L'ABG-Intelli'agence en bref

Nos réseaux. -Les conseillers: Personnels des établissements d'enseignement supérieur (universités, écoles d'ingénieurs, écoles doctorales) et de recherche (CNRS, CEA...), les conseillers sont chargés par leurs propres institutions d'accompagner la mobilité professionnelle des docteurs. Partenaire de ces établissements, l'ABG-Intelli'agence anime le réseau national et le développe à l'international en partenariat avec l'Université franco-allemande pour l'Allemagne et l'Université Nationale de Cuyo, en Argentine. -Les anciens de l'ABG : Le réseau des docteurs ayant, par le passé, utilisé la CVthèque de l'ABG-Intelli'agence pour publier leur CV compte d'ores et déjà plus de 2000 membres. Il se concrétise par un annuaire en ligne ainsi que des rencontres régulières, les Apérodocs.
Nos partenaires. Pouvoirs publics, universités, écoles d'ingénieurs, organismes de recherche, entreprises, associations... L'ABG-Intelli'agence ne pourrait exister sans ses nombreux partenaires. En savoir plus.
Notre histoire. A la fin des années 70 quelques scientifiques prennent conscience que leurs doctorants ne pourront pas tous intégrer la recherche académique ou l'enseignement supérieur. En 1977, quelques mois avant sa disparition, Bernard Gregory, alors Délégué général à la recherche scientifique et technique, met sur pied un groupe de travail sur l'insertion professionnelle des jeunes scientifiques formés par la recherche : la future Association Bernard Gregory. Celle-ci verra le jour en 1980.

Meie networks.-Advisors: Staff kõrgkoolide (ülikoolide, inseneri koolide koolilõpetajad) ning teadus (CNRS, CEA ...), nõuandjaid on vastutavad oma institutsioonide liikuvuse toetamiseks professionaalsed arstid. Veel...
Champagne-Ardennes - le CPRDFP 2011-2015 est signé
Vers une coordination des politiques de formation professionnelle ! Télécharger AriforMag31-web.
Le 15 juin dernier, les 4 autorités régionales en matière de formation professionnelle, Jean-Paul Bachy, Président du Conseil régional, Michel Guillot, Préfet de la région Champagne-Ardenne, Philippe-Pierre Cabourdin, Recteur de l’académie de Reims Chancelier des Universités et Yvan Lobjoit, directeur régional de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt en Champagne-Ardenne, ont signé à l’Hôtel de Région à Châlons-en-Champagne le Contrat de Plan Régional de Développement de la Formation professionnelle (CPRDFP). Un acte fort puisque le CPRDFP vise à créer les conditions d’une véritable coordination des politiques de formation professionnelle au bénéfice des champardennais-es.
Les axes stratégiques pluriannuels du CPRDFP et leurs objectifs vous sont présentés dans la rubrique formation de ce numéro.
Vous découvrirez également dans cet ARIFOR magazine: - le bilan 2010 des Espaces métiers, dispositif initié et financé par le Conseil régional, qui révèle, à travers l’offre de services délivrés et les chiffres des publics bénéficiaires, que la dynamique est bien lancée avec tous les partenaires de l’AIO en région!
- des pratiques innovantes en matière d’orientation et d’emploi/formation à travers:
- L’outil en main, véritable école de la vie et des métiers du patrimoine dès le plus jeune âge, né dans notre région à Troyes.
- le train de l’emploi et de l’égalité des chances, opération emploi formation orientation portée par Pôle emploi, qui a choisi en 2011 de passer par la gare de Reims pour offrir aux demandeurs-euses d’emploi champardennais‑es des offres de formation, d’emploi et d’alternance.
Le dossier central actualise les sources d’information sur la création d’entreprise en région où les partenaires sont tout particulièrement engagés pour apporter un panel de services appropriés aux futurs créateurs. Enfin, pour donner une tonalité estivale, je vous propose de vous « plonger » dans les parcours de champardennais-es passionnés-ées par leur métier, au contact quotidien avec l’international, ou ayant bénéficié d’expériences de travail à l’étranger, source d’évolution professionnelle rapide. Bonne lecture! La Présidente, Marie Noël d’Hooge, Conseillère régionale.
Le CPRDFP : le texte fondateur pour accompagner le destin professionnel des champardennais (F/H)
En réponse à une économie régionale en mutation et aux attentes de la population champardennaise en matière de formation professionnelle (scolaire, universitaire et continue), les acteurs de la formation ont défini des objectifs communs et une méthode de travail innovante. Il se sont également engagés à déployer des moyens financiers et opérationnels nécessaires pour la mise oeuvre du CPRDFP.
Les premiers travaux lancés en juin 2010 au sein du CCREFP ont porté sur un état des lieux. Une analyse commune a débouché sur un diagnostic partagé. Ce diagnostic a fait l’objet de nombreux débats au sein du CCREFP. Des réunions territoriales ont été organisées par la Région, favorisant ainsi le recueil des données pour l’élaboration du CPRDFP. Ce dernier a obtenu l’accord de la majorité des membres du CCREFP le 13 mai 2011 avant d’obtenir le vote à l’unanimité des suffrages exprimés à l’assemblée du Conseil régional le 23 mai.
Towards a Policy Coordination training! Download AriforMag31-web.
June 15, the four regional authorities in vocational training, Jean-Paul Bachy, President of the Regional Council, Michel Guillot, Prefect of the Champagne-Ardenne, Philippe-Pierre Cabourdin, Rector of the Academy of Reims Chancellor Universities and Yvan Lobjoit, Regional Director of Food, Agriculture and Forestry in Champagne-Ardenne, signed at the Hôtel de Région in Chalons-en-Champagne Agreement Regional Development Plan Training (CPRDFP). A strong act as the CPRDFP aims to create the conditions for genuine coordination of vocational training policies for the benefit of Champagne-Ardennes. More...
Signature du CPRDFP lorrain

