13 mai 2011

Louis Vogel : «Le financement des universités est encore largement insuffisant»

Les EchosPropos recueillis par Isabelle Ficek. La Conférence des présidents d'université (CPU) tient jeudi et vendredi, à Toulouse, son grand colloque annuel, auquel participera Valérie Pécresse. Son président, Louis Vogel, interpelle la ministre de l'Enseignement supérieur sur le financement des universités.

Quel bilan faites-vous de l'autonomie des universités, mise en avant comme une des réformes les plus positives du quinquennat ?
L'autonomie, une réforme qui concerne la gouvernance, la gestion des ressources humaines et pouvait passer au départ comme assez loin de la réalité scientifique des universités a rencontré la volonté des universitaires français de changer. Cela se voit avec tous les projets déposés dans le cadre du grand emprunt. Il y a un sacré mouvement dans l'université, une volonté d'être reconnus. Elle a rencontré en 2007 un début de réorientation de la politique du gouvernement. Le bémol, c'est que la réforme est loin d'être terminée.
C'est-à-dire ?

On ne peut pas nier qu'il y ait plus d'argent arrivé dans l'université depuis que Valérie Pécresse est ministre. En 2007, l'Etat consacrait 6.800 euros par étudiant par an. Un peu plus de 9.000 euros maintenant. Mais c'est encore largement insuffisant notamment par rapport aux classes prépas avec 15.000 euros ou aux autres pays développés parmi lesquels nous ne sommes pas du tout au premier rang. Un pays comme la Suède, c'est 15.000 euros par étudiant et par an, sans parler des Etats-Unis, où c'est 20.000 euros en moyenne. Il faut absolument qu'on arrive rapidement à 15.000 euros. L'Etat doit poursuivre l'effort. Nous sommes au milieu du gué. C'est bien, mais il faut continuer.
Le bureau de la CPU a récemment rencontré le chef de l'Etat, avez-vous été entendu sur ce point ?

Nous avons notamment abordé la question du grand emprunt. Mais les opérations ponctuelles ne peuvent se substituer au financement normal des universités. Le grand emprunt, c'est très bien, mais il doit s'articuler avec des financements récurrents, ce sont eux notre problème. Et l'autre demande, c'est de gérer l'après-investissements d'avenir et ses conséquences.
Quelles conséquences voyez-vous pour l'instant aux investissements d'avenir ?

Indépendamment de certains dysfonctionnements dans la procédure de sélection, certaines zones, notamment l'ouest et le nord, n'ont pour l'instant pas reçu grand-chose. Même chose pour plusieurs disciplines. Les appels à projet ont plutôt été conçus pour les sciences dures, si bien qu'il a été très difficile pour les autres sciences comme les sciences humaines, le droit, la gestion, les lettres, de se couler dans le moule. Une des solutions envisageables serait de rééquilibrer les futurs appels à projets du deuxième tour.
Comment ?

La CPU demande à être associée à la construction des cahiers des charges. Il faudrait aussi envisager des appels à projets sur d'autres domaines que la recherche comme par exemple la pédagogie, les programmes innovants. Cela permettrait de récompenser autre chose que des laboratoires et de ne pas casser la dynamique qui a été enclenchée. C'est une question que nous avons abordée avec le président de la République pour tenter de remédier aux déséquilibres entraînés par le grand emprunt. A l'image du football, il ne peut y avoir de première division sans deuxième division. Si nous avons 10 grands campus d'excellence à visibilité internationale, il faut aussi qu'ils se nourrissent d'un terreau, d'autres universités sur le territoire, compétentes, avec des moyens. On ne va pas faire 10 pôles dans un désert. Ce serait une erreur.
Après le premier plan licence, dont les universités ne se sont pas toutes emparées avec la même ambition, que sont-elles prêtes à faire pour le premier cycle, thème de votre colloque ?

C'est un sujet majeur pour nous, qui englobe les IUT, BTS, classes prépas, l'entrée à l'université. C'est ici que se joue la réussite des étudiants. Et c'est là que nous avons 50% d'échec en moyenne. Mais c'est aussi là que nous pouvons faire beaucoup de progrès, déjà engagés, en créant des filières spécifiques, des passerelles, en développant la professionnalisation, l'accompagnement. De nombreuses innovations sont possibles. Il se trouve que la ministre a lancé un deuxième plan licence et veut modifier l'arrêté sur la licence. Mais la réforme partira nécessairement des universités, de ce que les équipes ont déjà mis en oeuvre et de ce qu'elles vont encore imaginer, on ne peut pas imposer une réforme sans elles.
Valérie Pécresse avait évoqué un minimum de 400 heures de cours par an pour homogénéiser l'offre de formation. Qu'en pensez-vous ?

Un cadrage minimum, c'est intéressant pour que les entreprises sachent à quoi correspond une licence. Mais ce n'est pas à coup d'arrêté que nous changerons les taux d'échec, l'intérêt des études, la ré-orientation.
Que prépare la CPU en vue de l'élection présidentielle de 2012 ?

