une réunion d'information, le nouvel appel à projets "Initiatives d'excellence en formations innovantes" (IDEFI).
Le 27 juin dernier le Président de la République a souhaité soutenir des projets emblématiques et innovants en matière de formation et compléter ainsi la dynamique des investissements d'avenir pour l'enseignement supérieur. Ces initiatives permettront de valoriser l'engagement des enseignants dans des projets de formation ambitieux et novateurs, au service de la réussite des étudiants.
L'appel à projets qui sera publié dans les tout prochains jours par l'Agence nationale de la recherche a vocation à soutenir un nombre limité d'initiatives ambitieuses, à la hauteur des meilleurs standards internationaux. Les projets devront préfigurer les formations universitaires du futur et promouvoir de nouvelles démarches de formation. Les innovations attendues se situent sur le plan de l'attractivité, y compris internationale, des étudiants, de leur employabilité, de la pluridisciplinarité, de l'ingénierie de formation, du lien avec la recherche, des partenariats conduits pour parvenir aux résultats attendus, y compris en termes d'égalité des chances et de variété des publics formés.
Ces "démonstrateurs" auront une portée exemplaire pour le système d'enseignement supérieur dans son ensemble.
Doté de 150 millions d'euros, l'appel à projets IDEFI permettra un soutien sur plusieurs années à vingt projets, au-delà des projets sélectionnés dans le cadre des Initiatives d'excellence. Il s'adresse à l'ensemble des établissements d'enseignement supérieur, universités et écoles, y compris ceux qui sont engagés dans une Initiative d'excellence (Idex); toutefois, les financements Idex et IDEFI ne seront pas cumulables.
L'appel à projets IDEFI, par le soutien qu'il apporte au développement de l'excellence en formation complète l'effort déjà entrepris en matière de recherche par les investissements d'avenir.
Comme dans les autres actions des investissements d'avenir, les projets seront évalués par un jury international qui examinera tout particulièrement:
    * l'ampleur du projet, son caractère stratégique et transformant,
    * le caractère novateur du projet,
    * le degré de mobilisation des acteurs et la qualité des partenariats tant au plan international qu'avec le monde socio-économique,
    * l'ambition en matière de réussite des étudiants.
Les projets devront être déposés avant le 19 décembre 2011 auprès de l'Agence nationale de la recherche. Les lauréats seront annoncés en février - mars 2012.
Laurent Wauquiez, kõrghariduse ja Teadusministeeriumi ning Rene Ricol volinik General investeerimiseks, esitletakse infokoosolek, uus projektikonkursi "algatused of Excellence uuenduslike koolitus "(IDEF).
27. juunil Vabariigi Presidendi soovisid toetada juhtprojektid ja uuenduslikke koolitus ja täielik ning dünaamika investeering tulevikku kõrgharidust.
Need algatused suurendada pühendumust õpetajate koolitusprojekte ambitsioonika ja innovatiivse teenistuses üliõpilane edu. Velle...
25 octobre 2011

Senior, un atout pour l'entreprise

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)En 2009, le taux d'emploi des seniors était de 39% en France, 34% en Poitou-charentes. Des chiffres très éloignés de ceux des autres pays de l'Union Européenne où il atteint 46%, et de l'objectif de 50% fixé à Lisbonne. Par ailleurs, la situation des demandeurs d'emploi seniors s'est dégradée: entre août 2010 et août 2011 le chômage des seniors a progressé de 12,6% et de 14,9% pour les longues durées.
Pourtant, en renonçant aux compétences et à l’expérience des seniors, les territoires et les entreprises se privent d’un atout décisif. La gestion des âges au travail est donc une condition de la prospérité économique de Poitou-Charentes. Quelle place pour les seniors dans nos entreprises, quels obstacles à leur insertion et quelles solutions pour valoriser et faciliter la place des seniors dans le monde du travail ? Le colloque "Senior, un atout pour l’entreprise" organisé le 13 octobre à Angoulême par la Préfecture de Poitou-Charentes avec l'appui de l'Afpa et de l'ARFTLV, prenait appui sur l’analyse des accords et des plans seniors déposés par les entreprises de plus de 50 salariés du département de la Charente. L’objectif de ce temps d’échange était de repérer les bonnes pratiques, mettre en exergue les solutions afin de les restituer aux entreprises, aux partenaires sociaux ainsi qu’à l’ensemble des acteurs socio-économiques du territoire régional. Consulter la brochure et la bibliographie de l'ARFTLV distribuées lors du colloque.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) In 2009, the employment rate of seniors was 39% in France, 34% in Poitou-Charentes. Figures far removed from those of other countries of the European Union where it reaches 46% and 50% target set in Lisbon. Moreover, the situation of the unemployed seniors has declined: between August 2010 and August 2011 unemployment of older workers increased by 12.6% and 14.9% for long periods. More...
25 octobre 2011

