Installation du comité stratégique des langues

Ce comité, composé d’experts et de personnalités reconnues dont Claude Hagège, Claude Bébéar et le Sénateur Jacques Legendre, aura pour mission de faire des propositions afin de donner une impulsion nouvelle à l’apprentissage des langues en France. La maîtrise de langues étrangères, notamment celle de l’anglais, est aujourd’hui une compétence fondamentale pour les élèves, aussi bien dans la poursuite de leurs études que pour faciliter la recherche d’un emploi en France ou à l’étranger et favoriser les échanges.
Le comité stratégique des langues a pour objectif de formuler des propositions concrètes visant à refondre l’enseignement des langues en France, dans une société de la connaissance et de l’information mondialisées. Aussi veillera-t-il à respecter la pluralité linguistique qui constitue une richesse culturelle. Ce comité se penchera sur la progression de l’acquisition et la maîtrise des langues de la maternelle au baccalauréat et sur d’éventuelles modifications de la répartition du volume horaire à chaque niveau afin de gagner en efficacité. Il envisagera notamment la question de l’apprentissage précoce des langues ainsi que l’apport des nouvelles technologies dans l’enseignement des langues. Enfin, la question de la mobilité des jeunes et des enseignants constituera un autre axe de la réflexion du comité. Un rapport d’étape sera remis au ministre au mois d’octobre prochain; le rapport définitif est attendu pour la fin 2011 en vue de propositions à la rentrée 2012. Composition du comité stratégique des langues. Lettre de mission du ministre à la présidente du comité stratégique des langues. Cadre européen commun de référence pour les langues.

Le droit à la formation des élus

Parmi les organismes de formation agréés par le Ministère de l'Intérieur, on trouve notamment la Faculté de Droit et de Science politique d'Aix Marseille III, l'I.P.A.G. de l'Université de Strasbourg, l'IEP d'Aix-en-Provence - Centre des élus locaux, l'IEP de Grenoble, l'IEP de Lille, l'IEP de Toulouse, l'IEP Paris, l'Université de Bretagne Occidentale, l'Université de Rouen Centre de Formation Continue et l'Université Jean Monnet.
• Pour quels élus ?
Le droit à la formation est ouvert aux membres d'un conseil municipal, d'un conseil général ou d'un conseil régional. Il est également reconnu au profit des membres des organes délibérants des communautés d'agglomération, des communautés urbaines et des communautés de communes.
• Modalités d'application
Les conseils municipaux, généraux et régionaux ont l'obligation de délibérer sur l'exercice du droit à la formation de leurs membres dans les 3 mois suivant leur renouvellement. Ils déterminent les orientations et les crédits ouverts à ce titre. Chaque année un tableau annexé au compte administratif récapitulant les actions de formation des élus financées par la collectivité donne lieu à un débat. Ces obligations s'imposent également aux organes délibérants des communautés urbaines, des communautés d'agglomération et des communautés de communes.
• Dispositions financières
Les frais de formation constituent une dépense obligatoire pour la collectivité ou l'EPCI. Tout élu qui se voit refuser le financement d'une formation par son exécutif peut saisir la Chambre Régionale des Comptes pour obliger celui-ci à satisfaire sa demande. Le montant des dépenses de formation ne peut excéder 20% du montant total des indemnités de fonction Susceptibles d'être allouées aux élus de la collectivité. Le caractère obligatoire de ces dépenses n'implique pas l'inscription de la totalité des crédits. Certaines collectivités locales, du fait de leurs difficultés financières ont tendance à limiter les dépenses de formation. Cependant il ne faut pas négliger la nécessité, pour les élus, pour l'exercice de leur mandat et pour la collectivité de se former. Cette dépense de formation doit être considérée comme un investissement pour l'exercice de la démocratie.
Ce droit à la formation s'exerce à condition que la formation soit dispensée par un organisme agréé par le ministre de l'intérieur. La liste de ces organismes peut être obtenue en s'adressant à la préfecture du département ou directement sur le site internet de la Direction générale des collectivités locales (DGCL)
Les frais de formation comprennent :
* les frais de déplacement, d'hébergement et de restauration, dont le remboursement s'effectue en application des dispositions régissant le déplacement des fonctionnaires,
* les frais d'enseignement,
* la compensation éventuelle des pertes de revenu justifiées par l'élu en formation, plafonnée à l'équivalent de 18 fois 8 heures, à une fois et demi la valeur horaire du SMIC, par élu et pour la durée du mandat.
• La dotation particulière élu local: une aide supplémentaire pour les petites communes.
Afin d'assurer aux petites communes les moyens nécessaires à la mise en oeuvre de la loi n° 92-108 du 3 février 1992 relative aux conditions d'exercice des mandats locaux, une dotation particulière a été créée. Cette dotation est plus particulièrement destinée à compenser les dépenses obligatoires entraînées par les dispositions législatives relatives notamment aux indemnités de fonction et aux frais de formation des élus locaux.
• Dispositions pratiques
La durée du congé de formation auquel ont droit les élus locaux est de 18 jours par élu et pour la durée du mandat, quel que soit le nombre de mandats qu'il détient. Les élus salariés comme les agents publics en bénéficient. L'élu salarié doit faire une demande écrite à son employeur au moins 30 jours avant le stage en précisant la date, la durée du stage et le nom de l'organisme de formation agréé par le ministre de l'Intérieur.
L'employeur privé accuse réception de cette demande. Si l'employeur n'a pas répondu 15 jours avant le début du stage, la demande est considérée comme accordée. En revanche, s'il estime, après avis du comité d'entreprise ou des délégués du personnel, que l'absence du salarié aurait des conséquences préjudiciables à la production et à la bonne marche de l'entreprise, la demande peut être refusée, à condition toutefois d'être motivée et notifiée à l'intéressé. L'élu salarié peut dans ce cas renouveler sa demande 4 mois après la notification du premier refus, l'employeur est obligé de lui répondre favorablement. Les élus fonctionnaires ou contractuels sont soumis au même régime mais les décisions de refus, s'appuyant sur les nécessités de fonctionnement du service, doivent être communiquées avec leur motif à la commission administrative paritaire au cours de la réunion qui suit cette décision. Dans tous les cas, l'organisme dispensateur de formation doit délivrer à l'élu une attestation constatant sa fréquentation effective, que l'employeur peut exiger au moment de la reprise du travail.

