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Formation Continue du Supérieur
16 août 2011

4321, le magazine de l'Université de Lorraine

http://www.univ-nancy2.fr/images/actu/actu_visuel_4321.gifLe service communication du PRES édite le nouveau magazine 4321 axé sur la dérmarche de fusion.
Dans cette première édition des informations sur:
* les spécificités d'une université unique à travers l'analyse d'Hervé Coilland, délégué géneral du PRES de l'Université de Lorraine;
* le détail des collégiums et pôles scientifiques mis en place;
* une interview de Romain Pierronet, vice-président de l'UHP et membre du bureau de la vie étudiante;
* et enfin le calendrier de déploiement de l'Université de Lorraine.
Edito: L’Université de Lorraine en phase de lancement

Le compte à rebours a une double signification : c’est à la fois une projection vers l’avenir mais c’est aussi un engagement sur une échéance précise. Nous sommes exactement dans cette situation.
Une phase historique s’est conclue en septembre 2008 lorsque les quatre universités ont entamé leur rapprochement. Une phase politique a abouti en janvier 2011 au vote de la fusion au sein d’un établissement unique, l’Université de Lorraine.
Trois chantiers marquent la phase opérationnelle en cours:
• Le dessin de l’organisation administrative du futur établissement.
• La réflexion sur les implantations territoriales des services.
• L’écriture des règlements intérieurs des collègiums et pôles.
Chacun de ces chantiers contribue à construire concrètement notre future université. Que ce soit dans le comité de pilotage, dans les groupes de travail « organisation et gouvernance » et « ressources humaines », dans les différents groupes « métier » ou dans les « assemblées constituantes » de collègiums et pôles, nous sommes déjà plus de deux cents à être directement mobilisés sur ce projet (et sans doute beaucoup plus à être indirectement affectés par la charge de travail intense qui en résulte). Partagé ou non dans sa vision initiale, ce projet devient donc progressivement celui de tous dans sa réalisation concrète.
L’idée, un peu visionnaire il y a quelques années, d’une université fusionnée en Lorraine devient une réalité dont nous pourrons collectivement être fiers… et comme dans les salles de contrôle lorsque le compte à rebours s’achève et que le lancement se déroule correctement, nous pourrons symboliquement serrer la main de notre voisin car le succès aura nécessité le travail de tous. Voir l'historique du projet de PRES. Télécharger le magazine 4321. Consultation en ligne.
http://www.univ-nancy2.fr/images/actu/actu_visuel_4321.gif Kommunikatsiooni osakonna uue ajakirja avaldab PRES 4321 keskendunud dérmarche fusion.
Selle esimene trükk teavet:

* Spetsiifikast ülikooli analüüsi kaudu Hervé Coilland tegevjuht NEAR Ülikooli Lorraine;

* Andmed Collegium ja teaduskeskused asutatud;

* Intervjuu Pierronet Roman, asepresident ja liige HTÜ büroo üliõpilaselu;

* Ja lõpuks kasutuselevõtu ajakava Ülikooli Lorraine.

Juhtkiri: Ülikool Lorraine käivitusfaasi

LTagaplaanil on kaks tähendust: see on nii kaugele tulevikku, vaid ka kohustus teatud tähtajaks.
Me oleme täpselt sellises olukorras.
Ajalooline etapp lõppes septembris 2008, kui neli ülikooli alustasid oma lähenemist.
Poliitiline faas kulmineerus jaanuarist 2011 kuni hääletada ühinemise kohta ühest asutusest, ülikooli Lorraine. Veel...
16 août 2011

« Hit-parade des universités: la France stagne au huitième rang du classement de Shanghai » et « Nous récoltons les fruits »

http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngPar Isabelle Ficek : « Hit-parade des universités: la France stagne au huitième rang du classement de Shanghai ». Trois universités françaises demeurent dans le top 100 du classement de Shanghai 2011, mais c'est désormais l'université Paris-Sud qui décroche le premier rang français. Le palmarès chinois reste largement dominé par les établissements anglo-saxons.
Très attendu, très décrié mais très redouté. L'édition 2011 du classement de Shanghai des universités mondiales a été dévoilée ce week-end. Comme l'an dernier, les universités américaines trustent le haut du classement, raflant 17 des 20 premières places. Avec, toujours, la suprématie de l'université américaine de Harvard, au 1er rang, suivie de Stanford, qui reprend la deuxième place cédée en 2010 à Berkeley, classée, elle, quatrième derrière le Massachusetts Institute of Technology (MIT). Le Royaume-Uni n'est pas en reste avec 3 universités dans le top 10 (Cambridge, Oxford et le University College de Londres). La France, elle, ne compte que 3 établissements parmi les 100 premiers mondiaux, comme les années précédentes. Et elle piétine, dans le top 500, au 8e rang mondial avec 21 établissements classés, contre le 6e rang avec 22 établissements l'an dernier, le classement distinguant Aix-Marseille-1 et Aix-Marseille-2, alors qu'il prend en compte pour l'édition 2011 la future fusion.
Si les résultats globaux de la France sont à peu près stables, ils cachent quelques surprises. D'abord pour ses établissements les mieux classés. Pour la première fois, l'université Paris-Sud (Orsay Paris-11) décroche la première place (au 40e rang) et détrône l'université Pierre-et-Marie-Curie (UPMC, Paris-6), qui perd deux places, au 41e rang. Un nouveau leadership gagné a priori grâce à l'attribution en 2010 de la médaille Fields au mathématicien Ngo Bao Chau, qui a obtenu à sa thèse à Orsay.
Or parmi les critères du classement figure le nombre de médailles Fields ou de prix Nobel parmi les anciens élèves (10% de la note) ou les chercheurs (20%). C'est aussi l'une des raisons qui explique le bond de l'université Paris Dauphine du top 400 au top 300, l'autre médaillé Fields français de 2010, Cédric Villani, ayant soutenu son doctorat à Dauphine. L'ENS Ulm reste troisième mais progresse de deux places.
Enfin, les regroupements semblent payer puisque Aix-Marseille se hisse dans la tranche 102-150 du palmarès, alors que Aix-Marseille-1 et 2 étaient dans le top 300 (entre 201 et 300). Même chose pour l'université de Lorraine, dont la fusion, malgré quelques remous, est en cours. Elle atteint le top 300, alors que Nancy-1 était dans le top 400. Déception, l'Ecole polytechnique et l'ESPCI Paris Tech descendent du top 300 au top 400.
Lundi, dans une réaction au vitriol, l'UPMC a rappelé qu'elle conservait malgré tout le 7e rang mondial et le 1er rang français en mathématiques et qu'elle était la « seule institution française classée (entre les 50e et 75e rangs) pour l'ingénierie ». Défendant au passage le modèle de l'université qui offre « une formation et une sélection progressive », contre celui des grandes écoles avec « les étudiants les plus subventionnés de France ».
Nuances et critiques

Reste que ce classement, si influent qu'il soit, est à manier avec délicatesse. Le choix de ses six critères, qui privilégient la recherche, notamment en sciences exactes, au détriment de la formation, est critiqué depuis sa création en 2003. En juin dernier, l'Association européenne des universités (EUA) avait mis en garde contre les différents classements mondiaux, truffés « de défauts, failles et autres biais ». D'où l'impatience des acteurs du secteur à voir émerger le projet européen U-Multirank de cartographie de l'enseignement supérieur qui devrait prendre en compte plus d'établissements et de critères. Peut-être en 2013. Retrouvez l''intégralité du classement de Shanghai sur le site officiel de Shanghai Ranking.
Propos recueillis par Isabelle Ficek. Laurent Wauquiez Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche: « Nous récoltons les fruits des efforts enclenchés dans l'enseignement supérieur »
Quels enseignements tirez-vous du classement 2011 ? Nous récoltons les fruits des efforts enclenchés, des investissements, de la qualité de nos enseignants et de nos chercheurs, des réformes de structures qui ont été faites avec la loi LRU, avec, cette année, des progrès sensibles pour la France. Le pays était très mal positionné dans le Top 200 avec 6 établissements en 2006. Nous sommes revenus à 8 cette année. D'autre part, nos établissements ont progressé : Paris-Sud gagne 5 places et l'Ecole normale supérieure, 2. Cela est d'autant plus significatif que l'Allemagne et le Royaume-Uni ont une tendance au recul ou à la stabilité. Une des vraies nouveautés résulte aussi de notre politique de rapprochement des universités, qui donne une taille critique pour s'imposer.
C'est-à-dire? Nous avons créé les pôles de recherche et d'enseignement supérieur, les PRES, et demandé à Shanghai de les reconnaître. Les auteurs du classement, à ma demande, ont réalisé une simulation et proposent de les prendre en compte à l'avenir s'ils poursuivent leur rapprochement. Les résultats sont extraordinaires. Quatre regroupements pourraient intégrer directement le Top 50, avec les établissements de Saclay, ceux de Paris Sciences et Lettres Etoile (ENS Ulm, Dauphine...), et les PRES Sorbonne Universités [Paris-2, 4, 6, NDLR] et Paris Cité [Paris-3, 5, 7, 13, NDLR]. Toulouse 3, lui, a gagné 53 places, de 278 à 225, c'est un bon exemple de progrès dans les zones moins regardées du classement. Les réformes nous ont permis de recoller à la compétition mondiale. Si nous persistons, nous allons faire un saut important.
Allez-vous accélérer le mouvement des regroupements?
C'est évidemment ma logique. Mais maintenant, ce sont les présidents d'université qui s'emparent de cette dynamique, comme Bordeaux, qui a décidé d'accélérer son calendrier de fusion. Nous les encourageons. Tous les projets retenus dans le cadre du grand emprunt donnent une prime aux rapprochements. J'espère que cette dynamique se prolongera, notamment sur le plateau de Saclay.
Ne va-t-on pas vers un système à deux vitesses avec des pôles bien classés concentrant les moyens?
Je serai très attentif à cette question. Ce que nous essayons de faire, ce ne sont pas des pôles élitistes pour quelques élèves sur un désert global. C'est de hisser vers l'excellence l'ensemble de l'enseignement supérieur. Les premiers résultats des Initiatives d'excellence l'illustrent avec la distinction de Bordeaux et de Strasbourg. C'est le cas aussi à La Rochelle, qui, grâce aux partenariats noués sur les métiers de la mer avec son tissu industriel, se positionne sur un créneau d'excellence, sans pour autant être Saclay. C'est le cas à Clermont-Ferrand, qui a obtenu de bons résultats aux investissements d'avenir, notamment en vulcanologie.
Encouragez-vous le projet européen de classement?
Dès la rentrée, je verrai avec la Commission européenne comment accélérer le projet U-Multirank, qui est une cartographie exacte de ce qu'est l'enseignement supérieur européen et comment réaliser rapidement, à partir de cette cartographie, un classement européen, qui permettra de pallier certaines limites du classement de Shanghai.
L'Etat peut-il poursuivre l'effort sur les universités en 2012?
L'enseignement supérieur et la recherche sont une priorité. Nous préparons notre compétitivité et nos emplois de demain. Ils font l'objet d'une attention toute particulière de la part du président et du Premier ministre. Dans un contexte budgétaire exigeant, ils doivent, comme les autres domaines, faire la preuve de leurs efforts et de leur meilleure gestion. C'est bien l'ensemble de la sphère publique qui doit faire des efforts. Propos recueillis par I. F., Les Echos.
Voir l'article du blog: Les universités françaises à la peine dans le classement de Shanghai. Extraits:
Voici ci-dessous les 21 Universités françaises présentes dans le classement. De facto, le chiffre de 21 est discutable. En effet, Aix-Marseille University n'existera qu'au 1er janvier 2012 et est aujourd'hui encore actuellement constituée de trois Universités. La fusion prévue le 1er janvier 2012 a sans doute contribué à améliorer le classement de la future Université unique d'Aix-Marseille. Les deux Universités University of Provence (Aix-Marseille 1) et University of the Mediterranean (Aix-Marseille 2) étaient respectivement dans la catégorie 201-300 et 301-401. Aix-Marseille University est propulsé dans les rangs 102-150, ce qui est une grande amélioration. Le PRES d'Aix-Marseille n'a donc pas été visité par Shangai en vain. L'Université de Nice Sophia Antipolis étant toujours classée, la Région PACA place donc quatre de ses Universités sur six dans le classement. Il en est de même pour l'Université de Lorraine qui n'existe pas encore et qui regroupe 4 établissements. L'an dernier, seul Henri Poincare University (Nancy 1) était classé en 301-400, alors que University of Lorraine passe dans la catégorie 201-300. Ce sont donc 27 Universités classées, ce qui est une très nette amélioration par rapport à l'an dernier, d'autant que les deux PRES, Aix-Marseille University et University of Lorraine, ont obtenu un meilleur classement qu'université par université, alors que University of Strasbourg qui résulte de la fusion des trois anciennes Universités de Strasbourg, reste à sa place. Fusion et PRES semblent être de bons moyens de grimper dans le classement de Shangai.