Nous allons interpeller tous les candidats pour savoir s'ils sont prêts à un effort extraordinaire pour les universités dans les trois ans qui viennent. Dans les grands classements internationaux, la France n'a pas la place qu'elle devrait avoir étant donné son potentiel intellectuel, aujourd'hui sous-exploité, pour plusieurs raisons : le sous-financement, la dispersion des efforts (une université, à l'étranger, c'est aussi les organismes de recherche et les grandes écoles) et le fait que les élites en France ne sont pas formées par la recherche. C'est tout cela qui doit changer, et nous n'avons pas dix ans pour le faire.
Mais étant donné l'état des finances publiques, quelles sont les marges de manoeuvre des candidats ? Allez-vous mettre sur la table la question des droits d'inscription ?

Tout peut se discuter. Mais si l'Etat est prêt à reconnaître que les universités sont un enjeu majeur, nous n'aurons pas à le faire. Les autres marges de manoeuvre -les fondations, la taxe d'apprentissage -sont assez limitées à court terme. Avant de parler des droits d'inscription, il y a l'augmentation du financement public. Il y a aussi les prêts des banques, mais ils ne fonctionnent pas en France. Nous ne sommes pas aux Etats-Unis. Restent les droits d'inscription. A Sciences-Po, on est allé loin en installant des droits, certes progressifs, mais qui montent très haut. Il faut donner des garanties pour que tous ceux qui n'ont pas les moyens de financement puissent faire des études. Cela implique de réformer totalement notre système de bourses. Toucher aux droits d'inscription, c'est le dernier recours.
Les EchosInterjú Isabelle Ficek. Konferenciája Egyetem Elnökök (CPU) a csütörtökön és pénteken Toulouse, a nagy éves konferencia, amely az érintett Valérie Pécresse. Annak elnöke, Louis Vogel, kihívások a felsőoktatási miniszter az egyetemi finanszírozás.
Hogyan értékeli az egyetemi autonómia, kiemelte az egyik legpozitívabb reformokat az ötéves időszak?

Az autonómia, a reform a kormányzás, a menedzsment és emberi erőforrások is eléggé kezdeni, mint a tudományos valóság az egyetemek óhajának, a francia egyetem változtatni.
Ez nyilvánvaló az összes benyújtott projektek keretében a nagy kölcsön. Van egy szent mozgalom az egyetem, majd el kell ismerni. Találkozott 2007 elején elmozdulás a kormányzati politika. A hátránya az, hogy a reform még korántsem zárult le. Még több...

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Band of Academic-Plagiarism Sleuths Undoes German Politicians

http://chronicle.com/img/global-header-logo.gifBy Aisha Labi. The bad news keeps coming for the disgraced former German defense minister Karl-Theodor zu Guttenberg, a once-rising star in his country's conservative party. On Wednesday the University of Bayreuth published the full report of its investigation into plagiarism in his 2006 doctoral dissertation in law.
The university's assessment, which Mr. Guttenberg had initially sought to prevent from being made public, was unsparing: Not only was most of his dissertation plagiarized from a range of sources, including newspapers, journals, and the official research service for German parliamentarians, which lawmakers are forbidden to use for personal purposes, but even if the work had been Mr. Guttenberg's, it would not have merited the summa cum laude it was originally awarded.
The revelations of how extensively Mr. Guttenberg had plagiarized came as no surprise to one group of people: an online community of plagiarism detectors that formed since the allegations against him came to light. That loose band of academic vigilantes helped to compile and disseminate the information that eventually brought about Mr. Guttenberg's downfall. Its members have since set their sights on other high-profile figures, and, although they do not work directly with universities, their online sleuthing is having an impact.
Also on Wednesday, the University of Konstanz announced that it had stripped Veronica Sass, the daughter of another leading conservative politician, of her law doctorate. Another politician, Silvana Koch-Mehrin, whose doctoral dissertation is under investigation by the University of Heidelberg, stepped down on Wednesday from her posts as a vice president of the European Parliament and the board of her political party.
Part of the explanation for the apparent proliferation of plagiarism among politicians is the prevalence of doctoral degrees among figures outside of academe. Many German politicians and business leaders have doctoral titles and have few qualms about using them, even if they never set foot on a university campus after they earn their degrees.
"Everybody has their name on their door in bronze and wants to have their doctoral title there, too; that's really important," said Debora Weber-Wulff, a professor of media and computing at the University of Applied Sciences in Berlin who has been active in the recent online plagiarism-detecting movement. The attitude toward academic titles, she said, has much to do with the traditional German reverence of learning. "Someone who has a doctorate is highly respected," she said. More.
See also: New Partners in the Plagiarism-Detection Business, Le plagiat, fléau intellectuel.