Liste des titres et diplômes français ouvrant droit à dispenses d’épreuves pour le DCG et le DSCG

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Global/83/2/bandeau-bo_179832.34.jpgNOR: ESRS1100266A, arrêté du 14-10-2011, ESR - DGESIP A3. Vu ordonnance n° 45-2138 du 19-9-1945 modifiée; décret n° 2006-1706 du 22-12-2006; arrêté du 26-3-2008; arrêté du 3-3-2010; avis de la commission consultative pour la formation professionnelle des experts-comptables
Article 1 - Les épreuves du diplôme de comptabilité et de gestion (DCG) et du diplôme supérieur de comptabilité et de gestion (DSCG) sont numérotées ainsi qu'il suit:
Épreuves du DCG:
- épreuve n° 1 : Introduction au droit ;

- épreuve n° 2 : Droit des sociétés ;
- épreuve n° 3 : Droit social ;
- épreuve n° 4 : Droit fiscal ;
- épreuve n° 5 : Économie ;
- épreuve n° 6 : Finance d'entreprise ;
- épreuve n° 7 : Management ;
- épreuve n° 8 : Systèmes d'information de gestion ;
- épreuve n° 9 : Introduction à la comptabilité ;
- épreuve n° 10 : Comptabilité approfondie ;
- épreuve n° 11 : Contrôle de gestion ;
- épreuve n° 12 : Anglais appliqué aux affaires ;
- épreuve n° 13 : Relations professionnelles.
Épreuves du DSCG :
- épreuve n° 1 : Gestion juridique, fiscale et sociale ;
- épreuve n° 2 : Finance ;
- épreuve n° 3 : Management et contrôle de gestion ;
- épreuve n° 4 : Comptabilité et audit ;
- épreuve n° 5 : Management des systèmes d'information ;
- épreuve n° 6 : Épreuve orale d'économie se déroulant partiellement en anglais ;
- épreuve n° 7 : Relations professionnelles.
Article 2 - Les dispenses d'épreuves prévues à l'article 10 du décret n° 2006-1706 du 22 décembre 2006 susvisé sont accordées aux candidats qui justifient des titres et diplômes suivants :
I - Certificats d'expertise comptable (ancien régime)
- Certificat d'études comptables, dispense des épreuves n° 8, 9, 12 du DCG.
- Certificat d'études économiques, dispenses des épreuves n° 5, 7, 12 du DCG.
- Certificat d'études juridiques, dispense des épreuves n° 1, 3, 12 du DCG.
- Certificat supérieur d'organisation et de gestion des entreprises, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Certificat supérieur de relations économiques européennes et internationales, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Certificat supérieur de révision comptable, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Certificat supérieur de traitement des données et informations, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Certificat supérieur juridique et fiscal, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Diplôme d'études comptables supérieures (régime 1963), dispense des épreuves n° 1, 3, 5, 6, 7, 8, 9, 12 du DCG.
II - Deug, DEUST, licences, maîtrises hors LMD
- Deug « administration économique et sociale », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 12 du DCG.
- Deug « droit », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 12 du DCG.
- Deug « économie et gestion », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 12 du DCG.
- Deug « ingénierie économique », IUP université Nice-Sophia-Antipolis, délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 8, 12 du DGC.
- Deug « mathématiques appliquées et sciences sociales », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 8, 12 du DCG.
- Deug « sciences économiques », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 12 du DCG.
- DEUST orienté vers la comptabilité, délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- DEUST « techniques juridiques fiscales et comptables », université Aix-Marseille 3, délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Licence « administration économique et sociale », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Licence « droit », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 12 du DCG.
- Licence « économie appliquée », université Paris 9, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 8, 12 du DCG.
- Licence « ès sciences économiques », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 8, 12 du DCG.
- Licence « mathématiques appliquées et sciences sociales », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 8, 12 du DCG.
- Maîtrise « administration économique et sociale », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « banque, finance, assurance », spécialité « industrie et finances internationales », université Paris 13, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « banque, finance, assurance », IUP université Paris 1, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « droit », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « droit privé », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 3, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « droit privé », mention « droit des affaires », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « droit public », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « échanges internationaux », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « économétrie », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « économie appliquée », université Paris 9, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 7, 8, 9, 12 du DCG et n° 5 du DSCG.
- Maîtrise « économie et gestion de l'entreprise », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « ès sciences économiques » ou maîtrise « sciences économiques », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « ingénierie économique », IUP université Nice-Sophia-Antipolis, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 7, 8, 9, 12 du DCG et n° 5 du DSCG.
- Maîtrise « juriste d'entreprise », IUP université Toulouse 1, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « management et gestion des entreprises, économiste d'entreprise », université de Nice-Sophia-Antipolis, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 7, 8, 9, 12 du DCG et n° 5 du DSCG.
- Maîtrise « management et gestion des entreprises », spécialité « ingénierie économique », IUP université Toulouse 1, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG et n° 5 du DSCG.
- Maîtrise « mathématiques appliquées et sciences sociales », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « méthodes informatiques appliquées à la gestion », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG et n° 5, 7 du DSCG.
- Maîtrise « sciences juridiques et politiques », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise « sciences politiques », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise de sciences de gestion, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 7, 8, 9, 12, 13 du DCG et n° 5, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences de gestion, université Bordeaux 4, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 7, 8, 9, 12, 13 du DCG et n° 5, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences de gestion, université Orléans, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 7, 8, 9, 12, 13 du DCG et n° 5, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « audit et gestion opérationnels de l'entreprise », université Lyon 2, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 2, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 12 du DCG et n° 5 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « économie d'entreprise », université Lille 2, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « économie d'entreprise », université Rennes 1, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 7, 8, 9, 12, 13 du DCG et n° 5, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques, toutes mentions juridiques, économiques, comptables ou de gestion, délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », délivrée jusqu'en 2007 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », université Bordeaux 4, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », université Caen, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », université Nice, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », université Orléans, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Maîtrise de sciences et techniques « comptables et financières », université Paris 12, délivrée jusqu'en 2008 inclus, dispense du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG. 
III - Capet, agrégation
- Capet (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique) D2 « techniques comptables », dispense du DCG et de l'épreuve n° 3 du DSCG.
- Capet (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique) économie et gestion option A économie et gestion administrative, dispense du DCG.
