18 mai 2011

Conférence nationale de l'association des universités du Liban

AERESLes 29 et 30 avril 2011, l'association des universtiés du Liban a organisé une conférence nationale autour des questions fondamentales liées à la mise en place d'un système intégré d'assurance qualité de l'enseignement supérieur au Liban, en coopération avec le bureau national de TEMPUS (programme de la Commission européenne qui soutient la modernisation de l'enseignement supérieur et crée un espace de coopération dans les pays entourant l'UE) et sous le patronage du ministère de l'éducation et de l'enseignement supérieur.
La conférence visait à échanger sur les mécanismes institutionnels et nationaux d'assurance qualité ainsi que sur la qualité des établissements, des programmes de formation et des unités de recherche. Internvenant sur ce dernier point, Jean-Marc Geib, délégué coordinateur AERES, a présenté dans un premier temps les missions et l'organisation de l'AERES puis l'évaluation des unités de recherche à la fois du côté de l'agence (évaluation-notation) et du côté des entités évaluées (auto-évaluation) dans le cadre d'une amélioration continue de la qualité de la recherche et de l'enseignement supérieur en France.

Didier Houssin, 61 ans, a été nommé le 13 mai 2011 président du conseil de l’Agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES).
Professeur de chirurgie à l’Université Paris Descartes depuis 1988, il retrouve le domaine de la recherche et de l’enseignement supérieur après un long parcours dans le secteur de la santé. Spécialiste de la chirurgie et de la greffe du foie, en particulier chez l’enfant, il a été directeur général de l’Établissement français des Greffes de 1994 à 2003, chef du service de chirurgie de l’Hôpital Cochin de 1998 à 2003, directeur de la politique médicale à l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris de 2003 à 2005, puis directeur général de la santé de mars 2005 à mai 2011. Son expérience dans le champ de la recherche et de l’enseignement supérieur a été diversifiée. Comme chargé de recherche à l’Inserm (1982-1988), puis chirurgien universitaire responsable d’un laboratoire de recherche chirurgicale (1985-1996), il a été l’auteur de plus de 300 publications scientifiques originales. Du point de vue de la formation, il a notamment dirigé la formation doctorale nationale en sciences chirurgicales (1991-1995) et coordonné l’enseignement des sciences sociales et humaines pour les étudiants de première année de médecine. Il a contribué, dans le cadre de l’Inserm et du Conseil national des universités, à l’évaluation des chercheurs, des enseignants-chercheurs et des unités de recherche et, en tant que directeur général de la santé, à l’organisation de l’évaluation de diverses politiques publiques. Enfin, dans le domaine de la gouvernance, il a été vice-président (Conseil scientifique) de 2001 à 2004 de l’Université Paris Descartes, alors présidée par Pierre Daumard.
Il succède à Jean-Marc Monteil et Jean-François Dhainaut. Il a été nommé par le Président de la République, sur proposition de Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, après un vote d’approbation à l’unanimité des suffrages exprimés par les commissions compétentes de l’Assemblée nationale et du Sénat qui l’ont auditionné. Lors de ces auditions, il a salué le travail effectué par les précédents responsables de l’AERES et leurs équipes et mis l’accent sur:
- les missions confiées à l’AERES qui sont à accomplir ou à perfectionner, comme la validation des procédures d’évaluation des personnels des établissements d’enseignement supérieur et de recherche ou l’élaboration d’évaluations plus parlantes, car plus contrastées ;
- l’identification des attentes de chaque public, qu’il soit étudiant, chercheur, enseignant, responsable d’entité ou élu, pour mieux y répondre ;
- un accompagnement de l’évaluation qui favorise la progression ou la mise en lumière des structures évaluées.
Conjointement à la nomination de Didier Houssin, onze personnalités ont été désignées en tant que membres du conseil de l’AERES par décret pris sur proposition de Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Il s’agit:
- au titre des personnalités qualifiées, de Mme Maria Allegrini, professeure à l’Université de Pise (Italie) et de MM. Antoine Compagnon, professeur au collège de France, et Francis Kramarz, directeur du Centre de recherche en économie et statistique ;
- au titre des chercheurs, ingénieurs ou enseignants-chercheurs proposés par les directeurs ou présidents des établissements publics d’enseignement supérieur et de recherche et des organismes de recherche, de Mmes Monique Capron, professeure des universités, Université Lille-II, Florence Legros, professeure des universités, Université Paris-Dauphine, Christine Musselin, directrice du centre de sociologie des organisations, Sciences Po, et de M. Bernard Teyssié, professeur des universités, Université Paris-II;
- au titre des chercheurs, ingénieurs ou enseignants-chercheurs proposés par les instances d’évaluation compétentes en matière d’enseignement supérieur et de recherche, de Mmes Marianne Lefort, directrice de recherche à l’INRA, directrice scientifique d’AgroParisTech, Sylvie Rousset, directrice de recherche au CNRS, Claudine Schmidt-Lainé, directrice de recherche au CNRS, et de M. Jean-Daniel Boissonnat, directeur de recherche à l’INRIA.
Pour rappel, onze membres ont été désignés initialement pour un mandat prenant fin en 2013: Mmes Ghislaine Filliatreau, Cécile Tharaud, Nicole El Karoui-Schvartz, Marie-Christine Maurel, Géraldine Schmidt et MM. Edouard Bard, René-Paul Martin, Simon Thorpe, Sébastien Candel, Alexander Kuhn, Denis Menjot.
Le député Pierre Lasbordes et le sénateur Christian Demuynck, désignés par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), sont également membres du conseil de l’AERES au titre des parlementaires.
Installée le 21 mars 2007, l’AERES est une autorité administrative indépendante. Elle conduit l’évaluation des établissements, des unités de recherche, des formations et des diplômes de l’enseignement supérieur, dans une approche intégrée qui fait son originalité.
Szénsavas 29 és április 30 2011 szövetsége universtiés Libanon szervezett országos konferencián mintegy anyagi jogi kérdések az egy integrált minőségbiztosítási rendszer a felsőoktatásban a libanoni, együttműködve a Országos Területfejlesztési Hivatal TEMPUS (Európai Bizottság programja, amely támogatja a felsőoktatás korszerűsítését, és létrehoz egy helyet az együttműködés a szomszédos országok EU-ban) és védnöksége alatt az Oktatási Minisztérium és a felsőoktatásban.
Didier Houssin, 61, nevezték ki május 13, 2011 elnöke az Ügynökség értékelését a kutatás és a felsőoktatás (SSH). Még több...

