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Formation Continue du Supérieur
27 novembre 2010

Qualité des stages dans l’enseignement supérieur

http://www.cereq.fr/images/net71.jpgL’effet de la qualité des stages sur l’insertion professionnelle. Le cas des diplômés de l’enseignement supérieur.
Les stages sont régulièrement présentés comme une condition nécessaire, si ce n’est suffisante, d’une bonne insertion sur le marché du travail. Les compétences acquises en dehors du système éducatif procureraient aux stagiaires un avantage décisif pour trouver un emploi. Des inquiétudes sont néanmoins apparues ces dernières années face à une multiplication des stages dans le parcours des étudiants, ce qui retarderait leur accès à une première activité salariée sans pour autant donner une réelle valeur professionnelle à ces expériences acquises en cours d’études. Ils permettraient de plus à certains employeurs d’ajuster leur main d’oeuvre aux variations de l’activité économique et se substitueraient aux recrutements. Lire le document.
http://www.cereq.fr/images/net71.jpgHet effect van de kwaliteit van de opleidingen op de inzetbaarheid. Voor afgestudeerden van het hoger onderwijs.
De cursussen worden regelmatig gepresenteerd als een noodzakelijke Als er niet voldoende, goede integratie in de arbeidsmarkt. De vaardigheden die buiten het onderwijs zou leerlingen te voorzien van een beslissend voordeel bij het vinden van werk.
Zorg is evenwel gebleken in de afgelopen jaren als gevolg van een toename van het aantal cursussen in de loopbaan van studenten, die voor het eerst de werkgelegenheid zou vertragen hun toegang tot, zonder een echte zakelijke waarde van deze ervaringen tijdens hun studies. Ze laten meer van bepaalde werkgevers om werknemers aan te passen aan veranderingen in hun economische activiteit en in plaats van de werving. Meer...
27 novembre 2010

L’universitarisation de la formation des professions de santé

http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgLe bureau de la CPU organise, sous la conduite de la commission des questions de santé un séminaire sur l’universitarisation des professions de santé, mercredi 1er décembre, de 9h30 à 16h, à la maison des Universités (103 boulevard Saint-Michel), en salle de Conférences.
Ce séminaire est réservé aux présidents d'université.
Lieu: Maison des universités (103 Bd Saint-Michel - Paris 5e).
Communiqué commun CPU, Conférence des Doyens des Facultés de Médecine et CNU

Le 17 novembre dernier, le Sénat n'a pas adopté l'article 3 de la proposition de loi relative, notamment, aux conditions de recrutement du personnel hospitalier et universitaire dans les disciplines biologiques. Cette nouvelle loi avait comme but de permettre le maintien, pour les CH et U, des capacités de recrutement de médecins ou pharmaciens non titulaires du DES de biologie médicale dans les disciplines biologiques...
http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpgL’objectif des signataires est du domaine de la synergie d'excellence, il n’est pas dans leur intention de déséquilibrer le fonctionnement de la biologie, ni de créer une biologie inégale à deux vitesses mettant en péril la santé publique. Il reste primordial que ceux ayant un parcours d'excellence, mais ayant débuté leur cursus par un internat de médecine ou de pharmacie dans une autre filière que la biologie médicale, puissent avoir accès aux carrières hospitalo-universitaires des spécialités de la biologie médicale. Ces candidats d'exception avaient jusqu'à présent parfois un renom international au moment de leur nomination, grâce à des séjours prolongés à l'étranger et des publications avec un nombre très élevé de citations. Il faut maintenir une biologie médicale française pleinement créative, dynamique et innovante grâce à la diversité de ses partenaires. Enfin, il ne faut pas oublier que pour les jeunes biologistes l'engagement dans une carrière hospitalo-universitaire est associé à un parcours long et difficile (nécessité de l'obtention d'une thèse d'Université, d'une HDR, d'une mobilité extérieure d'une année)...
http://www.cpu.fr/fileadmin/img/logo_cpu.jpg The office of the CPU organizes, under the leadership of the Committee on Health universitarization a seminar on Occupational Health, Wednesday, 1 December, from 9.30 to 16h, home of Universities (103 Boulevard Saint-Michel) Conference room.
This seminar is for university presidents.

Location: House of Universities (103 Boulevard Saint-Michel - Paris 5e).

