07 avril 2011

Le mag des PRIDES - N°1

http://www.initiatives.tv/images/banniere-initiatives.gifLe Mag’ des PRIDES vous donne rendez-vous tous les mois pour aborder plus en détail l’actu des 29 PRIDES de la région Paca.
Pour ce premier numéro, nous sommes allés à la rencontre du Pôle Trimatec, qui a mis en place une action éco-performance, afin de concilier performance industrielle et performance environnementale.
Cette formation à destination des TPE et PME se décline en 5 parties: ateliers collectifs, diagnostic environnemental, ateliers de mutualisation, Focus Groupes et accompagnement individuel. Cette action permet aux entreprises de bénéficier d’un appui technique et méthodologique pour mettre en oeuvre un plan d’action opérationnel et améliorer leur performance environnementale.
Le deuxième reportage vous emmènera à la découverte du Pôle Ea-Eco entreprises. Ce Prides est un acteur central de la filière de l’environnement au niveau régional et apporte son appui aux entreprises dans différentes étapes de leur développement, telles que l’innovation, l’export, la formation, etc.
http://www.initiatives.tv/images/banniere-initiatives.gifFiori all'occhiello Mag aspetto con impazienza di vederli ogni mese per discutere più in dettaglio i titoli dei 29 Prides regione PACA.
Per questo primo numero, siamo andati incontro al Polo Trimatec, che ha istituito l'eco-efficace azione di conciliare performance industriale e le prestazioni ambientali
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Les militaires se reconvertissent bien

http://www.uniongeneraliste.org/IMG/image/Sites/Acteurs%20publics.pngPar Maxime Gayraud. Créée en juin 2009, l'agence Défense Mobilité accompagne les personnels des armées dans leur retour à la vie civile. 15 000 militaires ont bénéficié de ses services l'an passé.
Il y a une vie après le travail. Et c'est encore plus vrai après une carrière dans l'armée, où l'âge moyen de départ est de 33 ans. C'est la raison d'être de l'agence Défense Mobilité, née en juin 2009 du regroupement de Terre Reconversion, Marine Mobilité et Air Mobilité. Chaque année, elle accompagne la transition professionnelle des personnels militaires et civils de la défense, ainsi que de leurs conjoints, vers le secteur privé ou la fonction publique. Une mission essentielle car, comme l'explique Jacques Roudière, directeur des ressources humaines du ministère de la Défense, “les militaires sont les seuls personnels publics gérés en flux, les autres étant gérés en carrière longue. On ne recrute bien que si l'on reconvertit bien”...
Pour accroître sa visibilité, une vaste campagne de communication orchestrée par Publicis vient d'être lancée, avec notamment un tout nouveau site Internet. “C'est une véritable démarche marketing auprès des entreprises pour promouvoir les compétences des militaires”, souligne Jacques Roudière...
Pour l'ensemble de ses missions de reconversion, l'agence dispose d'un budget de 50 millions d'euros et compte près de 700 employés. Une agence qui, à l'instar du ministère de la Défense, doit faire un effort de réduction de postes. “Nous avons déjà restitué 250 postes”, note le général Jean-Paul Martial. “Il s'agit de faire mieux avec moins de moyens”, ajoute Jacques Roudière, qui met en avant un taux de reclassement de 72 % contre 68 % en 2008. “Nous devons encore rendre 141 postes auxquels s'ajoutent 27 postes au CMFP de Fontenay-le-Comte”, précise le directeur de Défense Mobilité. Le taux d'encadrement restera tout de même bien supérieur à celui d'organismes comme Pôle emploi.
http://www.uniongeneraliste.org/IMG/image/Sites/Acteurs% 20publics.pngPermezz Maxime Gayraud. Stabbilit f'Ġunju 2009, il-Mobilità Aġenzija tad-Difiża li jakkumpanja armati personali fl-ritorn tagħhom għall-ħajja ċivili. 15 000 bbenefikaw mis-servizz militari tiegħu aħħar sena. More...