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La VAE en Poitou-Charentes en 2010

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Selon le tableau de bord de la VAE en Poitou-Charentes, en 2010 et pour la 3e année consécutive, le nombre de dossiers de recevabilité déposés baisse malgré la constance du nombre de personnes reçues en entretien conseil. Parmi les secteurs les plus touchés par cette baisse, le sanitaire et social chute de 17 % contre 7 % en moyenne pour les autres secteurs. Malgré tout, il représente encore, tout comme l’Éducation nationale, 1/3 des dossiers déposés.
Les femmes constituent une large majorité des candidats à la VAE avec plus des 2/3 des dossiers déposés. Les salariés restent majoritaires : ils sont 67 % en moyenne à s’engager dans la démarche, chiffre variable en fonction des certificateurs : de 81 % dans le secteur sanitaire et social, ils passent respectivement à 48 % et à 41 % pour le ministère de l’Emploi et le CNAM.
Plus de la moitié des candidats a entre 30 et 44 ans et postule à 60 % à une certification de niveau V, ceci malgré parfois un niveau de qualification d’origine égal voire plus élevé. La décision des jurys reste constante depuis 5 ans avec 43 % de validations partielles comme de validations totales où, hors champ sanitaire et social, le niveau 5 représente 30 % des décisions, le niveau 4, 27 % et le niveau 3, 31 %.
Au top 50 des certifications demandées : le CAP Petite enfance au ministère de l’Éducation nationale, le DEAVS, dans le secteur santé social et le TP Assistant de vie aux familles pour le ministère de l’Emploi.

