Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Formation Continue du Supérieur
27 août 2011

«Nous allons traquer les marchands de stages»

http://blog.sjbm.fr/wp-content/uploads/2011/06/20090907_liberation.jpgInterview Laurent Wauquiez, le ministre de l'Enseignement supérieur, revient sur le problème récurrent du recours abusif aux stagiaires. Recueilli par Marie Piquemal.
Les mesures prises pour éviter les recours abusifs aux stagiaires se retournent parfois contre les jeunes. Aujourd'hui, certains se retrouvent à payer des organismes de formation bidons pour avoir des conventions de stage. Partagez-vous ce constat d’échec ?
Il faut voir d’où on vient, du Far West ! La loi de 2006 et aujourd’hui la loi Cherpion [qui impose notamment un délai de carence entre deux stages à un même poste, ndlr] ont permis d’établir un cadre. C’est incontestablement un progrès. Aujourd’hui, selon notre étude, la moitié des stages sont rémunérés, contre un tiers auparavant. Là où on trouvait des stages type pause-café, on estime aujourd’hui que six stages sur dix sont professionnalisants et durent plus de deux mois. Donc, que les choses aient progressé, c’est sûr. Que ce soit suffisant, sûrement pas. On est loin d’être au bout du chemin, j’en ai conscience. Je compte axer mon action sur ce sujet, notamment en traquant les «marchands de stage».
Que comptez-vous faire ?

Traquer les organismes privés qui vendent des fausses formations pour délivrer de fausses conventions de stage. Ce sont des arnaques. Ces organismes s’exposent à des sanctions extrêmement importantes.
Est-ce que la solution ne serait pas d’appliquer le droit du travail aux stagiaires de la même manière que pour les apprentis ? Ils auraient ainsi une vraie rémunération, et l’accès aux droits de base (la possibilité de cotiser pour leur retraite, congé, l’ouverture de droit au chômage…).
Non. Il faut faire attention de ne pas tout rigidifier. Si prendre un stagiaire devient aussi compliqué que d’embaucher quelqu’un, les entreprises ne prendront plus de stagiaires. Or on a besoin que nos étudiants fassent des stages, c’est un vrai plus. Il faut donc trouver un équilibre entre traquer les abus et laisser les portes des entreprises ouvertes.
Pour le collectif Génération précaire, les stages tuent l’emploi junior...

C’est exactement l’inverse. Un jeune qui a fait un stage voit ses chances de trouver un emploi multipliées par deux [toujours selon l'étude du ministère, ndlr]. Je défends absolument la place des stages dans la formation des étudiants. Mon modèle, c’est un stage conçu à l’intérieur de la formation, dans le cadre d’un parcours d’acquisition de compétence, avec une rémunération intégrée et un partenariat entre l’université et l’entreprise. Les connaissances, avec les stages, deviennent des compétences.
Les organisations étudiantes réclament une vraie rémunération des stages, et non plus la gratification forfaitaire de 417 euros mensuels, inférieure au RSA. Que leur répondez-vous ?

Aujourd’hui, 83% des étudiants qui sont en deuxième année de master ont une rémunération supérieure à 417 euros (ils sont 63% a faire un stage à ce niveau). Les compétences des étudiants concernés sont donc reconnues, dans des conditions de plus en plus satisfaisantes.
A lire aussi : «Jeune diplômé cherche stage à tout prix» Payer 900 euros pour faire un stage
Les étudiants se tournent alors vers des boites privées. Gwenaëlle a ainsi aligné «quelque chose comme 900 euros» pour avoir sa convention. «La formation vendue avec, c'était un peu la blague. Des cours par correspondance avec des livrets à rendre si on voulait. Le formateur brillait surtout par son absence», raconte-t-elle, ajoutant, un peu gênée: «évidemment, ça m'énerve. Devoir payer pour faire un stage ce n'est pas normal. Mais en même temps, j'étais coincée, je n'avais pas vraiment d'autre choix.»
http://blog.sjbm.fr/wp-content/uploads/2011/06/20090907_liberation.jpg Intervjuu Laurent Wauquiez, kõrghariduse, arutab pidev probleem kuritarvitamise praktikandid. Kogunud Marie Santos. Võetud meetmete kuritarvitamise vältimiseks õpilased on pöördunud vastu noorte vahel. Nüüd mõned on leitud, et maksta koolitusorganisatsioonid purgid on internatuuri kokkulepped. Kas nõustute selle läbikukkumine?
Teil on näha kust sa tuled, Wild West!
2006 seadus ja täna Cherpion seadus [nõudes sellist ooteaega kahes etapis samas asendis, märkus] on kehtestatud raamistik. See on kahtlemata samm edasi. Täna, meie uuring, pool kõigist praktikume makstud , Kolmanda isiku vastu enne. Kus olid praktikume tüüpi kohvipausi, on hinnatud, et kuus kümnest etapid on professionalizing ja kestavad kauem kui kaks kuud. Nii et asjad on paranenud kindlasti. Aitab, kindlasti mitte. See on palju mööda teed, olen teadlik. Kavatsen keskenduda oma jõupingutusi selle teema kohta, sealhulgas jälgimist "kaupmehed muidugi." Veel ...
27 août 2011

Fee rise prompts four out of five pupils to reconsider university plans

Click here for THE homepageBy Jack Grove. Most pupils planning to attend university from 2012 onwards are reconsidering their options due to the increase in tuition fees, according to a new poll.
The National Foundation for Educational Research found that 15 per cent of year 10 to 12 pupils who planned to study at university would not now go owing to fee rises.
Nineteen per cent of pupils said they would only apply only to those universities where the annual fees are less than the maximum of £9,000 per year and 17 per cent were considering alternatives to university, such as studying at further education colleges or foreign universities.
Just over a quarter of pupils questioned said they would only apply for local universities so they could live at home.
The National Foundation for Educational Research reported that only 21 per cent of the pupils spoken to said their plans to attend university would not change.
Average tuition fees are set to rise to £8,393 from September 2012, although poorer students will be eligible for fee waivers and bursaries at most institutions.
The results are drawn from a survey of 1,139 secondary school pupils in England aged 14 to 17 in June 2011, of which 433 pupils said they planned to go to university.
Analysis also shows that 43 per cent of pupils from richer backgrounds would not change their plans - double the rate of the overall rate of 21 per cent.
Maria Charles, project director for the foundation’s omnibus surveys, said: “Until the applications come in for university studies from September 2012 it will be hard to know the real impact of the increase in fees on young people’s choices.
“However, it seems likely that fewer young people will apply for university and that the pattern of applications will change. It remains to be seen what the longer term implications will be.”
The government has urged young people not to be put off university by the changes to the fee regime, arguing that the new system – under which repayments will not kick in until they are earning over £21,000 a year – will offer many a better deal than at present.
27 août 2011