http://www.lesechos.fr/images/les-echos.png Autor Isabelle Ficek. Kolm Prantsuse ülikoolide jääda top 100 of 2011 Shanghai järjekohale, kuid nüüd on ülikooli Paris-Sud, mis võitis top prantsuse keeles. Hiina püügiprotsent valdavalt anglosaksi institutsioonidega.
Palju oodatud, palju maligned kuid väga kardetud.
2011 Shanghai pingerida maailma ülikoolides olnud avalikustas sel nädalavahetusel. Nagu eelmisel aastal, Ameerika ülikoolide monopoliseerida ülaosas paremusjärjestusest, võites 17 top 20 kohas. Mis jällegi ülimuslikkust Ameerika Harvardi ülikooli, esimese koha, järgnesid Stanford, mis võtab teise koha müüdi 2010 Berkeley, hindas seda neljanda maha Massachusetts Institute of Technology (MIT).Suurbritannias ei ole erand kolme ülikoolide top 10 (Cambridge, Oxford ja University College London). Prantsusmaa, ta on ainult 3 top 100 üle maailma, nagu ka varasematel aastatel. Ja see seiskusid top 500, 8. maailma suurim 21 rajatised klassifitseeritud vastu kuues koht 22 kooli eelmisel aastal, ranking eristada Aix-Marseille, Aix-Marseille 1 ja-2, samas kulub arvesse 2011 ühinemine tulevikus. Lõpuks rühmad näivad maksma Aix-Marseille ronib sisse 102-150 erinevaid graafikuid, kuid Aix-Marseille 1 ja 2 olid top 300 (vahemikus 201 ja 300). Vaata blog: Prantsuse ülikoolide lause Shanghai pingerida. Väljavõtteid: pelgalt alla 21-Prantsuse ülikoolide kohal edetabel. De facto on see näitaja 21. küsitav. Tõepoolest, Aix-Marseille Ülikooli olemas 1. jaanuaril 2012 ja on veel praegu koosneb kolmest ülikoolid. kavandatud ühinemine 1. jaanuaril 2012 võib olla kaasa aidanud parandada reastust tulevase ühtse Ülikool Aix-Marseille. Kahe ülikooli Ülikooli Provence (Aix-Marseille 1) ja ülikooli Vahemerel (Aix-Marseille 2) vastavalt kategooria 201-300 ja 301-401. Aix-Marseille Ülikooli pannakse liikuma auastmed 102-150, see mis on suur samm. Lähedal PRES Aix-Marseille ei ole külastas Shanghai asjata. Ülikooli Nice Sophia Antipolis on alati suletud, seejärel asetatakse PACA piirkonnas neli kuue ülikoolide pingeread. See on sama ülikooli Lorraine veel ei ole ja mis hõlmab neli kooli. Eelmisel aastal ainult Henri Poincaré Ülikool (Nancy 1) klassifitseeriti 301-400, samas Ülikooli Lorraine toimub 201-300 kategooriasse. 27 ülikoolides on järjestatud, mis on paranenud võrreldes eelmise aastaga, eriti kuna kaks EIR, Aix-Marseille University ja University of Lorraine , sai kõrgema reitingu, ülikooli kolledž samas Strasbourg'i Ülikool tõttu ühinemine kolm endist Strasbourg'i Ülikool, jääb püsima. PRES ja Fusion ja tundub, et häid võimalusi ronida pingerida Shanghai. Veel...

16 août 2011

Australia: Collapse in foreign student numbers

http://www.universityworldnews.com/layout/UW/images/logoUWorld.gifBy Geoff Maslen. Australia's universities face further sharp falls in enrolments of overseas students, with many institutions already suffering the effects of a massive downturn and the loss of millions of dollars in fee revenues. A report released last week predicts a continuing decline following a government clampdown on foreign graduating students gaining permanent residency.
For the past decade, the lure of a permanent resident's visa has attracted an ever-increasing number of Asian students - mostly Indian and Chinese - who have enrolled in universities and technical colleges in their tens of thousands. But the report, based on an analysis of Immigration Department data by Dr Bob Birrell and other researchers at Monash University, says unpublished departmental estimates suggest that under the government's new points test, the number of applicants seeing permanent visas will fall to around 4,000 a year - down from 20,000 two years ago.
"This tougher access to a points-tested permanent residence visa will add a further disincentive for study in Australia. As a consequence it is unlikely that there will be any medium-term spike in net annual migration from overseas students," the report states. "The share of the skilled visa programme allocated to the points-tested visas has been reduced and priority is to be given to applicants with good English and skilled work experience. These visas have been heavily used by former overseas students [and], as a result of the changes, the number of visas issued to former overseas students will fall sharply, thus largely removing the incentive to study in Australia as a pathway to gaining permanent residence." The report is the first in an expected series of online commentaries to be produced by Birrell's Centre for Population and Urban Research at Monash following the forced closure of his long-standing publication People and Place earlier this year.
The 50-page report, Immigration and the Resources Boom Mark 2, discusses immigration to Australia and calls for a savage cut in the number of migrants entering the country, in line with the rapid collapse in foreign student enrolments. Earlier this year, Immigration Department leaks suggested visa applications from China were down by 20% although university leaders feared the slump could be even double this figure. China is now Australia's largest source country for foreign students and they comprise one in four of the 400,000 overseas students enrolled in education institutions and about a third of the nearly 200,000 undertaking higher education courses.
Enrolments from India, the second largest source country, have been affected even more severely by the tighter visa restrictions as well as worldwide publicity last year regarding attacks on Indian students in the eastern state capitals. The rising value of the Australian dollar, along with increasing competition from Britain and America, have added to the pressures on foreign students to look elsewhere to study. It will be no comfort to the heads of Australia's education institutions to know that tens of thousands of former overseas students are nevertheless likely to become permanent residents as a result of the government's changes. Birrell's report says these are students who had applied for permanent visas before the new rules were introduced and they will benefit from the transitional arrangements in place. "Applications for permanent residence from these students will crowd out better qualified applicants for several years. Students, who applied for a points-tested visa prior to 8 February 2010, have been stockpiled - they have been granted bridging visas with full work rights and promised their application will eventually be processed according to the rules that were current when they applied," the report says. "Overseas students who had already been issued with a visa by 8 February, or who were in the pipeline of overseas students awaiting assessment of their application, can also apply for a points-tested visa under the selection rules as long as they do so before the end of 2012."
The number of students in these categories are substantial. The report says that as of last December, more than 29,000 former vocational education sector students were holding bridging visas while another 26,000 had been enrolled in higher education courses. "Most of those who have not already applied for a points-tested visa can do so under the pre-8 February rules. They will have to be processed eventually and when they are most will succeed, including thousands of cooks," Birrell's report states.
16 août 2011