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Eurocampus, 1er campus européen

Lancement du site internet de l’Eurocampus, 1er campus européenL'Eurocampus Pyrénées-Méditerranée, créé en 2009 pour rapprocher les universités de Toulouse et Montpellier jusqu'à Barcelone et Majorque, a désormais son propre site internet, a annoncé lundi le président de la Région Midi-Pyrénées.
A l’occasion de la journée de l’Europe, Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, a lancé lundi 9 mai, à l’Hôtel de Région le site Internet de l’Eurocampus Pyrénées-Méditerranée, en simultané avec les 3 autres Régions membres de l’Eurorégion: Languedoc-Roussillon, Catalogne, Iles Baléares.
Martin Malvy a présenté le site, véritable centre de ressources sur l’ensemble des formations universitaires dispensées sur le territoire de l’Eurorégion et plateforme d’échanges entre étudiants et chercheurs avec des rubriques « informations pratiques » (logement, transport, bourses de mobilité, …).
Ce portail rend accessible toutes les informations nécessaires aux étudiants pour réussir leurs études dans la mobilité au sein de l'Eurorégion, a précisé Martin Malvy (PS) lors du lancement du site, à l'occasion de la journée de l'Europe.
Tous les acteurs y trouveront des informations sur les établissements, les formations, la recherche, les bourses et aides, la vie étudiante, ainsi que des annonces et l'actualité des régions. Le président de Région est revenu également sur la politique régionale en faveur de la mobilité étudiante et de l’enseignement supérieur, en général.
De nombreux témoignages ont été apportés sur les atouts de la mobilité au sein de l’Eurocampus : responsable du master commun Université Toulouse 1 / Université de Barcelone, maître de conférences à l'IUFM et en charge de cours de langues, étudiants ayant déjà effectué une mobilité, …
L’Eurorégion Pyrénées-Méditerranée

L’Eurorégion Pyrénées-Méditerranée regroupe depuis 2004 les Régions Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon et les Communautés autonomes de Catalogne et des Îles Baléares. Elle a pour objet de créer un pôle de coopération accrue en matière de développement durable, d’innovation, de cohésion sociale ou encore d’éducation et de culture. Afin de favoriser ce rapprochement, l’Eurorégion s’est dotée en 2009 d’un Groupement Européen de Coopération Territoriale. Ce GECT est le premier composé uniquement de Régions à voir le jour en Europe.
Grâce à lui, l’Eurorégion peut désormais présenter des projets européens et gérer des appels à projets conjoints.
L’Eurocampus, premier campus européen, compte parmi les projets portés par l’Eurorégion Pyrénées-Méditerranée.
Créé en 2009, il compte 510 000 étudiants, 45 établissements d’enseignement supérieur et 40 000 chercheurs. De nombreux dispositifs pour favoriser et accroître les échanges ont été créés par les Régions membres comme l’intensification des bourses d’études et de stages ou les aides aux transports.
L’Eurocampus Pyrénées-Méditerranée

Le campus eurorégional de l’espace Pyrénées-Méditerranée est le plus grand d'Europe et le 7ème au rang mondial, avec plus de 510 000 étudiants, 40 000 chercheurs et 87 établissements d’Enseignement supérieur.
L’Eurocampus met en commun ses ressources au sein d’un espace virtuel unique en Europe, qui met en interaction étudiants, enseignants, plates-formes de recherche et entreprises dans des secteurs d’excellence bien identifiés.
L’Eurorégion propose, déjà depuis 2 ans, des bourses à la mobilité pour les étudiants, à travers un accord entre les territoires partenaires. Cette année, un nouveau dispositif "Enseignement des langues comme préalable à la mobilité", intitulé IC4, est mis en oeuvre. Ce programme consiste à offrir des cours gratuits d’intercompréhension linguistique des quatre langues eurorégionales (catalan, espagnol, français et occitan).
L’Eurocampus souhaite promouvoir la création de diplômes communs, qui représentent un pas de plus dans les échanges inter-universitaires en Europe, au-delà des bourses ERASMUS. Une expérience eurorégionale de ce type a déjà été mise en place, un nouveau diplôme en droit, pionnier en Catalogne, permet à des étudiants d’obtenir à la fois un diplôme de droit de l’Université Autonome de Barcelone et aussi celui délivré par l’Université de Toulouse 1, après quatre années d’études. Pour en savoir plus: www.eurocampusweb.eu, www.euroregio.eu, L’Eurorégion Pyrénées-Méditerranée se dote d’un campus de 500000 étudiants.
Llançament del lloc web Eurocampus, campus primer europeu El Eurocampus Pirineus-Mediterrània , creada el 2009 per reunir a les universitats de Tolosa i Montpeller a Barcelona i Mallorca, té ara la seva pròpia pàgina web , va dir dilluns el president de la regió Migdia-Pirineus.
Amb motiu del Dia d'Europa, Martin Malvy, president de Migdia-Pirineus, va llançar dilluns, maig 9 a Hôtel de Région la pàgina web Eurocampus Pirineus-Mediterrània, amb simultània 3 membres més de les Regions Euroregió: Llenguadoc-Rosselló, Catalunya, les Illes Balears. Per obtenir més informació: www.eurocampusweb.eu, www.euroregio.eu, Euroregió Pirineus-Mediterrània per adquirir un campus de 500.000 estudiants. Més informació...

