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Formation Continue du Supérieur
29 mai 2011

How the U.S. Can Stop Hindering Higher-Education Exports

http://chronicle.com/img/chronicle_logo.gifBy Mitch Leventhal. We need a national export council for higher education—and we need it now. Education is one of few export sectors where the United States remains the undisputed world leader. The United States is the recipient of about 20 percent of international students who cross national boundaries for education.
Global demand for higher education has never been stronger, and it's still growing. The world's middle class has never been so wealthy, and the United States remains the first-choice study destination. Yet we face stiff competition, and our share of the market has been shrinking. Now is the time to leverage our colleges to become engines of export and national growth. In fact, not to do so amounts to squandering a great national treasure.
29 mai 2011

Les étudiants de master ne sont pas encore assez sûrs d’eux

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/02/bac2.1296825999.jpgPar Olivier Rollot. Recherche d’emploi : les étudiants de master ne sont pas encore assez sûrs d’eux. Alors que, contrairement à une idée si répandue, 61% des étudiants universitaires souhaitent travailler dans les entreprises privées (contre 33% qui choisiraient plutôt dans la fonction publique), le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils sont encore loin d’avoir le même niveau de confiance en eux que leurs camarades des grandes écoles. C’est l’un des éclairages qu’apporte un sondage mené par l’’agence d’information professionnelle AEF avec TNS SOFRES sur la perception des entreprises par les étudiants de master 2 universitaires.
Peu de confiance face à l’emploi. Une soixantaine d’universités se sont associées à cette étude qui porte sur 6365 étudiants à 75% convaincus qu’il leur sera difficile de trouver leur premier emploi. Un pourcentage qui tombe aux alentours de 30% quand on interroge les élèves des grandes écoles, évidemment bien moins nombreux et dans des filières bien moins différentes que celles de l’université.
« Les étudiants de l’université doivent apprendre à mieux se vendre », commentait Valérie Pécresse, la ministre de l’enseignement supérieur et de la Recherche, en apprenant les résultats de ce sondage lors des journées qui réunissaient hier entreprises et universités dans le cadre des Rencontres universités entreprises (RUE). Et d’ajouter : « Les jeunes diplômés de l’université savent répondre à la question "Qu’est ce que vous savez ?" mais pas à la question "Qu’est ce que vous savez faire ?". Nous devons les aider à faire émerger des compétences acquises qui vont bien au-delà de leur discipline. »
Cette fois d’accord avec la ministre, Anne Fraïsse, présidente de l’université Paul-Valéry Montpellier 3, confirmait ce diagnostic : « Bien sûr un DRH s’intéresse peu aux connaissances qu’a recueillies un jeune universitaire pendant sa thèse sur les "hérésies christiques dans le monde byzantin". Mais il faut lui faire comprendre tout ce qu’il a appris en termes de méthodologie, de pensée personnelle ou de sens de l’innovation. »
