19 mai 2011

La lettre de l'orientation: Orientactuel

http://orientactuel.centre-inffo.fr/squelettes/imgsquelette/logo.gifLe Centre Inffo, référent en matière d’information sur la formation professionnelle, et l’Onisep, acteur historique de l’information sur la formation initiale, publient une nouvelle lettre d’information électronique: Orientactuel. Cette publication s’inscrit dans la création du droit à l’information et à l’orientation décidé par la loi du 24 novembre 2009. Orientactuel n°2 - mai 2011. Orientactuel n°1 - avril 2011.
A la Une

Le rapport Guégot sur l’orientation professionnelle tout au long de la vie l’avait souligné fin 2009, « ce qui frappe en France, c’est la multiplicité des structures (…) d’orientation ». De fait, pas moins de 8000 points relevant d’une vingtaine de réseaux publics ou privés interviennent selon des logiques de spécialisation de l’offre ou des publics. Une situation qui pourrait changer avec la création d’un label national « Orientation pour tous ». Précisions sur les conditions d’attribution.
Le décret du 4 mai 2011 pour la mise en œuvre du service public de l’orientation tout au long de la vie et la création du label national « Orientation pour tous - Pôle information et orientation sur les formations et les métiers » vient d’être publié au journal officiel du 5 mai 2011, ainsi que l’arrêté qui précise le cahier des charges des futurs organismes labellisés.
http://orientactuel.centre-inffo.fr/squelettes/imgsquelette/logo.gif Centre Inffo, referent for information on vocational training, and Onisep actor's historic information on initial training, publishing a new electronic newsletter: Orientactuel. This publication is part of the creation of the right to information and direction decided by the law of 24 November 2009. Orientactuel No. 2 - May 2011. Orientactuel No. 1 - April 2011. More...

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Les personnels enseignants de l’enseignement supérieur 2009-2010

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/60/9/6609.jpgPendant l'année universitaire 2009-2010, 93 000 enseignants ont été en fonctions dans les établissements publics d'enseignement supérieur. Hors corps à statuts spécifiques, leur effectif global (91 850) progresse constamment, avec 1 200 personnes de plus que l'année précédente, soit + 1,3 %. Parmi ces enseignants, 57 700 appartiennent aux corps des enseignants-chercheurs et assimilés, dont les effectifs ont progressé de 12,2 % en dix ans. 13 000 enseignants du second degré et 23 500 enseignants non permanents participent à cet encadrement universitaire. Note d'Information n° 11.06 mai 2011.
Les personnels qui enseignent dans l’enseignement supérieur se répartissent en trois grandes catégories : les enseignants-chercheurs (60,2%) comprenant les professeurs des universités (35,4%), les maîtres de conférences (64,5%) et les assistants titulaires (0,1%); les personnels du second degré en fonctions dans l’enseignement supérieur (14%), et les personnels enseignants non permanents (25,8%). Ces personnels enseignants non permanents regroupent les enseignants associés, les attachés temporaires d’enseignement et de recherche, les doctorants contractuels et moniteurs, les assistants des disciplines hospitalo-universitaires, les lecteurs et les maîtres de langues.
78,9% des enseignants de l’enseignement supérieur sont affectés dans les universités hors instituts universitaires de technologie (IUT) et instituts ou écoles rattachées, 10,8% dans les IUT, 1,6% dans les instituts ou écoles rattachées, 3,4% dans les instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) et 5,3% dans les autres types d’établissements.
1,7% des enseignants du supérieur ne sont pas en fonctions dans des établissements relevant du ministère de l’enseignement supérieur ; ils sont soit en position de détachement (53,2%), soit en congé (disponibilité…).
Des effectifs d’enseignants-chercheurs dont la croissance se poursuit