Switzerland: Rectors can limit foreign student

http://www.universityworldnews.com/layout/UW/images/logoUWorld.gifBy Michael Gardner. Universities can limit the number of foreigners they enrol if they fear overcrowding, according to an expert opinion commissioned by the Swiss Rectors' Conference. The report was prompted by fears of a huge influx of German students into Switzerland this year. If universities are threatened by capacity bottlenecks, the report states, they may impose restrictions on enrolment of foreign students. These could range from higher tuition fees and making admission dependent on school-leaving marks to setting quotas for foreigners and special entry exams.
Such measures, the report says, would not violate any international agreements that Switzerland has entered into, such as the Lisbon Convention. Switzerland is very popular with foreign students. Out of its population of around 7.78 million, there are 132,000 students at the cantonal universities and the three technical universities. Student figures have almost doubled since 1990. The number of foreign students at cantonal universities and the technical universities has grown by 8%, to 35,700, since last year. Out of these, 30,000 come directly from abroad, that is, they obtained a higher education entry certificate elsewhere. The country also has a number of other higher education institutions.
The debate over levels of foreign students growing out of proportion was fuelled less by right-wing politicians from the Swiss National Party warning of foreigners taking over the country, than by developments in Germany. With military conscription ending there and shorter secondary education resulting in more school-leavers, the number of Germany's potential first-year students is set to swell. Universities in the German-speaking areas of Switzerland are an alternative to overcrowded German institutions or not finding any place to study at home. St Gallen was the first Swiss university to respond to these developments by introducing admission tests for all foreigners, higher tuition fees for them that could virtually double by next year compared to now, and a general 25% quota for foreigners.
However, it now appears that fears among universities are unfounded. "For this autumn semester, there will at most be a slight increase in the number of German students," said Antonio Loprieno, President of the Swiss Rectors' Conference and Rector of Basel University. Institutions have nevertheless toughened up admission regulations for German students. Either applicants already have to be admitted at a German university, or their Abitur or school-leaving certificate marks must reach a certain average.  Still, Loprieno advised Swiss institutions not to resort to the more drastic measures that the new report mentions. "If we start discriminating against students from the European Union, we will be giving the wrong signal," he warned. One-sided sharpening of entry restrictions could trigger reprisals against Swiss students abroad, he added.
The issue of masses of German students possibly going to Switzerland clearly relates only to its German-speaking areas. The Universities of Geneva and Fribourg, in French-speaking Switzerland, are eager to attract as many foreign students as possible. Meanwhile, an intriguing proposal has been put forward by the Verband Schweizer Studentenschaften (VSS) - the Swiss Student Association - and Zug national councillor Gerhard Pfister of the Christian Democratic People's Party.  Students' countries of origin could pay for their studies, and thus contribute to coping with overcrowded lecture halls in Switzerland. Also, this would counter moves to raise tuition fees for foreigners. The VSS is strongly opposed to higher tuition fees for foreigners because this clashes with the notion of a general right to education.
The new model it suggests in collaboration with Pfister is based on what the Swiss cantons are already practising. If a student comes from a canton without a university, the 'home' canton contributes to the canton that the student's university is located in. Rectors' Conference Vice-General Secretary Raymond Werlen said this was "an interesting idea". But he maintained that such an arrangement for foreigners would have to be based on mutuality. And then it could pay its way, for there are far fewer Swiss studying abroad than there are foreign students coming to Switzerland.
16 août 2011

Latin America: Higher education integration for bloc

http://www.universityworldnews.com/layout/UW/images/logoUWorld.gifBy Chrissie Long. Member states of Latin America's left-leaning political bloc known as Alba are organising to create an integrated higher education system. The eight participating nations aim to pool resources with a view to strengthening their universities. But the initiative, which has a strong socialist and anti-US agenda, has come in for widespread criticism.
The Bolivarian Alliance for the Peoples of Our America, or Alba (ALianza Bolivariana para los pueblos de nuestra América) - which includes among others the governments of Venezuela, Ecuador, Nicaragua, Bolivia and Cuba - was founded by Venezuelan President Hugo Chávez in December 2004. The alliance's higher education integration initiative was announced in Nicaragua in June and emphasises strengthening universities and sharing advances made with each of the member countries. But while pooling resources in higher education is a positive step, according to Kevin Casas Zamora (pictured), a former Costa Rican vice-president and political analyst with the Brookings Institution, it is dangerous when linked to a political agenda.
"What Latin America needs are not politically committed universities but, above all, good universities capable of producing good-quality science and stimulating genuinely open debates about reality," Casas Zamora said. "The last thing we need is political parties disguised as universities."
He added: "Universities are about seeking the truth, which may well be very different from your ideological preconceptions." Traditionally, Alba initiatives have been aimed at strengthening the economic ties among member nations and developing the region financially, but the alliance's dialogue has always been laced with political rhetoric.
In 2006 the consortium of governments created its own currency - the Sucre (in English standing for 'Unified System for Regional Compensation') - and announced plans for trade agreements "as a front to the free trade agreements and taxes of the United States that cause unemployment and marginalisation of our people", the Alba website reads. Leaders of the university integration initiative, which is being called Unialba, hope for a shared network of universities which will offer a platform for exchange and mobility for university students and professors, combine resources in investigation and unite the achievements and greatest minds within member countries.
Speaking last year to the Juventud Rebelde, a newspaper for youth in Cuba, the Cuban Deputy Minister for Higher Education Aurora Fernandez said that the university network "will be a giant learning community, with venues in each Alba member country where students will have the opportunity to access higher education - something that has previously been a privilege only enjoyed by the economic elites." Immediate challenges to the integration effort are streamlining curricula and ensuring that member universities are meeting agreed-upon benchmarks, said Rubén Reinoso, the Venezuelan Vice-minister for academic development in the University Education Ministry.
"As you know, universities have different curricula and career paths...we need to harmonise these programmes and our research projects, so that we are on the same page," he said. Guillermo Bernaza, a representative of the Higher Education Ministry in Cuba, said the move to integrate higher education is key in terms of Alba unification. "This is a fundamental social pillar in united development and cooperation between our nations...Only in this manner can we be free, independent, successful and with our own identity."

16 août 2011

42 cm sur 14 cm minimum pour le logotype associé au label national "Orientation pour tous"

http://payload.cargocollective.com/1/2/76339/1795201/OPT-SITE_650.pngUn Arrêté du 25 juillet 2011 définit le logotype associé au label national "Orientation pour tous - Pôle information et orientation sur les formations et les métiers". Label que pourront reproduire les organismes labellisés, notamment "sur tout support conforme à l'objet du label qui leur a été attribué" et "en façade des lieux où ils dispensent informations et conseils à tout public", comme il est spécificié dans le décret n°2011-487 du 4 mai 2011.
Arrêté du 25 juillet 2011
définissant le logotype associé au label national « Orientation pour tous - Pôle information et orientation sur les formations et les métiers » prévu à l'article R. 6111-2 du code du travail. NOR: ETSD1120832A - JOURNAL OFFICIEL, n°0181 du 6 août 2011 page 13434, texte n° 14.
Article 1 En savoir plus sur cet article...
Le logotype mentionné à l'article R. 6111-2 du code du travail est conforme au modèle annexé au présent arrêté.
Article 2 En savoir plus sur cet article...

Le délégué à l'information et à l'orientation, le délégué général à l'emploi et à la formation professionnelle, le directeur général de l'enseignement scolaire, le directeur général pour l'enseignement supérieur et l'insertion professionnelle et le directeur de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Annexe
LOGOTYPE ASSOCIÉ AU LABEL NATIONAL « ORIENTATION POUR TOUS ― PÔLE INFORMATION ET ORIENTATION SUR LES FORMATIONS ET LES MÉTIERS » PRÉVU À L'ARTICLE R. 6111-2 DU CODE DU TRAVAIL.

1. Le logotype comporte deux versions, l'une en couleur et l'autre en niveaux de gris.
2. La version en couleur est la suivante: Vous pouvez consulter le tableau dans le JO n° 181 du 06/08/2011 texte numéro 14.
3. La version en niveaux de gris est la suivante: Vous pouvez consulter le tableau dans le JO n° 181 du 06/08/2011 texte numéro 14.
4. Le logotype peut être reproduit par les organismes labellisés sur tout support conforme à l'objet du label qui leur a été attribué.
5. Les dimensions auxquelles le label est reproduit sont laissées à l'appréciation de l'organisme labellisé en fonction du support de reproduction: carte de visite, papier à lettres, site internet.
6. L'apposition du logotype en façade des lieux où les organismes labellisés dispensent informations et conseils à tout public et plus généralement sur toute signalétique extérieure doit être d'une taille suffisante pour que sa visibilité soit satisfaisante même lorsqu'il coexiste avec un ou plusieurs autres logos. Ses dimensions ne seront pas inférieures à 42 centimètres pour la longueur et 14 centimètres pour la hauteur.
Voir aussi sur le blog les articles Nadine Morano lance à Marseille le "service public de l'orientation" professionnelle
et Label national « Orientation pour tous - pôle information et orientation sur les formations et les métiers ».
http://payload.cargocollective.com/1/2/76339/1795201/OPT-SITE_650.png Określa logo związane z Krajową Odznakę "Orientacja dla wszystkich -. Polaka informacji i wskazówek na temat szkolenia i zatrudnienia" Label, że można odtworzyć certyfikowanych organizacji, w ​​tym "w każdym medium zgodny z celem na etykiecie, że została przydzielona" i "z przodu pomieszczenia, w których informacje i porady dla ogółu społeczeństwa", specyfikę Dekret nr 2011-487 z 04 maja 2011.
Zamówienie z 25 lipca 2011 określające logo związane z Krajową Odznakę "Orientacja dla wszystkich - informacje Polak i wskazówek dotyczących szkolenia i zatrudnienia", przewidzianego w art R. 6111-2 Kodeksu pracy. Dziennik Urzędowy, nr 0181 z 6 sierpnia 2011 Strona 13434, tekst nr 14.
Artykuł 1 Dowiedz się więcej o tym artykule ...
Logo, o którym mowa w art R 6111-2 Kodeksu pracy jest zgodny z wzorem załączonym do niniejszej uchwały.
Artykuł 2 Dowiedz się więcej o tym artykule ...