Les métiers de l'Enseignement supérieur et de la Recherche

http://fr.bimeanalytics.com/wp-content/uploads/2010/11/ministere-de-l-enseignement-superieur-et-de-la-recherche-france.jpgLes métiers de l'éducation sont accessibles par concours. Il y a plusieurs types de concours: les concours "externes", les concours "internes" etc.
Le niveau d'études requis varie selon la catégorie du concours concerné:
[bac+3] concours de catégorie A : ouverts aux titulaires d'une licence ou plus;
[bac] concours de catégorie B : ouverts aux titulaires du bac ou plus. Certains concours nécessitent un diplôme à caractère professionnel (ex : assistant de service social...);
[brevet, CAP, BEP, sans conditions de diplôme] concours de catégorie C: ouverts soit sans conditions de diplôme, soit aux titulaires du brevet ou d'un CAP, BEP, etc., ou plus.

Petit guide pour accéder aux métiers de la recherche

La recherche est à la fois une conjugaison de talents individuels et le produit d’un travail d’équipe. La production de connaissances revient aux enseignant(e)s-chercheur(e)s et aux chercheur(e)s. Elle est à l’origine des nouvelles applications et des grandes avancées techniques contemporaines.
Pour accomplir cette mission, l’apport de compétences de nombreux ingénieur(e)s et technicien(ne)s est essentiel. Si les candidat(e)s aux métiers de chercheur ou d’enseignant-chercheur sont obligatoirement titulaires d’un doctorat, de nombreux niveaux de qualification trouvent leur place dans une équipe de recherche. Il en est ainsi dans les universités, les écoles, les organismes publics et les entreprises.
A côté des compétences scientifiques et techniques, de multiples savoirs et savoir-faire, à tous les niveaux de responsabilité, sont nécessaires pour assurer le fonctionnement de l’activité de la recherche, développer sa visibilité auprès de la société ou aider au transfert de ses résultats.
Comment accéder aux métiers de la recherche publique ?

Qu’il s’agisse de l’activité de recherche ou des nombreux métiers qui accompagnent la recherche, les offres d’emploi, sur concours ou sur contrat, sont d’origines multiples.
Les universités, les écoles et certains organismes publics recrutent essentiellement par voie de concours des personnels qui seront titularisés après une année de stage. Différents concours sont organisés en fonction des catégories de personnels et des niveaux de qualification. Ces universités et ces organismes recrutent également certains personnels sur contrats de droit public. La loi liberté et responsabilité des universités du 10 août 2007 étend la responsabilité des universités en matière de gestion des ressources humaines, et leur ouvre notamment la possibilité de recruter des contractuels, sur contrat à durée déterminée ou indéterminée, pour occuper des fonctions techniques ou administratives correspondant à des emplois de catégorie A ou pour assurer des fonctions d’enseignement, de recherche ou d’enseignement et de recherche.
D’autres organismes publics de recherche recrutent exclusivement sur contrats de droit privé à durée indéterminée ou à durée limitée, comme le font les entreprises.
Toutes les informations concernant les modalités et procédures de recrutement sont précisées sur les sites du ministère de l’Éducation nationale et du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, des organismes de recherche et des universités.
Pour les chercheurs, enseignants-chercheurs, ingénieurs et techniciens, de nombreuses informations ainsi que l’actualité du recrutement sont accessibles depuis le portail: www.emploi-scientifique.info.
ÉTABLISSEMENTS RECRUTANT ESSENTIELLEMENT PAR VOIE DE CONCOURS*

- Les EPST (établissements publics à caractère scientifique et technologique) : CEMAGREF, CNRS, INED, INRA, INRETS, INRIA, INSERM, IRD, LCPC
- Les EPSCP (établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel) dont les universités, les Écoles normales supérieures, les Écoles centrales, le Muséum national d’histoire naturelle…
- Les grands établissements : Collège de France, Conservatoire national des arts et métiers, École centrale des arts et manufactures, École des hautes études en sciences sociales, École pratique des hautes études, École nationale des Chartes…
- Les EPA (établissements publics à caractère administratif): CEE, INRP
ÉTABLISSEMENTS RECRUTANT SUR CONTRATS*
- Les EPIC (établissements publics à caractère industriel et commercial): ADEME, ANDRA, BRGM, CEA, CIRAD, CNES, CSTB, IFREMER, IFP, INERIS, IRSN, ONERA
- Certains GIP (groupement d’intérêt public): CNRG, OST, RENATER
- Les fondations privées: Institut Curie, Institut Pasteur
- Autres statuts: OSEO
* Principaux établissements placés sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche

Les fiches métiers par domaine. Dernière mise à jour le 30 mai 2011.

Les métiers de l'enseignement supérieur et de la recherche sont très nombreux et variés. Ils concernent les domaines suivants:
Enseignement, éducation et orientation  Santé, social

Recherche et formation

Administration, comptabilité, gestion et finances 

Bibliothèques

Encadrement

Careers in education are available by competition. There are several types of competition: the contest "external" competitions "internal" and so on.
A short guide to access to research careers
The research is both a combination of individual talents and the product of teamwork. Knowledge production is up to the teacher(s)-researcher(s) and researcher(e)s. It is the source of new applications and major technical advances contemporary
The job profiles by field. Last updated May 30, 2011.
Careers in higher education and research are many and varied. They cover the following areas:
Teaching, education and guidance
Lecturer

University professor
. More...
27 août 2011

Vous avez un Projet de Création d’Entreprise?

