Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Formation Continue du Supérieur
3 février 2011

Croissance extrêmement dynamique de l'apprentissage dans l'Enseignement supérieur

http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau01.jpgAu 31 décembre 2009, 424750 jeunes préparent un diplôme en apprentissage, soit une baisse de 0,7% par rapport à la rentrée précédente.
En 2008, la croissance des effectifs avait déjà ralenti (+ 0,6%), après plusieurs années de développement rapide. Cette contraction résulte à la fois d’un contexte économique défavorable qui pénalise l’alternance dans son ensemble et de la réforme du baccalauréat professionnel. Seules les formations de niveau bac + 4 et plus restent très dynamiques, avec des taux de croissance supérieurs à 10 % par an. Télécharger la Note d'Information n° 11.01 janvier 2011.
Sur ces deux années, les spécialités du bâtiment, du bois et de la mécanique perdent le plus d’apprentis, tandis que celles de l’agriculture et de l’alimentation ne sont pas affectées par ces conditions difficiles. Les évolutions régionales sont également contrastées: les effectifs baissent dans la moitié des académies. Enfin, la réussite des apprentis aux principaux examens varie de 90% au baccalauréat professionnel à 70% en BTS à la session 2009.
Perte de vitesse du second cycle professionnel face à l’essor de l’apprentissage dans le supérieur

La conjoncture économique défavorable a des répercussions différentes sur les niveaux de formation. Les niveaux I et II ne semblent pas affectés et poursuivent leur essor (+ 13% en 2008, + 12% en 2009). Toutes les formations (licences, masters, diplômes d’ingénieur et autres certifications) progressent à un rythme soutenu.
Le niveau III, qui affichait depuis 2003 des croissances d’effectifs supérieures à 10%, se stabilise. Les effectifs d’apprentis de ce niveau, préparant en grande majorité un BTS, augmentent de 5% en 2008 et seulement de 1,7% en 2009, soit 4000 apprentis supplémentaires en deux ans. Dans lemême temps, le nombre d’apprentis préparant un diplôme de niveau inférieur ou égal au baccalauréat diminue (- 1,5% en 2008 et - 2,6% en 2009).
Avec une hausse de 9000 apprentis en deux ans, les diplômes de niveau bac + 4 ou bac + 5 deviennent donc les nouveaux moteurs de la croissance de l’apprentissage, face à un niveau III qui s’essouffle et à des niveaux V et IV en pleine réorganisation. À la rentrée 2009, un quart des apprentis (soit plus de 100000) suivent une formation de l’enseignement supérieur, contre un cinquième en 2007.
Baisse des effectifs dans la moitié des académies

L’apprentissage est inégalement développé selon les académies, traduisant des disparités dans les tissus économiques locaux mais aussi dans les engagements politiques des conseils régionaux en matière de formation professionnelle. Au 31 décembre 2009, les régions Île-de-France, Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Pays de la Loire rassemblent 42% des apprentis tous niveaux de formation confondus et 54% de ceux de l’enseignement supérieur
http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/design/front_office_recherche/images/bandeau/bandeau01.jpg December 31, 2009, 424750 fiatalokat készítsen oklevelet a tanulásban, a csökkenés 0,7%-kal az elmúlt vissza.
2008-ban, beiratkozási növekedés már lassult (0,6%), több év elteltével a gyors fejlődés.
  Ez a csökkenés azt mutatja, a kedvezőtlen gazdasági környezet, hogy bünteti a váltakozás egésze, és a reform a szakmai érettségi. Csak alakzatok BA + 4 és élénk maradt, a növekedési ütem meghaladja a 10 %-os évi. Töltse le a tájékoztató számú 11/01 január 2011.
Megrekedt a második fordulóban ellen szakmai fejlődését a tanulás a felsőoktatásban
Gazdasági visszaesés eltérő hatást gyakorolnak a képzési szinten. Szintek I és II tűnik nem érinti, és továbbra is a növekedést (+ 13% 2008-ban, akár 12%-kal 2009-ben)
. Még több...
3 février 2011