Główny Informacje i wskazówki, Generalny Delegat Zatrudnienia i Kształcenia Zawodowego, Dyrektor Generalny Edukacji Szkolnej, Dyrektora Generalnego ds. szkolnictwa wyższego i rozwój pracowników i dyrektora Młodzież, powszechnej edukacji i życia społecznego są odpowiedzialne, każdy w jego przypadku wykonania niniejszego zamówienia, które zostaną opublikowane w Dzienniku Urzędowym Republiki Francuskiej
.
Zobacz także artykuły na blogu Nadine Morano rozpoczęła w Marsylii "public orientacji usług" profesjonalnych i krajowych Label "Orientacja dla wszystkich - informacje słup i wskazówki na temat szkoleń i kariery zawodowej. Więcej...
16 août 2011

La formation continue pour les personnels du ministère de l'Éducation nationale

http://media.education.gouv.fr/image/Global/42/9/logo_MEN_2010_160429.jpgLa formation continue représente pour chaque agent un droit. Elle lui permet de développer ses compétences pour exercer avec plus d'efficacité les missions qui lui sont confiées.
Enseignants du premier et du second degré et des personnels d'éducation et d'orientation.
Personnels administratifs et techniques.
Enseignants du premier et du second degrés et personnels d'éducation et d'orientation

La formation continue des enseignants vise à doter les professeurs des compétences professionnelles indispensables à une constante adaptation aux évolutions du système éducatif et à l'accompagnement des élèves. Elle concerne les enseignants du premier et du second degré.
Le droit individuel à la formation

Vous êtes enseignant, titulaires ou non, et vous comptez au 1er janvier de l'année au moins 1 an de services effectifs au sein de l'administration, vous pouvez demander à bénéficier du droit individuel à la formation, qui vous sera éventuellement accordé dans la limite des crédits académiques disponibles. Votre demande, étayée par un projet professionnel structuré, doit passer par la voie hiérarchique pour avis. Si une suite favorable lui est ensuite apportée par votre autorité administrative, elle fera l'objet d'un accord écrit entre vous et l'administration.
Vous pouvez bénéficier du droit individuel à la formation:
* à raison de 20 heures par an, cumulables depuis le 1er juillet 2007
* pendant les vacances scolaires et hors Plan Académique de Formation (PAF), dans la perspective d'une mobilité professionnelle
* chez un prestataire public ou privé
* en mode présentiel ou à distance.
Une allocation de formation est prévue, versée une fois la formation accomplie.
Le congé de formation professionnelle
Vous êtes enseignant titulaire ou non, vous avez accompli au moins 3 ans de services effectifs, vous pouvez bénéficier d'un congé de formation professionnelle (CFP) dans la limite des crédits disponibles dans votre académie. Durant ce congé, dont la durée ne peut excéder 3 ans sur l'ensemble de la carrière:
* vous gardez les droits afférents à votre position d'activité (avancement, retraite...)
* vous restez titulaire de votre poste
* vous percevez pendant 12 mois maximum une indemnité mensuelle égale à 85 % de votre traitement brut et de l'indemnité de résidence, calculée sur votre indice au moment de la mise en congé. Elle ne peut cependant pas dépasser l'indice brut 650 d'un agent en fonction à Paris
* vous devez remettre à l'administration une attestation mensuelle de présence effective au stage suivi
* vous vous engagez par ailleurs à rester au service d'une administration (au sein de la fonction publique d'État, de la fonction publique territoriale ou de la fonction publique hospitalière) pendant une période dont la durée est égale au triple de celle pendant laquelle vous avez perçu l'indemnité forfaitaire mensuelle.
Les plans académiques de formation

Les plans académiques de formation sont élaborés au niveau local dans une perspective d'accompagnement au plus près des enseignants et des équipes. Les priorités nationales pour la formation des enseignants y sont déclinées en fonction des spécificités de l'académie.
Les priorités nationales sont définies dans le programme national de pilotage (PNP) de la direction générale de l'enseignement scolaire. Par l'organisation de séminaires à dimension nationale, à destination des personnels d'encadrement, il éclaire les grandes problématiques de la politique éducative qui doivent orienter les politiques académiques de formation. Consultez votre plan académique de formation sur Eduscol.

Personnels administratifs et techniques
La formation continue de chaque agent:
* accompagne de façon prioritaire toute évolution des missions
* constitue un point d'appui essentiel dans la construction et la réussite du projet professionnel individuel, l'agent étant pleinement acteur de sa formation
* est un instrument privilégié de perfectionnement, d'adaptation, de promotion sociale, de modernisation et d'anticipation
* constitue un investissement nécessaire à l'évolution du système éducatif. Formation continue des ATSS.
Le droit individuel à la formation des agents de la fonction publique de l'État (DIF)

Présentation et utilisation pour les agents de la fonction publique de l'État.
Le congé de formation professionnelle

Le congé de formation professionnelle pour les agents de la fonction publique.
http://media.education.gouv.fr/image/Global/42/9/logo_MEN_2010_160429.jpgTäiendõpe on õigus iga agent. See võimaldab tal arendada oma oskusi täita tõhusamalt talle usaldatud ülesandeid.
Õpetajad esimese ja teise astme ja töötajate haridus ja suund.

Haldus-ja tehnilised töötajad.

Õpetajate esimene ja teine ​​kraadi ja haridus personali ja juhised

Õpetajakoolituse eesmärk on anda õpetajatele kutseoskuste vaja pidevat kohandumist muutuvate haridussüsteemi ning saatel õpilastele. See hõlmab õpetaja esimese ja teise astme kuriteod.
Individuaalne õigus koolitust avalikus teenistuses riigi (DIF)
Esitusviisi ja kasutamise avalikele teenistujatele riigi.
Le congé de formation professionnelle Kutseõppe lahkuma
Jäta koolitus avalikele teenistujatele. Veel...
16 août 2011

Les 1001 Rapports concernant la Formation Professionnelle ou Continue et les Universités, numéro 3

Du 9 août 2010 à aujourd'hui, plus 45 rapports ont été publiés concernant la Formation Professionnelle ou Continue et les Universités. Nous sommes toujours bien dans le pays des mille et une feuilles, référence à notre premier article Bienvenue au pays des Mille et Une Feuilles du 22 février 2009. L'an dernier, nous avions fait le point le 9 août 2010 dans l'article Les 40 rapports concernant la Formation Professionnelle ou Continue et les Universités. C'est sûrement ce dont nous manquons le moins en France. Nous vous en présentons une petite liste à la Prévert. Certains ont même acquis un nom propre: Young, Sassier, Jamme, Grosperrin, Demuynck, Gaillard, Cherpion-Gille, Guégot, Villerbu-Vallar, Daoust, Rouilleault, Attali 2, Marini. L'an dernier, voici les rapports qui avaient acquis un nom propre: Poisson, Aghion, Morange, Van Lerberghe, Marx, Larrouturou, Cherpion, Pilliard. Les autres sont moins dégrossis et plaisants. Désolé pour les rapports qui nous auraient fortuitement échappé sans préméditation aucune. Voici ci-dessous la liste des articles consacrés aux différents rapports qui n'ont pas acquis de nom propre, à notre connaissance.
Les seniors dans le rapport "La négociation collective en 2010"
La négociation collective en 2010. Ministère du travail, de l'emploi et de la santé; FRANCE. Direction générale du travail; FRANCE. Ministère du travail, de l’emploi et de la santé. Direction de l'animation de la recherche, des...
La Formation dans le rapport "La négociation collective en 2010"
166 accords de branche ont été conclus en 2010 dans le domaine de la formation professionnelle et de l’apprentissage. Ils s’inscrivent dans le cadre de l’accord national interprofessionnel (ANI) du 5 octobre 2009 sur le développement de la formation tout au long de la vie professionnelle, la professionnalisation et la sécurisation des parcours professionnels et de la loi nº 2009-1437 du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle tout au long de la vie...
La FC dans le Rapport d’activité du CAS

Rapport annuel 2010 du Centre d'analyse stratégique (CAS), mis en ligne le 27 juillet 2011. Au sommaire, outre la Présentation du Centre d’analyse stratégique: - L’organisation et les ressources, - Les quatre Départements sectoriels, - Le Centre...
Rapport CPU/CDC - Un learning centre pour l’enseignement supérieur

Une étude de la Caisse des Dépôts et de la CPU, publiée en mai 2011, propose une aide opérationnelle aux établissements d’enseignement supérieur et de recherche, sous forme de guide, qui donne une vision d’ensemble des...
Le rapport sur la recherche et l’enseignement supérieur du CESER Franche-comté: vers le PRES et l'université fédérale
L’enseignement supérieur en France est confronté à d’importants défis: respect des exigences du Traité de Lisbonne, loi dite "LRU", opérations Campus, réponse aux appels à projets dans le cadre des initiatives...
PACA dans le rapport "LE FINANCEMENT ET LES EFFECTIFS DE L’APPRENTISSAGE EN FRANCE" du CNFPTLV
Le présent rapport se situe dans le cadre des travaux visant à améliorer la compréhension et clarifier les mécanismes de financement de l’apprentissage, mission dévolue à la Commission des Comptes du Conseil National de la Formation...
La formation dans le rapport "Du RMI au RSA : La difficile organisation de l'insertion" de la Cour des Comptes

La Cour des comptes et les chambres régionales des comptes ont enquêté auprès de 24 départements et du Fonds de mobilisation départementale pour l’insertion (FMDI) sur l’accompagnement des bénéficiaires du RMI,...
Rapport d'activité 2010 d'Uniformation
Le bilan d’activité d’Uniformation 2010  fait apparaître une progression de 8% de la collecte,  pour un nombre d’adhérents en augmentation de 4%. L’accompagnement des entreprises de moins de 10 salariés (80% des adhérents)...
Construire une carte régionale des formations
Suite à la demande du Premier ministre au secrétaire d’État chargé de la Prospective, de l’Évaluation des politiques publiques et du Développement de l’économie numérique, et à la demande de la ministre de...
Rapport d'activité 2010 du FAF.TT

Le rapport d'activité 2010 du FAF.TT est paru.  Il retrace les grands événements de l'année, avec notamment la mise en place de la période de professionnalisation pour les intérimaires et la refonte des services aux salariés et...