http://sites.univ-provence.fr/ducge/oo/cge.gifL'Université de Provence en partenariat avec la Maison de l'Entrepreneuriat de Provence vous propose une formation à la Création et Gestion d’Entreprise, validée par un Diplôme d’Université, vous permettant d’acquérir ou consolider vos compétences en Economie et Gestion des Entreprises, Démarche Projet, Techniques Commerciales, Techniques de Communication, et de bénéficier d’une aide et d’un accompagnement personnalisé, pour la réussite de votre projet!
Buts de la Formation

De façon générale: former et accompagner des porteurs de projets de création d'entreprise.
Apporter à ces derniers les connaissances et compétences indispensables pour la réalisation et la pérennisation de leur future entreprise : formaliser leur idée de création, vérifier l'adéquation entre leur projet et leurs compétences professionnelles, réaliser leur étude de marché, leur business plan financier, leur plan de commercialisation et de communication, et accomplir toutes les formalités juridiques et administratives de création.
Leur donner les connaissances de bases et les outils de gestion nécessaires au démarrage comme au fonctionnement ultérieur d'une PME.
Accompagner les actes liés à la démarche générale de la création, l'accomplissement des documents commerciaux, financiers, juridiques et administratifs, de même que le suivi du créateur dans les premiers mois de son démarrage d'activité.
Permettre à un créateur d'entreprise de vérifier la faisabilité et la viabilité de son projet en le soumettant en fin de formation à un jury d'experts qui pourra le valider ou y apporter ses réserves, observations et conseils.
Maison de l'EntrepreneuriatModules & Programme

6 modules de formation pour 300H d'enseignements spécialisés:
Méthodologie de la Création d'Entreprise 40 H
Économie et Gestion des Entreprises 80 H
Marketing & Techniques Commerciales 80 H
Démarche Projet 40 H
Techniques de Communication 20 H
Ateliers 40 H
Cliquez sur la désignation du module pour consulter le programme détaillé!
L'Equipe Pédagogique
Guy REVERT, Professeur Certifié d'Économie et Gestion, enseignant à l'Université de Provence Centre de ST Charles - www.guyrevert.fr, Responsable de la formation & Intervenant sur les Modules Création d'Entreprise< et  Économie & Gestion des Entreprises.
Annie DURANTON, Formatrice en Marketing et Communication, Intervenante sur le Module Techniques Commerciales.
Jean-Louis MONCLER, Consultant Indépendant & Formateur en Conduite de Projet & Communication à l'Université de Provence Centre de ST Charles - www.jlmconsultant.fr. Intervenant sur les Modules Démarche Projet et Techniques de Communication.
Evaluations & Validation. Admission & Inscription. Coordonnées & Contact. Téléchargement pdf: Présentation du DU. Programme du DU. Demande d'inscription.
http://sites.univ-provence.fr/ducge/oo/cge.gif The University of Provence in partnership with the Maison de Provence Entrepreneurship offers training in Design and Business Management, validated by a University Diploma, allowing you to gain or consolidate your skills in Economics and Management Business, Project Approach, Technical Trading, Technical Communication, and receive support and personalized assistance for the success of your project!
Goals of Training

In general: training and support for project business creation.

Bring to them the knowledge and skills essential to the achievement and sustainability of their future business: to formalize their idea of creating, verifying the suitability of their project and their skills, achieve their market research, their business financially, they marketing plan and communication, and fulfill all legal and administrative set up.

Give them the basic knowledge and management tools needed to start the subsequent operation as a small business.

Supporting documents connected with the general approach to the creation of the completion of business documents, financial, legal and administrative, as well as monitoring of the designer in the early months of its start of operation.

Allow an entrepreneur to verify the feasibility and viability of the project by subjecting the end of training to a panel of experts who can validate or make his reservations, comments and advice
. More...
27 août 2011

Frais d’inscription: M. Wauquiez trouve « surréaliste » la proposition de Terra Nova

http://orthophonie.blog.uhp-nancy.fr/files/2009/11/Monde-%C3%A9ducation.JPGPar Philippe Jacqué. A la lecture de la proposition de Terra Nova de tripler ou quadrupler sous cinq ans les droits d'inscription à l'université, Laurent Wauquiez, le ministre de l'enseignement supérieur a "failli tomber de [s]a chaise". "J'étais complètement abasourdi", assure-t-il au Monde. "Je trouve que dans cette période de crise, où toute l'attention est portée sur la question du pouvoir d'achat, ce type de mesure n'est pas acceptable. Il ne faudrait pas que les étudiants paient la facture de la crise."
De plus, juge le ministre, "penser que Terra Nova qui est un think tank proche du parti socialiste (PS), produise ces idées avec le plus parfait cynisme, a un côté surréaliste. On a toujours pas entendu un responsable du PS se distancer de cette proposition. Cela induit que ce type d'idée peut être potentiellement reprise dans le projet du PS". A la publication du rapport, mardi 23 août, seul l'UNEF, le premier syndicat étudiant, avait réagi au micro d'Europe 1, pour condamner cette mesure.
Préserver les classes moyennes
Aujourd'hui, prévient le ministre, "pour nous, ce n'est pas une voie dans laquelle nous voulons nous engager. L'avenir ne se construit pas en faisant payer une facture exorbitante aux étudiants. De plus, cela représenterait une rupture forte avec le modèle français."
Tripler les droits d'inscription en licence et les quadrupler en master ajouteraient un poids supplémentaire sur les épaules des classes moyennes, assurent-t-ils : "Les étudiants les plus modestes sont exonérés, les plus aisés n'ont pas de problème pour les payer, tandis que les classes moyennes prendraient de plein fouet cette augmentation. Or, je crois qu'une société se construit sur les classes moyennes. Renforcer le poids pesant sur leurs épaules est le chemin inverse que la France doit prendre."
http://orthophonie.blog.uhp-nancy.fr/files/2009/11/Monde-% C3% A9ducation.JPG By Philippe Jacqué. A reading of the proposal Terra Nova triple or quadruple in five years, tuition at the university, Laurent Wauquiez, the minister of higher education has "almost fell off [his] chair "." I was completely stunned, "says he in the world." I think in this time of crisis, where attention is paid to the issue of purchasing power, such as n ' is not acceptable. should not that students are paying the bill for the crisis." More...
27 août 2011