Aix: la colère des présidents d'université

La ProvencePar Nicolas REY (nrey@laprovence-presse.fr). Les propos de Christian Louit et Gérard Bramoullé au conseil municipal font des vagues
Lundi soir, le conseil municipal était invité à voter le protocole d'accord "obtenu de haute lutte" par la député-maire Maryse Joissains, stipulant la localisation aixoise du Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (Pres) de l'université unique. Plus que le champagne, c'est le concept même de l'université unique qui était alors sabré en séance. Christian Louit, adjoint aux Universités et ancien président d'Aix-Marseille 3 s'en prenait à la fusion, "opération d'illusionniste pour satisfaire des ambitions tout sauf universitaires".
L'adjoint aux Finances, Gérard Bramoullé, également ancien doyen, a embrayé sur le même registre, fustigeant "un processus qu'on savait dangereux, poussé par le ministère et porté par trois présidents d'université d'accord entre eux". Maryse Joissains a eu beau espérer tout haut que "l'université unique, qui est maintenant sur les rails fonctionnera, dans l'intérêt de notre territoire", la charge en règle menée par ses élus universitaires a laissé des traces.
Les trois présidents d'université qui étaient justement réunis hier au sein du comité de pilotage de la fusion, n'ont évidemment que peu goûté ces déclarations publiques. Au lendemain, ou presque, de leur effort conjoint, en cette même mairie, pour satisfaire les revendications aixoises. "Universitaires surannés".
"Nous n'avons pas d'autres ambitions qu'universitaires, a martelé Jean-Paul Caverni, président de l'université de Provence. Ces propos, de la part d'universitaires surannés, sont calomnieux. Ces déclarations sont excessives, je veux croire qu'elles ont été prononcées dans un contexte passionnel et qu'elles dépassent la pensée de gens raisonnables. Nous informons les collectivités, qui sont nos partenaires, mais l'université détermine seule ses choix, avec notamment un souci d'équilibre entre Aix et Marseille."
Même irritation chez Yvon Berland, le président de l'université de la Méditerranée : "C'est affligeant. Je suis désespéré qu'on puisse tenir des propos de ce niveau, que je laisse dans la bouche de ceux qui les ont prononcés et dont ils ne sortent pas grandis. Tous les avis sont respectables, on peut penser que la fusion n'est pas une bonne stratégie. Mais c'est celle qui a été votée par nos universités. Il faut arrêter ces combats d'arrière-garde qui deviennent pesants. Ces déclarations sont limite vis-à-vis des trois présidents qui ont fait un travail remarquable et ont tenu compte des demandes de la député-maire, qui n'est d'ailleurs pas en cause dans cette histoire. Il s'agit d'un épiphénomène. Mais c'est triste et ce n'est certainement pas ainsi qu'on défend l'université, ni le territoire".
Pour Marc Pena, président de la très aixoise université Paul-Cézanne, la position des deux élus "est en totale contradiction avec celle de Maryse Joissains et les engagements de la ville d'Aix". Il souligne que "Christian Louit et Gérard Bramoullé étaient d'ailleurs signataires du protocole d'accord - qui a été voté à l'unanimité au conseil municipal - qui satisfait tout le monde. Les textes restent et j'espère que ces paroles d'estrade s'envoleront. Ces vieilles querelles sont dépassées depuis longtemps et il n'est nul besoin aujourd'hui de mettre de l'huile sur le feu et de porter atteinte à la communauté universitaire que je représente".
ProvenceBy Nicolas REY (nrey@laprovence-presse.fr). About the Christian and Gerard Louit Bramoullé City Council are making waves
Monday night, council was asked to vote on the memorandum of understanding "-won 'by the Deputy Mayor Mary Joissains, stating the location of the Aix Center Research and Higher Education (Pres) University of single. Christian Louit, Universities and former Deputy Chairman of Aix-Marseille 3 attacked the merger, "illusionist operation to satisfy the ambitions anything but academic." The Assistant Finance Bramoullé Gerard, also a former dean, was engaged in the same vein, criticizing "a dangerous process was known, led by the Ministry and carried by three university presidents agree among themselves." Mary was beautiful Joissains hoped aloud that "the only university, which is now on track work in the interest of our territory," the charge rule led by its elected university has left its mark. The three university presidents who had just met yesterday in the steering committee of the merger, have obviously enjoyed these few public statements. The day after, or substantially all of their joint effort, in this same hall, to meet the demands Aix. More...
3 février 2011

PRES Aix-Marseille: les présidents d'université en colère

ecoles-entreprises : formation professionnelle et partenariats écoles entreprisesLa fusion des universités d’Aix-Marseille est une "opération d'illusionniste pour satisfaire des ambitions tout sauf universitaires". Ces propos émanent de Christian Louit, adjoint aux Universités et ancien président d'Aix-Marseille 3, selon La Provence. Gérard Bramoullé, lui aussi ancien doyen, s’en est pris à "un processus qu'on savait dangereux, poussé par le ministère et porté par trois présidents d'université d'accord entre eux".
Ces déclarations sont intervenues lors du vote en conseil municipal d’Aix-en-Provence sur le protocole d’accord du PRES Aix-Marseille. Et n’ont pas manqué de faire réagir les trois présidents d’universités actuels.
"Nous n'avons pas d'autres ambitions qu'universitaires. Ces propos, de la part d'universitaires surannés, sont calomnieux. Ces déclarations sont excessives, je veux croire qu'elles ont été prononcées dans un contexte passionnel […]. Nous informons les collectivités, qui sont nos partenaires, mais l'université détermine seule ses choix, avec notamment un souci d'équilibre entre Aix et Marseille", a notamment déclaré Jean-Paul Caverni, président de l'université de Provence. En savoir plus: Jean-Paul Caverni à la tête du PRES Aix-Marseilleet Opération Campus: 23 M€ de plus pour le PRES Aix-Marseille.

Business School: professionale e di business partnership scuole La fusione tra le università di Aix-Marsiglia è un '"operazione illusionista per soddisfare le ambizioni, ma nulla accademica". Queste parole vengono da Christian Louit, dell'Università e della ex Vice Presidente di Aix-Marseille 3, secondo La Provence.Bramoullé Gerard, anche un ex preside, ha attaccato un "processo noto pericolosa che, spinto dal Ministero e realizzato da tre presidenti di università d'accordo tra di loro."
Queste affermazioni sono state fatte con il voto in consiglio comunale di Aix-en-Provence sulla PRES MoU Aix-Marseille. E non riescono a reagire i tre presidenti delle università di oggi. Maggiori informazioni...

3 février 2011

Formation continue: pourquoi on abandonne ?

http://www.vocatis.fr/squelettes/images/logo_vocatis.gifPar Agnès Wojciechowicz. Entreprendre une formation parallèlement à son travail reste difficile. Les abandons en cours de route sont fréquents. Quelles sont les raisons qui poussent les candidats à tirer un trait sur leur formation? Et quels sont les signes annonciateurs d’un renoncement?
Il existe deux sortes de personnes qui reprennent une formation : celles qui entreprennent une démarche voulue par leur employeur, et celles qui ont une réelle envie de se former ou de valider leur expérience. « Il y a peu d’abandon chez les personnes qui ont l’obligation de suivre une formation », constate Jean-Christian Leclaire, ingénieur d’études de l’IUT de Saint-Etienne. En effet, les personnes suivant une formation obligatoire hésitent à l’abandonner de peur de se faire licencier. A contrario, celles qui ont une démarche volontariste sont plus facilement sujettes au renoncement. « Elles rencontrent plus de difficultés à trouver par elles-mêmes une formation correspondant à leurs attentes au milieu d’une large gamme de produits », observe Jean-Christian Leclaire. Au bout de quelques temps, les personnes ayant opté pour une formation dont le contenu ne répond pas à leur vœu s’en aperçoivent et interrompent par conséquent leur formation.
Les examens sont le moment où l’abandon est le plus fréquent