Joint Communique CPU, Conference of Deans of Faculties of Medicine and CNU

On 17 November, the Senate has not adopted Article 3 of the bill on, inter alia, conditions of recruitment of hospital staff and university in the biological disciplines.
This new law was aimed at enabling the maintenance for the CH and U, the potential for recruiting doctors and pharmacists do not hold medical biological disciplines in the biological... More...
27 novembre 2010

Nouveau pas dans le rapprochement des universités de Lyon et Saint-Etienne

info-economique : Les projets et l’actualité économique des entreprise en Rhône-Alpes et PACALes universités de Lyon et Saint-Etienne, déjà regroupées au sein du PRES Université de Lyon (associant 19 établissements publics et privés), font un pas supplémentaire les unes vers les autres. Le rapprochement concerté, qui pourrait être envisagé dans une nouvelle structure à définir, entre dans la perspective de la construction d’une grande métropole Lyon-Saint-Etienne. "L’enjeu de la réflexion actuelle est de rapprocher davantage universités et écoles afin d’accroître la visibilité internationale de l’offre de formation et de recherche, de réaliser un maillage territorial de la formation (…) et de simplifier le fonctionnement administratif en réduisant les tutelles". Khaled Bouabdallah (pdt de l’Université Jean Monnet de Saint-Etienne), Hugues Fulchiron (pdt de Lyon 3), André Tiran (pdt de Lyon 2) et Lionel Collet (pdt de Lyon 1) viennent de faire une déclaration commune allant dans ce sens, soulignant l’importance d’une recomposition du paysage universitaire métropolitain entre les deux agglomérations.

proġetti Info-ekonomiċi u aħbarijiet ekonomiċi fil-kumpanija Rhone-Alpes u PACAUniversitajiet ta 'Lyon u Saint-Etienne, diġà miġbura fil-PRES Université de Lyon (li jinvolvu 19 pubbliċi u privati), huma pass lejn xulxin. "Il-kurrent ħsieb isfida hija eqreb lejn universitajiet u skejjel biex tiżdied il-viżibilità internazzjonali tal-provvista ta 'taħriġ u riċerka, li twettaq netwerk nazzjonali ta' (...) taħriġ u tissimplifika l-funzjonament amministrattivi tnaqqas il-tutela. " Khaled Bouabdallah (PDT ta 'l- Università Jean Monnet Saint-Etienne), Hugh Fulchiron (PDT ta ' Lyon 3 ), André Tiran (PDT ta ' Lyon 2 ) u Lionel Collet (PDT ta ' Lyon 1 ) li toħroġ fi stqarrija konġunta sens, li jenfasizzaw l-importanza tal-ifformular mill-pajsaġġ akkademiku bejn l-ibliet metropolitani tnejn. More...

26 novembre 2010

La proposition de loi dite Adnot

http://www.assemblee-nationale.fr/commun/img2010/fd-header-niveau3.jpgLa commission des Affaires culturelles et de l'Éducation de l'Assemblée nationale a adopté la proposition de loi "relative aux activités immobilières des établissements d'enseignement supérieur, aux structures interuniversitaires de coopération et aux conditions de recrutement et d'emploi du personnel enseignant et universitaire". Elle comporte notamment une disposition visant à permettre aux universités de disposer des droits réels sur les bâtiments que l'État leur affecte, même sans en avoir demandé le transfert. La proposition sera examinée par les députés en séance publique le 30 novembre. Voir le débat de la Commission des affaires culturelles et de l’éducation.
http://www.assemblee-nationale.fr/commun/img2010/fd-header-niveau3.jpg Het Comite Culturele Zaken en Onderwijs van de Nationale Assemblee aangenomen wetsontwerp "met betrekking tot onroerend goed activiteiten van instellingen voor hoger onderwijs, structuren inter-universitaire samenwerking en de voorwaarden voor werving en aanstelling van leerkrachten en de universiteit". Zie de bespreking van de Commissie voor Culturele Zaken en Onderwijs. Meer...
26 novembre 2010

