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Formation Continue du Supérieur
19 février 2011

Lancement officiel du site du 50ème anniversaire de l’AUF

http://auf-50ans.org/IMG/logo.pngL’Agence universitaire de la Francophonie, fête cette année ses cinquante ans d’existence. L’adresse du site est la suivante: http://auf-50ans.org/.
L’année 2011 marque le 50e anniversaire de l’Agence universitaire de la Francophonie. Évènement majeur dans l’histoire de notre institution, cet anniversaire sera l’occasion de célébrer l’AUF en tant qu’agent fédérateur de la communauté scientifique et académique francophone. Se situant dans un contexte planétaire, ces événements, qui s’étaleront tout au long de l’année 2011, se tiendront sur tous les continents où l’AUF comme la Francophonie, est présente.
À cette occasion, l’Agence est fière de vous annoncer que le site Web accompagnant cet événement est désormais en ligne. Il permettra de connaître le programme détaillé des activités prévues. Les manifestations qui ponctueront cette célébration seront illustrées à travers un ensemble d’articles, de communiqués, d’allocutions, de photos et de vidéos. Ces célébrations permettront de mettre en lumière, tout en les valorisant, les réalisations de l’Agence, unique opérateur de la Francophonie pour l’enseignement supérieur et la recherche. L’AUF vous invite à prendre part à cet événement en étant nombreux à visiter ce site et vous convie à contribuer à son enrichissement et à son évolution.
Pour marquer son 50ème anniversaire, l’Agence a lancé un jeu-concours autour du thème : « Qu’est ce que ma francophonie ? ».
L’AUF informe que les résultats des gagnants de ce concours seront communiqués le 20 mars 2011, date commémorative de la Journée internationale de la Francophonie. L’annonce des résultats et des gagnants sera effectuée par affichage aussi bien sur le site institutionnel de l’Agence: http://www.auf.org/ que sur le site du 50ème anniversaire de l’AUF : http://auf-50ans.org/.
Les gagnants seront informés personnellement par courrier électronique.
Rappelons que les prix de ce concours étaient les suivants :
* 1er prix : Une invitation à participer à la manifestation du 50ème anniversaire de l’AUF à Montréal (Canada) : 1 aller retour Ville d’origine – Montréal (Canada) avec hébergement et frais de restauration pris en charge par l’AUF, selon les modalités en vigueur à l’Agence.
* 2ème prix : Une invitation à participer à la manifestation du 50ème anniversaire de l’AUF à Paris : 1 aller retour Ville d’origine – Paris (France) avec hébergement et frais de restauration pris en charge par l’AUF, selon les modalités en vigueur à l’Agence.
* 3ème prix : 1 mini-ordinateur portable (processeur : 1.66Ghz, mémoire vive : 1Go, stockage : 250Go, écran : 10.1 ").
http://auf-50ans.org/IMG/logo.png Ajans inivèsite la Francophonie, fèt ane sa a li senkant lane ekzistans. Adrès sit la se sa: http://auf-50ans.org/.
Ane 2011 mak la 50e anivèsè Ajans inivèsite la Francophonie
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18 février 2011

Rapport du suivi de la LRU

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/img/logo-documentation-francaise.gifRapport 2010 du comité de suivi de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités (article 51 de la loi n°2007-1199 du 10 août 2007)
La loi n° 2007-1199 du 10 août 2007 relative aux libertés et responsabilités des universités a prévu la création d'un comité de suivi chargé d'apporter des éléments d'appréciation sur sa mise en oeuvre et son application. Créé par l'article 51 de la loi, ce comité est régi par le décret n° 2008-72 du 23 janvier 2008. Le comité s'est plus particulièrement intéressé aux cinq aspects suivants: le pilotage et l'administration des établissements, le recrutement des enseignants-chercheurs, les pratiques d'évaluation, la représentation étudiante et l'insertion professionnelle. Télécharger le rapport.
RECOMMANDATIONS 2010