On constate, de 1999 à 2010, une forte croissance des effectifs d’enseignants-chercheurs titulaires (+ 6 631 personnes, soit + 13,8%). Cette croissance est particulièrement élevée pour le groupe interdisciplinaire (+ 61%) avec, notamment, les sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) dont l’effectif d’enseignants-chercheurs a plus que doublé sur cette période. Les sciences juridiques, économiques et de gestion (+ 33,4%), les sciences humaines (+ 24,9%), les mathématiques et l’informatique (+ 18,4%) et les sciences pour l’ingénieur (+ 17,6%) connaissent également les plus fortes progressions.
Les lettres et les langues (+ 8,7%) et les sciences de la vie (+ 9,5%) enregistrent une croissance plus faible. La chimie amorce une baisse des effectifs depuis trois ans. La physique (- 11,3%) poursuit sa décroissance. Cependant, cette croissance des effectifs observée sur douze années se poursuit légèrement depuis trois ans dans un contexte marqué par la diminution des effectifs de la fonction publique.
Le graphique 1 permet de comparer les croissances relatives depuis 1992 des différentes catégories (hors assistants dont le corps est mis en voie d’extinction depuis le milieu des années 80) et celle du total général d’enseignants.
La progression des professeurs des universités est la plus faible. La catégorie des enseignants non permanents a plus que doublé au cours des quinze dernières années et continue d’évoluer après quatre ans de stagnation. L’évolution du corps des maîtres de conférences est plus rapide que celle de l’ensemble des personnels et se situe aux alentours de 70% sur la même période...
En vingt ans, la part des femmes a augmenté, en moyenne, de 9 points dans les deux corps d’enseignants-chercheurs
Le taux de féminité est en progression régulière chez les enseignants-chercheurs (titulaires, stagiaires ou associés) depuis une vingtaine d’années. Ainsi, 19,9% des professeurs et 41,5% des maîtres de conférences sont des femmes alors que ces taux étaient, respectivement, de 10,7% et de 32,7% il y a vingt ans, de 14,7% et 37% il y a dix ans, et de 19,1 % et 41,2% en 2008-2009...
Les effectifs de personnels du second degré renforcent le potentiel enseignant principalement dans les disciplines littéraires
Avec 12 999 enseignants, les personnels du second degré ou assimilés affectés dans l’enseignement supérieur représentent 14% de l’effectif global. Ces enseignants se répartissent entre les professeurs agrégés pour 55,7%, les professeurs certifiés et assimilés pour 42,3% et les autres enseignants du second degré (adjoints d’enseignement, professeurs de lycée professionnel, professeurs d’enseignement général des collèges) ou les enseignants de statut particulier tels ceux de l’ENSAM (École nationale supérieure des arts et métiers) pour 2,1%. Les professeurs agrégés du second degré ont vu leur part progresser régulièrement allant de 39% en 1990 à 55,7% cette année.
L’apport enrichissant des enseignants extérieurs

Aux enseignants-chercheurs et aux enseignants du second degré – qui représentent les trois quarts des personnels enseignants – s’ajoute une population d’enseignants aux profils très variés, recrutés à titre temporaire: les enseignants associés, professionnels ou universitaires étrangers, qui font bénéficier les étudiants de leurs compétences et de leur expérience (13,4%); les attachés temporaires d’enseignement et de recherche (26%) et les moniteurs et doctorants contractuels (38,7%) qui assurent des enseignements tout en préparant une thèse ou en poursuivant d’autres travaux de recherche et dont les effectifs sont en augmentation; les assistants des disciplines médicales (17,7%) ; les lecteurs et maîtres de langue étrangère (4,3%). Grâce au dispositif de l’invitation, le potentiel d’enseignement des établissements publics d’enseignement supérieur est également enrichi par quelque 4 000 enseignants étrangers. Leur présence est couramment observée dans les universités et les grands établissements pour une durée moyenne d’un mois et demi et une durée médiane d’un mois.

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/image/60/9/6609.jpg Során a 2009-2010 tanévtől 93.000 tanárok voltak szolgálatban az állami felsőoktatási intézményekben. Külső szervezet konkrét törvények, az általános száma (91 850) folyamatosan halad, a 1200 fő az előző évhez képest, azaz a + 1,3%. Ezek közül a tanárok, 57 700 tartozik a szervezet tudósok és hasonlók, akiknek száma 12,2%-kal nőtt tíz év alatt. 13000 középiskolai tanárok és 23500 nem állandó tanár vesz részt az akadémiai coaching. Tájékoztatója címsor 11,06 máj 2011. Még több...

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Colloque - Comment valoriser les compétences?

http://sites.univ-provence.fr/dpsi/mast_2_site_09_v3001015.gifLe lundi 6 juin 2011, les étudiants du Master 2 PSTO et l'ADPSIM organisent une conférence-débat sur le thème de la reconnaissance au travail et en particulier la valorisation des compétences, de 9h30 à 12h30, à l'université de Provence Aix - Marseille I, 29 avenue Robert SCHUMAN, Aix-en-Provence, à la Salle des Professeurs.
Des intervenants professionnels en entreprise ou chercheurs présenteront leur pratique professionnelle et discuteront sur les questions suivantes :
Comment valoriser les compétences individuelles et collectives en entreprise ?
Quels sont les risques et les enjeux de la reconnaissance des compétences pour l’individu et les entreprises en termes de santé et de motivation ?
Quels sont les outils à la disposition des entreprises pour valoriser les compétences et reconnaître le travail ?
Un temps de débat et d’échanges avec le public clôturera les interventions .
RENSEIGNEMENTS : assodpsi@gmail.com et sur http://sites.univ-provence.fr/dpsi/.