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Le formateur d’adultes, qui est-il ?

http://blogtfs.afpa1.host.privilis.com/wp-content/themes/default/images/bandeau_titre.gifPar Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. La période est riche en interrogation sur la professionnalisation des formateurs d’adultes. Les travaux de l’observatoire prospectif des métiers et des qualifications de la branche des organismes de formation privés (étude qualitative et quantitative relative aux métiers et à leurs évolutions – rapport final mars 2010) ou le prochain colloque du réseau national des Universités préparant aux Métiers de la Formation (12 et 13 mai 2011 à Avignon) abordent cette question qui n’est toujours pas tranchée. Le modèle de l’enseignant demeure très prégnant dans ce débat et occulte la figure plus brouillée du formateur-métier qu’il soit occasionnel ou permanent et dont la fonction est intimement liée à ses liens avec le monde du travail.
Le formateur d’adultes est d’abord défini par son métier d’origine et son appartenance à une famille professionnelle ou un secteur d’activité (BTP, plasturgie, comptabilité, etc.). C’est cette identité qui fonde sa légitimité et son rôle social et économique alors que le statut de l’enseignant tient à sa maîtrise de champs disciplinaires et académiques. La professionnalité du formateur repose sur sa maîtrise d’un champ professionnel donné et  la façon dont les personnes s’engagent et réussissent dans des processus d’apprentissage (mécanismes cognitifs, mémorisation, motivation, styles ou profils d’apprentissage, etc.). C’est ce mixte qui situe l’action du formateur dans la sphère du travail et de la formation. Il y a des personnalités qui aiment transmettre, accompagner, tutorer, etc. mais toujours dans des domaines particuliers. En fait c’est l’intérêt ou la passion pour une discipline, un métier, etc. qui génère l’envie de transmettre mais aussi de se perfectionner professionnellement… Former c’est aussi se former ! De ce point de vue la compréhension des mécanismes d’apprentissage est une optimisation de cet engagement et, bien évidemment, une garantie de réussite pour les personnes en formation. Or ces mécanismes d’apprentissage renvoient tout autant aux habiletés des personnes qu’aux contenus de formation : on n’apprend pas l’informatique en mobilisant les mêmes ressources que pour apprendre à nager ou à peindre. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas plusieurs façons d’apprendre l’informatique ou la peinture…
La notion d’efficacité pédagogique prend alors tout son sens et permet de comprendre les facteurs d’échec et de réussite dans l’acquisition du geste professionnel, des compétences clef et des savoirs d’action qui fondent l’exercice d’une activité professionnelle.
Se pose également la question du statut des formateurs, est-il préférable qu’ils soient maintenus dans leur activité professionnelle et mobilisés ponctuellement comme formateurs (par exemple à mi-temps comme dans certaines entreprises du système dual allemand) ou détachés comme formateurs permanents pour plusieurs années ? En réalité ces options dépendent d’abord du choix des secteurs professionnels et des systèmes institutionnels dominants. Il est clair que l’éloignement des lieux de production soulève les questions de la détérioration des compétences techniques et des modalités de ressourcement des formateurs. Mais la double activité (professionnel et formateur) comporte également des risques d’enfermement dans une approche étriquée de la formation professionnelle réduite à un tutorat amélioré centré sur l’adaptation au poste de travail. C’est pourquoi il est nécessaire pour un organisme de formation de pouvoir s’appuyer sur des statuts de formateurs différents selon les objectifs. L’Université a d’ailleurs intégré la nécessité d’avoir à la fois des enseignants permanents et des enseignants associés issus du monde du travail. Dans le champ de la formation professionnelle des adultes, les maîtres d’apprentissage, les tuteurs, les formateurs occasionnels d’entreprise ou les formateurs-métiers permanents comme ceux de l’AFPA, sont autant d’expressions des processus organisés de la transmission des savoirs professionnels. Ils sont tous porteurs et représentatifs des compétences qui se construisent dans le travail et se rediffusent de mille façons dans les communautés professionnelles. La bonne insertion et intégration professionnelle des jeunes et des embauchés dépend de la qualité de cette dynamique. Mais celle-ci consiste aussi pour tous ces professionnels à une réappropriation de leurs métiers et du travail sous l’angle de la logique formative, par exemple :
    * distinguer les processus informels d’apprentissage des processus formalisés,
    * évaluer ce qui se joue dans les pratiques d’alternance en termes de dynamique et d’interaction entre un organisme de formation et les entreprises,
    * comprendre les vertus apprenantes des TIC et des réseaux sociaux du WEB.
http://blogtfs.afpa1.host.privilis.com/wp-content/themes/default/images/bandeau_titre.gif By Paul Santelmann, Head of Forecasting at AFPA. The period is rich in questioning the professionalism of adult educators. The work of the Centre-forward trades and qualifications in the sector of private training organizations (qualitative and quantitative study on the trades and their development - final report March 2010) or the next conference of the National Network of Universities preparing Professions Training (12 and 13 May 2011 in Avignon) discuss this issue still not resolved. The model of the teacher remains very prominent in this debate obscures the more blurred figure of the trainer-business whether casual or permanent, whose function is intimately linked to its ties with the world of work... The University has also incorporated the need for both permanent teachers and associate teachers from the world of work. More...

