Budget 2012: l'Enseignement supérieur et la Recherche restent prioritaires

Des engagements tenus sur la durée
Avec la présentation du budget 2012, le budget de l'enseignement supérieur et de la recherche constitue pour la 5e année la première priorité budgétaire du Gouvernement. C'est la concrétisation de l'engagement de campagne du Président de la République de faire de l'économie de la connaissance un pilier d'une croissance durable et du développement social a été tenu. Sur 2007-2012, l'engagement du président de la République de consacrer 9 milliards d'euros à l'enseignement supérieur et la recherche est dépassé (avec 9,3 milliards d'euros supplémentaires sur la période), indépendamment de l'effort exceptionnel réalisé dans le cadre de l'opération campus et des investissements d'avenir.
Un budget qui confirme la priorité donnée à l'Enseignement supérieur et à la Recherche
Pour 2012, les moyens budgétaires, fiscaux ainsi que les moyens dédiés à l'accélération des campus progressent de 769 millions d'euros. Par ailleurs, les investissements d'avenir, généreront près d'1,3 milliards d'euros de crédits qui irrigueront les laboratoires. Dans un contexte budgétaire contraint, le secteur de l'Enseignement supérieur et de la Recherche participe à l'effort de bonne gestion mais cet effort tient compte du choix fait par le gouvernement de lui conserver son caractère prioritaire. Il n'y a pas de rigueur aveugle et le choix a été fait de poursuivre le soutien à l'enseignement supérieur et la recherche qui constituent les leviers de croissance de demain. Conformément aux engagements du Premier ministre, l'emploi est maintenu dans les établissements d'enseignement supérieur comme dans la recherche.
L'ensemble des leviers de financement sont mobilisés pour l'enseignement supérieur et la recherche:
- des crédits budgétaires en faveur de l'ensemble des établissements et des dispositifs de recherche et d'enseignement supérieur, en progression en autorisation d'engagement de + 428 millions d'euros en 2012, soit +1,7% d'augmentation pour atteindre 25788 millions d'euros;
- la poursuite de la montée en puissance du crédit impôt recherche de 174 millions d'euros doivent être ajoutés des moyens dédiés à des financements innovants: les intérêts de l'opération campus qui permettront de réaliser 167 millions d'euros d'investissements supplémentaires en 2012
- S'y ajoutent, au titre des investissements d'avenir, 1 269 millions d'euros de crédits qui seront effectivement débloqués pour la seule année 2012 au profit de l'ensemble du secteur. Ce budget conforte l'augmentation inédite des moyens de l'enseignement supérieur et de la recherche depuis 2007.
Les moyens dédiés à l'enseignement supérieur progressent de 540 M€ avec 3 priorités
Améliorer les conditions d'études pour les classes moyennes
La dépense intérieure de l'éducation à l'université, qui a augmenté de 18% en 5 ans, s'établit à 10 180 euros en 2010.
Le budget 2012 conforte une politique sociale inédite, au service de la réussite des étudiants. Avec une augmentation de 91 millions d'euros, la politique de vie étudiante se traduit par un fait marquant : l'octroi d'un dixième mois de bourses, en contrepartie de l'allongement de la durée universitaire.
Ce dixième mois intervient après une transformation en profondeur de notre système de bourses depuis 5 ans, au bénéfice des classes moyennes et des plus défavorisés, avec l'augmentation de 65000 boursiers à l'échelon 0 et la création d'un 6e échelon. Au total, la revalorisation régulière des plafonds de revenus et des taux qui a permis d'augmenter de 25,4% le nombre des boursiers et d'avoir une progression du montant des bourses de 20% en moyenne sur 2007-2011 et de 26% pour les étudiants les plus défavorisés.
Consolider l'autonomie des universités
Les établissements d'enseignement supérieur verront leur moyens augmenter de 237 millions d'euros.
- 191 millions d'euros sont dédiés à l'augmentation de la masse salariale
- 46 millions d'euros seront dédiés au fonctionnement de l'ensemble des établissements, notamment pour soutenir le passage à l'autonomie des universités qui passeront aux compétences élargies en 2012, accompagner le dialogue contractuel et poursuivre la dévolution du patrimoine immobilier. Sur 5 ans, l'Etat aura fait progresser de 627 millions d'euros les moyens de fonctionnement, contre 527 millions d'euros sur les 10 précédentes années, afin d'assurer un rattrapage dont nos établissements avaient besoin.
Bâtir le campus de demain : concrétiser le changement
Après l'effort important des années précédentes en matière immobilière, l'année 2012 permet d'accélérer quelques opérations phares: rénovation du campus de Jussieu et opération campus, pour lesquelles 167 millions d'euros d'intérêts seront dédiés au lancement de nouveau chantiers.
Donner à la recherche les moyens d'être compétitive au plus haut niveau mondial
En 2012, l'Etat consacrera 214 millions d'euros supplémentaires en faveur de la recherche.
La dépense de recherche et d'innovation aura progressé de 15% sur 2007-2010, contre 10% sur 2002-2006, notamment du fait de l'augmentation de la dépense publique (+21% sur 2007-2010). L'effort de recherche, mesuré par le ratio dépense intérieure de recherche et de développement/PIB se stabilise à 2,26%.