http://sites.univ-provence.fr/dpsi/mast_2_site_09_v3001015.gif On Monday, June 6, 2011, students in the Master 2 and OSTP ADPSIM organize a panel discussion on the topic of employee recognition and in particular the development of skills, from 9:30 to 12:30, the University of Aix Provence - Marseille I, 29 Avenue Robert Schuman, Aix-en-Provence, in the staffroom. INFORMATION: assodpsi@gmail.com and http://sites.univ-provence.fr/dpsi/. More...

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Devenir un Junior-Entrepreneur

http://www.junior-entreprises.com/templates/CNJE_home/img/logo_cnje.jpgPar Laetitia HÉLARY. Un étudiant peut se former à l’entrepreneuriat en créant sa Junior-Entreprise dans son école ou son université.
C’est quoi une Junior-Entreprise ?
C’est une association loi 1901 à vocation économique et pédagogique, à but non lucratif. Implantée dans des établissements de l’enseignement supérieur, elle permet à des élèves de mettre en pratique leurs cours, en travaillant pour des clients très variés (entreprises, collectivités, associations).
Comment ça marche concrètement ?
Des étudiants en marketing peuvent, par exemple, réaliser des études de marché pour le lancement d’un nouveau produit, des élèves en multimédia construire un site web… Le travail réalisé doit être en lien avec leur formation et constituer une plus-value intellectuelle. Les clients recherchent souvent le dynamisme, la créativité et le regard neuf de ces étudiants. Chaque année, les associations sont contrôlées par la Confédération nationale des Junior-Entreprises (CNJE) et reçoivent le label « Junior-Entreprise » (marque déposée) si elles respectent les critères de qualité. L’organisme est reconnu par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et par celui des Finances, de l’Industrie et de l’Emploi.
Ce statut est-il courant en France ?
La première Junior-Entreprise – celle de l’Essec à Paris – a été créée il y a quarante ans. Aujourd’hui, il existe 158 Junior-Entreprises en France. Parmi elles, trente-quatre sont implantées dans des universités. Au total, le mouvement regroupe 13 000 étudiants et 2 000 clients.
Les étudiants participants sont-ils rémunérés ?
Deux statuts cohabitent. Les Junior-Entrepreneurs, bénévoles, gèrent l’association au quotidien (administration, promotion, trésorerie…). Ils sont formés par la CNJE, lors de congrès, à différents aspects de l’entreprenariat. Les intervenants, eux, sont rémunérés. Ces étudiants sont recrutés par la Junior-Entreprise pour effectuer les études. Ils peuvent toucher entre 70 et 200 € pour une journée de travail pour une personne.
Qu’apporte cette activité aux étudiants ?
Elle leur permet d’acquérir une première expérience dans l’entreprenariat et de travailler sur des projets innovants, en lien avec leur formation. C’est souvent un plus sur un CV. Pour les intervenants, la rémunération n’est pas négligeable et il est toujours plus intéressant de gagner de l’argent ainsi, que par un petit boulot…
Comment créer sa Junior-Entreprise ?
Il faut s’assurer que son établissement propose des formations reconnues par l’État, de niveau au moins Bac + 4. Puis il suffit de contacter la CNJE, qui informe sur les différentes étapes de la création d’une Junior-Entreprise (www.junior-entreprises.com).
http://www.junior-entreprises.com/templates/CNJE_home/img/logo_cnje.jpg Által Laetitia Helary. A tanuló formában vállalkozói azáltal, hogy Junior Társaság az ő iskolai vagy egyetemi.
Mi az a Junior Enterprise?
Ez egy 1901 egyesület gazdasági és oktatási célú nonprofit.  Székhellyel rendelkező felsőoktatási intézményekben, ez lehetővé teszi a diákok gyakorolják a tanfolyamok, a munka a különböző kliensek (vállalkozások, közösségek, egyesületek). Még több...