Pessimistes sur leur niveau de salaire. Résultat de ce manque de confiance, les futurs jeunes diplômés de l’université se disent prêts à accepter un salaire moyen à l’embauche de 1730 € brut par mois (1960€ pour les hommes contre 1550€ pour les femmes) alors que l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) estime elle qu’ils débutent en moyenne 400 € plus haut, à 2170 €. Pourvu en tout cas que ce sondage ne donne pas de mauvaises idées d’économies salariales aux DRH…
Les littéraires plus portés vers la fonction publique. Cette appétence pour le privé se retrouve dans toutes les disciplines. Il n’y a guère que les littéraires à penser majoritairement à la fonction publique, et d’abord pour devenir professeurs (un souhait de 39% d’entre eux).
Secteurs d’activité: hommes et femmes se distinguent.
Le conseil arrive en tête des secteurs qui attirent les jeunes avec 24% des sondés quel que soit le sexe,. Ensuite, hommes et femmes se différencient très nettement. Les premiers optent pour, dans l’ordre, l’informatique, l’énergie, la banque/assurance et les télécoms quand les secondes privilégient les professions de santé, les médias/communication, l’humanitaire et le tourisme. Des directions somme toute logiques au vu de la plus ou moins grande féminisation des filières.
Les différences sont encore plus marquantes en ce qui concerne les valeurs de responsabilité sociale et environnementale : 81% des femmes disent vouloir travailler dans des secteurs économiques d’abord centrés sur l’humain quand ce n’est le cas que de 55% des hommes.
Différents des élèves des grandes écoles ?
Universitaires et élèves des grandes écoles choisissent d’abord de travailler dans le conseil. Les uns comme les autres préfèrent à 56% « gagner confortablement leur vie mais en travaillant beaucoup». Mais ils se distinguent dans leur choix d’entreprises. Là où les HEC ou Insa optent d’abord pour de grandes entreprises, ils s’imaginent beaucoup plus dans des entreprises de taille moyenne (22%), voire des PME (14%).
Les différences sont encore plus marquantes quand on parle de l’international. 50% des élèves des grandes écoles veulent travailler dans une entreprise portée dans l’international quand ce n’est le cas que pour 27% des universitaires.
Mais encore une fois, les jeunes diplômés de l'université sont une population hétérogène. Une vraie comparaison porterait sur les étudiants en IAE face aux élèves des écoles de commerce, aux étudiants en Miage face aux écoles d'ingénieurs, etc. Sans oublier que nombreuses sont aujourd'hui les grandes écoles d'ingénieurs universitaires et que les frontières s'estompent peu à peu entre les systèmes, chacun prenant ce qu'il y a de meilleur chez l'autre : la recherche des universités, l'insertion professionnelle des grandes écoles. Un jour sans doute ne fera-t-on même plus la différence...
http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/02/bac2.1296825999.jpg Permezz Rollot Olivier. Job Search: studenti tal-Masters ma jkunux għadhom pjuttost ċert ta infushom funzjoni. Allura li, kuntrarjament għall-idea daqshekk prevalenti, 61% ta 'studenti universitarji li jixtiequ jaħdmu fil-kumpaniji privati ​​(kontra 33% li jagħżlu li minflok il- pubbliku), l-inqas li nistgħu ngħidu huwa li dawn għadhom 'il bogħod milli jkollhom l-istess livell ta' kunfidenza fihom minn sħabhom fl-iskejjel. More...
29 mai 2011