Global Higher Education Rankings 2010

http://www.higheredstrategy.com/img/layout/HESA-logo.gifThe Global Higher Education Rankings 2010 is the second iteration of our well-known comparison of affordability and accessibility in higher education. Covering seventeen countries in all, the report presents data on a six different indicators of affordability (taking into account in various combinations of costs and subsidies) and four different indictors of accessibility (looking at participation, attainment and equality of access). The overall winner in both categories was Finland; however, a number of countries saw some substantial differences in their affordability and accessibility rankings, suggesting that the two concepts are not necessarily very tightly linked. To read this report please click here. La France est 7e en terme de coûts et seulement 11e en terme d'accès à l'Enseignement supérieur.
Costs
Canada, the Netherlands, the United States and New Zealand each give out aid equal to roughly 40 percent of total costs, followed by England and Wales (36%), Australia (27%), Latvia and France (21% each) and Japan (18 percent). Mexico provides its students with practically no aid at all, with total aid equalling just 1% of total costs.
The most generous system is Germany’s, where students’ families are provided with very generous allowances, to tune of almost $2,500 US per student per year. Canada, (tax credits based in tuition and months of study and France (family allowances) also have reasonably generous tax assistance packages for their students and their families.
Another major tool for improving the affordability of education are student loans, which are used by all fifteen jurisdictions covered by this survey. Two of these countries’ programs (Mexico’s and France’s), however, are little more than nominal, while two others – Germany’s and Latvia’s – are quite restrictive in the amounts they dole out to students. Denmark’s loan system is relatively small due to the generosity of its grant system (see above, table 10). At the other extreme, the United States ($4,677), Finland ($4,281), and Sweden ($4,030) had relatively high amounts of loans, with Japan not far behind.
Costs in New Zealand and Canada also fall substantially towards European levels when using this measure of affordability; both end up being roughly equivalent to France... There are then a group of countries including Denmark, France, Latvia, Canada, New Zealand, the Netherlands, England and Wales with costs ranging from 17% to 40% of median income.
The Netherlands and France form the next group of countries, somewhat more expensive than the first group of five but still noticeably less expensive than the cluster of Latvia, Canada and New Zealand which follows.
Accessibility of higher education Rankings
This section looks at the data on the accessibility of higher education in various countries around the world. Unfortunately, data on accessibility is far less open to comparison than is data on affordability. Simply put, different countries care about different aspects of accessibility to different degrees, and hence collect very different statistics about their own systems. This renders detailed comparisons very difficult and limits our ability to make useful comparisons. As such, the accessibility rankings have used indicators, which are, albeit rough, widely available.
Finland has the highest participation rate among the countries in this study with 41.3 percent of its 22-25 year-olds participating in higher education. Portugal (40.6%), France and England and Wales (34%), Norway (33%) and France (33%) are next, meaning that the top five countries in terms of participation are all European. Despite being in ninth, the United States is however, only marginally behind at 30%.
Next come a group of continental European countries – Sweden, France and Germany. They all have relatively mature systems of higher education, but tend to have very weak performance both in terms of participation and in terms of EEI. In effect, they all have smaller, more elite systems of higher education, and their scores reflect that.
Conclusion
The preceding pages have examined in some detail the issues of accessibility and affordability in comparative perspective. But what, in sum, does all this data and these rankings really tell us?
First of all, it tells us that Norway, the Netherlands and above all Finland are models for the international community when it comes to accessibility and affordability. All have high rates of access, high attainment rates, extensive programs of both loans and grants, and student bodies that are reasonably reflective of broader society. These countries are the undisputed success stories of this survey.
Second, the data and rankings suggest quite strongly that the links between accessibility and affordability are not as straightforward as some policymakers and analysts believe. Sweden and Germany, for instance, both of which do very well on the affordability scores, do not do especially well on any of the key measures of accessibility. On the other hand, the United States, which fare poorly on most affordability measures, does reasonably well in terms of accessibility. Finland, Norway and the Netherlands, have high scores across both the affordability and accessibility rankings.
Third, the data and rankings indicate that while continental European countries are generally more affordable than their North American and Australasian counterparts, the gap is less than is sometimes imagined. New Zealand and Canada, for instance, both of which have substantial tuition fees, are on some measures cheaper than countries like France, which do not have tuition fees at all.
Third, the data and rankings indicate that while continental European countries are generally more affordable than their North American and Australasian counterparts, the gap is less than is sometimes imagined. New Zealand and Canada, for instance, both of which have substantial tuition fees, are on some measures cheaper than countries like France, which do not have tuition fees at all.
Fourth, we have been able to show that in some countries – notably Mexico, Japan and the United States which have substantial private sectors – there are some substantial differences between “average costs” and “minimum available costs” and we have been able to make comparisons on the basis of both.
None of these findings are, of course, conclusive. There is much work still to be done in terms of fine-tuning the measurements and definitions of affordability and accessibility. Our affordability indicators, could, for instance be improved if we could more accurately unpack the total, net-and out-of-pocket costs facing students from different income groups, which would allow us to avoid “average cost” measures and allow us to focus more closely on the plight of the disadvantaged in each country. We are still not able to do this conclusively because very few countries publish sufficiently detailed data about the beneficiaries of their aid programs.
We also face a continuing difficulty in looking at accessibility in a comparative context. Participation, attainment and gender equity data is widely available across countries, but good data on the social origin of students in most countries is extremely limited, even at the level of relatively simple indicators such as the EEI. Even in those countries where EEI data is available, our rankings could be improved if data could be obtained not just for higher education as a whole, but also for specific advanced types of graduate and professional education, so that stratification differences between types of higher education institutions could also be examined.
Still, we believe that even in the absence of improved data, the second iteration of our rankings project can serve a significant purpose in bringing rigour to international comparative discussions on access and affordability, and to begin an international discussion on higher education by posing the questions of what makes higher education truly “affordable” and “accessible.” As public finances are becoming increasingly stretched due to changing demography and the lingering effects of the 2008 financial crisis, the future of millions of young people around the world hinges upon researchers and policy makers getting the answers to these questions right.
Keeping it Interesting
Keeping it Interesting, the first in HESA’s “Intelligence Briefs” series, uses Higher Education Strategy Associates’ student research panel to examine the elements of good and bad classroom experiences. The data point unequivocally to the conclusion that for most students, the key variable in making a great educational experience was the subject matter of the class and quality of the teaching. Though not completely irrelevant, the use of technology, quality of other students, class size, and quality of teaching assistants were considerably less important than the main factors. To read this report please click here.
26 novembre 2010