Aussi, le CPRDF est-il décliné de manière innovante autour de 4 parcours :
- Parcours formation initiale – premier emploi,
- Parcours mobilité subie – recherche d’emploi,
- Parcours d’insertion,
- Parcours mobilité choisie – professionnalisation. Consulter le document CPRDF signé le 30 juin 2011.
Les signataires du CPRDF considèrent que des recherches fondamentales et appliquées devraient être entreprises sur les méthodes favorisant l’apprentissage chez les publics en difficulté et l’ingénierie de formation dans un contexte de marginalisation des apprenants. Ils proposent de saisir l’opportunité de la création de l’Université de Lorraine et de l’universitarisation des formations sociales pour mobiliser la recherche en sciences humaines et sociales sur le champ de l’insertion. Les laboratoires de recherche lorrains qui travaillent sur ces objets d’étude seront sollicités pour transposer dans le champ de l’insertion sociale et professionnelle ce qui se fait en matière de valorisation de la recherche dans le domaine économique en direction des entreprises...
Les partenaires du CPRDF considèrent comme indispensable d’engager une réflexion de fond sur le bilan de compétences avec les prescripteurs, les financeurs et les opérateurs concernés, afin de recentrer cet outil dont les actifs ont besoin. Un travail de recherche pourrait être initié avec l’appui de l’Université et du Fongécif. Est attendue notamment une analyse fine de l’impact du statut de la personne bénéficiaire sur le déroulement du bilan et la nature de la demande...
Les partenaires du CPRDF soutiendront toutes les formations à même d’entretenir l’esprit d’entreprenariat. Des initiatives originales ont d’ores et déjà été lancées, comme celle par exemple de l’Université de Lorraine (programme de soutien à la création d'entreprises innovantes dans le cadre d'unités d'enseignements libres pour les non spécialistes en licence, qui autorise une validation d’ECTS – European Credit Transfer System).