- La baisse de motivation chez les personnes suivant une formation continue peut s’expliquer par leur difficulté à suivre les cours. « C’est très déstabilisant, surtout au moment des examens : les personnes s’investissent, suivent les cours, écoutent et échouent lors des évaluations », regrette le Stéphanois. Le plus souvent, c’est au moment des premières notes, et donc des partiels de décembre, que les personnes interrompent leur formation. « Elles prennent la température de l’investissement qu’il faut fournir et abandonnent », constate l’ingénieur d’études.
Le rôle clef de l’entourage

- Il est parfois difficile de trouver les ressources et l’énergie nécessaires pour optimiser son retour sur les bancs de l’école ou réussir sa VAE (Validation des acquis de l’expérience). Ainsi, « la validation des acquis par l’expérience requiert 250 heures de travail en solitaire, essentiellement les week-ends, sur des dossiers extrêmement proches des activités professionnelles de la personne », explique Jean-Christian Leclaire. Difficile de ne pas se décourager, surtout si votre entourage ne vous soutient pas. « La première cause d’abandon de la VAE, c’est l’entourage, confirme le directeur. Il faut donc que les conjoints soient impliqués dans la démarche. »
Prévenir, c’est guérir

- Qu’il s’agisse de formation continue ou de VAE, les abandons peuvent être évités si les premiers signes de découragement sont détectés. Le rôle des responsables pédagogiques est donc essentiel, puisqu’en identifiant la démotivation d’un élève, ils pourront la prévenir en renforçant leur soutien. « Une personne anxieuse, à fleur de peau, qui s’énerve pour un rien ou qui se plaint du contenu est une personne qui a du mal suivre et qui risque d’abandonner sa formation », relève Jean-Christophe Leclaire. Toutefois, ces symptômes ne sont pas toujours décelables même par les professionnels de la formation. De plus, les personnes en difficulté rechignent souvent à parler de leurs problèmes. La solution : « Ne jamais travailler seul et aller voir son tuteur dès qu’on commence à perdre pieds ! ».

3 février 2011

Compétences et réussite professionnelle

FAFIEC OPCA – Organisme paritaire collecteur agréé de l’ingénierie, de l’informatique, des études, du conseil, des foires et salons et des traductions95% des salariés estiment que les compétences contribuent de façon importante à la réussite professionnelle

Le FAFIEC, l’organisme Paritaire financeur de la formation professionnelle pour les entreprises de la branche de l’informatique, de l’ingénierie, du conseil et des foires et salons, a souhaité disposer d’un état des perceptions en terme de compétence dans l’entreprise.
Un élément clé pour la sécurisation des parcours professionnels

Cette reconnaissance presque unanime des compétences comme un levier pour sa progression professionnelle se trouve consolidée, 67% des répondants déclarant qu’elles y contribuent de façon « très importante ». Plus important encore, cet élément devance tous les autres facteurs de réussite, tels que le réseau relationnel (85%), la mobilité (70%), la fidélité à l’entreprise (70%), et s’avère nettement supérieur aux diplômes obtenus (69%).
Un facteur de développement primordial pour les entreprises

Au-delà des avantages personnels qu’ils peuvent en obtenir, les salariés soulignent très largement les gains que peut représenter la mise en oeuvre par les employeurs d’une gestion active des compétences. Ces atouts s’appliquent ainsi en premier lieu à l’activité, en favorisant la pérennité de l’entreprise (91%) et en constituant un levier de croissance face à la concurrence. Mais une telle politique peut aussi se révéler différenciante en matière de gestion des ressources humaines: 90% jugent qu’elle permet de fidéliser les salariés et 85% qu’elle aide à sécuriser les emplois en anticipant leurs évolutions. La réalité témoigne d’une prise en compte de ces bénéfices qui reste à renforcer : seule une courte majorité des salariés en activité (55%) estime que leur entreprise sait identifier et mettre à profit les compétences de ses collaborateurs.
Des compétences qui s’acquièrent sur le terrain… et par la formation

L’expérience dans le poste est logiquement le mode d’acquisition des compétences dont l’efficacité est la plus fortement mise exergue (avec une note de 8,1 sur 10), devant les échanges avec son entourage professionnel (7,1 sur 10). Pour autant, les actifs n’en négligent pas la formation, et en particulier la formation continue (7 sur 10), qui là encore apparaît mieux adaptée que les diplômes (6,5 sur 10), ou l’alternance (6,6 sur 10). Une dimension qui là aussi reste à développer, puisque moins d’un salarié sur deux a eu accès à une formation dans le cadre de son poste au cours des deux dernières années (48%).
FAFIEC OPCA - közös szervezet neve gyűjtése a mérnöki, informatikai, kutatási, tanácsadási, vásárok, kiállítások és fordítások95%-a munkavállalók úgy vélik, hogy a szaktudás jelentősen hozzájárul karrier siker
FAFIEC, a közös testület finanszírozója szakképzés az ágazat vállalatai az információs technológia, mérnöki, tanácsadó és kereskedelmi vásárok, azt akarta, hogy egy állam szempontjából szemléletének hatáskör A társaság.
Az egyik legfontosabb eleme a biztosító karrier