AGEFOS PME: Publication du rapport d'activité AGEFOS PME publie les principaux résultats de son activité 2010, année marquée par une mobilisation renforcée pour l’emploi, par un redémarrage des contrats de professionnalisation et par le déploiement, sur tout le territoire, de... La formation dans le rapport du CESE Poitou-Charentes "L'attractivité industrielle de Poitou-Charentes" Avec près de 10000 établissements industriels et 93000 salariés (au 1er janvier 2009), l’industrie est en Poitou-Charentes un élément déterminant pour le dynamisme des territoires compte tenu du rôle d’entraînement...
La formation continue dans le rapport du CAS "Travail et Emploi en 2030"
Télécharger le rapport Le travail et l'emploi dans vingt ans : 5 questions, 2 scénarios, 4 propositions . Vincent Chriqui, Directeur général du Centre d'analyse stratégique a rendu public, le rapport du Centre d'analyse...
L'Enseignement supérieur dans le rapport 2010 de la Miviludes
Publication du rapport d’activités 2010 de la Miviludes . La Miviludes a remis le 15 juin 2011 son rapport annuel au Premier ministre. Télécharger le rapport 2010 de la Miviludes . La Formation professionnelle est depuis longtemps une préoccupation...
Le Conseil économique social et environnemental ne chôme pas
Après la saisine du Conseil économique social et environnemental (CESE) par François Fillon pour avis  sur « La formation professionnelle », en date du 20 mai 2011, le CES dresse un bilan sévère de Pôle emploi. Dans un rapport...
Remise du rapport du sénateur Demuynck sur le décrochage à l'université
Le rapport sur la réalité du décrochage à l'université montre qu'un peu moins d’un étudiant sur cinq (19 %) sort de l’enseignement supérieur sans diplôme (soit en dessous de la moyenne des pays de l’O.C.D.E...
L'Enseignement supérieur dans l'exécution du budget 2010 - rapports de la Cour des Comptes
Résultats et gestion budgétaire de l'Etat - Exercice 2010. Cour des comptes, Paris, mai 2011. Télécharger Résultats et gestion budgétaire de l'Etat . Conformément à la Loi organique relative aux lois de finances (LOLF), la Cour...
La formation dans le Rapport d’activité 2010 Pôle emploi en actions
Voici quelques extraits concernant la formation dans le Rapport d'activité 2010 que Pôle Emploi a présenté le 25 mai dernier. Mobilisés pour l’emploi Depuis sa création, Pôle emploi a parcouru du chemin. En dépit d'une...
LA PROSTITUTION ÉTUDIANTE : FANTASME OU RÉALITÉ ?
L'Assemblée Nationale publie un rapport sur la Prostitution en France . Voici quelques passages sur la prostitution étudiante. La prostitution étudiante fait aujourd’hui l’objet d’une attention particulière de la part des medias, car ce...
La grande misère de la France en matière de FTLV, 20e en Europe derrière Chypre et l'Estonie, tout juste devant Malte, à égalité avec l'Italie
La France 20e pour la FTLV derrière Chypre et l'Estonie, tout juste devant Malte La France est très loin d'atteindre l'objectif 2020 de 15% d'adultes engagés dans une action de FTLV, elle est même loin de se rapprocher de la moyenne...
La VAE encore dans le rapport du Médiateur de la République
Remise du rapport annuel 2010 au Président de la République Jean-Paul Delevoye a remis son dernier rapport annuel au Président de la République le lundi 21 mars 2011. Pour la dernière année de son mandat, Jean-Paul Delevoye fait le point sur les...
Formation professionnelle et apprentissage : un rapport parlementaire confirme les positions de l'ARF
Les Députés Jean-Patrick Gille (PS) et Gérard Cherpion (UMP) viennent de publier le premier rapport d'évaluation de la la réforme du 29 novembre 2009 . Les critiques formulées dans ce document sont très proches de celles de l'ARF. Le texte...
Filles et garçons sur le chemin de l'égalité, l'enseignement supérieur
Les études statistiques sur les parcours scolaires des élèves établissent l’état des différences de résultats des élèves selon les sexes, souvent à l’avantage des filles. Cette publication...
Rapport du suivi de la LRU
Rapport 2010 du comité de suivi de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (article 51 de la loi n°2007-1199 du 10 août 2007) La loi n° 2007-1199 du 10 août 2007 relative aux libertés et...
Cour des Comptes: Les PRES, un second souffle nécessaire
La Cour des Comptes rend publiques, depuis 1936, ses observations les plus significatives dans un rapport annuel , solennellement remis au Parlement en même temps qu’au Président de la République. Elle vient de rendre son rapport 2011. Dans la partie 1 - Les...
Une présence plus affirmée des entreprises dans la formation continue universitaire entre 2003 et 2008
Par Joëlle Grille, DEPP A1 . Depuis 2003, l’évolution de la formation professionnelle se traduit, dans les universités, par un accroissement de la place des entreprises qui se manifeste davantage par leur contribution financière que par le nombre de leurs...
La Formation Continue dans L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°4 - décembre 2010)
L’état de l’Enseignement supérieur et de la Recherche 2010 permet de faire le bilan annuel chiffré du système d’enseignement supérieur et de recherche français, de le situer au niveau international et de suivre ses...
L'éducation dans le Rapport du Conseil d’analyse économique et du Conseil allemand des experts en économie
Le Rapport "Evaluer la performance économique, le bien-être et la soutenabilité" du Conseil d’analyse économique et du Conseil allemand des experts en économie. Ce rapport est un travail commun du Conseil d’analyse économique...
L'université dans le second rapport Attali
La commission a rendu vendredi soir 15 octobre 2010 à Nicolas Sarkozy son second rapport, après celui de janvier 2008. Selon le document, la priorité va au désendettement et aux emplois. Deux urgences et deux priorités de long terme. Loin des 316 mesures...
Pour des SHS au coeur de l'enseignement supérieur
Le Conseil pour le développement des humanités et des sciences sociales (CDHSS) a remis à Valérie Pécresse son rapport final "Pour des sciences humaines et sociales au coeur du système d’enseignement supérieur et de recherche"...
Renforcer l'accompagnement des transitions professionnelles
Par L De C. Réflexions tous azimuts sur l'emploi à l'heure de la sortie de crise Henri Rouilleault, économiste à l'Insee et ancien directeur général de l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail, avait...
FTLV et VAE dans le rapport "Créativité et innovation dans les territoires"
Le rapport « Créativité et innovation dans les territoires » est le fruit du groupe de travail présidé par Michel Godet, commun au Conseil d’analyse économique (CAE), à la Délégation...
Les Universités dans le rapport sur l’articulation entre la LOLF et les réformes de l’organisation de l’État
RAPPORT D’INFORMATION DÉPOSÉ en application de l’article 145 du Règlement PAR LA COMMISSION DES FINANCES, DE L’ÉCONOMIE GÉNÉRALE ET DU CONTRÔLE BUDGÉTAIRE sur l’articulation entre la LOLF et les réformes de...
Rapport annuel sur l'état de la Fonction publique, baisse de la Formation Continue
Selon le rapport annuel 2009-2010 sur l'état de la fonction publique, que le gouvernement a présenté fin août 2010, le nombre de fonctionnaires est resté stable en France en 2008, à 5,27 millions d'agents (4,9 millions en équivalent...
La formation dans le rapport d'activité du CAS
Le Centre d’analyse stratégique est composé de quatre Départements sectoriels et du Centre d’études prospectives et d’informations internationales. Télécharger le rapport d'activité 2009 du Centre d'analyse stratégique...
August 9, 2010 Today, more than 45 reports have been published on Vocational Training and Continuing and Universities. We are always in the land of a thousand leaves and one, refer to our first article Welcome to the land of a thousand leaves and one of 22 February 2009. Last year we had an update in August 9, 2010 Article 40 The reports on Vocational Training and Continuing and Universities. Surely what we miss the least in France. We present you like a small Prévert's list. Some have even acquired a proper name: Young, Sassier, Jamme, Grosperrin, Demuynck, Gaillard, Cherpion-Gille, Guégot, Villerbu-Vallar, Daoust, Rouilleault, Attali 2, Marini. Last year, here are the reports that had acquired a proper name: Poisson, Aghion, Morange, Van Lerberghe, Marx, Larrouturou, Cherpion, Pilliard. Others are less rough and pleasant. Sorry for the reports that we have fortuitously escaped without any premeditation. Below is a list of articles on various reports that have not acquired a proper name, to our knowledge. More...

15 août 2011

Plateforme "Gestion des âges" de l'ANACT

Emploi des seniors : 10 fiches action
Maintien et retour en activité professionnelle des seniors. Ce guide pour l'action est composé de 10 fiches pour l'action cliquables et réparties selon le sommaire interactif ci-dessous.
Il permet de définir la politique de maintien en activité des seniors dans votre entreprise (fiches 1, 2 et 10). Il décrit des actions mises en oeuvre par des entreprises pour recruter et maintenir en emploi des seniors. Ces démarches s'organisent autour de trois grands leviers d'action: préserver la santé (fiches 3 et 4), développer les compétences (fiches 5, 6 et 7), et favoriser l'engagement au travail (fiches 8 et 9). Maintien et retour en activité professionnelle des seniors. Guide pour l'action.