- Capet (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique) économie et gestion option B économie et gestion comptable, dispense du DCG et de l'épreuve n° 3 du DSCG.
- Capet (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique) économie et gestion option C économie et gestion commerciale, dispense du DCG.
- Capet (certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique) économie et gestion option D économie, informatique et gestion, dispense du DCG.
- Agrégation du second degré des techniques économiques de gestion, dispense du DCG et des épreuves n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Agrégation économie et gestion, option A économie et gestion administrative, dispense du DCG et des épreuves n° 3, 6, 7 du DSCG.
- Agrégation économie et gestion, option B économie et gestion comptable et financière, dispense du DCG et des épreuves n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Agrégation économie et gestion, option C économie et gestion commerciale, dispense du DCG et des épreuves n° 3, 6, 7 du DSCG.
- Agrégation économie et gestion, option D économie, informatique et gestion, dispense du DCG et des épreuves n° 3, 5, 6, 7 du DSCG.
IV - Certificat et diplômes du Cnam
- Certificat de premier cycle (CPC) de l'Intec, délivré jusqu'en 2010 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12 du DCG.
- Diplôme d'études financières et comptables (DEFC) de l'Intec, délivré jusqu'en 2010 inclus, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12 du DCG et de l'épreuve n° 5 du DSCG.
- Diplôme d'études supérieures (DES) de l'Intec, délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et des épreuves n° 5, 6, 7 du DSCG.
- Diplôme d'études supérieures économiques (DESE) « comptabilité et gestion », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 11, 12, 13 du DCG.
- Diplôme de gestion et de comptabilité (DGC) de l'Intec, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG.
- Diplôme supérieur de responsable comptable (DSC), délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 10, 11, 12 du DCG.
- Diplôme supérieur de responsable en gestion (DSG), délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 7, 8, 9, 12 du DCG.
- Diplôme supérieur de gestion et de comptabilité (DSGC) de l'Intec, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
V - BTS, DUT
- BTS spécialité « comptabilité », délivré jusqu'en 1964, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- BTS spécialité « comptabilité et gestion d'entreprise », délivré jusqu'en 1989, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- BTS spécialité « comptabilité et gestion », délivré jusqu'en 2002, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- BTS spécialité « comptabilité et gestion des organisations », dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 8, 9, 13 du DCG.
- DUT spécialité « administration des collectivités publiques et des entreprises », option « finances comptabilité », délivré jusqu'en 2007, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- DUT spécialité « carrières juridiques », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 9, 12 du DCG.
- DUT spécialité « gestion administrative et commerciale », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 5, 8, 9, 12 du DCG.
- DUT spécialité « gestion des entreprises et administrations », option « finances comptabilité », dispense des épreuves n° 1, 5, 6, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- DUT spécialité « gestion des entreprises et administrations », option « gestion et administration des petites et moyennes organisations », délivré jusqu'en 2007 inclus, dispense des épreuves n° 1, 5, 8, 9, 12, 13 du DCG.
- DUT spécialité « gestion des entreprises et administrations », option « petites et moyennes organisations », dispense des épreuves n° 1, 5, 7, 13 du DCG.
- DUT spécialité « gestion des entreprises et administrations », option « ressources humaines », dispense des épreuves n° 1, 3, 5, 13 du DCG.
VI - Diplôme national de master
- Master « droit, économie et gestion », mention « sciences du management et administration », spécialité « analyse et gestion financières », université Nancy 2, délivré jusqu'en 2010, dispense des épreuves n° 2, 3 du DSCG.
- Master « économie et gestion », mention « sciences du management », spécialité « contrôle de gestion », université Dijon, dispense des épreuves n° 3, 7 du DSCG.
- Master « économie et gestion », mention « sciences du management », spécialité « finance », université Dijon, délivré à compter de 2007, dispense des épreuves n° 2, 7 du DSCG.
- Master « économie et gestion », mention « sciences du management », spécialité « finance et pilotage des organisations », université Dijon, délivré en 2005 et 2006, dispense des épreuves n° 2, 7 du DSCG.µ
- Master « gestion », mention « sciences du management », spécialité « gestion financière et fiscalité », université Paris 1, dispense des épreuves n° 2, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), Cnam, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Aix-Marseille 3, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Amiens, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Angers, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Besançon (délivré à compter de 2010), dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Bordeaux 4, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Brest, délivré à compter de 2011, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Bretagne Sud, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Caen, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Clermont-Ferrand 1, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Dijon, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Évry-Val-d'Essonne, délivré à compter de 2012, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Grenoble 2, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Le Mans, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Lille 2, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Limoges, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Littotal-Côte-d'Opale, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Lyon 3, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Montpellier 1, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Nancy 2, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Nantes, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Nice, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Orléans, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 1, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 5, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris-Dauphine, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 10, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 11, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 12, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Paris 13, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Marne-la-Vallée, délivré à compter de 2011, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Pau, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Poitiers, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Reims, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Rennes 1, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université La Réunion, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Rouen, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Saint-Étienne, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Strasbourg 3, délivré jusqu'en 2008, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Strasbourg, délivré à compter de 2009, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Toulouse 1, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master mention ou spécialité « comptabilité, contrôle, audit » (CCA), université Valenciennes, dispense des épreuves n° 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 du DCG et n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG.
- Master « sciences économiques et de gestion », mention « sciences et métiers du management et de l'international », spécialité « stratégie pilotage et contrôle dans l'entreprise », université Évry, dispense de l'épreuve n° 3 du DSCG.
- Master « sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion », mention « système d'information et contrôle de gestion », spécialité « contrôle de gestion industrielle et des services », université Rennes 1, dispense des épreuves n° 3, 5, 6, 7 du DSCG.
VII - Diplômes des écoles de commerce et de gestion
- Diplôme d'Audencia-Nantes, école de management, filière « audit, expertise comptable » délivré à compter de 2008, dispense des épreuves n° 2, 3, 5, 6, 7 du DSCG. Suite...