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IREG Ranking Audit Rules adopted

http://www.ireg-observatory.org/templates/sub_business2/images/logo5.jpgParis, 17 May 2011. The Executive Committee of IREG Observatory on Ranking and Excellence adopted the IREG Ranking Audit Rules. The document describes in detail the criteria and procedure that will be used in assessing the quality of rankings.
The purpose of an audit, conducted by independent academic teams, will be to verify if a ranking under review was done professionally, and  observes good practices, providing students, their parents and employers with information allowing them to compare and assess programs offered by higher education institutions. In their proceedings the audit teams will be guided by the Berlin Principles on Ranking of Higher Education Institutions, adopted at the IREG-2 conference in 2006.
The Ranking Audit rules have been adopted following broad and open discussions and consultations conducted at the IREG-5 conference in Berlin in October 2010 and on the IREG website. The IREG Ranking Audit is expected to:
-   enhance the transparency of rankings;
-   give users of rankings a tool to identify trustworthy rankings;
-   improve the quality of rankings.
IREG Observatory on Academic Ranking and Excellence is a non-for-profit association of ranking organization, universities and other organization interested in the improvement of the quality of international and national rankings of higher education institutions. The association has close to 20 member organizations from Asia, Europe and America.
The IREG Ranking Audit will be conducted on a voluntary basis. Any international or national ranking can ask to be audited. Rankings that pass robust evaluation will be entitled to use quality label “IREG approved”. The results of the first ranking audits are expected in the Fall 2011.
The Audit Ranking Audit Rules were announced following the General Assembly of IREG Observatory that met in Paris, 17 March 2011. Berlin Principles of IREG.

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La réforme des universités à l'Assemblée nationale

http://img.clubic.com/01837482-photo-logo-de-l-assemblee-nationale.jpgPremière séance du mercredi 18 mai 2011. Réforme des universités
M. le président.
La parole est à Mme Isabelle Vasseur, pour le groupe de l’Union pour un mouvement populaire.
Mme Isabelle Vasseur. Madame la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, en 2007, vous avez mené une des principales réformes du quinquennat voulue par le Président de la République : celle des universités. Cette réforme majeure a permis de transformer nos universités en profondeur au bénéfice de tous : étudiants, personnels et enseignants-chercheurs.
Elle a permis un transfert de compétences sans précédent. Plus de 125 000 emplois et 7 milliards d’euros de masse salariale sont désormais aux mains des présidents des universités afin qu’ils puissent mener à bien leurs projets. Vous l’avez rappelé à plusieurs reprises, nous sommes en avance sur le calendrier prévu par la loi. Aujourd’hui soixante-douze universités françaises sont autonomes, soit près de 90 % d’entre elles. Cette réforme constitue donc un véritable succès. Et si le désir d’autonomie ne se dément pas, c’est parce que les résultats sont là.
L’État est au rendez-vous de cette réforme historique. Depuis quatre ans, il a augmenté de plus de 22 % les dotations aux universités ; il a versé 5 milliards d’euros en moyens exceptionnels pour l’opération « Campus » ; il a affecté 22 milliards aux investissements d’avenir.
À l’évidence, nos universités sont devenues des acteurs incontournables de nos territoires. Nous le vivons au quotidien dans nos circonscriptions. En Picardie, nous avons ainsi obtenu plus de 37 millions d’euros au titre des investissements d’avenir pour deux projets d’équipements d’excellence relatifs à la chirurgie du visage et la robotique, et deux projets de laboratoires d’excellence consacrés à la voiture électrique et aux batteries.
Madame la ministre, à l’heure où le parti socialiste présente son projet (« Ah ! » sur les bancs du groupe SRC), pouvez-vous revenir sur le bilan de l’autonomie des universités que le parti socialiste semble redécouvrir ? (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)
M. le président. La parole est à Mme Valérie Pécresse, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Mme Valérie Pécresse, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Madame Isabelle Vasseur, hier, j’ai eu un choc (« Ah ! » sur les bancs du groupe SRC) en lisant le programme du parti socialiste pour l’université en 2012. En effet, il vise à conforter l’autonomie des universités. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Comprenez ma surprise, mesdames, messieurs les députés socialistes ! Vous avez voté contre la loi d’autonomie des universités et, pis, vous avez gardé un silence complice pendant les deux mouvements anti-autonomie qui, en 2007 et en 2009, ont été particulièrement violents. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. – Huées sur les bancs du groupe SRC.) Je suis donc très heureuse de vous voir aujourd’hui soutenir cette réforme !
Mais il y a encore mieux dans la suite du programme du parti socialiste. Les socialistes veulent augmenter le budget des universités (Exclamations sur les bancs du groupe UMP) ; pour notre part, nous leur aurons donné 9 milliards d’euros supplémentaires en cinq ans. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Ils veulent augmenter les bourses des étudiants ; nous les aurons augmentées de 26 % en cinq ans ! (Vives protestations sur les bancs du groupe SRC. – Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Ils veulent augmenter le nombre de logements pour les étudiants ; nous aurons construit sept mille logements supplémentaires tous les ans, pendant cinq ans ! (Mêmes mouvements.)
M. Henri Emmanuelli. Ce n’est pas vous : ce sont les collectivités locales !
Mme Valérie Pécresse, ministre. Ils veulent rapprocher l’université et l’entreprise ; c’est ce que nous avons fait en créant des fondations d’entreprises et des chaires industrielles ! (Mêmes mouvements.) Le parti socialiste veut aussi mieux orienter les lycéens ; nous le faisons, dès la classe de seconde, avec Luc Chatel.
La vérité, mesdames, messieurs les députés, c’est que le programme du parti socialiste est un bel hommage au bilan de Nicolas Sarkozy. (« Bravo ! » et très vifs applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
http://img.clubic.com/01837482-photo-logo-de-l-assemblee-nationale.jpg L-ewwel laqgħa ta 'l-Erbgħa 18 Mej 2011. Riforma Università
Sur President. I call Isabelle Vasseur, għall-grupp ta 'l-Unjoni għal Moviment Popolari.