Common Strategic Framework for future EU Research and Innovation Funding

LogoEUA has this week published its responses to two important consultations recently launched by the European Commission: the Green Paper on a “Common Strategic Framework for future EU Research and Innovation Funding”; and the consultation on the modernisation of higher education in Europe.
The Green Paper focuses on defining a common strategic framework for EU research funding for the period 2014-2020 and the range of funding instruments required (when the current Framework Programme, FP7, ends in 2013). Meanwhile, the second consultation relates to the European Commission’s plans to adopt a new Communication on the modernisation of higher education in the third quarter of 2011. This new Communication will review progress towards the objectives set out in the 2006 Communication ‘Delivering on the modernisation agenda for universities: education, research and innovation’ and will propose action to respond to the challenges of the new decade. EUA sees the development of the European Research Area and European Higher Education Area as being crucially linked if Europe's universities are to play their full part in contributing to the achievement of the Europe 2020 objectives. To read EUA's position on the Green Paper on a Common Strategic Framework for EU Research and Innovation Funding click here. For EUA's response to the EC Consultation on the Modernisation of Higher Education, please click here.
29 mai 2011

Le CV dans le cadre d'une VAE

http://www.vaeguidepratique.fr/Dossier%20Image/divers/haut640.jpgDans le cadre d'une Validation des Acquis, le CV est rédigé différemment de celui d'une demande d'emploi. La VAE exige de la précision. Appuyez-vous sur le référentiel du diplôme visé pour le rédiger.
Cependant le niveau d'exigence varie selon les organismes valideurs. L'Education Nationale ne demande pas de CV. C'est le Livret de Recevabilité qui le remplace. Les Universités et Ecoles l'exigent plus souvent.
ATTENTION : le jury portera moins son attention sur votre parcours professionnel (ou autre) que sur les compétences acquises au fil du temps. Vous devez donc concentrer vos efforts de réflexion sur l'explicitation de vos compétences pratiques, théoriques, procédurales et relationnelles concordant avec le niveau du diplôme visé. Ce n'est pas simple. Il est donc indispensable de bien étudier au préalable le référentiel diplôme. Rédigez en vous appuyant sur des verbes-clés.
Un CV par compétences bien construit et réfléchi sera l'indice que le parcours de validation pourra être mené à bien, car vous saurez renseigner complètement le jury. Dans le cadre de la VAE, il vaut mieux un CV détaillé sur 3 ou 4 pages, qu'un CV succinct sur une page.
Indiquez l'intitulé de vos fonctions et le nom de l'Organisation qui vous emploie (employait). Soyez précis quant aux dates et au temps de travail. Des justificatifs sont demandés.
Précisez les secteurs d'activité. Voir les codes Rome.
Précisez vos fonctions, définissez vos responsabilités. Précisez si vous aviez un poste d'encadrant.
Listez les activités qui composent (ou composaient) chacune de vos missions en suivant ce schéma. Hiérarchisez en fonction de l'importance. Capacité à définir et à décrire
Inventoriez vos formations continues et autoformations. Annexez le référentiel des formations et vos sources documentaires. Il s'agit de savoir comment vous progressez. Soulignez les connaissances en lien avec le diplôme.
Enoncez les principales connaissances et compétences théoriques, pratiques et procédurales requises.
Enoncez les qualités requises.
Insistez sur vos travaux (types de problématiques, les résultats obtenus), publications, brevets, prix et reconnaissances professionnelles... Vous annexerez les principaux documents probants.
Inventoriez vos contacts (internes et externes), précisez leur niveau.
Soyez contextuel au diplôme. Entrez dans le détail chaque fois qu'une de vos activités y est référencée. Ainsi, vous montrez au jury votre parfaite connaissance de la certification visée.
A l'inverse passez rapidement sur les expériences qui n'ont pas, ou peu, de rapport avec le diplôme visé. ATTENTION, n'omettez pas les compétences dites transversales (compétences méthodologiques, cognitives, relationnelles, linguistiques transférables). Elles ne sont pas toujours évidentes à rendre visibles
.
Toutes les expériences, professionnelles ou non, vos centres d'intérêt, en lien avec le diplôme, doivent être mises en avant et précisées. Citez tout ce qui témoigne de votre culture du secteur d'activité concerné par le diplôme.
Il convient aussi de faire ressortir votre progression professionnelle et la cohérence de votre parcours. Enoncez les principales étapes.
Appronfondissez, lisez :
Les travaux préparatoires.
Par quoi commencer ?
Autoquestionnement et pistes de réflexion.
Il peut être pertinent de rédiger un premier CV par pôles de connaissances et de compétences et un second montrant la complexité croissante de vos missions et activités.
Les langues vivantes. Souvent les candidats n'ont guère l'occasion de les utiliser dans leur vie professionnelle. Il se peut même que votre niveau remonte à l'école ou à l'Université, il y a 10 ou 20 ans de cela. Dans ce cas, avant de commencer votre démarche de validation, nous vous conseillons de vous inscrire à des cours de remise à niveau. Cette initiative exprimera votre motivation et le jury en tiendra compte.
Rassurez-vous vous ne serez pas interrogé dans une langue étrangère sauf si vous visez une licence ou master mention langues étrangères appliquées ou bien langues, littératures et civilisations étrangères par exemple.
Un niveau TOEIC, TOEFL, BULAT ou autre, est souvent exigé pour les diplômes niveau 1 et 2.
http://www.vaeguidepratique.fr/Dossier% 20Image/divers/haut640.jpg Part of a Validation of the CV is written differently from that of a job application. VAE requires precision. Rely on the repository of the diploma referred to the draft. However the level of demand varies among agencies validators. The National Education does not require a resume. This is the booklet Admissibility replacing him. The Universities and Schools require more often. More...
28 mai 2011