1. Offrir aux personnels d’encadrement des formations de haut niveau adaptées aux exigences nouvelles issues de la loi LRU.
2. Assurer, dans chaque établissement, une formation des élus des différents conseils, tout particulièrement des administrateurs, pour une bonne compréhension des enjeux et du poids des décisions à prendre par le CA.
3. Définir, à titre provisoire, les principes et mécanismes d’actualisation de la masse salariale.
4. Dresser un bilan des principaux constats sur la certification des comptes.
5. Préparer sans plus attendre « l’après-RCE » par une réflexion prenant en compte
l’identification, l’analyse et l’anticipation des risques à moyen et long termes.
6. Mettre en pratique la possibilité de délégation pour recentrer sur les questions politiques et stratégiques les ordres du jour du CA et ainsi en respecter la mission.
7. Revoir les modalités d’exercice du droit de suffrage pour les personnels enseignants-chercheurs et enseignants titulaires qui effectuent un nombre d’heures d’enseignement très faible dans un établissement autre que celui dans lequel ils sont affectés.
8. Conforter la place et le rôle du conseil scientifique (CS) et plus encore du conseil des études et de la vie universitaire (CEVU).
9. Organiser au sein de l’établissement communication et concertation internes afin d’accroître les liens entre l’équipe de direction et les membres de la communauté universitaire pour une meilleure perception des enjeux et compréhension des évolutions et par là-même favoriser l’adhésion à un projet collectif.
10. Garantir au sein de l’établissement la pérennité du lien entre formation-recherche, quel que soit le choix de structuration.
11. Veiller en interne à la transparence des procédures et des critères de recrutement des enseignants-chercheurs.
12. Assurer une large publicité à l’étranger des postes d’enseignants-chercheurs offerts au recrutement, du calendrier et des procédures, en mobilisant tous les dispositifs de diffusion et les services internationaux.
13. Mettre en oeuvre la mission confiée à l’AERES de validation des procédures d’évaluation des personnels des établissements d’enseignement supérieur et de recherche.
14. Faire primer au sein de l’établissement les projets de développement liés aux missions scientifiques et pédagogiques, en veillant à la qualité des procédures d’évaluation internes et au respect des résultats des évaluations externes.
15. Reconnaître et valoriser l’engagement et les responsabilités des VPE.
16. Veiller en interne à une bonne articulation des actions du BAIP et des dispositifs déjà bien implantés dans différentes composantes.
17. Assurer non seulement une meilleure lisibilité de l’offre de formation avec une déclinaison des diplômes en compétences professionnelles mais aussi une réelle diffusion de cette traduction rendue accessible au monde économique.
18. Identifier et mutualiser les expériences de bonnes pratiques mises en oeuvre dans le cadre des BAIP.
19. Poursuivre et faire connaître le travail conduit en partenariat universités-entreprises pour une réelle reconnaissance du doctorat.
20. Se doter d’indicateurs pertinents et homogènes pour assurer le suivi de l’insertion professionnelle et en faire une analyse reposant sur une méthode fiable.
21. Définir le niveau d’engagement et le mode de régulation de l’Etat dans le cadre de la nouvelle autonomie résultant de la loi LRU.
22. Revoir la nécessité créée par l’article 14 de la loi LRU (article L.713-1 du code de l’éducation) d’inscrire dans le contrat (éventuellement dans un avenant) la création, la suppression ou le regroupement de composantes.
23. Elaborer la carte des formations supérieures définie à l’article L.614-3 du code de l’éducation et mentionnée à l’article 17 de la loi LRU (article L.711-1 du code de l’éducation).
24. Réfléchir à un échéancier permettant de ne pas figer sur cinq ans les résultats des évaluations des formations et des unités de recherche sans pour autant réintroduire le principe de mi-parcours.
25. Affirmer l’unicité du dialogue entre l’Etat et l’établissement donnant sa véritable dimension au lien formation-recherche et, par là-même, respecter la globalité du contrat.
26. Accorder une plus grande reconnaissance au projet collectif de l’établissement et à la forte mobilisation de la communauté universitaire pour son élaboration, en modifiant l’actuelle répartition entre dotation contractuelle et dotation « sur critères ».
27. Donner davantage de lisibilité à la vision et à la stratégie nationales globales pour l’enseignement supérieur et la recherche.
28. Veiller au respect des engagements pris dans les contrats liant Etat et établissements et à la cohérence stratégique des projets liés au Grand emprunt.
29. Engager sans attendre la réflexion sur le devenir et la place du contrat, notamment de son rôle dans l’identification de perspectives d’avenir et la définition de leur accompagnement, pour les sites qui ne seront pas concernés par les Investissements d’avenir.
30. Assurer au sein des établissements, une réelle communication sur le contrat avec l’Etat.
31. Donner de la lisibilité à la stratégie de l’Etat et à sa vision à long terme de l’organisation universitaire à l’échelle du territoire.
32. Veiller à la cohérence, dans cette vision prospective, des projets d’ensemble structurant le paysage universitaire (formation et recherche), qu’il s’agisse de la loi LRU, des PRES, des RTRA, des CTRS… ou encore des différents dispositifs des Investissements d’avenir liés au Grand emprunt.
33. Englober dans cette cohérence tous les établissements universitaires en acceptant la variété des situations et des caractéristiques des différents sites par une démarche contractuelle renouvelée avec l’Etat.
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/img/logo-documentation-francaise.gif 2010 jelentése a Monitoring Bizottság a törvény a szabadság és a felelősség az egyetemek (51. cikk számú törvény 2007-1199 augusztus 10-2007)
Számú törvény 2007-1199 augusztus 10-i 2007 szabadságát és felelősségét egyetemek előírta egy megfigyelési bizottságot annak igazolása, annak végrehajtásáról és a végrehajtás.
  Készítette 51. cikke által a törvény, ez a bizottság által szabályozott számú rendelettel 2008-72 január 23, 2008. A bizottság pedig különösen érdekelt a következő öt területre vonatkoznak: a menedzsment és az adminisztráció létesítmények, toborzás oktatók, értékelési gyakorlat, hallgatói képviselet és a szakmai integráció. Töltse le a jelentés. Még több...
18 février 2011

Le Master "Mondes arabe, musulman et hamito-sémitique" présent au 2e Salon des Masters à Marseille

http://blog.univ-provence.fr/templates/blog_41/Mams/img/header.jpgComme l'an dernier, le Master "Mondes arabe, musulman et hamito-sémitique" sera présent au 2e Salon des Masters à Marseille qui se déroulera les Mercredi 9 mars 2010 de 15h à 19h et Jeudi 10 mars 9h-17h à l’Espace Villeuneuve-Bargemon à Marseille. Vous pourrez vous y renseigner auprès de ses responsables sur ses objectifs professionnels, son contenu, ses conditions d'admission...