Között oktatási intézmények által jóváhagyott a Belügyminisztérium, milyen konkrét jogi karán és a politológia Aix Marseille III, a IPAG Strasbourgi Egyetem, az IEP az Aix-en- Provence - Központ a helyi tisztviselők, az IEP Grenoble, az IEP Lille, az IEP a Toulouse, a párizsi IEP, a University of Western Bretagne, a University of Rouen Központ Továbbképző és Egyetemi Jean Monnet. Még több...
Création et lancement du « Club de l’apprentissage »

Le club de l’apprentissage est lancé par Nadine Morano, ministre chargée de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle, jeudi 7 avril à 11h au Conservatoire national des Arts et Métiers.
Ce club, sera animé par les « porte-paroles de l’apprentissage », symboles de la réussite par l’apprentissage comme Guy SAVOY, Franck PROVOST, Gérard DOREY (Directeur exécutif Carrefour Proximité), Robert MAHLER (ancien Président France d’Alstom), Michel ROTH (chef au Ritz, Bocuse d’Or et Meilleur ouvrier de France), Patrick SCICARD (PDG de Lenôtre) ou encore Alain BARATON (jardinier en chef des jardins de Versailles). Ces personnalités auront pour mission essentielle de témoigner de leur expérience et de sensibiliser les jeunes sur les avantages de ce type de formation mais aussi de parrainer des apprentis.
L’association, le Club de l’Apprentissage
A l’occasion de l’annonce du plan d’urgence en faveur de l’emploi des jeunes, le Président de la République a rappelé l’importance de l’apprentissage qui constitue non seulement un moyen d’insertion immédiate dans l’emploi, mais aussi une voie de qualification permettant une insertion professionnelle durable.
Le Président de la République a de nouveau insisté, lors de son discours sur le plan en faveur de l’alternance, le 1er mars 2011 à Bobigny, sur la pertinence du recours à l’apprentissage pour les jeunes désireux d’intégrer rapidement le monde professionnel et pour les entreprises souhaitant avoir des salariés parfaitement formés aux besoins qu’elles rencontrent.
Pour accompagner la nouvelle dynamique de valorisation de l’apprentissage, des personnalités, anciens apprentis aujourd’hui reconnus par tous, ont choisi de s’engager aux côtés de la Ministre de l’Apprentissage.
C’est donc sous la forme d’une association, régie par la loi du 1er juillet 1901, qu’est né le Club de l’Apprentissage.
Les membres fondateurs du Club, dont Madame Nadine MORANO avait déjà évoqué les noms, sont: Alain BARATON, Jardinier en chef du château de Versailles, Gérard DOREY, Directeur exécutif de Carrefour proximité, Robert MAHLER, Retraité, ancien Président d’Alstom France, Franck PROVOST, Président Directeur Général du Groupe Provalliance, Michel ROTH, Chef cuisinier, Guy SAVOY, Cuisinier, Patrick SCICARD, Président du groupe Lenôtre.
Il s’agira pour l’association de développer et de promouvoir l’apprentissage auprès des jeunes, de leurs familles, des entreprises et de tous les acteurs de l’alternance.
Les membres de l’association ont pour mission de :
- Nourrir et animer un débat d’idées à partir des expériences professionnelles de ses membres et de ses porte-paroles.
- Impulser et faire prospérer un club et un réseau social des apprentis, destinés à donner une visibilité aux projets des apprentis, développer un réseau professionnel fort, apporter une information pertinente et actualisée en matière d’apprentissage, organiser des évènements…