Le "grand établissement" lorrain inquiète les syndicats

http://www.ecoles-entreprises.com/imgs/logo.gifDans une lettre conjointe adressée le 15 novembre à Valérie Pécresse, l'UNEF et le SNESUP ont fait part de leurs inquiétudes quant à la prochaine fusion des établissement d'enseignement supérieur lorrains. Les deux syndicats sont notamment opposés au statut de "grand établissement" que pourrait prendre cette future Université de Lorraine.
Selon l'UNEF et le SNESUP, ce statut particulier permettrait à l'Université de Lorraine "de déroger au principe de non-sélection des étudiants en première année" et "ouvrirait la porte au développement d’une offre de formation centrée autours de diplômes d’établissements afin de fixer librement le montant des droits d'inscription".
Les deux organisations s'inquiètent également de la future gouvernance, notamment pour les UFR : "les UFR sont remplacées par des UER, pour lesquelles la loi ne garantit rien en matière de composition des conseils et de désignation des élus et des directeurs".
Dans leur lettre à la ministre, les syndicats réclament plus largement une régulation nationale pour les regroupements entre établissements d'enseignement supérieur, ainsi qu'un moratoire sur les fusions d'universités. L'UNEF contre le Grand Etablissement en Lorraine. Jean-Pierre Finance élu président du PRES lorrain.
http://www.ecoles-entreprises.com/imgs/logo.gif In einem gemeinsamen Schreiben am 15. November um Valerie Pécresse, äußerte UNEF und SNESUP ihre Besorgnis über die bevorstehende Fusion der Hochschule Lothringen. Beide Gewerkschaften sind besonders auf den Status des "Big Business", dass die künftige Universität von Lothringen machen könnte dagegen. Nach Angaben der UNEF und SNESUP, diesen besonderen Status würde der University of Lorraine "weichen von den Grundsatz der Nicht-Auswahl der Studienanfänger" ermöglichen und "öffnen die Tür für die Entwicklung der Ausbildung rund um Studium zentriert Institutionen frei gesetzt die Höhe der Gebühren." Mehr...
26 novembre 2010