DCG et DSCG - Calendrier 2012 des inscriptions et des épreuves - VAE

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Global/83/2/bandeau-bo_179832.34.jpgDCG et DSCG - Calendrier des inscriptions et des épreuves - session 2012 arrêté du 20-7-2011.
Article 1
- Pour les candidats qui s'inscrivent sur la base d'un titre ou d'un diplôme, ou qui justifient d'une validation partielle prononcée par le jury national du DCG ou du DSCG, le calendrier des inscriptions au diplôme de comptabilité et de gestion (DCG) et au diplôme supérieur de comptabilité et de gestion (DSCG), session 2012, s'établit comme suit: voir le tableau.
Article 2 - Pour les candidats qui s'inscrivent au titre de la validation des acquis de l'expérience (VAE), le calendrier des inscriptions au diplôme de comptabilité et de gestion (DCG) et au diplôme supérieur de comptabilité et de gestion (DSCG), session 2012, s'établit comme suit:
Date nationale d'ouverture des inscriptions sur internet:
DCG-5 janvier 2012  DSCG-25 avril 2012
Date nationale de fermeture des inscriptions sur internet: DCG-7 février 2012 à 17 h (heure métropolitaine) DSCG-29 mai 2012 à 17 h (heure métropolitaine)
Date nationale limite de retour des dossiers d'inscription et du Livret 2:
DCG-29 février 2012 à minuit (cachet de La Poste faisant foi) DSCG-20 juin 2012 à minuit (cachet de La Poste faisant foi). Voir le tableau.
Article 3 - Le service d'inscription sur internet sera ouvert:
- pour le DCG, du 5 janvier 2012 au 7 février 2012 jusqu'à 17 h (heure métropolitaine) ;
- pour le DSCG, du 25 avril 2012 au 29 mai 2012 jusqu'à 17 h (heure métropolitaine).
Pour l'ensemble des candidats, et quel que soit leur lieu de résidence, les inscriptions s'effectuent obligatoirement et exclusivement par Internet à partir du site suivant : http://www.siec.education.fr, rubrique « examens », sous-rubrique « DCG.DSCG ». À l'issue de cette démarche, le candidat reçoit son formulaire d'inscription par voie postale. Ce document, auquel le candidat joint les justificatifs demandés, constitue le dossier d'inscription, à retourner au service gestionnaire:
- pour tous les candidats au DCG: avant le 29 février 2012 à minuit (cachet de La Poste faisant foi). Seuls les rapports de stage relatifs à l'épreuve n° 13 « relations professionnelles » peuvent être envoyés jusqu'au 19 mars 2012 minuit (cachet de La Poste faisant foi).
- pour les candidats au DSCG (VAE): avant le 20 juin 2012 à minuit (cachet de La Poste faisant foi)
.
- pour les candidats au DSCG (hors VAE): avant le 23 août 2012 à minuit (cachet de La Poste faisant foi). Seuls les mémoires relatifs à l'épreuve n° 7 « relations professionnelles » peuvent être envoyés jusqu'au 31 août 2012 minuit (cachet de La Poste faisant foi).
Le candidat qui n'aurait pas reçu le formulaire d'inscription pour le DCG, le 17 février 2012, pour le DSCG, le 15 juin 2012, doit en informer (par lettre recommandée avec accusé de réception) le service rectoral gestionnaire de son académie de rattachement pour le DCG, avant le 22 février 2012 minuit (cachet de La Poste faisant foi) et pour le DSCG, avant le 20 juin 2012 minuit (cachet de La Poste faisant foi), en indiquant impérativement le numéro qui lui a été attribué lors de son inscription par internet.
Article 4 - La demande d'inscription à l'épreuve n° 7 du DSCG « relations professionnelles » ne sera acceptée au titre de la session 2012 que si la « fiche d'agrément du sujet de mémoire », dûment validée par un enseignant-chercheur, est envoyée au service gestionnaire au plus tard le 23 août 2012 minuit. Le candidat qui souhaite confier le recueil de l'agrément à son service gestionnaire doit lui faire parvenir la dite fiche au plus tard le 15 avril 2012 minuit.
Article 5 - Lors de son inscription, le candidat précise, parmi les épreuves constitutives du diplôme, celles pour lesquelles il souhaite faire valoir d'éventuels report(s) de note, dispense (s) et, le cas échéant, validation(s) accordée(s) au titre des acquis de l'expérience (VAE) par le jury national du DCG ou par le jury national du DSCG.
Article 6 - Aucune inscription et aucune pièce justificative ne seront acceptées hors délais.
Article 7 - Pour un même diplôme, le candidat ne peut à la fois s'inscrire pour passer des épreuves et sur la base du dispositif de validation des acquis de l'expérience (VAE).
Article 8 - Le calendrier des inscriptions et des épreuves s'applique à tous les candidats quel que soit leur lieu de résidence.
Article 9 - Les candidats résidant à l'étranger, à Mayotte, ou dans les collectivités et territoires d'outre-mer (Com et Tom) sont rattachés et gérés par les services des rectorats figurant dans la liste ci-dessous: Liste des rectorats de rattachement.
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/Global/83/2/bandeau-bo_179832.34.jpg DCG i DSCG - Kalendarz rejestracji i testowania - sesja 2012 dekret 20-7-2011.
Artykuł 1 - W przypadku wnioskodawców, którzy zarejestrują się na podstawie tytułu lub dyplomu, lub uzasadniające częściowe zatwierdzenia przez krajowe jury DCG lub DSCG, wpisy w kalendarzu w stopniu rachunkowości i zarządzania (DCG) i Dyplom studiów wyższych w rachunkowości i zarządzania (DSCG), sesji 2012 roku, w następujący sposób: patrz tabela.
Artykuł 2 - W przypadku wnioskodawców, którzy zarejestrują się w ramach akredytacji wcześniejszej nauki (APL), czas rejestracji w stopniu w zakresie rachunkowości i zarządzania (DCG) i Dyplom studiów wyższych w rachunkowości i zarządzania (DSCG ), sesji 2012 roku, w następujący sposób:
Narodowy Data otwarcia rejestracji na stronie internetowej: DCG-DSCG-05 stycznia 2012 25 kwietnia 2012