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Recherche en économie: universités et grandes écoles au coude à coude

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/02/bac2.1296825999.jpgAujourd’hui quand on recherche une formation en économie-gestion, la valeur de la recherche de l’établissement - université ou grande école - est un critère de plus en plus pris en compte, au même titre que les relations entreprise ou la pédagogie. Fondé sur le nombre de publications dans des revues de haut niveau, le classement RePEc, réalisé par IDEAS et le département d’économie de l’Université du Connecticut, fait aujourd’hui autorité pour mesurer la qualité de la recherche en économie et finance. Mêlant institutions et établissements d'enseignement supérieur, il célèbre comme d’habitude en France la qualité des écoles d’économie de Toulouse et Paris. Les autres établissements d’enseignement supérieur qui s’y distinguent sont l’Edhec (5ème et 7ème pour deux de ses laboratoires), le Crest (Ensae+ Ensai) 6ème, Sciences Po Paris (6ème et 11ème), Paris 1 (7ème) et bien sûr Paris Dauphine (12ème) alors qu’HEC se classe 16ème. Une confirmation : la très bonne 38ème place de l’Ieseg, largement meilleure école de commerce postbac en recherche.
Cité et classé en PACA
Top 25% institutions in France

Groupement de Recherche en Économie Quantitative d'Aix-Marseille (GREQAM), Marseille, Peguin, Denis, Peguin-Feissolle, Anne.
Faculté d'économie appliquée, Université Paul Cézanne (Aix-Marseille III), Aix-en-Provence.
Faculté des sciences économiques, Université de la Méditerranée (Aix-Marseille II), Aix-Marseille.
Centre de Recherche en Développement Économique et Finance Internationale (DEFI), Faculté des sciences économiques, Université de la Méditerranée (Aix-Marseille II), Aix-Marseille.
Faculté de Sciences Économiques et de Gestion, Université de Toulon et du Var, La Garde.
Laboratoire d'Économie Appliquée au Développement (LEAD), Faculté de Sciences Économiques et de Gestion, Université de Toulon et du Var, La Garde.
Institut Supérieur d'Économie et Management (ISEM), Université de Nice-Sophia Antipolis, Nice.
Groupe de REcherche en Droit, Économie, Gestion (GREDEG), Institut Supérieur d'Économie et Management (ISEM), Université de Nice-Sophia Antipolis, Nice.

Top 25% authors in France

This ranking is based on registered authors only, and only those who claimed some affiliation in this region, and this affiliation is listed in EDIRC.
Peguin, Denis, Peguin-Feissolle...

http://orientation.blog.lemonde.fr/files/2011/02/bac2.1296825999.jpg Illum meta rridu sfond fl-ekonomija u l-ġestjoni, il-valur tar-riċerka istituzzjonali - università jew skola għolja - huwa kriterju dejjem jittieħed in kunsiderazzjoni, kif ukoll relazzjonijiet ta 'negozju jew ta' tagħlim. Ibbażat fuq in-numru ta 'pubblikazzjonijiet fil-ġurnali tal-livell ta' klassifikazzjoni għoli RePEc, dirett minn IDEAT u d-Dipartiment ta 'l-Ekonomija, Università ta' Connecticut, issa hija awtorità għall-kejl tal-kwalità tar-riċerka fl-ekonomija u finanzi.
25% awturi Top fi Franza
Din il-klassifikazzjoni hija bbażata hija rreġistrata l-awturi biss, u biss dawk li Dikjarata Xi affiljazzjoni f'dan ir-reġjun, u dan affiljazzjoni huwa elenkat fl EDIRC.
Peguin Denis, Peguin-Feissolle. More...

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Social science and humanities funding in Europe at the European Parliament

LogoPanel discussion on social science and humanities funding in Europe at the European Parliament. On 3 May the EU Liaison Office of Freie Universität Berlin organised a panel discussion on the “The future of social science and humanities funding in Europe" at the European Parliament on Brussels. The panelists were MEP Maria Da Graça Carvalho, Patricia Reilly, Member of Cabinet of Commissioner Máire Geoghegan-Quinn, Prof. Erika Fischer-Lichte (Freie Universität Berlin), Prof. Iain Begg (London School of Economics and Political Science) and Dr Charlotte Fiala (Head of the EU Liaison Office of Freie Universität Berlin).
During her intervention, Ms Carvalho gave an overview of how she sees the future of the different EU research and innovation programmes with particular reference to the social sciences and humanities. The MEP, who is rapporteur for the simplification of the EU research and innovation programmes and EPP permanent rapporteur for the research area in both the current Budget Committee and in the Future Budget Committee, stressed "the need for increased funding in the present and future budgets for EU research and innovation programmes". She also underlined that the social sciences and the humanities (SSH) have a role to play in confronting the great challenges agenda of the future Research Framework Programme. Panelists at the meeting argued for earmarked funding for SSH in the next European Framework Programme.
More information about the meeting – including a discussion paper by Dr Charlotte Fiala on “European Funding for Social Science and Humanities Research beyond 2014" is available from the website of the EU Liaison Office of Freie Universität Berlin.