Tout sur la POE

http://www.dell.com/downloads/global/corporate/about_dell/cgpme_300.jpgLa loi de réforme de la formation professionnelle du 24 novembre 2009 a créé, - il s'agit d'une proposition de la CGPME - le dispositif de préparation opérationnelle à l’emploi (POE) à destination des demandeurs d’emploi indemnisés ou non. La préparation opérationnelle à l’emploi permet à un demandeur d’emploi de bénéficier d’une formation nécessaire à l’acquisition des compétences requises pour occuper un emploi correspondant à une offre déposée auprès de Pôle emploi. A l’issue de la formation, qui est dispensée préalablement à l’entrée dans l’entreprise, un contrat de travail en CDI, Contrat de professionnalisation à durée indéterminée, ou CDD d’une durée minimum de douze mois peut être conclu par l’employeur et le demandeur d’emploi. En savoir plus.
Préparation opérationnelle à l’emploi
« Art. L. 6326-1. – La préparation opérationnelle à l’emploi permet à un demandeur d’emploi de bénéficier d’une formation nécessaire à l’acquisition des compétences requises pour occuper un emploi correspondant à une offre déposée par une entreprise auprès de l’institution mentionnée à l’article L. 5312-1(1). L’offre d’emploi est située dans la zone géographique privilégiée définie par le projet personnalisé d’accès à l’emploi du demandeur d’emploi.
A l’issue de la formation, qui est dispensée préalablement à l’entrée dans l’entreprise, le contrat de travail qui peut être conclu par l’employeur et le demandeur d’emploi est un contrat à durée indéterminée, un contrat de professionnalisation à durée indéterminée ou un contrat à durée déterminée d’une durée minimale de douze mois.
Art. L. 6326-2. – Dans le cadre de la préparation opérationnelle à l’emploi, la formation est financée par l’institution mentionnée à l’article L. 5312-1 ( Pôle Emploi) le fonds mentionné à l’article L. 6332-18 ( Fond Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels) et l’organisme collecteur paritaire agréé dont relève l’entreprise concernée peuvent contribuer au financement du coût pédagogique et des frais annexes de la formation.
L’entreprise, en concertation avec l’institution mentionnée à l’article L. 5312-1 et avec l’organisme collecteur paritaire agréé dont elle relève, définit les compétences que le demandeur d’emploi acquiert au cours de la formation pour occuper l’emploi proposé.
http://www.dell.com/downloads/global/corporate/about_dell/cgpme_300.jpg Il-riforma tal-liġi ta 'taħriġ vokazzjonali 24 ta' Novembru 2009 ħolqot - hija CGPME proposta - it-tifsira ta 'prontezza operazzjonali għall-impjieg (POE) għal persuni li jfittxu impieg jew mhux ikkumpensat. Prontezza operazzjonali għall-impjieg tippermetti min ikun qed ifittex li jirċievi taħriġ meħtieġ sabiex jiksbu l-ħiliet meħtieġa għall-impjiegi li jaqblu mal-offerta magħmula lill-ċentru tax-xogħol.  Wara t-taħriġ, li huwa mogħti qabel ma jissieħeb fl-kumpanija, kuntratt ta 'CDI kuntratt professjonalizzazzjoni xogħol għal żmien indefinit, jew is-CSD b'terminu minimu ta' tnax-il xahar jista 'jiġi konkluż mill- iħaddem u l-migrant. Tgħallem aktar. More...
26 novembre 2010

Benchmarking Conference

Viena_finalBenchmarking Conference - Facing the rankings: Using benchmarking tools for strategic positioning, Vienna, Austria (20-21 January 2011). A leading conference with practical workshops and plenty of networking opportunities.
With the increasing rise of rankings of all kinds, universities are under serious threat of loosing students, loosing attractiveness for the best researchers and of loosing core and competitive funding. When unprepared to anticipate the possible outcomes and to respond adequately by improving their performance, higher education institutions are running the risk of their reputation being damaged in already difficult situations experienced in the context of the economic crisis.
Benchmarking is a modern management tool which helps to address the challenges of the rankings, through a better understanding of institutional profiles and needs, with a view to set targets for improvement and to improve strategic positioning.
The conference will look at transparency tools such as classifications, rankings and benchmarking exercises in an increasingly diverse higher education context. Drawing on the handbook produced in the framework of the two-year EU-funded EBI-II project Benchmarking in Higher Education, the conference will offer practical peer learning sessions (on benchmarking tools) and specialised workshops (to assist both in the selection of appropriate indicators in the three areas of internationalization, university-enterprise cooperation and regional innovation and in discussing the strength of these indicators). The handbook offers a very detailed methodology on defining and selecting indicators with the use of balance scorecards as well as designing powerful action plans to implement changes as a result of benchmarking exercises. To attend the conference, register here. Download the preliminary programme.