Alternance et stages : ce que change la loi Cherpion

Le Grep RH : Pouvez-vous rappeler le contexte dans lequel s'inscrit la loi Cherpion ?
Philippe Bernier : "Cette nouvelle loi s'inscrit dans une logique de sécurisation des parcours professionnels, qui a débuté en 2009 avec la loi sur l'orientation et la formation professionnelle du 24 novembre 2009. Celle-ci avait elle-même été précédée par les "plans d'urgence jeunes actifs", lancés par le gouvernement pour privilégier l'alternance."
Quels en sont les principaux objectifs ?
"Il y en a essentiellement trois. Le premier est d'améliorer la situation et l'insertion des jeunes sur le marché du travail. Deux volontés fortes ont été affichées : passer de 600 000 à 1 million d'alternants d'ici à 2015, et mieux encadrer les stages pour mettre fin aux dérives observées en entreprises. Il faut noter que la mesure instaurant un système de bonus-malus, pour les entreprises remplissant ou pas leur quota d'apprentis, ainsi que le relèvement de ce quota de 3 à 4 %, a finalement été intégré à la loi de Finances rectificative pour 2011.
"Sécuriser les parcours professionnels tout au long de la vie"
Un second objectif est de mieux sécuriser les parcours professionnels tout au long de la vie. On peut citer par exemple des mesures visant à développer les groupements d'employeurs et la création du contrat de sécurisation professionnelle, dispositif unique d'accompagnement des salariés licenciés pour motif économique. Enfin, un troisième volet de la loi, qui a finalement été inclus dans le projet de loi de Financement de la sécurité sociale rectificative pour 2011, ouvre le débat sur le partage de la valeur ajoutée, en mettant en place des outils d'amélioration du pouvoir d'achat et de justice sociale."
Quand va-t-elle entrer en vigueur ?
La loi est immédiatement applicable. Néanmoins, j'insiste sur le fait que de nombreux décrets d'application sont encore en attente, et qu'un certain nombre de mesures restent soumises à la conclusion d'accords de branche. Dans ce contexte, il convient d'être extrêmement prudent sur des explications que l'on voudrait émettre trop rapidement sur ce texte. De nombreux passages de cette loi restent ainsi soumis à une application relative. Si l'on prend l'exemple concret de la limitation nouvelle pour les entreprises de proposer des stages d'une durée excédant six mois, celle-ci est soumise à des dérogations dont les conditions doivent être précisées par décret. Dans l'attente de ces conditions, les entreprises ne peuvent pas proposer de stages excédant six mois, quelle que soit la situation du stagiaire.
Trois mesures à la loupe
Le GREP RH a demandé à Philippe Bernier d'analyser trois nouveautés de la loi: l'instauration d'un délai de carence entre deux stages, la limitation de la durée maximum des stages à six mois et la création du statut de "stagiaire de la formation professionnelle" pour les jeunes inscrits en CFA, n'ayant pas trouvé d'employeur en contrat d'apprentissage.
1. Instauration d'un délai de carence entre deux stages
2. Durée maximum des stages limitée à six mois
"La limite de six mois ne s'applique pas aux stages de longue durée intégrés dans le cursus des formations de l'enseignement supérieur."
3. Création du statut de "stagiaire de la formation professionnelle" pour les jeunes en CFA n'ayant pas signé de contrat d'apprentissage avec une entreprise
Stages et alternance : les autres mesures de la nouvelle loi
* Prise en compte de la durée du stage dans la période d'essai en cas d'embauche dans l'entreprise
* Création par l'entreprise d'accueil d'un registre des conventions de stages à différencier du registre unique du personnel
* Création d'une carte d’étudiant des métiers pour les contrats d’apprentissage et de professionnalisation (sous condition d'une durée minimum de 12 mois pour ces derniers)
* Création d'un service dématérialisé gratuit pour le développement de l'alternance (géré par les OPCA et la CCI)
* Adaptation des règles générales des contrats en alternance à des situations ou professions spécifiques (intérim, activités saisonnières, groupement d'employeurs, "particuliers employeurs"…)
* Possibilité pour un apprenti de signer une convention tripartite d'apprentissage avec deux employeurs dans le cadre d'activités saisonnières.
* Possibilité de renouveler un contrat de professionnalisation pour acquérir une autre qualification
Lire l'intégralité du texte de loi : http://www.senat.fr/leg/ppl10-736.html.