Fiche 6: Actualiser, développer et valoriser les compétences des seniors

Face à la nécessité d’adaptation en permanence, la situation des salariés âgés et expérimentés peut présenter certaines particularités. Cette fiche propose des repères pour mettre en place des conditions favorables à l’actualisation des compétences et à l’acquisition de nouvelles, voire à la reconversion professionnelle. Des exemples concrets d’entreprises, engagées dans ce type de démarche favorisant le développement des compétences, et des points de vigilance complètent la fiche.
Enjeux
Face aux changements importants que connaissent les entreprises: évolution du contenu des métiers, des technologies et des organisations, des relations avec le client, l’anticipation et la formation tout au long de la vie professionnelle sont de plus en plus reconnues comme des leviers d’action essentiels. Face à cette nécessité d’adaptation en continu, la situation des salariés âgés et expérimentés peut présenter certaines particularités. D’un côté, les perspectives de recul de l’âge de départ en retraite nuancent l’argument selon lequel investir dans la formation des salariés âgés ne serait pas rentable. D’un autre côté, un niveau de formation initial souvent plus modeste que les générations suivantes, un moindre accès à la formation continue durant l’ensemble de la carrière, et parfois une grande ancienneté dans un même emploi sont des caractéristiques qui, plus que l’âge en lui-même, peuvent accentuer leurs difficultés à s’adapter. Pour eux, les enjeux en termes d’emploi et de santé mentale sont au premier plan. Pour l’entreprise, nous notons des:
Enjeux de performance:

Comment assurer le développement de l’entreprise avec les salariés d’aujourd’hui? Comment ne pas perdre le bénéfice de l’expérience acquise par les salariés expérimentés, malgré les évolutions?
Enjeux sociaux:

Quelle solution proposer à des salariés fragilisés ayant malgré tout contribué au développement de l’entreprise? Comment faire en sorte que le changement n’en fasse pas des laissés-pour-compte? Comment prêter une attention particulière à ces salariés pour favoriser leur évolution, sans pour autant stigmatiser leurs éventuelles difficultés?
Repères pour l’action

Il s’agit de mettre en place des conditions favorables à l’acquisition de nouvelles compétences, voire à l’apprentissage d’un nouveau métier.
Dans le cadre d’un changement nécessitant une évolution de compétences, ou une reconversion
Expliciter les évolutions attendues et prendre en compte les enjeux des salariés

Le fait de s’investir dans un nouveau métier, d’acquérir de nouvelles compétences, nécessite non seulement d’en avoir les capacités, mais également de le vouloir, c’est-à-dire d’avoir de bonnes raisons de le faire. Ce constat, valable quel que soit l’âge, prend un sens particulier en dernière partie de carrière. En effet, c’est un moment où d’une part, nous savons en général mieux ce que nous voulons: notre identité au travail s’est construite, et un changement qui remettrait fortement en cause des caractéristiques du travail faisant sens face à cette identité sera éventuellement plus difficile à accepter… et où d’autre part, nous apprécions les efforts à fournir pour acquérir de nouvelles compétences au regard d’une perspective de carrière plus courte. A la question « le jeu en vaut-il la chandelle? », il revient certes au salarié de savoir si les évolutions proposées font suffisamment sens pour lui, mais l’entreprise a aussi un rôle à jouer pour l’aider d’une part, à minimiser les efforts à consentir, et d’autre part, à clarifier les avantages qui peuvent résulter de la nouvelle situation.
Rassurer sur la capacité à acquérir de nouvelles compétences

En particulier si les derniers apprentissages sont anciens, les salariés plus âgés peuvent avoir une certaine appréhension pour apprendre des choses nouvelles. Il est important de penser le dispositif d’acquisition de manière à prendre en compte ces appréhensions, et à aider les salariés à les dépasser. Cela passe notamment par le fait de commencer par identifier et reconnaître la valeur des compétences acquises par le passé, et si possible d’établir des liens avec les nouvelles compétences à acquérir. Et par celui d’instaurer le droit à l’erreur dans les modalités pédagogiques.
Adapter les modalités de formation

Il s’agit de tenir compte d’une manière un peu différente d’apprendre: le salarié expérimenté, pour apprendre, a besoin de faire le lien avec ce qu’il a déjà acquis, et avec l’utilité au quotidien des acquis de la formation. Cela incite à s’appuyer autant que possible sur l’expérience des salariés dans la conception de la formation, et de faire des liens avec les situations de travail, au besoin en utilisant la situation de travail elle-même comme espace d’apprentissage (tutorat). Les prises de décision plus précautionneuses que l’on observe chez les salariés plus âgés incitent aussi à anticiper et à prendre en compte dans les dispositifs un temps d’apprentissage qui peut être plus long que pour des générations plus jeunes.
Permettre de découvrir le nouveau métier dans un cadre sécurisé

Certains dispositifs prévoient que la prise de contact avec le nouveau métier s’effectue dans le cadre de stages de découverte, avec possibilité de retour dans l’ancien poste.
Accompagner dans la durée par le management

Au moment de la prise de poste, il s’agit de prévoir un accompagnement dans la situation de travail, avec des points réguliers avec le management permettant de mesurer et de reconnaître la progression, d’évaluer les difficultés.
Accompagner dans la construction d’un projet mobilisateur

Il peut arriver que des salariés n’aient pas envie de s’engager dans les nouvelles évolutions proposées par l’entreprise. Dans ce cas, certains employeurs prévoient de les accompagner dans une réflexion sur un projet d’évolution externe à l’entreprise, avec un dispositif spécifique. Les adaptations évoquées ci-dessus seront facilitées dans la mesure où les salariés auront régulièrement eu, au cours de leur parcours professionnel, des occasions d’apprendre et de faire évoluer leurs compétences.
Tout au long de la vie professionnelle
Rendre lisibles les facteurs d’évolution de l’entreprise et de ses métiers et les communiquer en interne

Il s’agit de mener en continu une réflexion sur les facteurs d’évolution qui risquent d’avoir un impact sur les métiers et les activités, que ces facteurs soient externes (le marché de l’entreprise, le marché de l’emploi) ou internes (la stratégie de l’entreprise, ses moyens technologiques et organisationnels). Certains accords de GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences) prévoient que cette réflexion soit menée dans un cadre paritaire, au sein d’Observatoires des Métiers.
Organiser des parcours d’évolution professionnelle internes

Dans des environnements qui évoluent très vite, une façon de préparer les salariés à connaître des changements fréquents est de favoriser les démarches volontaires de mobilité. Cela passe par :
• Une mise en visibilité des emplois, de leur évolution, des parcours possibles et des passerelles permettant d’évoluer d’un métier vers un autre;
• Des modalités d’information sur les postes à pourvoir et les règles pour postuler;
• Des dispositifs permettant au salarié de faire le point sur ses compétences, ses souhaits
et possibilités d’évolution, et de construire une nouvelle étape professionnelle.
Sécuriser la mobilité

Une fois décidée, la mobilité doit être accompagnée, notamment par des dispositifs prévoyant le développement des compétences, le suivi régulier par le management au moment de la prise de poste, et le cas échéant la possibilité de retrouver son emploi d’origine au cas où les premiers mois dans le nouveau poste n’apporteraient pas satisfaction.
Susciter des occasions régulières d’apprentissage dans le travail

En dehors des changements de poste, il est possible et souhaitable de permettre aux salariés
d’entretenir leurs ressources cognitives, en favorisant l’apprentissage non seulement à l’occasion de formations, mais également en situation de travail. C’est le cas lorsqu’ils sont confrontés à des situations de travail nouvelles, ou sollicités pour contribuer à la mise en place d’un nouveau projet dans l’entreprise. Pour que l’apprentissage réalisé dans ce type de situation soit effectif, il est important que les salariés aient la possibilité de prendre du recul par rapport à leurs pratiques professionnelles, par exemple à l’occasion de « debriefings
» organisés autour de la gestion de situations de travail complexes.
Identifier et reconnaître l’expérience acquise

Les bilans de compétences réalisés dans le cadre d’une réflexion sur leur évolution professionnelle, ou le travail réflexif sur les compétences mises en oeuvre effectué à l’occasion de la préparation d’un dossier de VAE, sont généralement très appréciés par les salariés. Non seulement ces moments leur permettent d’identifier et de consolider des acquis dont ils n’ont pas toujours conscience, mais ils les considèrent souvent comme un vrai signe de reconnaissance de la part de l’entreprise, d’autant plus important qu’il n’est pas en lien direct avec un besoin de celle-ci.
Accepter d’investir dans des compétences qui serviront ailleurs

Certaines entreprises vont assez loin dans la logique de développement de l’employabilité de leurs salariés, puisqu’elles acceptent à un moment donné de les accompagner dans des projets qui n’intéressent pas directement l’entreprise.
Illustrations
Organisation de la mobilité interne

Ce groupe de prêt-à-porter annonce la délocalisation d’un atelier de confection de 88 personnes. Avec une moyenne d’âge de 48,5 ans, ces salariés ont pour la plupart connu une seule activité. Il met en place un dispositif de mobilité progressive sur deux ans. Les salariés sont prioritaires sur tous les postes vacants ou créés dans les entreprises du groupe et tout est fait pour faciliter le reclassement:
• Une communication importante sur un enjeu de groupe, qui intervient tôt;
• Une présentation filmée de tous les métiers, des visites sur les postes disponibles et la possibilité de faire plusieurs essais;
• Un suivi individualisé par l’équipe de la direction des ressources humaines : chaque cadre RH se voit attribuer le suivi de 12 salariés;
• Chaque salarié se voit proposer l’appui d’un cabinet extérieur pour un accompagnement individualisé permettant notamment d’identifier les savoir-faire et aptitudes développés au cours d’un bilan de carrière;
• Un dispositif de formation interne ou externe, selon les besoins (informatique, management);
• Un dispositif d’intégration: un accompagnement serré, des points de rencontre réguliers; un tuteur dans le service d’accueil;
• Du temps pour apprendre: 3 mois plus 3 mois d’adaptation et plus s’il le faut;
• Le maintien du salaire;
• Des aménagements de postes pour les salariés reconnus Travailleurs Handicapés.
64 salariés seront reclassés, avec une moyenne d’âge de 47 ans et une ancienneté moyenne de 24 ans. 29 ont plus de 50 ans. Le fait de « donner du temps au temps » fait partie des facteurs de réussite de la démarche.
Evolution du métier et accompagnement sur un projet mobilisateur

Ce groupe de 310 salariés dispensant des enseignements en management a adopté une stratégie de développement de son offre de formation qui transforme fortement le métier des enseignants. Dans l’accord de GPEC signé en 2008, priorité est donnée au reclassement interne en cas de diminution de l’activité d’un collaborateur ou d’un niveau d’exigence non satisfait de l’enseignant, avec la possibilité de réaliser des missions temporaires et le développement de la mobilité interne. Des moyens sont aussi prévus pour accompagner des reclassements externes et sécuriser le parcours de salariés dont le projet ne peut trouver de solution dans le groupe : une prestation d’outplacement, un détachement pour un reclassement externe, l’essaimage et l’accompagnement à la constitution d’un dossier de départ en retraite. Cette dernière mesure apparaît comme nécessaire pour envisager un projet de fin de carrière, en permettant de préciser un calendrier et les conditions économiques qui contribuent fortement au processus de décision.
Employabilité et mobilité professionnelle

