15 juin 2011

Remise du rapport du sénateur Demuynck sur le décrochage à l'université

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/2/2f/Logo_mesr.gifLe rapport sur la réalité du décrochage à l'université montre qu'un peu moins d’un étudiant sur cinq (19 %) sort de l’enseignement supérieur sans diplôme (soit en dessous de la moyenne des pays de l’O.C.D.E. qui est de 30%). Il préconise notamment de mieux suivre les étudiants faibles, plus de pédagogie de la part des enseignants et des quotas pour les bacheliers technologiques et professionnels. Télécharger le Rapport Demuynck.
Extraits

Notre travail de terrain a porté principalement sur le décrochage universitaire bien que le décrochage soit également une réalité importante dans les filières courtes et sélectives (environ 28 000 jeunes concernés). L’abandon d’études en université (46 000 jeunes concernés) est en effet celui qui impacte le plus fortement le niveau de décrochage définitif de l’enseignement supérieur.
Le décrochage est enfin un problème économique pour notre société qui investit lourdement dans la dépense de formation supérieure avec l’objectif raisonnable qu’au moins un jeune français sur deux d’une classe d’âge devienne diplômé de l’enseignement supérieur. Défi d’autant plus important que la faiblesse de la formation continue dans notre pays permet difficilement de rattraper les carences de la formation initiale. C’est sans doute près d’un milliard d’euros par an qui n’aboutit pas à un résultat de formation tangible. Quelle que soit la formule, l’offre d’apprentissage au sein de l’université doit se développer, se généraliser à l’ensemble des disciplines et se valoriser. A cet égard, il est regrettable qu’il existe rarement un service commun et pluridisciplinaire « apprentissage » au sein de l’organigramme des universités, ou alors il est regroupé avec la formation continue ce qui n’est pas le plus efficace.
De ce dernier point de vue, la réunion et la coordination de l’ensemble du supérieur court public au sein de « community colleges » à la française en étroite implication avec les universités semble à la mission une piste plus réaliste que la fusion lycée-premier cycle, souvent évoquée. Elle unifierait la plus grande part des formations courtes, répondraient aux besoins de proximité, aurait la professionnalisation comme caractéristique première avec y compris la formation continue.
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/2/2f/Logo_mesr.gif A jelentés a valóságban egyetem befejezése azt mutatja, hogy majdnem minden ötödik diák (19%), ki a felsőoktatás nélkül diploma (vagy az átlag alatti az OECD országokban 30%). azt javasolja, különösen a pontosabb nyomon követésére az alacsony hallgatói, oktatói több részéről a tanárok és az egységek műszaki diplomával és a szakemberek. Letöltés Jelentés Demuynck.
Kivonat

A terepmunka középpontjában az istálló, míg az egyetem lemorzsolódás is fontos valóság a rövid tanfolyamok és szelektív (mintegy 28 000 fiatalt érintett).
A lemondás az egyetemi tanulmányok (46 000 résztvevő fiatalok) valóban az, amelyik leginkább hatással szintjén végleges kimaradás a felsőoktatás.
Az istálló végre egy gazdasági problémát cégünk sokat áldoz a képzési költségek, mint az ésszerű cél, hogy legalább egy, két francia fiatal korában válni végzős felsőoktatási intézményben. Challenge annál is inkább fontos, hogy a gyenge folyamatos képzési nálunk megnehezíti, hogy töltsük fel hiányosságokat az alapképzés
. Még több...

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Enquête AFPA : l'accès à la formation professionnelle reste inégalitaire

ecoles-entreprises : formation professionnelle et partenariats écoles entreprisesCe sont souvent les publics nécessitant le plus une formation qui y ont le moins accès constate l'AFPA (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes), qui révèle les résultats de sa dernière enquête "formation professionnelle et mutation de l’entreprise" (Enquête réalisée en ligne auprès de 4 395 salariés et 400 chômeurs français du 26 avril au 12 mai 2011 par IPSOS - Logica Business Consulting).
Selon cette étude, 67% des salariés français ont reçu une formation au cours des 5 dernières années, dont 37% l'an dernier. Néanmoins "l'accès à la formation reste inégal", analyse l'association, les seniors apparaissant les plus touchés par le manque de formation, tant au sein d'une entreprise qu'en situation de chômage.
Trois facteurs d'inégalités d'accès à la formation

Trois facteurs principaux d'inégalités d'accès à la formation professionnelle se détachent de l'enquête :
- La taille de l'entreprise, les salariés des TPE sont "de loin" les moins formés, "pour des raisons à la fois d'obligation légale et de coût de la formation pour de toutes petites structures"
- Le niveau de formation initiale et le statut dans l'emploi, les salariés "sans aucun diplôme" (employés ventes/ services et ouvriers) sont les plus nombreux à n'avoir jamais été formés dans l'entreprise
- L'âge, "alors que 63% des salariés de 25 à 40 ans ont reçu une formation dans les 3 dernières années ils ne sont plus que 56% passés 40 ans", en raison d'une "possible discrimination par l'âge combinée aux difficultés toujours plus grandes à évoluer sur le marché du travail". Plus de 40% des salariés de plus de 40 ans jugent ainsi que leur entreprise ne porte pas assez d'attention à la formation.
Informer et sensibiliser les managers de proximités