Narodowy Termin składania zgłoszeń na stronie internetowej: DCG-07 lutego 2012 do 17 pm (kontynent) DSCG-29 maja 2012 do 17 pm (kontynent)

Ograniczenie Data Narodowego składania wniosku o rejestrację i Book 2: DCG-29 lutego 2012 r. o północy (znaczek pocztowy, autentyczny) DSCG-20 czerwca 2012 r. o północy (decyduje data stempla pocztowego jako dowód). Więcej...
27 août 2011

Global higher education's boldest step

http://www.universityworldnews.com/layout/UW/images/logoUWorld.gifBy Elizabeth Hanauer and Anh-Hao Phan. As universities around the globe continue to internationalise, promoting study abroad, recruiting international students and forming partnerships and degree programmes, one recent trend - the opening of international offshore, satellite or branch campuses - has taken off exponentially over the past 10 years. Of the estimated 100 branch campuses currently operating worldwide, more than a third are in the Arab region.
There are nearly 60 transnational institutions and programmes in the Middle East today and of these, over 80% are located in the Persian Gulf with staggering concentrations in the United Arab Emirates and Qatar. Nearly half these institutions are affiliated with universities in the United States, while the rest are spread across several other mostly Western and Asian nations.
Several types of institutions or programmes can be identified in the region. Only New York University in Abu Dhabi has opened a replica campus, a full-scale, degree-granting, research university with a liberal arts and science college. Many institutions such as Weill Cornell Medical College in Doha and Manchester Business School Worldwide in Dubai have opened branch campuses that offer degrees in one or two specialised academic or professional fields of study at a foreign site.
Additionally, old and new turnkey foreign-style institutions have been founded in affiliation or consultation with foreign contractors or institutions: for example, the long-standing American University in Cairo or the recently opened American University of Sharjah. Transnational or offshore programmes do not establish their own physical campus abroad, but rather partner with a host country institution to teach, for instance, an American business curriculum at an existing university in Bahrain.
A few foreign-style institutions have opened in the past few years, where independent institutions are modeled on or presented as a foreign system, but have no actual affiliation with an outside university: for example the American University in Dubai. Finally, virtual branch campuses, or online universities such as the University of Phoenix, are also present in the region. While all of these models and transnational partnership programmes have grown rapidly over the past decade, particularly in the Gulf region, branch campuses represent the majority of offshore institutions today.
Why this recent expansion and concentration in the Gulf region?

A combination of increased internationalisation efforts hampered by rising administrative costs at many Western universities has dovetailed with wealthy Gulf leaders willing to pay these costs in order to make their mark on education reform in their nation. While globalisation has provided a catalyst for this form of transnational higher education, four regional factors are key in explaining this recent phenomenon and its rapid growth in the Gulf.
First of all, the regional identity of the Persian Gulf has played an important role in the establishment and growth of the offshore educational model. The Gulf States (Kuwait, Qatar, Oman, Bahrain, Saudi Arabia and the United Arab Emirates) share a strong historical interconnectedness politically, culturally and economically. Scholars of the region have noted that when one Gulf state makes a change, others are likely to follow. Thus similar higher education reform strategies across the region are to be expected.
At the same time, each nation's leaders compete with their counterparts, so the diversity of institutional models in the region nonetheless underscores the particular contextual needs and goals of each host society. Regional economic and demographic transformations are also crucial in understanding why the Gulf States have pursued the transnational higher education model to such an extent. As the region's economy has shifted along with much of the world to a post-industrial stage where knowledge and flexibility are prized over unskilled labor in the job market, there is a higher demand for human capital development in order to stay competitive in the global economy.
As the youth population and unemployment soar in the Middle East, awareness is growing as to how the traditional education model in the region fails to provide students with the skills needed to work in the new economy. This is one reason why so many of the recently opened transnational higher education institutions and programmes in the region offer specialised professional degree programmes such as business, IT and health sciences.
At Qatar's Education City, for example, the resident American university programmes specialise in arts and design (Virginia Commonwealth), medicine (Weill Cornell), engineering (Texas A&M), computer science (Carnegie Mellon), international relations (Georgetown) and journalism (Northwestern). These programmes fill a void in the local university system. As regional inadequacies in higher education are highlighted, and the private sector continues to grow, the traditional system dominated by large, public universities designed to feed graduates into high-status, stable public sector jobs has been called into question.
The development of transnational branch campuses has not replaced the local university system, but rather provides some competition, especially at the undergraduate level, while also offering specialised graduate and professional programmes currently unavailable at public institutions. These new transnational institutions recruit students not only locally but also regionally, adding to the regional nature of this phenomenon. As a result, students in the Middle East now have a wealth of higher education options available to them 'at home' that previously were only available to those who could study abroad, usually young wealthy males.
Finally, political and cultural issues specific to the Gulf region explain in part the rapid adoption of this educational model. In this time of revolutionary political and cultural change throughout the region, some Arab leaders view educational reform as a crucial part of the liberalisation process. In Qatar, the Emir and Sheikha Mozah spearheaded the Qatar Foundation's educational initiatives, founding Education City in pursuit of their vision to transform Qatar into a knowledge-based economy by building durable human capacity.
Since Virginia Commonwealth first began offering its arts and design classes to female students in 1997, Qatar's unprecedented investment in higher education saw the addition in 2010 of programmes in executive education and management (HEC Paris) and museum studies (University College of London) at Education City, as well as the opening of the Community College of Qatar, based upon the Houston Community College model, in Doha. As we begin to understand the critical regional component in this international higher education trend, many questions are raised for the university administrators, scholars, students and policy-makers concerned. Issues such as women's rights and free speech are consistent battlegrounds in the Middle East and the education arena.
Have Western universities expanded too quickly, scrambling to join what David Arnold, former president of the American University in Cairo, has referred to as the "gold rush" in higher education? While their future success remains questionable, these transnational institutions and programmes represent one of the most significant developments in both the globalisation of higher education and local education reform in the Gulf region to date.
See also on the blog  La Sorbonne ensablée, Sorbonne Abu Dhabi déserte, Dauphine décline sa marque à Tunis and Rebondissement dans la guerre des "Sorbonne".
27 août 2011