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The Global University Summit 2011 (6-7 May 2011)

LogoUniversity Presidents, Rectors and higher education representatives from the G8 and G20 countries came together last week in France for the 2011 Global University Summit on the overarching theme: "Sustainable development and the Knowledge society: What structuring and cooperation for society in the 21st century?".
Organised by the French Rectors’ Conference (CPU) and the PRES Bourgogne Franche-Comté, the event looked to build on the previous Summits in Sapporo (2008), Turin (2009) and Vancouver (2010) where the importance of sustainable development, with the urgent need for implementing effective government policies in order to deal with current economic, social and environmental problems, led to stressing the vital role of universities and higher education establishments in this field.
EUA President (Professor Jean-Marc Rapp) and EUA President-elect (Professor Maria-Helena Nazaré participated in the event which addressed three central themes:
  • Networks and cooperation: "universities and territories"
  • International mobility of students and research fellows
  • Virtual networks and distance cooperation 
At the end of the meeting a joint declaration was formulated which outlines a series of actions around each of the three Summit themes and "that are based on ethical, equitable and solidarity principles of sustainable development at local as well as global level, and reaffirming that education is a public good". More information and the full declaration is available on the Summit website.

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La formation continue des universités de Lorraine sur Twitter

http://a2.twimg.com/profile_images/1348715229/logo_reasonably_small.pngLa formation continue des universités de Lorraine est dorénavant sur Twitter.
Nancy-Université Formation Continue et le Service Commun de Formation Continue de l'Université Paul Verlaine de Metz ont décidé de s'unir pour rejoindre le site de micro-blogging twitter. Le compte sera alimenté conjointement par Nancy et Metz. A suivre sur le profil : http://twitter.com/#!/fculorraine. La formation continue des universités de Lorraine http://www.fc.nancy-universite.fr - http://www.univ-metz.fr/.
fculorraine suit 22 personnes.
En voilà plus à leur sujet: comcampus Comcampus, le seul blog qui traite de l'actu de la com dans l'enseignement supérieur, etc.
http://a2.twimg.com/profile_images/1348715229/logo_reasonably_small.png Weiterbildung der Universität von Lothringen ist jetzt bei Twitter.
Universität Nancy Weiterbildung und des Gemeinsamen Dienstes für Weiterbildung der Universität Paul Verlaine in Metz beschlossen haben, vereinen sich die Mikro-Blogging-Site Twitter erreichen. Das Konto wird gemeinsam von Nancy und Metz finanziert werden. Fortsetzung auf Profil: http://twitter.com/. Weiterbildung der Universität von Lothringen http://www.fc.nancy-universite.fr - http://www.univ-metz.fr/.

fculorraine folgt 22 Personen.

Hier gibt's mehr über sie: comcampus Comcampus, das einzige Blog, etc. diskutiert die Nachricht von der com im Bereich der Hochschulbildung.

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La Région Ile-de-France offre 22 allocations doctorales

ecoles-entreprises : formation professionnelle et partenariats écoles entreprisesLa Région Ile-de-Francea attribué 22 allocations de recherche doctorales et post-doctorales pour 2011. Cette aide émane du dispositif ArDoC (Allocations de Recherche sur Domaines Ciblés hors Domaines d’Intérêt Majeur). D’un montant total de 2,3 millions d’euros, ces allocations seront versées à 16 écoles doctorales. Elles financeront des recherches en mathématiques, optique, astrophysique, chimie verte, éco-matériaux et en histoire.
Le dispositif ArDoC permet à chaque doctorant de percevoir pendant 3 ans un salaire compris entre 1 450 et 1 600 € nets, financé intégralement par la Région. En outre, une enveloppe supplémentaire de 5 000 euros annuels par allocation prend en charge les coûts annexes à la réalisation de la thèse : formation, publication, participation à des colloques, déplacements à l’étranger…
Par ailleurs, le jury 2011 des Bourses Masters Ile-de-France a "proposé aux élus d’attribuer 1,2 millions d’euros de bourses à 115 étudiants étrangers". Ces bourses de 10 500 euros devraient bénéficier à 46 étudiants de Master 2 et 69 étudiants attendus en Master 1 dans un établissement d’enseignement supérieur francilien.
Business School: szakmai és üzleti iskolák közötti partnerségek Az Ile-de-France megítélt 22 kutatási támogatások doktori és posztdoktori 2011-ben. Ez a támogatás érkezik a készülék ArDoC (támogatások célzott kutatási területek területeken kívül kiemelten fontos). Az összesen 2,3 millió euró, ezeket az egységeket kell kifizetni a 16 diplomás iskolákban. Ezek a kutatás finanszírozását a matematika, az optika, az asztrofizika, a zöld kémia, öko-anyagok és a történelem. Még több...