Diplômes ayant tenus des jurys VAE à l'Université de Poitiers

D.A.E.U. A Littéraire
D.A.E.U. B Scientifique
DU Musicien intervenant 2° année
DUT gestion des entreprises et des administrations
DUT Hygiène, Sécurité,Environnement
DUT Mesures Physiques opt Mat. et Cont. Physico-Chimiques
DUT Qualité, logistique industrielle et organisation
Licence Droit et technique de l'assurance
Licence Histoire Art et Archéo
Licence Lettres Langues et Civilisation Etrangère Anglais
Licence Psychologie
Licence STAPS Mention Activités Physiques Adaptées
Licence STAPS Mention Education et Motricité
LP protection civile et sécurité des populations
LP Manager d' Entreprises de Services à la Personne
LP Management échanges internationaux Opt ventes-achats
LP Management des échanges internationaux
LP Gestion des ressources humaines
LP Communication et management des évènements
LP Commerce Distribution option Vente/Cadre Commercial
LP Commerce Distribution - Manager de Rayon
LP Banque assurance
LP AQ : Management Intégré Qualité Sécurité
LP Animateur qualité - performances industrielles
LP Administration des collectivités territoriales
LP Accompagnement social
LP Statistique de la protection sociale
LP Techniques et activités de l'image et du son
Master Intégration des Personnes Handicapées et en Difficulté
Master Recherche et Développement en Mécanique
MP Administration des entreprises
MP CE - LEA : négociateur trilingue en commerce international
MP Chargé d'analyse spatiale et de prospective territoriale
MP Développement pharmaceutique et essais cliniques
MP Droit de l'entreprise et des affaires
MP Droit de l'urbanisme et de la construction
MP Droit et développement de l'économie sociale et solidaire
MP Droit Public - Droit et Administration Publics
MP Ingénierie des médias pour l'éducation
MP Juriste linguiste
MP LA - Enseignement et Formation en Anglais
MP Management de la communication
MP management des risquesindustriels & environnementaux
MP Marchés publics et partenariats public-privé
MP Sciences du langage - Didactique des Langues et FLES
MP SM - Système d'information et contrôle
MP Web éditorial
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Skond il- daxxbord tal VAE fil Poitou-Charentes fl-2010 u għas-tielet sena konsekuttiva, l-għadd ta 'każijiet ippreżentat tnaqqis ammissibbiltà minkejja n-numru kostanti ta' nies li waslet sessjoni pariri. Fost l-iktar setturi milquta minn dan it-tnaqqis, is-saħħa u t-tnaqqis soċjali ta '17% kontra 7% għal medja ta' setturi oħra. Madankollu, din xorta waħda jirrappreżenta, bħall-Edukazzjoni, 1 / 3 ta 'każijiet ippreżentata.
Diplomi li ġuriji meħtieġa Apel fl-Università ta 'Poitiers
A Letterarji USDA
Xjentist USDA B
IL sena Musicien 2 . More...

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Alternance: Décrets n° 2011-523 et 524 du 16 mai 2011

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Aide pour l'augmentation du nombre de jeunes en alternance dans les PME. Décret n° 2011-523 du 16 mai 2011.
Les entreprises de moins de 250 salariés peuvent demander à Pôle emploi une aide de l'Etat compensant sur un an les cotisations sociales dûes pour l'embauche de jeunes de moins de 26 ans ayant pour effet d'augmenter l'effectif annuel moyen de salariés en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation. L'embauche doit être réalisée sous l'un de ces deux contrats entre le 1er mars et le 31 décembre 2011.
L'effectif total de l'entreprise est apprécié au 31 décembre 2010. L'effectif annuel moyen des salariés en alternance calculé au terme du 1er mois de l'embauche est comparé à l'effectif correspondant au 28 février 2011. Pour les entreprises créées en 2011, l'effectif total et le nombre de salariés en alternance de référence sont appréciés à la date de l'embauche pour laquelle l'aide est demandée.
Le contrat d'apprentissage signé ne doit pas ouvrir droit à une exonération totale de cotisations patronales de sécurité sociale en vigueur à la date de l'embauche ; ce qui exclut les contrats conclus par les entreprises artisanales et les entreprises de moins de 11 salariés.
L'employeur ne doit pas avoir pas procédé, dans les 6 mois qui précèdent l'embauche, à un licenciement économique sur le poste pourvu par le recrutement et le bénéficiaire ne doit pas avoir appartenu à l'entreprise dans les 6 derniers mois. Il doit être à jour de ses obligations déclaratives et de paiement de ses charges sociales...
Pour bénéficier de l'aide, l'employeur doit adresser, avec les justificatifs nécessaires, une demande à Pôle emploi dans les 2 mois suivant le début de l'exécution du contrat ou suivant le 17 mai 2011 pour les embauches antérieures à cette date. L'aide est versée en deux fois, au terme du 3ème mois (ou en août 2011 pour les embauches antérieures au 17 mai 2011) et du 10ème mois d'exécution du contrat ; l'employeur devant attester de l'exécution du contrat dans les deux mois précédent.
Si le contrat est arrivé à échéance ou a été interrompu à l'issue du 1er versement et avant le 10ème mois, le 2nd versement n'est pas dû. Si le contrat est rompu pendant la période d'essai, ou en cas d'interdiction de l'administration (opposition, faute grave, force majeure...), l'employeur doit reverser l'aide au Trésor public, dans son intégralité si cette rupture intervient dans les 6 premiers mois du contrat, ou à due proportion de la durée effectuée si elle intervient au-delà.
Aide à l'embauche de plus de 45 ans en contrat de professionnalisation. Décret n° 2011-524 du 16 mai 2011.