Isabelle Vasseur. Ministru ta 'Edukazzjoni Ogħla u r-Riċerka fl-2007, inti wasslu riforma maġġuri tal-quinquennium mixtieqa mill-President tar-Repubblika: l-universitajiet.
Din ir-riforma maġġuri jkun trasformat universitajiet tagħna fil-fond għall-benefiċċju ta 'kulħadd: l-istudenti, l-istaff u l-fakultà.
Aktar minn 125 000 impjieg u € 7000000000 ta 'pagi huma issa fl-idejn tal-Presidenti università sabiex ikunu jistgħu ilestu l-proġetti tagħhom. Vous l'avez rappelé à plusieurs reprises, nous sommes en avance sur le calendrier prévu par la loi. Inti għandek ripetutament enfasizzat, aħna qabel l-iskeda bil-liġi. More...

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Choisir son master en dix questions

Par Olivier Rollot. Cherchez "master management" sur Google et vous obtiendrez… 514 millions de résultats. Pour "master commerce", seulement 114 millions. Avec les nombreux "masters of science", on est proche avec 117 millions. Rien qu'en France, on estime l'offre de masters, MBA et mastères spécialisés à plus de 7 500 diplômes. L'Aeres (Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur) évalue plus de 6000 masters universitaires ! Un univers pas facile à percer pour ceux qui ne poursuivent pas un cursus linéaire dans la même université de la première année de licence au doctorat. Et encore plus pour des salariés qui ont souvent perdu tout contact avec le monde universitaire. Alors que nous entrons dans la dernière ligne droite des inscriptions, les dix questions à se poser absolument.

1. COMMENT CHOISIR ?
En master, il est temps de se décider sur un avenir professionnel. Sans parler du doctorat, rien n'empêche bien sûr de suivre plusieurs masters ou d'enchaîner masters universitaires et mastères spécialisés, grande école et master ou mastère spécialisé, etc. Le tout est quand même de prendre garde à ne pas présenter un CV type "éternel étudiant", dont ont tendance à se méfier les entreprises...  "Vous devez d'abord faire le point sur vous-même avant de chercher coûte que coûte le meilleur master, conseille Simone Bonnafous, présidente de l'université Paris-Est Créteil Val-de-Marne (UPEC). Des compétences que vous souhaitez acquérir peuvent justifier des virages en sachant que les entreprises ont besoin de profils ouverts et que cela peut être très profitable de mêler dans un même parcours le droit, les langues et des études de gestion, le tout pourquoi pas en apprentissage."
Car suivre un master, c'est non seulement acquérir une expertise dans un domaine pointu, mais aussi passer par des périodes de stages ou en laboratoires qui vous aideront à comprendre si c'est bien dans cet environnement professionnel que vous souhaitez travailler. Sans oublier les relations privilégiées avec un petit nombre d'étudiants dûment sélectionnés que vous devez prendre soin de cultiver car ils constitueront votre réseau de demain.
2. GRANDE ÉCOLE OU UNIVERSITÉ ?