« L'avis VAE » n°3

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)« L'avis VAE » est la revue bimestrielle des acteurs de la VAE en Midi-Pyrénées édité par le CARIF-OREF. Le dernier numéro est consacré à la VAE des activités bénévoles, dans le cadre de l’année européenne du bénévolat . Il aborde la reconnaissance des compétences développées par les bénévoles et les volontaires dans le domaine du sport, dans le champ syndical et apporte un éclairage dans le secteur social et la solidarité à travers deux expériences, bénévole et volontaire.
Guy Le Boterf, du Cnam, développe son point de vue sur les notions de compétence et de ressources qui dépassent largement la thématique et donne quelques pistes de réflexion et d’action en matière de bénévolat.
Au sommaire :
- L'activité bénévole, la VAE s'engage
- Le point de vue de Guy Le Boterf, Expert en gestion et développement de la compétence et du professionnalisme
- VAE & territoires : Pas de frontière pour l'expérience bénévole ou volontaire. Consulter « L'avis VAE » n°3.
Voir aussi sur le blog Bénévoles : la VAE en trois points.

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) "L'opinió VAE" és la revista bimensual dels actors de la VAE a Midi-Pirineus, editat per CARIF-ORECE. El darrer número està dedicat a activitats de voluntariat APL en el marc de l'Any Europeu del Voluntariat.Aborda el reconeixement de les competències desenvolupades pels voluntaris i voluntaris en l'àmbit de l'esport en el treball de camp i proporciona informació detallada sobre el social i la solidaritat a través de dos experiments, i voluntària. Més informació...
28 mai 2011

Contrôle des OF : quelles sont les sanctions financières encourues ?

Droit-de-la-formation.frPar Fouzi FETHI, chargé d’études à la Direction Juridique Observatoire – Centre Inffo. Les activités en matière de formation professionnelle continue conduites par les organismes de formation ainsi que leurs sous-traitants sont soumises à un contrôle administratif et financier de l’Etat. Ce contrôle, qui porte sur tout ou partie de l’activité, concerne « l’ensemble des moyens financiers, techniques et pédagogiques, à l’exclusion des qualités pédagogiques, mis en œuvre pour la formation professionnelle continue » (art. L6361-2 et L6361-3 du Code du travail).
Au-delà des sanctions administratives (refus d’enregistrement, annulation du numéro d’activité etc.) et, éventuellement, pénales, les organismes de formation qui contreviennent aux dispositions légales et réglementaires de leur activité, encourent également des sanctions financières multiples. Ces dernières prises par l’autorité administrative ne peuvent intervenir, après la notification des résultats du contrôle, que si une procédure contradictoire a été respectée (art. L6362-10 du Code du travail). La « Question du Mois » dresse un inventaire des sanctions financières prévues par le Code du travail [1].
Rejet des dépenses et versement équivalent au Trésor public

Dans le cadre d’un contrôle, il appartient aux organismes de formation de justifier à la fois de l’origine des fonds reçus ainsi que de « la nature et la réalité des dépenses exposées pour l’exercice des activités conduites en matière de formation professionnelle continue » et de « justifier le rattachement et le bien-fondé de ces dépenses à leurs activités ». A défaut de justification, les organismes de formation peuvent faire l’objet d’une décision de rejet de ces dépenses (art. L6362-5 du Code du travail). Les conséquences sont extrêmement lourdes puisque, à titre de sanction, l’organisme de formation professionnelle est contraint de reverser au Trésor public une somme égale au montant des dépenses ayant été rejetées (art. L6362-7 du Code du travail). Le recouvrement des versements exigibles au titre des contrôles est établi et poursuivi selon les modalités applicables aux taxes sur le chiffre d’affaires (art. L6362-12 du Code du travail). Cela signifie notamment qu’un recours pour excès de pouvoir contre la décision préfectorale ayant décidé le rejet des dépenses n’a pas d’effet suspensif. Bien plus, les dirigeants de fait ou de droit sont solidairement tenus, avec les organismes qu’ils dirigent, au paiement des sommes correspondantes (art. L6362-7 du Code du travail).
Remboursement du cocontractant des fonds indûment perçus