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Rapport du CNFPT sur la mise en oeuvre du DIF

http://www.cariforef-mp.asso.fr/template/cariforef/img/logo.gifLe CNFPT vient de publier un Rapport sur la mise en oeuvre du droit individuel à la formation 2008-2009.
Le Cnfpt (Centre national de la fonction publique territoriale) publie une étude sur les deux premières années (2008 et 2009) de mise en oeuvre du DIF (Droit individuel à la formation), dans la fonction publique territoriale. Elle porte sur 10 000 conventions exploitables et complètes. 
L'étude observe notamment que la classe d’âges des 40 à 49 ans, la plus nombreuse dans la Fonction publique territoriale, est également celle qui a le plus fait valoir son nouveau droit à la formation. A l’inverse les classes d’âges les plus jeunes (moins de 29 ans) et les plus âgées (50 ans et plus) ont moins utilisé leur DIF. Il apparaît également que les agents des catégories C sont de loin, les plus nombreux à avoir eu recours au DIF.
Les caractéristiques du DIF dans la fonction publique territoriale sont les mêmes que dans les branches professionnelles du secteur privé ou dans les autres fonctions publiques. Dans la fonction publique territoriale les actions accessibles au DIF peuvent recouvrir les actions de perfectionnement et celles de préparation aux concours et examens professionnels. Les actions de lutte contre l’illettrisme et pour l’apprentissage de la langue sont également accessibles par le DIF dans la mesure où elles ont un caractère professionnel.
Dans les autres fonctions publiques les actions d’accompagnement des démarches de VAE ou de bilan de compétences sont aussi formellement accessibles par le DIF. Ce n’est pas dit explicitement dans la loi fonction publique territoriale. Mais au vu de la définition de la formation professionnelle du décret du 26 décembre 2007, cette extension du champ du DIF devrait être possible. Télécharger le Rapport DIF CNFPT.
http://www.cariforef-mp.asso.fr/template/cariforef/img/logo.gif A CNFPT csak közzé végrehajtásáról szóló jelentést az egyes képzéshez való jog 2008-2009.
A CNFPT (National Center for Public hatóság) kiadott egy tanulmányt az első két évben (2008 és 2009) végrehajtása DIF (egyéni képzés) a területi közszolgálati.
Ez magában foglalja 10 000 megállapodások működőképes és teljes.
A tanulmány azt is megállapította, hogy a korosztály 40-49 év, a legnagyobb a közterület, az is az egyik, hogy többet tett, mint azt állítják, az új képzéshez való jogot. Ellentétben a fiatalabb korosztály (a 29 év) és a legidősebb (50 éves és idősebb) használták kevesebb a DIF. Úgy tűnik továbbá, hogy az ügynökök a C kategóriában messze a legvalószínűbb, hogy használják a DIF
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Gouvernances de l'éducation, de la formation et de l'emploi, GEFE

http://calenda.revues.org/images/logo_calenda_425X65.pngSéminaire annuel du laboratoire GEFE (gouvernances de l'éducation, de la formation et de l'emploi). Programme. Jeudi 26 mai (12h30-14h30)
LA GOUVERNANCE DES RELATIONS FORMATION EMPLOI. Par JOSÉ ROSE, Professeur de sociologie à l’Université de Provence, membre du LEST-CNRS, Directeur scientifique du Céreq de 2003 à 2008.