Les crédits budgétaires augmenteront de 40 millions d'euros. Les organismes de recherche devront réaliser des efforts de gestion, mais bénéficieront d'augmentation de leur masse salariale et de moyens pour tenir les engagements de la France sur les très grandes infrastructures de recherche;
La recherche privée est également très soutenue.
Le crédit impôt recherche, qui s'établit à près de 5,3 milliards d'euros, intervient ainsi comme un amortisseur de la crise et un élément phare d'attractivité.
Dans le cadre des investissements d'avenir, ce sont 20,6 milliards d'euros (hors opération campus) qui sont dédiés à la l'enseignement supérieur, à la recherche, à l'innovation. 9,6 milliards d'euros sont déjà engagés dans 219 projets qui vont changer le quotidien des chercheurs, des étudiants, mais aussi des entreprises et bien plus largement des citoyens. En 2012, les laboratoires bénéficieront de près d'1,3 milliards d'euros de crédits à ce titre.
L'investissement sur l'enseignement supérieur et la recherche est la meilleure réponse à la crise: faire les découvertes qui positionnent notre pays au premier plan mondial, développer la compétitivité de nos entreprises, préparer les emplois de demain et assurer l'insertion de nos jeunes.
Voir aussi sur le blog: Université: l’âge d’or budgétaire est passé, Un bilan qui fait débat.

Commitments required over the life
With the budget 2012, budget for higher education and research for the fifth year is the first priority of the Government budget. This is the realization of the campaign pledge of President of the Republic to make the knowledge economy a pillar of sustainable growth and social development was held. Of 2007-2012, the commitment of the president to spend 9 billion euros in higher education and research is exceeded (with an additional EUR 9.3 billion over the period), regardless of the effort Exceptional carried out as part of Operation campus and investment for the future. More...
How to bring about lasting, system-wide improvement in schooling performance?
The International Academy of Education (IAE) and IIEP are launching a new publication
System-wide Improvement in Education by Ben Levin is the 13th booklet in the Education Policy Series, published jointly by the two institutions. It defines eight principles derived from field evidence, offers practical advice and is designed to be useful for busy policy-makers, decision-makers, educational leaders and others seeking to advance educational improvement. The author illustrates these principles with examples from Ontario (Canada), a province with a diverse population that includes many indigenous communities. The booklet emphasizes the importance of a capacity building and inquiry orientation to change.
‘Key aspects of this collaborative effort include careful attention to goal-setting, positive engagement, capacity building, effective communication, learning from research and innovation, maintaining focus in the midst of multiple pressures, and use of resources. Effective large-scale change requires careful attention to implementation as well as policy, and to the building of an implementation system that is up to the task of bringing about the necessary changes in daily practice.’ (Ben Levin, author of the booklet).
‘Ben Levin's new booklet is a comprehensive and insightful account of how systems can ensure reform delivers results. The combination of his knowledge of the literature and personal experience of leadership in the Ontario reform gives the account here unusual power.’ (Sir Michael Barber, Co-writer of McKinsey’s 2010 Report, ‘How the world’s most improved education systems keep on getting better’).
‘You won't get any closer to a succinct and cogent set of insights on how to achieve “whole system reform” than this booklet on “System-wide improvement in education”. No one integrates inside government reality and external research and evidence like Ben Levin.’ (Michael Fullan, Professor Emeritus, University of Toronto, and Special Adviser on Education to the Premier of Ontario).
‘The booklet looks very good. It should help those who are interested in truly improving education systems, rather than paying lip service to improvement or engaging in minimalist efforts.’ (Lorin Anderson, Professor Emeritus, University of South Carolina, Fellow of the International Academy of Education).
‘Governments and ministries around the world are looking to find better ways to draw upon the growing evidence about what can make a difference in education. Our ability to use this new knowledge, in ways that work for local contexts, matters for all our children and for the future of our societies. Professor Levin shows how to build on what is working well and accelerate system improvement’. (Adrienne Alton-Lee, Chair of the Editorial Board for the Education Policy Series, International Academy of Education).
About the author:
Ben Levin is Canada Research Chair in Education Leadership and Policy at the University of Toronto. As the Ontario Deputy Minister of Education he helped lead an effort that substantially lifted achievement, and reduced inequity across 5,000 primary and secondary schools in six years. This reform enabled a shift from 55% to 70% of elementary students achieving high levels of literacy and numeracy while committed to a broad, not narrowed, curriculum. High school graduation rates increased from 68% to 82%. Levin warns of pitfalls in improvement efforts and explains how Ontario drew upon the emerging evidence of what works and how, to lead a guiding coalition for ongoing improvement.
About the International Academy of Education
The International Academy of Education (IAE) is a not-for-profit scientific association that promotes educational research, its dissemination, and the implementation of its implications. Founded in 1986, the Academy is dedicated to strengthening the contributions of research, solving critical educational problems throughout the world, and providing better communication among policy-makers, researchers, and practitioners. The seat of the Academy is at the Royal Academy of Science, Literature and Arts in Brussels, Belgium, and its coordinating centre is at Curtin University in Perth, Australia.