Dans le cadre d’un contrôle, les organismes prestataires d’actions de formation doivent être en capacité de présenter tous documents et pièces établissant la réalité et le bien fondé de celles-ci. A défaut, les actions sont réputées inexécutées et les fonds indûment perçus de ce fait doivent faire l’objet d’un remboursement au profit du cocontractant (art. L6362-3, L6362-6 et L6354-1du Code du travail). Ce remboursement intervient dans un délai fixé par l’administration du contrôle afin de permettre à l’organisme de formation de faire valoir ses observations. Ce délai ne peut être inférieur à trente jours à compter de la notification des résultats du contrôle. A défaut de remboursement dans ce délai, l’organisme de formation verse alors au Trésor public, par décision du préfet ou du ministre, une somme équivalente aux remboursements non effectués (art. L6362-7-1 et L6362-6 du Code du travail).
Lorsque les contrôles ont porté sur des prestations de formation financées par l’État, les collectivités territoriales (Conseil régional, Conseil général...), Pôle emploi, les employeurs ou les organismes collecteurs des fonds de la formation professionnelle continue (Opca, FAF, Opacif, FPSPP), l’autorité administrative chargée de la formation professionnelle les en informe, chacun pour ce qui le concerne, des constats opérés. Le cas échéant, ces constats sont adressés à l’inspection du travail (Art. L6362-11 du Code du travail).
Sanction financière pour « manœuvres frauduleuses » relatives à l’exécution d’une prestation

Même si le Code du travail, depuis la loi du 24 novembre 2009, ne fait plus mention explicitement de cette notion de « manœuvres frauduleuses », l’esprit et par conséquent la sanction financière de celles-ci, dans la nouvelle rédaction, demeure.
En effet, la sanction financière concerne désormais tout prestataire de formation qui établit ou utilise intentionnellement des documents de nature à éluder l’une de ses obligations en matière de formation professionnelle ou à obtenir indûment le versement d’une aide, le paiement ou la prise en charge de tout ou partie du prix de ses prestations. Elle se traduit par le versement au Trésor public, suite à la décision de l’autorité administrative, d’une somme égale aux montants indûment perçus. Cette somme est également versée par le prestataire de formation solidairement avec ses dirigeants (art. L6362-7-2 du Code du travail).
Cette sanction financière n’a pas le caractère d’une peine au titre d’une infraction pénale. Elle est prononcée indépendamment de toute poursuite pénale qui peut, éventuellement et par la suite, être engagée par l’administration du contrôle à l’encontre de l’organisme de formation.
Sanction financière pour refus de se soumettre à un contrôle : l’évaluation d’office