Le Salon des Masters vient d'être ajouté au programme des 11èmes Rencontres Enseignants-Chercheurs. Dans ce cadre, tous les professeurs des écoles, collèges, lycées et lycées professionnels de l'Académie d'Aix-Marseille peuvent s'inscrire et participer à cette manifestation le jeudi 10 mars 2011 à l'Espace Bargemon à Marseille. Pour vous inscrire, il vous suffit de faire parvenir à la Direction de l'enseignement supérieur et de la recherche votre fiche d'inscription ci-jointe signée par votre Chef d'établissement. CONTACT: marie-france.crouvisier-foglia@ac-aix-marseille.fr (Chargée de suivi des rencontres) - Tél: 04.42.91.72.81.

http://iremam.univ-provence.fr/IMG/jpg/logo-iremam-petit.jpgMention : LANGUES ET CULTURES ÉTRANGÈRES: AIRE CULTURELLE ARABE, MUSULMANE ET HAMITO-SÉMITIQUE. Spécialité: FORMATION A LA RECHERCHE, Responsables de la Mention: Pierre LARCHER, Philippe CASSUTO. Responsable de la spécialité: Pierre LARCHER.
Nom du département: Département des études moyen-orientales. Aller au Site du Master.
Laboratoire d'accueil: IREMAM.
Télécharger le dossier de candidature
à renvoyer impérativement avant le 1er juin 2011.
Les candidats retenus seront auditionnés les 28 et 29 juin 2011 par les responsables du Master.
Liste des directeurs de mémoire potentiels et leur spécialité de recherche.
Télécharger le PROGRAMME actuel. Un contrat pédagogique est à remplir obligatoirement: Contrat M1, Contrat M2.
Renseignements pédagogiques: Mme Christine CHALLULAU, lieu: Université de Provence, 29 avenue Robert Schuman, Aix-en-Provence, Bureau: A 435, horaires d'ouverture: ouvert de 9h-11h du mardi au vendredi, tél: 04 42 95 34 62, fax: 04 42 95 34 66.
OBJECTIFS DU MASTER 
Ce Master permet de perfectionner, voire de diversifier les connaissances en langues et en civilisations du Moyen-Orient, anciennes et modernes, tout en ouvrant à d’autres disciplines en lettres et sciences humaines (histoire, histoire de l’art et archéologie, géographie, anthropologie, sociologie, linguistique, études littéraires, philosophie, sciences politiques). Il permet d’acquérir une bonne maîtrise des outils et une solide connaissance de l’état de la recherche et de ses orientations actuelles, en particulier dans le domaine de spécialisation choisie (littérature, histoire, linguistique, islamologie, sémitologie, sciences politiques).

http://blog.univ-provence.fr/templates/blog_41/Mams/img/header.jpg Like last year, the Master Worlds Arab, Muslim and Hamito-Semitic will be present at the 2nd Masters Exhibition at Marseille which will be held Wednesday, March 9, 2010 from 15h to 19h and Thursday, March 10 9am-17h in the Area Villeuneuve-Bargemon in Marseille. Here you can check with its leaders over its business objectives, its content, admission requirements.


http://iremam.univ-provence.fr/IMG/jpg/logo-iremam-petit.jpgMention: FOREIGN LANGUAGES AND CULTURES: CULTURAL AREA ARAB AND MUSLIM Hamito-Semitic.Specialty: RESEARCH TRAINING, Heads of Credit: Pierre Larcher , Philippe CASSUTO . Head of Specialty: Pierre Larcher. Department Name: Department of Middle East studies. Go to the Site Master. Laboratory: IREMAM.
Download the application to return this form by June 1, 2011.
Successful applicants will be interviewed on 28 and 29 June 2011 by officials of the Master.
List of Directors of memory potential and research specialty.
Download PROGRAM current. A learning agreement must be completed:  Contract M1, M2 contract.
Educational information: Ms Christine Challulau , location: University of Provence, 29 Avenue Robert Schuman, Aix-en-Provence, Office: A 435, opening hours: open from 9am-11am Tuesday to Friday, tel: 04 42 95 34 62, fax: 04 42 95 34 66.
OBJECTIVES OF THE MASTER
This Master allows to improve or diversify skills in languages and civilizations of the Middle East, ancient and modern, while opening up to other disciplines in the humanities (history, art history and archeology, geography , anthropology, sociology, linguistics, literary studies, philosophy, political science). It can acquire a good mastery of tools and a solid knowledge of the state of research and its current guidelines, particularly in the chosen field of specialization (literature, history, linguistics, Islamic studies, sémitologie, political science). More...