Ez szinte egyhangú elismerését készségeket, amelyek kar az ő szakmai előmenetelét konszolidálásra kerül, 67%-a válaszadók mondván, hogy hozzájárul a "nagyon fontos".
Ennél is fontosabb, ez az elem vezet minden más siker tényezők, mint például szociális hálózat (85%), a mobilitás (70%), lojalitás a céghez (70%), és jóval meghaladja az érettségi kapott (69%). Még több...
3 février 2011

The Making of World-Class Universities, of the Chinese Variety

http://chronicle.com/img/global-header-logo.gifBy Paula Marantz Cohen (distinguished professor of English at Drexel University). It seems like a day doesn't pass without a news article, political speech, or editorial about the rise of China on the world stage and what it means for the West. In higher education, similar speculation about Chinese universities abounds.
But occasionally those institutions are misunderstood, especially when compared with their American peers. What is often overlooked is that the universities are trying to develop in a distinctly Chinese fashion.
I was recently in Beijing doing research for a documentary film about the two universities generally viewed as the best in China: Peking University, known as "Beida," and Tsinghua University. Both have demanding entrance requirements and draw the best and the brightest from all over China. Since the 1950s, they have developed complementary areas of specialization; Beida is associated with the liberal arts and Tsinghua with applied science. Those universities are fascinating places for an educator to visit, and though my time at each was short, I came away with some definite impressions about how the country's two most esteemed institutions are evolving.
Fifteen years ago, the Chinese government made a major decision to bolster higher education. It started Project 211, which designated 100 universities in the country as the principal recipients of state and local financing. In 1998, another government mandate, Project 985, narrowed the focus to 10 universities to create a core set of institutions that could compete effectively in the global arena. That number later grew to nearly 40. Peking University and Tsinghua University were the first and most generously supported under the new efforts. The intention: to elevate those venerable institutions as quickly as possible to "world class" status.
From what I could tell through informal discussion with educators in China, the narrowly focused Project 211 and the even narrower Project 985 have not been without controversy. The Chinese often refer to two principles that drive their national agenda: "development"—making the country competitive on a world stage; and "harmony"—maintaining the principles of equality inherent in Communist ideology. With thousands of institutions of higher learning languishing for lack of funds, the support of only 100, subsequently reduced even further, seems to place development far ahead of harmony. Yet defenders of the approach say it is a necessary first step in making Chinese higher education globally competitive.
During my visit, Peking University and Tsinghua University were often referred to as the Harvard and the MIT of China. Those designations, however, seem misleading. According to the many Chinese faculty members I spoke to, their universities are not yet on a par with our top universities, nor are the historical trajectories of their institutions comparable to ours.
Shifting Influences

Both Beida and Tsinghua were initially influenced by American universities (Tsinghua was founded through the fund-raising efforts of an American missionary), but during the new republic, German and Japanese influences came into play, and with the People's Revolution of 1949, the Soviet Union became the major source of influence. Throughout the 1950s, China followed the Soviet lead of creating specialized institutions as the best means of supporting industrial development. Thus, Tsinghua specialized in engineering, while the older and more traditional Beida specialized in literature and pure science. Each developed within those parameters until the late 1960s, when the Cultural Revolution brought all educational advances to a halt.
The piecemeal and shifting nature of this history might seem to be a handicap to Beida and Tsinghua as they seek to meet the needs of an information-driven, interdisciplinary world. But a closer look reveals that their checkered history may be an advantage. American universities, for all their many and diverse offerings, often seem stuck in institutional habits that are out of step with larger economic and social realities. The Chinese universities, owing to the structural alterations they have had to make over the years, are arguably more flexible and accommodating to change.
Chinese universities have been accused of copying American models as they seek to evolve, but there is evidence that they are also altering our models in original and effective ways. One noteworthy example is tenure, recently introduced in China but in a slightly different form from what we know in America. Contracts are granted not for life but for three-year periods, and while tenured professors are largely assured sustained employment, they undergo regular review. There are obvious political reasons for that approach, but it also has clear benefits, prodding faculty to remain engaged and productive for the length of their careers.
Incentives to Teach Well

A related innovation has to do with teaching. Those university professors not judged to be good teachers are placed on a research track, which, far from being a reward as in the United States, prevents those assigned to it from achieving the highest rank in their fields. The result is to create good researchers who work hard to become good teachers.
I was also impressed by innovative developments in the academic disciplines. Take, for example, the Tsinghua English department. During the Soviet-dominated period, Tsinghua University's best English professors were transferred to Peking University in accordance with the agenda of specialization. Over the past two decades, with that agenda reversed, Tsinghua has sought to rebuild its English department. But instead of duplicating the traditional orientation of Beida, which focuses on canonical English and American texts, Tsinghua has taken a broader approach, applying the latest Western literary methodologies—feminist theory, ecocriticism, and translation studies—to Chinese literature and culture. The goal, as Ning Wang, one of the more widely published and internationally known professors in the department told me, is to establish not an imitation of the West but a uniquely Chinese contribution to narrative theory and practice. That not only gives the Tsinghua English department a presence at foreign conferences and in edited volumes (something that the government looks favorably upon), it also inflects postmodern theory with a uniquely Chinese perspective.
Something similar seems to be under way in the area of technology. I was introduced to Qining Wang, a researcher in robotics at Peking University who, when asked why he was not at Tsinghua, as might be expected for an applied researcher, explained that he was receiving exceptional support where he was. I noted that his office was a self-standing structure located directly outside the gates of the university and that a private company had a share in underwriting his research. Like Tsinghua, Beida was finding innovative ways of opening itself both to a larger world and to wider disciplinary pursuits. (Mr. Wang's business card, significantly, identified him as a member of the university's Academy for Advanced Interdisciplinary Studies.)
One could say that Beida and Tsinghua are trying to evolve from lesser, fragmented institutions into Yale and Harvard. But this is to put things in Western terms. The drive to comprehensiveness also harks back to an earlier and uniquely Chinese tradition associated with Confucian teaching that acknowledges the interconnectedness of things and the importance of accommodation to context and to change. Just as the politics of the nation is now commonly referred to as "socialism with Chinese characteristics," those universities seeking to integrate their disparate pasts with elements necessary to compete globally in the future seem on their way to becoming "world-class universities with Chinese characteristics."
2 février 2011

