La réforme de 2009 a accru le rôle du pilotage national sur les acteurs de la formation continue

« Depuis, la réforme, on a constaté un accroissement du rôle du Conseil national de la formation professionnelle tout au long de la vie (CNFPTLV), la création du Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP), le renforcement de la Commission nationale de la certification professionnelle (CNCP) ou du Délégué à l’information et à l’orientation (DIO), autant d’instruments d’envergure nationale chargés de déterminer les orientations de la formation continue » a rappelé Jean-Philippe Cépède. Si ces organes de pilotage à grande échelle répondent à l’obligation légale de formation professionnelle pour tous, tout au long de la vie et permettent ainsi une meilleure coordination des initiatives jusqu’alors prises par les acteurs en fonction de leur champ de compétence, le recours à l’arbitrage de l’Etat semble être au cœur du dispositif. « On retrouve la contractualisation avec l’Etat à tous les étages ! » a expliqué le directeur juridique de Centre Inffo. « Le FPSPP ne peut intervenir qu’après conclusion d’un accord avec l’Etat, les Régions sont soumises à des contrats de plans régionaux de développement des formations (CPRDF) et les Opca doivent parapher des contrats d’objectifs et de moyens (Com) avec les représentants de l’administration. D’ailleurs, la mise en œuvre de ces Com, a beaucoup préoccupé les parlementaires au début de leurs travaux sur la réforme des Opca ».
Des instances nationales aux commandes, soit, mais ce pilotage national permet-il réellement de constater une réelle amélioration des initiatives prises par les acteurs du marché de la formation ? « Il est encore trop tôt pour en évaluer les résultats » a conclu Jean-Philippe Cépède.

Les erreurs à éviter dans la lettre de motivation

Un copier-coller du CV ou de l'annonce
La lettre de motivation doit être complémentaire du CV. Il est donc déconseillé de vous contentez de répéter les éléments contenus dans votre CV ou de simplement recopier le libellé de l'annonce. Vous devez, en revanche, apporter dans votre courrier des arguments justifiant que vous êtes le candidat idéal. Expliquer les raisons pour lesquelles vous êtes intéressé par le poste.
Une lettre sans structure
Afin de retenir l'attention du recruteur, soignez votre style. Privilégiez les phrases courtes, évitez les verbes au conditionnel et préférez le présent. Les négations et les formules "bateaux" "votre groupe est reconnu au niveau international", "votre entreprise est l'une des meilleures sur le marché", "j'ai toujours rêvé de travailler pour votre société" sont à bannir. La lettre de motivation doit tenir sur une seule page. Aérez les paragraphes, laissez des marges et des espaces.
Une lettre sans personnalité
Votre lettre de motivation doit être personnalisée, argumentée. Ce qui suppose un travail de réflexion avant la rédaction. Posez-vous les bonnes questions ! Si les modèles de lettre disponibles sur Internet peuvent être une source d'inspiration, évitez toutefois de tomber dans la facilité du copier-coller. Expliquer votre conception du poste proposé, ce qui vous plaît dans les missions proposées. Mettez en avant vos compétences les plus intéressantes pour le poste auquel vous postulez. Donnez des exemples précis et des chiffres pour illustrer l'intérêt de votre profil pour l'entreprise.
Perdre de vue l'objectif de la lettre
Le principal objectif de la lettre de motivation est de donner envie au recruteur de vous rencontrer lors d'un entretien. Pour ce faire, il doit ressentir que votre candidature s'inscrit dans un projet professionnel et n'est pas une simple bouteille à la mer.
Ne pas être égocentrique
Motivation ne signifie pas arrogance. S'il est de bonne augure de se mettre en avant dans la lettre de motivation, il est aussi très important de vous renseignez sur l'entreprise et d'en parler dans votre courrier.