- Participer aux déplacements en province, à des salons ou évènements majeurs en matière de promotion de l’apprentissage.
L’apprentissage est un moyen rapide d’insertion professionnelle, d’acquisition de compétences et de savoir-faire adaptés aux besoins des entreprises. Ensemble, poursuivons cette révolution culturelle de l’apprentissage! Le film de la matinée de lancement. Le dossier de presse du club de l’apprentissage. La biographie des membres du club de l’apprentissage (1è partie), (2è partie).

Il-klabb huwa mmexxi mill-tagħlim Nadine Morano, Ministru responsabbli għall-Tagħlim u Taħriġ, il-ħamis 7 April fil-11 fil-Konservatorju Nazzjonali des Arts et mestieri. Il-film tal-tnedija filgħodu. Il-klabb kit għall-istampa tat-tagħlim. Il-bijografija ta 'membri tal-klabb tagħlim (1 parti), (It-2 parti). More...
3000ème article sur le blog / Contrats d’apprentissage et de professionnalisation

Nicolas Sarkozy a déclaré la mise en place d'un système de "bonus-malus" pour favoriser l'embauche de jeunes en contrat de formation en alternance dans les entreprises de 250 salariés et plus. Deux grands types de contrats en alternance existent: le contrat de professionnalisation et le contrat d'apprentisage.
Selon une étude CEREQ (Centre d’Etudes et de Recherches sur les Qualifications), de nombreux acteurs jugent que le contrat d’apprentissage et le contrat de professionnalisation sont « parfaitement substituables » de par leurs dispositifs très proches et leurs nombreux points communs comme le cadre de la formation et sa durée.
Cependant, les 2 types de contrats comportent des caractéristiques distinctes, surtout quant au niveau de la formation préparée. Les contrats de professionnalisation concernent, pour la plupart des cas, des bacheliers ou des diplômés de l’enseignement supérieur alors que les jeunes sans qualification ou titulaire d’un CAP ou BEP sont plus tournés vers les contrats d’apprentissage. L’étude précise également « qu’il ne semble pas y avoir de vases communicants entre les différents modes d’accès à la qualification », autrement dit, il n’y pas de corrélation entre les deux types de contrats, la baisse des effectifs de l’un n’entraine pas une hausse de l’autre.
Enfin, pour le CEREQ, les contrats d’apprentissage et de professionnalisation sont tout deux des contrats spécifiques pour laisser aux entreprises le choix selon leur taille, leur organisation et leur métier. L'OPCA FAFIEC finance les contrats de professionnalisation des entreprises de la Branche sous certaines conditions. Consultez les critères de prise en charge pour en savoir plus.
Cet article est le 3000ème publié sur ce Blog. Le premier article a été mis en ligne le 4 mars 2008 et s'intitule Un forum de la Commission européenne pour promouvoir la coopération entre l’université et le monde des affaires.
Les autres repères du blog:
2500ème article sur le blog/Journées Nationales des MDE et des PLIE,
2000ème article sur le blog/Question Formation n°1,
1500ème article sur le blog/Seniors - le groupe SPB signe son accord,
1000ème article sur le blog/Fête de la musique dans les jardins du MESR,
500ème article sur le blog/L'archipel de l'ingénierie de formation,
1er article sur le blog/Un forum de la Commission européenne pour promouvoir la coopération entre l’université et le monde des affaires.