Toward a Rational Response to Plagiarism

http://chronicle.com/img/banner_promo.jpgBy Rob Jenkins. Plagiarism is making us crazy. No, the mere thought of plagiarism is making us crazy. Collectively, as a professoriate, we're obsessed with it.
Consider "The Shadow Scholar," an anonymous confessional by a man who purportedly produces student papers on demand. Originally published in November of 2010, it remains one of the most-viewed articles on The Chronicle's Web site and has received, to date, more than 600 comments. More recently, we all read with fascination The Chronicle's account of Panagiotis Ipeirotis, a professor who got into hot water at New York University for blogging about the hordes of alleged cheaters in his courses. That piece, too, was among the site's most popular.
All of that preoccupation with plagiarism does little to help us answer the fundamental question: What can we as individual faculty members do about it?
My approach to student plagiarism over the course of my 26-year teaching career has been simple but, I believe, effective. I use strategies well known to most experienced professors, with a few twists of my own. Please note that what I'm about to describe is strictly my personal approach and does not reflect the official policies of my college (although I don't believe it conflicts with those policies, either)...
Don't penalize the nonplagiarists. Whatever you do to discourage cheating, make sure you don't damage the integrity of the course or make it more difficult for students to learn. I think it's both wrong and counterproductive—not to mention incredibly cynical—to assume that every student is a plagiarist, whether nascent or full-blown. You should start each course believing that most students are basically honest and genuinely want to learn. Otherwise, why would you stay in this profession?
What about the software?
You may be wondering why I haven't said much about popular plagiarism-detecting software, like Turnitin. That's because I rarely use it. I'm not a fan of the software. I understand why so many of my colleagues tend to rely on it heavily, but I don't, for three reasons. First, it seems to me that having students submit all of their essays through Turnitin or something similar is tantamount to saying that all of them are cheaters—or at least they would be, given the chance. I think that's a bad way to begin a teacher-student relationship. Second, the software doesn't do anything to deter common low-tech forms of plagiarism, such as students' getting others to write their essays for them. And finally, as Mr. Ipeirotis discovered, tracking students through software can become its own kind of obsession, distracting you from other, perhaps more useful, pursuits... More

27 août 2011

Le stage en entreprise, mode d'emploi

http://www.le-grep-rh.com/imgs/le-grep-rh.pngQuels que soient leurs niveaux, la plupart des cursus prévoient un stage en entreprise. Un passage obligé pour les jeunes en quête de professionnalisation, et l'occasion pour l'employeur de s'impliquer dans le processus de formation initiale, voire de détecter de bons éléments pour une future embauche. Les entreprises ont un rôle important à jouer dans la formation des étudiants. Plusieurs leviers s'ouvrent à elles: financement des formations, des établissements, participation à l'élaboration des programmes. et surtout les stages.
Le stage, un préalable à l'embauche

"Depuis toujours, les périodes de formations en entreprises ont montré leur efficacité", rappelle Jean-Marie Castenada, professeur de génie mécanique à Toulouse. Cependant, si les stages sont devenus quasi-obligatoire dans le parcours des étudiants, les employeurs doivent avoir une bonne raison de recruter un stagiaire.
La nouvelle législation est très stricte. Elle empêche les entreprises qui n'ont pas, ou ne veulent pas consacrer le budget nécessaire au recrutement d'un collaborateur, d'avoir recours de façon récurrente et abusive aux stagiaires. La mission assignée doit d'ailleurs être préalablement définie par l'entreprise et énoncée clairement dans la convention de stage.
Si la candidature intéresse l'employeur, mais qu'elle n'a pas de mission définie à confier, il est préférable de ne pas donner suite. Accueillir un stagiaire en se disant « qu'on trouvera bien quelque chose à lui faire faire » risque d'être décevant pour l'étudiant comme pour l'entreprise. De plus, un stagiaire peut se montrer fort utile. Il peut, par exemple, effectuer une mission bien spécifique, nécessaire mais non urgente, que personne n'a le temps de réaliser, et qui peut occuper quelqu'un à plein temps pendant une courte durée.
Les stages sont également l'occasion de tester le potentiel d'un futur collaborateur. De plus en plus de formations prévoient un stage en fin d'études qui débouchent souvent sur une embauche. Ainsi, les grandes entreprises incluent les stages dans leur stratégie de recrutement, au même titre que l'alternance. Elles sont en contact permanent avec les établissements de formation afin d'accueillir des stagiaires régulièrement.
Où et comment trouver un stagiaire ?

Lycées, écoles de commerce, d'ingénieurs et même collège. tous les établissements peuvent fournir un stagiaire aux entreprises. Pour répondre au mieux aux besoins, ils ont, pour la plupart, mis en place un bureau des stages qui sera l'interlocuteur privilégié des employeurs.
Sa mission: prospecter les entreprises pour placer les jeunes de l'établissement. Au sein de ce bureau, le chargé de relations entreprises recueille les offres de stages, définit leur nature (mission, durée, gratification, lieu.) et le profil recherché. Ainsi l'offre de stage est présentée comme une offre d'emploi. Dans certains cas, le chargé de relations entreprises effectue une première sélection parmi les candidatures Il informe aussi les employeurs intéressées sur les modalités (cadre juridique, déroulement de la formation, statut du jeune.) et règle les formalités, fournissant notamment la convention de stage à compléter.
Aujourd'hui, de nombreuses écoles se sont dotées d'un site Intranet-Extranet où les entreprises partenaires peuvent déposer leurs offres de stages et laisser leurs coordonnées électroniques pour un contact ultérieur. Des sites spécialisés comme www.le-grep-rh.com permettent également de trouver rapidement des profils adaptés à leurs besoins.

Quel que soit leur niveau, presque tous les cursus prévoient aujourd’hui un stage en entreprise. Celui-ci permet aux étudiants de mettre en pratique leur formation théorique tout en se familiarisant avec le monde de l’entreprise et du travail. Réciproquement, le stage est un moyen pour les entreprises de participer concrètement à la formation de leur futur personnel et d’être en contact direct avec des établissements d’enseignement et des jeunes.


Trouver le bon stagiaire
.
Quel que soit leur niveau, presque tous les cursus prévoient aujourd’hui un stage en entreprise. Celui-ci permet aux étudiants de mettre en pratique leur formation théorique tout en se..
.
Réglementation du stage
.