Une question qui ne se pose bien sûr pas partout, les lettres ou médecine restent l'apanage des universités quand le commerce-management ou les sciences se retrouvent aussi bien à l'université que dans les grandes écoles. "Pour étudier la communication ou les affaires internationales, il est logique de venir chez nous, constate ainsi Hervé Crès, directeur adjoint de Sciences-Po Paris. Dans les masters où nous sommes en concurrence avec les grandes écoles de commerce, comme le marketing ou la finance, nous ne proposons pas les mêmes méthodes."
"Dans nos mastères spécialisés, les employeurs viennent chercher des diplômés centraliens un peu différents qui, sans être passés par le cursus grande école, maîtrisent nos méthodes, explique de son côté Hervé Biausser, directeur de l'Ecole centrale de Paris, qui propose pas moins de 18 mastères spécialisés accessibles après un bac +5, notamment en management et technologies. Pour des élèves d'écoles moins renommées que la nôtre, c'est l'occasion de bonifier leur diplôme."
Et Simone Bonnafous de résumer : "Dans le système où nous vivons, les très grandes écoles, – je dis bien les 'très grandes' – apportent encore à leurs titulaires un avantage déterminant sur le marché de l'emploi, notamment en termes de réseaux. Mais les étudiants devraient se poser plus de questions en ce qui concerne les 'moins grandes' écoles, qui ne savent guère faire de recherche et sont parfois beaucoup plus chères que l'université, qui possède d'excellents enseignants, s'est professionnalisée, propose des stages et a d'excellents taux d'insertion en masters."
3. COMMENT FINANCER SON CURSUS ?
237 euros pour un master à l'université, 45 000 pour un MBA à HEC. Deux chiffres qui traduisent aussi la diversité d'un univers au sein duquel cohabitent des formations quasi gratuites et des "Rolls" réservées à des cadres de très haut niveau. Le principal critère de choix est alors l'intérêt de son investissement sur le marché du travail. L'université est alors beaucoup moins chère, en formation initiale mais aussi en formation continue. "Pour des salariés, le coût de nos masters varie selon qu'ils sont accessibles en formation continue et initiale à la fois – 4 500 euros par an –, en formation continue uniquement – 6 000 euros – ou s'il s'agit d'un Executive MBA, que nous facturons 10 000 euros à des cadres en activité ", explique Jérôme Rive, directeur de l'IAE (institut d'administration des entreprises) de Lyon, le plus important de France avec ses 6 000 étudiants.
Obtenir un financement pour un diplôme d'IAE ou de grande école ne sera de toutes façons pas bien difficile, que ce soit en formation initiale en continue. En effet, les banques savent que ces cursus se vendent bien sur le marché du travail. En revanche, la question devient plus épineuse lorsqu'on souhaite poursuivre ses études en sciences humaines ou dans certaines filières scientifiques peu "porteuses"…
4. PEUT-ON SUIVRE UN MASTER EN ALTERNANCE ?

Quand se "payer" un master ou un mastère spécialisé (MS) semble hors de prix, la solution pour beaucoup est alors de recourir à l'apprentissage, qui se généralise des écoles d'ingénieurs à l'université. "Les entreprises apprécient tout particulièrement des étudiants en master sur un rythme de trois jours à l'école, deux jours en entreprise", explique Jean-Michel Perrenot, directeur de l'IGS Lyon, dont les masters en ressources humaines sont parmi les plus recherchés. "Pour réussir en alternance, il faut montrer qu'on est à la fois capable d'être recruté par une entreprise et de continuer à apprendre".
5. CELA VAUT-IL LA PEINE DE PARTIR À L'ÉTRANGER ?

Pour apprendre la langue, pas forcément tant les formations 100 % en anglais sont aujourd'hui nombreuses en France même. Mais quand il s'agit de comprendre une culture, rien ne vaut évidemment l'expatriation. Si, en Europe, les échanges dans le cadre du programme Erasmus fonctionnent très bien et sont plébiscités au niveau master, partir dans le reste du monde peut être plus compliqué et… plus cher.
Et là, l'avantage va clairement aux grandes écoles, notamment celles de commerce, qui proposent quantité de formules pour passer une partie de son cursus à l'étranger et sont devenues de plus en plus internationales. "Elles sont même celles qui le sont le plus reconnues dans le monde et le seront encore plus à l'avenir", se félicite Pierre Tapie, président de la CGE (Conférence des grandes écoles) et directeur général de l'Essec, qui compte 1 600 étrangers sur 4 300 étudiants.
6. EXISTE-T-IL DES LABELS ?