Les employeurs peuvent demander le bénéfice d'une aide de l'Etat pour toute embauche réalisée après le 1er mars 2011 de demandeurs d'emploi âgés de 45 ans et plus en contrat de professionnalisation.
L'aide est fixé à 2 000 € (ou à due proportion pour les salariés à temps partiel). Elle est cumulable avec les aides existantes au 17 mai 2011 pour l'embauche de salariés âgés de 45 ans et plus en contrat de professionnalisation (exonération de charges sociales, aide de 2000 € déjà prévue par Pôle emploi pour le recrutement de demandeurs d'emploi de 26 ans et plus).
L'employeur ne doit pas avoir pas procédé, dans les 6 mois qui précèdent l'embauche, à un licenciement économique sur le poste pourvu par le recrutement et le bénéficiaire ne doit pas avoir appartenu à l'entreprise dans les 6 derniers mois. Il doit être à jour de ses obligations déclaratives et de paiement de ses cotisations sociales.
Pour bénéficier de l'aide, il doit adresser une demande à Pôle emploi dans les 3 mois suivant le début de l'exécution du contrat ou suivant le 17 mai 2011 pour les embauches antérieures à cette date.
Il doit joindre à cette demande une copie du contrat de professionnalisation avec la décision de prise en charge de l'OPCA ou, à défaut, la preuve de dépôt du contrat auprès de celui-ci.
Si le contrat est arrivé à échéance ou a été interrompu avant l'une de ces échéances, l'aide n'est pas due pour la période considérée. Rappelons que le ministère a indiqué que cette aide se substitue à l'aide à l'embauche des seniors prévue par la loi de réforme des retraites.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Help increase the number of young alternately in SMEs. Decree No. 2011-523 of 16 May 2011.
Firms with fewer than 250 employees can apply for an employment center to help offset the state on a year payroll taxes owed for hiring young people under 26 have the effect of increasing the average annual number of employees under apprenticeship or professional training. Hiring must be done under one of these two contracts between March 1 and December 31, 2011. More...

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La lettre de motivation va-t-elle disparaître ?

« 76,4 % des décideurs RH n’écartent pas une candidature qui n’est pas accompagnée d’une lettre de motivation. Et même si plus de la moitié des recruteurs (54%) disent exiger une lettre de motivation afin d’étudier un dossier de candidature, 69% ne prennent pas la peine de lire la lettre si le CV qui l’accompagne a retenu leur attention. En outre, seulement 23,5% écartent la candidature si la lettre est absente. » C’est ce que révèle une étude réalisée par le cabinet Wit Associés.
Selon Rafaël Vivier, associé et coach au sein du cabinet Wit Associés, les lettres de motivation sont peu lues par les recruteurs car « la plupart sont des lettres ’type’ et ne présentent en ce sens aucun intérêt. Mieux vaut ne pas envoyer de lettre de motivation ’type’ et préférer une structuration autour d’un paragraphe standard explicitant le parcours et le cheminement ».
« Un caractère désuet »
« Valeur sûre il y a une dizaine d’années, la lettre manuscrite a aujourd’hui un caractère désuet. » Seulement 28% des personnes interrogées y attachent plus d’importance qu’à une lettre dactylographiée. 81% ne privilégient d’ailleurs pas une candidature envoyée par courrier postal.
Un seul élément semble conserver une grande importance dans la présentation de la lettre de motivation. Il s’agit de l’orthographe. En effet, 93,5% des répondants écartent systématiquement la candidature si la lettre comporte trop de fautes. Sans lettre de motivation, 46,3% des décideurs traitent la candidature et 30,1% contactent le candidat pour en demander une. Ainsi, selon les auteurs, « envoyer une lettre de motivation est éliminatoire à 93,5% si son destinataire ne la trouve pas à son goût alors même que 76,4% des recruteurs n’éliminent pas un dossier sans lettre ».
"76,4%-a HR-döntéshozók nem zárja ki a jelölt, aki nem kíséri egy levelet. És bár több mint fele a toborzók (54%) állítja, hogy szükséges egy motivációs levelet, hogy mérlegelje a kérelmet, 69% nem zavarja, hogy elolvasta a levelet, ha a folytatás, hogy a kísérő fogás a figyelmet . Ezen kívül csak 23,5% utasítsa el a keresetet, ha a levél hiányzik. Még több...