17 février 2011

Cour des Comptes: Les PRES, un second souffle nécessaire

http://www.ccomptes.fr/fr/CC/images/bandeau/logo.gifLa Cour des Comptes rend publiques, depuis 1936, ses observations les plus significatives dans un rapport annuel, solennellement remis au Parlement en même temps qu’au Président de la République. Elle vient de rendre son rapport 2011.
Dans la partie 1 - Les observations des juridictions financières - Partie "Politiques publiques", la Cour consacre 29 pages aux PRES (Pôles de recherche et d’enseignement supérieur). Elle s'intitule: Les pôles de recherche et d’enseignement supérieur (PRES): un second souffle nécessaire. 
En voici quelques extraits:
Cette enquête a été menée par la Cour des comptes et par huit chambres régionales des comptes (Alsace, Aquitaine, Bretagne, Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Nord-Pas-de-Calais, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Rhône-Alpes).
Présentation
La recomposition en cours de la carte universitaire est un enjeu majeur pour l’efficience et l’efficacité de notre enseignement supérieur et de notre recherche, ainsi que pour son attractivité. Le constat est bien connu : le paysage est excessivement éclaté, entre de nombreuses universités et écoles, ainsi qu’entre enseignement et recherche. Pour autant, les formules de regroupement et de coopération se sont multipliées sans que leur cohérence et leur complémentarité aillent de soi.
Dans ce contexte, les juridictions financières ont mené une enquête centrée sur la constitution des pôles de recherche et d’enseignement supérieur (PRES), ainsi que sur leur articulation avec les autres formes de regroupement.
Aux termes de cette enquête, la situation apparaît en demi-teinte.
Une réelle dynamique a certes été lancée depuis 2006, vingt-et-un PRES ont été créés et plusieurs projets sont susceptibles d’aboutir prochainement. L’opération Campus, lancée en 2008, a favorisé les mouvements de regroupement. La situation longtemps bloquée à Paris paraît désormais progresser.
Pour autant, les résultats restent modestes. Les PRES ont un impact encore faible en matière de formation et de recherche. Ils éprouvent des difficultés à développer des actions de mutualisation structurantes. La gouvernance de nombre d’entre eux repose sur des compromis peu satisfaisants.
La bonne utilisation des fonds alloués, pour des montants très importants, à l’enseignement supérieur et à la recherche, que ce soit dans le cadre de l’opération Campus (5 milliards d’euros) ou dans celui des investissements d’avenir (21,9 milliards d’euros) impose qu’il soit remédié à cette situation préoccupante par une nouvelle étape de la politique de regroupement.
Les moyens financiers nouveaux accordés sont une opportunité à ne pas manquer pour orienter cette recomposition, à la condition que les diverses initiatives qui se sont succédé soient mises en cohérence. Pour impulser ce nécessaire second souffle, l’avenir des PRES, leur positionnement et leur évolution souhaitable doivent être précisés. Le pilotage et l’accompagnement de la démarche par l’Etat méritent aussi d’être renforcés.
Conclusion et recommandations

Les moyens financiers nouveaux significatifs qui ont été dégagés – croissance des crédits budgétaires, opération Campus, investissements d’avenir – constituent une opportunité à ne pas manquer pour réussir la recomposition de la carte universitaire française. Cependant, dans un contexte budgétaire général difficile, l’obligation d’efficience s’impose et passe par la simplification des dispositifs et une mutualisation des compétences et des ressources permettant de mieux maîtriser les coûts.
Dans cette perspective, il y a urgence à préciser clairement ce qui est attendu des PRES. Si, comme cela a été initialement été envisagé, ces structures sont appelées à être des acteurs majeurs de la recomposition en cours, il convient d’en tirer toutes les conséquences en confortant leurs compétences pour en faire des lieux d’impulsion et de portage des politiques de site, ainsi que de réels éléments fédérateurs en matière de carte des formations, de politique de recherche et de valorisation. Pour ce faire, les PRES devraient être mis en capacité d’exercer l’ensemble des compétences des universités, et de développer la mutualisation des fonctions transversales, notamment en matière de vie étudiante.
En conséquence, La Cour formule les recommandations suivantes :

1- renforcer l’accompagnement de l’Etat par :

- la contractualisation avec les PRES, de façon coordonnée et intégrée avec les établissements membres, l’objectif devant être à terme la signature d’un contrat unique de site ;
- la définition d’une vision partagée des politiques de site entre l’Etat, les collectivités territoriales, les établissements d’enseignement supérieur et les organismes de recherche ;
- la mise en place de tableaux de bord permettant d’obtenir une vision consolidée des démarches initiées, des financements
attribués et de leur emploi.
2- orienter le devenir des PRES dans deux directions :

- soutenir, dans les cas où l’intégration est la formule la plus adaptée, la création d’un nouvel établissement dans lequel fusionneraient leurs membres. Dans cette hypothèse, proposer à ceux des membres qui, comme certaines écoles, désireraient conserver une identité propre une association au titre de l’article L.719-10 du code de l’éducation;
- quand la fusion ne semble pas pertinente, au regard par exemple du nombre d’acteurs, du projet stratégique de la politique de site et des gains d’efficience attendus, favoriser la constitution d’ensembles confédéraux pérennes à la forte identité et aux compétences et responsabilités renforcées.
Au regard de l’ambition poursuivie, il convient en tout état de cause, de ne pas accepter que perdurent des situations où les PRES constitueraient des centres de coûts sans aucune valeur ajoutée.

17 février 2011

Cinq fois plus d'apprentis en quinze ans dans le supérieur

http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngPar Isabelle FICEK. De plus en plus de formations en apprentissage sont proposées dans les grandes écoles et les universités.
Fin 2010, il y avait plus de 100.000 apprentis dans l'enseignement supérieur.
Le nombre d'apprentis dans l'enseignement supérieur a été multiplié par cinq en quinze ans, passant de 20000 en 1995 à plus de 100000 fin 2010, selon les chiffres du ministère de l'Enseignement supérieur. Entre 2001 et 2008, l'augmentation sur les masters est de 130%, tirée, entre autres, par les grandes écoles. « L'apprentissage s'est beaucoup développé ces dernières années dans les écoles de management et d'ingénieurs, même si la taxe ne suffit pas toujours à le financer », constate Jean-Paul Soubeyrand, directeur général de l'Institut supérieur d'électronique de Paris (Isep), chargé de l'apprentissage à la CGE.
Selon l'enquête 2009 de la CGE, 32 écoles de commerce (sur 37 membres) et 73 écoles d'ingénieurs (sur 150 membres) proposaient cette filière pour un total de 12300 apprentis. Parmi les dernières à ouvrir leur cursus à l'apprentissage, l'enquête relevait Télécom ParisTech ou encore l'Ecole centrale de Paris. Ces formations bénéficient souvent à des étudiants qui auraient sinon recours à l'emprunt pour financer leurs études. Elles consolident aussi le lien entre les écoles et les entreprises, qui, finançant les apprentis, sont aussi incitées à verser aux écoles leur « barème » (lire Les grandes écoles se battent sur les ressources de la taxe d'apprentissage).
Capacité d'accueil insuffisante
Sciences po propose également des masters en apprentissage. Les universités ne sont pas en reste, avec des licences et surtout des masters, notamment dans les secteurs industriel, économie gestion, technologie. « Nous l'encourageons, notamment en finançant de la même façon que les autres les étudiants en apprentissage, ce qui représente un avantage pour les universités. Même si, dans le supérieur comme ailleurs, nous sommes confrontés au problème de capacités des entreprises à accueillir et financer les apprentis », indique-t-on dans l'entourage de la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse.
http://www.lesechos.fr/images/les-echos.pngBy Isabelle Ficek. More and more apprenticeships are offered in high schools and universities.
End of 2010, there were more than 100,000 apprentices in higher education.