Ce grand groupe pharmaceutique a décidé de fermer un de ses sites historiques et a rencontré des difficultés de reclassement, en particulier concernant des salariés qui avaient occupé le même poste pendant de nombreuses années et qui n’étaient pas préparés ni à faire face à la perte de leur emploi ni à réagir pour trouver les moyens de rebondir. Les seniors en particulier furent confrontés à l’obsolescence de leurs acquis mais aussi à l’effort nécessaire pour adapter ou développer leurs compétences. A la suite de cette expérience, l’entreprise a décidé d’agir, avec une politique plus volontariste de développement de l’employabilité. C’est dans ce cadre qu’un dispositif a été conçu et proposé pour : « anticiper, développer les compétences transverses qui permettent de s’adapter, inciter les personnes à bouger ». Ce dispositif n’est pas et à dessein, réservé aux seniors, il s’adresse à l’ensemble des salariés et est accessible à tout âge. Il est conçu en 2 phases:
• Une phase bilan, reposant sur un travail personnel important. L’objectif est de permettre au salarié de se positionner par rapport à sa situation professionnelle actuelle, de formaliser ses compétences et d’analyser son parcours et ses perspectives professionnelles. Cette phase bilan peut déboucher sur des actions diverses permettant de renforcer l’employabilité du salarié dans son poste, en confortant son positionnement actuel (formation, mission particulière);
• Une phase projet: à l’issue du bilan, un projet professionnel peut voir le jour, plus éloigné de la sphère professionnelle actuelle. La phase projet permet alors d’accompagner le salarié dans la formalisation et l’étude de son projet, d’en vérifier la faisabilité, la viabilité, les conditions de mise en oeuvre. Certains projets d’envergure peuvent demander un arbitrage et un engagement important de l’entreprise: ils sont alors soumis à un comité de validation, comité composé de membres de la DRH et de 2 membres du Comité de Direction.
Le salarié présente et soutient son projet devant ce comité de validation, qui peut valider en l’état, recommander des étapes intermédiaires préparatoires, ou émettre un refus si le projet est non réaliste.
Le salarié doit être acteur dans la démarche. Le dispositif repose sur une alternance de travail personnel et individuel, à l’aide de supports fournis et d’entretiens individuels avec un RRH chargé de l’accompagnement (3 entretiens minimums). A chaque étape, le salarié peut décider de poursuivre ou non le processus. Au cours de la démarche, les RRH peuvent mobiliser un ensemble d’outils spécifiques permettant d’approfondir le bilan. 51% des plus de 50 ans ont intégré le dispositif, 90% ont adhéré à la démarche après le premier entretien, environ 30% ont vu leur parcours impacté.
Identifier et reconnaître l’expérience acquise

Cette structure d’aide à domicile de 65 personnes encourage les salariés dont elle estime qu’ils ont le potentiel à passer, dès lors qu’ils ont accumulé 3 années d’expérience et 3000 heures de travail en aide à domicile, un diplôme d’Auxiliaire de Vie Sociale en VAE. La décision de l’engagement dans une démarche de VAE est prise conjointement par la structure et le salarié. En effet, la VAE apparaît ici comme un outil de GRH mutuellement profitable pour chacune des deux parties. L’entreprise y voit un moyen de fidéliser les salariés et de les reconnaître; pour les salariés, la démarche permet à la fois de se professionnaliser, car le fait de réfléchir sur sa pratique permet de se rendre compte qu’on peut encore évoluer, d’acquérir un diplôme reconnu par la profession et d’améliorer son niveau de rémunération. Certains salariés attachent de fait une grande importance à l’obtention de ce diplôme qui vient reconnaître l’exercice de compétences jusqu’alors non identifiées et non valorisées. Pour l’encadrement, proposer à un salarié de préparer une VAE est identifié comme une possibilité de reconnaître la valeur de ce collaborateur.
Le salarié est accompagné et encadré dans la préparation de sa VAE dans le cadre du plan de formation de la structure:
• L’encadrement et la responsable formation informent sur cette possibilité. C’est particulièrement important pour les salariés plus âgés car les seniors ne connaissent pas ce type de dispositif, il faut le leur proposer.
• Les salariés bénéficient d’un appui pour remplir leur dossier, en particulier l’étude de cas à réaliser une fois les conditions d’accès à la VAE vérifiées : la responsable formation est disponible pour répondre à leurs questions, et un organisme de formation les aide à mettre leur expérience en mot et en lien les compétences répertoriées dans le diplôme. Cet appui extérieur est jugé indispensable pour arriver à exprimer des choses que l’on fait inconsciemment. La structure s’est fixé comme objectif d’avoir à terme un tiers de ses salariés diplômés.
Points de vigilance
Dépasser les idées reçues

Les idées reçues sur l’âge conduisent parfois à des équations simples du type, salariés âgés = compétences obsolètes ou difficultés d’adaptation aux nouvelles technologies. Ce genre de raisonnement peut aboutir à des représentations qui stigmatisent cette population. Il est indispensable d’établir un diagnostic qui fasse un point objectif sur la situation des salariés concernés au regard des compétences attendues.
S’appuyer sur les compétences acquises
Lors d’un changement de métier, commencer par aider le salarié à faire le point sur les compétences qu’il a déjà acquises joue un rôle essentiel en termes de reconnaissance et permet d’aborder les nouvelles situations avec une confiance supérieure et des savoir-faire réappropriés. S’il est de plus possible de s’appuyer sur ce socle de compétences pour en développer de nouvelles, l’apprentissage s’en trouvera en principe grandement facilité.
Impliquer le management

Les seniors ne vont généralement pas naturellement vers des dispositifs de type VAE, par exemple. L’encadrement a un rôle important d’information à jouer pour les encourager à s’y inscrire.
Aménager des espaces de transition

Il s’agit « d’ouvrir des possibles » au sein de l’entreprise, notamment en offrant aux salariés volontaires pour une mobilité l’occasion de tester dans de bonnes conditions un nouvel emploi.
Pour aller plus loin et en savoir plus:

« Agir sur la professionnalisation: acquérir et transmettre des compétences », sous la dir. de Patrick CONJARD et Bernard DEVIN, Editions de l’ANACT, 2007, 159 pages.
Fiche pratique gestion des âges « Booster la formation des seniors »
Fiche pratique gestion des âges « Âge et travail: lutter contre les idées reçues ».

Prendre en compte les âges dans l'entreprise: un guide pratique pour l'action
Destiné aux dirigeants d'entreprises, DRH, membres de CHSCT, préventeurs, ce guide, élaboré par l'Aract Basse-Normandie,  a pour ambition d'aider les entreprises et leurs acteurs à mettre en place une démarche globale à partir d'une prise de conscience des enjeux suscités par la prise en compte des âges en entreprise. Ce guide a été conçu pour montrer que les âges au travail constituent de nombreux leviers pour des actions d'amélioration des conditions de travail.
Sur la base de cas concrets d'entreprises, il s'articule autour de 8 fiches qui traitent des préoccupations rencontrées par l'entreprise:
1 - Comment dépasser les représentations sur les seniors?
2 - Comment gérer les conséquences des conditions de travail passées?
3 - Comment anticiper les enjeux liés à la gestion des âges?
4 - Comment maintenir l'implication des salariés vieillissants?
5 - Comment attirer et fidéliser de nouveaux salariés?
6 - Rajeunir sa pyramide des âges : la solution à tous les problèmes?
7 - Comment recruter seniors dans le cadre d'un plan d'actions seniors?
8 - Comment maintenir en emploi les seniors dans le cadre d'un plan d'actions seniors?
Télécharger "Prendre en compte les âges dans l'entreprise": un guide pratique pour l'action, des leviers d'action pour l'amélioration des conditions de travail.

Elaborer son plan d'action seniors

Le réseau Anact a mis au point un guide, pour aider direction et représentants du personnel en entreprise, à élaborer un plan d'action en faveur de l'emploi des seniors. Ce guide établit les étapes-clés conduisant à l'élaboration d'un plan d'action, et précise quelques conditions de réussite. Il s'appuie sur les recommandations du décret pour vous permettre de déterminer, d'une part l'objectif global de recrutement ou de maintien, et d'autre part les actions correspondant aux six domaines prévus dans le décret. Il s'articule autour de plusieurs étapes-clés:
1. Mobiliser les acteurs
2. Réaliser un état des lieux: où en êtes-vous?
3. Déterminer les enjeux: les scénarios possibles
4. Choisir les actions à engager: sur quoi agir?
5. Assurer le suivi
6. S'assurer de la conformité par rapport à la loi et au décret
7. Identifier quelques conditions de réussite
Télécharger le guide pour l'élaboration d'un plan d'action seniors.

Eakamate töötajate tööhõive: 10 arvestust tegevuse
Säilitamine ja naasta kutsetegevuse eakamaid töötajaid. Käesolev juhend tegudele koosneb 10 lehte tegevuse klikitav sisukord ja jagatud interaktiivne allpool.
See seab säilitamise poliitika vanemate töötajate firma (vormid 1, 2 ja 10). Ta kirjeldab rakendatud meetmete töötajaid värvata ja hoida tööl eakaid töötajaid. Need jõupingutused on organiseeritud kolme peamise hoovad: tervis (eksemplaride 3 ja 4), ​​oskuste arendamine (vormid 5, 6 ja 7), ning julgustada kohustust teha (vormid 8 ja 9). Säilitamise ja naasta kutsetegevuse eakamaid töötajaid. Guide to tegevus .

Fakt 6: Update, arendada ja tõhustada oskused vanemate

Seistes silmitsi vajadusega kohandada pidevalt olukorda vanemaealiste ja võib olla kogenud mõned iseärasused. Käesolevas teabelehes esitatakse kriteeriumid luua soodsad tingimused oskuste ajakohastamist ja omandada uusi või koguni ümberõppele. Konkreetseid näiteid ettevõtetes, mis tegelevad seda tüüpi lähenemist, et edendada oskuste arendamist, ning juhib vaadata täielik rekord.
Küsimustes
Silmitsi suurte muutuste ees seisvaid ettevõtted: sisu muuta kaubandus, tehnoloogia ja organisatsioonidega, kliendisuhted, ennetada ja koolitust kogu tööelu peetakse üha hoovad tegevus väga oluline. Seistes silmitsi selle vajadust kohandada pidevalt olukorda vanemaealiste ja võib olla kogenud mõned iseärasused. Ühelt poolt on väljavaated tõsta pensioniiga nüanss argument, et investeerimine koolitus vanemad töötajad ei oleks kasumlik. Teiselt poolt, esialgse koolituse tase on sageli tagasihoidlikumad kui järgnevate põlvkondade vähem juurdepääsu täiendõppe terve karjääri ja mõnikord suur vanus samal töökohal omadusi, mis on rohkem kui vanus ise võib suurendada nende raskusi kohanemisel. Nende jaoks on panused tööhõive ja vaimne tervis on esirinnas. Veel...