Outre les délits d’entrave aux fonctions du contrôleur ou les actes de violence, d’outrage et de résistance sanctionnés pénalement, le refus de se soumettre aux contrôles prévus donne lieu à l’évaluation d’office par l’administration des sommes faisant l’objet des remboursements ou des versements au Trésor public (art. L6362-7-3 du Code du travail). Avant d’engager une procédure d’évaluation d’office, une mise en demeure de lever tout obstacle à l’exercice par les agents de contrôle de leurs missions est adressée au dispensateur de formation. En cas de refus de se soumettre au contrôle, la procédure d’évaluation d’office est mise en œuvre au plus tôt trente jours après l’envoi de la mise en demeure (art. R6362-1-1 et R6362-1-3 du Code du travail).
L’évaluation d’office repose sur un calcul à partir de déclarations et informations recueillies par l’administration et portée à la connaissance du dispensateur de formation dans le cadre d’une procédure contradictoire. L’intéressé peut faire valoir ses observations sur la détermination des éléments chiffrés par l’administration (art. R6362-1-2 du Code du travail).
Right-of-the-formation.frBy Fouzi FETHI, Senior Research Fellow at the Legal Centre - Centre Inffo.'s Activities regarding vocational training conducted by training organizations and their subcontractors are subject to administrative and financial control of the state. This control, which covers all or part of the business, covers "all financial, technical and pedagogical, excluding educational qualities, implemented for continuing vocational training" (Art. L6361-2 and L6361-3 of the Labour Code). In addition to administrative sanctions (denial of registration, cancellation of activity number etc..), And possibly criminal, training organizations that violate laws and regulations of their activity, also incur financial penalties multiple.  These last taken by the administrative authority may intervene after the notification of monitoring results, if a procedure has been complied with (s.. L6362-10 Labour Code). More...
27 mai 2011

Saisine du CESE sur la formation professionnelle

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Par lettre en date du 20 mai 2011, François Fillon a demandé l’avis du Conseil économique social et environnemental (CESE) sur « La formation professionnelle ». Il souhaite que le Cese, sur la base d'une évaluation approfondie du système de formation professionnelle et de ses évolutions depuis quarante ans, analyse les voies et moyens pour qu'il réponde encore davantage aux enjeux du marché du travail et de l'emploi, et permette notamment à chaque salarié, à chaque demandeur d'emploi, d'acquérir et d'enrichir ses qualifications pour répondre aux besoins des entreprises.
Le projet d’avis sera examiné en décembre 2011. Consulter la saisine gouvernementale sur la formation.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) By letter dated May 20, 2011, Francois Fillon has asked the opinion of the Economic Social and Environmental Committee (EESC) on "vocational training". He hoped that the EESC, on the basis of a thorough evaluation of the vocational training system and its evolution over the last forty years, analyzes the ways and means to respond further to the challenges of the labor market and employment and especially allows each employee to each job seeker to acquire and enhance their skills to meet business needs. More...
27 mai 2011

Un nouveau CA représentatif des membres de l'Amue

http://ciuen2008.org/images/uploads/logo_exposant_AMUE.pngLors du conseil d'administration du jeudi 19 mai 2011, Louis Vogel a été élu président de l'Amue. Les membres du CA ont été renouvelés et de nouveaux administrateurs élus, tels que le bureau complet de la CPU et le président de la CDEFI, permettant ainsi une meilleure représentation des membres de l’Agence. Retrouvez la liste complète des nouveaux membres du CA de l'Amue.
Louis Vogel succède à Daniel Egret

Elu le 24 mars 2009, Daniel Egret laisse la place à Louis Vogel en tant que président de l’Agence de mutualisation des établissements d’enseignement supérieur. Le président de la CPU siègera aux côtés des deux autres membres du bureau: Anne Fraisse et Yvon Berland.
Un nouveau Président

Depuis juillet 2006, Louis Vogel  est président de l’université Panthéon-Assas. Le 4 novembre 2010, il a été désigné officiellement président  du PRES Sorbonne Universités qui réunit les universités Panthéon-Assas, Paris-Sorbonne et Pierre et Marie Curie, membres fondateurs.
Il est depuis le 16 décembre 2010 le président de la Conférence des présidents d’Université (CPU). Né en 1954, Louis Vogel est ancien élève de la faculté de droit de Nancy (Lauréat en 1973), diplômé de l’Institut d’Études Politiques de Paris (1976), agrégé de droit privé (1989), diplômé d’un Master of Laws (L.L.M) de la Yale Law School (1982) et Docteur d’État en Droit (1985).
L'assemblée générale du 19 mai 2011