The number of apprentices in higher education has increased fivefold in fifteen years, from 20,000 in 1995 to more than 100,000 end 2010, according to figures from the Ministry of Higher Education.
Between 2001 and 2008, increasing the Masters is 130%, driven, among other things, the big schools. "Learning has grown significantly in recent years in schools of management and engineers, even if Tax is not always enough to fund it, "says Jean-Paul Soubeyrand, Director General of the Higher Institute of Electronics, Paris (ISEP), responsible for learning the CGE. More...

17 février 2011

100 Correspondants départementaux pour les PME

http://www.economie.gouv.fr/images/logo_minefi.gifFrédéric LEFEBVRE a installé le 26 janvier 2011 les 100 Correspondants départementaux des PME, installation qui marque le début des Assises de la simplification. Le ministre avait annoncé en décembre 2010 le lancement d’un programme de simplification et d’accompagnement pour les PME, appuyé sur deux axes: un renforcement de l’appui territorial aux PME par le biais de "correspondants" de l'État pour les PME dans chaque département, et une simplification de l’environnement administratif des PME par l’organisation des « Assises de la simplification » au mois d’avril 2011.
Faciliter le dialogue administration-PME
La mission des correspondants PME est d’être à l’écoute des entrepreneurs, de leurs projets et de leurs difficultés. Afin qu’ils appréhendent pleinement les contraintes des entrepreneurs, ils partageront leur quotidien au cours de stages d’immersion dans 5 à 10 entreprises. Concrètement, ces correspondants de l'État sont des cadres des Directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (DIRECCTE). Créées en février 2010, les  DIRECCTE regroupent  (en Métropole) les compétences qui relevaient auparavant de 8 directions ou services des services publics de l'État en région. Les 100 correspondants PME seront mobilisés dès le mois de février dans chaque département français pour s’immerger dans les entreprises et recueillir leurs propositions de simplifications à l’occasion d’entretiens directs avec eux. Ces rencontres permettront de constituer un échantillon national de 500 à 600 retours d’expérience avant de dégager des mesures de simplification pertinentes et très rapidement opérationnelles sur la base des expériences du terrain.
Les assises de la simplification

Les Assises de la simplification de la règlementation des PME prévues mi-avril à Paris, se feront sur la base notamment des remontées d’information des difficultés des entreprises grâce aux correspondants PME. Ces Assises auront pour objectif d’accélérer fortement, à travers des mesures concrètes, le train de simplifications déjà engagé dans le cadre de la Révision générale des politiques publiques (RGPP).
Verbatim de Frédéric LEFEBVRE: « Je souhaite que les correspondants PME soient le fer de lance d’un véritable service public des entreprises. C’est une démarche-qualité que je propose à l’Etat. »
Les correspondants PME en PACA: 04 et 05: philippe.antoine@direccte.gouv.fr, 06: pierre.pic@direccte.gouv.fr, 13: gerard.autran@direccte.gouv.fr, 83: jean-luc.moreau@direccte.gouv.fr, 84: marie-helene.roques@direccte.gouv.fr.
http://www.economie.gouv.fr/images/logo_minefi.gif Frédéric LEFEBVRE installato 26 gennaio 2011 100 Corrispondenti strumento per le PMI di reparto che segna l'inizio di una semplificazione del pubblico. Il ministro aveva annunciato nel dicembre 2010 per avviare un programma di semplificazione e di sostegno alle PMI, basato su due pilastri: il rafforzamento del sostegno alle PMI del territorio attraverso il "matching" dello Stato per PMI in ogni reparto, e una semplificazione del contesto amministrativo per le PMI, organizzando la "semplificazione del pubblico" ad aprile 2011. Maggiori informazioni...
17 février 2011

