29 mai 2011

La professionnalisation et la formation continue à l’université : une vision croisée

http://www.u-bourgogne-formation.fr/squelettes/charte/u-bourgogne-formations-logo.gifCette rencontre est organisée par l’uB (les services mobilisés sont la plate-forme d’insertion professionnelle et le service de Formation continue) et l’Organisme Paritaire Collecteur Agrée (OPCA) OPCALIA qui a des liens forts avec la principale organisation syndicale patronale qu’est le MEDEF.
Vendredi 10 juin 2011 à 16h30, Maison de l’université - Dijon

Professionnaliser nos formations universitaires est un objectif important car cela facilite d’une part l’insertion des jeunes diplômés et d’autre part cela rend nos formations universitaires plus attractives pour un public adulte qui veut se former tout au long de la vie.
Une des solution est de développer des formations fonctionnant en alternance c’est à dire avec des jeunes titulaires d’un contrat d’apprentissage ou des stagiaires avec un contrat de professionnalisation. A la rentrée nous offrirons 65 formations en alternance du bac +2 jusqu’au bac+6 en passant par de nombreuses licences professionnelles et masters et diplômes d’ingénieurs. Cette professionnalisation passe par des échanges avec les entreprises et les organismes qui financent la formation professionnelle.
Dans ce cadre, cette rencontre débat du 10 juin, est l’occasion de confronter les visions d’OPCALIA et de l’uB sur ces problématiques. Elle est ouverte au personnel de l’uB mais aussi aux entreprises. Pour participer il suffit de nous renvoyer le bulletin d’inscription. Programme. Bulletin d’inscription.
Cette rencontre s’organisera en trois temps :
16h45 – 17h05 « Point de vue des entreprises »  sur les missions d’Opcalia : les enjeux et les contraintes d’aujourd’hui ainsi que les besoins en formation identifiés (intervention d’Ourida Lebbal, Déléguée régionale Opcalia Bourgogne).
17h05 – 17h25 « Point de vue de l’uB » sur l’alternance, la formation continue et la VAE (intervention de Franck Hendel, Directeur du SUFCOB-uB) ainsi que sur les intérêts d’une formation en alternance : étudiants, formation, enseignants (intervention de  David Jacotot, Chargé de mission Insertion - uB).
17h25 – 18h Débat avec la salle. Un apéritif sera servi à 18h.
http://www.u-bourgogne-formation.fr/squelettes/charte/u-bourgogne-formations-logo.gif Ez a találkozó szervezője UB (szolgáltatás igénybe platformot a foglalkoztathatóság és a folyamatos Oktatási Minisztérium) és a Közös Collector Engedélyezett Ügynökség (OPCA) OPCALIA , amely szoros kapcsolatban áll a főbb munkáltatói szakszervezet Mit MEDEF.
Péntek 10 június, 2011 16:30-kor, az egyetem Ház - Dijon. Ebben az összefüggésben, a vita június 10-i találkozó jó alkalom, hogy összehasonlítsa a látomásai OPCALIA és UB ezekben a kérdésekben. Ez az alkalmazottakat UB hanem a vállalatok. A részvételhez küldje el a regisztrációs űrlapot. Program. Jelentkezési lapot. Még több...

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How the U.S. Can Stop Hindering Higher-Education Exports

http://chronicle.com/img/chronicle_logo.gifBy Mitch Leventhal. We need a national export council for higher education—and we need it now. Education is one of few export sectors where the United States remains the undisputed world leader. The United States is the recipient of about 20 percent of international students who cross national boundaries for education.
Global demand for higher education has never been stronger, and it's still growing. The world's middle class has never been so wealthy, and the United States remains the first-choice study destination. Yet we face stiff competition, and our share of the market has been shrinking. Now is the time to leverage our colleges to become engines of export and national growth. In fact, not to do so amounts to squandering a great national treasure.

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Les étudiants de master ne sont pas encore assez sûrs d’eux

