Rapport du médiateur de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur - La convention avec la CPU
Par SASSIER Monique, Médiateur de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur. Le rapport annuel de la médiatrice de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur rend compte de son activité et de ses collaborateurs, ainsi que des 49 médiateurs académiques. La première partie illustre cette activité à travers la présentation de cas concrets de réclamations formulées par des parents d’élèves, d’étudiants et de personnels de l’éducation nationale. La deuxième partie du rapport est consacrée aux questions d’affectation et de mutation des enseignants du premier et du second degré. Enfin, la troisième partie « La médiation, force de proposition » assure à la fois le suivi des recommandations précédentes en rendant compte de la façon dont les ministères les ont (ou pas) mises en oeuvre et la synthèse des recommandations nouvelles émises au titre de l’année 2010.
La convention Conférence des présidents d’université/Médiateur de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur
Suite au colloque du 15 décembre 2009 organisé pour les dix ans de la médiation dans l’éducation nationale et dans l’enseignement supérieur, le réseau des médiateurs et la commission juridique de la CPU ont commencé un travail de collaboration en réponse aux souhaits de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, qui s’est dit favorable à un plan d’action pour le développement et la structuration de la fonction médiation dans l’enseignement supérieur.
Depuis quelques années certaines universités se sont dotées de « médiateurs internes » nommés par le président. Un recensement non exhaustif en fait apparaître un petit nombre. La question posée était celle de l’articulation entre le réseau national de médiation et le monde universitaire dans sa diversité de conception des modes de gestion de la conflictualité.
Concernant le champ de l’enseignement supérieur, ce sont le décret n°98-1082 du 1er décembre 1998 instituant des médiateurs institutionnels et l’article 40 de la loi n°2007-1199 du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités dite « loi LRU » qui ont respectivement créé puis confirmé les fonctions du médiateur de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur ainsi que celles de médiateurs académiques.
Le réseau des médiateurs et la CPU ont formalisé les modalités de collaboration en signant une convention le 15 novembre 2010. Les objectifs étant de proposer aux usagers et aux personnels de l’enseignement supérieur un mode alternatif de règlement des conflits, de mieux répondre à la montée très régulière des réclamations provenant de ces deux publics, et d’offrir aux acteurs de la médiation des échanges au sein d’un
réseau, dans le respect de la charte des médiateurs du service public, des conditions de travail adéquates et des garanties personnelles en cas de mise en cause.
Les tendances actuelles amèneraient à voir plus d’établissements se doter d’un médiateur, de même que le réseau national s’enrichirait toujours plus de compétences issues du supérieur.
Le réseau des médiateurs et la CPU se sont accordés sur les deux axes d’action suivants:
– rapprocher les acteurs et construire la médiation sur la base de principes communs, et particulièrement celui « d’extériorité » qui tend à garantir au réclamant une distance entre le médiateur et l’institution dont émane la décision contestée.
– instaurer une concertation régulière.
Ainsi, pour la nomination des médiateurs académiques de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur du réseau national, il convient désormais de favoriser l’émergence d’un vivier de candidats provenant des corps de l’enseignement supérieur et que le médiateur informe les instances de la CPU lors de la nomination des médiateurs académiques issus de l’enseignement supérieur.
Enfin, il convient de réfléchir ensemble à la « carte » des médiateurs et à leur nombre pour faire face aux besoins croissants des usagers et personnels. Paris, le 15 novembre 2010, Monique Sassier, Médiatrice de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur. Télécharger le rapport. Voir aussi Rapport du médiateur de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur - 2009 - Humaniser les approches et Les recommandations sur la VAE dans le Rapport 2008 du médiateur de l'Éducation nationale et de l'Enseignement supérieur.
Przez Monique SASSIA, Rzecznik Praw Obywatelskich Edukacji Narodowej i Szkolnictwa Wyższego. Roczne sprawozdanie mediatora Edukacji i Szkolnictwa kont Edukacja dla jego firmy i jej pracowników, jak również 49 mediatorów akademickich.
wydanych na podstawie 2010 roku.
Konferencja Konwencji Uniwersytetu prezydentów/Mediator Edukacji i Szkolnictwa Wyższego
Po sympozjum 15 grudnia 2009 przez dziesięć lat mediacji w Nauki i Szkolnictwa Wyższego, sieć mediatorów i Komisja Prawna procesora rozpoczął współpracę w odpowiedzi na życzenia Minister Szkolnictwa Wyższego i Badań Naukowych, który opowiada się za plan działania na rzecz rozwoju i struktury funkcji mediacji w szkolnictwie wyższym. Więcej...