La voie d’accès du pic de la VAE

Le CarifOref Midi-Pyrénées publie le numéro 2 de L'avis VAE, le lien des acteurs en Midi-Pyrénées. Il aborde le parcours du candidat à la VAE sous plusieurs facettes: la trajectoire de VAE inscrite dans un projet professionnel plus large ancré dans le temps, une nouvelle ingénierie au service du parcours, l'accompagnement dans la démarche par un collectif d'acteurs qui fournit au candidat méthode et pistes de réflexion pour l'avenir. André Chauvet apporte son point de vue d'expert. Des témoignages et deux actions de suivi renforcé des candidats, menées en partenariat en Midi-Pyrénées, complètent ce numéro. En adhérant au CarifOref Midi-Pyrénées, vous recevrez, tous les deux mois, l’édition papier de "L’avis VAE". La revue est également disponible en téléchargement sur notre site Internet. Télécharger L'avis VAE numéro 2.Télécharger L'avis VAE numéro 1.
Par Hélène Guéhéneuc. Le parcours de VAE, Un nouvel espace-temps
Ce n’est pas l’Anapurna, ni même l’Aneto, plutôt la pente douce d’un contrefort pyrénéen: la voie d’accès du pic de la VAE. Le parcours du candidat s’est bien aplani au fil du temps et offre désormais des abords plus riants.
Parcours, sous ce terme un rien rocailleux on a peut-être du mal à imaginer une longue Garonne tranquille ! Il y a mille façons de l’aborder. Il fluctue, selon le statut du candidat, son secteur d’activité, son niveau de diplôme, la certification visée…
Nous choisissons d’évoquer ici les notions de temps et d’espace indissociables du parcours professionnel du candidat. Dans la VAE il n’est jamais trop tard !
Si on a raté la marche de l’école, dérapé sur le diplôme ou simplement différé son obtention, il est toujours possible d’attraper l’escalator de la VAE pour décrocher le fameux sésame. Avec la VAE il est toujours temps ! Car l’activité professionnelle génère du savoir et de la compétence qui se bonifient avec les années, ceux-là mêmes décrits dans les référentiels d’activité et de certification.
Le chemin de la VAE parait long, car non linéaire. Mais il rouvre les portes du diplôme, à tout moment, au coeur même des activités du candidat. C’est le paradoxe de la VAE. Si le temps de la démarche est souvent vécu comme un frein ou un obstacle, il peut devenir un allié, une fois replacé dans une trajectoire professionnelle. Car le candidat met à profit cette rétrospective sur son parcours, cette mise en abyme demandée par le dispositif, pour faire le point sur ses compétences et son projet personnel en devenir.
Le processus de VAE, avec cette plongée dans un futur antérieur, apparaît alors comme une des composantes et même comme un des moteurs de son cheminement professionnel, au même titre que les périodes d’activité ou de formation. Un candidat peut viser une certification qui pourrait n’être qu’une étape pour accéder à un cursus, un concours, une formation. Voir l'article entier. Découvrir des témoignages de VAE: dans L'avis VAE, sur le portail de l’Opcalia et du Fongecif Midi-Pyrénées.
El Migdia-Pirineus CarifOref publica el N º 2 Avís VAE, la relació dels actors a Midi-Pirineus. S'ocupa de la trajectòria del candidat a la VAE en diverses facetes: la trajectòria de APL inscrit en un projecte més ampli professionals ancorats en el temps, una nova enginyeria per al curs, el suport a l'enfocament per un grup d'actors proporciona el mètode proposat i el camí a seguir per al futur. André Chauvet aporta la seva perspectiva com a expert. Testimoni i dos de seguiment reforçat dels candidats, realitzat en col.laboració de Migdia-Pirineus, completa el tema. En unir-se a la CarifOref Migdia-Pirineus, que rebran cada dos mesos, l'edició en paper del "VAE opinió. La revista també està disponible per a baixar en el nostre lloc web. VAE Descarregar Notificació N º 2. Descarregar Avís VAE número 1.
Per Guéhéneuc Helen.
El curs de la APL, un nou espai-temps
Aquest no és el Annapurna, o fins i tot més suau pendent Aneto d'una faldilla dels Pirineus: el camí del cim de la VAE.
La ruta dels candidats està ben allisada amb el temps i ara ofereix prop de riure. Vegi la història completa. Altres indicis de APEL en l'opinió de la VAE al portal i Opcalia FONGECIF Midi-Pyrénées. Més informació...
17 février 2011

"Campus d'innovation Ouest"

http://medias.lepost.fr/ill/2009/02/20/h-20-1431251-1235147405.pngLa Bretagne et les Pays de la Loire présentent leur projet commun "Campus d'innovation Ouest"
Le 16 février, la Bretagne et les Pays de la Loire présentent leur projet "Campus d'innovation Ouest", dans le cadre de l'appel à projets lancé par l'Etat sur les investissements d'avenir.
Les investissements d'avenir, ce sont cinq priorités nationales dans les domaines de l'enseignement supérieur et la formation, la recherche, l'industrie et les PME, le numérique et le développement durable, qui seront financées par l’emprunt national à hauteur de 35 milliards d'euros. Dans ce cadre, des appels à projets nationaux a été lancés pour sélectionner des initiatives d'excellence (IDEX). La Bretagne et les Pays de la Loire ont souhaité y répondre en proposant un projet commun : le Campus d'innovation Ouest. Il s'agit du seul projet interrégional puisqu'il concerne deux régions et sept villes (Nantes, Rennes, Angers, Le Mans, Brest, Vannes  et Lorient).Il s'agit là d'une occasion de faire reconnaître l’Ouest de la France comme un territoire majeur de l’économie de la connaissance.
Un projet de recherche, de formation et de valorisation  en lien avec des enjeux de société et le tissu économique et industriel du territoire
Les cinq thématiques qui ont été retenues pour ce projet sont: la santé, la mer, l'alimentation, les matériaux et les télécommunications et réseaux. Les axes d’intervention concernent quant à eux l’accueil de chercheurs étrangers, le renforcement de la recherche pluridisciplinaire, la diffusion de la culture scientifique, la mobilité internationale des étudiants, le soutien aux formations internationales (Master et Doctorat) et la valorisation…
Les equipex
Dans le cadre de l'appel à projets national "Equipements d'excellence", la Bretagne est impliquée dans cinq des cinquante-deux dossiers lauréats : deux xoncernent la mer et les sciences de l'environnement, deux autres concernent les sciences informatiques et le dernier, les sciences humaines et sociales. Lire notre article.
A consulter: Analyse de la participation de la région Bretagne dans le 6e programme cadre de recherche et développement, Charte de collaboration des acteurs bretons du transfert de technologies pour le développement économique régional, Évaluation de la politique régionale des pôles de compétitivité, Évaluation de la politique régionale des pôles de compétitivité 2, Les biotechnologies. Voir aussi: Université européenne de Bretagne, Bretagne innovation. Téléchargez le dossier de presse pour en savoir plus.
http://medias.lepost.fr/ill/2009/02/20/h-20-1431251-1235147405.png Llydaw a Dyffryn Loire i gyflwyno eu prosiect ar y cyd "Arloesedd Campws West"
Chwefror 16, Llydaw a Talu de la Loire yn cyflwyno eu prosiect 'Campws Arloesi West, "o dan y galw ar gyfer prosiectau a lansiwyd gan y Wladwriaeth ar fuddsoddiadau yn y dyfodol.