25 novembre 2010

10220 euros par an, coût moyen d'un étudiant à l'université

La 20e édition de l’État de l’Ecole propose une analyse des coûts, des activités et des résultats du système éducatif incluant, notamment, la dépense pour l’enseignement supérieur et la dépense par étudiant. À noter, la sortie prochaine du n°4 de l’État de l’Enseignement supérieur et de la Recherche qui établit un bilan annuel et suit les évolutions du système français d’enseignement supérieur et de recherche à travers 34 indicateurs. L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°3 - décembre 2009). L'état de l'enseignement supérieur et de la recherche (n°2 - décembre 2008). L'état de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (n°1 - novembre 2007).
Pour l’enseignement supérieur, la collectivité nationale a dépensé 26,3 milliards d’euros en 2009. Cette dépense a été multipliée par 2,5 depuis 1980 (en prix constants). En 2009, la dépense moyenne par étudiant s’élève à 11260 euros, soit 41% de plus qu’en 1980 (en euros constants).
La dépense d’éducation pour l’enseignement supérieur comprend l’ensemble des dépenses pour les établissements publics et privés de la France métropolitaine et des DOM pour l’enseignement et les activités liées: oeuvres universitaires, administration, fournitures, bibliothèques universitaires, rémunération des personnels d’éducation en formation, etc. Elle ne comprend pas les activités de formation continue ni, jusqu’en 2006, le fonctionnement et l’investissement de la recherche des universités (mais elle retenait par contre l’ensemble des salaires des enseignants-chercheurs).
À partir de 2006, et en raison de la nouvelle présentation des lois de finances dans le cadre de la LOLF, on retient l’ensemble des coûts de la recherche en université (personnel, fonctionnement et investissement), ainsi que l’ensemble des coûts des bibliothèques. Les montants des dépenses de la dernière année sont des montants provisoires. L’indicateur international est présenté en équivalents-dollars convertis en utilisant les parités de pouvoir d’achat qui sont des taux de conversion monétaire permettant d’exprimer dans une unité commune les pouvoirs d’achat des différentes monnaies.
La collectivité nationale a consacré, en 2009, 26,3 milliards d’euros à l’enseignement supérieur, soit une augmentation de 3,4% par rapport à 2008 (en prix constants). Depuis 1980, la dépense pour l’enseignement supérieur a connu une forte croissance, de 3,2% en moyenne annuelle. Son poids dans la dépense intérieure d’éducation est passé de 14,6% en 1980 à 19,9% en 2009.
L’accélération de cette croissance, sensible à partir de 2006, tient à un effort budgétaire accru, mais aussi à la prise en compte d’un périmètre élargi à toutes les activités de recherche en université, àunerevalorisation des cotisations sociales imputées, et enfin, à la réévaluation du coût des formations sanitaires et sociales relevant maintenant de la compétence des régions.
Sur l’ensemble de la période, la DIE au profit du supérieur a été multipliée par 2,5 mais, face à un quasi-doublement des effectifs, la dépense moyenne par étudiant n’a augmenté que de 41,1% (compte tenu des ruptures de séries en 1999 et en 2006), atteignant 11260 euros en 2009.Dans le même temps, la dépense moyenne par élève du second degré augmentait de 64,6 %.
Les comparaisons internationales (qui reposent sur des données nationales pas toujours homogènes) montrent que la dépense annuelle moyenne par étudiant en France (12770 équivalents-dollars en 2007, y compris les activités de recherche et de développement) est un peu inférieure à la moyenne des pays de l’OCDE (12910 équivalents-dollars). Le coût moyen d’un étudiant estimé par l’OCDE de manière cumulée, sur l’ensemble de la durée de ses études supérieures, place aussi la France en dessous de la moyenne (mais des pays, comme les États-Unis, ne participent pas à cet indicateur).
Les coûts moyens par étudiant sont très différents selon les filières de formation. Ils varient, en 2009, de 10220 euros par an pour un étudiant d’université publique à 13730 pour un étudiant de STS et 14850 euros pour un élève de CPGE. Les coûts moyens par étudiant en IUT (ainsi que d’autres instituts rattachés) ne sont plus quantifiables depuis la mise en application de la LOLF, en raison de la globalisation des crédits des universités. Le coût théorique d’une scolarité de 18 ans, menant sans redoublement à une licence, est évalué à 141900 euros en 2009, quand une scolarité en 17 ans menant à un BTS reviendrait à la collectivité à 138700 euros.
La part de l’État est prépondérante dans le financement de la DIE pour le supérieur (plus de 72%); la part des collectivités territoriales atteint 9,8% et celle des ménages 8,8%. Certaines aides directes ou indirectes financées par l’État, et qui bénéficient aux étudiants ou à leur famille, n’apparaissent pas dans la DIE pour l’éducation supérieure: elles sont d’ordre fiscal (majoration du quotient familial) ou non directement liées au statut étudiant (allocation logement social). Leur prise en compte (hors versements des régimes sociaux) porteraiten2009 le coût moyen d’un étudiant pour la nation de 11260 euros à 12520 euros.