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Global/83/2/bandeau-bo_179832.34.jpg Zarządzenia nr 45-2138 wynika z 19-9-1945 zmienione, Dekret nr 2006-1706 z 22-12-2006; porządku 26-3-2008, aby z 03.03.2010; opinię Komitetu Doradczego szkolenia zawodowe dla księgowych
Artykuł 1 - Badanie stopnia rachunkowości i zarządzania (DCG) i Dyplom studiów wyższych w rachunkowości i zarządzania (DSCG) są numerowane w następujący sposób. Więcej...
24 octobre 2011

« L’obsession évaluative », une maladie française ?

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpgSur le blog Le Monde d'Olivier Rollot. Le débat récent sur le dépistage précoce des élèves en difficulté l'a rappelé, s’il est un culte auquel se voue l’Éducation nationale, c’est bien celui de l’évaluation. On ne peut pas être élève sans subir à coups de contrôles inopinés et d’interrogations souvent surprises ce que d’aucuns appellent « l’obsession évaluative ». Et comme cela ne suffisait pas, le ministère a instauré des bilans nationaux organisés chaque année en CE1 et CM2.
Moulés dans le même système, les parents s’inquiètent eux‐mêmes dès que leur progéniture ne donne pas ses notes: pour les petits Français, le « Tu as eu de bonnes notes aujourd’hui ? » tient souvent lieu de « Bonsoir mon chéri »…
Tout cela crée un stress permanent et une relation de méfiance réciproque entre des profs payés pour être soupçonneux et des élèves qui voient parfois dans la triche le seul moyen de passer entre les mailles du filet. Et surtout de ne pas redoubler, sanction suprême du système…
Une note toute… relative