Mentir sur votre expérience
A l'instar du CV, la lettre de motivation ne doit pas contenir des mensonges sur vos compétences et savoir-faire! Les mensonges seront de toute façon découverts par la suite, ils sont donc à proscrire! Si vous ne disposez pas d'une expérience ou d'une qualité attendue pour le poste à pourvoir il est préférable de ne pas le mentionner dans votre lettre de motivation que de mentir.
Gare aux fautes d'orthographe
Erreurs de frappe, fautes d'orthographe, fautes syntaxiques. Pour vous assurer que votre lettre de motivation est irréprochable, ne lésinez pas sur les relectures. Attention également à l'orthographe du patronyme du recruteur.
Oublier vos coordonnées ou votre signature
Indiquez en tête de votre courrier, vos coordonnées (adresse postale, une adresse e-mail et numéro de téléphone). N'oubliez pas de signer votre courrier.

Kopeeri ja kleebi jätkamiseks või teade
Kaaskiri peaks täiendama jätkuda. Seega, sa lihtsalt ei korrata punkte oma CV või lihtsalt kopeerida sõnastus kuulutuse. Sa pead siiski tuua oma posti argumendid tõestaksid, et oled ideaalne kandidaat. Selgitage, miks olete huvitatud positsiooni. Velle...
Islamic States: Ministers back university actions
By Ameen Amjad Khan. Ministers of higher education and research from 57 countries of the Organisation of Islamic Cooperation agreed to a "fresh look" at university systems in their countries, at an IOC meeting in the Saudi Arabian capital Riyadh on Wednesday. There was a need to reexamine higher education quality and relevance "in view of the demands of the market forces of knowledge economies," the ministers said, and to implement key performance indicators.
The meeting decided to encourage universities in the OIC region to improve standards and increase their potential to become world-class institutions.
The extraordinary ministerial meeting also agreed to encourage excellence by establishing academic links with universities and research institutions in the advanced world, to benefit from the West's experiences in quality and technological innovation.
Declaring international cooperation a key performance indicator, the meeting adopted various resolutions aimed at modernising Muslim world universities by attracting international faculty and students, rewarding academics for having foreign degrees, and growing international cooperation through activities such as twinning, visiting scholars, service contracts, collaborative research, split degree programmes and international conferences.
The meeting noted with concern some of the flaws in world university ranking systems and agreed that "results and acceptance of those rankings have not always been consistent or agreeable". The ministers urged IOC countries to review rankings critically, to bring logic and sense to the issue which, the meeting observed, "is witnessing growing criticism from many educationists and decision-makers around the world".
Last week's OIC meeting was a continuation of a high-profile session of ministers of higher education and research held in Kuala Lumpur a year ago, which decided to prepare a document, "Key Performance Indicators for Universities in the Islamic World" in order to "reorient universities' procedures and mechanisms to best suit international standards".
The meeting heard that it was not only research output that should make a university qualify for ranking. Key performance indicators should also include good governance, academic freedom, adequate facilities, continued funding, quality of faculty, international collaborations, multidisciplinary programmes and socio-economic impact.
The document, adopted unanimously at last week's meeting, proposes learning from success stories in higher education performance and finding ways to introduce the key performance indicators in university systems in the 57 members states of the Jeddah-based OIC, the second biggest forum after the United Nations.
It provides guidelines and advice on developing higher education practices in the OIC states, and recommends establishing support units on campuses for patent registration and encouraging the transformation of patents into marketable products to support the transition to knowledge-based economies.
The document will be sent through proper channels to universities "for their self-assessment and adoption of measures recommended in it," former vice-chancellor of Islamabad's Quaid-e-Azam University, Qasim Jan, told University World News. He is an OIC expert involved in drafting the document,
"The guidelines adopted during this meeting shall help enhance our universities' reputations and international presence and [their] acceptability in this globalised era," said Jan, who is also advisor to the OIC Standing Committee on Scientific and Technological Cooperation headquartered in Pakistan.