Le manque d'information des salariés concernant la formation professionnelle est un constat général, alors que "seulement la moitié des salariés se déclarent bien informés tant sur l'évolution de leurs métiers et des compétences de leur secteur que de leur droits et de l'offre en terme de formation".
L'AFPA préconise en conséquence un travail un travail d'information s'appuyant en priorité sur les managers de proximités.  Le rôle de ceux-ci n'a en effet cessé de croître au cours des dix dernières années "dans l'identification des besoins de formations de leurs équipes et dans la définition de leurs projets de formation".
Aujourd'hui 56% des salariés se tournent en priorité vers leurs responsables directs pour discuter de formation, contre 20% vers leurs services de ressources humaines, d'autres responsables de leur entreprise (10%) ou les branches professionnelles/OPCA (8%).

Business School: sħubiji vokazzjonali u n-negozju iskejjel Huwa ta 'spiss il-pubbliku li jeħtieġu taħriġ aktar li jkollhom in-noti aċċess inqas AFPA (Assoċjazzjoni Nazzjonali għall-adulti Taħriġ Vokazzjonali), li turi r-riżultati tal-istħarriġ riċenti tiegħu "taħriġ vokazzjonali u l-iskjerament ta' l-intrapriża"  (istħarriġ twettaq online ma 4,395 impjegati u 400 qegħda Franċiżi 26 april-12 Mejju 2011 IPSOS - LOGICA Business Consulting).
L-istudju sab li 67% tal-ħaddiema Franċiżi kienu imħarreġ matul l-aħħar 5 snin, 37% is-sena. Madankollu, "aċċess għal taħriġ għadha mhix uniformi", l-analiżi assoċjazzjoni, anzjani jidhru aktar milquta mill-nuqqas ta 'taħriġ, kemm fi ħdan kumpanija sitwazzjoni tal-qagħad li. More...

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A New European Ranking: Prizes for All!

http://chronicle.com/img/chronicle_logo.gifBy Ben Wildavsky. “Everybody’s got talent – they’re just talented in different ways!” In contemporary parent-speak, this is the kind of thing a mom or dad might tell a crestfallen fourth-grader who didn’t get the lead in the school play (but perhaps won a Best Tree award instead). This self-esteem-building mentality came to mind the other day when I read about the release of a prototype of U-Multirank. That’s the latest global university ranking to come on the scene, premised on the idea that every university should have the chance to spotlight its own special talent.
Sponsored by the European Commission, the prototype was developed by a consortium led by the Center for Higher Education Policy Studies at the University of Twente and Germany’s Center for Higher Education Development. It uses metrics in five areas – teaching and learning, research, knowledge transfer, international orientation, and regional engagement – to allow users, whether students, universities, or employers, to use their own weightings to rank universities. This build-your-own approach was born of frustration with the poor showing of countries on the European continent in established global rankings.
To give this new system its due, it has the great advantage of being consumer-oriented, focusing on a range of measures that are certainly plausibly related to university excellence. Given longstanding complaints about existing rankings, which certainly have many flaws, there is something appealing about U-Multirank’s approach. It accepts the inevitability of comparisons between institutions, while creating a transparent, multifaceted, user-controlled model that could be called the rankings version of direct democracy.
And yet. Rankings foes often argue that judging different universities is inherently problematic because so many unique factors distinguish them. But most academics in, say, the physics department of a major research university can instantly recite a list of the top departments in the nation — or the world. University presidents, too, have a keen sense of where they stand in the pecking order of institutions with which they compete. So while an employer might want to rank universities based on their graduation rates — an important measure, to be sure — shouldn’t some measure of overall academic excellence also play a role? Similarly, a university might legitimately boast of its wonderful record of regional engagement – yet it might be quite undistinguished in a broader sense.
Here’s another way to look at this. The London Symphony Orchestra is surely one of the best in the world – ranked number four by Gramophone magazine. Yet a critic opposed to the hopeless subjectivity of such assessments might propose an alternative methodology. Under this approach, consumers could be asked to rank the orchestra’s quality based on their views of the relative importance of numerous factors: the prowess of its percussion section, the comfort of its concert-hall seats, the affordability of its tickets, and so forth. But would any of those granular characteristics, while certainly worth knowing about, really tell the broader world something meaningful about its excellence?
I don’t mean to condemn the U-Multirank experiment, which I believe has promise – particularly if its creators can find a way over time to add some kind of AHELO-like measure of student-learning outcomes. A proliferation of thoughfully constructed ranking systems is healthy, it seems to me. But a radically democratic approach to university assessment comes at a price. Consumers may not be the best judges of overall university quality. That’s why the application of thoughtful judgement by rankers has value, particularly as rankings gradually become more sophisticated and robust. If handmade rankings become the preferred method of university assessment, useful and comparable information about overall institutional quality risks being lost in a childish world of prizes for all.
See also on our blog Classement mondial des universités: La Commission européenne confie le projet au consortium Cherpa. A l’issue d’un appel d’offre lancé en novembre 2008 par la commission européenne, un consortium de sept entités européennes s’est vu confier le 2 juin 2009, la mise au point et l'essai de la faisabilité d'un classement multidimensionnel des universités à l'échelle mondiale.

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