By Nels P. Highberg. Last week, the Chronicle published a series of articles about faculty salaries (go to this page, and you will find a list of links to the series of articles on the topic). I cringed when I saw them. Initially, I just decided to ignore them and move on to the end-of-semester tasks needing my attention. But the topic of faculty salaries kept needling at me, and I finally realized why. Academics have long been talking about ways to represent the reality of life as a graduate student, adjunct, tenured or tenure-track faculty member, or administrator to others fairly and ethically. We want to make sure that students know what they are getting into if they pursue a PhD. We want to make sure that legislators know what we actually do on a day-to-day basis as they enact laws and budgets shaping university life. We often feel like the realities of our lives do not align with what others think about our lives. And my concern is that articles about salary averages in any kind of general sense contribute to the warped image of life as a university professor.
La prostitution étudiante : Fantasme ou réalité ?

La prostitution étudiante fait aujourd’hui l’objet d’une attention particulière de la part des medias, car ce thème porteur mêle jeunesse, sexualité et argent. Il est cependant difficile de démêler le faux du vrai, le fantasme de la réalité, dans ce domaine.
Les chiffres font en effet, là encore, largement défaut. Ainsi, le chiffre de 40000 personnes prostituées étudiantes, avancé par le syndicat Sud-Étudiant, il y a quelques années, était, au dire même de ses représentants, non fondé. Il a d’ailleurs été démenti très rapidement par l’organisation elle-même, dont les membres avaient extrapolé ce chiffre à partir des données relatives à la précarité étudiante fournies par l’Observatoire de la vie étudiante. Les acteurs de la vie étudiante que la mission a auditionnés sont unanimes: la prostitution étudiante existe, dans des proportions toutefois non identifiées.
Plusieurs syndicats, notamment Sud-Etudiant et la Fédération des associations générales étudiantes (Fage), disent avoir reçu des témoignages de plusieurs étudiants se livrant à la prostitution. À l’inverse, l’Union nationale interuniversitaire (Uni) et l’Association de promotion et de défense des étudiants (Pde) ne font état d’aucun cas avéré. De la même façon, l’Union nationale des étudiants de France (Unef) n’a pas souhaité participer à la table ronde organisée par la mission d’information, afin de ne pas accroître la portée médiatique d’un phénomène que ce syndicat juge marginal.
En ce qui concerne les services universitaires de médecine préventive, seuls 3 services sur 59 font état de cas avérés. Ainsi, le service universitaire de médecine préventive de l’université Paris V – Descartes, qui draine près de 4 000 étudiants par an, n’a connu que deux cas avérés de prostitution étudiante ces dernières années. Mme Laure Boisjoly (54), psychologue au service universitaire de médecine préventive de l’université Paris VII – Diderot, n’a eu connaissance de cas de prostitution étudiante que de façon indirecte, via un collègue médecin qui officie également dans un centre de dépistage anonyme et gratuit, où il a été en contact avec des étudiants prostitués.
La mission d’information a également tenu à interroger les centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires (Crous) de France. M. François Bonacorsi, directeur du Centre national des œuvres universitaires et scolaires (Cnous), a indiqué à la mission d’information l’existence d’environ dix-sept cas de prostitution ou de conduite à risques au cours de ces trois dernières années, à Montpellier, Toulouse, Lille et Dijon. Le Crous de Lyon, entendu au cours d’un déplacement dans le Rhône, fait quant à lui état d’une dizaine de cas par an, sur 7 000 étudiants.
Toutefois, la faiblesse des chiffres avancés par ces organismes ne saurait être comprise comme le reflet d’une réalité finalement très marginale. En effet, il est difficilement concevable que les étudiants se confient spontanément aux personnels de santé et aux assistants sociaux sur ce sujet, qui relève de leur vie privée et qui est vraisemblablement porteur de tabous importants. Il est d’ailleurs révélateur que seul un médecin du service universitaire de médecine préventive de l’université Paris Diderot, officiant alors dans un centre de dépistage anonyme, ait eu connaissance de cas avérés, l’anonymat libérant probablement la parole.