The new approach to ranking universities in the Islamic world took inspiration from two keynote speakers at the UNESCO forum on "Rankings and Accountability in Higher Education", held in Paris in May.
The key document adopted at that meeting quoted Barbara Ischinger, director for education at the OECD, as saying that "the rankings that we currently have available -for all the care that goes into compiling them - fall short of capturing the range and depth of what universities and other higher education institutions do".
It also refers to Ellen Hazelkorn, head of the Higher Education Policy Research Unit in Dublin, saying "governments should stop obsessing about global rankings and the top 1% - they risk transforming their higher education system and institutions, and subverting other policy objectives, to conform to indicators designed by others for other purposes".
The quality assessment criteria as laid down in the key performance indicators document, assigns 45% weight to research, 35% to teaching standards, 10% to international outlook, 3% to facilities and resources and 7% to socio-economic impact. The weighting for teaching universities is different: 50% for teaching, 15% for international outlook, 5% for facilities, 15% for socio-economic impact and 15 % for research.
An OIC expert at the meeting, Hassanuddeen Abdul Aziz from International Islamic University of Malaysia, told University World News: "Through this all-inclusive guide for university performance enhancement we hope to increase the production of skilled manpower and bring about excellence in research through international collaboration."
Hassan added: "We aim to bridge the gap between OIC member states' universities and their international counterparts anywhere in the world, and seek to empower our universities to have better impact on their societies to turn them into knowledge-based economies."
Suggesting performance targets, the ministers agreed that Islamic nations should accelerate the process to increase their share of world scientific production to 14% and increase research and development spending to at least 1.4% of their gross domestic products by 2020, a decision taken by heads of state of Islamic countries at a summit in Malaysia in 2003.
The meeting, hosted by the Kingdom of Saudi Arabia, was organised by the Islamic Educational, Scientific and Cultural Organisation (ISESCO), headquartered in the Moroccan capital Rabat.
Rapport de Jean-Michel Jolion sur la Mastérisation de la formation des enseignants

4 Un nouveau modèle
Bien que sortant du cadre strict de la mission confiée par Madame le Ministre, il n'est pas possible de se contenter de faire le constat que de simples adaptations ne permettront pas de donner à ce système de formation toutes les chances de valider les vrais objectifs de cette réforme.
C'est pourquoi, nous souhaitons en quelques lignes dresser le contour d'un modèle "alternatif" sous la forme de quelques principes (il n'y a normalement pas grand chose de nouveau dans ce qui suit car ces thèmes ont été maintes et maintes fois dans l'actualité):
1. Enseigner est un métier
Enseigner n'est pas un art, mais un métier qui s'apprend et dont la pratique doit aussi être accompagnée. Qui peut encore douter que les élèves d'aujourd'hui, héritiers de cette société de l'immédiateté qui nous pousse à jouir de l'instant, tel un simple client, plutôt que de chercher à comprendre, qui, comme le souligne Philippe Mérieux, amène les enfants à vouloir tout savoir mais sans apprendre, à la fois centres du monde et plus isolés que jamais, demandent une pédagogie renouvelée qui ne saurait se résumer au seul charisme de l'individu?
2. Enseigner est-il un métier ou des métiers ?
Très clairement, notre choix va pour la pluralité des métiers, sans qu'il y ait de filières nobles et de filières par défaut entre ces différents métiers. Cela induit la pluralité des cahiers des charges en matière d'objectifs de formation et de statut et compétences de l'opérateur habilité à mettre en oeuvre une formation. En ce sens, on peut reprendre ici la réflexion évoquée plus avant sur l'agrégation (cf section 3.2.5). Il est alors de la compétence de l'employeur en partenariat avec le milieu universitaire, par le biais de la formation continuée et de la VAE, de permettre les évolutions de carrière entre les différents métiers. La VAE doit aussi être développée pour permettre une diversification du vivier des futurs enseignants et pour permettre de répondre aux attentes des filières de l'enseignement technique et professionnel.