L’éducation, la formation et l’emploi sont trois domaines distincts mais reliés par différents enjeux, discours et acteurs communs. Il nous paraît donc utile de les aborder ensemble dans le cadre de l’axe de recherche du Largotec intitulé GOUVERNANCE MULTINIVEAUX ET POLITIQUES PUBLIQUES et avec l’objectif d’étudier la gouvernance et ses évolutions en actes. Différentes questions et hypothèses sont au cœur du séminaire de recherche que nous tiendrons durant l’année 2011.
A priori, il existe de nombreuses interactions entre les trois domaines : l’éducation au sens le plus général du terme inclut des actions de formation même si elle ne s’y limite pas, la formation s’appuie notamment sur des méthodes éducatives même si elle en emprunte d’autres, l’éducation et la formation préparent à l’emploi même si ce n’est pas son seul objectif, l’emploi constitue un moyen de se réaliser sur la base de ce que l’on a appris même s’il repose aussi sur d’autres mécanismes. La complémentarité apparaît explicitement dans l’affirmation fréquente dans le débat public de besoins répétés de formation pour permettre aux individus de s’adapter à l’emploi (modèle adéquationniste français), dans l’accusation du système éducatif pour expliquer les difficultés d’insertion des jeunes dans l’emploi ou dans la façon dont se sont développés les stages comme outil à la frontière des trois domaines. Au niveau européen et international, divers organismes (Commission européenne, Banque mondiale, OCDE) pensent explicitement les liens entre ces domaines et invitent fortement les pays membres à développer l'apprentissage tout au long de la vie, au point que certains concluent à l'existence d'un « nouvel ordre éducatif mondial » et à l'épuisement des catégories d'action publique traditionnelles.
Faut il dès lors en conclure que les gouvernances publiques et privées de l’éducation, de la formation et de l’emploi revêtent des caractéristiques similaires ou qu'au contraire elles empruntent des voies institutionnelles et des modes de régulation divergents ? Comment penser les articulations entre ces domaines et quelles sont leurs conséquences en matière de conduite de l'action publique ?
La démarche proposée consiste à réfléchir à partir de communications assises sur des travaux de recherche portant sur des domaines précis pour monter ensuite en généralités au moyen d’échanges. Cela suppose de confronter une diversité de disciplines, d’approches et de terrains d’analyse comme le Largotec en a l’habitude. Par ailleurs, les comparaisons internationales, et notamment entre pays européens constituent un axe important de recherche et de réflexion.
http://calenda.revues.org/images/logo_calenda_425X65.png Annwali Seminar ta 'l-Gefe Laboratorju (governanza ta' edukazzjoni, taħriġ u impjieg). Program. IL-ĦAMIS 26 Mejju (12h30-14h30)
Permezz JOSE ROSE, Professur tal-Soċjoloġija fl-Università ta 'Provence, membru tal-LEST CNRS, Xjentifika Direttur Céreq 2003-2008
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Challenges and Practices in the European Higher Education and Research Area

http://www.2e2f.fr/images/elements/logos/logo-Bologne.pngLes partenariats internationaux de formation: enjeux et pratiques dans l’espace européen de l’enseignement supérieur et de la recherche, 19 et 20 mai, Lille.
International Joint Programmes: Challenges and Practices in the European Higher Education and Research Area

L’agence Europe-Education-Formation France et l’équipe française des experts de Bologne poursuivent le cycle de débats sur  la mise en place de l’espace européen de l’enseignement et de la recherche autour des questions liées au cadre des certifications,  aux innovations pédagogiques,  à la mobilité européenne et à l’attractivité internationale.
C’est dans ce cadre qu’une conférence européenne est organisée les 19 et 20 mai à Lille pour  réfléchir sur les enjeux stratégiques que constituent la création des formations en partenariat international et proposer des exemples de bonnes pratiques.
Des tables rondes permettront de présenter les concepts , la diversité des pratiques des formations conjointes existantes, de comprendre leur impact sur l’innovation pédagogique, la recherche de compétences nouvelles pour les étudiants et les entreprises.
Ces deux journées sont ouvertes à toutes les institutions d’enseignement supérieur de l’Espace européen, spécifiquement aux responsables institutionnels en charge de la formation (master et doctorats), aux responsables pédagogiques qui élaborent les programmes d’enseignement, les enseignants et administratifs amenés à participer à des formations en partenariat international. Ces journées concernent également les organisations locales ou régionales qui ont pour mission d’accompagner les formations à l’international. Téléchargez le programme. Click here to download the english programme version.