La validation des acquis dans les établissements de l’enseignement supérieur en 2009

MESRDepuis 2007, le nombre total de diplômes délivrés au titre de la validation des acquis de l’expérience (VAE) par les universités et le CNAM est stable avec environ 4 100 validations annuelles. En 2009, pour plus de la moitié, les VAE octroyées sont des validations totales (2200); pour le reste, ce sont des validations d'une partie d’un diplôme (1900). Le nombre de validations délivrées en totalité sur l’ensemble de ces établissements oscille autour de 2000 depuis 2007.
En 2009, la part des diplômes complets atteint son plus haut niveau (53,1%), depuis la mise en place du dispositif (loi 2002). Les diplômes les plus recherchés sont la licence professionnelle, en fort développement, talonnée de près par le master. Les grands champs disciplinaires regroupant le plus de demandes restent "les sciences économiques, la gestion et l’administration économique et sociale". Télécharger la Note d'Information n° 11.03 janvier 2011.

La situation en PACA
Avec en 2009, avec 482 VAE, la Région PACA est la troisième de France après l'Ile de France (723) et Nord-Pas de Calais (634). C'était déjà le cas en 2007 et 2008.


À l’université et au CNAM, 4055 personnes ont bénéficié, en 2009, d’une validation de leurs acquis au titre de la validation des acquis de l’expérience (VAE) pour obtenir tout ou partie de diplôme. Ces validations représentent 90,6% du nombre de dossiers examinés par les jurys. Le nombre total de validations délivrées reste stable autour de 4 000 depuis 2007. Cette stabilité s’observe également pour la VAE relative aux diplômes de l’enseignement secondaire professionnel. Sur l’ensemble des établissements, les diplômes complets, en hausse en 2009, représentent 53,1% du total des décisions prises par les jurys contre 49,3% en 2008.
La part qu’ils représentent parmi l’ensemble des validations octroyées gagne en importance, elle s’établissait à 17% lors de la mise en place du dispositif. Délivrer une validation totale est une démarche aujourd’hui intégrée au sein des universités, toutes celles qui ont utilisé la VAE ont accordé au moins un diplôme dans sa totalité en 2009.
Le profil des bénéficiaires d’une VAE : le plus souvent des cadres

85,5% des bénéficiaires d’un diplôme en tout ou partie(s) sont des actifs en emploi. La proportion des demandeurs d’emploi parmi les bénéficiaires de VAE s’élève à 13,1%, soit plus de 3 points par rapport à celle observée dans l’ensemble de la population active. Les cadres, principaux bénéficiaires de la VAE depuis la mise en oeuvre du dispositif en 2002, représentent, en 2009, 43,2% des actifs en emploi qui s’inscrivent dans un parcours de VAE pour obtenir un diplôme ou un titre de l’enseignement supérieur. Bien qu’ils soient encore majoritaires parmi les bénéficiaires d’une VAE, leur part tend à diminuer au sein des salariés depuis 2007 (46,4% en 2008 et 51,2% en 2007). La proportion des professions intermédiaires, dont les techniciens, reste relativement stable par rapport à 2008. Si, chez les employés, celle-ci augmente légèrement, ces derniers demeurent cependant peu nombreux (près de un sur cinq, soit 19,5%) au regard de leur poids dans la population active salariée. Les ouvriers pèsent moins de 1%. Ces deux dernières catégories qui sont traditionnellement plus éloignées de la formation que les deux premières, utilisent davantage la VAE pour un diplôme de l’enseignement secondaire professionnel.
55,6 % des candidats dont le dossier de validation des acquis de l’expérience a été examiné sont des hommes. Enfin, parmi les bénéficiaires d’une VAE, les 30-39 ans sont les plus représentés (près de 41%). Les 40-49 ans sont à peine moins nombreux (39%). Seuls près de 8% des bénéficiaires ont moins de 30 ans.
Une grande diversité de pratiques selon les universités

En 2009, 83 établissements ont utilisé la VAE pour diplômer des adultes. En moyenne, le nombre de dossiers examinés par université est, comme en 2008, de 48 dossiers par établissement (environ 50 en 2007 et 43 en 2006). Les disparités entre établissements restent importantes puisque, dans huit d’entre eux, moins de dix dossiers ont été examinés par un jury alors que pour huit autres universités le nombre de dossiers examinés est supérieur à 100.
En 2009, tous les établissements qui ont utilisé la VAE ont accordé au moins un diplôme dans sa totalité. En 2007 et 2008, une seule université n’avait pas accordé de diplôme complet contre deux en 2006, trois en 2005 et sept en 2004. Pourtant, parmi les universités qui délivrent une centaine de décisions favorables, une certaine hétérogénéité concernant la validation totale est toujours observée : ainsi, la part que représentent les diplômes complets par rapport au total des décisions favorables est de 21,5% à Lille 1 et de 65,4% à Poitiers.
Des diplômes professionnels attractifs

En 2009, la licence professionnelle représente 35% des validations attribuées pour tout ou partie du diplôme dans le cadre d’une VAE. Elle supplante ainsi le master, diplôme le plus recherché jusqu’à présent par ceux qui font le choix de la VAE. Cependant, avec près de 3% des bénéficiaires, le master figure toujours en bonne place parmi les diplômes professionnels octroyés dans ce cadre. Ceux-ci restent très plébiscités en raison de l’attractivité importante qu’ils exercent pour l’insertion professionnelle. L’interrogation, renouvelée en 2009 sur les grands champs disciplinaires, montre à nouveau que les sciences économiques, la gestion et l’AES attirent toujours davantage de candidats (plus du tiers, 35,4%), suivies des sciences fondamentales appliquées (27,3%) et des sciences humaines et sociales, dont l’information et la communication
(22,1%).
Renforcer les partenariats universités-entreprises : un autre aspect de la VAE