L’évaluation a sa propre science : la docimologie. Desétudes fondées sur l’exploration de copies d’examen ont par exemple démontré qu’une note n’était « stabilisée » en mathématiques qu’après avoir fait la moyenne de… 78 correcteurs. En philo, il en faut 162. C’est dire la fragilité d’un processus dans lequel la valeur est inévitablement relative. Les élèves s’en rendent vite compte dès qu’ils comparent leurs copies dans les matières scientifiques.
Tout comme ils se rendent compte qu’une fois catalogués dans une « catégorie » (bon, glandeur, fumiste, mauvais), ils peuvent difficilement en sortir et que les notes se stabilisent curieusement au niveau où le prof les a – définitivement – classés. La classe « classe »… Et déclasse quand l’évaluation devient humiliation. Le sociologue Pierre Merle soulignait ainsi en 2006 dans son ouvrage "L’élève humilié – L’école, un espace de non‐droit ?" (PUF) que «les humiliations subies par l’élève sont le produit de l’idéologie scolaire du classement qui autorise la mise en exergue de l’élève jugé faible et incapable ».
Toujours est‐il que ce sujet reste encore tabou alors qu’il est générateur de frustrations et de violence. La plupart du temps, les professeurs n’ont d’ailleurs pas conscience du poids de ces petits mots, petites remarques assassines, sur le moral de leurs élèves. Après tout, ils ont été élevés comme ça ! Ne faire que le procès de l’école en cette matière serait vraiment trop réducteur. C’est la société française tout entière qui doit s’interroger sur le poids de mots qui blessent et sur son incapacité à encourager plutôt qu’à humilier…
La « constante macabre »

La relation profs‐élèves est d’autant plus biaisée qu’il faut bien constater que les professeurs se croient toujours obligés de donner un pourcentage constant de mauvaises notes. En 2003, le professeur des universités André Atibi a inventé le terme "constante macabre" pour expliquer pourquoi et comment il y aura toujours un tiers de bons élèves, un tiers de moyens et un tiers de mauvais dans une classe. Et cela quel que soit la moyenne de la classe !
Résultat : il y a un nombre considérable d’élèves en échec alors même qu’ils ont un – relatif – bon niveau. Leur handicap ? Être dans une trop bonne classe. Depuis lors un mouvement, soutenu aujourd’hui financièrement par le ministère de l’Éducation nationale, s’est fédéré autour d’André Atibi pour inventer de nouvelles méthodes de correction à partir d’une « évaluation par contrat de confiance ».
Dans certains pays scandinaves, les élèves ne sont pas notés avant… la cinquième. Inimaginable pour nous, ce système de confiance totale n’en permet pas moins à la Finlande ou à la Norvège de se placer en tête des classements internationaux. Dans ces pays, ne pas être noté ne signifie en rien que les élèves sont livrés à eux‐mêmes. Tout au contraire, il leur est porté une attention de tous les instants, mais qui ne passe pas par une notation jugée destructrice pour les plus jeunes enfants. *À lire : "La constante macabre", 2003, « Math’adore », Nathan.
http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/08/Edhec-Olivier-Rollot-208x300.jpg Autor Olivier Rollot. hiljutine arutelu varane väljaselgitamine hädas õpilastele rõhutanud, on kultus, mis on pühendatud haridus-, on see, et hindamine. Me ei saa ilma õpilane puhub juhuslikke kontrolle ja küsimusi sageli üllatunud, mida mõned kutsuvad "hindava kinnisidee." Ja nagu sellest veel ei piisaks, Department loonud riikliku saldod toimub igal aastal CE1 ja cm2.
Valatud ühes ja samas süsteemis, vanemad on mures ise kui nende lapsed ei andnud oma märkused väike prantsuse, "Sul on häid hindeid nüüd?
» "Sageli toimib" Hello darling "...
Kõik see loob pideva stressi ja suhe vastastikune usaldamatus õpetajate vahel makstud olla kahtlane ja üliõpilased, kes on mõnikord petmine ainus viis pudene läbi võrgu.
Ja eriti ei pikendata, ultimate sanktsioonide süsteem. Velle...
24 octobre 2011

Bologna Process Update: EUA contributes to preparations for 2012 Ministerial Meeting in Bucharest