L’assemblée générale qui a précédé le conseil d’administration a approuvé le bilan d'activité 2010, le bilan du contrat quadriennal 2007-2010 ainsi que son compte financier. Elle a également procédé au renouvellement des membres du CA pour une durée de trois ans, le mandat des administrateurs précédant ayant pris fin le 16 mai 2011. Les autres membres du CA.
http://ciuen2008.org/images/uploads/logo_exposant_AMUE.png Fil-Bord tad-Diretturi IL-ĦAMIS 19 Mej 2011, Louis Vogel kien elett president tal-Amue. membri tal-Bord ġew imġedda u d-diretturi eletti ġodda, bħal CPU desktop sħiħa u l-President ta 'l-CDEFI, li jippermetti rappreżentazzjoni aħjar ta' membri ta 'l-Aġenzija. Ara l-lista sħiħa ta 'membri tal-bord ġodda ta' l Amue.
Louis Vogel jirnexxilu Daniel Egret

Elett 24 mar 2009, Daniel Egret iħalli spazju għal Louis Vogel bħala president ta 'l-Aġenzija għall-istituzzjonijiet qsim ta' edukazzjoni ogħla.
President tal-CPU se tiltaqa flimkien l-uffiċjali tnejn l-oħra: Anne Fraisse u Yvon Berland. Il-membri tal-bord oħra. More...
26 mai 2011

Des masters en alternance pour les futurs profs

Couverture du dernier numéro d'Acteurs publicsPar Sylvain Henry. Pour répondre aux critiques sur la réforme de la formation des enseignants, le ministre de l'Éducation nationale, Luc Chatel, annonce l'instauration en septembre de masters en alternance pour les étudiants souhaitant devenir enseignants. Seules quelques centaines d'élèves sont prévues.
Un an après la suppression des instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) liée à la réforme de la mastérisation, l'alternance fait un timide retour dans la formation des enseignants. À l'occasion d'une table ronde organisée à l'université de Cergy-Pontoise, le 23 mai, le ministre de l'Éducation nationale, Luc Chatel, a ainsi annoncé la création de masters en alternance à la rentrée prochaine.
Les étudiants qui suivront cette nouvelle formation, lancée dans une trentaine d'universités et 8 académies pilotes dont celles de Versailles, Lille et Aix-Marseille, pourront, dès le master 1, soit bénéficier d'un contrat d'enseignement de trois à six heures par semaine, soit occuper un poste d'assistant pédagogique à mi-temps, parallèlement à leur formation universitaire. Les deux seront rémunérés, de 3 000 à 6 000 euros par an dans le premier cas, 560 euros par mois dans le second, et cumulables avec des bourses. Mais ce dispositif ne visera que “quelques centaines d'étudiants”, selon le ministre.
“Une solution partielle”
L'ouverture des masters en alternance s'inscrit dans la continuité de la réforme de la formation des professeurs. Depuis septembre 2010, le recrutement des professeurs des écoles, collèges et lycées s'effectue au niveau master 2, c'est-à-dire à bac + 5 et non plus au niveau licence (bac + 3), ce qui a entraîné la suppression de l'année de formation en alternance en IUFM. Les limites de cette réforme d'envergure, très critiquée par les syndicats, ont été pointées dans un récent rapport d'étape sur la mastérisation de la formation initiale des enseignants. “Cette formation est déconnectée du métier d'enseignant”, constate l'auteur du rapport, Jean-Michel Jolion, président du “comité de suivi master”. Cette réforme n'est pas “la caricature que l'on a pu nous décrire”, s'est justifié Luc Chatel le 23 mai. Et d'observer : “Depuis son application, nous n'avons pas eu plus de démissions d'enseignants qu'auparavant.”
Les syndicats accueillent avec réserve les annonces du ministre. “Ces nouveaux masters confirment l'échec de la réforme des enseignants”, réagit SUD Éducation. “C'est une solution très partielle, il faut remettre à plat l'ensemble de la formation des enseignants”, prolonge Patrick Gonthier, secrétaire général du syndicat Unsa Éducation. “L'alternance doit intervenir après le concours dans un cadre défini et avec un accompagnement, complète Frédérique Rolet (Snes-FSU). Avec ces nouveaux masters, le ministère va lancer devant les élèves des jeunes sans aucune formation professionnelle. C'est un bricolage, une solution bon marché pour pallier les suppressions des postes d'enseignants remplaçants.” Ministère et syndicats devraient se rencontrer avant la rentrée pour préciser les conditions de mise en place du nouveau master.
Fedjük le a legfrissebb számában állami szereplőkÁltal Sylvain Henry . válaszul azokra a kritikákra, a reform a tanárképzés, a miniszter Nemzeti Oktatási, Luc Chatel, bemutatja szeptemberében alternatív mesterek diákok számára, hogy tanárok lesznek. Csak néhány száz diák várható.
Egy évvel eltörlése után a képzési intézetek (IUFM) reformjával összefüggő a mastering, a váltakozás lassan visszatér a tanárok.
Egy kerekasztal a University of Cergy-Pontoise május 23., a miniszter Nemzeti Oktatási, Luc Chatel bejelentette, létrehozása alternatív mesterek a jövő évben.
Diákok, akik követik ezt az új kurzus, bekapcsolódhat a harminc egyetemek és akadémiák nyolc pilóta beleértve a versailles-i, lille-i és Aix-Marseille, lehet, a master 1, vagy kap tanárként három-hat óra hetente, vagy jelentkezik egy tanársegéd a félidőben, valamint a tudományos képzés.
Mindkét kerül kifizetésre, 3 000-6 000 év az első esetben, 560 euró havonta, a második, és a kombinált ösztöndíj. De ez a készülék csak "néhány száz diák," mondta a miniszter. Még több...
26 mai 2011