The general aim of the Academy is to foster scholarly excellence in all fields of education. Towards this end, it provides timely syntheses of research-based evidence of international importance. The Academy also provides critiques of research, its evidentiary basis, and its application to policy.
Responsabilité sociale des entreprises et formation

Cette matinée d’études vient relayer la publication du hors-série AFPA/Education permanente qui s’est attaqué à la connexion encore improbable entre RSE et formation. Pourtant, l’engagement des entreprises dans une démarche de responsabilité sociale (ou sociétale) présente de nombreux recoupements avec les enjeux de la formation continue. En France, elles relèvent toutes deux d’une mise en conformité avec un univers réglementaire (bien fourni), mais aussi d’une capacité à anticiper, à combiner et à piloter l’harmonisation des rapports entre l’économique et le social.
L’opportunité que représente le développement durable va permettre de revitaliser un dialogue social enfermé dans des représentations où le système de production et les enjeux de société sont appréhendés de façon séparée. En se recentrant sur la question du lien formation/RSE, on retrouve le travail comme fil conducteur des différentes synergies entre les deux dimensions. On peut même avancer qu’il n’y a de rapport conséquent aux savoirs professionnels qu’en y intégrant les différents volets de la RSE, non pas à doses homéopathiques ou comme modules alibi, mais bien comme dimension intégrée d’une réflexion/action sur les pratiques professionnelles. C’est l’objet de cette matinée que de permettre de mieux cerner les implications de ces enjeux et de ces questionnements, pour les entreprises et les organismes de formation.
Lieu: Conservatoire national des arts et métiers, 292 rue Saint-Martin – 75003 PARIS - amphithéâtre C (Abbé Grégoire) accès 16. Métro: Arts et Métiers ou Réaumur-Sébastopol.
Programme
9 h Présentation de la matinée. Paul Santelmann, responsable de la prospective à l’AFPA.
9 h 10 La RSE remet en cause les pratiques sociales, environnementales, économiques et formatives. Vincent Merle, professeur du CNAM.
9 h 40 RSE et formation: pratiques et points de vue des entreprises.
Table ronde animée par Marc Ferracci, maître de conférences à l’Université de Marne-la-Vallée, avec Elisabeth Jaskulke, directrice du développement durable chez Sofiprotéol; Anousheh Karvar, secrétaire nationale de la CFDT; Sophie Thiery, directrice de Vigeo Enterprise; Josiane Vero, chargée d’études au Centre d’études et de recherches sur les emplois et les qualifications (CEREQ).
11 h 15 RSE: quelle implication pour les organismes de formation?
Table ronde animée par Jean Besançon, directeur de l’Université ouverte des compétences, avec: Denis Cristol, responsable de la formation continue d’Advancia et de Négocia (Chambre de commerce et d’industrie de Paris); Bruno Lebatteux, délégué régional du réseau des centres de formation professionnelle et de promotion agricole de Rhône-Alpes (RESORA); Olivier Mouroux, directeur d’AFPA Ingénierie; Débat avec la salle.
12 h 45 Conclusion. Paul Santelmann, responsable de la prospective à l’AFPA.
Bulletin d’inscription
Nom, prénom ……………………………………………….
Institution (qui figurera sur le badge) ………….
Adresse de facturation …………………………………
Adresse électronique ……………………………………
Montant de l’inscription – Ce montant inclut le numéro hors série AFPA/Education permanente qui sera remis aux participants.
- 40 euros
- 20 euros étudiants, chômeurs, retraités (uniquement inscrits à titre personnel, joindre justificatif)
Bulletin à retourner accompagné de votre règlement à: Education permanente, 16, rue Berthollet – 94113 ARCUEIL. N° déclaration existence: 11940430794. Tél 01 58 50 95 30 – fax 01 58 50 05 22. E-mail educperm@wanadoo.fr. www.education-permanente.fr.

Badanie to rano jest przekaźnik publikacji okolicznościowe AFPA/ Edukacja, która odbyła się na mało prawdopodobne, połączenie pomiędzy CSR i jeszcze szkolenia. Jednak zaangażowanie biznesu w procesie społecznej odpowiedzialności (lub społecznych) ma wiele połączeń z wyzwań kształcenia ustawicznego. We Francji, wszystkie one są przedmiotem przestrzegania przepisów świecie (dobrze zaopatrzony), ale także zdolność do przewidywania, do łączenia i napęd harmonizacji stosunków gospodarczych i społecznych.
Możliwość zrównoważonego rozwoju pomoże ożywić dialog zamknięty w reprezentacji, gdzie system produkcji i spraw społecznych są rejestrowane oddzielnie. Przez skoncentrowanie się na kwestii tworzenia link/CSR, znalazł pracę jako wspólny wątek z synergię pomiędzy dwoma wymiarami. Można nawet powiedzieć, że nie ma związku z wiedzy zawodowej, tak aby integracja różnych elementów CSR, a nie w małych dawkach lub jako alibi modułów, ale jako zintegrowany wymiar refleksji/akcji praktyk zawodowych. To jest przedmiotem niniejszej rano, aby lepiej zrozumieć skutki tych problemów i tych kwestii, firm i organizacji szkoleń. Więcej...