Les partenariats conclus entre les universités et les entreprises publiques comme privées se développent et se concentrent principalement sur une dizaine d’universités. En 2009, la proportion de conventions conclues entre les organismes publics et privés est sensiblement égale, mais le nombre réalisé de VAE est plus important dans la sphère privée. La VAE, sous une forme plus collective, a pour objectif de permettre à certains salariés de ces organismes publics et privés de bénéficier d’un diplôme dans une discipline proposée par l’université. Cette demande auprès des universités peut varier selon les années.
À cet effet, selon les universités, le nombre de VAE délivrées serait en lien avec le développement de ces partenariats, notamment par l’introduction de nouvelles demandes de conventions dans des disciplines couvertes par des licences professionnelles (par exemple, le domaine de l’AES), et avec l’ouverture de nouvelles formations (comme les formations aux métiers de la banque ou aux nouvelles technologies), pour permettre de répondre à des besoins émergents de qualification.
Quelques aspects régionaux de la VAE

Depuis trois ans, on constate une stagnation du nombre de validations en VAE. Se placer à un niveau régional permet de dégager des tendances. Un certain nombre de régions se démarquent de la tendance générale. D’une part, les régions Île-de-France, Bretagne et Poitou-Charentes affichent une baisse continue du nombre total des validations, parfois un peu amortie notamment au niveau des diplômes complets. D’autre part, les régions Aquitaine, Auvergne, Pays de la Loire s’inscrivent dans une autre dynamique : une hausse continue du nombre total des validations et des diplômes complets délivrés. Enfin, certaines régions sont orientées à la baisse, notamment pour les diplômes complets : le Centre, le Nord-Pas-de-Calais, la Provence-Alpes-Côte-d’Azur et la Picardie. Toutefois, même si la VAE semble avoir atteint un palier, l’effort poursuivi par les universités est à souligner. Cet engagement a permis le développement et l’attribution de diplômes complets de l’enseignement supérieur par cette voie de certification.
MoR
Since 2007, the total number of diplomas issued under the accreditation of prior learning (APL) by universities and CNAM is stable with approximately 4100 annual validations. In 2009, for more than half the VAE are granted total validations (2200); the rest are validations of part of a diploma (1900).The number of validation issued in full on all these institutions hovered around 2000 since 2007.
In 2009, the share of full degrees at its highest level (53.1%) since the introduction of the device (Law 2002).
The diplomas are the most sought after professional degree, strong growth, closely followed closely by the master. The major subject areas comprising the most requests are "economics, management and economic and social administration." Download Information Note heading 11.03 in January 2011.
The situation in PACA
With in 2009, with 482 VAE, the PACA is the third in France after Ile de France (723) and Nord-Pas de Calais (634).It was already the case in 2007 and 2008. More...
2 février 2011

Académie des Langues Anciennes, édition 2011: Proto-sinaïtique, Ethiopien, Géorgien et Tibétain

L'ACADEMIE DES LANGUES ANCIENNES,
finançable par le DIF pour les salariés,
du 19 au 29 juillet 2011 à Digne-les-Bains

Depuis plus d’un quart de siècle, l’Académie des langues anciennes dispense un enseignement de qualité dans une ambiance détendue. Elle offre une occasion unique d’apprendre à lire pendant l’été des textes anciens de la Méditerranée, du Proche et de l’Extrême-Orient. Vous accéderez à un héritage culturel, en devenant des lecteurs autonomes du plus vieux patrimoine écrit de l’Humanité. Il est proposé deux formules de cours : 5 heures de cours/jours ou 2 heures/jours, la dernière formule permet d’autres activités dans la journée. Cette « Université d’été », organisée par l’Université de Provence et le Centre Paul-Albert Février du CNRS, a lieu, dans la seconde quinzaine de juillet, à Digne-les-Bains, au cœur des Alpes provençales.
Il existe à peu près 6703 langues parlées recensées de par le monde, et sans doute ce chiffre pourrait être considérablement majoré si l’on se penchait sur l’antiquité, à en croire le rythme accéléré auquel disparaissent aujourd’hui les langues. Et que dire des écritures ?
L’Académie propose quelques-unes des langues les plus utilisées dans le monde ancien dont certaines ont disparu, mais dont d’autres — langues de communication, langues religieuses, — sont plus ou moins stables, pour certaines, jusqu’à aujourd’hui. Au fronton de cette Académie existant depuis plus d’un quart de siècle, on pourrait inscrire cette maxime « qu’aucune langue, fût-ce la plus complexe, ne saurait résister à l’effort et à la persévérance ». Et l’on ajouterait : « parce que c’est un plaisir sans égal que de découvrir de nouveaux mondes. »

http://www.academie-des-langues-anciennes.fr/wp-content/uploads/Affiche-2011.jpg

Nos étudiants sont des artistes. Voici quelques joli vers de Claude Tappero d’après la Légende de la Nonne de Victor Hugo, mise en musique par Georges Brassens, que les anciens de l'Académie se plairont à retrouver:

On sait que dans la ville de Digne,
Chaque année au milieu de l’été,
Les professeurs les plus insignes
Ont rendez-vous à l’IUT.
Que personne ne se tracasse,
C’est sûr on va se régaler.
Ami, c’est de l’hébreu, potasse !
Ou Emmanuel va râler.
Les élèves avec leur cartable
Se retrouvent tous les matins
Pour traduire, chose impensable,
Des textes grecs ou du latin.
Dans le grand amphi ils s’entassent,
Les cours vont bientôt commencer.
Ami, c’est de l’hébreu, potasse !
Sinon Axel va te tancer.
Ils viennent de tous les coins de France,
Quelques uns même de l’étranger.
Un manuscrit les met en transe,
La grammaire les fait gamberger.
Même si c’est dur il faut faire face
Et ne pas se décourager.
Ami, c’est de l’hébreu, potasse !
Sinon Frédéric va rager.
Avouez que l’après-midi 
La chaleur et la digestion
Viennent à bout des plus hardis
On arrive à saturation.
Et par moment, quoi que l’on fasse,
L’envie vous gagne de roupiller
Ami, c’est de l’hébreu, potasse !
Sinon tu vas te faire houspiller.
Moi, j’ai choisi l’ougaritique
Pour ne pas me lever trop tôt.
La formule B c’est bien pratique,
De plus, le prof c’est Cassuto.
Il nous explique sa méthode,
Ras Shamra et son alphabet.
Oula ce n’est pas si commode
De s’y retrouver dans ce chantier.
Déchiffrer le cunéiforme,
Ce n’est pas toujours rigolo ;
Heureusement qu’Edouard Dhorme,
Bauer et aussi Virolleaud
Ont trouvé la clef qui nous ouvre
L’accès à ce monde inconnu.
Ami, viens avec nous, découvre
Un langage encore méconnu.
Nos traductions parfois divergent
D’avec la version de Caquot.
On n’est pas sorti de l’auberge,
Le nez plongé dans le dico.
Même Philippe reste perplexe :
Que d’hypothèses farfelues !
Ami, ne fais pas de complexe !
Tu n’as peut-être pas tort non plus.
C’est que dans cette langue antique
On est toujours un peu dans le flou.
Les voyelles sont hypothétiques
Le scribe se trompe parfois de clou.
Si tout cela nous embarrasse
Bordreuil est là pour nous sauver.
Si la syntaxe nous terrasse,
Philippe vient nous relever.
Cette vieille littérature
N’a rien d’austère ni de lassant.
Carnages, meurtres et forfaitures
Font couler des fleuves de sang.
L’inceste et la pornographie
Etaient là il y a trois mille ans.
Ami, la paléographie,
Qu’on se le dise, c’est excitant.
Au réveil, si je me sens patraque,
Je pense à ceux qui vont trimer,
Qui s’usent les yeux sur du syriaque
Ou grimpent à l’Echelle de Mahomet.
Ça me redonne du courage
Pour m’occuper d’Anat et de Baal,
Et à chaque nouvelle page
J’affine le système verbal.
Après dix jours d’efforts intenses
Les stagiaires sont lessivés.
Mais grâce à ce labeur immense
Ils sont fiers d’y être arrivés.
Egyptien, copte, langues sémitiques,
Hittite, pour eux n’ont plus de secret.
C’est de l’hébreu, pas de panique !
A l’Académie c’est le pied !
Déjà nos cours de langues anciennes
Sont sur le point de s’achever.
Avant de fermer les persiennes
Il est encore temps de lever
Son verre à la beauté de la Science,
Aux professeurs et aux amis.
Mon Dieu, que nous avons de la chance
D’avoir connu l’Académie !


Session 2010, Digne du 13 au 23 juillet, Session 2009, Digne du 13 au 24 juillet, Session 2008, Digne du 14 au 25 juillet.

 

THE ACADEMY OF ANCIENT LANGUAGES ,
fundable by DIF for employees
from 19 to 29 July 2011 in Digne-les-Bains


For over a quarter century, the Academy of Ancient Languages provides quality education in a relaxed atmosphere.
It offers a unique opportunity to learn to read during the summer of ancient texts of the Mediterranean, Near and Far East. You to a cultural heritage by becoming independent readers of the oldest written heritage of humanity. It is proposed two courses: 5 lessons / days or 2 hours / day, the last formula allows for other activities during the day. This "Summer University", organized by the University of Provence and the Centre Paul-Albert February CNRS, takes place in the second half of July to Digne-les-Bains in the heart of the Alps of Provence.

http://www.academie-des-langues-anciennes.fr/wp-content/uploads/Affiche-2011.jpg


. 2010 session, Worthy of July 13 to 23, 2009 Session, Worthy of July 13 to 24, 2008 Session, Worthy of July 14 to 25. More...

2 février 2011

“Innover ensemble pour l’emploi des seniors”

http://www.conf2011fse.fr/squelettes/img/data/xlogo.png.pagespeed.ic.2xSt4DGIQj.pngLa conférence FSE 2011 «Innover ensemble pour l’emploi des seniors» a lieu le jeudi 31 mars 2011 dans le Grand Auditorium de la Bibliothèque nationale de France – site François Mitterrand à Paris. L’accueil des participants s’effectue en bas de l’entrée Est (près du cinéma MK2) à partir de 08h30. La conférence se termine à 16h30. Voir la Vidéo La France innove pour l'emploi des seniors sur Dailymotion.
La soirée d’accueil des participants a lieu le mercredi 30 mars 2011 à la Bibliothèque Nationale de France - François Mitterrand. À 19h15 : « A la rencontre des Globes du Roi Soleil ». Cette découverte des deux globes terrestres dédiés au Roi Louis XIV par l’artiste italien Coronelli est commentée par des conférenciers. À 20h15 : Cocktail d’accueil des participants au Belvédère. Ce cocktail est offert aux participants à la conférence FSE par la Délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle, organisatrice de la conférence. En savoir plus.
Conférence du 31 mars 2011
Investir dans le maintien dans l’emploi et le développement des compétences des seniors.