Buddsoddi ar gyfer y dyfodol, beth yw pum blaenoriaeth cenedlaethol mewn meysydd o addysg uwch a hyfforddiant, ymchwil, diwydiant a busnesau bach a chanolig, digidol a datblygu cynaliadwy, a fydd yn cael ei ariannu drwy fenthyca domestig i fyny € 35000000000.
Yn y cyd-destun hwn, yn galw ar gyfer prosiectau cenedlaethol wedi cael ei lansio i dynnu sylw at fentrau rhagoriaeth (IDEX). A'r Pays de la Loire Llydaw yn dymuno i ymateb drwy ddarparu brosiect cyffredin: y Campws Arloesi Gorllewin. Hwn yw'r unig brosiect rhyngranbarthol, oherwydd ei bod dau ranbarth a saith dinasoedd (Nantes, Rennes, Angers, Le Mans, Brest, Lorient a Vannes). Mae hwn yn gyfle i gydnabod y Gorllewin Ffrainc fel maes pwysig o'r economi wybodaeth. Edrych i fyny: Dadansoddiad o gyfranogiad Llydaw yn y 6ed Fframwaith Rhaglen ar gyfer Ymchwil a Datblygu, Cydweithredu Siarter actorion Llydewig o drosglwyddo technoleg ar gyfer datblygu economaidd rhanbarthol, Gwerthuso polisi clystyrau rhanbarthol, Rating polisi rhanbarthol o ddau glwstwr , biotechnoleg. Mwy...
17 février 2011

La 3e Nuit de la Formation et de l'Orientation Professionnelles (NFOP 2011)

http://mdc.comnrj.fr/formation_professionelle/logoNFP2011.jpgLa 3e Nuit de la Formation et de l'Orientation Professionnelles (NFOP 2011) se tiendra le 16 mai prochain au Casino de Paris.
Pourquoi la Nuit de la Formation et de l'Orientation Professionnelles ?
La formation sera présente tout au long de notre vie professionnelle. La Nuit de la Formation et de l'Orientation Professionnelles permet à chacun de s’épanouir, de progresser et de s’adapter à un monde en  perpétuel changement. L’univers de la Formation Professionnelle est également un monde vivant, innovant qui n’a pas la visibilité qu’il mérite. Plus de 1200 personnes s'étaient rassemblées lors des deux premières éditions. Fort de ce succès, la Nuit de la Formation Professionnelle revient auCasino de Paris le 16 Mai 2011. Une grande soirée pour découvrir les grandes tendances et les principaux acteurs de ce monde en mouvement.
Sens de la démarche :
- Promouvoir et récompenser les meilleures initiatives ou innovations destinées à l’évolution et au développement des compétences. Différentes catégories seront présentées et récompensées par un jury professionnel de haut niveau.
- Donner une image dynamique et positive de la formation et sensibiliser les médias et les journalistes à l’importance des actions de formation professionnelle.
- Faire le point sur toutes les tendances et sur l’évolution du métier, réfléchir et échanger sur l’avenir, présenter des nouveautés, permettre les échanges entre professionnels RH et développer les bonnes pratiques.
Revenir à l'accueil d'AGEFOS PME AGEFOS PME vous invite à y participer et peut-être devenir un des lauréats 2011.
Lors de cet événement, 2 prix dédiés seront remis aux initiatives exemplaires en termes de formation professionnelle dans les catégories suivantes :
1. "La meilleure stratégie de formation en entreprise, d’une administration ou d’une collectivité territoriale"

Cette catégorie récompense la stratégie formation de deux entreprises du secteur privé ou public, qui favorise particulièrement, le développement des compétences de ses collaborateurs par une politique de formation adaptée à l’évolution de ses métiers et de son marché. Ces entreprises placent le développement des compétences de leurs collaborateurs au cœur de la réussite.
2. "La meilleure formation favorisant la Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE)"