Le site TalentsUniverCité.com

Le site Talents UniverCité, c’est à la fois:
- Un outil gratuit pour tous
- Un site de recrutement pour mettre en relation employeurs (grandes et petites entreprises, associations, ONG, etc.) et étudiants ou jeunes diplômés de l’université
- Un site ressource pour fournir aux étudiants, aux entreprises et aux universités de l’information, des outils et des conseils personnalisés
- Un site facilitateur pour faire connaître l’ensemble des actions et bonnes pratiques menées par les entreprises, les universités et l’IMS en faveur de l’insertion professionnelle des étudiants, et ainsi donner à d’autre l’envie de s’engager
Quels services gratuits pour vos étudiants?
Pour les étudiants et les jeunes diplômés, c’est un moyen de:
- Trouver un emploi, une alternance ou un stage en France et à l’étranger
- Obtenir de l’information (témoignages, actualités, conseils…) pour faciliter leur orientation et les aider à construire un parcours professionnel
- Participer à des évènements organisés par l’IMS et ses partenaires pour faciliter l’accès à l’emploi de ces étudiants.
Les actions à destination des universités :
Favoriser le recrutement de vos étudiants via une plateforme web gratuite dédiée à l’insertion professionnelle des étudiants et jeunes diplômés
Talents UniverCité est un site qui a pour vocation de mettre en relation étudiants et entreprises, via des offres de stages, d’alternance et d’emploi.
Sur TalentsUniverCité, vous pouvez :
- Obtenir de l’information et des pistes de travail pour développer vos relations avec les entreprises
- Donner de la visibilité et valoriser votre engagement en faveur de l’insertion professionnelle de vos étudiants
- Témoigner de vos engagements et de vos actions menées avec les entreprises
Semaine Entreprises/Universités :
Du 5 au 9 décembre prochain, l’IMS organise une semaine Entreprises & Universités avec des actions partout en France. 50 entreprises, 9 Universités participeront à des ateliers coaching, cafés pour l’emploi, présentations de métiers….
Un événement le 9 décembre au matin sur Paris sera l’occasion :
- de revenir en images et avec des témoignages sur les actions menées tout le long de cette semaine
- et de réfléchir autour d’un débat intitulé « partenariats entreprises & universités: comment aller plus loin et mieux travailler ensemble ? »
L’édition 2011 est complète à ce jour. Nous vous invitons à nous contacter pour tout renseignement dans le cadre de la prochaine édition 2012.
Pour aller plus loin : optimisez vos partenariats avec les entreprises !
Afin de faciliter les collaborations entre l’université et le monde de l’entreprise, L’IMS vous propose une formation autour de 6 modules pédagogiques :
- Etat des lieux de vos relations entreprises
- Rôles, fonctionnement et attentes de l’entreprise
- Le recrutement en entreprise
- La prospection d’entreprises
- Actions à mettre en place avec les entreprises, méthodologie
- Suivi, évaluation, valorisation des partenariats
L’objectif de cette formation est d’aider votre université à mettre en place des actions concrètes et pérennes en faveur de l’insertion professionnelle de vos étudiants et de formaliser des partenariats durables avec les entreprises.
Public de la formation :
BAIP et SCUIO, Services relations entreprises, Missions Handicap, Responsables filières, CFA, Salariés de fondations, Élus des associations étudiantes représentatives, Conseil d’Administration et Conseil Scientifique…

Talents UniverCité kohas, siis on nii:
- Tasuta vahend kõigi
- Värbamise saidi link tööandjad (suured ja väikesed ettevõtted, assotsiatsioonid, valitsusvälised organisatsioonid jne.) Ja õpilased või vilistlased Ülikool
- Ressursi sait on pakkuda õpilastele, ettevõtete ja ülikoolide teabele, vahenditele ja personaalset
- Saidi abistaja teada kõiki meetmeid ja tavasid, mida ettevõtjad, kõrgkoolid ja IMS tööalast õpilased ja nii annab teisele soov tegeleda . Velle...
La VAE est désormais en voie de simplification, PACA pilote

L'activité peut être salariée ou non, voire bénévole, mais le demandeur doit justifier d'au moins trois ans d'exercice, que ce soit en continu ou en discontinu, à temps plein ou partiel.
Des démarches longues
Reconnue comme un droit individuel, la VAE est encore peu utilisée. Sans doute parce que les démarches sont encore longues, voire compliquées.
Le processus s'effectue en effet en 6 étapes: le diagnostic de la VAE, la vérification de l'adéquation entre la certification et les compétences acquises, le dossier de recevabilité, l'accompagnement du candidat à la VAE, la validation des acquis par un jury, et enfin la décision du jury. Le tout peut prendre jusqu'à 18 mois.
Une porte d'accès pour les Services à la personne
Il paraît cependant évident que la VAE est une porte d'accès intéressante pour les personnes désirant exercer dans les services à la personne.