The Bologna Follow-Up Group (BFUG), which manages the follow-up of the Bologna Process in between Ministerial Meetings, met last week (13-14 October) at the Jagiellonian University in Krakow, Poland. EUA participated actively on behalf of universities in the meeting hosted by the Polish EU Presidency. The BFUG members discussed priorities and themes for the next Ministerial Communiqué to be adopted in Bucharest in April 2012 and the progress of the different BFUG working groups that are expected to present reports and recommendations to ministers next spring. The work of the different groups (on issues such as mobility, degree recognition, transparency and the social dimension) can be found on the official European Higher Education Area website.
On Friday 14 October, the E4 Group (EUA, EURASHE, ENQA and ESU) organised a thematic session focusing on quality assurance. This included presentations on the external review of the European Quality Assurance Register for higher education (EQAR) and the preliminary results of the MAP-ESG project, which looks at how the European Standards and Guidelines for Quality Assurance (ESGs) have been taken up and whether they need revising (please see this story).
Discussions on the current state of the Bologna Process and future perspectives continued from 17 to 19 October with a special two-day event in Bucharest, Romania, entitled: “Future of Higher Education − Bologna Process Researchers’ Conference (FOHE-BPRC)”. This was organised by the Romanian Ministry of Education, Research, Youth and Sports and the Executive Agency for Higher Education, Research, Development and Innovation Funding (UEFISCDI) with the support of EUA. 
The conference gathered researchers on a range of higher education topics with a direct relevance for the Bologna Process (including a number of EUA representatives) from Europe and beyond. EUA very much hopes that the outcomes of these discussions will feed into the discussions on the future development of the Bologna Process. The publication resulting from the conference will be available to participants attending the 2012 Bologna Ministerial events and a presentation will be made by the General Rapporteur and Chair of the Editorial Board, Sir Peter Scott, Institute of Education, University of London.
EUA’s work was well presented through a selection of papers, in particular on themes such as quality assurance, funding, autonomy, and teaching and learning. To find out more about developments with the Bologna Process, please visit: www.ehea.info.
23 octobre 2011

Implementing Full Costing to Support the Financial Sustainability of European Universities

Implementing Full Costing to Support the Financial Sustainability of European Universities, 23 – 25 January 2012, Hosted by Trinity College Dublin, Ireland. As part of the EUIMA – Full Costing project, which aims to enhance the development of full costing in European universities, EUA is organising its fourth study visit to offer the possibility to European university leaders, managers and administrators to learn about full costing from an institution well advanced in the practice. The study visit will take place at Trinity College Dublin (TCD) in Ireland on 23 – 25 January 2012 and will be the last event in the framework of this project.
A particular focus of this study visit will be the cooperation among universities, the government and funding agencies. Participants will learn about the Irish approach to implementing full costing in a nation-wide coordinated process among all relevant stakeholders led by the Irish Universities’ Association (IUA) and supported with funding from the Irish Higher Education Authority. The project will be presented by experts from Trinity College Dublin and other Irish universities as well as a wide range of stakeholders.
Furthermore, practical advice from different management levels at the host institution will be complemented by expert perspectives from other European universities. Participants will be able to learn about the key strategic issues involved in setting up full costing at their university, and to develop the skills required for managing this complex change process. These include how to arrange costing methodologies, to manage the data collected, and to design effective communication strategies. With a maximum of 40 participants, the study visit will also provide space for peer learning and for building networks to share expertise in the future.
22 octobre 2011

Menton University, combien ça coûte?