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/02/bac2.1296825999.jpgPar Olivier Rollot. Recherche d’emploi : les étudiants de master ne sont pas encore assez sûrs d’eux. Alors que, contrairement à une idée si répandue, 61% des étudiants universitaires souhaitent travailler dans les entreprises privées (contre 33% qui choisiraient plutôt dans la fonction publique), le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils sont encore loin d’avoir le même niveau de confiance en eux que leurs camarades des grandes écoles. C’est l’un des éclairages qu’apporte un sondage mené par l’’agence d’information professionnelle AEF avec TNS SOFRES sur la perception des entreprises par les étudiants de master 2 universitaires.
Peu de confiance face à l’emploi. Une soixantaine d’universités se sont associées à cette étude qui porte sur 6365 étudiants à 75% convaincus qu’il leur sera difficile de trouver leur premier emploi. Un pourcentage qui tombe aux alentours de 30% quand on interroge les élèves des grandes écoles, évidemment bien moins nombreux et dans des filières bien moins différentes que celles de l’université.
« Les étudiants de l’université doivent apprendre à mieux se vendre », commentait Valérie Pécresse, la ministre de l’enseignement supérieur et de la Recherche, en apprenant les résultats de ce sondage lors des journées qui réunissaient hier entreprises et universités dans le cadre des Rencontres universités entreprises (RUE). Et d’ajouter : « Les jeunes diplômés de l’université savent répondre à la question "Qu’est ce que vous savez ?" mais pas à la question "Qu’est ce que vous savez faire ?". Nous devons les aider à faire émerger des compétences acquises qui vont bien au-delà de leur discipline. »
Cette fois d’accord avec la ministre, Anne Fraïsse, présidente de l’université Paul-Valéry Montpellier 3, confirmait ce diagnostic : « Bien sûr un DRH s’intéresse peu aux connaissances qu’a recueillies un jeune universitaire pendant sa thèse sur les "hérésies christiques dans le monde byzantin". Mais il faut lui faire comprendre tout ce qu’il a appris en termes de méthodologie, de pensée personnelle ou de sens de l’innovation. »
Pessimistes sur leur niveau de salaire. Résultat de ce manque de confiance, les futurs jeunes diplômés de l’université se disent prêts à accepter un salaire moyen à l’embauche de 1730 € brut par mois (1960€ pour les hommes contre 1550€ pour les femmes) alors que l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) estime elle qu’ils débutent en moyenne 400 € plus haut, à 2170 €. Pourvu en tout cas que ce sondage ne donne pas de mauvaises idées d’économies salariales aux DRH…
Les littéraires plus portés vers la fonction publique. Cette appétence pour le privé se retrouve dans toutes les disciplines. Il n’y a guère que les littéraires à penser majoritairement à la fonction publique, et d’abord pour devenir professeurs (un souhait de 39% d’entre eux).
Secteurs d’activité: hommes et femmes se distinguent.
Le conseil arrive en tête des secteurs qui attirent les jeunes avec 24% des sondés quel que soit le sexe,. Ensuite, hommes et femmes se différencient très nettement. Les premiers optent pour, dans l’ordre, l’informatique, l’énergie, la banque/assurance et les télécoms quand les secondes privilégient les professions de santé, les médias/communication, l’humanitaire et le tourisme. Des directions somme toute logiques au vu de la plus ou moins grande féminisation des filières.
Les différences sont encore plus marquantes en ce qui concerne les valeurs de responsabilité sociale et environnementale : 81% des femmes disent vouloir travailler dans des secteurs économiques d’abord centrés sur l’humain quand ce n’est le cas que de 55% des hommes.
Différents des élèves des grandes écoles ?
Universitaires et élèves des grandes écoles choisissent d’abord de travailler dans le conseil. Les uns comme les autres préfèrent à 56% « gagner confortablement leur vie mais en travaillant beaucoup». Mais ils se distinguent dans leur choix d’entreprises. Là où les HEC ou Insa optent d’abord pour de grandes entreprises, ils s’imaginent beaucoup plus dans des entreprises de taille moyenne (22%), voire des PME (14%).
Les différences sont encore plus marquantes quand on parle de l’international. 50% des élèves des grandes écoles veulent travailler dans une entreprise portée dans l’international quand ce n’est le cas que pour 27% des universitaires.
Mais encore une fois, les jeunes diplômés de l'université sont une population hétérogène. Une vraie comparaison porterait sur les étudiants en IAE face aux élèves des écoles de commerce, aux étudiants en Miage face aux écoles d'ingénieurs, etc. Sans oublier que nombreuses sont aujourd'hui les grandes écoles d'ingénieurs universitaires et que les frontières s'estompent peu à peu entre les systèmes, chacun prenant ce qu'il y a de meilleur chez l'autre : la recherche des universités, l'insertion professionnelle des grandes écoles. Un jour sans doute ne fera-t-on même plus la différence...
http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/02/bac2.1296825999.jpg Permezz Rollot Olivier. Job Search: studenti tal-Masters ma jkunux għadhom pjuttost ċert ta infushom funzjoni. Allura li, kuntrarjament għall-idea daqshekk prevalenti, 61% ta 'studenti universitarji li jixtiequ jaħdmu fil-kumpaniji privati ​​(kontra 33% li jagħżlu li minflok il- pubbliku), l-inqas li nistgħu ngħidu huwa li dawn għadhom 'il bogħod milli jkollhom l-istess livell ta' kunfidenza fihom minn sħabhom fl-iskejjel. More...

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Common Strategic Framework for future EU Research and Innovation Funding

LogoEUA has this week published its responses to two important consultations recently launched by the European Commission: the Green Paper on a “Common Strategic Framework for future EU Research and Innovation Funding”; and the consultation on the modernisation of higher education in Europe.
The Green Paper focuses on defining a common strategic framework for EU research funding for the period 2014-2020 and the range of funding instruments required (when the current Framework Programme, FP7, ends in 2013). Meanwhile, the second consultation relates to the European Commission’s plans to adopt a new Communication on the modernisation of higher education in the third quarter of 2011. This new Communication will review progress towards the objectives set out in the 2006 Communication ‘Delivering on the modernisation agenda for universities: education, research and innovation’ and will propose action to respond to the challenges of the new decade. EUA sees the development of the European Research Area and European Higher Education Area as being crucially linked if Europe's universities are to play their full part in contributing to the achievement of the Europe 2020 objectives. To read EUA's position on the Green Paper on a Common Strategic Framework for EU Research and Innovation Funding click here. For EUA's response to the EC Consultation on the Modernisation of Higher Education, please click here.