Selon Monique Bosquain, responsable de la professionnalisation à l'ANSP, « 83% des salariés dans les SAP ont plus de 3 ans d'expérience. En outre, 31% n'ont pas de diplôme. Or, il existe aujourd'hui une soixantaine de certifications de tous niveaux permettant d'accéder aux services à la personnes via les VAE ».
L'Agence nationale des services à la personne (ANSP) et Pôle emploi ont donc décidé de simplifier les procédures et testent un nouveau dispositif dans trois régions test: PACA, le Limousin et les Pays de la Loire, avant de le généraliser dans toute la France en 2013.

Une nouvelle vague de 20 simplifications est engagée aujourd’hui pour les particuliers:
10- Améliorer l’information, l’orientation et le conseil des candidats à une validation des acquis d’expérience via le site vae.gouv.fr.
Près de 75000 candidats s’inscrivent chaque année dans une démarche de VAE et plus de 8000 certifications professionnelles différentes sont accessibles. La densité de l’offre entraine une hétérogénéité des pratiques et des modalités d’entrée dans un parcours Vae. Afin de simplifier le parcours des candidats, il leur sera proposé au 2ème trimestre 2012 un service en ligne afin de les guider dans leurs choix.


10 - Improving information, guidance and counseling of candidates for accreditation of prior experience through the site vae.gouv.fr. More...
Un bilan qui fait débat

Un décompte contesté par les syndicats, Sauvons la recherche, mais aussi les présidents d'université, qui pointent des changements de périmètre, l'agrégation de moyens budgétaires et extrabudgétaires, notamment. « L'engagement n'a pas été tenu; pour autant qu'on puisse y voir clair, la hausse avoisine les 4,5 milliards mais en comptant la dépense fiscale du CIR, qui a tout siphonné », dénonce Isabelle This Saint-Jean, chargée du secteur dans l'équipe de Martine Aubry et à la région Ile-de-France. Le groupe Marc Bloch, qui réunit 59 dirigeants de l'enseignement supérieur, a relevé sur son secteur une hausse de 1,7 milliard sur le quinquennat. La Conférence des présidents d'université (CPU), qui reconnait un effort réel, s'est inquiétée, dès le budget 2011, de sommes ne permettant d'assurer ni le fonctionnement des universités ni les nouvelles charges engendrées par leur autonomie. Deux points de négociations complexes avec l'Etat.

What role for the EU in an era of austerity?
By Cecile Hoareau. How does the recession affect higher education in Europe and what impact will it have in the future? Public funding represents on average 75% of European universities' income. The majority of European Union member states have announced budget cuts in higher education. France and Germany have decided to invest in higher education. The Nordic countries remain unaffected.
Budgetary cuts no doubt appear significant. But it is difficult to get a full measure of their magnitude without geographic and longitudinal comparisons. For example, 70% of states in the US have experienced cuts in public spending allocated to higher education, in comparison to 66% in the European Union. The fact that cuts in public spending on higher education are an international phenomenon implies a somewhat lesser decrease in international competitivity for Europe. Moreover, these cuts actually match long-term changes in the economics of higher education.
Cuts in public budgets lead to various coping strategies, for example increasing tuition fees and class sizes, limiting permanent employment and allocating more targeted and competitive funding as opposed to block funding, which leads to a potential fragmentation of universities' budgets and management. The case of England is particularly telling. England announced much-publicised cuts to its public budget for higher education in the winter of 2010 and strong reactions followed. The Secretary of State Vince Cable and his Higher Education Minister David Willetts announced a whopping reduction of 56% in teaching capital and of 22.91% for the recurrent grant for teaching between 2010 and 2013.
In fact, the changes in budgetary allocation are more significant than changes in public spending per se. The government is channeling funding to higher education institutions away from the central funding agency, the Higher Education Funding Council for England, and through the intermediary of students via a mixture of universal maintenance grants and income-contingent loans. These loans are not cost free to the public purse and remain heavily subsidised by the Department for Business, Innovation and Skills.
This reorganisation of the allocation of funding undeniably poses a varied set of challenges for higher education institutions, mostly because it significantly increases higher education institutions' dependency on students' willingness to pay. But as far as the government's involvement goes, the picture is less drastic than it looks at first sight. The budget allocated to research admittedly decreases temporarily, but is predicted to progressively increase from 2012. Moreover, higher education remains free upfront with every student eligible for a universal maintenance grant.
In a loan format not fully dissimilar to a targeted tax, graduates and not students pay for their fees. And this repayment is significantly subsidised by the government through the income-contingent threshold, for example. In fact, the government may end up subsidising students to a greater extent than it did before, since the maintenance grant has risen for the most disadvantaged and the repayment threshold has increased. England is just one example of how European governments are looking to adapt to public spending cuts in higher education. What is the wider significance for the European Higher Education Area? Should we expect to see more integration in higher education as a result of the recession, or more disintegration?
On the one hand, the current pessimism regarding the future of the Eurozone dampens any claims of future integration for higher education. But on the other hand, a reduction in national governments' spending power could tip the balance of power toward the EU for more integration.