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La "lettre paritaire": patronat et syndicats réinventent l'eau tiède

http://a31.idata.over-blog.com/1/02/36/32/BETA/A.JPGPatronat et syndicats demandent à Pôle emploi de mieux accompagner les chômeurs
Les partenaires sociaux, qui contribuent au financement de Pôle emploi via l'Unedic, ont formulé vendredi leurs exigences pour le service public de l'emploi, réclamant plus de moyens pour accompagner les chômeurs, dans une lettre aux pouvoirs publics dont l'AFP a eu copie.
Dans une "lettre paritaire relative au suivi, l'accompagnement et le reclassement des demandeurs d'emploi", les syndicats mais aussi le patronat soulignent qu'un agent de Pôle emploi suit aujourd'hui un nombre trop important de demandeurs d'emploi -environ 200- et a donc "des difficultés pour répondre correctement à la demande, tant au regard du retour à l'emploi que de l'indemnisation". Aussi estiment-ils que le nombre de personnes suivies par un agent "doit être adapté et réduit sur la base d'un accompagnement personnalisé et éventuellement renforcé en fonction de la distance à l'emploi des intéressés".
"Les jeunes, les seniors et les chômeurs longue durée doivent faire l'objet d'une attention particulière parce qu'ils sont confrontés à des difficultés spécifiques", ajoutent-ils dans leur courrier commun.
Les partenaires sociaux souhaitent par ailleurs une "réorganisation de l'offre de service de Pôle emploi", moins "administrative" et plus orientée vers "l'accompagnement du retour à l'emploi". Ils insistent sur la nécessité de mettre en adéquation les besoins des demandeurs et ceux du marché du travail, de mieux articuler "la collecte des offres et le suivi des demandeurs d'emploi", notamment "pour les secteurs en tension".
"Cette mise en adéquation est un vrai travail. Il s'agit de trouver les bonnes personnes pour les bons postes ou, sinon, de leur proposer des formations qualifiantes ou de reconversion", a expliqué Gabrielle Simon (CFTC), selon laquelle la majorité des partenaires sociaux ont signé la lettre. La CGT a toutefois indiqué à l'AFP son refus de signer, jugeant les demandes insuffisantes, manquant "d'orientations politiques" et élaborées à la hâte. Son représentant Maurad Rabhi a aussi exprimé sa méfiance face à une lettre demandant une meilleure adéquation entre l'offre et la demande, quelques jours après que le ministre de l'Emploi Xavier Bertrand a appelé à "l'application de la loi" qui prévoit la suspension des allocations après deux refus "d'offres raisonnables d'emploi".
Fin avril, le ministre avait aussi fait savoir qu'il comptait "fixer une nouvelle feuille de route à Pôle emploi", alors que s'ouvrent ce mois-ci des discussions tripartites pour élaborer une nouvelle convention Etat-Unedic-Pôle emploi. La lettre paritaire, qui précède ces discussions, rappelle que les partenaires sociaux sont fondés à formuler leurs propres exigences et à "évaluer la mise en oeuvre par Pôle emploi des règles d'indemnisation qu'ils fixent" puisque, par l'intermédiaire de l'Unedic, salariés et entreprises participent aux deux tiers du financement du budget d'accompagnement et de reclassement des chômeurs via Pôle emploi.
http://a31.idata.over-blog.com/1/02/36/32/BETA/A.JPG Min iħaddem u l-unions sejħa impjiegi ċentru tassisti aħjar lill-persuni qiegħda
L-imsieħba soċjali, li jgħinu ċentru impjieg fond permezz Unedic fformulaw talbiet tagħhom il-ġimgħa għall-impjieg tas-servizz pubbliku, fejn sostniet aktar riżorsi b'appoġġ għad-persuni qiegħda, f'ittra lill-gvern li tiegħu jkun AFP ġie kkupjat.

Fil-"Ittra Konġunta dwar monitoraġġ, taħriġ u dawk li jfittxu impjieg outplacement," il-unions, iżda wkoll dawk li jħaddmu li jenfasizzaw l-aġent taċ-ċentru xogħol illum wara numru eċċessiv ta 'dawk li jfittxu impjieg - madwar 200 - u għalhekk "diffiċli biex tirrispondi b'mod xieraq għal-domanda, kemm f'termini ta 'impjieg mill-ġdid ta' kumpens."
Għalhekk huma jsostnu li n-numru ta 'nies segwit minn uffiċjal "għandha tkun emendata u mnaqqsa fuq il-bażi ta' personalizzata u possibilment miżjud skond id-distanza li x-xogħol ikkonċernat."
"Il-żgħażagħ, l-anzjani u fit-tul qiegħda jingħataw attenzjoni speċjali minħabba li jiffaċċjaw diffikultajiet partikolari," huma miżjuda fl-ittra konġunta tagħhom
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