Le stage se définit comme une formation pratique ayant pour objet de compléter des connaissances théoriques. Il ne  peut en aucun cas être assimilé à un emploi..
.
Encadrement du stagiaire
.

Un stagiaire est d'abord et avant tout en formation. Il a ainsi besoin d'un véritable encadrement dans ses missions...
Stage en entreprise : convention type
.
La convention de stage type a été élaborée par décret du 2 février 2008.   Document désormais incontournable, elle doit être signée par l’entreprise, le stagiaire et l’établissement...
Stage et embauche
.

Prendre des stagiaires, oui, mais à quel dessein ? Celui d’un pré-recrutement. Car les mentalités des entreprises ont changé. Le "papy-boom" et un marché de l’emploi tendu contraignent...
http://www.le-grep-rh.com/imgs/le-grep-rh.png Olenemata nende kõige koolitused hõlmavad internatuuri. Peab noortele, kes otsivad professionaalsemaks ja tööandjatele võimalust saada kaasatud koolituse, või avastada hea elemendid töölevõtmisel tulevikus. Ettevõtetel on oluline roll õpilaste koolitamise. Mitmed hoovad neile avatud: rahastavad koolitusi, rajatised, osalemine programmi arengut. eriti praktikakohti. Tänapäeval on paljud koolid on varustatud Intranet-Extranet kus äripartnerid saavad esitada oma internatuuri pakub ja jätke oma kontaktandmed edasiseks kontakt. Spetsialiseerunud saidid nagu www.le-grep-rh.com Samuti võimaldab teil kiiresti leida profiilid on kohandatud nende vajadustele. Veel...
27 août 2011

Les bibliothèques des établissements d'enseignement supérieur

Retourner à la page d'accueil de Légifrance Décret n° 2011-996 du 23 août 2011 relatif aux bibliothèques et autres structures de documentation des établissements d'enseignement supérieur créées sous forme de services communs (JORF n°0196 du 25 août 2011 page 14406 texte n° 42)
Article 1 En savoir plus sur cet article...
Les services communs de la documentation sont créés, en application de l'article L. 714-1 du code de l'éducation, par délibération statutaire du conseil d'administration. Plusieurs établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel peuvent confier, par convention, en application de l'article L. 714-2 du code de l'éducation, à un même service, la gestion de bibliothèques ou d'activités techniques et documentaires d'intérêt commun. La création de ce service interétablissement est décidée par délibération statutaire des conseils d'administration ou des organes en tenant lieu des établissements concernés. Tous les services qui accueillent du public sont dénommés bibliothèques. Par décision des établissements contractants et dans le respect de la réglementation en vigueur, des services dotés de la personnalité morale, notamment sous la forme d'un groupement d'intérêt public ou d'un établissement public, ou des services internes d'une autre personne morale, notamment sous la forme d'un service d'une fondation ou d'un département de pôle de recherche et d'enseignement supérieur, peuvent être substitués au service interétablissement.

Article 2 En savoir plus sur cet article...
Les bibliothèques contribuent aux activités de formation et de recherche des établissements. Elles assurent notamment les missions suivantes:
1° Mettre en œuvre la politique documentaire de l'université, ou des établissements contractants, coordonner les moyens correspondants et évaluer les services offerts aux usagers;
2° Accueillir les usagers et les personnels exerçant leurs activités dans l'université, ou dans les établissements contractants, ainsi que tout autre public dans des conditions précisées par le conseil d'administration de l'université ou la convention pour un service interétablissement, et organiser les espaces de travail et de consultation;
3° Acquérir, signaler, gérer et communiquer les documents et ressources d'informations sur tout support;
4° Développer les ressources documentaires numériques, contribuer à leur production et favoriser leur usage; participer au développement de l'information scientifique et technique notamment par la production, le signalement et la diffusion de documents numériques;
5° Participer, à l'intention des utilisateurs, à la recherche sur ces différentes ressources ainsi qu'aux activités d'animation culturelle, scientifique et technique de l'université, ou des établissements contractants;
6° Favoriser par l'action documentaire et l'adaptation des services toute initiative dans le domaine de la formation initiale et continue et de la recherche;
7° Coopérer avec les bibliothèques qui concourent aux mêmes objectifs, quels que soient leurs statuts, notamment par la participation à des catalogues collectifs;
8° Former les utilisateurs à un emploi aussi large que possible des techniques nouvelles d'accès à l'information scientifique et technique.

Le service interétablissement exerce tout ou partie des missions définies à l'article 2, en coordination avec les services communs de la documentation des établissements contractants s'ils existent, et en liaison avec les réseaux de coopération régionaux et nationaux. Lorsque des services ont pour objet d'assurer la gestion, le développement et la conservation des collections indivises entre plusieurs établissements publics, ainsi que certaines activités documentaires d'intérêt commun, ces services respectent le caractère particulier et les obligations résultant des conditions dans lesquelles ils ont été constitués.

Article 4 En savoir plus sur cet article...
Toute bibliothèque ou tout centre de documentation de l'université a vocation à être intégré dans un service commun. Cette décision est prise par le conseil d'administration après avis du conseil du service commun et du conseil de la composante dont relève la bibliothèque ou le centre de documentation. Les autres centres documentaires de l'université sont associés au service commun. Les responsables des composantes de l'université transmettent au directeur toute information sur les acquisitions documentaires et sur les moyens d'accès à l'information financés par le budget de l'université. Les services documentaires appartenant à des composantes et services liés conventionnellement à l'université peuvent, selon les mêmes modalités, être associés au service commun.

Article 5 En savoir plus sur cet article...
Chaque service est dirigé par un directeur et administré par un conseil documentaire.

Article 6 En savoir plus sur cet article...
Le ministre chargé de l'enseignement supérieur nomme le directeur du service sur proposition du président de l'université ou des présidents et directeurs des établissements contractants. Le directeur est placé sous l'autorité du président de l'université, ou de l'établissement de rattachement. Il n'est pas éligible au conseil du service. Les fonctions de directeur de service interétablissement sont compatibles entre elles et avec celles de directeur de service commun d'une université contractante.