This is an audacious claim for many. But previous recessions often triggered significant reforms and more European integration. The Single European Act followed the recession of the early 1980s and the Treaty of Maastricht was concurrent to the recession of the 1990s. A recession creates a rationale for and, for better or worse, opens up a window of opportunity for legitimate reforms. In the United States, federal intervention in higher education takes two forms; direct support to higher education institutions and financial aid to students. The US federal government has acted on both levels.
Direct federal support for higher education institutions, adopted as part of its stimulus package, does not compensate for the shortfall in state funding, but has reduced the decline in state funding. But the federal government has also acted on the budget allocated to financial aid to students, through Pell grants and student loans. Here again, more significant than spending figures are changes in the modes of allocation of federal aid. The federal government has acquired sole responsibility for the allocation of federal student loans, which were previously allocated by private lending institutions. This centralisation changes the student loan market in the US and allocates large powers to the federal government.
This increase in federal powers is more dormant in the European Union. The EU's influence on higher education remains limited, the EU having invested EUR7 billion (US$9.5 billion) in higher education (its lifelong learning programme) over 2007-13, a relatively insignificant amount in comparison to the US's investment of US$149 billion in financial aid alone. Nevertheless, the European Union has manoeuvred a progressive increase in its powers over the past decades and has expanded cooperation programmes and benefited from large-scale European initiatives such as the Bologna process.
This progressive increase in powers has extended to direct support to individuals, a grant allocated to support mobility programmes and plans for the introduction of a publicly subsidised EU-wide student loan scheme. Deeper integration in higher education policy is likely to occur for several reasons. This is because, once public spending is allocated, it is difficult for a federal government to reduce its appropriations. Policies create long-term commitment.
Generally speaking, a federal-level commitment to supporting welfare state policies reduces the chances of it not doing so in the future. The economic recession means that there is more incentive for states to pressure federal institutions to keep high funding levels or to increase them. It is easier for the federal government in both the US and the EU to generate capital through bonds than for some states, which have a lower credit rating on the capital market.
The states that contribute the most to the federal budget would clearly be expected to be more resistant to further integration. But the voting rules actually limit the veto powers of big states in the European Council. The requirement to obtain a qualified majority means that it is possible to adopt EU legislation without the agreement of Germany, France and the UK. Hence, as state spending becomes more and more constrained in this economic climate, the EU will increase in influence, both in terms of spending and competencies, resulting, in the case of the EU, in deeper integration.
In higher education, preliminary signs of a more significant influence at the EU level, at least in terms of spending power, are taking place in the negotiations over the budget. The fund for the flagship higher education programme Erasmus is tipped to increase by 71% in the 2014-20 budget, making education the area with the highest budget increase. This budget would double the number of youths, students and academics involved in mobility programmes from 400,000 to 700,000 to 800,000 each year.
So it is likely that the EU, provided it survives the debt crisis currently shaking the foundations of the Eurozone, will continue down a path of deeper integration in higher education, manifested at least by an increase in the budget allocated to higher education. Deeper integration admittedly does not only mean an increase in the public budget.
A new political impulse and fresh ideas have yet to emerge in the European Higher Education Area since the Bologna process reached its 2010 target. Such an impulse would require policy innovators as well as provide a window of opportunity that parallels the one of the late 1990s.
Université: l’âge d’or budgétaire est passé
Si en 2012, l'enseignement supérieur est toujours l'une des "priorités budgétaires", selon Laurent Wauquiez, le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, les universités ne devraient pas voir franchement augmenter leurs moyens. Le budget du secteur va augmenter de 769 millions d'euros, mais seulement 46 millions d'euros (hors masse salariale) iront directement aux établissements (+0,4 %). Avec une inflation prévue de 1,7 %, la majorité des universités verront dans les faits reculer leur subvention en 2012. Près de 191 millions d'euros seront dépensés en matière de masse salariale.
Un effort pour les étudiants
Avec 91 millions d'euros supplémentaires, le budget "vie étudiante" permet de financer le dixième mois de bourse est bien budgété et de poursuivre l'investissement dans le logement étudiant. En revanche, les organismes de recherche devront encore une fois se serrer la ceinture. Comme 2011, 2012 s'annonce difficile dans les laboratoires qui ne bénéficient pas d'autres ressources contractuelles (Europe, ANR, investissements d'avenir). 49 millions d'euros supplémentaires sont annoncés pour les organismes de recherche, dont 47 millions d'euros pour la seule masse salariale. L'Agence nationale de la recherche voit pour sa part baisser ses crédits de 12 millions d'euros.
Un effort pour les entreprises
Il y a un autre poste de dépenses qui ne connaît pas la crise: le crédit impôt recherche (CIR). Cette dépense "fiscale" doit représenter en 2012 5,3 milliards d'euros, contre un peu plus de 5 milliards cette année. Malgré cette aide importante publique au secteur privé, la part de la dépense privée en matière de recherche poursuit sa stagnation. Pour Laurent Wauquiez, "nous devons conserver ce CIR, car il permet l'installation en France de centres de recherche et développement. Grâce à ce dispositif, l'investissement en recherche et développement n'a pas plongé avec la crise, mais il a légèrement augmenter".