15 août 2011

Les universités françaises à la peine dans le classement de Shanghai

leParisien.frDans le classement de Shangai des universités du monde entier, la France garde trois établissements dans le top 100 et continue de perdre des places dans le top 500.
Chaque année, le classement de Shanghai des universités est scruté par les présidents des plus prestigieuses facultés de la planète et chaque année, la France mesure un peu mieux l'écart qui la sépare de ses confrères. La France garde trois établissements dans le top 100 et continue de perdre des places dans le top 500. Cette année, encore une fois, les premières places sont trustées par les universités américaines et britanniques. Mais les détracteurs de ce véritable hit-parade mettent les critères retenus. Ne sont en effet pris en compte que la recherche, le nombre de publications dans les grandes revues internationales (toutes anglo-saxonnes) et les récompenses (prix Nobel, médaille fields en mathématiques) et non pas la qualité de l'enseignement, difficilement quantifiable.
Masse critique

La France souffre dans ce classement notamment à cause de la taille de ses universités, trop petites pour lutter à armes égales avec les mastodontes anglo-saxons. Elle en pâtit d'autant plus que la recherche dépend dans notre pays à la fois des universités et des organismes de recherche. Or la méthode de Shanghai partage les points obtenus entre l'université et les organismes associés.
Une des ambitions du gouvernement Fillon et de Valérie Pécresse, ancienne ministre de l'Enseignement supérieur, à travers le plan de réforme de l'université était de favoriser les regroupements pour permettre aux universités hexagonales d'atteindre une masse critique. Les «enquêteurs» chinois ont d'ailleurs rencontré des représentants de ces nouveaux pôles à Paris lors de leur visite entre le 23 et le 30 juillet dernier. La délégation avait été reçue par les responsables de quatre pôles: l'Université de Lorraine, Aix-Marseille Université, "Paris Sciences et Lettres" (PSL) et l'Université de Bordeaux.
Harvard, Stanford, MIT : le tiercé gagnant

Comme en 2010, les universités américaines dominent, s'arrogeant 17 des vingt premières places, selon ce classement mondial de 500 universités mis en ligne dimanche soir par l'université des communications de Shanghai. L'université américaine Harvard reste numéro un, Stanford reprenant la deuxième place cédée l'an dernier à Berkeley, qui est cette fois quatrième derrière le Massachusetts Institute of Technology (MIT). Trois universités britanniques se glissent dans les dix premières places, Cambridge (5e) et Oxford (10e) étant rejointes par le University College de Londres (20e). L'université de Tokyo perd une place pour se classer 21e.
Paris-Sud Orsay (Paris XI) gagne cinq places

Le premier établissement français n'apparait qu'au 40e rang, et seulement trois établissements français continuent de figurer dans le top 100: Paris-Sud Orsay (Paris XI) à la 40e place (5 places gagnées), Pierre-et-Marie-Curie à la 41e place (deux rangs perdus) et l'Ecole normale supérieure (ENS-Ulm) à la 69e (deux places de mieux).
Dans le top 500, les Etats-Unis restent premiers avec 151 établissements, suivis de l'Allemagne (39) et du Royaume-Uni (37). Avec 35 établissements contre 22 l'an dernier, la Chine gagne deux places à la 4e. Suivent le Japon (23 établissements), le Canada et l'Italie ex-aequo (22), tandis qu'avec 21 établissements, la France passe du 6e au 8e rang. Elle était 5e en 2009.
Trois universités se classent dans le Top 100 pour la première fois depuis la création du classement en 2003: celles de Genève (73e), Queensland (88e) et Francfort (100e). Dix universités font leur entrée dans le classement des 500, comme celles de Malaya (Malaisie) et de Zagreb (Croatie).
NDLR du Blog. Voici ci-dessous les 21 Universités françaises présentes dans le classement. De facto, le chiffre de 21 est discutable. En effet, Aix-Marseille University n'existera qu'au 1er janvier 2012 et est aujourd'hui encore actuellement constituée de trois Universités. La fusion prévue le 1er janvier 2012 a sans doute contribué à améliorer le classement de la future Université unique d'Aix-Marseille. Les deux Universités University of Provence (Aix-Marseille 1) et University of the Mediterranean (Aix-Marseille 2) étaient respectivement dans la catégorie 201-300 et 301-401. Aix-Marseille University est propulsé dans les rangs 102-150, ce qui est une grande amélioration. Le PRES d'Aix-Marseille n'a donc pas été visité par Shangai en vain. L'Université de Nice Sophia Antipolis étant toujours classée, la Région PACA place donc quatre de ses Universités sur six dans le classement. Il en est de même pour l'Université de Lorraine qui n'existe pas encore et qui regroupe 4 établissements. L'an dernier, seul Henri Poincare University (Nancy 1) était classé en 301-400, alors que University of Lorraine passe dans la catégorie 201-300. Ce sont donc 27 Universités classées, ce qui est une très nette amélioration par rapport à l'an dernier, d'autant que les deux PRES, Aix-Marseille University et University of Lorraine, ont obtenu un meilleur classement qu'université par université, alors que University of Strasbourg qui résulte de la fusion des trois anciennes Universités de Strasbourg, reste à sa place. Fusion et PRES semblent être de bons moyens de grimper dans le classement de Shangai.
40University of Paris Sud (Paris 11).
41 Pierre and Marie Curie University - Paris 6.
69 Ecole Normale Superieure - Paris.
102-150 Aix-Marseille University.
102-150 University of Paris Diderot (Paris 7).
102-150 University of Strasbourg.
151-200 Joseph Fourier University (Grenoble 1).
151-200 University of Paris Descartes (Paris 5).
201-300 Claude Bernard University Lyon 1.
201-300 Paul Sabatier University (Toulouse 3).
201-300 University of Lorraine.
201-300 University of Montpellier 2.
201-300 University of Paris Dauphine (Paris 9).
301-400 Ecole Polytechnique.
301-400 Industrial Physics and Chemistry Higher Educational Institution - Paris.
301-400 University of Bordeaux 1.
301-400 University of Rennes 1.
401-500 Ecole National Superieure Mines - Paris.
401-500 Ecole Normale Superieure - Lyon.
401-500 University of Nice Sophia Antipolis.

401-500 University of Versailles.
Voici ci-dessous les 22 Universités françaises qui figuraient l'an dernier dans le classement 2010. Il faut noter que la moitié des universités de la Région PACA y étaient: University of Provence (Aix-Marseille 1), University of the Mediterranean (Aix-Marseille 2) et University of Nice Sophia Antipolis.
39 Pierre and Marie Curie University - Paris 6.
45 University of Paris Sud (Paris 11).
71 Ecole Normale Superieure - Paris.
101-150 University of Paris Diderot (Paris 7).
101-150 University of Strasbourg.
151-200 Joseph Fourier University (Grenoble 1).
151-200 University of Paris Descartes (Paris 5).
201-300 Claude Bernard University Lyon 1.
201-300 Ecole Polytechnique.
201-300 Industrial Physics and Chemistry Higher Educational Institution - Paris.
201-300 Paul Sabatier University (Toulouse 3).
201-300 University of Montpellier 2.
201-300 University of the Mediterranean (Aix-Marseille 2).

301-400 Henri Poincare University (Nancy 1).
301-400 University of Bordeaux 1.
301-400 University of Nice Sophia Antipolis.

301-400 University of Paris Dauphine (Paris 9).
301-400 University of Provence (Aix-Marseille 1).

301-400 Ecole National Superieure Mines - Paris.
301-400 Ecole Normale Superieure - Lyon.
301-400 University of Rennes 1.
301-400 University of Versailles.
Voir aussi 4th International Conference on World-Class Universities - WCU-4 et Le PRES d'Aix-Marseille visité par Shangai. Voir le classement 2010 et le classement 2009.

leParisien.frIn the Shanghai ranking of universities around the world, France keeps three schools in the top 100 and continues to lose seats in the top 500.
Each year, the Shanghai university is scanned by the presidents of the most prestigious faculties in the world and every year in France as a little better the gap separating it from his colleagues. France still three schools in the top 100 and continues to lose seats in the top 500. This year again, the first places are trustees for the American and British universities. But critics of this veritable hit parade are the criteria. Are indeed considered as research, the number of publications in major international journals (all Anglo-Saxon) and awards (Nobel Prize, Fields Medal in mathematics), not the quality of education, difficult to quantify.
Ed's Blog.
 Below are the 21 French universities present in the ranking. De facto, the number of 21 is questionable. Indeed, Aix-Marseille University will exist only on 1 January 2012 and is still currently consists of three Universities. The planned merger on 1 January 2012 may have contributed to improve the ranking of the future single University of Aix-Marseille. The two Universities University of Provence (Aix-Marseille 1) and University of the Mediterranean (Aix-Marseille 2) respectively in the category 201-300 and 301-401. Aix-Marseille University is propelled into the ranks 102-150, this which is a big improvement. The PRES Aix-Marseille has not been visited by Shanghai in vain. The University of Nice Sophia Antipolis is always closed, then place the PACA region four of its six universities in the rankings. It is the same for the University of Lorraine does not yet exist and which includes four schools. Last year, only Henri Poincare University (Nancy 1) was classified 301-400, while the University of Lorraine happening in the 201-300 category. So 27 french universities are ranked, which is a marked improvement over last year, especially since the two PRES, Aix-Marseille University and University of Lorraine, received a higher ranking for a university college, while the University of Strasbourg as a result of the merger of three former University of Strasbourg, remains in place. PRES and Fusion seem to be good ways to climb in the ranking of Shanghai. More...

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