Face à la pénurie de chiffres globaux, les enquêtes ponctuelles menées par différents acteurs (associations, sociologues, services universitaires de médecine préventive…) s’avèrent éclairantes. Par exemple, l’Amicale du Nid de Montpellier a mené une enquête en lien avec l’Université Paul Valéry – Montpellier III, qui fait apparaître que sur 651 étudiants interrogés, 13 ont déjà accepté de l’argent ou autre chose en contrepartie d’un acte sexuel (soit 2% des répondants). Ce chiffre, rapporté à la population étudiante totale, soit près de 2,3 millions de personnes d’après l’INSEE, pourrait faire apparaître une pratique prostitutionnelle étudiante relativement importante en termes absolus, de l’ordre de plusieurs dizaines de milliers d’étudiants.
De même, Mme Éva Clouet, dans le cadre d’un mémoire de sociologie publié en 2008, a mené une étude auprès des étudiants de médecine et de psychologie de deuxième année de l’université de Nantes. Il apparaît que sur 138 personnes ayant répondu au questionnaire, 4 étudiants affirment connaître, dans leur entourage, un ou une étudiante qui se prostitue. Ce chiffre doit toutefois être interprété avec précaution. En effet, le champ de l’étude étant restreint, il n’est pas impossible que ces quatre étudiants évoquent la ou les mêmes personnes prostituées.
Enfin, le service universitaire de médecine préventive de Poitiers a pu recueillir des données grâce à un questionnaire distribué à l’occasion d’une action de sensibilisation. Il ressort de ce questionnaire que près de 3% des 2622 étudiants interrogés ont déjà été confrontés, eux-mêmes ou leur entourage proche, à une situation de prostitution étudiante.
Là encore, la réalité est difficile à cerner. La prostitution étudiante existe bel et bien. Il est en outre possible que ce soit dans des proportions non négligeables en valeur absolue. Reste toutefois à en mesurer l’importance.
La prostitution des étudiants: concilier études et conditions de vie décentes
Le manque de moyens financiers est la principale motivation de la prostitution des étudiants. C’est ce que montre Mme Éva Clouet à travers le témoignage de Sandrine, étudiante en situation de prostitution. Cette jeune femme a choisi d’étudier l’architecture dans une grande école. Ses parents n’ayant que peu de moyens financiers du fait d’une situation de chômage prolongée, elle ne souhaite pas dépendre financièrement d’eux, et ce d’autant plus qu’un autre membre de sa famille les sollicite déjà sur le plan financier. Les bourses dont elles bénéficient ne lui permettent pas de subvenir à ses besoins. Bénéficiaire d’une bourse d’échelon 1, elle touchait 1200 euros par an seulement. Ainsi, pour assumer ses choix en matière d’éducation – elle aurait pu se contenter d’aller dans une université près de la ville de ses parents – elle se prostitue pour ne pas peser financièrement sur ses parents. C’est également ce que montre le témoignage anonyme de ce jeune homme: « Aucun étudiant sain d’esprit ne se prostitue par plaisir; quand on le fait, c’est qu’on est financièrement au pied du mur. On veut de l’argent pour payer le loyer et poursuivre ses études. »
Un second facteur intervient cependant pour motiver l’entrée dans la prostitution des étudiants, comme les syndicats étudiants représentés devant la mission en ont fait part à la mission: le temps. Les étudiants financièrement autonomes, qui ne dépendent pas ou peu de leurs parents, doivent étudier tout en gagnant de quoi vivre décemment. Or, les étudiants qui s’y adonnent perçoivent l’activité prostitutionnelle, notamment l’escorting, comme un moyen de consacrer plus de temps à leurs études, ce qu’un emploi étudiant classique, mal rémunéré, ne leur permettrait pas, pensent-ils. La réussite universitaire, qui demeure l’objectif premier, les conduit donc à préférer l’activité de prostitution, qu’ils considèrent moins chronophage, à un emploi de garde d’enfant ou de caissier. Le sentiment d’une flexibilité accrue et d’une plus grande compatibilité de cette activité avec un emploi du temps étudiant est un des éléments du choix fait par certains.
Ainsi, comme le résume Mme Éva Clouet, « la prostitution permet aux étudiantes escortes qui ressemblent à Sandrine de poursuivre leurs études dans des conditions matérielles favorables – les besoins quotidiens tels que le loyer ou la nourriture sont assurés – tout en leur laissant suffisamment de temps pour travailler leurs cours et espérer réussir leur année universitaire. »

Student prostitution is now the subject of special attention from the media because this central theme mixes youth, sexuality and money. It is difficult to disentangle the false from the true, the fantasy of reality in this area. Thus, the figure of 40,000 prostitutes students, advanced by the union South Student, a few years ago, was, even according to its representatives, unfounded. More...
L’enjeu aujourd’hui est de reconsidérer la mutualisation