Si tous les masters remis par les universités bénéficient automatiquement du "grade" de master correspondant, les grandes écoles ne peuvent l'arborer qu'à condition d'avoir reçu l'agrément de la Commission d'évaluation des formations et des diplômes de gestion (CEFDG), pour les écoles de commerce, et la Commission des titres d'ingénieur (CTI), pour les écoles d'ingénieurs. Mais cela n'empêche pas de voir fleurir des "masters XY" ("XY" pour le nom de l'école) qui n'ont de master que le niveau bac+5. Faites bien la différence. La CGE (Conférence des grandes écoles) labellise elle deux types de masters : les mastères spécialisés et les MSc.
Dans le domaine très concurrentiel du commerce-management, l'agence européenne EFMD remet aux plus grandes business schools les labels Equis et Epas. Les meilleurs établissements sont souvent également accrédités par l'AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business) et l'AMBA (Association of Masters of Business Administration). On parle de "triple couronne" pour les établissements accrédités Equis, AACSB et AMBA. Les universités possèdent plus rarement ces labels puisque sont labellisés Equis uniquement Paris-Dauphine et l'IAE d'Aix-en Provence (également membre de l'AMBA). La compétition est moins acharnée entre les écoles d'ingénieurs, qui bataillent moins pour être accréditées EUR-ACE.
7. QUE VALENT LES PALMARÈS ?

On ne compte plus les palmarès de masters. Par rapport à d'autres moins "sérieuses", les évaluations menées par l'Aeres (Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur), organisme public indépendant, sur les masters universitaires ont le mérite de la clarté et de la transparence. L'accès à l'ensemble de ses évaluations est libre sur son site où vous pourrez retrouver les notes de chaque master (des meilleurs A+ aux médiocres C) avec les commentaires de ses experts.
A l'international, à côté du fameux "Classement de Shanghaï" (aujourd'hui appelé "Academic Ranking of World Universities"), deux grands "fabricants" anglo-saxons de "rankings" sont en compétition: le Times Higher Education (THE) et QS. Dans les deux cas, les classements sont très largement dominés par les universités américaines. D'autres plus spécifiques existent en économie-gestion, et notamment les MBA. Se distinguent alors le Financial Times, Business Week et The Economist.
8. PEUT-ON OBTENIR UN MASTER EN TRAVAILLANT ?

"Aujourd'hui, les salariés souhaitent de plus en plus obtenir un véritable diplôme plutôt que de simples attestations", constate Philippe Cassuto, coordinateur régional de la formation continue universitaire dans l'académie d'Aix-Marseille. C'est ainsi l'occasion pour certains qui ne sont pas passés par la case enseignement supérieur de mettre une touche d'excellence sur leur CV. "Nous avons même eu le cas d'un cadre sans aucun diplôme qui a obtenu un master information-communication en VAE [validation des acquis de l'expérience]", commente encore Philippe Cassuto.
"Nombreux sont les cadres qui se rendent un jour compte qu'il leur manque des compétences pour progresser dans leur entreprise ou un diplôme pour s'y affirmer. Ils souhaitent donc de plus en plus passer par une formation diplômante type master, constate également Christophe Boisseau, directeur marketing de l'IFG-CNOF, l'un des organismes de formation continue les plus reconnus en France dans le domaine du management. Nous conseillons aux cadres de ne pas acheter de la formation comme un produit de consommation banal mais de se créer un véritable parcours de formation qui peut aller jusqu'au master."
L'occasion également de se mêler à d'autres profils. Si les MBA sont généralement réservés à des cadres ayant au moins 3 années d'expérience professionnelle, nombreux sont en effet les masters qui les reçoivent au milieu de plus jeunes. "Au sein de notre master négociation internationale, un quart des étudiants sont des professionnels, reprend Philippe Cassuto. C'est très formateur pour les plus jeunes d'être avec des pros et pour les pros de se confronter à de nouvelles approches." "À l'IAE, nous avons les deux cas, remarque de son côté Jérôme Rive, avec des masters 100 % formation continue dans lesquels les professionnels entrent généralement directement en 2e année, et d'autres qui panachent les profils. Dans un master en ressources humaines, par exemple, jeunes en formation et cadres expérimentés n'ont pas du tout les mêmes besoins et nous préférons avoir des masters séparés."
9. QU'EST CE QU'UN DIPLÔME "EXECUTIVE" ?

Parce qu'un cadre ne peut pas forcément quitter son entreprise pendant 1 an pour se former, certains diplômes s'obtiennent dans le cadre de formations dont les cours en groupes n'ont lieu que pendant les week-ends et les vacances. Ils se préparent généralement sur une durée allant de 16 à 18 mois et on parle alors d'executive mastère spécialisé ou MBA. "Enseigner à des cadres, c'est une tout autre pédagogie qu'avec des étudiants: elle est autant fondée sur l'échange d'expérience entre les participants que sur le cours", commente Jérôme Caby, directeur de l'ICN à Nancy, qui propose un executive MBA.
Mais comment se décider entre un mastère spécialisé (MS) et un MBA, tous deux en executive ? "Ce ne sont pas forcément des candidats de même niveau, répond Pascale Martin Saint-Étienne, responsable des mastères spécialisés d'ESCP Europe. En MBA, on vient acquérir du leadership, en MS on se réassure dans sa carrière en acquérant des compétences nouvelles auprès de professeurs souvent à la pointe de l'innovation." Et pensez aussi que beaucoup de MBA ont une vocation internationale et s'effectuent donc entièrement en anglais.
10. LE CAP DE LA SÉLECTION EST-IL DIFFICILE À PASSER ?