EQAR : l’AERES reconnue au niveau européen

AERESEn obtenant son inscription au registre EQAR (European Quality Assurance Register for Higher Education), moins de 5 ans après son installation, l’AERES est reconnue par l’instance officielle européenne instituée dans le cadre du processus de Bologne.
L’EQAR a décidé, lors de sa réunion du 13 mai 2011, d’inscrire l’AERES au registre européen des agences d’évaluation et d’assurance qualité de l’enseignement supérieur. L’AERES est désormais reconnue au niveau européen par l’instance officielle instituée à Londres en 2007 par les ministres de l’enseignement supérieur des pays membres du processus de Bologne.
Après l’examen du rapport d’évaluation externe remis par un comité d’experts internationaux, l’EQAR a conclu à la conformité de l’AERES avec les exigences européennes en matière d’assurance qualité dans l’enseignement supérieur ("Standards and Guidelines for Quality Assurance in the European Higher Education Area" - ESG) adoptées à Bergen en 2005.
La reconnaissance européenne de l’AERES était un enjeu majeur pour l’agence et pour les entités qu’elle évalue. Cette première inscription, au registre européen, d’une agence qui évalue à la fois recherche et formation, renforce la crédibilité du système français de recherche et d’enseignement supérieur. Cette inscription donne aussi à l’AERES une visibilité internationale dans la perspective d’évaluations qu’elle conduirait à la demande d’établissements ou d’autorités d’autres pays.
L’AERES est un organisme public indépendant qui conduit l’évaluation des établissements, des unités de recherche, des formations et des diplômes de l’enseignement supérieur.

Szénsavas Beszerzi a regisztrációs EQAR (európai minőségbiztosítási nyilvántartás Felsőoktatási), kevesebb, mint 5 évvel a telepítés után, AERES által elismert európai hivatalos testület a bolognai folyamat keretében. Áttekintését követően külső értékelő jelentés által bemutatott bizottság a nemzetközi szakértők arra a következtetésre jutott EQAR megfelelés AERES az európai követelményeknek minőségbiztosítás a felsőoktatásban ("Szabványok és Iránymutatások Minőségbiztosítás az Európai Felsőoktatási Térség "- ESG) elfogadott 2005-ben Bergenben. Még több...

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