Comment assurer le maintien dans l’emploi des seniors dans un contexte d’allongement de la vie professionnelle ? Quel peut être le rôle du FSE pour contribuer à mettre en commun les savoirs pour une employabilité durable, améliorer la qualité de la vie des plus de 55 ans au travail, encourager la transmission des savoir-faire entre générations ?
Accompagner le retour à l’emploi des seniors.
Comment permettre aux seniors de retrouver un emploi après un épisode de chômage ? Quelles sont les actions à privilégier pour lever les freins à l’embauche des plus de 55 ans dans les entreprises ? Quelles sont les stratégies possibles entre acteurs sur les territoires ? Quelles sont les idées et les initiatives qui ont été couronnées de succès dans les autres Etats membres avec le soutien financier du FSE ?
Au programme des débats :
- Comment assurer le maintien dans l’emploi des seniors et améliorer la qualité de leur vie au travail ?
- Comment faciliter la transmission des savoir-faire aux plus jeunes ?
- Comment permettre aux seniors de retrouver un emploi après un épisode de chômage ?
- Quel peut être l’appui du Fonds social européen dans le recensement et l’essaimage des meilleures pratiques existantes ?
Vous pouvez dès aujourd’hui vous inscrire et consulter les documents préparatoires. Pour toute question sur les modalités pratiques de la conférence, le secrétariat de la manifestation est à votre disposition par mail contact@conf2011fse.fr ou par téléphone au +33 1 44 82 45 28.

http://www.conf2011fse.fr/squelettes/img/data/xlogo.png.pagespeed.ic.2xSt4DGIQj.png ESF Կոնֆերանսի 2011 »Innovating միասին ավագ զբաղվածության« տեղի է ունենում Հինգշաբթի, Մարտ 31, 2011 թ մեծ լսարան է Bibliothèque nationale de France - Շինհրապարակում Ֆրանսուա Mitterrand Փարիզում. Ողջունելով մասնակիցներին իրականացվում ներքեւ արեւելյան մուտքի մոտ (մոտ կինոյի MK2) հեռավորությունը Համաժողովի ավարտվում է 16:30. View Video , Ֆրանսիան innovates բարձրաստիճան զբաղվածության մասին Dailymotion. Այժմ կարող եք գրանցվել եւ դիտիր նախապատրաստական փաստաթղթեր. Համար վերաբերյալ հարցերին գործնական պայմանավորվածություններ համաժողովին, Քարտուղարության միջոցառման առկա է փոստով contact@conf2011fse.fr կամ հեռախոսը +33 1 44 82 45 28 begin_of_the_skype_highlighting              +33 1 44 82 45 28     . Ավելին...

2 février 2011

Continuité professionnelle en Île-de-France

http://www.iledefrance.fr/fileadmin/templates/images/logo4.gifContinuité professionnelle : la Région Île-de-France accompagne 17.000 salariés supplémentaires. Télécharger le communiqué de presse.
La Région Ile-de-France poursuit activement la mise en place de sa politique de soutien à la continuité des parcours professionnels des Franciliens. Jean-Paul Huchon et Emmanuel Maurel, Vice-président chargé de la Formation professionnelle, ont fait voter aujourd’hui près de 8,6 millions d’euros de crédits pour l’accompagnement de plus de 17.000 salariés.
En septembre 2010, le Conseil régional votait un rapport-cadre pour renforcer ses actions de formation face à la montée du chômage et des inégalités sur le marché du travail. La Région s’est donné l’objectif de 50.000 parcours de continuité professionnelle d’ici 2014, en partenariat avec les Organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA). Il s’agit de mobiliser tous les outils de la formation professionnelle pour aider les salariés et les demandeurs d’emploi à consolider leur emploi ou à se reconvertir. Ces formations bénéficient aux salariés d’un territoire ou d’un secteur professionnel donné.
Ce soutien vise prioritairement les salariés des TPE/PME, sans qualification ou peu qualifiés. L’accent est mis sur les formations aux « métiers verts » ou permettant de lutter contre l’illettrisme. Une attention particulière est portée aux salariés en deuxième partie de carrière, aux femmes et aux travailleurs handicapés. Des conventions sont passées avec les OPCA pour mettre en oeuvre cette politique. Le rapport voté aujourd’hui concerne les projets d’Agefos-PME Ile-de-France, organisme interprofessionnel, et ceux des OPCA de neuf branches: *communication graphique et multimédia, *hôtellerie-restauration, *industries chimiques, pétrolières et pharmaceutiques, *production agricole, *industries de la métallurgie, *bâtiment et travaux publics, *culture, communication et loisirs, *acteurs de la ville, *services de l’automobile.
Avec ce rapport, la Région concrétise son bouclier social pour les travailleurs touchés par la crise. « Le projet politique que nous portons au sein de la majorité régionale, et que nous partageons avec de nombreux acteurs du mouvement social, c'est celui de la Sécurité sociale professionnelle », déclare Emmanuel Maurel. « Tout en appelant de nos voeux cette Sécurité sociale professionnelle, nous avons décidé d’agir, à droit constant. La Région Ile-de-France est, de ce point de vue, un laboratoire où nous proposons des réponses innovantes et concrètes».
http://www.iledefrance.fr/fileadmin/templates/images/logo4.gif Kontinwità professjonali: l-Ile-de-France jappoġġja 17,000 impjegati addizzjonali.Niżżel il- komunikat stampa.
Il-Ile-de-France qiegħda ssegwi b'mod attiv l-implimentazzjoni tal-politika tagħha biex tappoġġja l-kontinwità tal-karrieri ta Parisians.
Jean-Paul Huchon u Emmanuel Maurel, Viċi-President għat-Taħriġ, kellhom vot tal-lum kważi $ 8,600,000 approprjazzjoni għall-appoġġ ta 'aktar minn 17,000 impjegat. More...

<< < 10 11 12 > >>
Newsletter
49 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 2 783 549
Formation Continue du Supérieur
Archives