http://www.tresor-vieux-nice.com/liens/nice-premium.jpgPar Renato Ferrari. Inauguration du tout nouveau campus Moyen-Orient Méditerranée de Sciences Po. Installé dans un bâtiment historique sur quatre niveaux, face à la Méditerranée, le campus de Sciences Po est un espace totalement dédié à la formation, dans des conditions de confort optimisées:
• Salles de cours connectées
• Amphithéâtres équipés de visioconférence
• Bibliothèque de 15000 ouvrages
• Salle multimédia
• Laboratoire de langues
• Foyer étudiant
• Salles de formation continue
• Jardin méditerranéen, le tout dans le respect absolu des normes environnementales.
Au cœur de la vieille ville de Menton, le campus de Sciences Po, qui accueille près de 200 étudiants de 35 nationalités, a pour ambition de devenir le lieu incontournable de débats et d’échanges intellectuels et culturels dans les Alpes-Maritimes. La journée d’inauguration sera l’occasion pour les médias et le public de visiter ce nouveau bâtiment, de dialoguer avec le directeur de Sciences Po et de rencontrer l’équipe du campus ainsi que les étudiants qui planteront un olivier à cette occasion.
PROGRAMME
14 heures 30: Arrivée au campus – Visite du bâtiment
15 heures: Coupure de ruban Marseillaise Lâcher de ballon Dévoilement de la plaque
15 heures 15 (dans le grand amphithéâtre): Allocutions de Bernard EL GHOUL, Directeur Sciences Po Menton.  Présentation des différentes nationalités par Lucie DERNIAUX, Major de Promotion. Xavier PREEL, Directeur Affaires générales Moyen-Orient Total; Patrice PAOLI, Directeur d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient au ministère des Affaires Etrangères; Richard DESCOINGS, Directeur Sciences Po Paris; Jean-Claude GUIBAL, Député-Maire de Menton; Eric CIOTTI, Député – Président du Conseil Général des Alpes-Maritimes; Jean-Michel DREVET, Préfet des Alpes-Maritimes
16 heures 45: Plantation d’un olivier par les étudiants
Une journée portes-ouvertes est organisée le samedi 22 octobre 2011 de 10h à 18h.
http://www.tresor-vieux-nice.com/liens/nice-premium.jpgDa Renato Ferrari. Inaugurazione del nuovo campus Medio Oriente Mediterraneo Sciences Po Ospitato in un edificio storico su quattro piani, di fronte al Mediterraneo, il campus di Sciences Po è uno spazio totalmente dedicato alla formazione, in condizioni ottimizzata per il comfort:
• Aule collegato

• Anfiteatri dotato di videoconferenza

• Libreria di 15.000 libri

• Sala multimediale

• Laboratorio di Lingua
. Più...
22 octobre 2011

14,5 millions d'euros pour financer le GVT (glissement vieillesse technicité) des universités

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/2009/89/3/Carte-autonomie-2010_64893.JPGA ne pas confondre avec le TGV, le GVT est un concept tout nouveau (NDLR). Dans le cadre de la profonde mutation du paysage universitaire, ce financement donne les moyens aux universités de gérer la transition vers l'autonomie dans le respect de la maîtrise des finances publiques.
Depuis 4 ans une mutation profonde du paysage universitaire a été engagée. Ce gigantesque effort de réforme a été accompagné par des moyens supplémentaires. Dans un contexte dans lequel il est nécessaire de veiller à la gestion rigoureuse des finances publiques, l'enseignement supérieur participe à cet effort tout en continuant de donner aux universités les moyens de l'autonomie.
En 2012, l'ensemble des universités seront autonomes et gèreront l'intégralité de leur masse salariale. Les engagements de la Loi sur la réforme des Universités seront tenus.
Depuis 2009, d'importants moyens supplémentaires ont été alloués aux universités autonomes pour les accompagner financièrement. Leurs moyens de fonctionnement ont augmenté de 23% en moyenne sur 2007-2011.
Des mesures spécifiques ont été systématiquement décidées pour accompagner le passage à l'autonomie:

    * Un transfert de masse salariale a été réalisé au moment du passage à l'autonomie leur permettant de mener une politique de gestion des ressources humaines dynamiques.
    * De nombreux emplois ont été requalifiés afin de permettre aux universités de recruter les cadres dont elles ont besoin.
    * Les Universités ont enfin bénéficié d'un bonus de 10% de leurs crédits indemnitaires.
C'est dans ce cadre que se développe une vision responsable de l'autonomie qui donne de nouvelles marges de manœuvre aux universités.
Pour une partie des établissements, ces marges manœuvre ont été utilisées pour faire des choix en matière de politique de recrutement ou de primes, y compris pour les personnels administratifs ou des actions de formation. Ces choix relèvent de la responsabilité de chaque président d'université.
Pour d'autres aspects de leur budget, les universités sont impactées par des décisions nationales qui ne relèvent pas de l'autonomie. Ce sont des mesures dites "techniques" comme l'évolution du "point fonction publique" ou l'évolution du montant des pensions.
Sur ces mesures dites techniques, l'Etat honore ses engagements. A titre d'exemple, l'actualisation des pensions au projet de loi de finances pour 2012 pour les établissements autonomes représente 116 millions d'euros. Ces ajustements ne sont donc pas symboliques.
C'est aussi dans ce cadre que se pose la question de la masse salariale au titre du vieillissement de leur personnel, le glissement vieillesse technicité (le GVT). Cette question a été posée dès la fin de l'année 2010 et a donné lieu à des travaux approfondis dans le cadre d'un groupe de travail conjoint entre le ministère de l'enseignement supérieur et la Conférence des Présidents d'Universités (CPU). Le Ministre s'est saisi de ce dossier dès sa prise de fonction afin d'aboutir à des décisions les plus rapides possibles tout en tenant compte du calendrier des décisions budgétaires.
Pour certaines universités, le GVT est positif. Dans ce cas, leur masse salariale augmente. Pour d'autres, il est négatif. Il donc d'abord fallu évaluer la situation au cas par cas.
L'impact global net du GVT s'élève à 14,5 millions d'euros en tenant compte des cas dans lesquels le GVT est négatif, c'est-à-dire les cas où les universités ont des marges de financement car leur personnel rajeunit. Ce montant découle tant de raisons techniques liées au vieillissement des personnels, que de choix, décidés par les universités, notamment de transformations d'emplois. Le financement de la mesure se fera à l'intérieur des crédits ouverts en loi de finances initiale.
Après une phase d'étroite concertation entre Laurent Wauquiez et Valérie Pécresse, la compensation du GVT a été décidée.
Compte tenu du contexte budgétaire actuel, il s'agit d'une décision importante et significative qui témoigne de l'engagement du gouvernement pour accompagner les universités.
Les modalités de répartition entre universités seront précisées dans les jours à venir.
Le choix fait de mobiliser 14,5 millions d'euros pour le GVT des universités illustre la volonté, dans cette phase de mise en place de l'autonomie, de ne pas faire peser tout le poids sur les établissements de décisions dont elles ne sont pas responsables en totalité.
Cet accompagnement doit avoir pour contrepartie une responsabilisation encore plus forte des universités autonomes. Il revient aux universités d'assumer pleinement les conséquences financières des décisions qu'elles prennent et de les articuler avec une vision globale de leur politique budgétaire.
Le passage à l'autonomie est un succès qui doit se prolonger dans la phase de mise en œuvre qui s'ouvre aujourd'hui.
Une nouvelle concertation doit s'engager entre le ministère et la CPU pour préciser les modalités de leur coopération en régime de croisière. Dans un contexte budgétaire extrêmement tendu, ces décisions sont une nouvelle illustration de la priorité donnée par le gouvernement à l'enseignement supérieur et de la recherche.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/2009/89/3/Carte-autonomie-2010_64893.JPGEi tohi segi ajada TGV, GVT on uus mõiste (Ed). Osana põhjalikke muudatusi ülikooli maastiku kõnealune rahastamine võimaldab teha ülikoolide juhtima üleminekut autonoomia suhtes riigi rahanduse kontrolli.
4 aastat põhjaliku muutuse ülikooli maastik on toime pandud.
See tohutu reformidegaseotud oli kaasas täiendavad vahendid. Olukorras, kus see on vajalik, et tagada range riigi rahanduse juhtimises, kõrgharidus osalevad jõupingutustes, jätkates samal ajal anda ülikoolidele tähendab sõltumatust. Velle...
21 octobre 2011

Mapping the European Standards and Guidelines for Quality Assurance

Mapping the European Standards and Guidelines for Quality Assurance: Draft report now open for public consultation. The E4 Group of higher education stakeholders (EUA, ENQA, ESU and EURASHE), has been carrying out a project to map the application and implementation of the European Standards and Guidelines for Quality Assurance (ESGs).
As authors of the ESG, published in 2005 in the framework of the Bologna Process, the E4’s project aims to identify whether these guidelines still “meet the current challenges of higher education”, and therefore if they need updating or revising. After a period of information gathering and consultation with members of the E4 associations, the project steering group has now published a draft report for public consultation.
The report outlines in detail the background to the EC-supported MAP-ESG project and how each of the four associations consulted with their members and carried out research. EUA’s consultation included a survey carried out with its 34 national rectors’ conferences, and a series of workshops enabling universities to benchmark their QA processes against the ESGs, and to share their experiences of good practice as well as obstacles encountered in implementing these processes. Following a call for interest, 49 delegates from 23 European countries participated in the workshops, thus contributing to a thorough discussion on how the ESGs have been implemented and applied in institutional contexts. The outcomes of this work and the report will also be discussed by EUA Council at its meeting on Friday 21 October.
The report tackles a variety of issues relating to the ESGs (at the national, institutional and QA agency level), including their purpose and scope, clarity and usability, and impact and implementation.
It underlines that while the ESGs have proved to be a “major achievement of the Bologna Process”, and are “well regarded by all stakeholders” and have “facilitated a shared understanding of QA”, there are a number of areas for improvement. The draft report finishes with a tentative recommendation on further action that would be presented to the Ministers of the EHEA countries in spring 2012. The full draft report is now available on the ENQA website and will be open for public consultation until 11 November 2011. The findings of this work will then be presented at a conference in Denmark with the Bologna Follow-up Group (BFUG) in January 2012 and the final report and recommendation will be presented at the next meeting of Higher Education Ministers in Bucharest in April 2012.
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