Il n'y a théoriquement pas de sélection à l'entrée en première année de master universitaire. Théoriquement car nombreux sont ceux qui la pratiquent plus ou moins ouvertement. D'autant que la sélection à l'entrée en seconde année est elle tout à fait légale. Tout dépend en fait de l'offre et de la demande! Intégrer certains masters recherche dans des matières scientifiques peu prisées peut se révéler très facile, alors que HEC ou Paris 11 peuvent se permettre de refuser 95 % des candidatures dans certains de leurs diplômes. "Nous avons eu l'année dernière 800 candidatures pour 60 places au sein de notre master management international, un chiffre qui a doublé en un an", commente ainsi Jérôme Rive.
Selon les cas, le processus peut donc être plus ou moins long et difficile. "Entre mars et mai, nos candidats doivent rédiger une lettre de motivation, passer le test propre aux IAE (le Score IAE-message), le TOEIC pour l'anglais et, enfin, un entretien devant un jury", explique encore Jérôme Rive. Et en formation continue, le processus commence encore un peu plus en amont car il faut laisser aux candidats reçus le temps de boucler le financement de leur master. Un master, ça se mérite !
By Olivier Rollot. Look master management "on Google and you get ... 514 million results. To master trade "only 114 million. With the many "masters of science," we are close to 117 million. In France alone, an estimated supply of masters, MBA and specialized master to over 7500 degrees. The Aeres (Assessment Agency Research and Higher Education) evaluates more than 6000 university masters! A world not easy to break for those who do not pursue a linear course in the same university in the first year of the PhD. And even for employees who have often lost contact with academia. As we enter the final stretch of entries, the ten essential questions to ask.
8. CAN WE GET A MASTER IN WORKING?
"Today, employees want more get a real diploma rather than just certificates," says Philippe Cassuto, regional coordinator of the University Continuing Education in the Academy of Aix-Marseille. This is an opportunity for some who are not thrown in higher education to put a touch of excellence on their CV. "We even had a case of a frame without any qualifications who earned a master's in information-communication VAE [validation of experience]," comments yet Philippe Cassuto.
Also an opportunity to mingle with other profiles. If MBAs are usually reserved for managers with at least 3 years of professional experience, many are indeed the masters who are among the youngest. "Within our master of international negotiation, a quarter of students are professionals, resumes Philippe Cassuto. It's very educational for the youngest to be with the pros and pros confront new approaches"
. More...

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L’apprenti et les impôts

http://formation.picardie.fr/fileadmin/templates/style/img/bandeau_retour_ftuv.pngVous êtes en alternance ? Les règles d’imposition qui vous sont applicables peuvent différer du système commun. Vous devez par conséquent prendre un moment pour bien les connaître.
Le statut d’apprenti exonère d’impôt sur le revenu dans la limite annuelle du Smic, soit 16125 € (Bulletin officiel des impôts n°5 F-7-06 du 27 février 2006). Vous trouverez cette somme en multipliant le Smic horaire brut au 1er juillet de l’année d’imposition (8,86 € en 2010) par 1820 heures (35 heures x 52).
Si la rémunération dépasse ce niveau, seule la fraction des salaires qui excède le plafond d’exonération figurera sur la déclaration de revenus de l’apprenti (ou celle de ses parents s’il est fiscalement à leur charge). En effet, il importe peu que celui-ci soit imposé à titre personnel ou rattaché au foyer fiscal de ses parents.
S’il est mineur et rattaché au foyer fiscal de ses parents, il n’a pas de déclaration personnelle à produire et ses parents pourront alors bénéficier des effets du quotient familial.
S’il est majeur, il doit faire sa propre déclaration, ses parents pourront alors déduire une pension alimentaire, qui constituera un revenu imposable pour le bénéficiaire. En revanche, avec un contrat de professionnalisation, le jeune ne bénéficie d’aucun abattement. Il est imposable sur la totalité des sommes perçues.
http://formation.picardie.fr/fileadmin/templates/style/img/bandeau_retour_ftuv.png You are in alternation? The tax rules applicable to you may differ from the common system. Therefore, you should take a moment to know them well. More...

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