Nicolas Sarkozy szerint a rendszer létrehozását a "bonus-malus" előmozdítására bérleti fiatalok képzési szerződést felváltva cégek 250 vagy több főt foglalkoztató. Két fő típusa tanulmányi szerződések létezik: a profi szerződést és a szerződés a tanulás. Egy tanulmány szerint CEREQ (Központ Tanulmányok és kutatás képesítési), sok játékos érzi, hogy a tanulószerződés és a szerződés a szakember a "tökéletes helyettesítői" ezek eszközök nagyon közel, és azok sok hasonlóságot mutat a a képzés során és annak időtartamát. Még több...
Higher education qualifications
Universities and colleges offer both academic and work-related courses. Depending on the subject and the type of job you're interested in, you can gain one of many types of qualifications - higher education is not just about getting a degree.
Degrees
Degrees are higher education qualifications that help you develop a thorough understanding of a subject. There are several different types and a vast number of subjects to choose from.
Bachelors degrees
A bachelors degree (sometimes known as an 'ordinary' or 'first' degree) can lead to a qualification such as a bachelor of arts (BA), bachelor of science (BSc), or bachelor of medicine (MB). Depending on the subject you choose, it normally takes three or four years to complete full-time.
To find out more, see 'Bachelors degrees'.
Search for a higher education course Opens new window
Foundation Degrees
Foundation Degrees combine academic study with workplace learning. They are broadly equivalent to the first two years of a bachelors degree.
They provide a route into university or college for a broad range of students from many different backgrounds.
Foundation Degrees
Look for a Foundation Degree course Opens new window
Foundation Degrees: real-life stories
Higher degrees
Higher (also called postgraduate) degrees, diplomas and certificates usually require that you already have a bachelors degree. They lead to qualifications such as master of arts (MA) and master of science (MSc). See 'Postgraduate qualifications' to find out more.
Higher National Certificates (HNCs) and Higher National Diplomas (HNDs)
HNCs and HNDs are work-related courses provided by higher education colleges and further education colleges. They are available in a wide range of subjects from accounting to video production. Higher National Certificates and Higher National Diplomas.
Higher education diplomas and certificates
As well as HNCs and HNDs, you can study for a range of higher education diplomas in subjects as varied as accounting, construction, engineering, nursing, science, technology and textile design. They usually take two years. You can normally convert your higher education diploma to a degree with an extra year of study. Certificates of higher education are academic, rather than vocational qualifications. There are broadly equivalent to an HNC, and usually take a year of full-time study to complete. See a list of higher education qualifications.
Britain's higher education
The content covered in these pages applies to England only. Higher education policy for Northern Ireland, Scotland and Wales is covered by their respective parliaments and assemblies.
- David Willetts has received the final report of the Student Charter Group, which is being published today. Giving the Dearing lecture at the University of Nottingham, David Willetts thanked the Group's Chairs (Janet Beer and Aaron Porter) and encouraged HE Institutions (HEIs) and Students' Unions to use the good practice toolkit to refresh or develop their charters. A Student Charter acts as a front page for the range of information which universities and HE Colleges provide to students. It sets out what is expected of students, with a summary of what the HEI and Students' union will provide.
- On 10 February the Government made a Written Ministerial Statement, to announce Guidance to the Director of Fair Access for higher education and further details about the National Scholarship Programme. See Ensuring higher education is open to all for more information.
- The Government is taking forward two measures that formed part of the Higher Education reforms announced in November 2010. These measures respond to the Browne Review, and are part of the Department for Education-led Education Bill. The Education Bill was introduced to the House of Commons on Wednesday 26 January. To find out more visit www.education.gov.uk/educationbill.
- BIS is supporting the work of the Social Work Reform Board, led by the Department of Health and Department for Education, in taking forward recommendations that aim to improve the quality of entrants into social work and to develop a social work system that provides high quality services by social workers who are well supported, and in whom the public feels confident. The "first anniversary" report of progress made by the Board is available on the Social Work Reform Board website.
- Government announces plans for reform of higher education and student finance to maintain England's world class universities.