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Universités alsaciennes: les fiançailles sont officielles

http://www.lepays.fr/fr/images/logo_pays.gifPar Luc Marck. Les administrateurs de l’Université de Haute-alsace et ceux de l’Université de Strasbourg ont décidé de mettre en oeuvre le rattachement des deux établissements.
À la sortie de plus de trois heures de réunion, une résolution de quelques lignes a officialisé, hier, à Strasbourg, ce que l’on pourrait appeler « les fiançailles de l’Université de Strasbourg et de l’Université de Haute-Alsace » (lire également L’Alsace d’hier).
La prochaine étape de ce qui s’annonce comme un mariage de raison — tout poussait les partenaires à ne pas rester chacun de son côté — sera la mise en œuvre concrète du rattachement de l’UHA à l’UdS, le 1 er janvier 2013, « date, a rappelé le recteur, qui correspond à la mise en œuvre du nouveau plan quinquennal » liant les deux entités à l’État.
Mais, d’ici là, il faudra rédiger la convention de rattachement, objet d’un vote le 1 er mars 2012, « au plus tard ». Et tout est là, dans ce « contrat de mariage » qui définira « les modalités » d’un rapprochement, voulu « ambitieux » et portant sur tous les aspects de l’activité universitaire : les offres de formation, la recherche, l’organisation administrative, etc.
Le recteur, dont la présence se voulait garante de « la plus grande neutralité possible » dans l’organisation du débat, a insisté sur le fait que « les démarches partiront, à chaque fois, des instances légitimes », et tiendront compte de « la base de la communauté universitaire ». Une « cellule de coordination » sera créée, avec des « chefs de projets » qui définiront les champs dans lesquels les deux universités travailleront ensemble.
Mais, là encore, il s’agira d’une « cellule technique sans aucun pouvoir décisionnel » : chaque établissement conservera son autonomie, son conseil d’administration, son président. Au moins, dans un premier temps : « Pour l’instant, c’est le rattachement », a insisté le recteur.
Et la fusion ?

Et la fusion ? Alain Beretz, le président de l’UdS, a convenu : « J’en défends la perspective et, à moyen terme, ça me paraît souhaitable ». Alain Brillard, président de l’UHA, est nettement plus réservé et admet que le mot même peut « faire peur », tout en soulignant que « les réticences ne sont pas toutes au sud ».
À la fin du point presse, les élus FSU, qui ont été les seuls à s’abstenir lors du vote (avec un élu CGT), ont estimé que « les administrateurs de l’UHA en particulier ont réduit les aspirations de la présidence de l’UdS à aller plus vite à la fusion ». Eux auraient souhaité avancer plus vite sur le contenu et estiment la présidence de l’UHA trop prudente : « Ce qu’elle veut mettre dans le panier, c’est juste un développement de l’inter-universitaire » (qui existe déjà et dont les deux présidents se sont d’ailleurs félicités).
Pour le recteur, ce premier rattachement, en France, d’une université à une autre, souligne en tout cas l’existence d’un « modèle alsacien ». Et l’Alsace en a besoin, a-t-elle ponctué, en rappelant que l’attractivité du supérieur sur les jeunes était, ici, inférieur à la moyenne nationale.
http://www.lepays.fr/fr/images/logo_pays.gif Von Luc Marck. Die Direktoren der Université de Haute-Alsace und die der Universität Straßburg hat entschieden, zur Umsetzung der Verknüpfung der beiden Institutionen.
Am Ausgang der mehr als drei Stunden der Begegnung, einer Auflösung von ein paar Zeilen formalisierte gestern in Straßburg, was man als "das Engagement der Universität Straßburg und der Université de Haute-Alsace werden (siehe auch Elsass gestern)
. Mehr...

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STRATER PACA

"STRATER"Le projet STRATER a pour objectif de développer une vision territoriale du système d'enseignement supérieur, de recherche et d‘innovation à l'horizon 2020. Il vise donc à mieux articuler les stratégies des acteurs (Etat, collectivités), et des opérateurs (universités et organismes de recherche) au niveau d'un territoire (région, regroupement de régions, bassin économique).
Pour cela, les "éléments de diagnostic STRATER" ont été constitués par grand ensemble régional et présentent, sous l'angle d'une vision globale, un état des lieux de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation (chiffres, tendances, structuration des acteurs, forces et faiblesses). Ce sont des éléments sur lesquels les choix stratégiques en matière d'enseignement supérieur, de recherche et d'innovation s'appuieront. Ils ont vocation à être complétés par les différents acteurs de chaque territoire, et à servir de base à l'élaboration de visions stratégiques à l'horizon 2020, dans le cadre d'une large concertation.