3. Trancher sur le rôle du concours
Le concours ne peut être qu'initial ou final. Dans le premier cas, le concours ouvre sur une formation professionnelle et l'exercice d'un métier. Dans l'alternative, il intervient à l'issue d'une vraie formation professionnelle dont le concours tient compte. Un concours en fin de master devra donc tenir compte des stages en situation, stages de fait rendus obligatoires. Dans cette solution, une meilleure articulation entre l'admissibilité et l'admission doit permettre de ne pas accumuler les deux phases du concours sur les deux derniers semestres du cursus. Notre préférence va donc à une admissibilité en fin de M1...
4. Une vraie formation professionnelle...
5. Tenir compte du master dans le recrutement...
6. Repenser le rôle de la recherche...
7. Un nouveau statut pour les IUFM
Comme nous l'avons précisé dans ce rapport, cette réforme a repositionné le rôle des IUFM comme opérateur principal des formations conduisant au métier de la formation du premier degré et comme opérateur d'appui pour le volet professionnalisant des autres formations. Cet état de fait se traduit par un nouveau positionnement des IUFM qui peut induire un nouveau statut. Il est bien sûr impossible de penser que la solution optimale viendra sans une large concertation de l'ensemble des acteurs mais il est indispensable que cette question soit de nouveau abordée dans un cadre général de la constitution de pôle de formation dont l'IUFM sera partie intégrante.
8. Supprimer la contrainte sur les certifications...
9. Diversifier les voies d'accès au métier d'enseignant pour les filières PLP et PET
La spécificité de ces filières implique que l'on fasse plus appel à des dispositifs de la formation continue et de la VAE pour diversier le vivier des recrutements.
10. Favoriser l'ouverture vers d'autres métiers... Télécharger le Rapport Jolion sur la Mastérisation de la formation des enseignants.

4 A nowy model
Chociaż poza ścisłe ramy con misji zgłoszonego przez Pani Minister, nie jest możliwe po prostu się obserwacja, że proste zmiany nie da ten system szkolenia mogą potwierdzić prawdziwe celów reformy.
Dlatego chcemy wyciągnąć pewne linie w zarys modelu "alternatywa" w postaci kilku zasad (nie Nally niewiele nowego w tym, co wynika, jak te tematy zostały w kółko Kiedy w wiadomościach). Więcej...
23 partenariats avec des grandes écoles et universités pour PSA Peugeot Citroën

Pour rester à l’avant-garde des produits et des services automobiles, PSA Peugeot Citroën renforce ses relations avec les grandes écoles et les universités les plus prestigieuses en Europe, en Asie, en Amérique Latine et en Amérique du Nord. Cette politique volontariste et dynamique vise à améliorer l’attractivité du groupe auprès des meilleurs talents et à garantir l’excellence des compétences au sein du groupe.
Créée en 2010, l’Université PSA Peugeot Citroën, acteur majeur de la transformation du groupe est garante des compétences managériales et techniques sur le plan mondial. A ce titre en 2011, plusieurs chaires ont été lancées afin de développer les enseignements et la recherche dans des domaines majeures pour l’avenir de l’automobile: la chaire « André Citroën, Modélisation Mécanique et Multiphysique », avec l’Ecole Polytechnique, la chaire « PSA Peugeot Citroën, Robotique et Réalité Virtuelle », avec l’Ecole des Mines ParisTech.
Menées en étroite collaboration avec les directions recherche et développement, ces créations de chaires vont prochainement s’étendre en Amérique latine, Russie et Chine où une lettre d’intention portant sur un partenariat dans le domaine des interfaces hommes-machine a été signée avec l’université de Tongji (Shanghai).
L’Université du groupe a également mis en place plusieurs partenariats dans le monde afin de favoriser l’internationalisation et pour permettre aux ingénieurs-chercheurs de PSA Peugeot Citroën de compléter leur formation: au Brésil, avec l’École Polytechnique de Sao Paulo, en France avec l’université Pierre et Marie Curie sur une convention « Doctorat exécutif ».