Posté par pcassuto à 16:27 - - Permalien [#]

Le CV dans le cadre d'une VAE

http://www.vaeguidepratique.fr/Dossier%20Image/divers/haut640.jpgDans le cadre d'une Validation des Acquis, le CV est rédigé différemment de celui d'une demande d'emploi. La VAE exige de la précision. Appuyez-vous sur le référentiel du diplôme visé pour le rédiger.
Cependant le niveau d'exigence varie selon les organismes valideurs. L'Education Nationale ne demande pas de CV. C'est le Livret de Recevabilité qui le remplace. Les Universités et Ecoles l'exigent plus souvent.
ATTENTION : le jury portera moins son attention sur votre parcours professionnel (ou autre) que sur les compétences acquises au fil du temps. Vous devez donc concentrer vos efforts de réflexion sur l'explicitation de vos compétences pratiques, théoriques, procédurales et relationnelles concordant avec le niveau du diplôme visé. Ce n'est pas simple. Il est donc indispensable de bien étudier au préalable le référentiel diplôme. Rédigez en vous appuyant sur des verbes-clés.
Un CV par compétences bien construit et réfléchi sera l'indice que le parcours de validation pourra être mené à bien, car vous saurez renseigner complètement le jury. Dans le cadre de la VAE, il vaut mieux un CV détaillé sur 3 ou 4 pages, qu'un CV succinct sur une page.
Indiquez l'intitulé de vos fonctions et le nom de l'Organisation qui vous emploie (employait). Soyez précis quant aux dates et au temps de travail. Des justificatifs sont demandés.
Précisez les secteurs d'activité. Voir les codes Rome.
Précisez vos fonctions, définissez vos responsabilités. Précisez si vous aviez un poste d'encadrant.
Listez les activités qui composent (ou composaient) chacune de vos missions en suivant ce schéma. Hiérarchisez en fonction de l'importance. Capacité à définir et à décrire
Inventoriez vos formations continues et autoformations. Annexez le référentiel des formations et vos sources documentaires. Il s'agit de savoir comment vous progressez. Soulignez les connaissances en lien avec le diplôme.
Enoncez les principales connaissances et compétences théoriques, pratiques et procédurales requises.
Enoncez les qualités requises.
Insistez sur vos travaux (types de problématiques, les résultats obtenus), publications, brevets, prix et reconnaissances professionnelles... Vous annexerez les principaux documents probants.
Inventoriez vos contacts (internes et externes), précisez leur niveau.
Soyez contextuel au diplôme. Entrez dans le détail chaque fois qu'une de vos activités y est référencée. Ainsi, vous montrez au jury votre parfaite connaissance de la certification visée.
A l'inverse passez rapidement sur les expériences qui n'ont pas, ou peu, de rapport avec le diplôme visé. ATTENTION, n'omettez pas les compétences dites transversales (compétences méthodologiques, cognitives, relationnelles, linguistiques transférables). Elles ne sont pas toujours évidentes à rendre visibles
.
Toutes les expériences, professionnelles ou non, vos centres d'intérêt, en lien avec le diplôme, doivent être mises en avant et précisées. Citez tout ce qui témoigne de votre culture du secteur d'activité concerné par le diplôme.
Il convient aussi de faire ressortir votre progression professionnelle et la cohérence de votre parcours. Enoncez les principales étapes.
Appronfondissez, lisez :
Les travaux préparatoires.
Par quoi commencer ?
Autoquestionnement et pistes de réflexion.
Il peut être pertinent de rédiger un premier CV par pôles de connaissances et de compétences et un second montrant la complexité croissante de vos missions et activités.
Les langues vivantes. Souvent les candidats n'ont guère l'occasion de les utiliser dans leur vie professionnelle. Il se peut même que votre niveau remonte à l'école ou à l'Université, il y a 10 ou 20 ans de cela. Dans ce cas, avant de commencer votre démarche de validation, nous vous conseillons de vous inscrire à des cours de remise à niveau. Cette initiative exprimera votre motivation et le jury en tiendra compte.
Rassurez-vous vous ne serez pas interrogé dans une langue étrangère sauf si vous visez une licence ou master mention langues étrangères appliquées ou bien langues, littératures et civilisations étrangères par exemple.
Un niveau TOEIC, TOEFL, BULAT ou autre, est souvent exigé pour les diplômes niveau 1 et 2.
http://www.vaeguidepratique.fr/Dossier% 20Image/divers/haut640.jpg Part of a Validation of the CV is written differently from that of a job application. VAE requires precision. Rely on the repository of the diploma referred to the draft. However the level of demand varies among agencies validators. The National Education does not require a resume. This is the booklet Admissibility replacing him. The Universities and Schools require more often. More...

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