STRATER
PACA
Des effectifs en formation continue dans le supérieur significatifs

En 2009, 15 360 stagiaires sont inscrits en formation continue dans les établissements d’enseignement supérieur publics de la région, hors Cnam, suivant la répartition 80% (académie d’Aix-Marseille) 20% (académie de Nice). Pour un chiffre d’affaires de 20,63 M€ (8,5% du poids national) généré par 4 308 127 heures stagiaires, la région se situe au 4e rang national. Par ailleurs, 1 800 stagiaires sont inscrits au Cnam, pour 242 256 heures stagiaires et 3,03 M€ de chiffre d’affaires (3% du poids national, 6e rang). Ce qui fait au total 11,5% du poids national.
En 2009, les universités de la région ont délivré 3 305 diplômes nationaux dans le cadre de la formation continue, dont 44% de diplômes de niveau II (Licence, Maîtrise) et 246 diplômes délivrés au titre de la validation des acquis de l’expérience (VAE), dont 63% dans l’académie d’Aix-Marseille. La région se positionne respectivement au 3e et au 2e rang national.
3e rang national pour le nombre d’apprentis inscrits dans l’enseignement supérieur avec une forte proportion de niveau III (Bac + 2)
En 2009-2010, la région compte 6 180 apprentis dans l’enseignement supérieur dont plus des 2/3 sont dans l’académie d’Aix-Marseille. Ils représentent 6,1% des effectifs nationaux et placent la région au 3e rang. On constate une proportion plus importante d’apprentis de niveau III (Bac + 2) dans l’académie d’Aix-Marseille (64,4%) que dans l’académie de Nice (54%) et supérieure de 7 points à la moyenne nationale (France 57,5%). À l’inverse, celle des apprentis de niveau I (Bac + 4) est plus élevée dans l’académie de Nice (30,7%, Aix-Marseille 23,7%, France 25,6%) et supérieure de 5 points à la moyenne nationale.
Préface

Le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche connaît de profondes évolutions (autonomie des universités, Opération Campus, rapprochement dans le cadre des PRES), qui ont généré une dynamique importante sur les différents sites, permettant aux universités de multiplier les partenariats avec leur environnement économique et social. Le programme « Investissements d’avenir » montre que, partout sur le territoire, les communautés scientifiques se sont mobilisées pour faire des propositions nombreuses et innovantes qui témoignent de l’extraordinaire capacité de transformation dont fait preuve le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche. Les projets ont vocation à structurer, pour les années à venir, la stratégie scientifique et pédagogique de nos établissements d’enseignement supérieur et de nos organismes de recherche...
3. LES PRINCIPAUX ENJEUX

Un environnement géographique et socio-économique riche et diversifié

La région Provence-Alpes-Côte d’Azur est constituée de territoires géographiques diversifiés et contrastés (mer, campagne, montagne, zones urbaines et zones rurales) et est dotée d’un patrimoine naturel et culturel qui favorise le développement d’activités à la fois spécifiques et globalement variées (industries, tourisme, culture, agriculture, santé...). Elle est composée de deux académies (Aix-Marseille et Nice) aux profils différents.
De nombreux sites de la région bénéficient d’une forte visibilité nationale et internationale dans des secteurs variés : activités marines et portuaires à Marseille et à Toulon, pétrochimie à Fos (Étang de Berre), aéronautique à Marignane, microélectronique et TIC à Aix-en-Provence et Nice Sophia Antipolis, nucléaire à Cadarache, aéroports internationaux de Marseille-Provence et de Nice-Côte d’Azur, festival d’Avignon, etc.
Malgré des progrès, les territoires et les métropoles ne disposent pas encore d’infrastructures de transport qui favorisent les déplacements infra-régionaux au sein même de l’ensemble Aix-en-Provence, Marseille et entre Aix-Marseille et Nice.
Avec un solde migratoire favorable, Paca conforte son classement au troisième rang national pour sa population. L’attractivité n’est pas limitée aux seniors, elle concerne notamment les actifs diplômés dont a besoin l’économie régionale. Cependant, le taux de chômage (11,2% au 4e trimestre 2009) est l’un des plus élevé des régions françaises (3e rang).
La variété et la richesse de l’environnement régional a conduit la quasi-totalité des organismes de recherche à développer d’importantes activités scientifiques en Provence-Alpes-Côte d’Azur. La présence de 11 pôles de compétitivité bien évalués atteste le dynamisme de la région dans de nombreux secteurs économiques, pérennes et innovants. L’économie régionale, fortement tournée vers les services, est en adéquation avec les évolutions de la société et le développement de ses territoires.
Un effort de visibilité pour mettre en valeur le potentiel de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation

La diversité et la richesse de la région trouvent leur expression – avec plus ou moins de cohérence – dans l’ensemble du dispositif d’enseignement supérieur et de recherche. Cependant, ses activités scientifiques et de formation souffrent encore d’un manque de visibilité globale, conséquence à la fois de la multiplicité des acteurs, de leur dispersion sur le territoire et d’une insuffisance de coordination de leurs stratégies de développement.
Le potentiel de recherche est important et la qualité des activités scientifiques est très bien reconnue dans la plupart des disciplines (près de 73% des chercheurs produisants sont dans des unités de recherche notées A ou A+).
Avec une qualité internationalement reconnue, Provence-Alpes-Côte d’Azur se distingue en Sciences exactes et en Sciences du vivant dans les sous-disciplines suivantes :« Astronomie, astrophysique », « Microbiologie et virologie, immunologie », « Mathématiques » et « Physique générale ». Par ailleurs, la région dispose d’un potentiel très important en Sciences humaines et sociales, notamment en Droit, sciences économiques et de gestion et en Psychologie ce qui devrait lui permettre de développer des thématiques de recherche transdisciplinaires et innovantes.
Certains sites ont su profiter des caractéristiques de leur environnement pour développer des thématiques de recherche adaptées (technologie marine, culture, agrosciences, énergie, risques…). Le projet Iter représente une opportunité qui pourrait avoir un effet majeur pour le développement de la recherche et de l’innovation régionale.
La région dispose de nombreux outils de coopération entre le monde économique et les opérateurs de la recherche publique, comme le montre le nombre de pôles de compétitivité, de pôles régionaux d’innovation et de développement économique solidaire (Prides) et de structures de transfert et de valorisation. Cependant, l’amélioration de la coordination de ces activités, soutenues par les collectivités territoriales, permettrait de mieux valoriser le potentiel scientifique de la région.
Une meilleure adéquation pourrait être trouvée entre les besoins du monde socio-économique et la
recherche publique en développant les formations d’ingénieurs, sous représentées en région Paca, et
en valorisant l’apport des Sciences humaines et sociales.
Une structuration de la recherche et de l’enseignement supérieur à consolider

La région est constituée de deux académies dont les établissements principaux ont développé des stratégies différentes. Deux projets ont été retenus dans le cadre de l’opération Campus : « Aix-Marseille Université » et « Nice Sophia Antipolis ». Le PRES « Aix-Marseille Université » vise la fusion en 2012 de ses trois universités et le projet de PRES « Université euro-méditerranéenne » oriente Nice et Toulon vers des collaborations internationales (Gênes et Turin).
La fusion des universités d’Aix-Marseille permettra la mise en cohérence des activités de recherche et de formation du site. Cependant, il reste à définir le positionnement des autres universités en tenant compte de leur spécificité : les priorités affichées de l’université d’Avignon, la participation à la préfiguration du PRES transfrontalier de l’université de Toulon et le projet de création d’un PRES local de l’université de Nice avec l’université Sud Toulon-Var, les écoles et les organismes de recherche implantés sur les deux départements de l’académie de Nice. De même, la concertation avec les organismes de recherche et les autres établissements d’enseignement supérieur de l’ensemble de la région serait à renforcer, en incluant des collaborations avec la Corse.
Une réflexion stratégique peut s’engager de manière globale à partir des grands axes thématiques portés par les établissements de la région, visant à promouvoir les complémentarités et à accentuer les spécificités d'excellence des différents sites. Cette structuration mériterait d'être examinée en relation avec les établissements des régions Languedoc-Roussillon et Rhône-Alpes en raison de leur proximité scientifique dans certains domaines...
Dix-neuf territoires ont été analysés, correspondant aux régions de la France métropolitaine et comprenant trois groupements de régions, effectués sur la base de leurs coopérations scientifiques. Alsace, Aquitaine, Auvergne, Basse et Haute Normandie, Bourgogne – Franche-Comté, Bretagne, Centre, Champagne-Ardenne, Corse, Ile de France: disponible courant juin 2011, Languedoc-Roussillon, Limousin – Poitou-Charentes, Lorraine, Midi-Pyrénées, Nord – Pas de Calais, Pays de la Loire, Picardie, PACA, Rhône-Alpes. Les territoires d’Outre‐mer font l’objet d’un exercice spécifique, StraTOM.

"STRATE"Il progetto strategico mira a sviluppare una visione del sistema territoriale di istruzione superiore, ricerca e innovazione nel 2020. Ha lo scopo di articolare meglio le strategie degli attori (statali, locali) e operatori (università, istituti di ricerca) in un territorio (regione, raggruppamento delle regioni, area economica).

STRATER PACA
Uno sforzo visibile per mostrare le potenzialità di istruzione superiore, ricerca e innovazione. Strutturazione della ricerca e dell'istruzione superiore per consolidare. Maggiori informazioni...

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