Un effort pour l'université
Quant au budget de son secteur, le ministre assure qu'"il fait toujours parti des priorités du gouvernement, puisqu'il n'est pas concerné par le non-remplacement d'un départ sur deux à la retraite, mais il est également astreint à l'effort collectif". D'autant plus, poursuit Laurent Wauquiez, que sur l'ensemble du quinquennat, les moyens alloué au secteur auront bien augmenté de 9 milliards d'euros, dont la moitié pour le CIR. Un bilan que se refuse à partager, par exemple le groupe Marc Bloch, qui a calculé une augmentation du budget de 1,7 milliards en cinq ans.
Kui aastal 2012, kõrgharidus on ikka üks "eelarve prioriteete," ütles Laurent Wauquiez, minister kõrghariduse ja teadustöö, peaksid ülikoolid ei näe ausalt suurendada oma vahenditega. Eelarve sektor kasvab 769000000 €, kuid vaid 46 miljonit eurot (va palgafond) läheb otse koolides (0,4%). Koos oodatava inflatsiooni 1,7%, enamik ülikoole tegelikult vähendada oma toetust 2012. Ligi 191000000 € kulutatakse palgal. Velle...
Les vidéos de l'espace communication de la FC de Nancy-Université

La Validation des Acquis de l'Expérience à l'Université.
Les rendez-vous des acteurs de la formation, de l'insertion et de l'accompagnement
Le cycle ingénieur par la formation continue.
Réunion informelle des Ministres européens en charge de l'enseignement et de la formation professionnelle et des Ministres européens en charge de l'enseignement supérieur.
Les rendez-vous des acteurs de la formation, de l'insertion et de l'accompagnement
Contribuer à la professionnalisation des acteurs de la formation et l'insertion en Lorraine et contribuer au développement de réseaux des professionnels de la formation, de l'insertion et de l'accompagnement en Lorraine. Cinq journées ont été organisées (2010/2011). L'ensemble des interventions ont été filmées.
Rendez-vous du 1er février 2011: la question de la professionnalisation en général, et en particulier, celle des acteurs de la formation, de l'insertion et de l'accompagnement
Vous avez dit "professionnalisation"? - Richard Wittorski - Professeur des universités - Université de Rouen
De la formation professionnelle à la professionnalisation - Michel Sonntag - Professeur des universités - Institut National des Sciences Appliquées de Strasbourg
La construction sociale de la professionnalisation au sein de l'Europe: vers un modèle partagé? - Brigitte Pagnani - Maître de conférences à l'Université de Strasbourg
Rendez-vous du 14 décembre 2010 : les partenariats dans les territoires pour la formation et l'insertion
Enjeux et limites des la territorialisation des politiques de formation et d'insertion - Jean-Luc Ferrand - Chargé d'enseignement et de recherche à la Chaire de Formation des Adultes du CNAM - Paris
Les actions publiques territoriales et leurs conséquences pour l'activité des acteurs de l'insertion, de la formation et de l'accompganement - Jean-Luc Deshayes - Maître de conférences - Université Henri Poincaré - Nancy
Partenariats : compétences et méthodes partagées par les acteurs - Gilbert Grandjean - GIP Formation Tout au Long de la Vie
Rendez-vous du 9 novembre 2010 : l'engagement en formation pour développer les compétences de base
Engagement en formation et dynamiques identitaires - Mokhtar Kaddouri - Maître de Conférences - CNAM - Paris
Rapport au savoir d'adultes en situation l'illettrisme - Nacira Aït-Abdesselam - Maître de conférences - Université Lille 1
Regards et questions sur les pratiques d'accompagnement en formation pour développer les compétences de base - Elie Maroun - Chargé de mission - Agence Nationale de Lutte contre l'Illettrisme
Subjectivité et insertion socioprofessionnelle - Nathalie Lavielle-Gutnik - Maître de Conférences - Université Nancy 2 - LISEC Lorraine
Expérience et insertion socioprofessionnelle - Patrick Mayen - Enseignant/Chercheur - ENESAD de Dijon
Quels liens aujourd'hui entre salaire, emploi et travail? - Bernard Friot - Professeur émérite de sociologie - Université Paris Ouest Nanterre
Rendez-vous du 15 juin 2010: la construction, la reconnaissance et la validation des compétences et des acquis de l'expérience
Historique et évolutions des dispositifs. Quelles spécificités françaises? - Bernard Liétard - Précédemment maître de conférences à la chaire de formation des adultes du CNAM
Quel processus de constrution-développement des compétences tout au long de la vie? - Emmanuel Triby - Chargé de mission VAE, maître de conférence - LISEC Alsace
Quelles pratiques d'accompagnement pour le développement des compétences? - Anne Flye Sainte-Marie - Chargée de mission VAE - Maître de conférence - LISEC Lorraine.

Validierung der erworbenen Erfahrung an der Universität.