1/ L’Amue lance plusieurs enquêtes visant à identifier les attentes et les besoins des adhérents, ainsi que sur les perspectives d’évolution économique et juridique de l’Agence. Quels vont en être les grands thèmes ?
Ce sont trois études qui sont actuellement en cours pilotées conjointement par l’Amue, la CPU et la CDC. Deux d’entre-elles, conduites par le cabinet Deloitte, portent sur la définition des attentes et des besoins de nos adhérents ainsi que sur la production d’un benchmark des activités de mutualisation existantes en France et à l’étranger. La troisième, d’assistance à maitrise d’ouvrage (AMOA), sera axée sur les perspectives d’évolutions économiques et juridiques de l’Agence. Pour celle-ci, un choix de prestataire est en cours. Ce dernier accompagnera l’Agence dans la mise en place de son nouveau plan stratégique et dans la façon de le mettre en œuvre tant du point de vue financier que juridique. L’enjeu aujourd’hui est de reconsidérer la mutualisation. Actuellement, les établissements d’enseignement supérieur, les adhérents de l’Amue, sont beaucoup plus autonomes, ce qu’ils n’étaient pas à l’époque de la création du GIGUE en 1992. Le modèle de développement de l’Amue doit donc évoluer. Il ne peut plus être cette démarche unique de modernisation des établissements comme c’était le cas à l’origine. L’Agence est aujourd’hui un réceptacle d’actions de mutualisation que les établissements ont décidé et qu’ils entendent contribuer à maîtriser. De ce point de vue là, le monde universitaire a intérêt à regarder quels sont les exemples de mutualisation réussis dans d’autres secteurs en France ou au sein des universités en Europe ou à l’international.
Au moment de la création de l’Amue, l’enjeu était de créer de nouveaux produits qui n’existaient pas, des outils financiers, de gestion de ressources humaines et de scolarité, adaptés à l’activité des universités. A l’heure actuelle, il existe une multitude de produits et les enjeux principaux appartiennent au champ de l’urbanisation, de la cohérence, des systèmes d’information mais aussi à ceux de la maitrise et de la domestication de ces outils. Le rôle de l’Amue n’est donc plus simplement celui d’être un éditeur ou un intégrateur, ni même d’accompagner la maintenance de ses logiciels. Elle doit désormais travailler en amont sur les processus, sur l’organisation et réfléchir au coté des établissements à leur stratégie. Interview complète.

Les Fiches pratiques de la Formation professionnelle

La formation des salariés : principes généraux
La protection sociale pendant la formation
La rémunération pendant la formation
La validation des acquis de l’expérience (VAE)
Le bilan de compétences
Le congé individuel de formation
Le contrat d’apprentissage
Le droit individuel à la formation
Le plan de formation
Les contrats de formation en alternance
Les contributions de l’employeur
Les formalités de création et de fonctionnement des organismes de formation
Les obligations de l’employeur
Les obligations des organismes de formation vis-à-vis des stagiaires
Les périodes de professionnalisation
PACTE (parcours d’accès aux carrières territoriales, hospitalières et de l’Etat)
Panorama des autres congés de formation
Exemple de fiche: La validation des acquis de l’expérience (VAE)
Synthèse
Reconnue par le Code du travail, la validation des acquis de l’expérience (VAE) permet de faire reconnaître son expérience notamment professionnelle ou liée à l’exercice de responsabilités syndicales, afin d’obtenir un diplôme, un titre ou un certificat de qualification professionnelle. Diplômes, titres et certificats sont ainsi accessibles grâce à l’expérience (et non uniquement par le biais de la formation initiale ou continue), selon d’autres modalités que l’examen.
A savoir
Avant de débuter une procédure de VAE, il est nécessaire de bien préciser son projet professionnel et de choisir la certification la plus adaptée. Informations et conseils peuvent être obtenus auprès de points relais conseil de proximité placés sous la responsabilité des conseils régionaux.
Sommaire
La VAE : à quelles conditions ?
Pour quels titres, quels diplômes ?
Le Répertoire national des certifications professionnelles : de quoi s’agit-il ?
La validation des acquis de l’expérience : quelle procédure ?
La VAE dans l’entreprise : selon quelles modalités ?