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Opération campus : Pécresse distribue les enveloppes à Paris

http://www.latribune.fr/static/menunew/header_new/logo_tribune_sector.gifPar Clarisse Jay. La ministre de l'Enseignement supérieur a annoncé ce mercredi la répartition de la dotation de 700 millions d'euros entre les pôles parisiens dans le cadre de l'opération campus.
Enfin ! C'est un peu ce qu'ont dû penser les présidents des universités parisiennes à l'annonce de la répartition de la dotation de 700 millions d'euros qui leur revient dans le cadre de l'opération campus qui doit consacrer 5 milliards d'euros à la rénovation et à l'émergence de 12 grands pôles universitaires . Ce plan a pourtant été lancé... en février 2008 et la plupart des projets de pôles universitaires sélectionnés ont été informés de leur enveloppe courant 2009.
Alors, pourquoi Paris a-t-il dû attendre si longtemps ? Tout d'abord, les universités parisiennes ont mis du temps à s'entendre : pas facile d'organiser les regroupements intra-muros entre 8 d'universités et une vingtaine d'écoles totalisant 300.000 étudiants et 272 sites aux propriétaires différents (Région, Etat, Ville de Paris) ! Après des mois de tergiversations, la ministre de l'Enseignement supérieur a mis le holà en demandant à Bernard Larrouturou un rapport sur l'immobilier universitaire parisien, véritable imbroglio géographique et patrimonial. Résultat : un schéma directeur préconisant le regroupement des établissements en trois pôles et un objectif de seulement 45 sites. Finalement, ce sont quatre pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) qui se sont constitués, ces même pôles qui se portent candidats en ce moment aux appels à projet du grand emprunt (laboratoires d'excellence, initiatives d'excellence...). Seul un avait eu le privilège d'être informé du montant de son enveloppe, en février 2010 : le PRES « Sorbonne Paris Cité » (Paris 5, Paris 7, Sciences Po...), qui a obtenu 200 millions d'euros.
75 millions d'euros versés dès 2011

C'est donc le reste de la répartition qu'a annoncé Valérie Pécresse ce mercredi : 130 millions d'euros reviendront au pôle « Sorbonne Universités » (Paris 2, 4 et 6) ; 100 millions d'euros au PRES « Hesam » (Paris 1, ESCP Europe, Cnam) et enfin 200 millions seront dévolus à la vie étudiante, volet phare du plan Campus. Ces 200 millions seront en grande partie dédiés à l'amélioration des fameux « resto U » qui ont laissé des souvenir impérissables à des générations d'étudiants (150 millions permettront de créer d'ici à 2016 seize sites supplémentaires permettant de passer de 9.300 à 13.300 places assises), 50 millions étant destinés à la construction de 1.200 logements à la Cité universitaire qui seront en majorité réservés aux étudiants étrangers.
Les présidents d'universités se sont montrés satisfaits même si nombre d'entre eux estiment que toutes les réhabilitations dont ils ont besoin nécessiteraient plus. Car leurs dotations - c'est le principe de l'opération Campus et du grand emprunt - sont non consommables et seuls les intérêts pourront être utilisés pour payer les loyers de partenariats public-privé (PPP). Du très long terme donc. Les premiers PPP ne devraient ainsi démarrer qu'en 2012. Mais pour répondre à l'attente des universités, la ministre a annoncé que les premiers revenus produits, soit 75 millions d'euros, seraient versés dès 2011 pour « lancer les 10 premiers chantiers ». Elle a cependant regretté une fois de plus que les collectivités locales, en l'occurrence la Région Ile-de-France et la Ville de Paris, ne se soient pas engagées comme ailleurs en France à mettre 1 euro pour chaque euros de l'opération Campus. Sachant que tout confondu, l'Etat chiffre ses investissements dans l'immobilier universitaire parisien à 1,7 milliard d'euros sur 2007-2013. « Des dossiers se sont débloqués,mais il n'y a aujourd'hui pas d'engagement de la Ville et de la Région au-delà du contrat de plan Etat-Région (CPER) », a-t-elle lancé, précisant que les 21 autres régions métropolitaines avaient, elles, signé une convention avec l'Etat.
La réaction de la Région ne s'est fait attendre. « L'Ile-de-France est une région atypique par rapport aux autres et souffre d'inégalités territoriales. Nous totalisons 17 universités et souhaitons aider les plus défavorisés. Dans ce contexte, nous souhaitons intervenir d'une autre façon », a estimé Isabelle This Saint-Jean, vice présidente de la région en charge de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, interrogée par La Tribune. Illustration de ces tensions entre Etat et Région sur le sujet, le bras de fer qui se joue sur le financement du campus Condorcet, heureusement en voie de règlement.
http://www.latribune.fr/static/menunew/header_new/logo_tribune_sector.gifÁltal Clarisse Jay. A felsőoktatási miniszter bejelentette szerdán eloszlása ​​elosztásának 700.000.000 € a pólusok között Párizsban részeként a campus művelet.
Végre!
Ez egy kicsit, hogy meg kellett gondolni, mi az elnökök az egyetemek Párizsban a bejelentését a kiosztott támogatás 700 millió euró jogos része a campus művelet kell kiosztani 5000000000 euró a felújítás és a feltörekvő 12 fő egyetemi központokban.Ce plan a pourtant été lancé... 2008 februárjában, és a legtöbb kiválasztott projektek egyetemi központok tájékoztatást kapjanak a kiosztási 2009-ben. Még több...