Die Ernennung der Ausbildung Akteure, Integration und Support
Die Engineering-Programm durch Weiterbildung.
Informelles Treffen der europäischen Minister für Bildung und Berufsbildung und der europäischen Minister für höhere Bildung. Mehr...
4000ème article sur le blog / Les chiffres de la VAE pour l’année 2010 à La Réunion
La VAE permet d’obtenir tout ou partie d’une certification à finalité professionnelle sur la base d’une expérience professionnelle salariée, non salariée (commerçant, conjoint/collaborateur, profession libérale, agriculteur ou artisan...) et/ou bénévole (syndicale, associative) et/ou volontaire, et/ou élective, à condition que la certification visée soit en lien direct avec l’expérience.
La CRIS VAE vient de publier son panorama de la validation des acquis de l’expérience. Ce document fournit les données relatives à la VAE pour l’année 2010.
En 2010, près de 5 000 personnes intéressées par la VAE
Les personnes qui se sont intéressées à la VAE, sont issues de toute l’île. 1926 personnes ont participé à une information collective et 1 209 ont été reçues en entretien conseil. Plus de la moitié des individus sont des demandeurs d’emploi (54,5 %).
Le secteur d’activité ou le dernier secteur d’activité occupé par les individus les plus représentés sont:
le tertiaire (26 %),
le paramédical (23,6 %)
et le commerce (15 %).
Les diplômes de l’Education nationale sont les plus sollicités (44,1 %), viennent ensuite les diplômes de la santé (14,2 %) et les titres professionnels du ministère chargé de l’Emploi (11,7 %).
2 520 personnes ont été informées par un service valideur en 2010
1111 certifications sont accessibles par la voie de la VAE à La Réunion - en Métropole 5 709 certifications sont répertoriées dans le RNCP et 2 385 certifications sont en cours de traitement. Ce sont majoritairement des certifications délivrées par l’Etat. Entre 2009 et 2010, le nombre de certification accessible par la VAE à La Réunion a légèrement progressé.
Concernant les certifications non accessibles à La Réunion, les pistes de faisabilité restent envisageables. Certains valideurs offrent la possibilité de visio-conférences.
Selon les certificateurs, les candidats sont évalués, soit, sur la base d’un dossier et/ou d’une mise en situation professionnelle, complété, éventuellement, par un entretien avec le jury. Ainsi en 2010:
1274 personnes se sont présentées à une session de VAE,
720 ont obtenu une validation totale,
368 ont obtenu une validation partielle
et 186 n’ont rien obtenu.
Sur les 720 certifications obtenues :
472 sont des diplômes de l’Education nationale,
168 des diplômes du secteur sanitaire et social,
et 27 ont obtenu un titre professionnel du ministère chargé de l’Emploi,
soit un taux de validation de 85,4 % (totale 56,5 % et partielle 28,9 %).
Plus de la moitié des accompagnés sont des femmes (64 %)
441 personnes ont demandé un accompagnement. Cet accompagnement concerne pour 42,7 %, des certifications de niveau III. 196 personnes ayant obtenu la certification totale ont bénéficié d’un accompagnement, soit un taux de validation de 87,2 % (total 67,8 % et partielle 19,4 %). Pour en savoir plus télécharger la publication La VAE en chiffres: année 2010.
Les autres repères du blog:
3500ème article sur le blog/La VAE en Poitou-Charente en 2010,
3000ème article sur le blog/Contrats apprentissage et pro,
2500ème article sur le blog/Journées Nationales des MDE et des PLIE,
2000ème article sur le blog/Question Formation n°1,
1500ème article sur le blog/Seniors - le groupe SPB signe son accord,
1000ème article sur le blog/Fête de la musique dans les jardins du MESR,
500ème article sur le blog/L'archipel de l'ingénierie de formation,
1er article sur le blog/Un forum de la Commission européenne pour promouvoir la coopération entre l’université et le monde des affaires.
VAE provides all or part of a new vocational certification based on professional experience employment, self-employed (trader, partner/collaborator, professional, farmer or artisan...) and/or volunteer (of association, associative) and/or voluntary and/or elective, provided that the certification referred either directly related experience.
The CRIS VAE has released its overview of the accreditation of prior experience. This document provides data on the EVA for the year 2010.
In 2010, nearly 5000 people interested in VAE
People who are interested in VAE, are from the island. 1926 people attended an information group and 1209 were received counseling session. More than half of people are unemployed (54.5%).
The business or the last sector occupied by those most represented are:
the tertiary sector (26%)
paramedical (23.6%)
and trade (15%).
Diplomas of Education are the most sought (44.1%), followed by degrees of health (14.2%) and professional qualifications of the Ministry of Employment (11.7%).
Other landmarks: the 3500th article on the blog/VAE in Poitou-Charente in 2010, the 3000th article on the blog/Learning Contracts and professionalization, the 2500th article on the blog/National Days of MDE and WITCH, 2000th article blog/Training Question, 1500th article on the blog/Seniors: SPB group signed its agreement, the 1000th article on the blog/Music festival in the gardens of MESR, the 500th article on the blog/Symposium: "The the archipelago of engineering education". More...