Taħriġ Impjegat: prinċipji ġenerali
Il-ħarsien soċjali waqt it-taħriġ
Kumpens waqt it-taħriġ
Il-validazzjoni ta 'esperjenza akkwistata (VAE). More...
The Matter of Faculty Salaries
Surveys of faculty salaries do matter to those who study academic culture at large, and such information can be useful in certain contexts. But, in general, I do wonder if such discussions do more harm than good. Faculty salaries vary greatly for a host of reasons we could barely list in an hour of brainstorming. And what counts as a “good” salary will vary, too. But isn’t that true of all fields? I am married to a lawyer who is quick to point out that attorney salaries vary incredibly from the $22,000 one makes annually in a nonprofit to the million another makes in a private firm. I have heard doctors say the same thing. And accountants. And engineers. I think it is pretty safe to say that you can pick almost any field and point to examples of those who make very little and those who make a lot. And whether or not that matters depends on the person and their own circumstances. Married, single, or in a polyamorous relationship? One child, two, none, adopted, biological, by marriage, toddler, or adolescent? Parents alive and able to help out financially or needing money themselves, dead and left behind an inheritance, debt, or nothing? Renting, owning, subletting, roommates, alone? Student loan debt or entering the job force late because of going to graduate school part-time while working to avoid debt?
C’mon, people. We know salaries matter, but we cannot know how they matter because of all the other factors involved. I am well aware that many universities have jobs in my field this year where the starting salary is higher than what I make now. I am also aware that my sister, who never went to college, makes three times more than I do with my PhD, two MAs, and BA. We do need to make it clear to anyone thinking of entering the professoriate that not only may they struggle to find a job, they cannot predict their salary if they get a job. Because of that, I wonder if we get too caught up in stories of averages and use them the wrong ways.
National Research Council Unveils Revised Doctoral Rankings
The National Research Council released on Thursday a revised edition of its 2010 rankings of American doctoral programs that corrects four types of errors discovered in the original report, which was issued last September. But the new rankings do not deal with certain other concerns that scholars have raised about the project.
In the revised edition, almost all programs' positions on the council's "ranges of rankings" have changed at least slightly, but in most cases the changes are not substantial. In a few academic fields, however, the numbers have changed significantly for at least 20 percent of the programs. Those include geography, linguistics, and operations research.
A spreadsheet of the new rankings is available for download at the council's Web site. The council has also released a separate, much smaller spreadsheet that summarizes the changes in programs' "R" and "S" rankings. R rankings reflect how similar a program is to the programs in its field with the strongest reputations. S rankings more directly reflect a program's performance on variables that scholars in the field say are most important, such as faculty research productivity or student diversity.
The new edition makes four kinds of corrections. The original report in many cases undercounted faculty members' honors and awards, the proportion of new graduates who find academic jobs, and the proportion of first-year students who are given full financial support. In nonhumanities fields, the report also used faulty data for faculty members' 2002 publications, which in turn caused errors in calculations of citation counts...
Attention, la télédéclaration des BPF des OF ne fonctionne pas comme prévu

Ces problèmes sont en cours de résolution au niveau national. Toutefois, dans l'attente et par précaution, il nous apparaît souhaitable de vous permettre de renseigner et nous renvoyer le document papier à l'aide de la version Pdf ci-jointe (cerfa et notice explicative).
Le délai de production du BPF est de fait reporté au 31 mai 2011. Dès la réouverture du portail de téléprocédure, les informations diffusées ci-dessous seront de nouveau valides.
Voir l'article du blog Télédéclaration des bilans pédagogiques et financiers des organismes de formation.
Quelques recommandations, Comptabilité séparée Si la formation professionnelle n'est pas votre activité unique, vous devez, en application de l'article L. 6352-7 du Code du travail, suivre d'une façon distincte en comptabilité l'activité exercée au titre de la formation professionnelle afin d'établir, en fin d'exercice, un compte de résultat spécifique à cette activité. A défaut, vous vous exposeriez à des sanctions pénales et (ou) financières.
Teleprocedure portált nyitott az amerikai külügyminisztérium április 4-én nem várt módon működnek. A mai napig, a Mission Control és a tudás a szakképzés DIRECCTE nem férhetnek hozzá a GMP már be online. Lásd a blog bejegyzést Télédéclaration egyenlegek oktatási és a pénzügyi képzéssel foglalkozó szervezetek. Még több...