Tout savoir sur le DIF - Droit individuel à la formation
Par Aurélie Tachot. Sous ces trois lettres se cache un dispositif permettant aux salariés de donner un second souffle à leur carrière. Créé en 2004, le Droit individuel à la formation (DIF) leur octroie, chaque année, un quota d’heures de formation.Kelformation vous propose un dossier complet pour tout savoir sur le Dif.
Qu’est-ce que le Dif ?
Régi par la loi L6323 du Code du travail, le Droit individuel à la formation (Dif) est un dispositif mis en place par l’Etat le 4 mai 2004 et effectif depuis janvier 2005. « Il permet à tout salarié de se constituer un capital annuel de 20 heures de formation cumulables sur six ans dans la limite de 120 heures », explique Guilain Vandaele, consultant formateur au sein de CSP Formation. Sauf disposition d’une convention ou d’un accord collectif interprofessionnel, de branche ou d’entreprise prévoyant une durée supérieure.
L’intérêt du Dif pour les salariés
Développer ses compétences, acquérir de nouvelles connaissances, adapter son savoir-faire aux évolutions technologiques, préparer l’obtention d’un diplôme ou d’une certification, favoriser sa mobilité interne, découvrir de nouveaux champs d’activité… Même s’il est conditionné à l’accord de l’employeur, le Dif n’en reste pas moins « une occasion pour les salariés de prendre en main leur carrière professionnelle tout en devenant acteur de leur propre parcours de formation », souligne Guilain Vandaele.
Cadres supérieurs, employés de bureau, techniciens, agents de maîtrise… « Le Dif concerne toutes les catégories socioprofessionnelles », ajoute Olivier Reydellet, directeur de la formation continue au sein de l’ESC Chambéry. Un commercial peut, par exemple, suivre une formation sur la négociation s’il souhaite développer son portefeuille client. Un assistant de direction souhaitant mieux gérer son temps peut suivre un stage de développement personnel afin de gagner en efficacité. Pour booster sa carrière, un analyste informatique peut suivre une formation dans l’encadrement d’équipe et ainsi briguer un poste de chef de projet. Enfin, pour renforcer ses acquis ou diversifier son activité, un ouvrier du bâtiment peut, lui aussi, suivre un cursus en béton armé.
Les formations les plus demandées au titre du Dif
Si les formations courtes en anglais, bureautique et développement personnel sont actuellement celles qui rencontrent le plus de succès, les salariés peuvent choisir parmi un catalogue beaucoup plus large. Seule condition : « Il faut que la formation que le salarié choisit soit en lien avec son poste ou avec l’activité de son entreprise », tempère Guilain Vandaele. À moins que ce ne soit brillamment argumenté, un responsable de supply chain aura donc dû mal à faire accepter à son employeur une formation sur les marchés publics hospitaliers.
Où en est le Dif en France ?
Malgré les avantages de la formule, le Dif semble avoir du mal à décoller. En 2009, seul un quart des entreprises ont eu recours au dispositif pour former un peu plus de 600000 salariés. Soit à peine 6% de la population active. « Le manque d’informations et de communication est certainement le premier frein au déploiement du Dif », conclut Isabelle Marion, chargée d’études au sein du Centre d’études et de recherches sur les qualifications (Céreq). Les autres articles du dossier: Ai-je droit au Dif? Calculer son Dif. Qui finance le Dif? Faire sa demande de Dif. Modèle de lettre demande de Dif. La portabilité du Dif. Quelles formations choisir?
Autor Aurélie Tachot. Nendes kirjades peitub seadmega, mis võimaldab töötajatel taaselustada oma karjääri. Asutatud aastal 2004, individuaalne õigus koolitus (DIF) annab neile igal aastal kvoodi koolitus tundi. Kelformation pakub täielikku pilti õppida kõike dif.
Mis on DIF?
L6323 reguleerivad seaduste töökoodeksi individuaalne õigus koolitus (DIF) on loodud riigi poolt 4. mai 2004 ja tõhusat alates jaanuarist 2005. "See võimaldab igal töötajal koguda kapitali aastane 20 tundi koolitust kogunenud kuue aasta jooksul kuni 120 tundi," ütles Guilain Vandaele, konsultant treener CSP koolitus. Kui kokkuleppe või kollektiivlepingu kutseala, sektori või ettevõtte pakkudes pikemat aega. Muud faili: Kas mul on õigus DIF? Arvuta dif. Kes raha DIF? Making taotluse dif. Sample kiri taotluse dif. Teisaldamist dif. Millist koolitust valida . Veel...