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Fusion CRP-CTP: les propositions de l'Etat

Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes)Dans la perspective de la fusion annoncée du contrat de transition professionnelle (CTP), mis en place par l'Etat et de la convention de reclassement personnalisée (CRP), définie par les partenaires sociaux, le ministre du travail a adressé à ces derniers un certain nombre de propositions pour l'élaboration d'un nouveau dispositif de reclassement des salariés licenciés des entreprises de moins de 1000 salariés. Le système unifié devra entrer en vigueur dès le 1er juin 2011 ; l'accord sur la CRP ayant été prolongé jusqu'au 31 mai (le CTP devrait l'être aussi).
Le ministre retient des dispositifs existants le principe de la sécurité financière assurée par l'allocation spécifique versée sur une durée maximale de 12 mois et l’intérêt de la construction d’un parcours de reclassement alternant des mesures d’accompagnement intensives, des phases de formations et des périodes au sein d’entreprises ou d’organismes publics.
L’offre de services sera mise en oeuvre par Pôle emploi et les autres opérateurs sur la base d'un cahier des charges convenu entre l'Etat et les partenaires sociaux. L’Etat pourrait financer la moitié du coût de l’accompagnement et des allocations spécifiques versées aux adhérents ayant entre 1 et 2 ans d’ancienneté dans l’entreprise (si l'ancienneté retenue pour le nouveau dispositif est fixée à 1 an ; elle est actuellement de 2 ans pour la CRP et il n'y a pas de condition pour le CTP).
"Le dynamisme du partenariat local sera une clé déterminante de la réussite afin que les actions engagées reposent sur une bonne connaissance du tissu économique, du besoin des entreprises, de la situation du marché du travail local et de l’action des acteurs de la formation et du développement économique". Aussi propose-t-il de définir les modalités d'un pilotage assuré conjointement aux niveaux national et territorial par les partenaires sociaux et l’Etat, en y associant l’ensemble des partenaires opérationnels et les autres financeurs éventuels.
Logo de l'Agence Régionale de la Formation tout au long de la vie (ARFTLV Poitou-charentes) Fid-dawl ta 'l-għaqda tat-tħabbir tal-ftehim tranżizzjoni impjieg (SOC), stabbilita mill-Istat u l-ftehim rijallokazzjoni personalizzati (CRP), iddefinit mill-imsieħba soċjali, il-Ministru tax-Xogħol għandu bagħtitilhom numru ta 'proposti għall-iżvilupp ta' strument ġdid għal rijallokazzjoni ta 'impjegati stabbiliti barra mill-kumpaniji b'inqas minn 1,000 impjegat. Is-sistema unifikata se jidħlu fis-seħħ mill 1 Ġun 2011 l-Ftehim dwar CRP ġiet estiża sal-31 ta 'Mejju (CTP għandu jkun wisq). More...

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The second EUIMA – Full Costing study visit

http://www.eua.be/fileadmin/templates/event/img/layout/logo.gifAs part of the EUIMA – Full Costing project which aims to enhance the development of full costing in European universities, EUA welcomes expressions of interest to participate in the second study visit at Technische Universität Dresden on 20-22 June 2011.
The study visit, which is limited to 40 participants, allows European university leaders, managers and administrators to learn about the implementation of full costing from an institution already well-advanced in this process and to use the experience gained to implement full costing at their universities. Through hands-on advice from different management levels at the host institution, with input from other German and international experts, this one and a half day event will offer participants the opportunity to improve their skills in a range of processes needed for the implementation of full costing at institutional level. For more information about participating in the study visit, please see the Call for expressions of interest. To learn more about other upcoming activities in the project, please see the EUIMA – Full Costing website.
See also: Contribution to the implementation of full costing in France, CPU, AMUE, EUA: Universities Implementing Full Costing, Universities Implementing Full Costing, Universities Implementing Full Costing, Les coûts complets au service du pilotage.

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