Les universités chinoises fortement endettées
Les universités chinoises continuent de faire face à des niveaux d'endettement importants, rapporte le site University World News. Un responsable du National Audit Office (NAO) chinois a en effet annoncé la semaine dernière que plus de 1100 universités du pays avaient accumulé à la fin de l'année 2010 une dette totale de 263 milliards de yuans (29 milliards d'euros).
Selon ce responsable, "de nombreuses universités doivent emprunter plus d'argent encore chaque année pour rembourser leurs anciennes dettes, ce qui entrave leur développement". Le recours des universités chinoises aux prêts des banques s'explique par "l'expansion massive" des établissements chinois depuis 1999, qui ont dû construire de nouveaux bâtiments et des laboratoires coûteux à une échelle sans précédent, explique le site d'information.
Chińskich uniwersytetach nadal napotykają znaczne poziomy zadłużenia, raportów Światowej Uniwersytetu strony News. Urzędnika z Urzędu National Audit (NAO) Chiny ogłosił w zeszłym tygodniu, że ponad 1100 uczelni w kraju zebrał na koniec 2010 roku dług w sumie 263 miliardów juanów (29 mld euro).
Urzędnik powiedział "wielu uniwersytetach muszą pożyczać więcej pieniędzy każdego roku na spłatę starych długów, co utrudnia ich rozwój". Więcej...
La formation dans le rapport du CESE Poitou-Charentes "L'attractivité industrielle de Poitou-Charentes"

C’est pourquoi le Conseil Economique, Social et Environnemental Poitou-Charentes (CESER) a engagé une réflexion sur la problématique de l’industrie régionale et dans un rapport propose la mise en place d’une stratégie industrielle régionale ambitieuse et structurante articulée autour de deux leviers:
- mobiliser le Schéma Régional de Développement Economique (SRDE) en faveur de l’industrie avec notamment une articulation permanente des politiques "emploi-formation" et "développement économique" et une intégration des enjeux de la filière industrielle au CPRDFP,
- mettre en place des politiques publiques spécifiques pour se différencier et s’identifier. Consulter le rapport du CESE Poitou-Charentes "L'attractivité industrielle de Poitou-Charentes".
4. Le déploiement d'un plan de formation ambitieux p.14-15
Parce qu'elle est transversale, la stratégie industrielle du Conseil regional doit intégrer la question de la formation. En premier lieu, il semble nécessaire de veiller a l'articulation et la mise en synergie des politiques « Emploi/formation » des politiques « Développement économique » dans le cadre d'actions de sécurisation des parcours professionnels afin notamment de mettre en adéquation le besoin significatif de compétences dans certaines entreprises avec le taux de demandeurs d'emploi tres elevé sur les memes territoires.
En ce sens, et compte tenu des evolutions majeures du tissu economique, de la reconversion d'un certain nombre de bassins d'activites, de la sous-qualification des salariés de l'industrie régionale et de la difficulté exprimée par les entreprises pour recruter du personnel qualifié, le CESER preconise la mobilisation ambitieuse du futur CPRDFP (Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles) sur ces questions ainsi que la prise en compte dans ce document des problématiques specifiques de l'industrie regionale.
Outil de coordination et de mise en cohérence des differentes politiques régionales de formations professionnelles, le CPRDFP definira l'offre de formation professionnelle initiale et continue en Poitou-Charentes (du CAP au Master en passant par les titres d'ingénieurs).
A travers la prise en compte du tryptique économie/emploi/formation, ce Contrat de plan doit poursuivre un objectif d'accompagnement des évolutions, des changements et des mutations dans le domaine économique et social en tenant compte des enjeux lies au développement durable. Plus précisement, l'offre de formation professionnelle doit permettre d'accompagner les individus à s'adapter au monde qui les entoure et a ses évolutions. Il doit par ailleurs permettre de répondre aux besoins des entreprises en termes de développement, de recherche et de performance...
Pour finir, concernant les enjeux de la formation, il semble que la question préalable de l'image et de l'attractivité des métiers industriels reste centrale. Phénomène qui n'est pas nouveau, une désaffection de certains métiers est unanimement constatee. Dans ce contexte, des opérations de communication valorisante sur les métiers et savoir-faire industriels doivent etre envisagées.

See on põhjus, miks majandus-, sotsiaalse ja keskkonnaalase Poitou-Charentes (CESER) alustas arutelusid teemal piirkondlike tööstuse ja milles ta teeb ettepaneku ambitsioonika piirkondlike tööstusstrateegia ja struktureerimine üles ehitatud kahte tegurit. Veel...
Programme national de réforme de la France 2011-2014 : annexe statistique relative à l’emploi

En ce qui concerne l’emploi, l’objectif communautaire consiste à atteindre un taux d’emploi des femmes et des hommes âgés de 20 à 64 ans de 75 % d’ici à 2020. En outre, quatre des dix nouvelles lignes directrices intégrées adoptées dans le cadre de cette stratégie sont relatives aux politiques de l’emploi, d’éducation et de lutte contre la pauvreté. Comme ce fut le cas dans le cadre de la Stratégie de Lisbonne, le PNR du gouvernement français a été accompagné d’une annexe statistique relative à l’emploi dont la réalisation a été coordonnée par la Dares. Ce document d’études présente cette annexe statistique. Télécharger la publication Programme national de réforme de la France 2011-2014.
Accroître l’offre de compétences, la productivité et la formation tout au long de la vie
En 2010 le taux moyen trimestriel d’accès à la formation des personnes de 25 à 64 ans s’élève à 8,0%. Il est en légère baisse par rapport à 2006 (9,1%). L’accès à la formation reste très différencié selon l’âge : plus élevé pour les jeunes, rare pour les plus âgés. Les femmes, quel que soit l’âge, déclarent également davantage un accès à la formation.
En moyenne sur l’année 2010, 9,8% des salariés de 25 à 64 ans ont suivi une formation à but professionnel sur une période d’un trimestre. Ce taux régresse légèrement par rapport à 2006 (11,3%). Les ouvriers y accèdent deux à trois fois moins souvent que les cadres ou les professions intermédiaires. Les femmes accèdent globalement plus souvent à la formation que les hommes. Cependant, si les femmes cadres et professions intermédiaires se forment plus souvent que leurs homologues masculins, ce n’est pas le cas pour les employées et ouvrières.
En 2001, la contraction de l’activité a entraîné une baisse des gains de productivité. L’emploi s’est ajusté avec les délais usuels au ralentissement économique, si bien qu’en 2003, avec le redémarrage sensible de l’activité au second semestre la productivité a rebondi. À partir de 2005, l’emploi s’est raffermi progressivement et les gains de productivité du travail s’en sont trouvés ainsi plus modérés. En 2007, l’emploi s’est révélé plus dynamique qu’attendu aux vues de la croissance, induisant ainsi une baisse des gains de productivité. Enfin en 2008 et 2009, avec les effets usuels de la conjoncture, les gains de productivité se sont avérés à nouveau extrêmement faibles.
