20 octobre 2010

Le Palmarès des universités selon la CPU

« Nous avons participé au groupe qui a travaillé sur l’enquête pendant un an. Ce qui est arrivé ensuite n’est pas ce qui était convenu », indique Jacques Fontanille, vice-président de la CPU, qui donne quelques exemples.
Le comité de pilotage n’a pas été réuni avant de présenter officiellement l’enquête, les chiffres n’ont pas fait l’objet d’une validation par les établissements, mais c’est surtout l’utilisation de l’étude qui pose problème selon lui. « L’exploitation en palmarès n’était pas prévue non plus! Nous avons travaillé sur le principe d’une enquête d’insertion destinée à évaluer la performance globale du système universitaire français. De ce côté-là d’ailleurs, le résultat est bon. Ce n’était pas l’objectif de faire des différences entre établissements ni de les classer : à 30 mois, toutes les universités se ressemblent. D'autant que les trois quarts des universités ont moins de 5 % d’écart, donc si l'on imagine une marge d’erreur statistique de seulement 5%, cela n’a déjà plus de sens », explique-t-il.
Même constat concernant l’absence des variables de population ou de bassin d’emploi, indispensables pour comparer. « Il y avait d’ailleurs un accord sur les critères mais certains n’ont pas été pris en compte dans la publication finale de l’enquête », précise le président de l’université de Limoges, qui comprend les réactions des professionnels de l’insertion professionnelle des universités. Relativisant, il reconnait qu’il s’agit d’un « apprentissage collectif ». « Nous sommes bien sûr favorable à une enquête de ce type, afin d’en faire un véritable outil de stratégie pour chaque établissement. Ce qui n’est pas possible cette fois-ci ».
Voir les articles du blog de la coordination: Comment aller plus loin dans le classement des universités et Le premier palmarès des universités.

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Les Français jugent les chercheurs "pas valorisés"

Si la science est "utile à la société" pour une écrasante majorité de Français, près des deux tiers d'entre eux jugent que le métier de chercheur n'est pas suffisamment valorisé, notamment en termes de salaire, selon un sondage publié mercredi. 95 % des personnes interrogées trouvent que la science est utile à la société, le plus haut score depuis le lancement de cette enquête, en octobre 2005, par l'institut CSA, pour le compte du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche. 79 % des sondés affirment aussi que la science leur "inspire confiance".
En revanche, 65 % d'entre eux estiment que le métier de chercheur n'est pas "valorisé dans la société actuelle en France", bien que ce taux tombe à 49 % chez les jeunes de 15 à 24 ans. Logiquement, 58 % trouvent aussi que la reconnaissance salariale des chercheurs en France n'est pas à la hauteur de leur travail et de leurs compétences (seulement 42 % chez les jeunes, qui sont 55 % à penser le contraire). Deux Français sur trois (68 %) se disent donc d'accord pour "mettre en place pour les chercheurs une rémunération qui repose davantage sur le mérite". Des réponses à tempérer quelque peu, puisque 60 % des sondés reconnaissent s'intéresser peu ou pas du tout à la science. Paradoxalement, ils sont 64 % à dire que les médias ne parlent pas assez des avancées de la recherche. Sondage réalisé par téléphone les 13 et 14 octobre auprès d'un échantillon représentatif de 1051 personnes âgées de 15 ans et plus, constitué d'après la méthode des quotas.
If science is "socially useful" for an overwhelming majority of French people, nearly two thirds of them believe that being a researcher is not sufficiently valued, particularly in terms of salary, according to a poll released Wednesday. 95% of respondents feel that science is useful to society, the highest score since the launch of the survey in October 2005 by the CSA institute, on behalf of the Ministry of Higher Education and Research. 79% of respondents also claim that their science "inspires confidence". More...

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La VAE dans les établissements d'enseignement supérieur relevant du ministère de la culture et de la communication

Retourner à la page d'accueil de Légifrance L'Arrêté du 1er septembre 2010, paru au JORF n°0209 du 9 septembre 2010, fixe pour l'année 2010-2011 les taux des droits de scolarité, d'examen et d'inscription ainsi que les montants des droits d'inscription en vue de l'obtention d'un diplôme par validation des acquis de l'expérience dans les établissements d'enseignement supérieur relevant du ministère de la culture et de la communication.
TITRE VII : VALIDATION DES ACQUIS DE L'EXPERIENCE, Article 22

Le montant des droits pour l'inscription à la validation des acquis de l'expérience, applicable à l'ensemble des établissements d'enseignement supérieur relevant du ministère de la culture et de la communication mentionnés dans le présent arrêté (à l'exception des établissements mentionnés au titre III), est de 780 €.
Le candidat acquitte un montant de 80 € pour l'analyse de recevabilité au moment où il dépose sa demande. Si la candidature est déclarée recevable, le candidat acquitte un montant de 700 € couvrant les frais de la procédure (coûts administratifs, frais de jury et suivi des prescriptions).
Dans le cas où il est attesté que le candidat n'est pas en situation de bénéficier d'un financement par un tiers (entreprise, organisme, collectivité territoriale), le chef d'établissement applique un tarif réduit s'élevant à 430 €, dont 80 € versés pour l'analyse de recevabilité.
Tilbake til startsiden Légifrance Ordenen av 1. september 2010, publisert i Official Gazette nr. 0209 datert 9. september 2010, fast for året 2010-2011 frekvensen av undervisning, eksamen og registrering og mengder av avgifter å få en diplom ved akkreditering av tidligere erfaring i institusjoner for høyere utdanning under Kultur-og kommunikasjon. Mer...

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