Article 7 En savoir plus sur cet article...
Le directeur dirige le service et les personnels qui y sont affectés. Il élabore le règlement intérieur du service qui est approuvé par le conseil d'administration de l'université, ou l'établissement de rattachement. Il prépare les délibérations du conseil documentaire notamment en matière budgétaire. Il organise les relations documentaires avec les partenaires extérieurs à l'université, ou aux établissements contractants, et prépare en tant que de besoin les dossiers concernant la documentation pour les différentes instances ayant à traiter de problèmes documentaires. Il est consulté et peut être entendu, à sa demande, par les instances délibérantes et consultatives de l'université, ou des établissements contractants, sur toute question concernant la documentation. Le directeur d'un service interétablissement participe aux séances des conseils des services communs de documentation des établissements contractants avec voix consultative. Il propose toute mesure favorisant la coopération documentaire entre établissements. Il présente au conseil d'administration de l'université, ou de l'établissement de rattachement, un rapport annuel sur la politique documentaire du service.

Article 8 En savoir plus sur cet article...
Le conseil documentaire d'un service commun de la documentation comprend au maximum vingt membres. Le conseil documentaire d'un service interétablissement comprend au maximum trente membres. Chaque conseil est constitué:
1° Du président de l'université, ou des présidents ou directeurs des établissements contractants, ou leurs représentants;
2° D'enseignants-chercheurs, enseignants ou chercheurs de l'université ou des établissements contractants;
3° D'étudiants de l'université ou des établissements contractants;
4° De personnels du service;
5° De personnels des organismes documentaires associés de l'université ou des établissements contractants;
6° De personnalités extérieures désignées par le président de l'université, ou conjointement par les présidents ou directeurs des établissements contractants, après avis du directeur du service.
Il peut également comprendre des représentants de tout autre public du service dans les conditions fixées par le règlement intérieur du service pour un service commun de la documentation, par la convention pour un service interétablissement. Le conseil documentaire est présidé par le président de l'université ou son représentant. Celui d'un service interétablissement est présidé par le chef de l'un des établissements cocontractants selon des modalités fixées par la convention. Le mandat des membres du conseil documentaire est d'une durée de quatre ans, sauf pour les membres mentionnés au 3° dont le mandat est de deux ans. Il est renouvelable une fois. Les membres mentionnés aux 2° et 3° sont désignés par leurs représentants respectifs au conseil d'administration de l'université ou aux conseils d'administration des établissements contractants. Le règlement intérieur du service pour un service commun de la documentation, ou la convention pour un service interétablissement, fixe la composition du conseil documentaire et les modalités de désignation des membres mentionnés aux 4° et 5°. Le directeur du service, le secrétaire général et l'agent comptable de l'université ou de l'établissement de rattachement participent, avec voix consultative, aux séances du conseil documentaire. Toute personne dont la présence est jugée utile par le président ainsi que les directeurs des services communs des établissements contractants, s'ils existent, participent, avec voix consultative, aux séances du conseil documentaire. Le règlement intérieur du service définit les règles d'organisation et de fonctionnement du conseil documentaire, et notamment la périodicité de ses réunions, les règles de quorum, les modalités de délibérations et de représentation de ses membres, les modalités de convocation, d'établissement et d'envoi de l'ordre du jour.

Article 9 En savoir plus sur cet article...
Le conseil documentaire se prononce sur les modifications à apporter au règlement intérieur. Il vote le projet de budget du service. Il est tenu informé des crédits documentaires des organismes documentaires associés et de leur utilisation. Il est consulté sur les projets de conventions avec des organismes extérieurs relatives à la documentation et à l'information scientifique et technique. Il élabore des propositions en ce qui concerne la politique documentaire commune de l'université, ou des établissements contractants, en particulier pour ses aspects régionaux. Le conseil documentaire peut créer toute commission scientifique consultative de la documentation. Il en fixe ses missions, les modalités de désignation de ses membres et de fonctionnement.

Article 10 En savoir plus sur cet article...
Ces services sont soumis au contrôle de l'inspection générale des bibliothèques. Celle-ci remplit à leurs égards un rôle d'évaluation et de conseil.

Article 11 En savoir plus sur cet article...
Une part des droits annuels de scolarité payés par les étudiants est affectée au budget propre du service, selon des modalités fixées par arrêté conjoint du ministre chargé de l'enseignement supérieur et du ministre chargé du budget. Le service peut bénéficier de toute autre ressource allouée par l'université, ou par les établissements contractants, ou par toute autre personne publique ou privée. Ces dotations peuvent comprendre des moyens de recherche.

Article 12 En savoir plus sur cet article...
Les personnels recrutés dans les corps de personnel scientifique, technique et de service des bibliothèques ont vocation à mettre en œuvre la politique documentaire dans l'ensemble des bibliothèques de l'établissement. Les personnels des bibliothèques associées collaborent à la mise en œuvre de la politique documentaire.

Article 13 En savoir plus sur cet article...
Lorsqu'un service interétablissement est créé, les établissements intéressés règlent par convention, sans préjudice des dispositions des articles 8 et 10, les modalités de gestion de ce service. Cette convention fixe le champ d'activités du service ainsi que l'établissement au sein duquel le service établit son siège, appelé établissement de rattachement. Elle prévoit en outre les locaux et les moyens nécessaires à son fonctionnement, et notamment les contributions aux dépenses du service et les autres droits et obligations des établissements contractants ainsi que la révision périodique des parts des droits annuels de scolarité prévus à l'article 11. Elle prévoit enfin les modalités d'adhésion d'un autre établissement d'enseignement supérieur ou de recherche, sa durée, les modalités de sa reconduction expresse et de sa dénonciation. En cas de non-reconduction ou de dénonciation de la convention, une convention particulière entre les établissements concernés et l'Etat fixe les modalités d'attribution des collections. La convention est transmise à l'autorité de tutelle de l'établissement de rattachement dans les conditions prévues à l'article L. 719-7 du code de l'éducation.
Return to the home page Légifrance Decree No. 2011-996 of 23 August 2011 relating to libraries and other documentation of structures of higher education institutions created in the form of services (Official Gazette No. 0196 of August 25, 2011 page 14 406 Text No. 42). More...
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 > >>
Newsletter
49 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 783 504
Formation Continue du Supérieur
Archives