Cette catégorie récompense la meilleure formation ayant intégré dans ses modules des solutions pour la prise en compte de l’organisation du bien-être au travail, du développement durable, de la diversité, du handicap… Pour faire acte de candidature.
http://static.andrh.fr/extension/c_anrh/design/anrh/images/logo.pngPostulez pour la prochaine Nuit de la Formation Professionnelle, organisée conjointement par le GARF, l'ANDRH et la FFP.
L’ambition de la Nuit de la Formation Professionnelle est de promouvoir et récompenser des initiatives récentes et originales, des innovations pertinentes, des réussites spectaculaires et des parcours remarquables qui ont contribué à la dynamique des ressources humaines. Le Jury est composé de responsables d’entreprises, d’organismes et de personnalités du monde de la formation. Il attribuera des Trophées autour de trois catégories telles que :
* « La meilleure stratégie de formation d’une entreprise, d’une administration ou d’une collectivité territoriale »,
* « Le meilleur projet innovant porté par un organisme de formation ».
* « la meilleure formation favorisant la Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE) »
Dossier de candidature. La remise des prix aura lieu le lundi 16 mai au Casino de Paris.
http://mdc.comnrj.fr/formation_professionelle/logoNFP2011.jpg 3 Lejla ta 'Taħriġ Professjonali u Orjentazzjoni (NFOP 2011) se ssir f'Mejju li jmiss 16 fuq Pariġi de Casino.
Għaliex il-Lejla ta 'Taħriġ u gwida tal-karriera?
It-taħriġ se jkunu preżenti matul il-ħajja tagħna. Il-Lejla ta 'Taħriġ Vokazzjonali u tippermetti lil kulħadd li jirnexxu, jikbru u tadatta għal dinja li qed tinbidel.L-univers ta 'Taħriġ Professjonali huwa wkoll dinja ħajja, mhux viżibilità innovattivi li jixraqlu. Minn 1200 nies miġbura fl-ewwel żewġ edizzjonijiet. Ma 'dan is-suċċess, il-Lejla ta' Taħriġ Professjonali ritorni lejn Casino de f'Pariġi, 16 Mejju 2011. A lejl kbira li jiskopru l-xejriet ewlenin u atturi prinċipali f'dan dinja li qed tinbidel. More...
17 février 2011

Europe's Push to Teach in English Creates Barriers in the Classroom

http://chronicle.com/img/banner_promo.jpgBy Aisha Labi. As universities on the continent try to make English academe's lingua franca, students might be losing out.
Like a growing number of scholars in Europe, Philipp J.H. Schröder, a popular professor of economics at Aarhus University, is something of a polyglot. A native of Germany, he earned his undergraduate degree in England and now lives and teaches in Denmark's second-largest city. His English, though moderately accented, seems flawless in conversation, so he would appear the ideal candidate to preside over an increasingly common type of classroom in Europe: one with few native English speakers but where English is the language of instruction.
Mr. Schröder estimates that about 80 percent of his teaching is now in English, but he has few illusions about how fluent he truly is. "I prefer to speak German, or Danish, for that matter," he confesses. "I have frustrations in English."
He is not alone. As universities across Europe offer more programs in English to attract an international student body and raise their international profiles, the growing pains are becoming evident. Some students complain that their professors' language skills are not classroom-ready. Some professors complain that their students, many of whom come from different countries and cultures, aren't adapting well to their new environment. With more than 2,000 programs being taught in English, several experts are beginning to discuss these concerns.
Critics of the growing use of English include nationalist politicians, students and professors, and pedagogical experts, who have argued that adopting English as a lingua franca imperils other languages and creates classrooms and lecture halls in which cultural differences hinder communication and comprehension. Even supporters of the practice acknowledge that the swift embrace of English has often taken place with insufficient preparation, and that universities must do more to deal with the complications that can arise. The internationalization of higher education, in which students come together speaking different languages and are accustomed to radically different learning styles, has produced a "Bermuda Triangle of pedagogy, culture, and language" in many universities, says Karen M. Lauridsen, an associate professor at the Aarhus School of Business and Social Sciences, who has developed training programs at her university to help professors deal with such challenges.
Profound Cultural Differences

When European universities began offering programs in English, Ms. Lauridsen says, it was assumed that some of the initial hurdles would disappear as older professors retired and younger professors, with more international experience, took their places. In Denmark, for example, previous generations of academics had relatively little experience studying or working abroad, but all doctoral students are now required to spend at least a semester in another country. Instead, Ms. Lauridsen says, it has become apparent that teaching difficulties are not simply a question of language but are rooted in profound cultural differences.
For example, she says, "here in the northern part of Europe, we place great emphasis on autonomous learning, and expect students to work independently and critically present the information they are presented." Elsewhere in Europe, teaching methods emphasize students' listening to lectures, taking notes, demonstrating their learning through written tests, and being able to repeat what they have learned from professors' lectures. Moreover, information that some students might grasp immediately could leave those from another culture befuddled. Students' ways of handling that kind of confusion also vary widely. "In a lot of Asian cultures, there is a big thing about not losing face," Ms. Lauridsen notes, "and students don't want to admit that they don't know what they need to know."
In such cases, even if students do end up trying to confront the issue head-on, meeting with their professor might not solve the problem. Because many Asian students tend to "always nod and smile like they have understood," she says, "it takes a while to decode some of these students, for those of us who are used to more direct ways of interacting..."
The Future of English

The fate of French and German, and before that Latin, as dominant languages of European higher education, holds potentially sobering lessons for the future of English. In a recent book, The Last Lingua Franca: English Until the Return of Babel, Nicholas Ostler, chairman of the Foundation for Endangered Languages, argues that the ubiquity of English will lead to its eventual demise as a global lingua franca, long before other, more ostensibly vulnerable languages.
The kind of simplified, lowest-common-denominator English that is increasingly spoken by non-native speakers in university classrooms throughout Europe represents a failure, not a triumph, for the language, Mr. Ostler argues. Mr. Schröder's own experience would seem to back up that hypothesis.
He recently co-taught a one-day course with a native English speaker. One of the students praised his language abilities on the evaluation form, saying he couldn't even understand the other instructor. "For these audiences," he observes, "my having an accent and using more limited vocabulary is not necessarily a disadvantage."
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