De 20ste editie van de Staat van de School biedt een analyse van de kosten, activiteiten en resultaten van het onderwijs met inbegrip van, onder meer uitgaven voor het hoger onderwijs de uitgaven per student. Let op de aankomende release van de nummer 3 staat van Hoger Onderwijs en Onderzoek, dat een jaarlijkse evaluatie bepaalt en volgt de ontwikkelingen van het Franse systeem van hoger onderwijs en onderzoek over 34 indicatoren.
Voor Hoger Onderwijs, natie heeft de verbruikte 26,3 miljard euro in 2009.
Deze uitgaven zijn vermenigvuldigd met 2,5 sinds 1980 (in constante prijzen). In 2009, de gemiddelde uitgaven per student bedraagt 11.260 euro, of 41% meer dan in 1980 (in constante euro's). Meer...

25 novembre 2010

MEDEF: Signature d’une convention avec les Universités

Lionel Collet, Président de la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et Laurence Parisot, Présidente du MEDEF, ont signé le 23 novembre, à l'occasion des Rencontres Nationales de "Nos quartiers ont des talents" une convention destinée à donner un cadre aux partenariats entre les universités, les MEDEF régionaux et territoriaux, et les fédérations professionnelles intéressées.
L'accent est porté en priorité sur l'insertion professionnelle des jeunes. Parmi les autres thèmes abordés: la formation tout au long de la vie, l'employablité, la mobilité ; la recherche, l'innovation et le transfert de connaissance, l'entrepreneuriat ; la gouvernance, le rôle des fondations. La CPU et le MEDEF conviennent par ailleurs de mener des actions de sensibilisation et de communication, notamment à l'occasion du forum éducation-entreprise organisé chaque année en mars par le MEDEF, de la rencontre annuelle Universités-Entreprises de septembre à l'issue de l'Université d'été du MEDEF, du colloque annuel de la CPU. Un accord-cadre a par aileurs été signé le 22 juin dernier entre Laurence Parisot, Valérie Pécresse, Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche et Luc Chatel, Ministre de l'éducation nationale. Télécharger la convention au format PDF.
Lionel Collet, President tal-Konferenza tal-Presidenti Università (CPU) u Laurence Parisot, President ta 'MEDEF, iffirmat Novembru 23, fil-Laqgħa tal Nazzjonali "kwartieri tagħna għandhom talenti" konvenzjoni li jagħti qafas għal sħubijiet bejn universitajiet, reġjonali u territorjali federazzjonijiet MEDEF u assoċjazzjonijiet ikkonċernati.
L-enfasi hija primarjament fuq l-integrazzjoni professjonali taż-żgħażagħ. Suġġetti oħra: taħriġ matul il-ħajja, employablité, mobilità, riċerka, innovazzjoni u trasferiment ta 'għarfien, l-intraprenditorija, il-governanza, ir-rwol tal-fondazzjonijiet. More...
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