Formation universitaires à destination des personnes sans emploi financées par la Région Auvergne à la rentrée 2011
La Région Auvergne finance des formations supérieures diplômantes à destination des personnes sans emploi à la rentrée 2011. De différents niveaux (DAEU, DUT, Licence pro, Master, Diplôme d'ingénieur...) dans des secteurs d'activité variés, ces formations sont financées par le Conseil régional d'Auvergne et prescrites par le Pôle emploi, Cap Emploi ou la Mission Locale. Retrouvez les 29 parcours de formation concernés à l'Université Blaise Pascal et l'ensemble des 77 parcours de formation de l'enseignement supérieur financés par la Région sur votre portail.
Ces parcours de formation s'adressent à des personnes sans emploi résidant en Auvergne, ne pouvant prétendre à aucune autre source de financement, de suivre des formations, en particulier qualifiantes/certifiantes, supérieures ou égales au niveau III (et DAEU), conférant des compétences reconnues sur le marché du travail. Ce dispositif pourra également s'étendre aux salariés suivant une démarche individuelle d'évolution professionnelle, et ne pouvant bénéficier de financements privés.
La Région Auvergne a mis en place un dispositif qui a pour but de financer des formations supérieures diplômantes à destination des personnes sans emploi. 29 parcours de l’Université Blaise Pascal sont concernés.
En 2011, le Conseil régional a renouvelé son dispositif de financement de l’enseignement supérieur. L’université Blaise Pascal a répondu à l’appel à projets. La Région a retenu un certain nombre de formations de différents niveaux (Licence pro, Master, Diplôme d’ingénieur, ...) dans des secteurs d’activité variés.
Le dispositif « Achat de places de formation de l’enseignement supérieur » a pour objet de permettre à des personnes sans emploi résidant en Auvergne, ne pouvant prétendre à aucune autre source de financement, de suivre des formations, en particulier qualifiantes/certifiantes, supérieures ou égales au niveau II, conférant des compétences reconnues sur le marché du travail. Ce dispositif pourra également s’étendre aux salariés suivant une démarche individuelle d’évolution professionnelle, et ne pouvant bénéficier de financements privés. Outre ces conditions, les personnes intéressées devront se rapprocher de prescripteurs tels que le Pôle emploi, Cap emploi, mission locale... afin de pouvoir postuler sur ces formations.
Region Auvergne rahastada kõrghariduse diplomi suunatud töötute septembrini 2011. Erinevatel tasanditel (USDA, OTC, pro litsents, Master, Engineering kraadi ...) mitmetes tööstusharudes, need kursused on rahastatud piirkondlik nõukogu Auvergne ja ettenähtud töö-keskuse või Cap Emploi Mission Locale. Leia 29 koolitusi asjakohaste Ülikooli, Blaise Pascal ja kõik 77 koolitusi kõrghariduse poolt rahastatud piirkonna oma portaalis. Veel...
La formation professionnelle des demandeurs d’emploi en 2009: baisse de 5% des entrées

Tous financeurs confondus, les formations débutées en 2009 ont duré en moyenne 4,8 mois. Les stages financés par Pôle emploi, qui visent davantage à répondre à des besoins immédiats des entreprises, sont beaucoup plus courts (2,9 mois en moyenne) et ceux financés par l’État ou les régions plus longs (respectivement 5,7 mois et 4,9 mois). Fin 2009, 8% des demandeurs d’emploi de France métropolitaine étaient en formation professionnelle, soit 1,7 point de moins qu’un an auparavant. Les jeunes sans emploi ont été quatre fois plus souvent en formation que les personnes de 45 ans ou plus. Télécharger la note de la DARES "La formation professionnelle des demandeurs d’emploi en 2009 : baisse de 5 % des entrées".
Les régions ont financé les coûts pédagogiques de six stages sur dix en 2009
Avec 355000 stages en faveur des demandeurs d’emploi pris en charge en 2009, les régions ont été le principal financeur des coûts pédagogiques de formation. Elles en ont assuré 62%, soit une part en nette progression depuis 2004 (48% en 2004). Le transfert progressif aux régions, entre 2006 et 2009, des crédits de l’État dédiés aux actions mises en oeuvre par l’association nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) a notamment contribué à cette évolution.
La part des formations dont les coûts pédagogiques sont pris en charge par le conseil régional diffère selon les régions. Ainsi, en Basse-Normandie et dans le Limousin, la formation professionnelle des demandeurs d'emploi est financée à plus de 70% par les régions, alors qu’à l’opposé, en Poitou-Charentes et Rhône-Alpes, les participations sont respectivement de 54% et 55%. Ces écarts sont toutefois moins contrastés selon les territoires que les années précédentes, au cours desquelles seules certaines régions bénéficiaient déjà du transfert des crédits que l’État versait à l’Afpa pour ses actions de formation.