Un réseau de partenaires académiques fort
Le renforcement des liens avec les meilleures institutions académiques s’inscrit dans le cadre de la détermination du groupe à relever la multitude de challenges technologiques, environnementaux et sociétaux qui s’offrent à l’industrie automobile. Face à ces défis, et conjointement à l’action de l’université PSA Peugeot Citroën, la direction scientifique du groupe a annoncé en 2010 la création:
- d’un réseau d’OpenLabs, structures de recherche et d’animation scientifique mixtes qui mettent en commun les équipes de recherche et les moyens expérimentaux du groupe avec ceux de laboratoires partenaires. Parmi les premiers contrats: l’Automotive Motion Lab avec l’Université de la Méditerranée et l’Institut de la Science et du Mouvement (ISM) de Marseille, et l’OpenLab Electronics and Systems for Automotive à Bordeaux avec le Laboratoire de l’Intégration du Matériau au Système (IMS).
- du StelLab – Science Technologies Exploratory Lean Laboratory – structure d’animation des partenariats scientifiques. Le StelLab a pour mission de coordonner les OpenLabs et de créer un réseau interdisciplinaires d’échanges et de dialogue entre experts de PSA Peugeot Citroën et scientifiques afin d’identifier et développer les nouvelles technologies et innovations du véhicule du futur.

Le rapport d’activité d'Opcalia
Au titre de l’année 2010, Opcalia a collecté 417 M€ de fonds pour la formation professionnelle (MSB 2010), représentant une augmentation de 1,82% par rapport à 2009. Au cours du dernier exercice, le nombre d’adhérents a augmenté de près de 3% passant ainsi à 38 645 entreprises dont 65% de TPE qui emploient 6% des effectifs salariés. Dans ce contexte, Opcalia a accompagné 357 295 salariés (+4,16%) et notamment 40% des entreprises de moins de 50 salariés.
Les fonds de la collecte sont issus de 25 134 entreprises adhérentes de moins de 10 salariés, 9175 de 10/49 salariés, 2707 de 50/199 salariés et 1089 de plus de 200 salariés. La part des branches représente 107 M€ collectés.
Pour accompagner les actions de formation de ses adhérents, Opcalia a bénéficié de cofinancements externes pour un montant de 78 M€ (+ 28%), s’appuyant sur les axes d’intervention des programmes financés par l’Europe, des politiques publiques initiées par l’État ou la Région mais aussi sur les orientations définies par les partenaires sociaux particulièrement au travers du Fonds Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels (FPSPP).
Commentant l’annonce de ces résultats, Yves Hinnekint, Directeur Général d’Opcalia, déclare:
"Au cours de cette année 2010 encore marquée par la crise, Opcalia a montré une bonne résistance. En dépit des craintes, les ressources ont progressé. Au-delà de la participation des entreprises, nous avons su obtenir des financements pour accompagner des projets volontaristes visant à professionnaliser et sécuriser les parcours professionnels des salariés habituellement éloignés de la formation professionnelle ou dont l’emploi était le plus menacé. Par ailleurs, conformément à la volonté des partenaires sociaux, Opcalia a aussi apporté un soutien important aux demandeurs d’emploi. Côté entreprises, l’accent a été mis sur les TPE et PME."
En savoir plus Télécharger le rapport d’activité Opcalia.
All aastal 2010, on kogunud Opcalia 417 M € rahastamise kutseõpe (MSB 2010), mis tähendab osakaalu suurenemist 1,82% võrreldes 2009. Viimase aasta jooksul, mille koosseis kasvanud peaaegu 3% ja 38 645-65% ettevõtetest koos TPE sissetulekust 6% töötajatest. Seoses sellega kaasnevad Opcalia 357 295 töötajat (4,16%), sealhulgas 40% ettevõtteid on vähem kui 50 töötajat. Velle...